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Côte d’Ivoire : Les limmoudim de Rabbi Ieshoua

HaMashiah sillonnent le pays pour présenter la bible


restaurée au monde
La communauté des limmoudim de rabbi Ieshoua HaMashiah, a repris la caravane
de la dédicace de la Bible restaurée. Depuis le début de cette année 2018, cela fait
déjà trois villes qu’elle a visitées. Ce sont : Sinfra (le 26 Juin 2018), Bingerville  (le
Samedi 28 Juillet 2018), Bouaké (le samedi 11 Août  2018).
Dans chacune de ces villes, les Limmoudim ont révélé à leur auditoire les
incohérences et les blasphèmes contenus dans les traductions précédentes de la
Bible. Par exemple :

 Dans ces Bibles, le nom du Créateur qui est « Adonaï(‫)יהוה‬ » et son titre qui
est « Elohim », ont été remplacés par ceux des divinités Gréco-latines (Dieu,
God, Deus, etc.). Ces noms sont les multiples dénominations du Soleil élevé au
rang d’objet d’adoration. Le Soleil devient par ce fait, le signifiant de Satan.
 Dans ces Bibles, les noms de certains acteurs des récits bibliques,
généralement hébreux, ont été remplacés par des noms gréco-latins. Par
exemple : Kéfa est devenu Pierre, Ieshoua HaMashiah est devenu Jésus-
Christ, Myriam est devenue Marie, Yédidia est devenue
 Théophile.
 Dans ces Bibles mal traduites, des concepts qui sont d’origine orientale, ont
été remplacés par des concepts occidentaux : la Tébilah a été remplacée
par le Baptême, la Pessah a été remplacée par la Pâque.

Expliquant les raisons qui ont aboutit à cet état de fait, les Limmoudim ont révélé que
la loi de la traduction qui a abouti à cette forfaiture a été la  substitution. Par cette
loi, la civilisation gréco-latine et ses mystères de Dieu ont remplacé la civilisation
hébraïque et les mystères d’Hashem dans les traductions de la Bible,
La Septante (la Bible grec) est la toute première traduction de la Bible à l’aide de la
loi de la substitution. Et c’est à partir de la Septante que toutes les autres
traductions seront faites, comme l’indique Francis Arinze :
« Il faut traduire en se conformant à une tradition immémoriale, évidente déjà dans
[…] la version des Septante, le nom du Dieu tout-puissant, exprimé en
hébreu dans le tétragramme (‫)יהוה‬ et traduit en latin par le mot Dominus, doit être
rendu dans chaque langue vernaculaire par un mot de même
signification.» (Cardinal Francis Arinze 2008).
Ainsi, le Culte solaire babylonien a remplacé le culte d’Hashem dans la Bible.
Les Limmoudim ont indiqué que c’est ce Culte solaire babylonien qui est aujourd’hui
connue sous le nom du Christianisme. Il s’est répandu dans le monde entier par le
fait des missionnaires chrétiens. Par plusieurs images, le « Critique d’art et de
littérature spirituelle » a montré la similarité dans le fond comme dans la forme entre
le Culte du soleil et le Christianisme. Ceci pour confirmer la thèse suivante des
Limmoudim de Rabbi Ieshoua :
« Aujourd’hui l’adoration chrétienne est une adoration de Lucifer par l’idole
Sol appelée Dieu ».
Ainsi, le Christianisme est un Culte solaire. C’est pourquoi, l’auteur de la Bible
restaurée, le Kokhav de la Kéhila de Ieshoua HaMashiah a déclaré ceci : « Les
bibles traduites font la promotion de Satân ».
La caravane de la présentation et la dédicace de la Bible restaurée a débuté en
2015. Plusieurs contrées du pays ont été visitées. La communauté des Limmoudim
de Rabbi Ieshoua HaMashiah, par la Bible restaurée, a enclenchée une véritable
révolution spirituelle. C’est un bain de lumière sur les fondements de la religion
chrétienne et de biens d’autres religions aujourd’hui. Le critique d’art a conclu par
cette affirmation qui donne froid dans le dos. « Il n’y a que deux cultes dans le
monde :

