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c .
NOTE : Avec cette méthode, dont chacun s'en fera sa propre expérience, les valeurs électriques
obtenues par les formules sont "à priori" justes. Les échauffements étant principalement liés aux
dimensions du produit ainsi que son environnement et ses conditions d'exploitation et de dissipations,
ne seront pas directement traitées, il conviendra donc "dans le pire cas" les
résultats du calcul ou des formules ou du principe de ce didacticiel.
CONVENTIONS : Les noms et les sens des grandeurs sont celles définies sur le schéma de principe
disponible sur http://www.transfomaniac.com/ , rubrique " principes "
Les grandeurs électriques et physiques sont celles définies sur http://www.transfomaniac.com/ ,
rubrique " principes " , sauf cas particuliers . Les valeurs de calculs sont définies pour un régime de
fonctionnement en mode continu .
1.? þ
: Us , Usec , F , T , Ton , et les valeurs d'entrée .
2.? þ
m? j!j : le rapport de transformation vérifie à tout instant ( en mode continu )
"#$ [ è = Ue * Ns / Np * delta ] sur laquelle on prendra soin de "rajouter"
les chutes de tension diverses tel que diodes , interrupteurs , ainsi que pour les petites
puissances les chutes dans les composants bobinés ainsi que les chutes dans le
transformateur lui même !!.
m? : est à considérer :
? Le delta max : la valeur de rapport cyclique "possible" --> cette valeur est à
prendre en compte pour la vérification du calcul du transformateur.
? Le delta min : la valeur de rapport cyclique minimale "possible" cette valeur
est à prendre en compte pour réaliser le calcul d'un transformateur
garantissant un montage "stable" dans certains cas , principalement dans le
cas d'alimentation dont la tension de sortie est variable dans de grandes
proportions.
? delta : la valeur dite "de travail" soi t la valeur à laquelle les paramètres du
transformateur sont "typiques" .Il est à noter que cette valeur est souvent une
plage dynamique ( cas de régulation classique ) . .....
? Attention !! la définition du rapport de cyclique de travail n'est pas à
considérer simplement pour ses valeurs limites de rapport de transformation
et/ou de rapport tension d'entrée et de sortie , en effet:
? Il joue aussi sur les dimensionnement des composants actifs (
redresseurs ) par exemple un rapport cyclique plus petit :
? Demandera l'utilisation de redresseurs de tension plus
élevée.
? Un "surdimensionnement" du redresseur de roue libre
secondaire.
? Dans certains cas il peut aussi permettre de réduire le prix
de l'inductance de lissage.
? Limite les perturbations électromagnétiques dues au
commutations entre interrupteur primaire et redresseur de
roue libre primaire .
? oermet aussi dans de nombreux cas d'accélérer les vitesses
de régulations ou de rétablissement de la tension de sortie
lors de variations de charge ou des variation importantes
de la tension d'alimentation.
? oermet de déplacer le passage en mode continu/discontinu
pour l'inductance de sortie de ce fait d'améliorer la plage
de stabilité de l'alimentation
? Avec un peu d'expérience et de réflexions ou d'essais , on définira
les grandeurs à utiliser pour chacune applications .
? ATTENTION un rapport cyclique petit augmente "à priori" les
valeurs de courant efficaces dans l'ensemble du montage et de ce
fait joue sur la valeur de l'ondulation de sortie et sur la durée de
vie des condensateurs de puissance primaire et secondaire du
circuit c'est à dire sur le rendement global de l'alimentation !!
