Cours Introduction Aux Reseaux PDF

Introduction Introduction
Les structures des réseaux Les structures des réseaux

Les supports de transmission Les supports de transmission
Les caractéristiques de transmission Les caractéristiques de transmission
Les différents types de réseaux Les différents types de réseaux
Les logiciels réseaux Les logiciels réseaux
Modèles de référence Modèles de référence
Plan du cours
Introduction aux réseaux
• Introduction
École Supérieure Privée d’Ingénierie et de Technologies • Les structures des réseaux
2008 - 2009
• Les supports de transmission
Mohamed Koubàa • Les caractéristiques de transmission
Département Technologies de l’Information et des Communications • Les différents types de réseaux
École Nationale d’Ingénieurs de Tunis
courriel: mohamed.koubaa@enit.rnu.tn
mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 1 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 2
Plan du cours Introduction (1)
• Un réseau est le résultat de la connexion de plusieurs machines entre

• Introduction elles, afin que les utilisateurs et les applications qui fonctionnent sur
• Les structures des réseaux ces dernières puissent échanger des informations
• Les supports de transmission • Le terme réseau en fonction de son contexte peut désigner plusieurs
choses :
• Les caractéristiques de transmission
◦ L’ensemble des machines d’une organisation avec les protocoles qui
• Les différents types de réseaux sont utilisés (Internet)
• Les logiciels réseaux ◦ La façon dont les machines d’un site sont interconnectées (réseau local
d’une entreprise)
• Les modèles de référence ◦ Le protocole utilisé pour assurer la communication entre machines
(réseau TCP/IP)

Introduction (2) Introduction (3)

• À l’époque où on travaillait sur une même machine, toutes les
informations nécessaires au travail étaient centralisées sur la même
machine • Un réseau permet entre autres de :
• Pour des raisons de coûts ou de performances, on est venu à ◦ Partager des données et des applications
multiplier le nombre de machines ; les informations devaient alors ◦ Partager des périphériques (imprimantes, serveurs, . . . )
être dupliquées sur les différentes machines du même site ◦ Communiquer entre personnes (messagerie, discussion en direct, . . . )
• La duplication ne permettait pas toujours d’avoir des informations ◦ Travailler sur les mêmes informations (bases de données, . . . ),
cohérentes sur les machines ; Ce fût l’apparition des réseaux locaux • mais aussi . . .
(propriétaires ou maisons) ◦ Diminuer les coûts par le partage des données et des ressources
• Le besoin d’échanger des informations entre sites distants se fait ◦ Standardiser les applications
◦ Faciliter l’accès aux données
ressentir ; Les réseaux moyenne et longue distance voient le jour
• Les réseaux sont ainsi nés d’un besoin d’échanger des informations
de manière simple et rapide entre des machines ne se trouvant pas
nécessairement sur le même site
La structuration physique La structuration physique
Les topologies d’interconnexion Les topologies d’interconnexion
Plan du cours La structuration physique
• Trois types d’éléments

• Introduction ◦ Les supports de transmission
• Les structures des réseaux Câbles
Fibres
◦ La structuration physique
Faisceaux
◦ Les topologies d’interconnexion
◦ Les équipements d’interconnexion
• Les supports de transmission Nœuds
• Les caractéristiques de transmission Routeurs
Ponts
• Les différents types de réseaux Passerelles
• Les logiciels réseaux ◦ Les équipements terminaux
Ordinateurs
• Les modèles de référence Stations
Périphériques

Les topologies d’interconnexion La topologie linéaire (en bus) (1)

• Une topologie de réseau est une définition de l’architecture d’un
réseau
• Toutes les stations (ordinateurs et serveurs) sont reliées à un même
• La topologie d’un réseau donne une certaine disposition des
médium de transmission par l’intermédiaire d’un câble
différents équipements du réseau et une hiérarchie de ces
équipements • Le mot bus désigne le tronc physique qui relie les stations
• Les principales topologies de réseaux existantes : • Les avantages :
◦ Topologie linéaire (en bus) ◦ Peu onéreuse et facile à mettre en œuvre (pas besoin d’équipements
◦ Topologie en étoile supplémentaires)
◦ Topologie annulaire ◦ La panne d’un nœud n’entraı̂ne pas la mise hors service du réseau
◦ Topologie maillée • Les limites :
◦ Topologie arborescente ◦ La bande passante est partagée par l’ensemble des nœuds
• Les topologies sont combinées pour former des réseaux complexes ◦ Tout message peut être entendu par l’ensemble des nœuds raccordés
(topologie mixte, hybride)
• Topologie physique vs. topologie logique
La topologie linéaire (en bus) (2) La topologie en étoile (1)

