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L'économie du développement est une branche de l'économie qui s’intéresse à

l’étude et l’analyse des problèmes économiques, sociaux, environnementaux et


institutionnels que rencontrent les pays dits en voie développement (PVD).
Dès fin de la guerre mondiale, le sous-développement considéré comme l’un des
grands problèmes qui touche la croissance des pays surtout les pays
anciennement colonies, ce phénomène qu’on le peut appeler est créé un écart
entre ces pays et autres qui ont étés développés. En 1961 l’économiste français
François Perroux définie le développement et dit que c’est « la combinaison des
changements mentaux et sociaux d’une population qui la rendent apte à faire
croître cumulativement et durablement son produit réel et global ». Après en
1990, le PNUD lance un nouveau concept qui est le Développement durable
définie comme un développement qui répond aux besoins du présent sans
compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs. La
notion de « Tiers Monde » est utilisée pour la première fois en 1952, par le
démographe et économiste français Alfred Sauvy pour qualifier les pays
anciennement colonisés et Dans les années 1970, l’ONU avance la notion de «
pays en voie de développement » (PVD), la notion de pays sous-développés étant
considérée comme trop stigmatisant. Dans les années 1980, s’impose
l’appellation « pays en développement » (PED) qui est censée traduire le
processus de progrès économique et social dans lequel sont engagés les pays
pauvres. Donc le sous-développement est comme une situation de non-
développement. Un pays « sous-développé » connaîtrait donc des blocages qui
empêchent le processus de développement de se mettre en place, en particulier
l’industrialisation.

I. Les indicateurs de mesure


1. PNB/habitant : c’est un indicateur créé par la banque mondiale, il mesure la
richesse, revenu moyen de la population. Il existe trois catégories des pays selon
leur richesse :
+ 53 pays à revenu faible (moins de 905 $/habitant) : on y retrouve en majorité
des pays pauvres africains et asiatiques comme le Mali, le Kenya, le Libéria, la
Mauritanie, le Bangladesh, le Cambodge, le Népal… mais aussi l’Inde ;

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+ 96 pays à revenu intermédiaire (entre 906 et 11 115 $/habitant) : devant la trop


grande hétérogénéité de cette catégorie, la Banque mondiale la D en deux sous-
catégories :
+ 55 pays à revenu intermédiaire tranche inférieure (entre 906 et 3 595
$/habitant) : on y retrouve d’autres PED d’Afrique et d’Asie comme l’Algérie, le Sri
Lanka et surtout la Chine, mais aussi des PED d’Amérique latine comme Cuba ou
la Colombie et des pays d’Europe centrale et orientale (PECO) en transition
comme l’Albanie, la Moldavie ou l’Ukraine ;
+ 41 pays à revenu intermédiaire tranche supérieure (entre 3 596 et 11 115
$/habitant) : on y retrouve encore des PED comme les grands pays d’Amérique
latine que sont le Brésil ou l’Argentine, et la majorité des PECO comme la Hongrie
ou la Pologne et surtout la Russie ;
+ 60 pays à revenu élevé (plus de 11 116 $/habitant) : ce sont les PD mais aussi
certains pays du Moyen-Orient comme le Qatar, les Émirats arabes unis ou le
Koweït, et des pays asiatiques comme la Corée du Sud, Hong Kong ou Singapour.
2. L’Indicateur de développement humain : puisque le premier indicateur ne basé
que sur le revenu de la population qui est égalitaire à cause de l’inégalité sociale.
La banque mondiale créée en 1990 un indicateur synthétique, IDU basé sur le
développement humain qui nécessite trois conditions : la possibilité de vivre
longtemps et en bonne santé, la possibilité de s’instruire, et enfin les possibilités
d’accès aux ressources permettant de vivre convenablement. Cet indicateur
mesuré par trois dimensions « santé, éducation et le niveau de vie » cadrées de 0
à 1, s’il est proche d’alors il est plus élevé:
+ un indicateur de longévité et de santé mesuré par l’espérance de vie à la
naissance.
+ un indicateur d’instruction mesuré pour deux tiers par le taux d’alphabétisation
des adultes et par le taux de scolarisation.
+ un indicateur de niveau de vie mesuré par le PNB/habitant en PPA (parité de
pouvoir d’achat).
3. L’Indicateur sexospécifique de développement humain (ISDH) : est de mesurer
les inégalités entre les hommes et les femmes en ce qui concerne les variables de

