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concurrents,
distributeurs, To manage : diriger, administrer, conduire, manier, parvenir à , s’arranger, se débrouiller
collectivités territoriales où elle est implantée, Management = ens/ des techniques d’org° et de gestion d’1 affaire, d’1∑.
l’état qui prélève des impô ts et les redistribue par Manager est assimilé à un dirigeant, chef, responsable.
des primes, subventions
les syndicats !!! Manager est svt assimilé à la gestion. 3 nuances qui distinguent le mgt et la gestion :
Le mgt fait réf à un contexte plutôt dynamique, en mvt (réagir à des nouvelles situations,
B - RSE prise d’initiative en f° du contexte) contrairement à la gestion qui est carac par sa stabilité.
Le mgt n’est pas seulement un catalogue de théories et pratiques ms aussi un
Les attentes de ces parties prenantes st contradictoires : oppositions e/ court et long terme, comportement, savoir-fr contrairement à la gestion qui applique les théories et pratiques.
logique éco et sociale, croissance et rentabilité…. Le mgt fait réf au manager et aux personnes managées. Certains définissent le mgt (au
>>nécessité d’identifier l’intérêt de ces dernières et leur pvr s/ l’entité. Selon sa taille, statut sens strict) cô la manière dt st mises en œuvre les ressources humaines de l’entreprise /
juridique, finalité, l’org° n’intégrera pas les buts de ses parties prenante ac le mm niveau son encadrement
d’importance. -les dirigeants ont de la nature humaine influence leur leadership (mode d’exercice de
>>nécessité de gérer ces ≠tes attentes via la responsabilité sociale de l’∑ (RSE) l’autorité)
-la façon réagissent les individus ds l’org° oriente le style de leadership des dirigeants
1.Déf RSE = capacité de l’∑ à prendre en cpte les intérêts de ses ≠tes parties prenantes ds
sa gestion. >>>Stakeholders interne = RSE et Responsabilité sociétale de l’∑ = Stakeholders I - Le mgt : un concept aux contours stables
externe. A – Déf du mgt selon Fayol (1ere tentative de conceptualisation)
Approche minimaliste du RSE selon Friedman en 1970: la RSE est d’accroître ses profits
>>cad théorie néo classique considère que la maximisation de la richesse de l’∑ va entraîner 1)Il dit que ttes les opérations ds 1 entreprise peuvent se répartir en 6 gr
celle du bien ê général. représentant autant de f° (= entités distinctes ayant 1 mission clairement
définie) : f° technique, f° de sécurité, f° financière f° commerciale, f° de compta et Autre déf par l’américain Robbins (ds Management (2004) : « le mgt désigne le processus par
f° administrative. lequel des actés st réalisées de façon efficace avec et via d’autres personnes. Il englobe les f°
de base que st la planification, l’org°, la direction et le contrôle.
2)La f° administrative :
la + imptt f° car pr lui administrer c « prévoir, organiser, commander, En somme, avec le temps,
coordonner et contrô ler » -le cœur de métier du manager reste le mm que celui de fayol si ce n’est l’emploi des termes :
correspond à la f° de direction et dc aux ≠tes actés de managers on préfère employer piloter que « diriger », anticiper que « prévoir », animer que
définit les prog « commander ».
-évolution du poids du manager, des outils et méthodes, des acteurs + la composition humaine
3)Le projet de Fayol était de concevoir le profil type du manager efficace : Le constitue l’enjeu central des missions du manager.
manager (= le dirigeant) ne se contente pas de : -débat s/ la qualification du mgt cô art ou science : on ne peut pas le qualifier d’art car le mgt
commander = assurer / sa personnalité et sa connaissance de l’adm° de l’∑ requiert le bon sens, la logique ds la performance des managers alors que l’art est réduit à la
la bonne marche de celle-ci et la direction des individus qui y travaillent, créativité propre à chacun. On ne peut pas non plus le qualifier de sciences.
contrôler = vérifier l’application des prog / des procédures rigoureuses et 1
système de sanctions, Déf définitive du mgt = mise en œuvre d’un ens/ de principes et de pratiques formalisées ayant
mais aussi : pr finalité de piloter une org°, de coordonner ses actés, d’animer et fr coopérer les membres
prévoir = envisager 1 prog adaptable afin de préparer l’avenir associés à son f°t et de susciter chez ces derniers, par l’adhésion à des valeurs partagées, des
organiser = mettre en place les organes et procédures pr le bon f°t de l’∑ comportements favorables à la réalisation des objectifs de l’org°
coordonner = assurer le lien et harmoniser les efforts des membres de l’org°
II . Mais une réalité en profonde mutation
4)Quelques principes dvlpés / Fayol pr 1 manager efficace :
autorité La f° du manager reste stable mais pas les pratiques ni les outils. Nous allons voir les chgt de
discipline pratiques ici.
Ex : l’état par la loi organique relative aux lois de finance (LOLF) votée en 2011 décide
équilibre e/ centralisation et décentralisation
d’appliquer le mgt par objectifs aux dépenses de l’état et à la gestion ds l’adm°, alors
l’unité de commandement : « un agent ne doit recevoir des ordres que d’un
réservé surtt ds le secteur privé.
seul chef »
la ligne hiérarchique : « la série des chefs qui va de l’autorité supérieure aux
A – Mgt et modif du contexte socio-écoQ : le basculement décisif des décennies 1970-1980
agents inférieurs »
principe d’équité
1. Fin des 30 glorieuses
la valorisation de l’initiative : Fayol dresse un profil du manager adaptable en Fin de la célèbre période de croissance régulière et élevée d’après guerre, marqué par les 2
f° des situations. Le manager doit fr + appel à son propre jugement que chocs pétroliers (1973 et 1978). Csq : dvlpt de la stratégie et du marketing, de concepts pr la
mettre en pratique strictement les principes afin de valoriser l’initiative des prise de décision ds 1 envt mondial.
