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BENZAKOUR
Cours résumé
Module : Chimie des électrolytes
Filière : SMC
Pr. J. BENZAKOUR
1
Pr. J. BENZAKOUR
Sommaire
LES ELECTROLYTES 4
I. GENERALITES
1. Réactions d’oxydoréduction
2. Potentiel redox, Equation de Nernst 23
3. Prévision des réactions d’oxydo-réduction 24
2
Pr. J. BENZAKOUR
3
Pr. J. BENZAKOUR
LES ELECTROLYTES
4
Pr. J. BENZAKOUR
K (T )
B A
BA
K(T) est la constante de dissociation de l’électrolyte.
II. Activité
II.1. Relation entre activité et concentration
La loi d’action de masse exprimée, au moyen des concentrations ne
constitue, qu’une première approximation, valable tant que les concentrations
restent faibles.
Cette approximation revient à admettre que les interactions entre
particules élémentaires de l’électrolyte sont nulles.
Le physico - chimiste américain Lewis a montré, à partir de 1901 qu’on
peut tenir compte des interactions entre particules, en remplaçant dans la loi
d’action de masse et dans les relations qui en dérivent les concentrations des
particules par une nouvelle grandeur thermodynamique « l’activité »
aB .a A
K (T )
a AB
aB .C
: coefficient d’activité sans dimension. Il varie avec la concentration.
1 quand C0
En solution infiniment diluée, concentration et activité deviennent
identiques.
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Pr. J. BENZAKOUR
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Pr. J. BENZAKOUR
zi e (r)
Ni(r) = Ni° exp ( ) Eq. De Boltzmann
kT
Ni° : densité moyenne des ions de l’espèce i,
zi : charge de l’ion i,
e : charge de l’électron,
T : température,
(r) : potentiel électrostatique à la distance r,
- densité de charge électrique :
zi e (r)
(r) = zie Ni(r) = zie Ni° exp ( )
kT
Par hypothèse on a : zie(r) << kT
(r) = zie Ni° (1 - zi e (r) )
kT
L’électroneutralité de la solution donne zie Ni° = 0
2
(r) = -( e )[ Ni°zi2] (r)
kT
relation linéaire entre la densité de charge et l’énergie potentielle.
b - calcul du potentiel électrique (r)
La densité et le potentiel sont reliés par l’équation de Poisson : =
o r
: opérateur laplacien (-div(grad( ))
o : permittivité du vide (8.854 10-12 F.m-1)
r : permittivité relative
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Pr. J. BENZAKOUR
I
log( i ) A zi2
1 B.a I
A et B sont des constants calculables.
I= ½ mi.zi2 : Force ionique
mi : la molalité (mole/Kg de solvant)
Dans le cas de l’eau mi = Ci
Ci : concentration en (mole/l),
a = r+ + r- : distance minimale d’approche (A).
Pour des solutions aqueuses et à 25 °C ,
A= 0,511 et B= 0,33
Equation valable pour une force ionique : 10-2 < I < 10-1
log( i ) A zi2 I
I
log( i ) A zi2 C' I
1 B.a I
C: est une constante
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Pr. J. BENZAKOUR
log( )A z z I
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Pr. J. BENZAKOUR
E = R.I
E : différence de potentiel en Volt (V)
R : résistance du conducteur en Ohm ()
I : courant en Ampère (A)
Si on considère une quantité de KCl solide, que l’on dissocie dans l’eau
distillée. Nous avons simultanément K+ et Cl-. On plonge deux électrodes
inattaquables (par exemple l’or ou le platine) dans cette solution c.a.d, on va
constituer une cellule. On applique une d.d.p importante ( E > E 0 ) pour
provoquer la réaction électrochimique.
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Pr. J. BENZAKOUR
l
R
S
l : distance entre les deux électrodes (cm).
S : surface des électrodes (cm2).
: résistivité spécifique (.cm).
On pose :
1 1 l
d’où R .
S
est la conductivité spécifique (-1.cm-1).
