L’état peut se financer soit sans esprit de retour c.à.d. par l’impôt puisqu’on n’attend rien en payant les impôts, ou avec esprit de retour par exemple il y a certain nombre de taxe qui sont liée à une prestation. Les modes de financement publiques : Financement propre : grâce à l’impôt et les taxes. Financement externe : lorsque l’Etat n’a pas une suffisance de ressource propre il utilise : Le financement hors marché : l’Etat va se financier auprès des intermédiaires financier (les banques) grâce à la création monétaire. Financement sur le marché : l’Etat va émettre des bons de trésor. Rôle de l’Etat dans l’économie. En intervenant en économie, l’Etat exerce trois fonctions qui sont : La fonction d’allocation : L’Etat a la charge de produire tous les biens que le secteur privé n’a pas intérêt à produire soit à cause des investissements excessifs et peu rentables qu’ils exigent (cas des infrastructures), soit du fait de la non exclusion à la consommation. Ces biens et services peuvent être soit gratuit ou quasi-gratuit. L’Etat dispose aussi des moyens pour influencer la production du secteur privée grâce à la taxe pour la décourager ou les subventions pour l’encourager. La fonction de stabilisation : Consistes-en la régulation de l’activité économique et au rétablissement des grands équilibres macroéconomiques. Il s’agit de ramener l’économie à son niveau d’équilibre souhaité grâce aux initiatives publiques. (Par politique conjoncturelle ou structurelle). La fonction de redistribution : L’Etat fait une modification sur la répartition primaire afin de restaurer la justice et l’équité sociale en agissant dans l’économie par la fiscalité et les transferts (subventions, prestations sociales, RMI). Classification par type de financements : On distingue deux types de produit de l’Etat : Produit marchande : en peut trouver des E/se qui appartient à l’Etat comme la RAM, ce sont des services payer par l’utilisateur. Production non marchand : Ce type de production est financer par l’impôt ex : éducation, santé... il peut être soit gratuit soit quasi-gratuit. La théorie libérale du 19ème siècle : Adam Smith reconnue a l’Etat 3 fonctions régaliennes : Maintenir l’ordre : à travers la justice est la police l’Etat va appliquer les lois afin de protéger la propriété privée. La défense nationale : grâce à l’armé l’Etat doit protéger la nation contre les autres nations. Se charger des infrastructures : puisque l’investissement dans ces biens est très lord c’est à l’Etat de prendre l’initiative de les produire. Ex : route, ponts… L’Etat donc va prélever des impôts qui sert justement à financer ces fonctions alors le budget de l’état est neutre : il n’a pas un impact direct sur le niveau d’activité économique puisque les impôts justifier les dépenses donc la production ne va pas changer seul la manière de dépense qui va changer. Pour David Ricardo l’impôt comme la dette de l’Etat est juste un prélèvement sur le capital collectif. C.à.d. que tout prélèvement de l’Etat n’est qu’un appauvrissement du capital prive. Pour lui la dette d’aujourd’hui n’est autre chose que les impôts de demain. Le libéralisme des néo-classiques : L’Etat doit faire respecter l’ordre naturelle du marché c.à.d. que l’offre est la demande détermine un prix, un salaire, un taux d’intérêt d’équilibre qui doit orienter les comportements des agents économiques. Pour eux si le marché fonctionne bien l’Etat se limite à la fonction régalienne, alors que s’il y a un dysfonctionnement du marché elle doit intervenir pour rétablir l’équilibre. Type de dysfonctionnement du marché : Le cas ses marche monopole : Pour les néo-classiques quand il y a un monopole surtout naturel dans les investissements sont très lourd et il prend le temps pour devenir rentable, L’Etat va financer une E/se par les capitaux publics pour s’occuper de ce genre de monopole. Les défaillances du marché : Les externalités : Chaque fois qu’il y a une activité créatrice d’effet externe négative il faut que l’Etat intervient pour rétablir la réalité des prix à travers les taxes. (Principe pollueur payeur). Ex : Lorsqu’une entreprise a causé des effets négatifs lors de sa production et que cette dernière n’a pas supporter les prix de ces effet l’Etat doit la taxer enfin de récupérer les dégâts causer. En cas d’externalité positive par exemple si une entreprise 1 a supporté des couts pour former une personne et que cette dernière préférer de travailler pour une autre entreprise 2 l’Etat doit prendre à sa charge ces cout en versants des subventions pour L’E/se 1. Les biens collectifs : Ce sont des biens qui se caractérise par la non exclusivité c.