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Réseaux
avancés


IFIPS
APP3

Camille
Coti
coti@lri.fr

Horaires

•  4
cours

–  9/09
am,
10/09
pm,
5/10
am,
8/10
pm

•  4
TD

–  11/09
pm,
7/10
am,
9/10
pm,
?

•  2
TP

–  ?,
?

Programme

•  Réseaux
avancés

–  Réseaux
haut
débits

–  Infrastructures
de
communications

•  Réseaux
mobiles

–  Infrastructures

–  Protocoles

•  Cryptographie

–  Chiffrements
symétriques
et
asymétriques

•  Communications
satellitaires

Bibliographie

•  Réseaux,
Andrew
Tanenbaum,
Dunod

•  Les
Réseaux,
Guy
Pujolle,
Eyrolles

•  Cryptographie
Appliquée,
Bruce
Schneier,

Vuibert

Réseaux
hauts
débits

Rappels

•  Le
modèle
OSI

–  Couches
1
à
4
:
communications

–  Couches
5
à
7
:
application


•  Autre
modèle
:
TCP/IP

–  <2
:
liaison

–  >
5
:
application

Le
modèle
OSI

•  Communications
entre

niveaux
égaux

•  On
ajoute
un
en‐tête

par
rapport
au
niveau

inférieur

Rappels
(suite)

•  Taille
des
réseaux

–  LAN

•  Privé

•  Distance
:
<1km

•  Topologie
:
bus
(Ethernet),
anneau
(token
ring)

–  MAN

•  Privé
ou
public

•  Taille
d’une
ville

–  WAN

•  Public

•  Taille
d’un
pays

•  Routage

Exemples
de
protocoles

•  TCP/IP

–  Couche
3
pour
IP,
4
pour
TCP

–  Aucune
hypothèse
sur
les
couches
1
et
2

•  X.25

–  Couches
1,
2
et
3

•  ATM


–  Couche
2
(environ)

Réseaux
hauts
débits

Les
réseaux
rapides

•  Qu’est‐ce
qu’un
réseau
rapide
?

–  Performances
?
Bande
passante,
latence
?

–  Capacité
?

•  Qu’attend‐on
d’un
réseau
rapide
?

–  Distance
?
LAN,
WAN
?

Infrastructure
d’un
réseau

•  “backbone”

–  Fibre
optique

–  ATM,
X.25


•  Interconnecte
des

réseaux

La
couche
réseau

•  Routage

–  Principe
d’optimalité

–  Algorithmes
courants

•  Contrôle
de
congestion

•  Interconnexion
de
réseaux

•  Internet

•  Exemples
:
ATM,
IPv6

Réseaux
haut
débit


ROUTAGE

Routage

•  Deux
classes
d’algorithmes

–  Adatpatif

•  Décisions
fondées
sur
le
trafic,
la
topologie…

•  Peuvent
modifier
leurs
décisions
en
cas
de

modifications
de
la
topologie
(tolérance
aux
pannes)

–  Statique

•  Calcul
à
l’avance
des
routes

Routage
:
principes
d’optimalité

•  Principe
d’optimalité


–  Si
le
chemin
de
A
vers
B
est
optimal


 
alors
si
C
est
sur
le
chemin
entre
A
et
B


 
la
portion
[AC]
de
[AB]
est
optimal
entre
A
et
C



•  Arbre
collecteur

–  Tous
les
chemins
optimaux
de
toutes
les
sources

vers
une
destination
donnée

Routage
par
plus
court
chemin

•  Plus
court
chemin
(Dijkstra
1959)

–  Routage
dans
un
graphe
connexe

–  Les
arêtes
du
graphe
ont
un
poids

•  Cela
peut
être
une
fonction
de
coût
(latence…)

•  Algorithme
:

–  Initialisation
:
distance
infinie

–  Recherche
du
voisin
le
plus
proche

•  Connecté
avec
une
arête
de
poids
minimal

–  Recherche
du
voisin
minimisant
le
poids
pour
rejoindre
un

noeud
d’intérêt

–  Condition
d’arrêt
:
quand
le
graphe
forme
un
arbre

couvrant
ou
que
tous
les
noeud
d’intérêt
sont
dans
le

graphe

•  Glouton

•  Complexité
:
O(
(E+V)
log
V)

Routage
par
innondation

•  Chaque
paquet
entrant
est
envoyé
sur
tous
les

liens
de
sortie

–  Sauf
la
ligne
d’arrivée

•  Génère
un
grand
nombre
de
paquets

–  Mesures
pour
éviter
les
doublons,
arrêter
le

processus…

•  Utilisé
dans
des
applications
nécessitant
une

grande
robustesse

Routage
de
la
patate
chaude

•  Principe
:
se
débarasser
du
paquet
le
plus
vite

possible
(ouch,
ça
brûle
!)