E S
E= R.I I E..
R l
Chaque ion de charge z e- est soumis à un champ électrique .
E (V/cm) I = . S.
l
On appelle constante de la cellule K
l (cm-1), que l’on peut déterminer par
S
étalonnage (c.a.d par mesure de la résistance d’une solution KCl 10-1 M).
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Pr. J. BENZAKOUR
Au cours de leur déplacement dans l’électrolyte, les ions sont soumis à deux
forces opposées.
f = 6r V
r : rayon de l’ion,
: viscosité cinématique
V : vitesse de l’ion.
A l’équilibre (pendant un temps très court) l’ion atteint une vitesse limite Vl et
on aura :
F = f z.e. = 6 rVl
1
Vl z . e . .
6 r
On appelle ainsi u la mobilité d’un ion, sa vitesse limite en cm/s dans un
champ électrique de 1 V/cm.
Vl z .e
u
6 r
Les mobilités des ions varient entre 2.10-4 et 10.10–4 à l’exception de celles
de OH- (20 10-4 ) et de H+ (30.10-4).
t+ = u+ / ( u+ + u-)
t- = u- / ( u+ + u-)
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Pr. J. BENZAKOUR
t+ + t- = 1
Nous raisonnons sur une seule sorte d’ion, soit x le nombre d’ion contenu
dans le volume SVl dt :
x = Na
C SV dt
l
1000
Na : nombre d’Avogadro
La quantité de charge correspondante est dq :
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Pr. J. BENZAKOUR
dq = zex = ze Na C SV dt = F C SV dt
l l
1000 1000
F = Na . e et Céq = z.C
Et 1000
Céq
Nous avons : = F u
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Pr. J. BENZAKOUR
= ° - k Céq
k: constante qui dépend de la température et de la nature de l’électrolyte.
- Les électrolytes faibles ont des conductivités faibles.
- = f(C) n’est pas linéaire et n’est applicable que si on introduit le coefficient
de dissociation .
- varie avec C et varie avec C.
- o ne peut être déterminé graphiquement mais uniquement par calcul.
Exemple : °(HA) = ° (HCl) + ° (NaA) - ° (NaCl)
Ω
- Pour un électrolyte faible on a :
0
III-4 : Loi d’additivité de Kohlrausch
Remarques :
que les mobilités u+ et u- sont inférieures à leurs valeurs limites u+o et u-o et
s’obtiennent en multipliant par un terme correctif.
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Pr. J. BENZAKOUR
u+ = u+o 1
1 aA I
Cations o ( + ) Anions o ( - )
H+ 350 OH- 199
K+ 73.62 Cl- 75.5
NH4+ 73.40 NO3- 70.6
Li+ 38.70 CHCOO- 40.9
Ag+ 61.90 HC2O4- 40.2
Mobilités ioniques
IV : Applications de la conductivité
IV -1 : Calcul du rayon ionique
zi . e
ui
6 ri
i = F . ui
zi . e .F
ri
6 ui
: viscosité cinématique
F = 96500 C ; e = 4.810-10
zi
ri 2.5 10 6
ui
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Pr. J. BENZAKOUR
IV -2 : Dosages conductimétriques
0 Ca.Va/Vt Ca.Va/Vt 0
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Pr. J. BENZAKOUR
sol = 1 Céq
1000 i i
Vb 103. sol
Pour Vb < Ve
la pente est proportionnelle à [(Na+) -(H3O+)]
Pour Vb > Ve
la pente est proportionnelle à [(Na+) +(OH-)]
sol
Ve Vb
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Pr. J. BENZAKOUR
Avant l’équivalence on introduit des ions Na+ dans le bêcher où des ions
CH3CO2- sont aussi produits par la réaction, donc la conductance augmente.
Après l’équivalence on introduit (sans réaction) des ions Na+ et des ions OH-
dans le bêcher, les ions OH- ont une conductivité particulièrement importante.