à.d. on ne peut pas les exclure par un prix puisqu’on ne sait pas qui les consomme, et la non rivalité (si quelqu’un l’utilise ça va pas diminuer la capacité d’un autre à l’utiliser). Ces biens sont financer par l’Etat grâce à l’impôt. Un bien commun c’est un bien qui une seule caractéristique de ces deux derniers. L’asymétrie de l’information : C’est la situation ou deux agents, dans le cadre d’un échange, dispose d’une inégalité d’informations donc les prix ne vont pas être réel alors il y aura des comportements irrationnels. Dans ce cas l’Etat doit intervenir pour corriger cette asymétrie d’information soit par des règlementation et taxations ou à travers les dépense par exemple réduire les subventions. L’interventionnisme économique des keynésiens : Pour Keynes l’Etat doit intervenir en cas de sous-emploi et de crises Elle doit agir sur les composant de la demande effective c.à.d. la demande globale qui se compose de la consommation et l’investissement, par l’intermédiaire du budget de l’Etat (impôts, dépense, dettes). Keynes préconise une intervention par la dette pour éviter de réduire la consommation qui résulte de l’intervention financer par les impôts. L’Etat peut augmenter la consommation soit par la baisse des impôts ou en versant des revenus de transfert (allocation, retrait). Ou Agir sur l’investissement par l’investissement publique ou grâce à l’intermédiaire du politique monétaire en baissant le taux d’intérêt pour encourager l’investissement privé. L’interventionnisme de l’Etat selon les néo-libéraux : Pour ce courant l’Etat est responsable de la crise D’après (l’Affer et Gilder) la redistribution à décourager l’épargne et l’investissement car quand l’état va prélever des impôts et des cotisations de revenu des salaries et fait des dépenses de transfert (subvention, allocation de chômage ou familiale). Elle va encourager les gens les plus pauvre à consommer ces gens ayant une proportion à consommer élevée il n’épargne pas donc l’Etat va décourager en place les gens qui en une proportion a épargne forte provoquant aussi une diminution de l’investissement privée. L’impôts tue l’impôt D’après la courbe de l’AFFER Si les impôts ne cessent d’augmenter ils vont atteindre un niveau qui va encourager des comportements se traduit par une baisse de recette fiscale tel que la fraude fiscale, le travaille dans des secteur informelle travail au noir et ainsi découragement d’effort au travail… L’Etat est responsable de chômage : Selon Hayek l’interventionnisme étatique sur le marché de travail explique le chômage : quand l’Etat fixe un salaire minimum elle va bloquer la flexibilité de marche et empêché les entreprises à recruter les jeunes, les moins expérimenter et les vieux aggravant ainsi le chômage. Si l’Etat laisse le prix de travail se fixe d’une manière libre chacun va obtenir un salaire selon ces compétences. Pour Friedman les allocations de chômage vont déresponsabiliser les gens car si l’Etat continuer a les donner ces allocation les gens vont préfère de rester à la maison et ne travaille pas. Aussi le déficit budgétaire financer par la création monétaire va causer de l’inflation si l’Etat veut se financer il doit s’adresser au marché monétaire comme n’importe qu’elle entreprise. Pour Barro la politique budgétaire est inefficace parce que l’accroissement de la dette n’est autre chose qu’une augmentation des impôts futur ça entraine un effet d’éviction de la dépense privée, la dépense de l’Etat va écarter la dépense privée car plus d’impôt va diminuer la consommation et par la suite l’investissement privée. La loi de finance : Les lois de finance restrictive Ils sont un caractère exceptionnel car ils interviennent au cour de l’année pour modifier les prévisions de la loi de finance annuel. Loi de règlement : Il constat les résultats financiers de chaque année et approuve les différences entre les résultats financier de l’année et les prévisions de la loi de finance annuelle, il permet d’évaluer la politique publique. Les règles d’élaboration du budget : Principe de l’annualité : Les budgets de l’Etat son basé sur l’année. Exception : les budget programmes c.