subordonnées. 2. Début d’une nouvelle ère
L’économie vit au rythme des progrès technologiques et s/tt des NTIC (nouvelles technologies
B – Actualité de la notion de mgt de l’information et de la communication). Csq des NTIC s/ le mgt :
-nouvelle division internationale du travail : MOD réduit ds les pays dvlpés au profit des emplois
Le notion de mgt reste très proche de la conception de Fayol. de services et professions intellectuelles. !!! risque d’évolution rapide par la délocalisation en
R-a Thiétart ira plus loin en définir le mgt cô « l’art de conduire 1 org° de diriger, de planifier Asie d’une partie de R&D
son dvlpt, de la contrôler, s’appliquant à ts les domaines d’actés de l’∑ -banalisation des stratégies d’externalisation et émergence de nouvelles formes de
coopératives (réseaux, alliances, partenariats)
-les NTIC compriment les délais de fabrication. Csq : ds un contexte où MOD + exigeante, les salariés st + individualistes, les managers
doivent dvpés de nouvelles compétences en terme de médiation, de pacification, de gestion de
3. Un tournant ds le domaine social conflits.
-essor de la gestion des ressources humaines inspirées s/ le modèle suédois d’équipes >> la
composante humaine est la préoccupation du mgt dont le client . C – Mgt et performance de l’org°
B. Prise en cpte du syst social ds les préoccupations des managers Le mgt s’oriente vers la recherche de la performance.
1970-1980 : les critères de performance étaient simples : éco d’échelle, minimiser les cours
1. Mgt autoritaire et paternaliste de Fayol
Avec le modèle japonais, les critères de la performance changent : assurer des niveaux de
!! Fayol avait déjà cette préoccupation sociale vu qu’il était pour un mgt : qualité élevés, accélérer le renouvellement des pds, s’ajuster à la demande.
-autoritaire ms mgt qui coïncide avec l’époque taylorienne-fordienne (ouvriers peu qualifiés, Csq : apparition de nouveaux indicateurs : délais, flexibilité, qualité, innovation. En somme, ê
MOD rurale ou immigrés, contrôle de travail facile car 1 chef pr gérer 50 ouvriers) capable de renouveler rapidement l’O de b&s. Le toyotisme le prouve qu’avec des machines –
-paternaliste car les salariés st placés sous l’autorité de dirigeants et peuvent prise en charge sophistiquées ms avec 1 org° pductive et une ges° des hommes ≠tes, les ∑ japonaises
ds leur vie perso. réalisent de + gdes performance que les occidentaux.
2. Vers le mgt participatif Les modes managériales se succèdent. Par ex, Peter et Waterman (ds Le Prix de l’excellence)
Dvlpt d’1 mgt participatif apr la 2GM par la prise en cpte des besoins sociaux et dressent une liste des bonnes pratiques assurant l’excellence industrielle en prenant cô
psychologiques des individus au W et par l’ergonomie (les salariés donnent leur point de vue s/ modèle éco de la Silicon Valley.
l’org°). >>volonté d’une responsabilité des ouvriers.
Après le principe de l’excellence apparaissent de nouveaux concepts managériaux :
Peter Drucker dvlp le mgt participatif ds The Practise of Management (1954) ds -p° maigre ou lean p°, ou dit zéro stock
lequel il lie performance de l’entreprise et contribution de ses employés. Pr lui, -reengieneering : reconfiguration des processus d’org° visant à rendre l’∑ + efficiente
les buts écoQ doivent ê segmentées en objectifs dt la réalisation doit ê confiée à -benchmarking : comparaison des performances de l’∑ / rapport aux concu ou les firmes les +
des services et des individus. C la base du mgt par objectifs, idée reprise par performantes au regard d’une compétence particulière
Octave Gélinier sous la forme de la direction participative par objectifs (DPPO). -knowledge mgt : manager les connaissances au sein de l’∑
Drucker associe org° scientifique du W à la décentralisation, la gestion du -supply chainmgt : gestion industrielle et logiques associant les ≠ts acteurs tt au long de la
personnel, la formation et la commu° filière pductive
>>>le mgt de la 2 moitié du 20 ’s est orienté vers les individus à qui on reconnait un droit de
e e
participer à la détermination de leurs objectifs pro. C’est confirmé en Fce par la loi Auroux de >>le mgt est devenu la science et l’art de rendre les org° efficientes / des méthodes et
1982 donnant un droit d’expression directe (organisés par gr) aux salariés techniques appropriées et sous contraintes évolutives des parties prenantes.
1 – Thèse d’Henry Mintzberg sur la nature du travail des managers en 1973 ds Le mgt,
Section 1 : Diriger 1 org° voyage au centre des organisations puis réédité en 1975 sous « La profession de
manager : légende et réalité ».
I – Tâches du dirigeant En observant 5 managers, il remet en cause le profil du manager décrit par Fayol.
Les actés de Fayol (planification, organisation, coordination, contrô le) ne
Le mgt des entreprises est une acté plurielle et diffuse : couvre un large éventail d’actés et reflètent pas la réalité. En réalité, ces actés st – idéalisée :
concentrée s/ le dirigeant.
Ds l’optique proche de l’approche fayolienne de l’adm° des ∑, Gélinier a listé les tâches : Actés de Fayol Réalités de Mintzberg
-certains st réservés à 1 DG cô les décisions stratégiques, conception de la structure (selon 1 Le manager est un L’étude démontre que :
Fayol, ce st le tâches qui relève du gvt). planificateur réfléchi -les managers st soumis à un rythme
-certaines tâches st décentralisées. implacable
L’accomplissement de la f° de direction suppose -les actés st brèves, variée et
1 Connaissance des faits : prévision de l’évolution externe, diagnostic des pbs internes discontinues, orientées vers l’action et
très peu vers la réflexion. stratégie puis prend des décisions : il faut savoir tirer profit des obligations pr régler
2 Le manager n’a pas de Il a des tâ ches répétitives relatives à les pbs.
tâches répétitives l’org°, aux cérémonies, aux négociations PAS COMPRIS
et à l’information informelle lié à l’envt
3 Le manager supérieur a Les managers favorisent totalement les B – Rôles des managers
besoin d’informations moyens de communication verbaux
agrégées fourni pat un (téléphone, réunions) 1 – Les 3 rôles du manager de Mintzberg :
système formalisé
d’informations de gestion Mintzberg décrit 10 rôles du manager en f° de l’entreprise et du niveau auquel se situe le
4 Le mgt est rapidement Les prog des managers (emploi du tps, manager répartie en 3 catégories :
devenu une science et une accès à l’information) restent à l’intérieur
profession de leur cerveau.*** Rôles interpersonnels qui regr :
-le rôle de symbole qui consiste à accomplir les tâches de représentation au sein de l’org°
***Le mgt de Montzberg n’est pas une science car on utilise pas d’algorithmes -le rôle de leader qui implique la responsabilité de diriger, coordonner les tâches des
pour prendre une décision et les managers pour la mm situation ne font pas tous subordonnées pr atteindre les objectifs. Côt ? en les encourager, en s’adaptant aux besoins
des individus
prendre la mm décision car la prise de décision est lié à s propres info non
-le rôle d’agent de liaison entre les sources d’info externes et internes. Le plus svt le manger
formalisées, à sa culture, son expérience, sa vision des réalités. En somme le mgt
est avec les pax extérieures.
ne fait pas seulement appel des éléments rationnels : l’intuition, le pvr de
création variables selon les individus.