La conductance augmente donc plus vite.
sol
Ve Vb
Remarque :
Influence du pKa
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Pr. J. BENZAKOUR
Plus le pKa est faible (acide de moins en moins faible), plus l’acide est dissocié
au départ et plus la partie « consommation des ions H3O+ présents au départ »
dure.
Dans le cas où l’acide est très dissocié (pKa très faible), au départ, la courbe
se rapproche de celle d’un acide fort.
Les acides d’un polyacide ou les différents acides d’un mélange ne sont titrés
séparément que si pKa > 4. Il apparait alors nettement plusieurs
équivalences.
Si pKa < 2, les deux acides ou acidités sont titrés simultanément : il apparait
une seule équivalence. Sinon, seule la dernière équivalence apparait
clairement.
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Pr. J. BENZAKOUR
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Pr. J. BENZAKOUR
Ox + e- Red
e- e- e- e- eElectrode
-
I. GENERALITES
1 - Réactions d’oxydoréduction
Une réaction d’oxydoréduction correspond à un échange d’électrons entre un
donneur d’électrons (réducteur) et un accepteur d’électrons (oxydant).
1
3+ -
Exemple : Fe + 1e Fe2+
2
L’oxydation correspond à une perte d’électrons (sens 2) et une augmentation
du degré d’oxydation (D.O).
Remarque :
- D.O (O) = -2 sauf dans les peroxydes où il est égal à -1 et 0 dans O2.
- D.O (H) = 1 sauf dans les hydrures où il est égal à -1 et 0 dans H2.
Exemple :
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Pr. J. BENZAKOUR
Soit x le D.O(Mn)
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Pr. J. BENZAKOUR
Si E2>E1
Réaction globale :
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Pr. J. BENZAKOUR
1- DEFINITION
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Pr. J. BENZAKOUR
On fait buller un gaz sur le métal qui est plongé dans une solution d’ions du
même élément formant ce gaz.
Exemples :
Electrode à hydrogène : H+/H2/Pt
2 H+ + 2 e- H2
0,06 [H ] 2
E
H H2
0 V EH /H2 E H /H log
2 2 PH2
L’électrode normale à hydrogène (ENH) est définie pour PH2 = 1 atm et pH
nul, soit EENH = 0 V. Cette électrode est utilisée comme référence dans la
mesure des potentiels électrochimiques.
0,06 PCl
ECl /Cl ECl /Cl Log 2 2
2 2
2 [Cl ]
Ce sont les électrodes les plus simples. Elles sont réalisées en plongeant un
métal dans une solution contenant une forme ionique de ce métal. Le couple
redox mis en jeu est le suivant : Mn+/M
Exemples :
Réaction simple : Ag+ + e- Ag
E = E°Ag+/Ag + 0,06 Log [Ag+]
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Pr. J. BENZAKOUR
E E
0,06 Log
AgCN
2
AgCN 2 / Ag
[CN ]2
2.3. Les électrodes de 2ème espèce :
Ces électrodes sont composées d’un métal entouré d’un de ses sels peu ou
pas soluble, le tout plongeant dans une solution contenant l’halogénure de
ce sel.
Ce type d’électrode est utilisé comme référence pour la mesure des potentiels.
Exemple :
Du point de vue électrochimique les deux équilibres redox (1) et (2) sont
équivalents car ils mettent tout deux en jeu l’espèce « argent » à l’état
d’oxydation +I ou 0. Ainsi :
E(Ag+/Ag) = E(AgCl/Ag)
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Pr. J. BENZAKOUR
𝐹𝑒 3+
Fe3+ + e- Fe2+ E = E° + 0,06 Log
𝐹𝑒 2+
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Pr. J. BENZAKOUR
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Pr. J. BENZAKOUR
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Pr. J. BENZAKOUR
Cu++ + Zn Cu + Zn++
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Pr. J. BENZAKOUR
Une source de courant externe (générateur) est requise pour effectuer des
réactions forcées de transfert d’électrons.