• Tous les nœuds sont reliés à un équipement appelé concentrateur
(hub) ou commutateur (switch)
• Le concentrateur (ou commutateur) est une boı̂te comprenant un
certain nombre de jonctions auxquelles il est possible de raccorder
les câbles réseau en provenance des ordinateurs ; il assure la
communication entre les différentes jonctions
• Topologie la plus employée notamment pour les réseaux ethernet
• Avantages :
◦ Les nœuds sont isolés et donc bénéficient d’une bande passante dédiée
◦ Facile à mettre en œuvre car très évolutif
• Les limites :
◦ La panne du concentrateur (commutateur) provoque la panne complète
du réseau
◦ Onéreux parce qu’il demande plus de câblage et un équipement dédié
La topologie en étoile (2) La topologie en anneau (ring) (1)
• Les ordinateurs sont situés sur une boucle et communiquent chacun

à son tour
• Un répartiteur (appelé MAU - Multi-station Access Unit) sert à
simuler l’anneau et qui sert à gérer la communication entre les
ordinateurs en impartissant à chacun un temps de parole
• Avantages :
◦ Les nœuds sont isolés et donc bénéficient d’une bande passante dédiée
• Les limites :
◦ Plus complexe de mise en place
◦ Onéreux parce qu’il demande plus de câblage et un équipement dédié
(MAU)
La paire métallique
La structuration physique Le câble coaxial
Les topologies d’interconnexion La fibre optique
Les faisceaux hertziens
La topologie en anneau (ring) (2) Plan du cours
• Introduction
• Les structures des réseaux
◦ La paire métallique
◦ Le câble coaxial
◦ La fibre optique
◦ Les faisceaux hertziens
• Les différents types de réseaux
• Les logiciels réseaux
• Les modèles de référence

La paire métallique La paire métallique
Le câble coaxial Le câble coaxial
La fibre optique La fibre optique
Les faisceaux hertziens Les faisceaux hertziens
Les supports de transmission (1) Les supports de transmission (2)
• Deux grandes classes de support de communication

• Support de transmission : composants physiques permettant de ◦ Les supports à guide physique
transmettre les éléments binaires (suite de 0 et de 1), représentant Les paires torsadées
les données à transmettre sur le réseau Les câbles coaxiaux
Les fibres optiques
• Trois types d’agents de communication (physique) ...
◦ L’électron ◦ Les supports sans guide physique
◦ Les ondes électromagnétiques Les ondes hertziennes
◦ Le photon Radio-électriques
Lumineuses
...
Les supports de transmission (3) Notion de bande passante

• Tout support de transmission se comporte comme un filtre qui ne
laisse passer qu’une bande limitée de fréquences appelée bande
• Les supports de transmission se distinguent par : passante
◦ Bande passante
• Toute fréquence en dehors de la bande passante est fortement
◦ Le délai de transmission
affaiblie
◦ Une ligne téléphonique ordinaire ne laisse passer que les signaux de
◦ Le coût
fréquence comprise entre 300 Hz et 3400 Hz (en dehors de cette bande
◦ La simplicité d’installation et de maintenance
les signaux sont fortement atténués et ne sont plus compréhensibles)
• Les supports ◦ On dit alors que la bande passante d’une telle ligne est de 3100 Hz
◦ La paire métallique • Il est important de noter que lorsqu’on parle de bande passante W
◦ Le câble coaxial (en Hz), on indique une longueur d’intervalle sans préciser les bornes
◦ La fibre optique de cet intervalle
◦ Les faisceaux hertziens (et autres)

La paire torsadée Le câble coaxial (coax)

• Faible coût
• Simple à utiliser • Support plus encombrant
• Convient aux transmissions analogiques et numériques • Bonne résistance aux bruits ⇒ offre un débit plus élevé sur de
• La bande passante dépend de l’épaisseur du câble et de la distance à longues distances
parcourir (il est possible d’atteindre plusieurs Mbps sur quelques • Le débit binaire est inversement proportionnel à la distance (un
kilomètres) débit supérieur à 100 Mbps peut être atteint sur un coax de 1 Km
• La paire torsadée peut être blindée (le blindage sert à mieux de bonne qualité)
protéger les signaux transportés) • Les principales catégories :
• Les principales catégories : ◦ Câble 50Ω destiné à la transmission numérique de données (type
◦ Catégorie 3 : 4 paires faiblement torsadées (16 MHz) Ethernet)
◦ Catégorie 5 : semblable à la catégorie 3 mais avec plus de torsions par ◦ Câble 75Ω utilisé pour les communications analogiques et la télévision
centimètre (100 MHz) par câble
◦ Catégories 6 et 7 : 250 et 600 MHz respectivement
• Utilisée pour la téléphonie, LAN, . . .
La fibre optique Les supports sans fil

