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Dans ces Bibles, le nom du Créateur qui est « Adonaï()יהוה » et son titre qui
est « Elohim », ont été remplacés par ceux des divinités Gréco-latines (Dieu,
God, Deus, etc.). Ces noms sont les multiples dénominations du Soleil élevé au
rang d’objet d’adoration. Le Soleil devient par ce fait, le signifiant de Satan.
Dans ces Bibles, les noms de certains acteurs des récits bibliques,
généralement hébreux, ont été remplacés par des noms gréco-latins. Par
exemple : Kéfa est devenu Pierre, Ieshoua HaMashiah est devenu Jésus-
Christ, Myriam est devenue Marie, Yédidia est devenue
Théophile.
Dans ces Bibles mal traduites, des concepts qui sont d’origine orientale, ont
été remplacés par des concepts occidentaux : la Tébilah a été remplacée
par le Baptême, la Pessah a été remplacée par la Pâque.
Expliquant les raisons qui ont aboutit à cet état de fait, les Limmoudim ont révélé que
la loi de la traduction qui a abouti à cette forfaiture a été la substitution. Par cette
loi, la civilisation gréco-latine et ses mystères de Dieu ont remplacé la civilisation
hébraïque et les mystères d’Hashem dans les traductions de la Bible,
La Septante (la Bible grec) est la toute première traduction de la Bible à l’aide de la
loi de la substitution. Et c’est à partir de la Septante que toutes les autres
traductions seront faites, comme l’indique Francis Arinze :
« Il faut traduire en se conformant à une tradition immémoriale, évidente déjà dans
[…] la version des Septante, le nom du Dieu tout-puissant, exprimé en
hébreu dans le tétragramme ()יהוה et traduit en latin par le mot Dominus, doit être
rendu dans chaque langue vernaculaire par un mot de même
signification.» (Cardinal Francis Arinze 2008).
Ainsi, le Culte solaire babylonien a remplacé le culte d’Hashem dans la Bible.
Les Limmoudim ont indiqué que c’est ce Culte solaire babylonien qui est aujourd’hui
connue sous le nom du Christianisme. Il s’est répandu dans le monde entier par le
fait des missionnaires chrétiens. Par plusieurs images, le « Critique d’art et de
littérature spirituelle » a montré la similarité dans le fond comme dans la forme entre
le Culte du soleil et le Christianisme. Ceci pour confirmer la thèse suivante des
Limmoudim de Rabbi Ieshoua :
« Aujourd’hui l’adoration chrétienne est une adoration de Lucifer par l’idole
Sol appelée Dieu ».
Ainsi, le Christianisme est un Culte solaire. C’est pourquoi, l’auteur de la Bible
restaurée, le Kokhav de la Kéhila de Ieshoua HaMashiah a déclaré ceci : « Les
bibles traduites font la promotion de Satân ».
La caravane de la présentation et la dédicace de la Bible restaurée a débuté en
2015. Plusieurs contrées du pays ont été visitées. La communauté des Limmoudim
de Rabbi Ieshoua HaMashiah, par la Bible restaurée, a enclenchée une véritable
révolution spirituelle. C’est un bain de lumière sur les fondements de la religion
chrétienne et de biens d’autres religions aujourd’hui. Le critique d’art a conclu par
cette affirmation qui donne froid dans le dos. « Il n’y a que deux cultes dans le
monde :
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Sa naissance
Voici de quelle manière arriva la naissance de Ieshoua HaMashiah :
« Miriam, sa mère, ayant été fiancée à Iosseph, se trouva enceinte, par la vertu de la
Rouah ha Kodesh (Saint-Esprit), avant qu’ils eussent habité ensemble. Iosseph, son
époux, qui était un homme de bien et qui ne voulait pas la diffamer, se proposa de
rompre secrètement avec elle. Comme il y pensait, voici, un ange de Adonaï(
)יהוה lui apparut en songe, et dit : Iosseph, bèn David, ne crains pas de prendre
avec toi Miriam, ta femme, car l’enfant qu’elle a conçu vient de la Rouah ha Kodesh
(Saint-Esprit). Elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Ieshoua ; c’est Lui
qui sauvera son peuple de ses péchés » (Mathieu1/18-21).
Iéshoua HaMashiah naquit en Mars de l’an -4, à Bethlehem. Les mages vinrent
informer Hérode qui fut troublé et commença à le détester comme un potentiel
prétendant au règne. Son nom détermine sa mission terrestre, c’est : Ieshoua le nom
donné par l’ange. Son nom avait aussi été prophétisé par Esaïe : « Immanouël »qui
signifie « Elohim avec Nous ».