 Le culte d’Adonaï(‫)יהוה‬ dont le signifiant est Ieshoua HaMashiah


 Le culte de Satân dont le signifiant est le soleil (connu sous plusieurs noms,
Dieu, Dei, God, Aton, Devaki ; Krishna, Mithra, Baal, Zeus, Lagô, Gnanmien,
etc.) »

Les Limmoudim se sont donnés donc pour mission de dévoiler suffisamment la


fausse adoration (le Culte de Satân) pour permettre au monde entier, de retrouver le
véritable chemin du salut et le véritable culte, seuls gages pour échapper à la
damnation.
Il urge donc que cette activité d’une grande portée historique, car c’est la première
fois que de l’Afrique et d’un pays sous développé, sort une œuvre si gigantesque de
notoriété mondiale, soit connue des peuples et des nations. La Côte d’Ivoire est
entrain d’ouvrir les yeux du monde sur le véritable chemin du salut, cela par les
Limmoudim de Rabbi Iéshoua HaMashiah.
Ben Berakha

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 Jésus-Christ n’est pas Iéshoua HaMashiah


  

 Détails

Dans l’article précédent intitulé « Jésus-Christ est identique à Mithra », nous avons


montré que Jésus-Christ est Mithra ; et par conséquent, le christianisme est le
mithraïsme dans sa forme occidentale. D’aucuns pensent que Jésus-Christ (Mithra
christianisé) et Ieshoua HaMashiah (le Messie promis à l’humanité) ramènent à la
même personne. Non ! Jésus-Christ n’est pas Ieshoua HaMashiah. C’est l’objet de
cet article. Montrer que Jésus-Christ est différent de Ieshoua HaMashiah, c’est
montrer que Ieshoua HaMashiah est différent de Mithra. Ce travail se fera autour des
points suivants :
     Ieshoua HaMashiah est un personnage historique ;
      Mithra est un personnage historique entré dans les mythes et les légendes

I - Iéshoua HaMashiah est un personnage historique

 L’annonce de la première venue de Ieshoua HaMashiah par les


prophètes hébreux

«C’est pourquoi Adonaï( ‫)יהוה‬, lui-même vous donnera un signe, voici, la vierge


deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et elle lui donnera le nom d’Emmanuel
c’est-à-dire Elohim est avec vous » (Esaie7/14).
Michée indique le lieu de sa naissance :
« Et, Bethléem, Ephrata, tu es petite parmi les villes de Juda ; mais c’est de toi que
sortira Celui qui doit être le Dominateur d’Israël » (Michée5/1).
Il vient en tant qu’Agneau ou Serviteur. Les prophètes ont parlé touchant à sa
souffrance et à sa mort :
« Si vous le trouvez bon, donnez-moi mon salaire ; sinon, ne le donnez pas. Et ils
pesèrent pour mon salaire trente sicles d’argent » (Zacharie11/12) ;
« Il a été maltraité et opprimé, et il n’a point ouvert la bouche, semblable à un
agneau qu’on mène à la boucherie, a une brebis muette devant ceux qui la tondent ;
il n’a point ouvert la bouche. » (Esaïe 53/7) ;
« Ils ont percé mes mains et mes pieds ; ils ont compté tous mes
os » (Psaumes22/17);
Michée indique le lieu de sa naissance :
« Et, Bethléem, Ephrata, tu es petite parmi les villes de Juda ; mais c’est de toi que
sortira Celui qui doit être le Dominateur d’Israël » (Michée5/1).
Il vient en tant qu’Agneau ou Serviteur. Les prophètes ont parlé touchant à sa
souffrance et à sa mort :
« Si vous le trouvez bon, donnez-moi mon salaire ; sinon, ne le donnez pas. Et ils
pesèrent pour mon salaire trente sicles d’argent » (Zacharie11/12) ;
« Il a été maltraité et opprimé, et il n’a point ouvert la bouche, semblable à un
agneau qu’on mène à la boucherie, a une brebis muette devant ceux qui la tondent ;
il n’a point ouvert la bouche. » (Esaïe 53/7) ;
« Ils ont percé mes mains et mes pieds ; ils ont compté tous mes
os » (Psaumes22/17);
« Il a été transpercé à cause de nos péchés, broyé à cause de nos iniquités (….) on
a mis mon sépulcre parmi les méchants, son tombeau avec le riche » (Esaie53/59).
Même sa résurrection fut annoncée d’avance :
« Car tu ne livreras pas mon âme au séjour des morts, tu ne permettras pas que ton
bien-aimé voie la corruption. » (Psaumes 16/10).

