Вы находитесь на странице: 1из 2

Introduction

Indépendants sur le plan embryologique, les dents et les sinus maxillaires, contactent très tôt
dans leur vie des rapports conditionnés par les particularités de leurs interrelations pathologiques.
Ils entretiennent une relation étroite c’est-à-dire proximité des sinus maxillaires et des apex des
dents dites antrales associée parfois à l’absence de réelle corticale du plancher sinusien explique
la grande perméabilité de ce plancher, mettant en quasi communication les alvéoles antrales et
les cavités sinusiennes maxillaires, mais explique aussi que certaines pathologies dentaires
peuvent engendrer des conséquences sinusiennes. Ces conséquences sont de différentes natures,
elles peuvent être infectieuse (les plus fréquentes), traumatique, kystique ou tumorale.
Les sinusites maxillaires sont des infections fréquentes de la sphère ORL. Les infections
dentaires représentent une des causes les plus fréquentes de sinusite maxillaire, on les retrouve
dans la littérature représente près de 10 à 12 % des sinusites chroniques et 40% des sinusites
maxillaires aigues d’où l’intérêt que nous portons a ces pathologies sinusiennes dans notre
spécialité. En effet, le stomatologue est concerné par la prévention et la prise en charge de ces
pathologies, soit seul, ou en collaboration avec l’Oto-Rhino-Laryngologiste. Pour se faire, on se
doit de connaitre le profil clinique, étiologique et radiologique de ces pathologies sinusiennes, de
savoir les diagnostiquer et de limiter la complication, et sans oublier un minimum de
connaissances de bases fondamentales (anatomie, physiologie…), est indispensable.
Conclusion
Étant donné l’intime contiguïté entre les dents et le plancher du sinus maxillaire, ces deux entités
entretiennent parfois des relations pathogènes. Le diagnostic des sinusites maxillaires d’origine
dentaire se fait en reliant l’affection sinusienne à l’étiologie dentaire, tout en se basant sur la
symptomatologie clinique et les résultats radiographiques.
Une thérapeutique adaptée avec une concertation pluridisciplinaire bien organisée permettent
d’éviter de sérieuses complications et des séquelles. Une collaboration est nécessaire entre
l’otorhinolaryngologiste et le chirurgien-dentiste qui joue éventuellement un rôle majeur dans la
prévention de ces pathologies.
Le maxillaire est le foyer du couple formé par les dents maxillaires (deuxième prémolaire, première et
deuxième molaires) et le sinus maxillaire. Ce couple uni pour (presque) toute la vie cohabite
généralement en bonne harmonie. Cependant, les relations peuvent se tendre et devenir épouvantables
dans certaines situations pathologiques ou iatrogènes.

Selon l’étiologie de ces affections, leur nature et leurs sièges, peuvent se voient des pathologies
traumatiques, infectieuses, tumorales, mais ont en commun l’origine dentaire, d’où l’intérêt que nous
portons a ces pathologies sinusiennes dans notre spécialité. En effet, le médecin dentiste est concerné
par la prévention et la prise en charge de ces pathologies, soit seul, ou en collaboration avec l’Oto-
Rhino-Laryngologiste.

Pour se faire, on se doit de connaitre le profil clinique, étiologique et radiologique de ces pathologies
sinusiennes, de savoir savoir les diagnostiquer et de limiter la complication. Pour se faire un minimum
de connaissances de bases fondamentales (anatomie, physiologie…), est indispensable.

Вам также может понравиться