à.d. certain projet de l’Etat se réalise sur plusieurs années, Dans ce cas l’Etat va prévu pour chaque année le crédit nécessaire qui va être voté par le parlement pour ces projets. Principe de l’unité : Toute les recettes et les dépense de l’Etat sont regroupé dans un document unique et ceci pour plus de clarté et d’ordre. Principe de l’universalité : On ne peut pas compenser les recettes et les dépenses. Principe de la non-affectation des ressources : Il est interdit au gouvernement de dire que tel recette va servir à payer tel dépense (par ex que 50% du tva va servir à construire une route). Le principe de la spécialité du crédit : Les crédits autoriser pour financer une dépense ne peut être utiliser que pour cette dépense si cette dernière n’a pas être lieu le crédit est perdu. Présentation du budget général de l’Etat : les ressources du budget général de l’Etat : o Les recettes fiscales : impôts et taxes. o Recettes non fiscales : ce sont les revenus ordinaires dont l’Etat et propriétaire on trouve : revenu du monopole, Revenu du domaine, revenu de la propriété. o Recettes de la privatisation : (l’Etat vend ses entreprises.) Les dépenses de l’Etat (les charges) : o les achats de biens et services ex : la masse salariale (presque 30% du budget). o les charges de transferts : l’Etat subventionne certains produits grâce au financement de la caisse de compensation. o Les intérêts de la dette : l’Etat s’endette car ces recettes sont limitées. Ces dettes doivent être remboursées avec un taux d’intérêt. o Les investissements : l’Etat fait des dépenses d’équipement. Les comptes spécieux de trésor : Ils sont basés sur le principe de l’affectation c.à.d. on va prévoir les ressources qui vont servir à financer certaines dépenses. 1- Comptes d’affectation social : Ce sont des comptes qui font partie des opérations à caractère définitif car les dépenses enregistres ne reviendront plus dans les caisses de l’état. Ex Le fond de promotion des routes rural. 2-Le compte d’adhésion au organismes internationaux : C’est un compte qui enregistre les dépenses et les cotisations du Maroc a certaine organisation internationale tel que la banque mondiale. 3-Compte d’investissement : Dans ce compte sont enregistrer les éventuelles participations de l’état dans diverses sociétés. Ex la participation de l’Etat dans la création d’e/se. 4-Le compte de prêts : Dans ce compte sont regroupé les prêts accordés par l’état a certains e/ses. 5-Les comptes d’avance : Ce sont les avances au municipalité et collectivité local il correspond au versement anticiper des impôts locaux. 6-Les comptes de la dépense sur dotation : Ex : le fond pour développement régional, le fond de ristourne d’intérêt au profil des marocain résident a l’étranger. L’utilité des comptes spécieux du trésor : 1- Individualiser certaines opérations afin d’apprécier leur rentabilité. 2- Echapper à la lourdeur des règles traditionnel du budget 3- Ces comptes facilitent la mise en œuvre d’action sélectif ayants des effets directs sur l’économie. Les principaux soldes budgétaires : Les recettes ordinaires : (garantis par la loi) ➢ Les recettes fiscales : o Impôts sur le revenu (impôts direct) o Impôts sur la dépense : TVA (impôts indirect) o Droit d’enregistrement et de timbre o Droit de douane. ➢ Les recettes non fiscales : o Monopole o Domaine o Privatisation Les dépenses totales : ➢ Dépenses ordinaires : o Achat de biens et services (dépenses de personnel, autre B&S) o Intérêt de la dette ➢ Investissement : ➢ Dépenses d’équipement Le solde ordinaire : Les Recettes ordinaires – les dépenses ordinaires. Le solde budgétaire : Les recettes ordinaires + les soldes nets des comptes spécieux de trésor – les dépenses totales = si : (-) déficit budgétaire, si (+) excédent budgétaire. Soldes primaires : Solde budgétaire sans les intérêts de la dette. Le besoin de financement : (combien de dettes le pays a besoin) Le solde budgétaires – arriéré du