 Sa naissance
Voici de quelle manière arriva la naissance de Ieshoua HaMashiah :
« Miriam, sa mère, ayant été fiancée à Iosseph, se trouva enceinte, par la vertu de la
Rouah ha Kodesh (Saint-Esprit), avant qu’ils eussent habité ensemble. Iosseph, son
époux, qui était un homme de bien et qui ne voulait pas la diffamer, se proposa de
rompre secrètement avec elle. Comme il y pensait, voici, un ange de Adonaï(
‫)יהוה‬ lui apparut en songe, et dit : Iosseph, bèn David, ne crains pas de prendre
avec toi Miriam, ta femme, car l’enfant qu’elle a conçu vient de la Rouah ha Kodesh
(Saint-Esprit). Elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Ieshoua  ; c’est Lui
qui sauvera son peuple de ses péchés » (Mathieu1/18-21).
Iéshoua HaMashiah naquit en Mars de l’an -4, à Bethlehem. Les mages vinrent
informer Hérode qui fut troublé et commença à le détester comme un potentiel
prétendant au règne. Son nom détermine sa mission terrestre, c’est : Ieshoua le nom
donné par l’ange. Son nom avait aussi été prophétisé par Esaïe : « Immanouël »qui
signifie « Elohim avec Nous ».

 Sa mort

avril de l’an 30 entre 15h et 18h. Avant de rendre l’Esprit, il déclara :


« Tout est accompli »  (Iohanan 19/30) comme pour dire que tout ce qui a été
prophétisé touchant à sa vie et à son œuvre a été parfaitement accompli. Sa mort fut
attestée par Ponce Pilate : « Pilate s’étonna qu’il fut mort si tôt ; fit venir le
centenier et lui demanda s’il était mort depuis longtemps. S’en étant assuré
par le centenier, il donna le corps à Iosseph » (Marc15/44-45).

 Sa résurrection

Aux jours de son incarnation, Ieshoua lui-même avait prédit sa mort en


croix (Mathieu 26/2) et sa résurrection le troisième jour (Mathieu 20/19) ; les
pharisiens étaient informés de cette prophétie (Mathieu 27/63), et avaient pris en
conséquence leurs précautions pour empêcher sa réalisation en postant des gardes
devant le tombeau (Mathieu 27/66). Mais la résurrection de HaMashiah eut lieu
comme elle a été prédite (Mathieu 28/6). Ieshoua ressuscita le dimanche 9 avril de
l’an 30 de notre ère. Il se montra vivant à des femmes, à ses Shlihim (Apôtres) et à
ses Limmoudim (disciples) le même jour de sa résurrection et pendant quarante
jours. Ses Apôtres l’avaient pris pour un esprit; il les a invités à le toucher et il
mangea en leur présence. Il se montra à plus de cinq cents limmoudim avant de
monter au ciel (1 Corinthiens 15/6). Sa résurrection marque la naissance du
Méshihisme. La mort et la résurrection sont les éléments fondateurs du
Méshihisme. (1 Corinthiens 15/14)
En somme, Ieshoua HaMashiah est né, il a vécu, il est mort et ressuscité au temps
des autorités politiques comme Hérode, Ponce Pilate, etc. Sa résurrection est
attestée surtout par Shaoul (Paul), témoin historique, qui l’avait combattu. Lorsque
Ieshoua ressuscité lui est apparu, Paul devint un propagandiste de la doctrine de
Celui-ci. C’est lui qui écrivit presque toutes les épîtres de la Nouvelle Alliance.
Ieshoua HaMashiah est un homme historiqu
II - Mithra, un personnage historique entré dans la légende
Selon le Grand Larousse, une légende peut se définir comme une représentation
embellie de la vie de quelqu’un, qui se conserve dans la mémoire collective.
La vie de Mithra est de cette nature. La mémoire collective l’a retenue chez plusieurs
peuples. Nous avons sélectionné dans le Magasine Top Secret, n° 39 de septembre
2014 quatre récits pris dans des horizons divers : Egypte, Inde, Chine et Perse.