Rôles liés à l’information
-rôle d’observateur actif : le manager cherche et reçoit l’information
Par la suite des travaux confirment les réalités de Mintzberg :
-rôle de diffuseur d’information : il la transmet de manière sélective
- sur l’emploi du tps des dirigeants : un dirigeant français passe – de 1% à la
-rôle de porte parole de l’org° vis-à-vis de l’envt externe : il est l’image de l’entreprise.
réflexion contre 70% pour la comm° verbale,
-sur le travail des managers qui est continue et rapide : ils passent d’une acté à
Rôles décisionnels
une autre à un rythme accélérée.
L’information est à la base des décisions que le manager va prendre.
-le manager est un entrepreneur : il doit améliorer l’org° ; prendre des initiatives de nouveaux
2 – 5 carac du W directorial de Hellriegel « Management des organisations » en 1992
projets, définir les chgts. Les décisions importtes st l’aboutissement de petites décisions et
d’actions fragmentées. Une fois, la décision prise, le manager délègue et les décisions
a) Un labeur acharné ds l’exécution d’une gde diversité de tâches : le W du manager se
opérationnelles et supervise l’ens/ des projets. Ms, le manager ne peut fr tjs preuve d’initiative
caractérise par la variété, la fragmentation des tâches
parfois il est contraint par des pressions internes ou externes….
b) La priorité donnée aux actés non routinières : les managers st orientés vers l’action et
-…. Rôle de régulateur : pacificateur pr apaiser les conflits interpersonnels, interservices.
délèguent les tâches routinières.
- Rôle répartiteur de ressources : il décide ce qui doit ê attribué et à qui, il fait des arbitrages
c) La comm° verbale directe : les managers préfèrent la comm° verbale que écrite car
quant à la manière d’affecter les ressources
elle permet des réactions immédiates.
-Rôle de négociateur : il négocie en interne et externe. Ex : contrat d’un cadre, son °,
d) La prise en cpte de ts les modes et réseaux de comm° : c’est vers le manager que
subvention au pvrs publics.
convergent les réseaux de comm°
e) Un mélange de droits et de devoirs : Peter Drucker résume les droits et les devoirs
!!! En réalité le travail des managers ne regr pas ts ces 10 rôles. Mintzberg le dit : la défaillance
métaphoriquement : le manager est à la fois compositeur et chef d’orchestre. Une
sur l’un des 10 rôles nuirait à l’efficacité du manager. De plus, le poids de ces rôles n’est pas le
partition et la composition de l’orchestre évolue en f° de l’envt. Le dirigeant définit la
mm en f° de la taille de l’entreprise et du secteur. Ex une décision d’1 ∑ publique mobilise des
compétences d’agent de liaison de porte-parole et de négociateur.
Sociologue allemand Max Weber estime que tt pvr a besoin d’ê justifié. C’est vrai pr le pvr de
2 – Les compétences du manager de Mintzberg commander ou domination fondée sur l’autorité. La légitimité sur laquelle repose le pvr n’est en
réalité qu’une croyance sociale. Weber identifie 3 formes de domination et de légitimité :
Par la suite (2005), il propose une liste des compétences managériales mises en œuvre ds la Légitimité traditionnel qui s’appuie sur le respect et le caractère sacré de la tradition.
pratique inspirée de sa typologie des 10 rôles. Ex : qd 1 responsable propose son fils pr lui succéder, la réf à l’héritage et à la
On constate que la dimension technique ( « compétences opérationnelles ») n’est pas la + tradition est implicite.
importte. Son objectif est de montrer cbien il est difficile de vouloir apprendre le mgt car on peut Légitimité charismatique se justifie / le caractère quasi sacré d’une personnalité dotée
apprendre les aspects techniques ms pas les compétences. d’une aura exceptionnelle (aptitude à rassembler). Ex : Francis Bouygues
Légitimité rationnelle-légale s’appuie sur le pvr d’un droit abstrait et impersonnel :
A. Compétences 1. Compétences internes : réflexion, pensée stratégique c’est un pvr issu de la f° et non de la personne.
personnelles 2. Compétences externes : gestion tps, info, stress, carrières Légitimité caractéristique des org° bureautiques et considérée cô la + efficace selon
B. Compétences 1. Direction d’individus : sélection, enseignement, coaching Weber car cela représente :
interpersonnels 2. Direction de gr : mise en place d’équipe, résolution conflits « L’autorité s’y impose en vertu de la légalité et en vertu de la croyance en la validité d’un
C. Compétences 1. Com° verbale : écoute, réunion, briefing statut légal et d’une compétence reconnue, ts 2 fondés s/ des règles établies
ayant trait à 2. Com° non verbale : maitrise du visuel, du viscéral (sentir) rationnellement. »
l’information 3. Analyse : traitement des données, modélisation, mesure,
évaluation + 4e légitimité implicite qui est la légitimité issue de l’expertise qui s’appuie sur les compétences
D. Compétences 1. Organiser : ÷° des tâches, fixation des ordres du jour techniques, relationnelles du leader. Légitimité reconnue par un diplôme ou l’expérience.
opérationnelles 2. Administrer : affecter les ressources, déléguer, fixer des
objectifs, évaluer des performances Selon les entreprises, ces ≠tes légitimités st +/- présents.
3. Concevoir : planifier, fabriquer EX : légitimé traditionnelle + ds les petites structures familiales.
4. Mobiliser : traitement des urgences, gestion du projet Ex : légitimité sur l’expertise : gd gr ayanr promu des membres de la famille.
Section 2 : Pouvoir et Leadership 2. Déf de l’autorité = le pvr légitimé par le fait qu’il est officiellement octroyé par l’orG° et
accepté par les employés qui le trouvent juste et adéquat. »
Carac de l’autorité :
Les managers ont un pvr formel permettant d’agir sur le comportement des autres. Si les
- Extension de la notion du pvr
membres de l’org° acceptent de se soumettre à ce syst de pvt, c’est qu’uks en reconnaissent
- Autorité est temporaire
la légitimité.
- En réalité, le pvr est dissocié de la notion d’autorité car une personne peut exercer
Existe-t-il un style de commandement efficace ?
une autorité s/ d’autres ss avoir le pvr de décider tandis qu’une personne disposant
du pvr de décision peut n’avoir aucune influence morale sur autrui.