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l’IDH. Fait référence avec la production et le revenu des femmes dans le cadre des
activités informelles et de taches domestiques, les retraitements liés a cet
indicateur par rapport au IDH favorisent les pays nordiques et certains PVD, mais
les pays arabes qui produisant le pétrole sont pénalisés à causes des inégalités
entre homme/femme et le développement humain.
4. L’indicateur de la participation des femmes : créer pour voir la participation des
femmes dans la vie économique, sociale, politique, professionnelle…
5. indicateur synthétique des libertés politiques : créé par le PNUD à partir de cinq
critères composites : intégrité physique, primauté du droit, liberté d'expression,
participation politique, égalité des chances.
6. L’indicateur de pauvreté humaine : cette une variante de l’IDH composé par
trois variables dont deux dimensions à savoir l’espérance de vie et
l’analphabétisme. La différence entre IDH et IPH est que le PIB par tête ne
constitue pas une variable qui peut exprimer les conditions de vie qui ont la base
d’IPH, cette variable conduite trois sous indicateurs ; l’accès aux services
sanitaires, l’accès à l’eau potable et le pourcentage des enfants moins de cinq ans
souffrant de malnutrition.

Les caractéristiques des pays en développement


+ une forte croissance démographique du fait de démographique à faible natalité
et mortalité Ainsi la population de ces pays est en général plus jeune, ainsi la
fécondité tend à baisser mais elle connue la faim et la malnutrition.
+ Obstacle socioéconomiques : Les PED ayant une grande pauvreté à cause de la
faiblesse du secteur industriel et son secteur agricole reste surreprésenté, le sous-
emploi est massif, la scolarisation est faible pour les files en particulier, et aussi ils
occupent une place faible dans le commerce international (37% des exportations
mondiales).
Les PED, tiers mondes, PSD, pays du sud, quel que soit la nomination elle n’existe
aucune relation entre ses pays.
Classification selon la banque mondiale :
+ Les pays les moins avancés (PMA) : sont caractérisé par grande pauvreté,
l’analphabète de la population, faible intégration dans l’économie national,

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vulnérabilité aux famines aux épidémies et aux risques naturels. Ils sont de 49
pays dont 34 africains.
+ Les pays à revenus intermédiaires (PRI) : ce sont des pays connus des difficultés
dans leur développement tels que les pays magrébins.
+ Les pays exportateurs de pétrole (PEP) : sont des pays riches mais non-
développés, ils commencent à reconvertir leur économie en s’appuyant sur la
finance ou le tourisme.

Classification selon l’OCDE :


+ Les nouveaux pays industrialisés (NPI) sont des états dont l’industrialisation
rapide repose sur le développement des exportations avec l’aide active de l’Etat,
Ils sont également bien insérés dans le commerce international.
+ Les pays émergents sont des Etats à fort développement industriel et
technologique, ils possédant à la fois l’arme atomique, des hautes technologies et
population majoritairement rurale.
+ Les pays en transition (PET) : pays issus de la dislocation de l’URSS qui peinent à
reconvertir leurs économies.