 Horus (Egypte)

 Horus (Egypte)

«  Horus est né de la vierge Isis dans la nuit du 24 au 25 décembre, dans une


grotte/crèche. Sa naissance était annoncée par une étoile à l’est et attendue par trois
hommes sages. Il enseignait à des enfants au temple et il fut baptisé à 30 ans. Il
avait lui aussi 12 disciples. Horus s’appelait “le KrSt” ou “oint”. Il a été également
baptisé par “Anup le baptiseur”. Il a été enterré dans un tombeau et a été
ressuscité »

 Krishna (Inde)

« Krishna est né de la vierge Devaki (“La Divine”). Son père était charpentier. Sa
naissance était attendue par des anges, des hommes sages et des bergers. Il fut
persécuté par un tyran qui ordonna le meurtre de milliers d’enfants en bas âge. Il
était de naissance royale. Il fut baptisé dans le Gange. Il accomplissait des miracles.
Il ressuscitait les morts et guérissait les lépreux, les sourds et les aveugles. Krishna
utilisait des paraboles pour enseigner au peuple la charité et l’amour. Il fut transfiguré
devant ses disciples. Certaines traditions racontent qu’il mourut sur un arbre,
d’autres relatent qu’il fut crucifié entre deux voleurs. Il ressuscita d’entre les morts et
monta au ciel. Ses disciples lui donnèrent le titre de “jezeus”, ce qui signifie “pure
essence”. Krishna doit revenir se battre contre le “Prince du mal” qui désolera la
terre »

 Bouddha (Chine)

« Bouddha est né de la vierge Maya qui était considérée comme la “Reine du Ciel’’».
Il était de naissance royale. Il accomplissait des miracles et guérissait les malades. Il
était capable de nourrir 500 hommes à partir d’un “petit panier de gâteaux”. Il marcha
sur les eaux. Il enseignait la chasteté, la douceur, la tolérance, la compassion,
l’amour et l’égalité de tous. Il fut transfiguré sur une montagne. Sakya bouddha fut
crucifié ; il souffrit puis fut ressuscité. Il monta finalement au “ciel”. Il était considéré
comme le “bon berger”, “le charpentier”. »

 Bouddha (Chine)

« Bouddha est né de la vierge Maya qui était considérée comme la “Reine du Ciel’’».
Il était de naissance royale. Il accomplissait des miracles et guérissait les malades. Il
était capable de nourrir 500 hommes à partir d’un “petit panier de gâteaux”. Il marcha
sur les eaux. Il enseignait la chasteté, la douceur, la tolérance, la compassion,
l’amour et l’égalité de tous. Il fut transfiguré sur une montagne. Sakya bouddha fut
crucifié ; il souffrit puis fut ressuscité. Il monta finalement au “ciel”. Il était considéré
comme le “bon berger”, “le charpentier”. »