• Très large bande passante, de l’ordre de 1 GHz pour 1 Km
• Faible encombrement • Systèmes infrarouges
• Grande légèreté • Systèmes radio
• Très faible atténuation • Systèmes à micro-ondes
• Très bonne qualité de transmission
• Systèmes satellitaires
• Bonne résistance à la chaleur et au froid
• Les caractéristiques
• Matière première bon marché (silice)
◦ Pas de support filaire
• Absence de rayonnement ◦ Forte sensibilité aux perturbations électromagnétiques
• Les principales catégories : ◦ L’ensemble des équipements terminaux mobiles qui utilisent la voie
◦ Les fibres multimodes à saut d’indice dont la bande passante peut hertzienne pour communiquer constitue ce qu’on l’on appelle réseaux
atteindre 50 MHz sur 1 Km cellulaires
◦ Les fibres multimodes à gradient d’indice dont la bande passante peut ◦ Une cellule est une zone géographique dont tous les points mobiles
atteindre 500 MHz sur 1 Km peuvent être atteints à partir d’une même antenne
◦ Les fibres monomodes de très petit diamètre dont la bande passante
peut atteindre 100 GHz sur 1 Km
Les modes d’exploitation d’une liaison Les modes d’exploitation d’une liaison
Les modes de connexion Les modes de connexion
Le multiplexage Le multiplexage
Les techniques de commutation Les techniques de commutation
Plan du cours Modes d’exploitation d’un support de transmission

(1)
• Introduction
• Les supports de transmission • Mode simplex
◦ Une seule extrémité émet, l’autre reçoit (transmission unidirectionnelle)
◦ Utilisé dans les systèmes de diffusion TV et radio
◦ Les modes d’exploitation d’une liaison ◦ Ne permet pas de savoir si les données ont été reçus par le destinataire
◦ Les modes de connexion sans erreurs
◦ Le multiplexage
◦ Les techniques de commutation
Modes d’exploitation d’un support de transmission Modes d’exploitation d’un support de transmission
(2) (3)
• Mode full duplex
◦ Ce mode, appelé aussi bidirectionnel simultané, permet une
• Mode half duplex transmission dans les deux sens en même temps
◦ Ce mode, appelé aussi bidirectionnel à l’alternat, permet une ◦ Cette technique nécessite l’utilisation de deux voies de transmission,
transmission dans les deux sens, mais alternativement une pour l’émission et l’autre pour la réception
◦ L’exemple type est la conversation par ”talkie-walkie” ◦ L’exemple type est le système téléphonique
• La plupart des liaisons utilisent deux supports de communication : un
dans chaque sens, chacun des supports étant utilisé
unidirectionnellement (par exemple : 2 paires métalliques)

Le mode point-à-point (bi-point) Le mode multipoint

• Les deux équipements sont interconnectés directement via un même • Plusieurs équipements sont interconnectés directement via un même
et unique support de communication et unique support
• L’interconnexion de plus de deux équipements nécessite des • Les informations envoyées par un équipement sont reçues par tous
équipements intermédiaires les autres équipements
• Conflit d’accès au support, identification du destinataire
Le multiplexage Le multiplexage fréquentiel (1)

• Le multiplexage consiste à faire transiter sur une seule et même
liaison, dite voie haute vitesse, des communications appartenant à
plusieurs paires d’équipements émetteurs et récepteurs • La bande passante du support de transmission est divisée en sous
bandes
• Chaque émetteur (resp. récepteur) est raccordé à un multiplexeur
(resp. démultiplexeur) par une liaison dite voie basse vitesse • Chaque sous bande est utilisée par un émetteur
• Plusieurs techniques de multiplexage possibles : • Un multiplexeur, à l’émission, permet de transmettre tous les
Le multiplexage fréquentiel ou à répartition de fréquence (MRF) signaux correspondants aux différentes sous bandes sur le même
Le multiplexage temporel ou à répartition dans le temps (MRT) support de transmission
• Un démultiplexeur, à la réception, sépare les signaux grâce à une
série de filtres passe bande
• Les sous bandes sont séparées pas des bandes de gardes afin d’éviter
les chevauchements entre signaux appartenant à des bandes voisines

Le multiplexage fréquentiel (2) Le multiplexage fréquentiel (3)
• Les avantages :
◦ Indépendance vis-à-vis de la structure de données
◦ Utilisé pour les satellites et les réseaux locaux large bande
• Les limites :
◦ La répartition est statique (le nombre et le débit de chaque canal est
fixe)
◦ Le présence d’une bande de garde grève l’efficacité
◦ Les équipements de transposition en fréquence sont coûteux
Le multiplexage fréquentiel (4) Le multiplexage temporel (1)
• Les signaux transmis sont du type analogique

• Les signaux numériques sont codés à l’aide de modem • La bande passante du support de transmission est utilisée dans sa
• Chaque modem doit assurer la translation du signal dans la gamme totalité par tranches de temps (les sources émettrices utilisent le
de fréquences du sous canal utilisé support de transmission à tour de rôle)
• Plus efficace que le multiplexage fréquentiel
• Besoin de mémoires tampons pour mémoriser les données qui se
présente à l’entrée du multiplexeur avant le début des tranches de
temps qui leur correspondent
• Deux types de multiplexage temporel :
◦ Le multiplexage temporel synchrone (statique)
◦ Le multiplexage temporel statistique (dynamique)