? Dans le cadre de ce didacticiel , il est convenu que le rapport cyclique maxi
ne dépasse pas 50%. Le cadre étant celui de la réalisation d'un
transformateur pour une alimentation "basique" sans caractéristique
particulières.
m? Ë
%
? soit la valeur la moins "risquée" :
? Dans ce cas , par les formules théoriques ainsi que la formule [1] on obtient
:Usec >= 2 Us et le rapport de transformation du transformateur minimum
est donné pour Uemin avec Np/Ns > Uemin/Usec .
c
Le dimensionnement du transformateur est défini de manière à obtenir un fonctionnement fiable en
fonction des critères qui lui sont confiés soit :
0
c
0
1
/
3
4
/
formule [3] Np/Ns = Uedcmin / Usdcmax * Delta Max min avec :
u? è la tension continue minimale d'alimentation du pont réduite éventuellement de :
m? L'ondulation maximale au niveau du condensateur du pont.
m? De la chute dans les semi-conducteurs primaires.
m? De la chute dans le primaire du transformateur.
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u? è la tension continue maximale que doit fournir l'alimentation augmentée
éventuellement de :
m? De la chute dans les semi-conducteurs secondaires
m? De la chute dans les conducteurs électriques dans le cas d'alimentations de très faible
tension de sortie et de fort courant
m? La chute de tension due a la résistance électrique de l'inductance de sortie
m? La chute de tension due a la résistance électrique du secondaire du transformateur lui
même.
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u? c0 une estimation du minima du rapport cyclique maximum disponible au
secondaire du transformateur c'est à dire le minima du "Duty max" fourni par le circuit pilote (
oWM) ou du montage équivalent réduit éventuellement de :
m? Des écarts des temps de commutations et des délais de réactions des semi -
conducteurs de puissance.
m? Du "dérating" du minima de ce "Duty Max" en fonction de la fréquence et de la
température.
m? Du temps de montée du courant dans de transformateur dû a la présence de
l'inductance "primaire".
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u? Dans cet exemple , le rapport de transformation minimum du transformateur pour garantir la
tension de sortie est de :
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u? Ä
m? Suivre les préconisations des divers constructeurs de circuit magnétiques
m? Définir sur les réseaux de courbes appropriés un niveau d'induction adapté à
l'application selon la géométrie du transformateur et la méthode de dissipation
soit plus principalement :
? Les courbes de pertes en fonction de l'induction et de la fréquence.
? Les courbes de variations de pertes en fonction de la température.
m? Attention car certains réseaux de courbes sont exprimés en B crête , d'autres en B (
rms ...) donc en régime sinusoïdal , il convient donc d'en corriger éventuellement les
valeurs ainsi obtenues.
m? Il convient aussi de s'assurer de la "bande passante" du matériau sélectionné ou de
pendre une marge conséquente dans le cas ou il est un "peu limite" par rapport aux
spécifications constructeur afin d'éviter des échauffements supplémentaires dus par
exemple a des fonctionnements particuliers
? Rapport cycliques faibles ou forts ( < 0.25 ou > 0.75 ).
? Température ambiante élevée.
? oroximité ce composants constituants ayant des pertes importantes.
? Confinement du transformateur .
? "Silence" CEM.
? Bruit acoustique pour les fréquences de fonctionnement audibles.
u? Définition du point de travail en induction du transformateur :
m? Des valeurs de pertes a chaud de # !' garantissent un niveau d'échauffement
relativement réduit en l'absence de moyen de dissipation spécifique et pratiquement
quel que soit la dimension du transformateur .Il convient de définir selon les réseaux
de courbes constructeurs le niveau d'induction approprié.Tenir néanmoins compte
des corrections suivantes :
? Transformateur travaillant avec un rapport cyclique faible : attention de ne
pas dépasser l'induction crête lors des transitoires ( démarrage ou appels de
charge ) , dans ce cas s'assurer que pendant ce régime de fonctionnement le
Bmax n'est pas atteint.
? Transformateur Torique travaillant à des fréquences faibles : de manière a
ne pas créer de déséquilibre du au peu de polarisation continue résiduelle en
cas d'utilisation à forts niveaux d'induction ( > 80 % de Bsat ) , il faudra soit
réduire l'induction de travail de manière à réduire le courant magnétisant ,
soit "couper" le tore ( léger entrefer ).