 Mithra (Perse)
« Lui aussi est né d’une vierge un 25 décembre. Il était considéré comme “la Voie, la
Vérité et la Lumière”. Il était encore considéré comme “le rédempteur”, “le Sauveur”,
“le messie”. Il était identifié à la fois au Lion et à l’Agneau. Son jour sacré était le
dimanche. Il avait sa fête principale à la date qui allait ensuite devenir Pâques,
correspondant à sa résurrection. Il avait 12 compagnons ou disciples. Il
accomplissait des miracles. Il a été enterré dans un tombeau. Après trois jours, il
s’est relevé. Sa résurrection était célébrée chaque année. Sa religion comportait une
eucharistie ou “dîner du Seigneur’’ ».
Faisons une analyse.
-     Ces récits sont similaires,
          Ils sont tirés de croyances d’horizons très séparés l’un de l’autre,
      Ils présentent des dieux sauveurs qui partagent à quelques détails près le
même destin : ils sont nés à la même date, d’une vierge, ayant eu des disciples
au nombre de 12, ils sont morts et ressuscités, etc.
Ces traits communs à ces différents dieux sauveurs issus de localités éloignées l’une
de l’autre indiquent qu’il s’agit assurément de représentations de la vie d’un dieu
sauveur historique, rentré dans une légende partagée par tous les peuples. En effet,
l’histoire de Thammuz à Babylone, rapporté par Alexander Hislop, se retrouve à
quelques différences près chez tous les peuples de la terre :
 Si la promesse concernant l’écrasement de la tête du serpent raconté dans la
genèse fut réellement faite à nos premiers parents, et que toute l’humanité trouve en
eux leur origine, il faut s’attendre à en trouver quelque trace chez tous les peuples.
Or, c’est précisément ce qui a lieu. On trouverait à peine un seul peuple ou une
seule tribu dont la mythologie n’y fasse allusion » (Alexander Hislop : les deux
Babylones, P. 86-88). Il poursuit pour dire que Thammuz est Mithra chez les
Perses : « Ce fils (Thammuz) ainsi adoré dans les bras de sa mère était considéré
comme revêtu de presque tous les attributs, et appelé de presque tous les noms du
Messie promis. (….) Thammuz était appelé Adon ou Adonis. Sous le nom Mithra, il
était adoré comme Médiateur. Médiateur et chef de l’Alliance de grâce, il était appelé
Baal-bérith, le Seigneur de l’Alliance. Sous ce caractère, on le représente sur les
monuments de Perse comme assis sur l’arc-en-ciel, le symbole bien connu de
l’Alliance….. » (Alexander Hislop : les deux Babylones, P. 1O3).
Ainsi, ces récits sont nés d’une déformation et d’une amplification de faits réels,
propagées dans le monde et conservées dans la mémoire des peuples dispersés.
Ces récits sont des légendes qui trouvent tous leurs racines dans l’histoire de Nimrod
ou Thammuz à Babylone. En effet, quand Adam chuta dans le jardin d’Eden, la
promesse d’un Sauveur universelle fut faite à l’humanité pour sa rédemption. Il s’agit
de la semence de la femme de Genèse 3/15 qui prévoit un Sauveur qui doit naitre
d’une vierge. Après le déluge, la première communauté humaine s’établit à Babylone
en Mésopotamie. L’un de ses guides, Nimrod, fut un homme extraordinairement
puissant. La Bible lui rend témoignage (Genèse 10/8-1O).