II. Les Causes Du Sous-développement


Certains auteurs considèrent que le sous-développement est lié à des facteurs
internes à ces pays et qui relèvent de leurs manques en ressources naturelles ou
de leurs culture, croyance ou de leurs structures économiques, sociale ou
politique. Autres disent qu’il résulte des facteurs externes (pays sous-développés
dominés et exploités par les pays capitalistes développés, souvent anciens
colonisateurs). Il est donc le résultat de la domination des pays sous-développés
par les pays développés. Dons ce cadre deux courant existent pour expliquer ces
explications, libéral et radical, Pour le courant libéral le sous-développement n’est
qu’un retard dans le processus du développement. Les causes du sous-
développement sont internes aux pays concernés (manque de ressources
naturelles, climat difficile, cultures, mentalités et croyances, démographie,
structures économiques de ces pays, etc). Pour le courant radical, le sous-
développement n’est pas un retard, c’est le résultat de l’exploitation des PD aux
PSD.

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1) Les approches déterministes du sous-développement :


Déterminisme naturel : pour cette approche le sous-développement résulte par le
jeu de facteurs naturels, le lien entre le SD et l’environnement revient à la zone
écologique et au faible potentiel agricole.
Le déterminisme racial : Pour les racistes, l’infériorité biologique des « races »
expliquerait que certaines d’entre elles soient vouées à la pauvreté et au sous-
développement, Les tenants de cette thèse prétendent que les races de couleur
sont frappées d’une incapacité intellectuelle et morale (inintelligence, paresse,
oisiveté, etc.) qui les met hors d’état de tirer correctement leur subsistance de la
nature.

2) Les étapes de la croissance de W.W.Rostow :


L’analyse libérale du sous-développement considère ce dernier comme
l’expression d’un simple retard dans le processus du développement. Dans ce
cadre ROSTOW pense que toute société développée passe nécessairement par
cinq étapes :
+ La société traditionnelle : dans cette phase, l’économie est basée sur le secteur
agriculture, La productivité est faible et la production est destinée à satisfaire les
besoins domestiques, Les échanges sont faibles et le prêt à intérêt est banni.
+ Les conditions préalables au décollage : constitue d’une phase de transition, se
caractérisée par une évolution des conditions de vie, un changement de
mentalité, au développement du commerce, à l’acceptation du prêt à intérêt, à la
création de banques, à l’augmentation de la productivité du travail. L’agriculture
permet de dégager un profit.
+ Le décollage : se caractérisée par des taux d’investissement élevés (8 à 10%) et
l’industrialisation très importante. La productivité agricole génère des profits,
investis dans l’industrie, les produits industriels sont utilisés dans l’agriculture,
cette phase connue une croissance économique mais n’est pas capable de
supprimée les inégalités sociales.
+ La maturité : tous les secteurs profitent des fruits de la croissance et du progrès
technique, Les principales bases du développement sont atteintes et La
technologie joue un grand rôle à cause des inventions et des innovations.

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+ la société de consommation de masse : la consommation devient très


importante, les populations parviennent à satisfaire leurs besoins à cause de la
hausse du pouvoir d’achat, les services et les loisirs se développent. Le niveau de
vie augmente. L’état intervient de plus en plus dans l’économie.
Critiques de cette thèse : Le caractère universel de cette théorie est remis en
cause. Elle ne serait que l’interprétation du processus historique de
développement des pays occidentaux au cours de leur industrialisation et ne
saurait être appliquée aux PED actuels du fait du changement de contexte
(modalités du commerce international, existence de pays développés
aujourd’hui…).

3) Le sous-développement comme « cercle vicieux » :


