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SOMMAIRE N° 38
(suite de la page 1)
surgir la suppression de l'obligation de contracter. Si nous vivons une période difficile par le manque
La liberté pourrait être donnée aux patients de se de visibilité à long terme en raison des mutations
faire hospitaliser sans discrimination de rembour- importantes à venir, nous vivons une période pas-
sement sur tout le territoire national pour une hos- sionnante. Il est, en effet, particulièrement moti-
pitalisation dans un hôpital public. Une première vant de relever le défi d'adapter notre fabuleux
expérience menée actuellement vise à rembourser outil de travail à notre nouvel environnement dont
des patients de la région de Bâle hospitalisés à il est encore peu aisé de décrypter tous les élé-
l'étranger. On pourrait multiplier les exemples. ments futurs. Avec l'esprit qui anime le conseil
d'administration, la qualité des prestations offertes
Face à ces bouleversements, la Clinique Générale- dans tous les domaines et la conscience profes-
Beaulieu doit impérativement entretenir sa dyna- sionnelle de nos collaborateurs, la confiance est de
mique de changement et être en constant mouve- mise, car tous les ingrédients de la réussite sont
ment. Sa capacité d'adaptation proactive est la clé réunis.
du succès. Une des missions de la direction, sous
l'impulsion du conseil d'administration, est préci- PHILIPPE CASSEGRAIN
sément d'accompagner le changement au sein de
l'établissement. Le moins que l'on puisse dire est
que la Clinique Générale-Beaulieu ne se nourrit pas
seulement d'intentions, mais aussi d'actes, preuve
en est les changements et les adaptations impor-
tantes qu'elle initie depuis plusieurs années.
PORTRAIT-EXPRESS
Luc Schenker est né en 1948. Après des
études d’économie politique à l’Université de
Les DRG: Neuchâtel, il a complété sa formation en éco-
nomie de la santé, à l’Université de Yale. Il a
plus nécessaires que «magiques» occupé les fonctions d’économiste au
Département des affaires sociales du canton
de Vaud, puis a pris la responsabilité du finan-
cement des établissements sanitaires au
Service de la santé publique de ce même can-
ton et, enfin, est devenu directeur des finances
Monsieur Luc Schenker, les hôpitaux publics et au CHUV. Sur le plan académique, il a codirigé
d’intérêt public vaudois ont été les premiers en l’étude suisse sur les DRG entre 1985 et 1990
Suisse à introduire le financement et la factura- et, actuellement, est chargé de cours à
tion par APDRG en 2002. Vous avez été l’Institut d’Economie et Management de la
l’initiateur de cette réforme, quel bilan en tirez- Santé de l’Université de Lausanne dans le
vous?
rer les hôpitaux entre eux avec une certaine QUELLE EXTENSION AUX CLINIQUES
transparence. En revanche, les barrières canto- PRIVÉES?
nales actuelles ou les planifications cantonales
limitant la marge de manœuvre des hôpitaux Les DRG constituent-ils une réponse spécifique
sont autant d’obstacles à la mise en concurren- aux établissements publics ou vont-ils se géné-
ce des hôpitaux que les DRG en tant que tels raliser à l’ensemble des hôpitaux, privés inclus?
ne pourront pas lever.»