?
5j
hj à la courbe de Bsat en fonction de la température !! En effet
pour les matériaux type ferrite , l'induction de saturation réduit fortement en
fonction de la température , il convient de vérifier qu'il ne sera pas atteint la
saturation du matériaux pour :
? Les transformateurs travaillant en température ambiante forte ( Ta
45°C et plus ).
? Les transformateurs travaillant en ambiance chaude ou ayant peu
de pouvoir de dissipation ( transformateur de petite taille ( < 1 à 2
cm ) et "noyés" dans un environnement "semi-conducteurs".
? Les transformateurs moulés.
? Les transformateurs "poussés" et ayant un fort échauffement.
m? A priori , un positionnement de l'induction de travail < 25% de Bsat garanti un
fonctionnement correct du transformateur , néanmoins ce calcul est pénalisant côté
dimensions et prix pour les fréquences faibles ( < 33 kHz ).
u? 5
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? Matériaux "haute température" dont la courbe de pertes en fonction de la
température est optimale entre 120 et 150 °C :
? oertes du type : 300 mW/cm³ @ 100 kHz et 200 mT pour 130 °C
permet la réalisation de transformateurs à haute densité de courant.
? oertes du type : 300 mW/cm³ @ 500 kHz et 50 mT pour 130 °C
permet la réalisation de transformateurs réduits en tailles dans le
cas de tension de sorties basses ( 3,3 / 5 / 8 V .. ) grâce à un
secondaire de 1 spire , le surcoût du transformateur est largement
compensé par une réduction des autres composants magnétiques
associés ( inductance de sortie , cellules de filtrage ... ).
? Matériaux "haute fréquences" :
? oertes du type : 50 mW/cm³ @ 350 kHz et 50 mT permet la
réalisation de "petits" transformateurs pour des alimentations
compactes à fort rendement ou à faible échauffement général .
? oertes du type : 900 mW/cm³ @ 500 kHz et 125 mT permet la
réalisation de "très petits" transformateurs pour des alimentations
de petite puissance et dont le circuit magnétique est "petit" (moins
de 0.5 cm³) et dont la dissipation est assurée par "contact" , ou des
transformateurs de petite taille fonctionnant en régime intermittent.
u? c 6 6
m? Celui ci est est défini en fonction de l'échauffement acceptable lors du
fonctionnement :soit la somme des pertes cuivre et fer doivent pouvoir être
"évacuées" par la résistance thermique du transformateur.Les valeurs de résistance
thermiques de base sont habituellement fournies par les constructeurs.Il convient
d'effectuer par approches successives diverses étapes de calcul entre pertes fer /
nombre de spires / pertes cuivre et température estimée, ou le respect des grandeurs
de pertes volumiques fer et cuivre habituelles ou courantes .
? ùrâce à la formule [2] { B= Vp * ton / N /Ae /2 }, il est donc possible de
calcules le nombre de spires primaire.
? ùrâce à la formule [3] { Np/Ns = Uedcmin / Usdcmax * Delta Max min } il
est possible de calcules le nombre de spires secondaire.
? ùrâce aux grandeurs mécaniques de bobinage du transformateur , il est
possible d'en estimer le remplissage et la sections des conducteurs , la
résistance électriques des bobinages et ainsi les pertes cuivre.
? Les pertes fer sont estimées selon les abaques ou formules des constructeurs.
? L'échauffement grâce a la résistance thermique fournie par le constructeur.
?
5j
hj
? A tenir compte des courbes de variation de pertes fer en fonction de
la température , il faut en effet vérifier après le calcul
d'échauffements que la température estimée obtenue ne cause pas
de variations importantes de pertes fer.
? Tenir compte de la variation de résistance électrique du cuivre en
fonction de la température , il faut vérifier le calcul "à chaud" du
transformateur.