Déf gle du pvr : « la capacité qu’a un individu ou un gr d’individus d’agir sur d’autres individus
ou fr et d’affecter concrètement le f°t et les résultats d’une org° donnée en obtenant, par ex,
3. Sources du pvr ds les org° : Le pvr a fait l’objet d’étude pr préciser la typologie des
que telle décision soit prise que tels moyens soient mis en œuvre ou que telles tâches soient
sources du pvr :
accomplies. »
- Sources interpersonnelles du pvr: gratification, coercition, légitimité, compétence
I – Sources du pvr
- Sources structurelles conjoncturelles du pvr : savoir, ressources, prise de décision,
réseaux de relations
1. Légitimités de Max Weber
II – Leadership
Rôles liés à l’information : Propager des valeurs , Motiver ses troupes,
A – Def du leadership Réunir, Servir de symbole, Servir de représentant
Rôles décisionnels : Gérer, Renouveler
Notion récente en Fce ms qui date.
Leaders d’aujourd’hui : politiciens, militaires, hommes d’affaires, leaders d’opinion, sportifs. Etude qui se rapproche de la thèse de 1973 de Mintzberg ou des travaux de Fayol:
-Rôle de l’information : 1+ 2
1. Déf -Rôle interpersonnels : 3+4+5+6+7
De Xénophon (4e s av JC) : « que ses subordonnées adhèrent à sa cause de leur propre -Rôle décisionnels : 8 +9
volonté, surmontent les obstacles les plus ardus sans y être forcés et qu’il restent résolus face
aux plus gds périls, tel est le vrai test du leader » B – Etre un leader : c’est inné ou un acquis ?
De Lao Zi (6e S av JC) : « lorsque le leader habile a accompli sa tâche, le peuple dit que tout Pr y répondre, on va examiner la nature du leader autour de 3 théories :
s’est produit naturellement « . 1. leadership cô savoir ê (modèles des traits de personnalité)
2. leadership cô savoir collaborer (modèles comportementaux)
Ces définitions soulignent le rôle héroïque du leader mais il a aussi un rôle de 3. leadership cô savoir s’adapter (modèles situationnels)
médiateur.
Déf gle : capacité individuelle à susciter l’adhésion d’autrui. 1. Modèles des traits de personnalité
2. Leader ou manager ? Selon le philosophe Carlyle (1795-1881), l’histoire est influencée par des personnalités hors du
commun. Cette théorie du Grand Homme a inspiré les modèles dits « traits de personnalité ».
Peter Drucker disait q « le mgt c’est fr les chses cô il fait, le leadership c’est fr les chses qu’il Identifier les traits de personnalité de ces gds hommes permet de déterminer les personnes les
faut. + aptes à diriger un pays ou 1 ∑, dits des « leaders nés ».
=> leader indique la direction stratégique à suivre et le manager se charge de la rendre
opérationnelle de la manière la + efficiente. a) Modèle Big Five
=>ce st des f° ≠tes ms complémentaires
D’autres modèles se st dvlpés les traits en communs des leaders comme celui du modèle « Big
Five » de Goldberg, Costta et Mc Crae qui met en évidence les traits de personnalité d’un
Comparaison
leader à travers 5 facteurs :
Manager Leader
Sociabilité – Dynamisme : propension d’un individu à s’entourer, à influence et rivaliser ac
Rôle -Planification et budgétisation -Vision stratégique les autres
-Respect des objectifs -Anticipation
Conscience des autres : tdce à se montrer compréhensif et proche des autres,
Coordination / alignement des -Org° et recrutement -Création d’une culture
autoritarisme
collaborateurs et de valeurs
Méticulosité : comportement au W de l’individu, degré d’implication et de perfectionnisme
-Aide à l’évolution des
autres Equilibre émotionnel : réaction au stress, aux critiques et échecs
Type de relations ac les -centrées s/ les objectifs : -centrées s/ les Ouverture, imagination : curiosité, intérêt pr la nouveauté
collaborateurs pduire / vendre b&s hommes : inspirer et b) Forces de ce modèle : modèle des traits de personnalité est proche de la réalité, proche des
motiver typologies des personnalités par MBTI, Enneagramme
c) Faiblesse de ce modèle : absence de contexte (org°, historiq), critique sur la mesurabilité de
3. 9 rôles du leader par l’étude de Gardner (1989) : ces traits, diversité des modèles.
2. Modèles comportementaux
Rôles interpersonnels qui regr : Développer une vision pr l’org° Expliquer
a) L’importance de l’humain (Lewin, Lippit, White) en 1947
A partie des années 1940, dvlpt de la théorie comportementale s’intéressant non pas aux traits
de personnalité (ce qu’est un leader) mais aux comportements des leaders (ce que fait le
leader) et à la manière de les former.
Un travail de recherche mené par LLW sur 3 groupes d’enfts faisant du modélisme, encadrés
chacun / un adulte adoptant 3 types de comportements différents à leur égard :
autoritaire : l’adulte dit aux enfts le type de maquette à réaliser et ne répond pas ou peu à
leurs demandes d’explications
démocratique : l’adulte propose +ieurs projets possibles, laisse les enfts décider et leur
fournit des explications
laisser-faire : l’adulte laisse les enfts trouver un projet et réaliser sans intervenir.
Les résultats montrent une performance supérieure du gr « démocratique ». Cela démontre
aussi l’importce du leadership s/ le comportement, l’imptce d’un leadership + centré s/
l’employé que s/ la p°.
Cette théorie cherche à cerner les éléments contextuels pr déterminer le type de leadership
adapté. Ci-dessous des exemples de modèle contingent.
Leader axé sur la p°/tâche -leader s’efface pr laisser libre ses subordonnées ms ne pas oublier son influence en amont,
son rôle ds l’évolution du contexte et des hommes => pas de leadership optimal ou unique v/st
aux modèles antérieurs
Contrôle situationnel Moyen Faible -leader est alors un facilitateur, catalysateur de performance dt le talent consiste à s’adapter
Fort aux éléments contextuels et humains.
Relation Bonne Bonne ou Mauvaise Mauvaise
Tâche Précise confuse Confuse précise Confuse
Pvr Fort Faible Fort Fort Faible Faible Fort Faible
1.La personnalité du leader. L'auteur retrouve, via son questionnaire LPC, les deux
composantes vues précédemment. On a les leaders préoccupés par l'obtention de résultats de
groupes satisfaisants (orientés vers la tâche) et les leaders davantage préoccupés par le climat
du groupe. A ces deux composantes sont rattachés trois facteurs de situation:
2.La relation entre le leader et les membres du groupe (attraction versus rejet)
3.Le degré de structuration de la tâche, le nombre de solutions possibles et la possibilité de
vérification du bien fondé des décisions prises.
4.Le pouvoir associé à la position du leader (récompense, légitimité...)
C'est la combinaison de ces différents facteurs qui permet de définir le degré de contrôle
propre à chaque situation.
charism
atique.