–  On
l’envoie
sur
le
lien
le
moins
chargé

•  Peu
efficace
en
apparence

–  Mais
il
est
adaptatif

–  Couplé
à
un
algorithme
de
routage
statique
pour

cumuler
les
avantages
des
deux

Routage
Bellman‐Ford

•  Utilise
un
vecteur
de
distances

•  À
chaque
étape
on
“relaxe”
les
noeuds

•  Permet
de
détecter
des
cycles
(circuits

absorbants
si
le
graphe
n’est
pas
orienté)

–  Autorise
les
liens
de
poids
négatif

•  Utilisé
dans
ARPANET,
RIP,
DECnet,
IPX

(Novell),
Appletalk
et
les
routeurs
Cisco

•  Complexité
:
O(VE)

Routage
par
information
d’état
de
lien

•  Tient
compte
des
liens
réseaux

–  Leur
capacité

–  Leur
état

•  5
points
à
respecter
par
les
routeurs

–  Découvrir
ses
voisins

–  Mesurer
le
temps
d’acheminement
vers
ses

voisins

–  Mettre
ces
infos
dans
un
paquet

–  Envoyer
ce
paquet
aux
autres
routeurs

–  Calculer
le
plus
court
chemin
vers
tous
les
autrs

routeurs

Routage
hiérarchique

•  Réduction
de
la
taille
des
tables
de
routage

•  Regroupement
des
routeurs

–  Par
pays

–  Par
zone

–  Par
région…

•  Surcoût
:
augmentation
de
la
longueur
du

chemin

Réseaux
hauts
débits


CONTRÔLE
DE
CONGESTION

Congestion
d’un
réseau

•  Trafic
trop
important
pour
la
capacité
du

réseau

•  Les
performances
s’écroulent

–  Paquets
arrivant
de
plusieurs
liens
d’un
routeur
à

destination
d’un
même
lien

–  Débordement
des
files
d’attente
des
routeurs

•  Augmenter
infiniment
la
longueur
des
FA
ne
résoud
pas

le
problème
(Nagle
1987)

–  Processeurs
internes
des
routeurs
trop
lents

•  La
congestion
s’entretient
elle‐même

–  Rejeu
des
paquets
détruits

Contrôle
de
la
congestion

•  Surveillance
de
l’état
du
réseau


–  Pourcentage
de
paquets
détruits
par
les
routeurs

–  Longueur
des
FA

–  Nombre
de
paquets
hors
délais
ou
retransmis

–  Temps
d’acheminement
moyen
et
sa
variation

•  Signalisation
et
ajustements

–  Modification
des
algos
de
routage

Politiques
de
canalisation
du
trafic

•  Algorithme
du
seau
percé

–  On
envoie
N
paquets
par
top
d’horloge,
pas
plus

–  ATM
:
les
paquets
ont
tous
la
même
taille

•  Variantes

–  Seau
percé
à
compte
d’octets

•  On
envoie
N
octets
par
top
d’horloge

–  Seau
percé
à
jeton

•  On
génère
J
jetons
par
top
d’horloge

•  On
n’envoie
pas
plus
d’octets
qu’on
a
de
jetons
en
main

Spécification
du
flux

•  Un
problème
important
:
la
jiggue

–  Double
de
la
variation
de
phase
moyenne
du

délais
d’acheminement

–  Problématique
pour
les
applis
de
type
ToIP,

multimedia…

–  Retarder
les
paquets
trop
rapides,
accélérer
les

paquets
en
retard

Politique
de
délestage

•  Un
routeur
surchargé
détruit
des
paquets

–  Délestage
discriminant

•  Nécessite
une
coopération
des
émetteurs

–  Destruction
en
fonction
du
type
d’application

•  Ex
:
ToIP
peut
se
permettre
de
perdre
des
paquets

–  Les
cellules
ATM
ont
un
champ
pour
la
priorité

Réseaux
haut
débit


LE
PROTOCOLE
ATM

Asynchronous
Transfer
Mode

•  Protocole
à
commutation
de
cellules

–  Chaque
cellule
a
une
taille
fixe
de
53
octets

•  5
octets
d’en‐tête

•  48
octets
de
données

–  Commutation
par
établissement
de
circuit
virtuel

•  Avantage
de
simplicité
de
la
commutation
de
circuit

•  Flexibilité
de
la
commutation
de
paquets

–  Petites
cellules
‐>
moins
de
jigue

–  Prise
en
compte
de
la
QoS

•  Applications

–  Backbone
d’opérateurs
de
télécoms

•  Y
compris
sur
le
RTC

–  RNIS

Pile
du
protocole
ATM

•  3
niveaux

•  Couche
AAL
(ATM
Adaptation
Layer)