Dans la même logique, Alexander écrit :
« Vivant, Nimrod fut honoré comme un héros. Mort, elle (Sémiramis, sa femme ndr)
le fera adorer comme un Dieu, bien plus, comme la Semence promise à la femme,
Zero-ashta, qui était destinée à écraser la tête du serpent, et qui dans cette victoire
devait aussi avoir le talon écrasé. Les patriarches de l’ancien monde en général
connaissaient parfaitement la grande promesse faite autrefois en Eden, et ils
savaient bien que l’écrasement du talon de la semence promise impliquait la mort du
vainqueur, et que la malédiction ne pouvait être ôtée de dessus le monde que par la
mort du grand libérateur. Si la promesse concernant l’écrasement de la tête du
serpent raconté dans la genèse fut réellement faite à nos premiers parents, et que
toute l’humanité trouve en eux leur origine, il faut s’attendre à en trouver quelque
trace chez tous les peuples. Or, c’est précisément ce qui a lieu. On trouverait à peine
un seul peuple ou une seule tribu dont la mythologie n’y fasse allusion » (Alexander
Hislop : les deux Babylones, P. 86-88).            
Ainsi, on peut affirmer que le culte de Mithra n’est autre chose qu’une réplique du
culte de Nimrod chez les Perses. Mithra est un personnage historique entré dans la
légende.
Aussi, Mithra n’est-il pas un sauveur. En effet, entre 538 à 331avant notre ère,
l’impérium mondial avait échu aux Médo-Perses. Ils venaient d’évincer le puissant
empire de Babylone. Deux siècles après, ce redoutable empire perse sombra
devant Alexandre-le-Grand de la Macédoine qui marcha sur lui et l’écrasa
le 1er octobre de l’an 331 av. notre ère à Arbèles. Comble de malheur, 30 ans après
leur massacre, quatre généraux d’Alexandre se partagèrent l’empire et depuis lors,
les perses ne se sont pas encore relevés de leurs ruines. Or, la promesse de la
semence de la femme prévoit la rédemption de l’homme. Depuis le ravage des
perses qui dure plus de 27 siècles, Mithra est demeuré dans le silence. L’homme a
besoin d’un Messie quand il ne peut plus rien faire par lui-même. La rédemption
espérée du peuple perse n’est jamais arrivée et ne se fait pas non plus poindre à
l’horizon. Jusqu’à quand Mithra tiendra-t-il l’esprit des Perses en suspens ? Mithra a
vécu historiquement sous le nom de Nimrod à Babylone.
De ce parcours, on retient que Mithra et Ieshoua ont vécu historiquement.
III- Croisement Mithra - Ieshoua HaMashiah
Mithra est le nom de Nimrod chez les Perses. Tout comme lui, Osiris, Horus,
Thammuz, Krishna, Boudha, Bacchus, Zeus, Jupiter, etc. ramènent tous au même
personnage Nimrod. Nous allons maintenant superposer l’histoire de Mithra et celle
de Ieshoua HaMashiah pour voir si ce dernier fait également référence à Mithra (ou
Nimrod).
II- Croisement Mithra - Ieshoua HaMashiah
Mithra est le nom de Nimrod chez les Perses. Tout comme lui, Osiris, Horus,
Thammuz, Krishna, Boudha, Bacchus, Zeus, Jupiter, etc. ramènent tous au même
personnage Nimrod. Nous allons maintenant superposer l’histoire de Mithra et celle
de Ieshoua HaMashiah pour voir si ce dernier fait également référence à Mithra (ou
Nimrod).

