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Méthodologie &
Approche Générale
Professeur :
Dikra EL MAGUIRI
1
CHAPTRE 3
2
L’approche de l’audit financier
L’auditeur ne peut procéder à un contrôle exhaustif
de toutes les informations financières qui lui sont
soumises.
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Obtenir la meilleure efficacité des
moyens mis en œuvre
C'est-à-dire choisir le moyen de contrôle (ou la
combinaison de moyens) qui permet d’obtenir, pour
chaque objectif, le meilleur rapport entre :
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La mise en œuvre de ces différentes étapes doit être
guidée par la prise en considération des éléments
suivants :
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Section 1
NATURE DE L’INFORMATION
FINANCIÈRE
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Des données de nature différente
Les comptes annuels d’une entreprise sont le reflet de
son activité et le résultat du processus général de traitement
de l’information qu’elle utilise.
Ce processus traite des données de nature différente :
- Informations répétitives ;
- Informations ponctuelles ;
- Informations exceptionnelles.
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1- Les données répétitives
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2- Les données ponctuelles
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3- Les données exceptionnelles
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Section 2
NATURE DES RISQUES
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Adéquation : Moyens de contrôle / gravité des
erreurs Différents facteurs de risque à
prendre en compte ?
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Les erreurs possibles
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Les erreurs réelles
Sont celles qui se produisent effectivement.
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Huit risques à aborder
1. Risque liés aux objectifs de régularité et sincérité
2. Risques dus au secteur d’activité
3. Risques propres à l’entreprise
4. risques dus à la nature des opérations
5. Risques dus à la valeur des opérations
6. Risques dus à la conception d’un système
7. Risques dus au fonctionnement d’un système
8. Risques propres à l’auditeur
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Les risques liés aux objectifs de
régularité et sincérité
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Une information régulière et sincère ?
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A titre d’exemple, pour vérifier que l’objectif
d’exhaustivité de la saisie du chiffre d’affaire est bien
rempli, l’auditeur utilise généralement :
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Propriété
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Evaluation correcte
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Enregistrement dans la bonne
période CUT OFF
Toutes les opérations comptabilisées durant
l’exercice concernent-elles la période écoulée et elle
seule ?
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CUT OFF
• Le cut off est un principe de comptabilité bien
spécifique. Il a pour objectif de déterminer
avec précision la fin et le début d'un exercice.
• Le rôle du cut off est de séparer les différents
exercices pour bien les différencier.
• En clair, le principe du cut off est de ne pas
ajouter des charges concernant un exercice
sur un autre.
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CUT OFF : Exemple pratique
• Le loyer des locaux de votre entreprise coute 1200 dhs/an et est
payé chaque année le 01 octobre.
• Selon le principe du cut off, sur les 1200 dhs payés, vous devez
constater 400 dhs (3mois / 12 mois) dans vos comptes de charges,
pour que votre résultat de l'année ne soit impacté qu'à hauteur
du service consommé durant l'année(Octobre-novembre-
décembre)
• Les 800 dhs seront portés en charge payée d'avance donc dans
votre bilan. Ils n'impacteront pas votre résultat.
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Imputation correcte
Enregistrement dans les bons comptes
auxiliaires.
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Information adéquate
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Totalisation et centralisation
correcte
- Totalisation et centralisation correcte :
fiabilité du processus comptable.
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Souci de l’auditeur
Dans le cadre de sa mission, l’auditeur devra, pour
chaque type de transaction significative réalisée par
l’entreprise :
- s’assurer que l’information fournie répond à
chacun de ces critères et
- choisir la source d’information probante la mieux
adaptée à chaque critère.
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Les risques dus au secteur
d’activité
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À titre d’exemple
- Le secteur des travaux publics est confronté
à des problèmes d’évaluation des en cours qui
n’existent pas dans le négoce ;
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Exemple
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Les risques propres à
l’entreprise
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Les risques ne sont pas
les mêmes
A l’intérieur d’un même secteur
d’activité, chaque entreprise a des
caractéristiques qui la distinguent de ses
concurrents.
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Par exemple
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Exemple
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Opérations répétitives
A titre d’exemple
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Opérations ponctuelles
Si elles sont mal organisées, elles peuvent ne pas
pouvoir être corrigées.
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Opérations exceptionnelles
l’entreprise ne dispose pas de critères préalablement
définis, ni de chiffres comparatifs permettant
d’identifier des variations anormales.
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Plus la valeur (individuelle ou cumulée) d’un type
d’opération est forte, plus, si une erreur se produit, il y
aura de risque qu’elle ait une incidence significative sur
l’information financière.
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Pour les opérations répétitives, qui sont donc
traitées par des systèmes qui s’appliquent à chacune
d’elle, il est nécessaire que le système soit conçu de
façon à empêcher les erreurs de se produire ou à
permettre leur détection et leur correction, sinon toutes
les opérations traitées par ce système risquent d’être
erronées.
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Les risques dus au
fonctionnement d’un système
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Même si la conception d’un système est
théoriquement bonne, il existe toujours un risque que
son fonctionnement réel soit défaillent (contrôle prévu
mais non exécuté).
Vérification de l’existence
du système
Test de vérification de
l’existence
EVALUATION Questionnaire de
PRELIMINAIRE DU contrôle interne
CONTROLE INTERNE
Fiable
Vérification du
fonctionnement du
système
Fonctionne
Evaluation de Feuille
l’impact d’évaluation du
système
CONSTRUCTION DU PROGRAMME DE
CONTROLE DES COMPTES Rapport sur le contrôle
interne
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Certains facteurs viennent accroître les risques
liés au fonctionnement des systèmes :
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Pour réaliser sa mission, l’auditeur exerce son
jugement et procède à des contrôles par sondages.
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1. A émettre une opinion sans réserve sur des
informations financières erronées de façon
significative, ou
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L’opinion émise, en fin de mission, par l’auditeur
est la résultante de la confiance qu’il a pu obtenir,
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Pour construire sa confiance finale, l’auditeur
dispose de plusieurs sources d’informations
probantes qui sont utilisées soit seules, soit le plus
souvent conjointement.
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A titre d’exemple, pour vérifier que l’objectif
d’exhaustivité de la saisie du chiffre d’affaire est bien
rempli, l’auditeur utilise généralement :
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Phase préliminaire
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