payement. Les dépenses publiques Ce sont des dépenses réaliser par des collectives publiques. Elles sont financées par les recettes publiques (impôts, taxes, et cotisations sociales et par l’emprunt public. Classification des dépense publiques : Par nature : ▪ Dépenses d’investissement. ▪ Dépenses financiers (remboursement des intérêts de la dette). ▪ Charges de biens et services et autre charge d’exploitation. ▪ Dépenses extraordinaire. ▪ Charges de personnel (salaries, fonctionnaire). ▪ Charges de transfert(subvention). Par fonction : ▪ Finances et impôts ▪ Sante ▪ Economie politique ▪ Garde et sécurité ▪ Formation ▪ Trafic et télécommunication Explication des dépenses publique La loi de Wagner explique la croissance des dépenses publiques dans le PIB par l’augmentation de niveau de vie. Ainsi plus la société se civilise Plus l'état est dispendieux soit en infrastructures publiques ou en augmentant la production des biens dits supérieurs comme les loisirs la culture l'éducation la santé… Musgrave et rostow : Les dépenses publiques agis sur le PIB à travers les investissement publics en 3 stade : ➢ 1er stade de développe : investissements publics concernant l'infrastructure de base Routes, ports, électricité… ➢ 2ème stade : investissements publics liés à l'urbanisation ➢ 3ème stade : investissement en faveur du capital humain : santé, éducation… puisque le capital humain est créateur des effets positive sur l’économie. Baumol : L’élasticité sur prix de la demande de biens publics < 1. L’élasticité sur revenus de la demande de biens publics > 1. Donc l'augmentation du prix relatif des biens publics due a une faible croissance de la productivité du secteur public ne se traduit pas par une baisse de la demande. Rodrik - Plus une économie est ouverte plus la taille du secteur public sera grande - Ouverture économique génère des gagnants et des perdants et l'état doit compenser les perdants Approche keynésiens : Pour les keynésiens l’Etat doit intervenir en période de sous-emploi en augmentant le niveau d’investissement publique cela va augmenter le niveau de la demande globale ceci stimule la production et l’emploi. Définition de l’impôts C’est un prélèvement obligatoire effectue par voie d’autorité par une administration publique sur les ressources des personnes vivant sur son territoire ou possédant des intérêts pour être affecter aux services généraux en vue de la couverture des charges publiques. Les fonctions de l’impôts Financer les activités de l’état : Essentiellement financer les services de l’intérêt général. Les biens publics se caractérise par la non rivalité et la non exclusivité on ne peut pas individualiser sa consommation donc on ne peut pas le fixer un prix alors il faut les financer grâce à l’impôts payer par chacun en fonction de ces moyens. Compenser les externalités L’état va imposer des taxes sur Les biens qui en causer des effets négatifs pour quelle puise compenser les effets causer par ces bien ex : taxe sur co2. Pour les externaliser positive sur l’économie ex : les e/ses support des couts pour former des jeunes donc l’état va leur verser des subventions ou des déductions sociales pour compenser ces couts. Financement du biens publiques pur : Ces biens se caractérise par la non rivalité et la non exclusivité ils sont gratuit et financer par tout le monde grâce à l’impôt. Réguler l’activité économique : L’impôts est un moyen de stabilisation économique a court terme : L’état peut augmenter les impôts pour lutter contre l’inflation ou baisser les impôts sur la consommation et l’investissement pour lutter contre la crise et la récession. Un stabilisateur automatique en période de crises : L’Etat ne fais rien l’impôts est une ressource de la conjoncture économique, En période de prospérité les entreprises dégagées bénéfice important donc plus d’impôts. En cas de crise les impôts vont baisser avec la baisse de la consommation est du bénéfice des entreprises provoquant un déficit budgétaire puisque l’état va garder les mêmes dépenses ou bien les augmenter si l’état s’endette il va maintenir un certain niveau d’activité économique. L’impôt joue un rôle de communication politique pour acquérir ou conserver des soutiens de tels ou tels groupes d’électeur. Classification