Le multiplexage temporel (2) Le multiplexage temporel (3)
• Statique
◦ Accès réservé et périodique
◦ Un intervalle de temps (IT) est implicitement et périodiquement
réservé pour chaque canal
◦ Une trame est formée d’IT. Un IT au moins pour chacun des canaux
◦ Modulation par Impulsions Codées (MIC)
Une trame de 30+2 octets toutes les 125 ms
canal = 1 octet toutes les 125 ms à 64 Kbit/s
• Dynamique
◦ Multiplexage adaptatif
◦ Le nombre d’IT attribués à un canal dépend de la demande (peut être
nul)
La commutation La commutation de circuits
• Un circuit matérialisé est construit entre l’émetteur et le récepteur

• La commutation est l’opération permettant à une information de en aboutant des segments de circuits entre autocommutateurs
progresser vers son destinataire par établissement d’un canal de • Le circuit n’appartient qu’aux deux équipements terminaux qui
communication en aboutant successivement plusieurs liaisons. Les communiquent entre eux
équipements intermédiaires associent une liaison entrante à une • Le circuit, une fois établit, est réservé à la communication pendant
liaison sortante parmi celles disponibles toute sa durée (jusqu’à ce que l’émetteur ou le récepteur décide
• Trois techniques de commutation (définies par l’unité de d’interrompre la communication)
commutation) :
• Si les deux correspondants n’ont plus de données à transmettre
◦ La commutation de circuits
pendant un certain temps, le circuit reste inutilisé, et les différentes
◦ La commutation de messages
◦ La commutation de paquets
liaisons entre autocommutateurs réalisant le circuit sont inemployées
• Possibilité de concentrer sur une même liaisons plusieurs
communications

La commutation de messages (1) La commutation de messages (2)
• Un message est une suite d’informations qui constitue une entité

logique tant pour son émetteur que pour son destinataire (ligne • La transmission d’un message d’un nœud au nœud suivant, sur le
frappée sur un terminal, fichier de données, . . . ) chemin vers le destinataire, est sujette à la réception complète du
message par le nœud précédent
• Le message est envoyé du nœud de commutation auquel est raccordé
l’émetteur jusqu’au nœud de commutation auquel est raccordé le • Difficulté de la gestion du stockage des messages dans des tampons
récepteur en traversant un certain nombre de nœuds intermédiaires au niveau des nœuds à cause de la taille variable des messages
• Une liaison n’est utilisée par une communication que pendant les • Difficulté de la transmission de longs messages sans erreur sur un
périodes de transmission de ces messages. D’autres messages support de transmission (solution : découper les messages en
appartenant à d’autres communications peuvent utiliser les mêmes paquets)
liaisons lors de cette communication
La commutation de paquets La commutation temporelle synchrone
• Les messages sont découpés en paquets de longueur comprise entre

1000 et 2000 bits
• Les paquets sont envoyés indépendamment les uns des autres
• Les paquets de données ont une taille de quelques dizaines d’octets
• Les nœuds de commutation sur le chemin de l’émetteur au récepteur
• Un nœud de commutation n’est plus tenu à attendre d’avoir reçu la
s’envoient les paquets selon la politique définie pour les messages
totalité du paquet avant de le réémettre vers le nœud suivant
• Gestion des tampons de stockage dans les nœuds de commutation
• Si la taille des paquets est faible et fixe, et que les règles de
plus simple
synchronisation sont strictes, ce type de commutation permet
• Diminution de la probabilité d’erreurs et en cas où celles-ci se d’atteindre des débits de l’ordre du Gigabit
produisent, le coût de la procédure de retransmission est diminué
• Diminution du temps global de transfert d’un message puisque
plusieurs paquets, appartenant au même message, peuvent être en
circulation en même temps entre des nœuds différents

Introduction Introduction Réseaux à diffusion
Les structures des réseaux Les structures des réseaux Réseaux point-à-point
Les modes d’exploitation d’une liaison
Les supports de transmission Les supports de transmission Réseaux personnels
Les modes de connexion
Les caractéristiques de transmission Les caractéristiques de transmission Réseaux locaux
Le multiplexage
Les différents types de réseaux Les différents types de réseaux Réseaux métropolitains
Les techniques de commutation
Les logiciels réseaux Les logiciels réseaux Réseaux longue distance
Modèles de référence Modèles de référence Réseaux sans fil
Commutation de messages vs. commutation de Plan du cours

paquets
• Introduction
◦ Réseaux à diffusion
◦ Réseaux point-à-point
◦ Réseaux personnels
◦ Réseaux locaux
◦ Réseaux métropolitains
◦ Réseaux longue distance
◦ Réseaux sans fil
Introduction Réseaux à diffusion Introduction Réseaux à diffusion

Les structures des réseaux Réseaux point-à-point Les structures des réseaux Réseaux point-à-point
Les supports de transmission Réseaux personnels Les supports de transmission Réseaux personnels
Les caractéristiques de transmission Réseaux locaux Les caractéristiques de transmission Réseaux locaux
Les différents types de réseaux Réseaux métropolitains Les différents types de réseaux Réseaux métropolitains
Les logiciels réseaux Réseaux longue distance Les logiciels réseaux Réseaux longue distance
Modèles de référence Réseaux sans fil Modèles de référence Réseaux sans fil
Caractéristiques physiques des réseaux Réseaux à diffusion (1)
• Il n’existe pas de classification générale des réseaux