CONCLUSION FINAL
Multiples leaders pour 3 raisons :
-il doit prendre en charge un gd nbre de rôles et leur donner 1 cohérence
-le leadership n’est pas innée ms évolue ac l’exercice du pvr
-on ne peut ê leader tt seul. Un leader est responsable, animateur, architecte, rassembleur à
conditio qu’il est des subordonnées. Le danger pr le leader est d’être despotique.
Section 1 : Les apports des économistes
De manière gle, il y a relation d’agence lorsqu’un individu (le principal) demande qqchse à un La théorie de l’agence s’intéresse aussi à la compréhension de la structure et du f°t des org°.
autre individu (l’agent) sans connaître tte l’info pertinente. Complétant la théorie des droits de propriété dt l’ambition est d’affirmer la suprématie de la
EX : 1 employeur mandate un salarié (l’agent) pr fr une tâche, il n’est pas tjs en mesure propriété privées s/ les formes collectives de propriété, la théorie d l’agence propose de
d’observer parfaitement l’intensité des efforts déployés par celui-ci. L’agent maîtrise le contenu démontrer la supériorité des syst contractuels libres qui doivent conduire spontanément à la
de la tâche et connait ses capacités mieux que le principal. L’agent peut tirer parti de cette sélection des formes organisationnelles les + efficientes.
asymétrie d’information pr sa satisfaction aux dépens du principal. Le principal encourt un L’∑ étant considérée cô un ens/ spécifiq de contrats, la structure contractuelle la + efficiente
risque moral. est celle qui minimisera les couts d’agence.
La plupart des rapports écoQ st caractérisés par des relations principal agent où un risque La théorie explique pourquoi il n’existe pas une seule forme juridique d’∑. Selon les secteurs,
moral existe en raison d’une asymétrie d’information. l’une ou l’autre forme d’org° aura tdce à dominer.
Ex : une sté d’assurance (le principal) n’est jms sur que l’assuré (l’agent) va déployer ts les La théorie explique l’émergence de formes organisationnelles efficientes, le comportement des
efforts pr éviter un accident ou vol qu’il peut d’ailleurs provoquer lui-mm. actionnaires et dirigeants ds les sté par ac° et les modes de résolution des conflits potentiels
ds les situations de coopération.
B – Contrats incomplets et coûts d’agence
Incvt de la théorie : ne prend pas en cpte la dimension collective de l’∑, ni le syst hiérarchique
et les relations internes de pvr. Ainsi la forme n’est pas clairement distinguée par le marché.
IV – Théorie des couts de transaction
C – Hypothèses de comportement
-issue des wx de Roase (1937) prolongé par Wiliamson (1970’s)
-but : comprendre l’existence des ∑ et avtges / rapport au f°t du marché.
-avt : microéconomie traditionnelle disait que seule la technologie peut expliquer la taille et Wiliamson retient l’hypothèse de rationalité limitée de Simon : les limites de la rationalité
l’imptce des ∑. tiennent aux capacités de traitement de l’info et de la transmission de savoirs entre individus.
-la théorie explique que si 1∑ existe c’est car elle est 1 forme de régulation de l’acté écoQ + Ce qui empêche tt décideur de prendre en considération l’ens/ des aspects de la situation et
efficace que le marché - et dc d’établir des contrats incomplets lors des transactions et dc
Ct ? par internalisation : il est + écoQ de fr 1 prestation / l’∑ plutôt que de l’acquérir s/ 1 - et dc de dvlper des comportements opportunistes (recherche de l’intérêt personnel par la ruse
marché et la tricherie.
-cette théorie prouve que l’existence de l’org° est 1 alternative à l’ échec du marché qui n’est Par ces hypothèses, Williamson souligne l’incertitude et les risques associés à tte relation
pas le mode d’allocation des ressources le + efficace. contractuelle et justifie la mise en place de syst de surveillance et de contrôle. Ces syst
engendrent des couts qui s’ajoutent aux couts de transaction. Si
A – RONALD COASE : marché versus hiérarchie
D – Nature des transactions
1.R Coase dvlpe 2 formes alternatives de coordination écoQ
Coordination s/ le marché / 1 syst de prix qui occasionne couts de coordination En f° de la fqce et en f° de sa spécificité.
marchande dits de transaction, à savoir, des couts de découverte des prix, de Ex : un matériel est spécifique qd il ne peut ê transférable vers une autre application.
conclusions des ctes /transaction + les transactions st fréquentes, + les couts de transaction seront élevés alors la firme aura
Coordination administrative ou lié à la coordination interne ou par hiérarchie au sein intérêt à internaliser. Il est + écoQ d’embaucher un expert que de le solliciter de manière
de la firme qui occasionne des couts internes récurrente, ce qui autorise des ajustements permanent ds les rapports ss l’obliga° de
renégocier périodiquement le contrat.
2.Déf du cout de transaction : cout lié à 1 échge écoQ dans le marché.
Chap 1 : Section 1 : Présentation synthétique et chronologiques des courants théoriques II – Analyse stratégique des org°
Chapitre 2 : Les travaux des économistes et des sociologues
!!! à ne pas confondre ac l’analyse stratégiques d’entreprise
Année 1970, la sociologie des organisations place les acteurs (entreprise) et les relations
Section 2 : Apports des sociologues :
A – Hypothèses fondant la sociologie des organisations
I – De Marx à la sociologie du W
Michel Crozier (Le phénomène bureaucratique 1963), puis Erhard Friedberg (L’acteur et le
système, 1977) ont imposé l’analyse stratégique des org° et ses concepts : pvr, zones
A – Emergence d’une sociologie du W :
d’incertitude, syst d’action concret.
L’idée centrale est que ds tte org°, les individus et les gr sociaux st considérés cô des acteurs
Les 1ers wx sociologiques en Fce émerge ds un contexte marqué par le fordisme (p° en
ayant des objectifs et des stratégies propres qu’ils vont chercher à réaliser à travers l’org°.
masse, parcellisation des tâches ac un w à la chaine).
Les acteurs ont dc le pvr de réinterpréter les règles pduites / l’org°.
L’org° est 1 action collective ou un construit contingent (caf propre à chq situation) qui dépend
Marx propose une réflexion sociologie : il estime que la valeur de la force de travail (celle que
des relations que les individus établissent entre eux.
le capitaliste paye qd il loue un service d’un ouvrier) dépend des cond° écoQ, sociales ds la
société. Ex : crise écoQ sui génère des faillites et un chômage massif.