des impôts : Sous l’angle administratif : impôts fédéral, impôts d’Etat, impôts des collective locales, cotisation sociale. Sous l’angle économique : il y a l’élément taxé c.a.d. la basse sur lequel on a prélève l’impôt (revenu, dépense, fortune…). Sous l’angle de la technique de taxation : impôts réel (portant sur un bien réel) et personnel (chaque personne va payer en fonction de sa capacité contributive) impôt direct et indirect Classification selon La Progressivité fiscale : ➢ -impôts est proportionnel : un seul taux d’imposition pour tout le monde ➢ -impôts progressif : le taux d’imposition différent en fonction du revenu de chaque personne plus vous gagner plus vous payer. ➢ -l’impôts dégressif : jusqu’à un niveau de revenu l’impôts est progressif au-delà de se niveau le taux d’imposition a tendance a baisser. Les principes du politique fiscale : (les doctrines fiscale) L’équité fiscale : chacun va payer selon ses capacités. Il y a l’équité verticale (entre les catégorie social) qui a plus va payer plus et l’équité horizontale : les agents vont payer l’impôts selon leur condition social. VS le principe de pollueur payeur quelqu’un qui bénéfice d’un bien va le payer. La neutralité fiscale : c.à.d. que l’impôt ne doit pas influencer les comportements des acteurs économiques. Mais il y a certain taxes et impôts dont le but est de changer certain comportement tel que la taxe co2 qui vise à pénaliser le pollueur. Le consentement a l’impôts : pour que les agents accepte de payer l’impôts en utilise soit le principe d’impôts prix c.à.d. qu’on paye pour bénéficier d’un service, soit l’impôts solidarité : en paye d’impôts pour aider les gens qui n’en pas la capacité de faire face au besoin vitaux. Les impôts vus par les économistes : ➢ Pour les économistes de l’offre l’impôts détruit l’activité économique car il peut conduire à des comportement non optimaux (évasion fiscale, fraude, marché noir). ➢ Pour Romer une augmentation d’impôts surtout IS entrain une baisse de l’autofinancement et donc baisse de l’investissement et par la suite baisse du Pib. Critique de théorie de Romer : les recettes fiscales dépend aussi de la conjoncture économique, l’impôts peut servir à financer le capital humain et donc génère la croissance sur le long terme. *l’impôt entraine une croissance économique s’il sert à financer les projets gérer par une administration efficace. L’endettement publiques : Il Ya deux type de dettes : le déficit budgétaire qui est le flux La dette publique qui est le stock (somme des déficit accumulés) Les caractéristiques de la dette marocain : Selon le Bailleur de fond : (celui qui offre le financement) : essentiellement les institutions internationales qui accompagne le développement du pays comme la banque mondial, 55%. Dettes bilatéral (prêt auprès des pays amis) 43%. Selon emprunteur : celui qui emprunte le plus est le trésor publiques, établissements publics, banque. Par type de taux d’intérêt : soit fixe ou variable Les ratios de la dette : Déficit budgétaire/PIB*100 ; endettement/Pib*100 Règle d’or = taux d’intérêt = taux de croissance Justification de la dette ✓ La dette finance les excédents des dépenses publique par rapport au recettes ordinaire de l’état. ✓ La dépense publique entraine une augmentation de la production (multiplicateur d’investissement) ✓ La dette implique mois de prélèvement sur les ressources des agents économiques. ✓ La dette permet a l’état de mobiliser une partie de l’épargne pour l’investissement publique. Critiques : ➢ La dette privée et basé sur un calcule économique et analyse de risque qu’o ne trouve pas dans la dette publique. ➢ L’effet d’éviction est permanant et inévitable du fait des équivalences ricardienne (que l’agent privé apporte des moyens à l’état par l’impôt ou par l’emprunt, ce qui fournit à l’état n’est pas dépense par lui) ou néo-ricardienne (toute augmentation présente de la dette d’état implique une augmentation équivalente dans le futur des impôts pour rembourser la dette avec les intérêts. Si les agents font des anticipations rationnelles, alors ils anticipent cela et toute les somme supplémentaires issues de la mesure budgétaires sont Épargnées, en prévision de l’augmentation future des impôts.)