• Les réseaux peuvent être classés selon plusieurs critères : • Un seul canal de transmission qui est partagé par tous les
◦ La technologie de transmission : réseaux à diffusion, réseaux équipements qui y sont connectés
point-à-point, . . . • Un message envoyé est reçu par toutes les stations du réseau
◦ La portée géographique (taille) : locale, nationale, internationale . . .
• Un champ d’adresse permet d’identifier le destinataire
◦ Les performances : délai, débit, . . .
◦ La nature : public, privé, . . . • À la réception d’un message, chaque station lit le champ d’adresse
◦ Les caractéristiques économiques : coût de connexion, coût et délai et procède au traitement du message si elle reconnaı̂t son adresse et
d’installation, . . . l’ignore dans le cas contraire
◦ Les types de terminaux : réseaux téléphoniques, réseaux domestiques
...

Réseaux à diffusion (2) Réseaux point-à-point
• Diffusion générale (broadcast) • Une connexion point-à-point fait intervenir deux stations, une
◦ Le message envoyé est adressé à toutes les stations du réseau station source et une station destinatrice
◦ Une valeur spéciale dans le champ d’adresse • Un message, envoyé par la source, transite par plusieurs stations
• Diffusion restreinte (multicast) intermédiaires avant d’atteindre la destination
◦ Le message est adressé à un groupe de stations • Plusieurs chemins sont possibles, il est important de sélectionner le
◦ Un bit (dans le champ d’adresse) est utilisé pour signaler le mode
meilleur
(diffusion générale, diffusion restreinte), les n-1 bits restants
correspondent au numéro de groupe • Une transmission point-à-point est dite diffusion individuelle
◦ Une station peut souscrire à un ou plusieurs groupes (unicast)

Taille des réseaux Réseaux personnels
• Réseaux personnels privés implantés dans un espace de taille

restreinte (quelques mètres)
• Interconnectent des équipements personnels
◦ GSM
◦ Portable
◦ Organiseur, . . .

Réseaux locaux Réseaux métropolitains
• Réseaux privés implantés dans un espace de taille restreinte • Transportent des données numériques sur des distances à l’échelle
(quelques kilomètres) d’une ville
◦ Entreprise • Interconnectent des réseaux d’entreprises ou éventuellement des
◦ Campus universitaire
particuliers sur un réseau spécialisé à haut débit géré à l’échelle
• Quelques dizaines ou centaines d’utilisateurs d’une métropole
• Débits variant entre 10Mbps et 100Mbps (10Gbps pour les LANs les • Quelques milliers d’utilisateurs
plus récents) • Exemple de MAN :
• Faibles délais de transmission allant de l’ordre de quelques ◦ Réseaux de distribution de télévision par câble
microsecondes ou nanosecondes ◦ IEEE 802.16

Réseaux longue distance Réseaux sans fil

• En 1901, Guglielmo Marconi expérimentait une communication sans
fil depuis un navire vers la côte
• Trois catégories d’usage :
◦ Interconnexion de systèmes
Interconnexion des composants d’un ordinateur grâce à un système radio à
• Transportent des données numériques sur des distances à l’échelle faible portée (Bluetooth, . . . )
d’un pays voire d’un continent ◦ Les LANs sans fil
Chaque ordinateur du réseau est équipé d’un modem sans fil et d’une
• Sont de deux types : antenne grâce auxquels il communique avec les autres ordinateurs du
◦ Terrestres (infrastructure à base de fibres optiques) réseau
◦ Hertziens (réseaux satellitaires) Une antenne sans fil appelée aussi station de base, accrochée au plafond,
permet la communication entre les différentes machines
Les débits sur les LANs sans fil peuvent atteindre 50Mbps sur une portée
de quelques dizaines de mètres
802.11
◦ Les WANs sans fil
Un WAN sans fil assure des communications sans fil longue distance et à
faible bande passante (<1Mbps) sur une portée de quelques kilomètres
Système de téléphonie cellulaire de troisième génération
Les supports de transmission Hiérarchies de protocoles Les supports de transmission Hiérarchies de protocoles
Les caractéristiques de transmission Principes de conception des couches Les caractéristiques de transmission Principes de conception des couches
Les différents types de réseaux Les modes de communication Les différents types de réseaux Les modes de communication
Plan du cours Hiérarchies de protocoles (1)
• Les réseaux sont organisés en strates (couches)

• Introduction • Le nombre de couche, le nom, le contenu et la fonction de chaque
couche diffèrent selon les réseaux
• Chaque couche fournit via une interface un certains nombre de
services à la couche immédiatement supérieure
• La couche N d’une machine dialogue avec la couche N de l’autre
• Les différents types de réseaux machine (notion de paire)
• Les logiciels réseaux • Les règles et les conventions qui gouvernent cette communication
• Les modèles de référence sont groupés collectivement sous le nom de protocole de couche N
• Un protocole est une convention acceptée par les parties
communicantes sur la façon dont leur dialogue doit prendre place.
Hiérarchies de protocoles (2) Hiérarchies de protocoles (3)