Cu + Zn++ Cu++ + Zn
Remarque :
Dans ce type de montage, il se crée un potentiel de jonction Ej dû à la
jonction électrolytique. Ce potentiel résulte de la différence de mobilité ionique
des constituants du pont salin.
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Pr. J. BENZAKOUR
Exemple :
Ej est alors minimisé par le choix des constituants du sel ayant des mobilités
ioniques voisines (KCl, NaNO3..) .
On aura alors :
E = E2 - E1
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Pr. J. BENZAKOUR
E = ECathode - EAnode
Q = I × Δt
Remarque :
La durée d’une pile peut être obtenue lors de sa décharge par mesure du
courant débité par la pile.
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Pr. J. BENZAKOUR
1- MONTAGE EXPERIMENTAL
1.1- Voltmètre
La mesure du potentiel s’effectue avec un voltmètre spécial à haute
impédance (Z>1013 Ω) qui permet de limiter au maximum l’intensité du courant
passant dans le circuit.
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Pr. J. BENZAKOUR
La solution à étudier est constituée par les formes oxydée et réduites d’un
même couple oxydo-réducteur dans lequel est plongé une électrode
inattaquable qui servira de support d’électrons :
On aura alors : E = E0 + R T ln Fe
3
nF Fe
2
Fe3+ + 1 e- Fe2+
Equation bilan :
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Pr. J. BENZAKOUR
Bilan de matière :
Le potentiel s’écrit :
3
E=E2=E02 + 0.06 Log Fe =E02 + 0.06 Log 5 C1V1
Fe 2 C2V2 5 C1V1
Véq
A la demi équivalence : V1 = , on aura E = E02
2
A l’équivalence :
E = E02 + 0.06 Log Fe = E01 + 0.06 Log MnO4
3
Fe 2 5 Mn2
0 0
Eéq = 5 E1 E2
6
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Pr. J. BENZAKOUR
Après l’équivalence
Mn+ + n e- M
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Pr. J. BENZAKOUR
Dosages argentométriques
Ils sont utilisés pour le dosage des ions halogénure X- donnant lieu à un
précipité d’halogénure d’argent AgX.
Ag+ + X- AgX
Dans ce cas l’équivalence est obtenue quand le nombre de Ag+ versé est
égale au nombre de X- contenu dans la solution à doser.
c.a.d. C2 V2 = C1 Véq
Avant l’équivalence:
Les halogénures d’argent sont très peut solubles, le précipité est formé dès
l’ajout des premières gouttes de Ag+. Le potentiel mesuré E peut être exprimé
en fonction des ions X- contenus dans la solution.
On a (Ag+) = (X-)
Or Ks = (Ag+)(X-) (Ag+) = Ks
E = E°1 + 0.06 Log Ks = E°1 - 0.03 pKs
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Pr. J. BENZAKOUR
Après l’équivalence :
pH = -Log (H3O+)
pH = -Log [H3O+]
2 H3O+ + 2 e- H2 + 2 H2O
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Pr. J. BENZAKOUR
E = E0 + RT ln [H3O+]
F
E° : potentiel standard de la réaction (E° = 0 V).
Remarque :
L’utilisation d’un potentiomètre pour la mesure directe du pH doit être
précédée d’un étalonnage par des solutions tampons.
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Pr. J. BENZAKOUR
I – 1. Diagramme de Latimer
On porte sur un axe horizontal de gauche à droite toutes les espèces par
degré d’oxydation croissant en indiquant les potentiels standard des couples
rédox mis en jeu pour un pH donné.
