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Benjamin LEFEBVRE
On remarque qu’il est question de 50% de rupture car les essais de fatigue sont des essais
statistiques. On ne peut pas conclure à partir d’un petit nombre d’éprouvettes. Toutefois, à
partir d’un grand nombre d’essais, on s’aperçoit que la courbe représentant l’évolution du
nombre de sollicitations en fonction du nombre d’éprouvettes cassées est une “courbe en
cloche’’ (correspondant à une distribution Gaussienne).
Pm=2.5 Kg
K=60mm
l 0 =100mm
1
= 41.67 mm 3
V
Manipulation
Pour nos expérimentations, nous avons utilisé les éprouvettes dont la rainure est en V.
Voici les résultats que nous avons obtenus pour différentes valeurs de « a » :
14000
12000
Nombre de cycles
10000
8000
Série1
6000
4000
2000
0
137,8 172,7 202,8
Contrainte
Conclusion
Au travers de cette étude, on a pu dégager quelques points qui seront à prendre en
compte lors de la conception d’une pièce mécanique. En effet, étant donné que beaucoup de
pièces d’un produit sont sollicitées cycliquement lors de leur utilisation, il faudra éviter autant
que possible les variations brutales de section. Si cela est obligatoire, faut utiliser des congés
de raccordement dont le rayon est le plus grand possible pour minimiser les concentrations de
contrainte et ainsi augmenter la durée de vie de la pièce.
Les résultats que nous avons obtenus, ne sont pas valables. Nous étions peut être trop
près de la limite élastique du matériau qui a plastifié à chaque flexion et ainsi accéléré
l’apparition de la rupture par fatigue. Il faudrait faire des essais avec des contraintes plus
faibles pour obtenir des résultats plus en accord avec les courbes de Wolher proposés.