2 hypothèses essentielles fondent les wx de Crozier et Friedberg :
le f°t de l’org° dépend des individus et de leurs interactions. Cette hypothèse
2GM : diffus° en Fce des Wx anglo-saxons de Mayo suscite la réflexion sur le travail des
s’inspire des wx de Merton qui soulevait les pbs des org° bureaucratiques : les
ouvriers d’atelier, aux rapports de W, aux conflits, au syndicalisme et à la division sociale.
employés finissent par accorder + d’imptce au respect des règles qu’aux objectifs des
Mais, l’émergence d’une sociologie du W exclut l’entreprise étant perçu cô un lieu
org° pouvant les modifier.
d’exploitation ayant des contraintes externes (écoQ, techniques, financières)
2e hypothèse découle du concept de rationalité limitée de h Simon : les acteurs st
B – Influence de la technique s/ l’org° rationnelles ms limité car chacun analyse les opportunités qu’offre l’org° au regard de
sa propre expérience et ses propres objectifs.
Année 1960-1970, Friedman analyse les cqs du machinisme et de la rationalisation du W ds la
p° de masse. Il constate : B – Stratégies des acteurs et l’analyse stratégique des org°
-émiettement du W sous le contrôle permanent des organisateurs du bureau
-privation de responsabilité pr les ouvriers, d’initiative et d’autonomie Crozier et Friedberg prennent cô réf le modèle wébérien de la bureaucratie qui est une org°
-parcellisation des taches entraine monotonie, fatigue physique et nerveuse rationnel (le choix des moyens est opéré en vue d’atteindre des buts et spécifiques) et légale
- absence de perspective de formation, disparation des ouvriers qualifiés au profit d’ouvrier (l’autorité est fondée sur des règles et procédures indépendantes des personnes qui
spécialisés (dc ss qualification). l’exercent).
=> au début, la sociologie du W critiquait du taylorisme et fordisme (division du W).
Ils cherchent à comprendre les dysf°ts et proposent un syst d’équilibre qui dépend des
Il nuance sa vision pessimiste : ajustements e/ objectifs propres des ≠ts acteurs.
Ex atelier de p° de la manufacture montre comment un dysf°t pet correspondre à une situation Reynaud s’est intéressé à un groupe actif dès l’instant où la préservation de l’intérêt collectif
d’équilibre : s’appuyant sur des règles sociales formelles ou informelles. Ces règles fondent la régulation
-Ds un atelier tout est prévu à l’avance et dc réglementé mais il reste une zone d’incertitude en commune dt dépend la capacité du groupe d’agir.
cas de panne des machines/ Période durant laquelle les ouvriers d’entretien, ayant la maîtrise
contrôlent et décident de la durée des réparations. Un accord informel s’est établi e/ ouvriers Il distingue :
de p° (assurant les petites réparations) et ouvriers d’entretien (ils se réservent les pannes les + la régulation de contrôle provenant des règles élaborées et imposées au gr / le mgt en f°
sérieuses). Cet accord informel s’est réalisé indépendamment du chef d’atelier (car peu des finalités de l’org°
pertinent).Cette zone d’incertitude est devenu zone de pvr car on garde la maîtrise du tps la régulation autonome non imposée de l’extérieur et résultant de la manière des membres
consacré aux interventions. Ici, l’atelier fonctionne ss que les règles étaient strictement du gr interprètent les règles définies et se protègent contre elle, cad la volonté du gr de
respectées au prix d’un abandon / le chef d’une partie de son autorité. rechercher l’efficacité sur la base de règles qui lui st propres.
=> l’exemple montre que chq acteur d’1 org° agit selon le syt de ressources et de contraintes =>> pas d’opposition e/ syst formel et informel du pvr cô le pensent les sociologues des org°
qui lui est propre et sur lequel il va s’appuyer pr atteindre ses objectifs. ms 1 régulation sociale construit / interactions et compromis plutôt instables e/ autonomie et
Le niveau des contraintes et les ressources au fur et à mesure où l’acteur s’élève ds la contrôle. Il y a dc selon Reynaud une régulation conjointe qui n’est pas entre autonomie et
hiérarchie. C’est par ce syst de ressources et de contraintes que l’acteur va chercher à contrôle ms plutôt 1 construction provisoire de règles raisonnables et cohérentes.
maitriser les zones d’incertitude pr son influence et accroitre ses marges de manœuvre en
celle des autres. B – Sainsaulieu Renaud (1935-2002) et l’approche culturaliste
C- Limites et apports de l’analyse stratégique des org° Il considère que l’org° est un lieu où se construit l’identité des individus, où se forment des
sociabilités collectives cad leur identité professionnelle. C’est cette identité qu’ils vont chercher
Limites : à défendre ds les conflits sociaux.
sous estimer les enjeux techniques et écoQ en réduisant l’org° au jeu d’acteurs L’org° pduit son propre syst de représentations et ses traits culturels. !! à ne pas confondre
animés / le souci de défendre leurs propres intérêts avec la culture d’∑.
aucune prise en cpte de l’envt externe
analyse basé s/ des gdes ∑ intégrés Il identifie 4 modèles dominants de sociabilité au W :
Le retrait se caractérise / des salriés refusant d’entrer ds le jeu des relations collectives et
Apports : dépendent + du chef. Ex : immigrés fin années1960
permet d’intégrer des logiques négligées par le modèle taylorien (centré sur l’analyse La fusion établit par les cultures ouvrières. L’identité de masse constitue une protection et
des syst techniques) et par les sociologues (centré sur les besoins psychologies e t suppose une atténuation des ≠ces d’idées / rapport aux valeurs véhiculées / le gr
sociaux, normes collectives), à savoir les jeux informels entre acteurs L’affinité : les réseaux relationnels des salriés en mobilité verticale (cadres et techniciens
elle nuance ka notion de pvtr et permet une lecture – mécaniste des org° en conférant autodidactes) qui ont peu de rapports interpersonnels au profit du w qui est source
une place essentielle aux relations et à la comm° d’évolution personnelle. Actuellement, le modèle affinitaire est affaibli au profit du modèle
elle montre que les dysf°ts induits / la liberté des acteurs peuvent ê des modes de retrait.
efficaces de f°t et participer à l’équilibre du syst La négociation : les salariés experts disposant d’une large autonomie ds leur W (ouvriers,
elle présente un intérêt pr analyser voire anticiper les comportements des acteurs. qualifiés, cadres) ms valorisant la solidarité du gr et sa ≠ce.
III – Contributions sociologiques récentes Se constituent des modèles culturels des types d’action :
Action de masse : identités fusionnel
A – Reynaud et la théorie de la régulation conjointe Action stratégique : identité de négociation
Action de soi : identité d’affinité
Actions d’ailleurs : identité de retrait.