R. NURSKE considère que le sous-développement est un blocage de
développement, ce blocage lié aux structures des pays d’un état pauvre. NURKSE
traité l’exemple d’un pays pauvre comme un homme pauvre qui ne peut pas avoir
un suffisamment à manger, étant sous-alimenté, sa santé s’en trouve altérée,
cette faiblesse physique réduit sa capacité de travail, ce qui signifie qu’il reste
toujours pauvre. Il résume cette situation => revenu faible=> Cation faible qui
incitée à investir et épargne faible qui entraine un investissement faible=>
productivité faible=> croissance fable donc revenu faible, alors cette situation
retourne la 2ème fois… pour NURSKE, les PVD ayant un revenu faible, l’épargne
faible qui va utiliser dans le financement des investissement, alors la faiblesse des
investissements est la cause principale du sous-développement.
Critiques de cette thèse : NURKSE la société n’est que la somme des individus. Son
passage de l’état d’un individu pauvre à celui d’une société n’est pas valable, il
ignore le processus historique du SD, basé juste sure la faiblesse des revenus alors
il existe des pays riches mais sous-développés, donc c’est l’utilisation et le
gaspillage de ces revenus.

4) La thèse dualiste du sous-développement :


pour expliquer le SD, les auteurs proposent deux secteurs:
+ Secteur moderne : capitaliste, qui est la source d’une accumulation et de gains
de productivité.

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+ un secteur traditionnel : de subsistance, qui pèse sur le secteur moderne à


cause de faibles gains de productivité.
Arthur Lewis considère que le sous-développement provient de l’utilisation sous-
optimale de la main-d’œuvre, et à cause de dualisme de l’économie du pays, et
que le développement dualiste consiste dans l’écoulement de la main d’œuvre en
excédent dans le secteur traditionnel vers le secteur moderne où la productivité
est croissante, afin de dégager des taux de profits croissants et donc un taux
d’épargne suffisamment important pour lancer le processus d’industrialisation.
Alors le problème lié à l’étude de transfert des ressources disponible en travail
vers le secteur moderne. Pour LEWIS, la hausse des salaires dans le secteur
moderne permet d’encourager les individus à travailler, à augmenter la
production qui permet à payer les salaires sans affecter le profit.

Critiques de cette thèse : la coexistence de la population dans les deux


secteurs.
1. Le courant radical : le SD est le résultat du développe du capitaliste. Les néo-
marxistes le SD est le fruit essore du capitaliste. Grec ARGHIRI, Le terme
d’échange inégal créé par la situation du commerce inégal entre les pays du
centre et les périphéries, à cause de la différence dans les couts de salaires avec
une production moins couteuses dans les pays de la périphérie. Cette situation
entraine que les pays SD exportent des biens de faibles valeurs et importent des
biens de forte valeur par les PD, elle résulte une captation de surplus pour ses
pays.
2. Le courant structuraliste : les auteurs de ce courant expliquent le SD par le prix
des X et M, et à cause de la division internationale du travail, les pays de centres
spécialisent dans les exportations et les périphéries dans les importations.

III. Les stratégies de développement


La stratégie est l'ensemble des décisions et actions relatives au choix des moyens
et des ressources en vue d'atteindre un objectif, En matière de développement,
les stratégies ont pour objectif de démontrer et d’expliquer comment une
économie peut se développer. En matière de l’industrialisation les pays du tiers

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monde adoptent une stratégie de développement pour réduire leur dépense


économique des pays développés, il existe trois stratégies d’industrialisation :
+ Le développement intraverti marché intérieur : chaque pays suive sa stratégie
en fonction de ses ressources, la plupart conduire que le secteur industriel est le
moteur du développement à cause de sa place par rapport aux autres secteurs.

1. l’industrialisation par substitution aux importations :


c’est l’une de développement autocentré, elle née en Amérique latine des années
1929, C’est une réaction à la chute des rentrées de devises des exportations de
matières premières, c'est-à-dire produit ce que le pays importer. Cette
industrialisation s’analyse en deux phases :
+ La première destiné de se spécialiser dans l’industrie légère de forte
consommation avec une MOD élevée et un peu de K. cette phase est avantageuse
car elle a la facilité car à un marché relativement étroit, bas salaire, K investi
initialement est relativement faible, la création d’emplois, l’épargne de devises.
Mais cette phase connue des problèmes de non satisfaction des besoins
nouveaux car les biens sont fabriqués des usines locales moins efficients. Alors
nouveau ISI.
+ La deuxième : basée sur l’industrie lourde (production de biens d’équipement),
elle se caractérisée par l’importance du k à engager d’où la nécessité de
l’intervention de l’Etat ou du k étranger.
Critiques de l’ISI : problème des technologies dans la 1ère à cause du peu de K
utilisé, problème d’emploi cause l’utilisation des machines, problème de
dimension du marché intérieur production dépasse la demande du marché
intérieur, problème de dépendance extérieure entrainé un déficit de la balance
commerciale et une inégalité sociale dans la 2éme.