Sa mort
Sa résurrection
Horus (Egypte)
Horus (Egypte)
Krishna (Inde)
« Krishna est né de la vierge Devaki (“La Divine”). Son père était charpentier. Sa
naissance était attendue par des anges, des hommes sages et des bergers. Il fut
persécuté par un tyran qui ordonna le meurtre de milliers d’enfants en bas âge. Il
était de naissance royale. Il fut baptisé dans le Gange. Il accomplissait des miracles.
Il ressuscitait les morts et guérissait les lépreux, les sourds et les aveugles. Krishna
utilisait des paraboles pour enseigner au peuple la charité et l’amour. Il fut transfiguré
devant ses disciples. Certaines traditions racontent qu’il mourut sur un arbre,
d’autres relatent qu’il fut crucifié entre deux voleurs. Il ressuscita d’entre les morts et
monta au ciel. Ses disciples lui donnèrent le titre de “jezeus”, ce qui signifie “pure
essence”. Krishna doit revenir se battre contre le “Prince du mal” qui désolera la
terre »
Bouddha (Chine)
« Bouddha est né de la vierge Maya qui était considérée comme la “Reine du Ciel’’».
Il était de naissance royale. Il accomplissait des miracles et guérissait les malades. Il
était capable de nourrir 500 hommes à partir d’un “petit panier de gâteaux”. Il marcha
sur les eaux. Il enseignait la chasteté, la douceur, la tolérance, la compassion,
l’amour et l’égalité de tous. Il fut transfiguré sur une montagne. Sakya bouddha fut
crucifié ; il souffrit puis fut ressuscité. Il monta finalement au “ciel”. Il était considéré
comme le “bon berger”, “le charpentier”. »
Bouddha (Chine)
« Bouddha est né de la vierge Maya qui était considérée comme la “Reine du Ciel’’».
Il était de naissance royale. Il accomplissait des miracles et guérissait les malades. Il
était capable de nourrir 500 hommes à partir d’un “petit panier de gâteaux”. Il marcha
sur les eaux. Il enseignait la chasteté, la douceur, la tolérance, la compassion,
l’amour et l’égalité de tous. Il fut transfiguré sur une montagne. Sakya bouddha fut
crucifié ; il souffrit puis fut ressuscité. Il monta finalement au “ciel”. Il était considéré
comme le “bon berger”, “le charpentier”. »
Mithra (Perse)
« Lui aussi est né d’une vierge un 25 décembre. Il était considéré comme “la Voie, la
Vérité et la Lumière”. Il était encore considéré comme “le rédempteur”, “le Sauveur”,
“le messie”. Il était identifié à la fois au Lion et à l’Agneau. Son jour sacré était le
dimanche. Il avait sa fête principale à la date qui allait ensuite devenir Pâques,
correspondant à sa résurrection. Il avait 12 compagnons ou disciples. Il
accomplissait des miracles. Il a été enterré dans un tombeau. Après trois jours, il
s’est relevé. Sa résurrection était célébrée chaque année. Sa religion comportait une
eucharistie ou “dîner du Seigneur’’ ».
Faisons une analyse.
- Ces récits sont similaires,
Ils sont tirés de croyances d’horizons très séparés l’un de l’autre,
Ils présentent des dieux sauveurs qui partagent à quelques détails près le
même destin : ils sont nés à la même date, d’une vierge, ayant eu des disciples
au nombre de 12, ils sont morts et ressuscités, etc.
Ces traits communs à ces différents dieux sauveurs issus de localités éloignées l’une
de l’autre indiquent qu’il s’agit assurément de représentations de la vie d’un dieu
sauveur historique, rentré dans une légende partagée par tous les peuples. En effet,
l’histoire de Thammuz à Babylone, rapporté par Alexander Hislop, se retrouve à
quelques différences près chez tous les peuples de la terre :
Si la promesse concernant l’écrasement de la tête du serpent raconté dans la
genèse fut réellement faite à nos premiers parents, et que toute l’humanité trouve en
eux leur origine, il faut s’attendre à en trouver quelque trace chez tous les peuples.
Or, c’est précisément ce qui a lieu. On trouverait à peine un seul peuple ou une
seule tribu dont la mythologie n’y fasse allusion » (Alexander Hislop : les deux
Babylones, P. 86-88). Il poursuit pour dire que Thammuz est Mithra chez les
Perses : « Ce fils (Thammuz) ainsi adoré dans les bras de sa mère était considéré
comme revêtu de presque tous les attributs, et appelé de presque tous les noms du
Messie promis. (….) Thammuz était appelé Adon ou Adonis. Sous le nom Mithra, il
était adoré comme Médiateur. Médiateur et chef de l’Alliance de grâce, il était appelé
Baal-bérith, le Seigneur de l’Alliance. Sous ce caractère, on le représente sur les
monuments de Perse comme assis sur l’arc-en-ciel, le symbole bien connu de
l’Alliance….. » (Alexander Hislop : les deux Babylones, P. 1O3).