«La généralisation des DRG aux cliniques pri-
UNE CULTURE ENCORE NEUVE vées dépend de leur place dans la planification
des établissements sanitaires en fonction de
Les décideurs politiques suisses ainsi que les décisions qui seront prises dans le cadre de la
acteurs participant à la réflexion sur le finance- révision de la LAMal. Pour simplifier, si les cli-
ment des coûts hospitaliers en Suisse ont-ils, niques privées sont sur une liste LAMal et peu-
aujourd’hui, selon vous, pris la pleine mesure vent de ce fait être financées par l’assurance
des DRG comme instrument de planification et obligatoire des soins, les séjours devront être
de gestion? facturés en DRG. Dans le cas contraire, si les
séjours facturés ne concernent que l’assurance
«Pendant longtemps, ces décideurs ont été complémentaire, un système de facturation à
très sceptiques à l’égard des DRG en Suisse, l’acte pourrait subsister. Toutefois, la question
malgré les études réalisées en Suisse et les des factures médicales dans les cliniques pri-
expériences faites dans d’autres pays. Il a fallu vées demeure. Aujourd’hui, le médecin facture
que l’Allemagne se décide pour que nos com- séparément de la clinique. Est-ce que demain
patriotes, d’Outre-Sarine en particulier, chan- ce système pourra continuer comme c’est le
gent de point de vue et se mettent à militer acti- cas aujourd’hui en Allemagne avec les méde-
vement pour l’introduction des DRG. La culture cins agréés ou est-ce que les médecins seront
en matière de DRG est encore relativement exclusivement payés par les hôpitaux comme
neuve en Suisse et ces milieux, comme tous salariés ou rétribués à l’acte, et non plus direc-
les néophytes, attribuent aux DRG des vertus tement par les assureurs? La question est pen-
qu’ils n’ont pas. Comme c’est souvent le cas, dante.»
les politiques ont de la peine à décider et met-
tent leur espoir dans des outils techniques pour Comment percevez-vous le développement
décider à leur place. Hier, les DRG étaient des DRG en Suisse au cours des prochaines
décriés, aujourd’hui, ils sont considérés comme années et quelles sont les principales difficultés
la «potion magique» pour réduire les coûts hos- qui freinent sa généralisation?
pitaliers et demain, ils décevront puisque les
grands espoirs placés en eux ne pourront pas «Le fait d’avoir choisi les DRG allemands pour
se réaliser. Enfin, il faut espérer qu’après un la Suisse est une difficulté supplémentaire à
certain temps nous aurons en Suisse une l’implantation rapide d’un seul système DRG
mesure plus réaliste de ce que peuvent appor- pour la Suisse. En effet, l’«helvétisation» de la
ter de tels outils et que nous les utiliserons cor- solution allemande est une tâche de longue
rectement.» haleine qui pose de nombreux problèmes tech-
6 le dossier
annuelle au lieu des 5 à 10% comme ce fut le les assureurs. En revanche, il doit y en avoir
cas toutes ces décennies passées. Dans cette une, d'une part entre les assureurs eux-mêmes
perspective, l'un des enjeux majeurs est la réa- et, d'autre part, entre les fournisseurs de pres-
lité démographique et le vieillissement de la tations. C'est le seul moyen de parvenir à une
population dont il faudrait mieux tenir compte meilleure efficience. Pour renforcer la compéti-
en affinant, par exemple, le système des tion, il faut redonner plus de liberté aux assu-
classes d'âge. Aujourd'hui, ce sont les 20-40 reurs et aux fournisseurs de prestations, en
ans qui supportent le poids d'une solidarité allégeant, par exemple, les contraintes régle-
excessive alors que leurs moyens écono- mentaires et administratives de toutes sortes
miques sont faibles.» qui pèsent sur les uns et sur les autres. La
tâche principale des pouvoirs publics doit se
TASSEMENT DES ASSURANCES COMPLÉ- résumer d'abord à la création de conditions
MENTAIRES cadres favorables et à celle de surveiller la sécu-
rité financière des assureurs. Aujourd'hui,
Le Groupe Mutuel encourage-t-il les assurés à cependant, ils jouent également un rôle de four-
contracter des assurances complémentaires nisseurs de prestations au travers des hôpitaux,
d’hospitalisation et de quelle manière? ce qui débouche sur des conflits d'intérêts. Aux
Constatez-vous une évolution à la baisse des fournisseurs de prestations revient le rôle prin-
assurances complémentaires à l’échelon suisse cipal de soignants et aux assureurs-maladie,
et suisse romand en particulier? celui de couvrir les risques liés à la maladie. Il
faut éviter la confusion des rôles.»