C – Mark Granovetter et les réseaux sociaux
Section 1 : L’Ecole classique (Taylor, Fayol, Weber) 3. Déf : OST prévoit 1 ÷° du W à la fois verticale (e/ conception et exécution) et horizontale
(e/ les ≠tes tâches des ouvriers)
L’école classique se base sur la rationalisation et la volonté de définir des règles pr avoir une
4. Csq mise en application de l’OST :
bonne org°
° des tps d’apprentissage pr la MOD industrielle d’origine rurale et immigrée
Ces auteurs ont un point de vue normatif (ils élaborent les bonnes règles en les érigeant au
statut de normes) et prescriptif (ils recommandent vivement l’application). Gain de productivité.
Abondance de la MOD
I – Frédérick W Taylor (1856-1915) et l’OST (org° scientifique du travail) Accélération de la mécanisation
Taylor, ingénieur d’une aciérie puis par la suite conseil en org° à introduit la science de l’org° II – Henri Fayol (1841-1925) : Direction des ∑
pr rationaliser le f°t des ateliers de p°
Il a énoncé le principe de l’OST au 20’s, époque industrielle marqué / la p° en gdes séries et la Fayol, chef d’entreprise fçais, écrit ds Administration industrielle et générale (1916), que 1 ∑
division du W ds l’usine. est répartie en 6 groupes représentant autant de f° (cad entités distinctes ayant 1 mission
Selon lui : définie) :
Les hommes ont pr motivation : le gain de l’emploi et la crainte de perdre son emploi F° technique : p°, fabrication, transformation
L’homme est par nature individualiste et égoïste F° commerciale : achat, vente, échange
Les ouvriers ont tdce à flâner pr défendre leurs intérêts légitimes F° financière : recherche et gérance des capitaux
Les capacités des hommes st inégalemt réparties : certains st faits pr penser et concevoir F° de sécurité : protection des biens et personnes
d’autres pr exécuter F° de comptabilité : inventaire, bilan, prix de revient et statistique
Le fondement de la prospérité réside ds l’efficacité du w F° administrative : administrer = prévoir, organiser, commander coordonner, contrôler.
Les conflits existent car l’∑ est mal dirigée ou organisée. La gestion du personnel n’est pas envisagée cô 1 f° autonome.
Sa typologie identifie une mission spécifique d’adm° de direction de l’entreprise + les actés des
1. Apports : managers.
Fayol est assimilé au management à la fçaise calqué s/ les gdes org° bureaucratiques fondé
s/ :
structure pyramidale de l’entreprise
l’unicité de commandement
un style de direction plutôt autoritaire.
En réalité, il dresse :
une liste de principes non normatif et prescriptif contrairement à Taylor
un profil du manager adaptable en f° des situations.
IV – Les néo-classiques
II – Comportement des individus ds l’org° o Atteindre l’objectif en voulant garder le contrôle de la situation
o Maximiser les gains et minimiser les pertes
o Ne pas exprimer de sentiments négatifs
A – Leadership, dynamique de groupe et performance
o Chercher à paraître rationnel.
Apport des travaux de l’ERH :
montrer l’importance du facteur humain, du rôle de l’org° informelle et leurs outils Csq de l’application de ces valeurs :
d’analyse cô l’ergonomie, discipline qui place l’individu au cœur de l’analyse de l’acté de o Les individus ont des comportements défensifs, des stratégies personnelles
w.
dissimulées sous forme de routines défensives. Ex de routines : l’individu cherche à
les rapports supérieur/subordonnés (modes d’exercice de l’autorité) et dc leadership esquiver un pb.
dvlpt de modèles comportementaux : la manière dt le dirigeant se comporte ac son gr o En t les routines et dvlpant les valeurs directrices, l’org° dvlp les apprentissages
devient le principal déterminant de la réussite : organisationnelles = faculté de l’org° à acquérir, transférer, exploiter de nouveaux
o Etude de Kurt Lewin (1930’s) : compare 3 manières d’exercer l’autorité.
Constat : la supériorité du leadership démocratique par rapport du style autocratique. En savoirs et savoir faire.
réalité, le style autoritaire peut ê efficace ms produit – d’innovations. o Dvlpt de ≠ts types d’apprentissages :
o Etude de Rensis Likert et ses 2 dimensions du comportement des leaders : axés - Apprentissage en « simple boucle » : les individus vont modifier et adapter leur
s/ l’employé et centré s/ l’emploi. comportement sans remise en cause des principes. Les erreurs st corrigées par simple
Après enquête, découle des types de mgt : autoritaire exploiteur, autoritaire paternaliste,
consultatif et participatif. 2 premiers st orientés vers l’emploi et les deux suivants + employés.
modification du comportement des individus. =>>on parle de processus comportemental
Constat : la meilleure productivité sera obtenue ds des org° participatives ayant des objectifs et d’adaptation / réponse ou correction d’erreurs.
des prises de décisions collectives. - Apprentissage en « double boucle » : les individus vont remettre en question les principes
o Etude de Blake et Mouton qui mesure les interactions e/ chef/subordonnés à en infléchissant (= influencer) les manières de penser, de travailler avec de nouvelles
partir de leur grille d’évaluation chiffrée qui évalue l’intérêt porté par le leader sur méthodes.==> on parle de processus cognitif conduisant à l’adoption et la p° de nveaux
la p° et les pbs humains.
o « La dynamique » de groupe de Kurt qui ft réf à 1 syst de normes de
schémas de pensée et d’ac°. L’apprentissage en double boucle la routine, dvlpe un
comportement propres à chq gr qui ne peuvent ê anticiper car les réactions du gr savoir susceptible d’ être mis en ac° et ainsi à LT favorise une org° apprenante.
changent en f° des circonstances.
Dvlp du modèle de la contingence : l’org° la + efficace est celle dt le leader saura Apports
s’adapter aux évolutions de la situation ou qui saura chger de leader opportunément. Ex :
étude d’Argyris. o Confirmation que le style participatif du mgt favorise les apprentissages
organisationnels car il incite à remettre en cause les valeurs directrices, source
B – Chris Argyris : le dvlpt du potentiel individuel, à la base de l’apprentissage organisationnel de routines défensives.
o Le participatif donne la possibilité de reconfigurer les modes de pensée et d’agir
face aux pbs.
Critique
o Son caractère faiblement opératoire.
1. Théorie :
Section 3 : L’école sociotechnique (années 1950) Il fonde sa théorie de la prise de décision sur l’hypothèse que la rationalité parfaite est irréaliste pr au – 3
raisons :
Principaux auteurs : Tavistock Institute L’info est imparfaite et incertaine
Objectifs : élaborer de nouvelles formes d’org° de W fondées s/ l’autonomie. Volonté d’appliquer Les capacités de traitement de l’info / les individus st limitées ;
ces principes s/ la sté pr : Les agents st en situation d’interdépendance : on ne peut évaluer les actions des agents.
o Définir la nature des rapports e/ la sté globale et l’entreprise industrielle. 2. Cl° :
o Promouvoir une reforme socio technique de l’∑ : l’idée étant que la démocratie pQ entraine la la rationalité est limitée.
démocratie ds l’∑. Les choix écoQ étant contraints par l’envt et les conflits d’intérêts, ils obéissent à un logique de
Etude s/ une mine de charbon tayloriene: satisfaction et non à 1 solution optimale.