Ainsi, ces récits sont nés d’une déformation et d’une amplification de faits réels,
propagées dans le monde et conservées dans la mémoire des peuples dispersés.
Ces récits sont des légendes qui trouvent tous leurs racines dans l’histoire de Nimrod
ou Thammuz à Babylone. En effet, quand Adam chuta dans le jardin d’Eden, la
promesse d’un Sauveur universelle fut faite à l’humanité pour sa rédemption. Il s’agit
de la semence de la femme de Genèse 3/15 qui prévoit un Sauveur qui doit naitre
d’une vierge. Après le déluge, la première communauté humaine s’établit à Babylone
en Mésopotamie. L’un de ses guides, Nimrod, fut un homme extraordinairement
puissant. La Bible lui rend témoignage (Genèse 10/8-1O).
Dans la même logique, Alexander écrit :
« Vivant, Nimrod fut honoré comme un héros. Mort, elle (Sémiramis, sa femme ndr)
le fera adorer comme un Dieu, bien plus, comme la Semence promise à la femme,
Zero-ashta, qui était destinée à écraser la tête du serpent, et qui dans cette victoire
devait aussi avoir le talon écrasé. Les patriarches de l’ancien monde en général
connaissaient parfaitement la grande promesse faite autrefois en Eden, et ils
savaient bien que l’écrasement du talon de la semence promise impliquait la mort du
vainqueur, et que la malédiction ne pouvait être ôtée de dessus le monde que par la
mort du grand libérateur. Si la promesse concernant l’écrasement de la tête du
serpent raconté dans la genèse fut réellement faite à nos premiers parents, et que
toute l’humanité trouve en eux leur origine, il faut s’attendre à en trouver quelque
trace chez tous les peuples. Or, c’est précisément ce qui a lieu. On trouverait à peine
un seul peuple ou une seule tribu dont la mythologie n’y fasse allusion » (Alexander
Hislop : les deux Babylones, P. 86-88).
Ainsi, on peut affirmer que le culte de Mithra n’est autre chose qu’une réplique du
culte de Nimrod chez les Perses. Mithra est un personnage historique entré dans la
légende.
Aussi, Mithra n’est-il pas un sauveur. En effet, entre 538 à 331avant notre ère,
l’impérium mondial avait échu aux Médo-Perses. Ils venaient d’évincer le puissant
empire de Babylone. Deux siècles après, ce redoutable empire perse sombra
devant Alexandre-le-Grand de la Macédoine qui marcha sur lui et l’écrasa
le 1er octobre de l’an 331 av. notre ère à Arbèles. Comble de malheur, 30 ans après
leur massacre, quatre généraux d’Alexandre se partagèrent l’empire et depuis lors,
les perses ne se sont pas encore relevés de leurs ruines. Or, la promesse de la
semence de la femme prévoit la rédemption de l’homme. Depuis le ravage des
perses qui dure plus de 27 siècles, Mithra est demeuré dans le silence. L’homme a
besoin d’un Messie quand il ne peut plus rien faire par lui-même. La rédemption
espérée du peuple perse n’est jamais arrivée et ne se fait pas non plus poindre à
l’horizon. Jusqu’à quand Mithra tiendra-t-il l’esprit des Perses en suspens ? Mithra a
vécu historiquement sous le nom de Nimrod à Babylone.
De ce parcours, on retient que Mithra et Ieshoua ont vécu historiquement.
III- Croisement Mithra - Ieshoua HaMashiah
Mithra est le nom de Nimrod chez les Perses. Tout comme lui, Osiris, Horus,
Thammuz, Krishna, Boudha, Bacchus, Zeus, Jupiter, etc. ramènent tous au même
personnage Nimrod. Nous allons maintenant superposer l’histoire de Mithra et celle
de Ieshoua HaMashiah pour voir si ce dernier fait également référence à Mithra (ou
Nimrod).
II- Croisement Mithra - Ieshoua HaMashiah
Mithra est le nom de Nimrod chez les Perses. Tout comme lui, Osiris, Horus,
Thammuz, Krishna, Boudha, Bacchus, Zeus, Jupiter, etc. ramènent tous au même
personnage Nimrod. Nous allons maintenant superposer l’histoire de Mithra et celle
de Ieshoua HaMashiah pour voir si ce dernier fait également référence à Mithra (ou
Nimrod).