PIERRE-MARCEL REVAZ: «Oui, nous les encoura-
geons dans la mesure où nous en rémunérons Quel est votre point de vue sur l’égalité de trai-
l'acquisition. Mais c'est la clientèle qui en déter- tement, en matière d’aide publique ou de sub-
mine l'intérêt et les moyens qu'elle veut y ventions, entre les hôpitaux publics et les cli-
consentir. Je signalerai à ce propos que ces niques privées? Quelle place accordez-vous aux
années passées nos tarifs dans les assurances cliniques privées dans votre conception du sys-
complémentaires sont demeurés stables. tème de la santé en Suisse?
Quant à l'évolution de ce type d'assurances
complémentaires, nous relevons un tassement. PIERRE-MARCEL REVAZ: «Comme je l'ai mention-
Il est en partie compensé par des formules plus né plus haut, c'est une condition sine qua non
flexibles où l'assuré, moyennant une participa- pour parvenir à une saine compétition entre ces
tion aux frais plus importante, choisit au acteurs. Mais aux mêmes droits doivent corres-
moment de son hospitalisation s'il veut se faire pondre les mêmes devoirs, que l'on soit un éta-
soigner en division commune, en demi privé ou blissement public ou privé. Au niveau parle-
en privé.» mentaire, je note une avancée timide mais
encore insuffisante, dans cette direction. La
Comment concevez-vous la concurrence entre place des établissements privés est importante
les assureurs et les prestataires de soins? Avez- et nécessaire car elle complète la couverture de
vous des suggestions afin de l’améliorer et jus- soins hospitaliers en Suisse. Les cliniques pri-
qu’à quel point? vées sont aussi un élément important de quali-
té et de compétition dans notre système hospi-
PIERRE-MARCEL REVAZ: «Il ne saurait y avoir de talier.» ■
concurrence entre les prestataires de soins et
10 rencontre MARIE-LINE COUDURIER
PORTRAIT-EXPRESS
«Originaire de Haute-Savoie, j’ai
suivi ma formation d’infirmière à
l’Institut de formation en soins
infirmiers d’Annecy. Après l’obten-
tion de mon diplôme d’Etat en juin
1985, je prends un poste de sta-
giaire pour deux mois dans un bloc
opératoire. Après cette première
«Une mission stimulante expérience, je suis engagée à la
Clinique Générale-Beaulieu en sep-
et enrichissante» tembre 1985. En 1990, je participe
à l’installation du 1er bis qui à son
ouverture était une unité de chirur-
gie. J’en deviens ICUS en 1994.
Suite à la décision de transformer
le 1er bis en maternité, je suis nom-
mée ICUS de l’équipe du 4e étage.
J’intègre cette unité en juillet 1995,
année pendant laquelle j’ai suivi
ma formation de cadre niveau 1.»
RESPONSABLE ICUS (INFIRMIÈRE CHEFFE UNITÉ DE participé à l’élaboration d’un certain nombre de
SOINS) DEPUIS 1994 ET RESPONSABLE DE L’ÉQUIPE DU processus pour le secteur des soins.
4E ÉTAGE DEPUIS 1995, MARIE-LINE COUDURIER A INTÉ- Ensuite, j’ai suivi la formation d’auditeur inter-
GRÉ LA CLINIQUE GÉNÉRALE-BEAULIEU EN 1985. ELLE ne. Auditer les processus d’autres secteurs que
DÉCRIT SES MISSIONS ET RESPONSABILITÉS À TRAIT les soins permet de mieux connaître le travail
D’UNION: de ses collègues et démontre à quel point tous
les services sont complémentaires.
«Parmi les nombreuses missions d’une respon-
sable ICUS ralatées dans le précédent numéro GROUPE PHARMACOVILIGANCE
du Trait d’Union, j’aimerais ajouter qu’à travers
toutes les charges qui incombent aux respon- Et parce que la recherche de la qualité passe
sables d’unité, la responsabilité du manage- aussi par la gestion des risques, je fais partie du
ment d’une équipe est une mission stimulante groupe pharmacovigilance. Ce groupe a pour
et enrichissante. objectif principal la surveillance d’éventuels
Au-delà de son propre rôle au niveau de son effets indésirables liés à l’utilisation des médi-
unité, l’ICUS participe aux projets institution- caments afin d’accroître la sécurité du patient.