Dysf°t : arrêts de la p°, absentéisme, turn-over, tensions interpersonnelles. Les procédures de prises de décision ont pr vocation de les limites de la rationalité
Recomposition du W : chq gr réalise la totalité des opérations, ont des objectifs globaux de p°, humaine.
une prime glbale versé au gr et non individualisé pr l’achèvement des travaux.
Csq : création de gr semi autonomes de p° ss responsable hiérarchique.
3 Hypothèses suite à des recherches s/ une mine de charbon taylorienne : II – Richard Cyert et James March : La théorie comportementale
o L’org° est 1 syst ouvert (cad d’adapter à son envt) disposant de moyens d’autorégulation.
o L’org° est 1 syt socio-technique. Pr un meilleur résultat de ce syst, il faut une optimisation Ds la théorie comportementale de la firme, ils considèrent que l’org° est complexe composée de gr
conjointe de la technique et social. ayant des intérêts propres.
L’OST préconisait un syst de p° apde contraintes techniques alors que l’école des relations humaines
maximisait le syst social. Cl° :
Pr l’école sociotechnique, il n’est pas possible de réorganiser techniquement 1 atelier ss qu’il en résulte Tte prise de décision résulte de compromis e/ les ≠ts gr participants.
des modifications ds les rapports sociaux et les cond° psychologiques du W et inversement. Les procédures de prises de décision st soumises à l’influence du gr et relèvent de processus
o L’autonomie ouvrière permet une autorégulation en gr tt en prenant cpte des contraintes d’apprentissage collectif
de p° et les bes1 des individus.
Apport :
o Les travaux ont dvlpés les nouvelles formes d’org° du W (NFOT) montrant que pr 1 Section 5 : L’école de la contingence
technologie donnée, il y a +ieurs org° possibles de W et +ieurs combinaisons
sociotechniques. I – Approche contingente
o Modèles dvlpés ds les pays scandinaves chez Volvo notamment. L'école de la contingence tente de rendre compte de la manière dont se structurent les organisations en
Limites : NFOT n’ont jms montré une efficience supérieure à celle du modèle fordien. C’est le étudiant l'influence des variables de contexte sur les caractéristiques des organisations.
modèle japonais qui occupe la scène du mgt apd 1980’s. Théorie considère que :
o l’entreprise doit ê ouvert s/ l’envt
Section 4 : L’école comportementale : les processus de décision o il n’ya pas d’entreprise idéale ds l’absolu
o la forme efficace de l’org° c’est celle qui intégrera le mieux certains contraintes extérieures.
Limites :
o elles ne permettent pas de comprendre comment les acteurs peuvent être à la fois ceux Une imptce des niveaux hiérarchiques
qui construisent le système, lui assurent une certaine permanence, et lui permettent Centralisation des décisions
d'évoluer. Structurer les tâches
o D'autre part, le postulat de l'adaptabilité du système ne rend pas bien compte du Formaliser les règles et procédures.
caractère construit de l'organisation, il n'explique pas l'émergence de formes structurées,
et leur survivance, autrement que par le recours implicite à des hypothèses d'adaptabilité Ces éléments déterminent son aptitude +/- gde au chgt et à la réalisation des apprentissages aux
proche d'un certain darwinisme social. adaptions structurelles.
Plusieurs séries de wx ont montré l’influence de variables propres à l’org° cô : L’approche classique ne prenait pas en cpte l’envt, c’était une approche d’un syst fermé de l’org°. Au fur
La taille de l'organisation. Ex : ds 1 gde org°, la division du w est plus poussée, la stdardisation et à mesure que l’envrt s’est complexifié, l’envt est devenu une variable contingente.
renforce la coordination / la hiérarchie.
Comment la société s'adapte à son environnement. Burns et staker associe diversité organisationnelle et ≠ces environnementales : + l’envt est complexe
Différences parmi des ressources et les activités de l'exploitation. (cad dt les variables est élevées) et instable (les variables évoluent rapidement et le degré d’incertitude
Expectations des dirigeants au sujet des employés. ) et + la firme a intérêt à mettre en place une structure souple et décentralisée, peu formalisée. A
Stratégies. Ex : Chandler cf III l’opposé, les structures type mécaniste (cad réagissant cô des machines, syst centralisés de prise de
Technologies étant utilisées. Ex : Joan Woodward (1960) explique les ≠ces de structures / la ≠ce décision) st efficaces ds les envts simples et stables ;
de technologie en f° du processus de la p°. Cela montre que les firmes les + performantes st celles
dt les carac organisationnelles correspondent à leur type de technologie : la hiérarchie courte pr Paul Lawrence et Jay Lorsch vont + loin ac le dilemme « intégration différenciation ». Selon eux, les ≠ts
une p° unitaire et une hiérarchie + lourde ds les p° de masse ac une MOD peu qualifié. sous syst st confrontés à des sous envts complexes et instables. Les ≠ts responsables de ses sous
syst n’ont pas la même manière de raisonner ds 1 service R&D et financier. La différenciation des
III – Influence de la stratégie s/ la structure : la stratégie cô facteur de contingence formes organisationnelles au sein d’1 ∑ suppose la mise en œuvre conjointe des mécanismes
d’intégration pr assurer la cohérence du syst et résoudre les inévitables conflits.
La structure est un support essentiel du déploiement stratégique selon Chandler. Il a montré que chq
chgt importt de stratégie conduisait à des modif de la structure. Il met en évidence une séquence de
phases d’évolu° :
o Le stade initial de la pte ∑ peu structurée, effectuant 1 f°, dt l’objectif est d(accroitre son V
d’acté.
o Ensuite, l’∑ adopte une stratégie d’expansion géoQ en gardant son domaine d’acté. La
multiplication des sites pose le pb de coordination qui sera géré par la f° administrative.
o Phase de croissance correspond à des stratégies d’intégrat° verticale : 1∑ de p° va effectuer
≠tes actés auparavant réalisées / d’autres ∑ et mettra en place une org° / gdes f°
o Dernière phase : croissance / diversification des domaines d’actés et mise en place d’1 org° /
gdes ÷° (firme multidivisionnelle)
Chandler a dc établi une relation directe e/ stratégie et structure qui peut ê validée qu’en cas de chgt
radicaux type désengagement d’une acté, fusion…