? Vérifier par la formule [2] que l'induction de saturation n'est jamais
dépassée à chaud c'est à dite pour la température estimée du
transformateur à la température ambiante la plus élevée et pour le
rapport cyclique maxi qui peut être appliqué au transformateur
et pour la tension d'entrée maxi qui peut aussi lui être appliqué.
m? Une approche plus rapide peut être réaliser pour de nombreux cas en utilisant la
formule suivante :
? 7 8 73 !9!!:! , avec :
? osortie : la puissance de sortie de l'alimentation Forward + les
pertes .
? B : l'induction de travail comme définie par la formule [2] .Cette
valeur est à définir selon le point de fonctionnement en W/cm³ sur
les courbes constructeurs.
? F : la fréquence de travail en MHz.
? d : la densité de courant en A/mm² .Cette valeur est à dé finir selon
le niveau de pertes volumiques en W/cm³ dans les conducteurs.
? k : le coefficient de remplissage de la fenêtre de bobinage.Attention
ce coefficient dépends de la nature du fil et de la nature des
isolations , il faut de plus lui "soustraire" le s éventuelles lignes de
fuites , épaisseurs d"émaillages , etc. etc.Il réduit fortement si le
transformateur est "petit".
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? W * Aemin : c'est le produit surface de la fenêtre bobinable W ( en
cm² ) par la section minimale du circuit magnétique Aemin ( en
cm² ).
? Il suffit ensuite de sélectionner un transformateur dont le produit W
* Aemin est juste supérieur à la valeur recherchée et ensuite :
? Calculer grâce à la formule [1] le nombre de spires
primaires.
? Calculer grâce à la formule [2] le nombre de spires
secondaires.
? Arrondir a l'unité supérieure ou inférieure le nombre de
spires secondaires ( ou à la 1/2 spire supérieure ou
inférieure selon la nature du transformateur s'il est
possible de réaliser des demi-spires ).
? Recalculer le nombre de spires primaires pour respecter le
rapport de transformation.
? Arrondir à l'unité inférieure le nombre de spires primaires
recalculé.
? Et re réaliser un plan de remplissage du transformateur
ainsi obtenu de manière a définir de diamètre des
conducteurs et la structure des isolants.
? Astuce : il est toujours plus judicieux de
"remplir" les couches , c'est à dire que la
longueur bobinée soit égale à la longueur
bobinable mini , ceci permet une meilleure
tenues des spires et donc plus de fiabilité pour le
transformateur.
? Il convient par calcul de vérifier soit le respect
des densités de courant initialement prévues ou
que les pertes globales soient conformes au
règles précédentes .
? Il est possible de séparer les bobinages de
manière à réaliser des couplages séries ou
parallèles sans risques de déséquilibre , dans
certains cas , il est possible de sandwicher
certains bobinages pour en réduire l'inductance
de fuite pour réduite certaines surtensions
engendrées.
? Il est aussi possible d'augmenter les épaisseurs
d'isolants pour réduire la capacité parasite pour
réduite les courants oscillants lors des
commutations.
? Il convient de "diviser" le fil selon les formules
appropriées pour réduire les pertes par "effet de
peau" dans les conducteurs , ou d'en tenir compte
dans le calcul des pertes.
m? 5
Alimentation Forward , de 750W avec bus Dc de 400V et sortie
de 48V, en version classique :
? Fréquence : F = 100 kHz
? Induction : B = 70 mT ( 200 mW/cm³)
? Densité de courant : d = 4 A/mm² ( 280 mW/cm³ )
? Coefficient de remplissage : k = 0,3 ( valeur typique ETD avec isolation )
? Utilisation de la formule W * Aemin > 0.7* osortie / k / d / B / F :
? W * Aemin > 0.7 * 750 / 0.36 / 4 / 0.1 / 0.1 ===> W * Aemin >
36500 .