nels. Cette année, nous allons plus précisément tra-
Accordant un réel intérêt à la stratégie Qualité vailler sur la traçabilité et sur les interactions
qui s’est mise en place à la Clinique Générale- médicamenteuses. Cette dynamique de quali-
Beaulieu, parce qu’il est nécessaire de maintenir té a donné naissance à de véritables outils qui
un niveau de prestations en adéquation avec les nous aident chaque jour à évaluer les résultats
attentes des patients – et aussi parce que c’est de notre travail et à réagir immédiatement en
un facteur de progrès collectif et individuel – j’ai cas de dysfonctionnement.» ■
INSTITUT DE RADIOLOGIE radiologie 11
Plateau technique
de pointe
L’équipe se renforce
PROFESSEUR DENYS MONTANDON. Quelles sont les tions. L’équipe chirurgicale était composée de
caractéristiques de cette maladie? moi-même, du Professeur Brigitte Pittet des
HUG et du Dr Alexandre Cheretakis, chirurgien
«La neurofibromatose est une maladie dégéné- plasticien. L’anesthésiste, le Dr Pierre-A. Sutter
rative et tumorale héréditaire. Elle n’est pas si s’est fait assister pour des intubations difficiles
rare, mais peut se présenter sous des formes par le Dr A. Martin-Achard, pneumologue. En
très variables suivant les individus. En effet, tout trois interventions ont été effectuées à la
Le Professeur cette maladie touche principalement la peau Clinique Générale Beaulieu. La première a
Denys Montandon avec des taches «café au lait» et des petites consisté à corriger le front, les paupières et
excroissances fibromateuses qui peuvent revê- l’oreille droite qui pendaient de plusieurs cm.
tir tout le corps. Les formes graves de cette Pour la deuxième intervention qui devait atta-
maladie affectent principalement le visage, le quer la région du cou, il a été jugé nécessaire
crâne et les orbites. On trouve cependant des d’effectuer auparavant une embolisation des
très grosses tumeurs parfois au niveau des vaisseaux du cou qui mesuraient 3 à 4 cm de
membres et du dos. Le patient qui nous concer- diamètre par endroit. Grâce à cette embolisa-
ne souffrait d’une des formes les plus graves tion effectuée à l’Hôpital Cantonal, l’excision
que l’on nomme parfois pachydermatocèle, de la tumeur envahissant le tiers inférieur du
c'est-à-dire d’une tumeur qui se développe visage a pu se dérouler sans perte sanguine
depuis la naissance et qui va grandir au niveau excessive. Une troisième intervention a été
de la peau, des tissus sous-cutanés, des nerfs, nécessaire pour corriger la bouche qui, du côté
de la boîte crânienne, de l’orbite et de tout le droit, retombait encore de plusieurs centi-
maxillaire. Dans l’imagerie collective, cette mètres.
maladie a été très bien représentée par le film
de David Lynch: Elephant Man.» Ces interventions étaient délicates et haute-
ment hémorragiques, mais heureusement
Comment s’est déroulée l’opération propre- aucune complication importante ne nous a
ment dite et quel a été le rôle de l’équipe d’in- empêché de venir à bout du traitement. Dans
Le traitement de tervention? les suites opératoires, le personnel de la cli-
ce patient a été nique, principalement les infirmières et infir-
rendu possible «Effectivement, lorsque le patient est arrivé à miers du réveil et du 3e étage, y compris les
grâce à l’AEMV Genève, les scanners et IRM ont d’emblée gardes de nuit n’ont pas ménagé leurs efforts
(Association d’en- montré une pathologie sous-jacente extrême- pour surveiller et soulager le patient. D’autre
traide des mutilés ment complexe: grande perte de substance part, plusieurs personnes travaillant dans la cli-