 En considérant le temps et l’espace géographique où se déroulent les deux


histoires, il faut dire que chronologiquement, l’histoire de Mithra est séparée de
celle de Ieshoua de 23 siècles. Mithra est apparu avant Ieshoua HaMashiah, et
chacun, au milieu d’un peuple différent l’un de l’autre. Mithra, fils de Cush, est un
noir, né un 25 décembre à Babylone (premier foyer de civilisation humaine après
le déluge) au moyen orient ; tandis qu’Ieshoua HaMashiah, lui, est né en Avril de
l’an -4 de notre ère, à Bethlehem en Israël au proche orient, au milieu des juifs, et
dans la famille d’Iosseph. En remontant dans la généalogie de Ieshoua
HaMashiah, Abraham est de sa lignée ; et en remontant plus loin encore, nous
trouvons Sem qui tua Mithra. Ce qui présage que ces deux personnages seraient
opposés.
 Mithra fut tué par Sem, fils de Noé. Mithra fut condamné à mort sans
sépulture, telle fut la sanction à lui infligée par le tribunal de son pays. Il fut
découpé en morceaux envoyés aux différentes tribus comme témoigne ce récit :
« La légende veut qu’il ait été tué par son frère jaloux, le dieu Seth. Isis, sa
femme, rassemble son corps démembré afin qu’il soit momifié par le dieu
embaumeur à tête de chacal, Anubis » (La légende d’Osiris, K.A. Kitchen,
Ramsès II, …). Quant à Ieshoua, condamné à mourir à la croix, ne vit pas ses os
brisés conformément à la prophétie relative à sa mort : « Ils ont percé mes
mains et mes pieds ; ils ont compté tous mes os » (Psaumes 22/17). Il fut
enterré et ressuscita 3 jours après.
 Mithra fut adoré comme Médiateur et chef de l’Alliance de Noé alors que le
sacrifice de Ieshoua HaMashiah introduisit une nouvelle Alliance après celle
d’Abraham connue sous le nom d’Alliance de circoncision ; et sous laquelle était
le patriarche Abraham lui-même et sa descendance naturelle.  
 Selon l’histoire, la venue de Mithra tire son fondement de Genèse 3/15 :
 « Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité :
celle-ci t’écrasera la tête et tu lui blesseras le talon ».
 Cette prophétie est l’annonce d’une bataille dont l’issue est la fin de la
souffrance de l’humanité. Cette bataille doit se dérouler en deux phases. Une
première phase qui verrait la semence de la femme blessée au talon (elle doit
mourir) ; et une deuxième phase qui verrait la semence de la femme écraser
la tête du serpent (elle doit l’évincer du pouvoir et l’anéantir). Selon toujours
l’histoire, Mithra a accompli les deux phases de la bataille comme le confirme
Alexander Hislop :
 « L’antique promesse ‘’la postérité de la femme écrasera la tête du serpent,’’
suggéra naturellement, l’idée d’une naissance miraculeuse. La prêtrise et la
présomption naturelle à l’homme travaillèrent à anticiper l’accomplissement de
cette promesse, … » (les deux Babylones).
 Quant à Ieshoua HaMashiah, sa mort à l’an 30 de notre ère, marqua la fin de
la première phase de la bataille où il fut piqué au talon par Rome. Il ressuscita
et alla au Père d’où il reviendra pour écraser la tête du serpent et rétablir le
royaume de David qui est un royaume de paix et de bonheur.
 On constate à tous égards, que l’un de ces personnages est le contraire de
l’autre. Bien que la semence de la femme suscite la venue des deux, on note
avec Mithra que Sem qui le blessa au talon n’a pas eu la tête écrasée à la fin
de l’accomplissement de la prophétie. Sem survécut à la suite des deux
combats jusqu’au temps d’Abraham. En outre, la souffrance qui était sensée
finir, continue d’accabler toute l’humanité. Mithra est incontestablement la
falsification de la promesse et Ieshoua HaMashiah la réalité. Même du point
de vue de l’historicité des faits, Mithra est entré par la suite dans les légendes
et les mythes ; ce qui n’est pas le cas pour Ieshoua HaMashiah dont l’histoire
dure un peu plus de deux mille ans et dont nous attendons encore la suite.
Véritablement, Ieshoua HaMashiah ne rencontre pas Mithra dans l’histoire.
Les deux hommes sont différents l’un de l’autre.
Et comme Jésus-Christ est Mithra, alors Jésus-Christ est différent de Ieshoua
HaMashiah.
Cependant, si nous trouvons le nom Jésus-Christ à la place de Ieshoua HaMashiah
dans beaucoup de versions du récit biblique, cette imposture est une œuvre réalisée
par des politiciens occidentaux et des papes auxquels il a été confié la mission de
garantir et de protéger les intérêts de Mithra (Souverain pontife, titre de dignité
dans le mithraïsme est toujours conservé jalousement par les Papes). En
effet, depuis la conquête d’Alexandre-le-Grand, il a été mené une politique impériale
qui devait aboutir à une culture unique, la culture gréco-latine. Aussi, l’entreprise de
traduction de la Bible de l’époque devait-il obéir à cette logique. C’est pourquoi
Ieshoua HaMashiah, nom à consonance hébraïque fut tout simplement remplacé par
Jésus-Christ, nom à consonance latine.
Serge DeMorier

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