? Sélection d'un circuit magnétique :
? ETD 39 --> W * Aemin = 22100
? ETD 44 --> W * Aemin = 36800
? ETD 49 --> W * Aemin = 57000
? Si le transformateur est dans une ambiance saine , le choix se portera sur un
ETD 44 , si par contre est est dans une ambiance confinée , le choix sera
ETD 49.
? Calcul du nombre de spires primaire par la formule [2] B= Vp * ton / N /Ae
/2 :
? Np = Vp * ton / B / Ae / 2 pour un calcul rapide : 400 * 0.000 005 /
0.1 / 172 E-6 / 2 = 58 spires primaires pour un ETD 44.
? Calcul du nombre de spires secondaire par la formule [3] Np/Ns = Uedcmin
/ Usdcmax * Delta Max min
? En négligeant les pertes et avec Delta = 50 % ( 0.5 ) ==> Np/Ns =
400 / 48 * 0.5 soit Np/Ns = 4.166
? Ns = Np / 4.16666666 soit Ns = 13.92 spires théoriques , soit 14
spires réelles.
? Cette valeur étant proche de la valeur théorique et ayant négligée
les chutes de tension nous conserverons pour la suite ces valeurs.
? 1 ) le transformateur comporte une isolation normative de 4 mm
de lignes de fuites uniquement placées au secondaire :
? Calcul du primaire :
? Largeur bobinable = 29.5 mm , si le bobinage est réalisé
sur 2 couches , un fil de 0.95 mm de diamètre peut être
utilisé a niveau de 29 spires par couches.On obtient donc
deux couches pleines.
? Vérification de la densité de courant primaire :
? Courant primaire = 2.7 A rms ( formules
habituelles )
? Section du fil de 0.95 = 0.71 mm² ( formules
habituelles )
? Densité = 2.7 / 0.71 = 3.5 A/mm² , cette valeur
est inférieure au 4 A/mm² prévue initialement
pour le calcul donc ne remets pas en question la
validité de la formule initiale.
? Hauteur du bobinage : 2 couches de fil de 1 mm sur émail
soit 2 mm.
? Calcul du secondaire :
? Largeur bobinable = 29.5 mm - 2* 4 mm ( lignes de fuite
) , soit 21.5 mm disponibles.Le bobinage pourrait être
réalisé en bande de 20 mm de largeur.oour obtenir une
densité de 4A/mm² une épaisseur de bande de 0.15 mm est
à utiliser :
? Courant secondaire = 11.25 A rms ( formules
habituelles )
? section du conducteur : 11.25 A/ 4 (A/mm²)
=2.8mm²
? épaisseur de bande = 2.8 mm² / 20 mm = 0.14
mm ===> sélectionné une bande de 0.15 mm
? Hauteur du bobinage :
? 14 spires soit 15 tours de bande de 0.15 mm
d'épaisseur couplé avec un isolant de 0.1 mm soit
: 15 * ( 0.15 + 0.1 ) = 3.8 mm
? Hauteur globale des 2 bobinages : 3.8 mm + 2 mm = 5.8 mm
? Ajout des isolants normatifs entre primaire et secondaires etc
etc...... la hauteur bobinable pour un ETD 44 étant de 8.2 mm , le
transformateur est réalisable selon ce calcul
? Attention , il convient de vérifier après le calcul du nombre de spires
primaire le "temps de montée" et de descente du transformateur et d'en
corriger éventuellement le rapport de transformation avant de calculer le
nombre de spires du secondaire.
Ë
u?
: ne pas dépasser les températures maximales des composants constituants , ni
les valeurs normatives de construction ou de déclaration normatives si existantes , penser aussi
à la proximité d'autres composants souffrant de la chaleur ( condensateurs , circuits de
régulations , etc ... )
u? 3 : dans ce cas , le transformateur est sans doute trop "grasse" et de ce fait peut
être optimisée de plusieurs manières :
m? réduction de la section de cuivre.
m? réduction des dimensions du circuit magnétique.
m? modification de la nature du circuit magnétique par utilisation d'une qualité plus
économique.