2. Les industries industrialisantes :


cette stratégie est suivie par la chine, Inde et l’Algérie. Elle stipule que le seul
investissement massif dans les industries lourdes est capable d’un effet notable
dans la croissance économique et la transformation de l’économie, cette industrie
est située dans l’amont du système productif.

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Critiques de IID : Ce modèle est connu un échec lié aux couts d’investissements
élevés, les produits moins qualifies ne peuvent pas exportés, importation des
produits agricoles entraine un endettement.
+ Le développement extraverti : pour les néolibéraux PED peuvent bénéficie de la
croissance des PD grâce aux échanges entre eux, La croissance des PD nécessite
des matières 1ères importées par des PED qui bénéficient l’accumulation des
devises pour financés leurs exportations. Autres montrent qu’il y une relation
entre le PIB et les exportations.

3. Industrie par promotion des exportations :


c’est la transformation industrielle des produits primaire en biens finis et semis
finis destinés vers la satisfaction des marchés extérieurs. On peut distinguer trois
types :
•Industrie de valorisation des ressources locales : industrie liée à la recherche des
Mat 1ère.
•Industries de biens de consommation délocalisées par les PD : industries légères
avec une force dans l’utilisation des Mats 1ères et des MOD afin de profiter les
avantages des PED : MOD abondante et à bas salaire.
•Industrie de sous-traitance internationale : industries spécialisées dans la
fabrication des PF (SF) pour les utiliser dans la production d’un autre bien dans les
pays occidentaux, stratégie suivie par le FMN pour la mondialisation et
l’=internationalisation de la production.
Critiques de l’ISI par les adeptes de l’ouverture :
a. Promotion des activités industrielles sans rapport avec les avantages
comparatifs potentiels (matières premières et MOD abondantes.
b. Pas d’économie d’échelle
c. Excès de protection
d. Allocation des ressources
e. Hémorragie de devises due à la politique d’industrialisation
Les avantages de la promotion des exportations :

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a) Les producteurs ayant des concurrents au marché international ce qui les


incitera à minimiser les coûts et améliorer la qualité de leurs produits.
b) Les PME maximiseront l’emploi donc la réduction des inégalités dans la
répartition de revenus.
c) Economie d’échelle.
d) Augmentation de la rentrée de devises et attirer l’investissement étranger.
e) La PE diminuant leurs prix au marché interne à cause d’économies d’échelle et
la concurrence.

IV. NPIA
Tels que Corée de Sud, Taïwan, Hongkong et Singapour, ces 4 pays nommés aussi
« 4 dragons ou les tigres » suivent la stratégie des IPE dès les années 1950 et
1960-1970. Ces pays ont connu un développement accéléré et spectaculaire dans
les années 1970, qui s'explique par plusieurs facteurs : la pratique de bas salaires,
la présence de zones franches, l'arrivée massive de capitaux étrangers, la mise en
œuvre de techniques modernes et le dynamisme des populations, notamment
d'origine chinoise Le développement extraverti a été un succès pour les NPIA
qui ont su faire évoluer leur spécialisation en remontant la filière de leurs
exportations: remplacer les exportations traditionnelles par de nouvelles, plus
intensives en capital et à plus forte valeur ajoutée. Durant la crise asiatique 1997,
qui a secoué durement la Thaïlande ou la Malaisie, démontre la fragilité de cette
stratégie.

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