Principes de conception des couches (1) Principes de conception des couches (2)
• Règles de transfert de données

◦ Les données peuvent voyager dans une seule direction ou dans les deux
◦ Nombre de canaux logiques par connexion : Un canal pour les données
normales et un canal pour les données urgentes • Fragmentation et réassemblage
• Contrôle d’erreur ◦ Incapacité de tous les processus à accepter des messages d’une
longueur quelconque
◦ Le récepteur doit disposer d’un moyen d’indiquer à l’expéditeur quels
◦ Problème connexe : envoi inefficace de petites unités
messages ont été reçus correctement ou non grâce des codes de
détection et correction des erreurs • Multiplexage et démultiplexage
• Ordonnancement des messages • Adressage
• Contrôle de flux • Routage
◦ Éviter que l’émetteur submerge le récepteur. Limiter le débit de
l’émetteur
◦ Notification directe ou indirecte de la bonne réception des paquets
envoyés
Les modes de communication (1) Les modes de communication (2)
• Mode connecté (type téléphone) • Mode non connecté (type courrier postal)
◦ Établissement de la connexion ◦ Envoi des messages (datagrammes)
◦ Échange de messages ◦ Stockage dans une ’boı̂te aux lettres’
◦ Fermeture de la connexion ◦ Le destinataire récupère l’information quand il veut
• Ordonnancement des messages (tuyau) • Envoi à tout moment
• Délai limité dans le temps • Pas de délai limite pour l’échange
• Possibilité de définir une qualité de service (acquittement des • Les messages peuvent parvenir au destinataire dans un ordre
messages reçus) quelconque

Les supports de transmission Le modèle OSI Les supports de transmission Le modèle OSI
Les caractéristiques de transmission Le modèle TCP/IP Les caractéristiques de transmission Le modèle TCP/IP
Les différents types de réseaux Comparaison des modèles OSI et TCP/IP Les différents types de réseaux Comparaison des modèles OSI et TCP/IP
Plan du cours Les modèles de référence
• Introduction
• Le transport des données d’une extrémité à une autre du réseau
• Les structures des réseaux nécessite un support physique ou hertzien de communication
• Les supports de transmission • Mais aussi une architecture logicielle chargée du contrôle et de
• Les caractéristiques de transmission l’acheminement des messages transférés
• Les différents types de réseaux • Trois modèles (architectures) :
• Les logiciels réseaux ◦ Le modèle OSI (Open Systems Interconnection)
◦ Le modèle TCP/IP (utilisée dans le réseau Internet)
• Les modèles de référence ◦ Le modèle introduit par l’UIT pour l’environnement ATM
◦ Le modèle OSI (Asynchronous Transfer Mode)
◦ Le modèle TCP/IP
Modèle OSI (1) Modèle OSI (2)
• Modèle en sept couches

• Une proposition développée par l’ISO (l’organisation internationale
◦ Une couche doit être créée lorsqu’un nouveau niveau d’abstraction est
de normalisation)
nécessaire
• ISO constitue un comité pour la normalisation dans le domaine des ◦ Chaque couche doit assurer une fonction bien définie
Télécommunications et de l’Interconnexion des Systèmes ◦ La fonction de chaque couche doit être choisie en visant la définition de
• La proposition du premier modèle OSI remonte à 1979 protocoles normalisés au niveau international
◦ Les limites d’une couche doivent être fixées de manière à réduire la
• Objectifs : quantité d’informations devant passer au travers des interfaces
◦ Décomposer ◦ Le nombre de couche doit être :
◦ Structurer Assez grand pour éviter que plusieurs fonctions soient regroupées dans une
◦ Assurer l’indépendance vis-à-vis du matériel et du logiciel même couche
Assez faible pour éviter de complexifier le modèle

Modèle OSI (3) La couche physique
• La couche physique s’occupe de la transmission des bits de façon

brute sur un canal de communication
• Elle doit garantir la parfaite transmission des données (un bit à 1
envoyé doit être bien reçu comme bit valant 1)
• Elle doit normaliser :
◦ Les caractéristiques électriques (un bit à 1 doit être représenté par une
tension de 5V)
◦ Les caractéristiques mécaniques (forme des connecteurs, de la
topologie, . . . )
◦ Les caractéristiques fonctionnelles des circuits de données
◦ Les procédures d’établissement, de maintien et de libération du circuit
de données
• L’unité d’information typique de cette couche est le bit, représenté
par une certaine différence de potentiel
La couche liaison de données La couche réseau