D.O 0 2 3 4 6 7
0 2 3 4 6 7 D.O
I I I I I I
Mn Mn2+ Mn3+ MnO2 MnO42- MnO4- pH=0
-1,18 1,51 0,96 2,26 0,58 E° (V)
1,51
0 2 3 4 6 7 D.O
I I I I I I
2-
Mn Mn(OH)2 Mn(OH)3 MnO2 MnO4 MnO4- pH=14
-1,37 0,13 -0,25 0,58 0,58 E° (V)
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Pr. J. BENZAKOUR
On peut calculer le potentiel d’un couple à partir des valeurs déjà connues en
utilisant la relation :
𝑛𝑖 𝐸𝑖0
𝐸𝑗0 =
𝑛𝑗
Cas de dismutation :
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Pr. J. BENZAKOUR
L’espèce IO-, par exemple, est représentée par un point en (+1, 0,42V). Cela
signifie que la 1/2 réaction redox:
L’espèce IO3- est représentée par un point en (+5, 0,91V) puisque la 1/2
réaction redox:
IO3- + 5e + 6H+ 1/2 I2 + 3 H2O (n=5) et E° = 0,182 V (donc n.E° = 0,91 V).
3 IO- → 2 I- + IO3-
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Pr. J. BENZAKOUR
Ox + m H+ + n e- Red
0,06 a Ox m m
E E0 log a H cte 0,06 pH
n a Red n
Les diagrammes potentiel-pH permettent d’appréhender les différentes formes
d’un élément chimique en fonction des valeurs du potentiel redox E et du pH
de la solution.
Ce diagramme comporte différents domaines délimités par des droites
1) Limites verticales
2) Limites horizontales
3) Limites obliques
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Pr. J. BENZAKOUR
Sur la frontière (a), PH2 = 1 bar, E1 = E°(H+/H2) + 0,06 Log [H+] = -0,06 pH
0,06
Sur la frontière (b), PO2 = 1 bar, E2 = E°(O2/H2O) + Log [H+]4 = 1.23 - 0.06 pH
4
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Pr. J. BENZAKOUR
En milieu acide : Ag + + 1e Ag
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Pr. J. BENZAKOUR
E(V)
Ag+ AgOH
0.68
Ag
0 8.2 pH
Tracé du diagramme E - pH de Ag
[Ag+]o = 10-2 M
Ag + + 1 e Ag
Ag NH
3
2
Kd =
Ag (NH 3 )2 = 10-7..2
+
NH 3 2
C = [Ag ] (1 + )
Kd
NH 3 2
On a alors : E = E° + 0.06 Log C - 0.06 Log (1 + )
Kd
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Pr. J. BENZAKOUR
NH 3 2
a- <<1 pNH3> 1 pKd, il s’agit du couple Ag+/Ag
Kd 2
NH 3 2 1
b- >>1 pNH3< pKd, il s’agit du couple Ag(NH3)2+/Ag
Kd 2
NH 3 2
E = E° + 0.06 Log C - 0.06 Log ( ) = 0.248 + 0.12 pNH3
Kd
E(V)
Ag+
Ag(NH3)2+
0.68
Ag
0.25
3.6 pNH3
Ag + + 1e Ag
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Pr. J. BENZAKOUR
AgCl + 1e Ag + Cl-
Remarque :
Influence du pH
Influence de la précipitation
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Pr. J. BENZAKOUR
Fe3+ + 1 e Fe2+
𝑎 𝐹𝑒 3+ 𝐹𝑒 3+ [𝐹𝑒 3+ ]
E = E° + 0,06 Log = E° + 0,06 Log + 0,06 Log
𝑎 𝐹𝑒 2+ 𝐹𝑒 2+ [𝐹𝑒 2+ ]
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Pr. J. BENZAKOUR
Frontière HClO/ClO-
Frontière Cl2/Cl-
1
Cl2 + e- Cl-
2
Seul le degré d'oxydation du chlore change (0 -I), le pH n'intervient pas.
P Cl 2
E(Cl2/Cl-) = E°(Cl2/Cl-) + 0,06 Log
Cl −
Frontière HClO/Cl2
Frontière HClO/Cl-
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Pr. J. BENZAKOUR
- -
HClO [H + ]
E(HClO/Cl ) = E°(HClO/Cl ) + 0,03 Log
[Cl − ]
Frontière ClO-/Cl-
ClO − [H + ]2
E(ClO-/Cl-) = E°(ClO-/Cl-) + 0,03 Log
[Cl − ]
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Pr. J. BENZAKOUR
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