du visage), Terre osseuse au niveau de l’orbite et de l’os pariétal, nique et parlant quelques mots d’arabe sont
des Hommes déformation asymétrique extrême de la mandi- venues lui apporter un soutien moral pendant
(Valais), Operation bule, grosse dilatation vasculaire au niveau du ses séjours à la clinique. Entre les opérations, il
Smile (Maroc), cou, qui, en cas de rupture pouvait entraîner était accueilli dans la Maison de Terre des
la Clinique une hémorragie mortelle. Le planning opératoi- Hommes à Massongex.» ■
Générale-Beaulieu. re a comporté d’emblée plusieurs interven-
14 compte-rendu NOUVELLE SIGNALÉTIQUE DE LA CGB
CANCER DE LA PEAU
L’ÉQUIPE DES PRATICIENS FORMATEURS DE LA CLI- La mission d’un praticien formateur dans une
NIQUE EST COMPOSÉE DE INGRID JOURDAIN, AGNÈS unité est la suivante:
PERÈME, ANNE PARADE ET CÉLINE ROUCEL. ELLES
• Assurer la formation pratique des étudiants
DÉCRIVENT POUR TRAIT D’UNION CETTE FONCTION
HES (Haute Ecole de Santé) en collaboration
RÉCEMMENT APPARUE:
avec les enseignants des sites de formation HES
Le poste de praticien formateur (PF) est en • Apporter essentiellement un soutien pédago-
place à la Clinique Générale-Beaulieu depuis gique et méthodologique à l’étudiant dans la
l’année 2005. Il est le fruit de la réforme poli- mise en œuvre de son projet = organisation de
tique dans le domaine Santé-Social HES-SO situations d’apprentissage, réflexion sur le sens
(Haute Ecole de Santé en Suisse occidenta- de ses actes professionnels.
le). • Concevoir, planifier, mettre en œuvre et éva-
luer le processus de formation sur le terrain de
Cette fonction s’adresse à tous les profession- pratique professionnelle.
nels de la santé et intéresse donc tous les col- • Accompagner et soutenir l’étudiant tout au
laborateurs de l’équipe pluridisciplinaire: infir- long de son stage en le guidant dans son
miers(ères), physiothérapeutes, diété- apprentissage.
ticiens(nes), techniciens(nes) en radiologie • Offrir un encadrement adéquat et de qualité
médicale, sages-femmes. Actuellement, la cli- dans un climat favorable et propice aux appren-
nique compte quatre infirmières possédant le tissages.
certificat de cours Post-Grade de PF ainsi
qu’une technicienne en radiologie médicale, Depuis la mise en place de cette nouvelle fonc-
maître de formation HES, en cours de valida- tion, il en résulte une satisfaction des écoles et
tion de son certificat de PF. Cette formation est des étudiants dans la prise en charge de leur
également envisagée en diététique. Le titre de formation. Cela a également permis une prise
PF est obtenu suite à une année de cours, à rai- de conscience des équipes soignantes de l’im-
son de 3 jours par mois, sanctionnée par un portance de leur rôle et de leur responsabilité
examen final. face à ces futurs professionnels. ■
brève
MATERNITÉ
Nouveaux
collaborateurs
ADMINISTRATION
Laetitia DELAVY FURTADO
Corine ZUCHUAT
Ressources Humaines
Giuseppe CAPOLONGO
Réception
SERVICE INFIRMIER
Nathalie DUPANLOUP
Fanny GENOUD DUVILLARET
Infirmières
Vanessa PINI
Sage-femme
BLOC OPÉRATOIRE
Dominique DEGENEVE
Denis MARCILLY Naissances
Aides-soignants
Colette POIRIER 22.12.2006 Emmy Audrey D’AGOSTINO
Mélanie OUDINET 28.12.2006 Yanis Carlos RAMA
Aides en stérilisation 14.03.2007 Victor Marie GARNIER
24.03.2007 Félix Julie DESCHAMPS
RADIOLOGIE 12.04.2007 Damien Nathalie BOCHY
07.05.2007 Lennie Amancio LOPES
Cindy COTTEREAU-ANSEAU
Technicienne
SERVICE HÔTELIER
Maria Luisa FELISARDO
Femme de chambre
Nouveaux
médecins agréés
Dr Melina Citraro-Meyer
Pédiatre brève
D Edya Fuhrmann
r
Onco-hématologue
Dr Alain Keller
Radiologue et spécialiste en
médecine nucléaire JOYEUSE RETRAITE!