• La couche liaison a pour rôle de transformer la couche physique en
une liaison a priori exempte d’erreurs de transmission pour la couche
réseau (détection et correction des erreurs de transmission) • La couche réseau permet de gérer le sous-réseau, i.e. le routage des
paquets sur ce sous-réseau et l’interconnexion des différents
• Elle fractionne les données d’entrée de l’émetteur en trames,
sous-réseaux entre eux
transmet ces trames en séquence et gère les trames d’acquittement
renvoyées par le récepteur • Au moment de sa conception, il est nécessaire de bien déterminer le
mécanisme de routage et de calcul des tables de routage (tables
• Elle doit être en mesure de reconnaı̂tre les frontières des trames
statiques ou dynamiques . . . )
(fanion)
• Elle contrôle également l’engorgement du sous-réseau
• Elle doit être capable de renvoyer une trame lorsqu’il y a eu un
problème sur la ligne de transmission • Il est aussi possible d’y intégrer des fonction de comptabilité pour la
facturation au volume (peut être délicat)
• Elle intègre une fonction de contrôle de flux pour éviter
l’engorgement du récepteur • L’unité d’information de la couche réseau est le paquet
• L’unité d’information de la couche liaison est la trame (quelques
centaines à quelques milliers d’octets maximum)
La couche transport (1) La couche transport (2)
• La couche transport est responsable du bon acheminement des

messages complets au destinataire
◦ Prend les messages de la couche session, • Elle est également responsable de l’établissement et du relâchement
◦ Les découpe, s’il le faut, en unités de plus petites tailles des connexions sur le réseau
(segmentation),
◦ Passe les unités à la couche réseau, • Elle est responsable du contrôle de flux
◦ S’assure de la bonne arrivée des unités de l’autre coté de la liaison, • La couche transport est l’une des couches les plus importantes, car
◦ Réassemble les morceaux à la réception c’est elle qui fournit le service de base à l’utilisateur, et c’est par
• Elle est également responsable de l’optimisation des ressources du ailleurs elle qui gère l’ensemble du processus de connexion, avec
réseau (distribution du trafic sur le réseau, multiplexage, . . . ) toutes les contraintes qui y sont liées
• Elle est responsable du type de service à fournir à la couche session, • L’unité d’information de la couche transport est le message
et finalement aux utilisateurs du réseau : service en mode connecté
ou non, avec ou sans garantie d’ordre de délivrance, diffusion du
message à plusieurs destinataires à la fois, . . .
La couche session La couche présentation
• La couche session organise et synchronise les échanges entre tâches

distantes • La couche présentation s’intéresse à la syntaxe et à la sémantique
• Elle réalise le lien entre les adresses logiques et les adresses des données transmises : c’est elle qui traite l’information de
physiques des tâches réparties manière à la rendre compatible entre tâches communicantes
• Elle établit une liaison entre deux programmes d’application devant • Elle assure l’indépendance entre l’utilisateur et le transport de
coopérer et commande leur dialogue (qui doit parler, qui parle . . . ) l’information
Ce service d’organisation s’appelle la gestion du dialogue • Elle peut convertir les données, les reformater, les crypter et les
• Elle permet d’insérer des points de reprise dans le flot de données de compresser
manière à pouvoir reprendre le dialogue après une panne

La couche application Modèle TCP/IP
• La couche application constitue le point de contact entre l’utilisateur

et le réseau
• Elle apporte à l’utilisateur les services de base offerts par le réseau,
comme par exemple le transfert de fichiers, la messagerie
électronique, . . .
La couche hôte-réseau La couche Internet
• La couche internet du modèle TCP/IP s’apparente à la couche

réseau du modèle OSI
• Le modèle TCP/IP en dit peu sur ce qui se passe à ce niveau • Routage
• L’hôte doit se connecter au réseau en utilisant un protocole pour ◦ Acheminement des unités de données (paquets) de la source jusqu’à la
pouvoir envoyer des paquets destination
◦ Les paquets sont acheminés indépendamment les uns des autres
• Le protocole n’est pas défini et varie d’un réseau à un autre en jusqu’à la destination (mode de communication non connecté)
fonction des hôtes et des réseaux ◦ Les paquets pouvant arriver dans le désordre à la destination auquel cas
les couches supérieures se chargent de les réordonner si cela fait partie
des exigences de livraison
• Contrôle de congestion

La couche transport OSI versus TCP/IP (1)
• Permet à des entités paires sur les hôtes source et destination de Reposent sur le concept de pile de Trois concepts sont au cœur du modèle OSI : Les services, les
protocoles indépendants interfaces et les protocoles
mener une conversation Analogie avec la programmation orienté objet
• Deux protocoles de bout en bout ◦ Les méthodes de l’objet sont analogues aux services
offert par une couche
◦ TCP - Transmission Control Protocol
◦ Les paramètres et les résultats des méthodes sont
Protocole fiable avec connexion analogues aux interfaces
Fragmentation et réassemblage
◦ Le code de l’objet est son protocole et n’est pas visible
Contrôle de flux (éviter que l’émetteur submerge le récepteur) de l’extérieur
◦ UDP - User Datagram Protocol
Le modèle TCP/IP n’a jamais fait la distinction entre services,
Protocole non fiable sans connexion (relègue aux applications le contrôle interfaces et protocoles ⇒ les protocoles du modèles OSI sont
de flux et la remise dans l’ordre des paquets) mieux dissimulés et peuvent ainsi être facilement remplacés à
Souvent utilisé pour des applications du type temps réel à forte contrainte mesure que les technologies évoluent.
temporelle
OSI versus TCP/IP (2) Critiques du modèle OSI (1)
• Moment inopportun : les protocoles du modèle TCP/IP étaient

