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VIROLOGIE

STRUCTURE DES VIRUS


QU’EST-CE QU’UN VIRUS ?

 C’est un agent infectieux très simple, défini par


une structure se résumant à deux ou trois
éléments, selon les virus.

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Biologie,Agronomie,Science Alimentaire,Ecologie
GÉNOME
 ADN ou de l’ARN, dans la classification des virus : virus à
ADN et virus à ARN.
 Ce génome peut-être monocaténaire (à simple brin) ou
bicaténaire (à double brin).
 D’une façon générale, la réplication du génome des
virus à ARN est beaucoup moins fidèle que celle du
génome des virus à ADN.
 La taille du génome diffère considérablement parmi les
virus à ADN (3 à 300 kpb), alors qu’elle est comprise entre
10 et 20 kb pour la plupart des virus à ARN.
 La capacité somme toute réduite de codage des génomes
viraux (par comparaison aux quelques 25 000 gènes du
génome humain) est souvent compensée par un
chevauchement des cadres de lecture et par le
phénomène d’épissage des ARN messagers
CAPSIDE
 Le génome est emballé dans une structure protéique
(protéines virales polymérisées) appelée CAPSIDE
qui protège le génome.
 Elle a une conformation géométrique qui, selon les
virus est, soit tubulaire, soit polyédrique.
 On appelle nucléocapside la structure compacte
formée par l’assemblage de la capside autour du
génome.
 ICOSAÈDRE : polyèdre à 20 faces qui sont des

 triangles équilatéraux, et 12 sommets.


ENVELOPPE OU PÉPLOS

 C’est l’élément le plus externe de certains virus.


 Tous les virus humains et animaux à capside tubulaire
ont un péplos, mais certains virus à capside
icosaédrique en sont également pourvus
(Herpesviridae, Togaviridae, Flaviviridae).
 Le péplos est une membrane, dérivée des membranes
cellulaires, cytoplasmique, golgienne, ou nucléaire
selon les virus.
 Les virus à péplos terminent leur multiplication dans
la cellule par bourgeonnement.
 La capside et le génome d’un virus enveloppé comme
s’assemblent en une nucléocapside sous la membrane
cytoplasmique.
 Le virus va sortir de la cellule (ou plutôt être relargué
hors de la cellule, les virus étant passifs), non par
éclatement de cette cellule, mais par formation d’un
bourgeon au détriment de la membrane cytoplasmique.
 Le bourgeon va s’isoler pour former un virus entier,
libre, capable d’infecter une nouvelle cellule ou un
nouveau sujet.
 L’enveloppe de ce virus est la membrane cytoplasmique
de la cellule infectée, mais modifiée par l’adjonction de
glycoprotéines virales. Les lipides de l’enveloppe sont,
eux, d’origine cellulaire.
 Exemple: virus de la grippe.

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