Les couches sont à peu près iden- Sept couches pour le modèle OSI contre quatre couches pour le largement déployés lorsque ceux du modèle OSI sont apparus.
tiques sur le plan fonctionnel modèle TCP/IP. Les couches réseau (internet pour le modèle
TCP/IP), transport et application sont communes aux deux Certains fabricants ont prudemment commencé à développer des
modèles, les autres couches diffèrent produits TCP/IP. Le modèle OSI n’a pas fait long feu
Support des modes avec connexion et sans connexion : Le mo- • Mauvaise technologie
dèle OSI autorise les deux types de communication dans la
couche réseau, mais uniquement le mode avec connexion dans ◦ Le choix des sept couches a été davantage politique que technique
la couche transport. Le modèle TCP/IP supporte un seul mode (couches session et présentation sont pratiquement vides)
dans la couche réseau (sans connexion), mais deux modes dans ◦ Les définitions de services et de protocoles sont incroyablement
la couche transport, donnant le choix aux utilisateurs.
complexes
◦ Certaines fonction (adressage, contrôle de flux, contrôle d’erreur)
réapparaissent sur plusieurs couches

Critiques du modèle OSI (2) Critiques du modèle TCP/IP
• Le modèle ne différencie pas clairement les concepts de service,

• Mauvaises implémentations : les premières implémentations étaient
interface et protocole ⇒ difficile de s’en servir pour concevoir de
lentes et lourdes à manipuler en raison de la complexité du modèle
nouveaux réseaux mettant en œuvre de nouvelles technologies
• Mauvaise stratégie : le modèle OSI a été vu comme le produit des
• Le modèle n’étant pas général, il ne permet pas de décrire d’autres
administrations européenne des télécommunications, puis de la
piles de protocoles que TCP/IP (tenter de décrire Bluetooth est
communauté européenne, et plus tard du gouvernement américain
totalement impossible)
⇒ Cette croyance n’était que partiellement vraie, n’a pas arrangé les
choses • Le modèle TCP/IP ne distingue pas la couche physique de la couche
liaison de données

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Introduction Introduction

Les structures des réseaux Les structures des réseaux

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 1 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 2

Plan du cours Introduction (1)

• Un réseau est le résultat de la connexion de plusieurs machines entre

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 3 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 4

Introduction (2) Introduction (3)

Plan du cours La structuration physique

• Trois types d’éléments

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 7 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 8

Les topologies d’interconnexion La topologie linéaire (en bus) (1)

La topologie linéaire (en bus) (2) La topologie en étoile (1)

La topologie en étoile (2) La topologie en anneau (ring) (1)

• Les ordinateurs sont situés sur une boucle et communiquent chacun

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 13 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 14

La topologie en anneau (ring) (2) Plan du cours

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 15 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 16

Les supports de transmission (1) Les supports de transmission (2)

• Deux grandes classes de support de communication

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 17 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 18

Les supports de transmission (3) Notion de bande passante

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 19 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 20

La paire torsadée Le câble coaxial (coax)

La ﬁbre optique Les supports sans ﬁl

Plan du cours Modes d’exploitation d’un support de transmission

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 25 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 26

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 27 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 28

Le mode point-à-point (bi-point) Le mode multipoint

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 29 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 30

Le multiplexage Le multiplexage fréquentiel (1)

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 31 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 32

Le multiplexage fréquentiel (2) Le multiplexage fréquentiel (3)

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 33 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 34

Le multiplexage fréquentiel (4) Le multiplexage temporel (1)

• Les signaux transmis sont du type analogique

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 35 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 36

Le multiplexage temporel (2) Le multiplexage temporel (3)

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 37 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 38

La commutation La commutation de circuits

• Un circuit matérialisé est construit entre l’émetteur et le récepteur

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 39 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 40

La commutation de messages (1) La commutation de messages (2)

• Un message est une suite d’informations qui constitue une entité

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 41 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 42

La commutation de paquets La commutation temporelle synchrone

• Les messages sont découpés en paquets de longueur comprise entre

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 43 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 44

Commutation de messages vs. commutation de Plan du cours

Introduction Réseaux à diﬀusion Introduction Réseaux à diﬀusion

Caractéristiques physiques des réseaux Réseaux à diﬀusion (1)

• Il n’existe pas de classiﬁcation générale des réseaux

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 47 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 48

Réseaux à diﬀusion (2) Réseaux point-à-point

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 49 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 50

Introduction Réseaux à diﬀusion Introduction Réseaux à diﬀusion

Taille des réseaux Réseaux personnels

• Réseaux personnels privés implantés dans un espace de taille

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 51 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 52

Réseaux locaux Réseaux métropolitains

mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 53 mohamed.koubaa@enit.rnu.tn IR - ESPRIT 54

Introduction Réseaux à diﬀusion Introduction Réseaux à diﬀusion

Réseaux longue distance Réseaux sans ﬁl

Plan du cours Hiérarchies de protocoles (1)