–  Adaptation
du
flux
à
la
structure
des
cellules

•  Segmentation
des
données
qui
arrivent
en
cellules
de
48

octets
+
en‐tête

–  Une
implémentation
par
type
de
trafic

•  Couche
ATM
 Applications

Couche
AAL

–  Construction
de
la
cellule

Couche
ATM

–  Commutation

Couche
physique

–  Mutiplexage/démultiplexage

•  Dans
le
modèle
OSI

–  Couche
2

–  On
peut
avoir
de
l’IPoATM,
etc

Circuit
virtuel

•  Un
identifiant
de
circuit
virtuel
ou
de
chemin

virtuel
est
présent
dans
l’en‐tête
(8
à
12
bits

ou
16
bits)

–  Couche
réseau
basée
sur
le
concept
de
circuit

–  Service
orienté
connexion

•  Pour
les
modes
paquets

•  Avantages

–  Fiabilité

–  Contrôle
de
flux

–  Qos

Types
de
QoS
disponibles

•  Constant
Bit
Rate
(CBR)

–  Le
taux
est
spécifié
(Peak
Cell
Rate,
PCR)

•  téléphone

•  Variable
Bit
Rate
(VBR)

–  On
donne
une
moyenne

•  RT‐VBR
:
temps
réel

–  Vidéo
conférence

•  NRT‐VBR
:
non
temps
réel

–  Transfert
multimedia

•  Available
Bit
Rate
(ABR)

–  On
garanti
un
minimum

•  Surf
sur
internet

•  Unspecified
Bit
Rate
(UBR)

–  Le
taux
n’est
pas
spécifié

•  Transfert
de
fichier
en
tâche
de
fond

Contrôle
de
congestion

•  Trois
catégories
de
stratégies

–  Contrôle
d’admission

•  Prévention
de
la
congestion

•  Description
du
besoin
lors
de
l’établissement
du
circuit

•  Affectation
de
la
route
optimale
pour
y
répondre

–  Réservation
de
ressources

•  Également
lors
de
l’établissement

•  Réservation
de
la
bande
passante
le
long
du
circuit

–  Contrôle
du
débit
des
cellules

•  Suivant
le
service

–  Poubelisation
de
cellules,
réduction
du
trafic
à
la
source…

Structure
d’une
cellule
ATM
UNI

•  User‐Network
Interface


7
 6
 5
 4
 3
 2
 1
 0

Generic
Flow
control
 Virtual
Path
Identifier

Virtual
Path
Identifier
 Virtual
Channel
Identifier

Virtual
Channel
Identifier

Cell
Loss

Virtual
Path
Identifier
 Payload
type

Priority

Header
Error
Control


Payload
(48
octets),
bourrage
si
nécessaire

Structure
d’une
cellule
ATM
NNI

•  Network‐Network
Interface


7
 6
 5
 4
 3
 2
 1
 0

Virtual
Path
Identifier

Virtual
Path
Identifier
 Virtual
Channel
Identifier

Virtual
Channel
Identifier

Cell
Loss

Virtual
Path
Identifier
 Payload
type

Priority

Header
Error
Control


Payload
(48
octets),
bourrage
si
nécessaire

Deux
types
de
cellules

•  Nework
Network
Interface

–  Entre
deux
équipements
réseau

•  User
Network
Interface

–  Entre
un
utilisateur
et
un
équipement
réseau

•  Le
champ
de
contrôle
de
flux
générique
est

écrasé
au
premier
passage
dans
un

commutateur

–  Signification
locale
uniquement

Multiplexage
des
communications

•  Conduit
virtuel
(VCI)
vs
chemin
virtuel
(VPI)

–  1
canal
=
plusieurs
chemins
virtuels

–  1
chemin
virtuel
=
plusieurs
circuits
virtuels

•  Canal
de
transmision
=
tuyau
physique

Établissement
d’une
connexion

•  Propagation
d’un
message
SETUP
d’un
bout
à

l’autre
du
circuit

–  Établissement
du
circuit
virtuel

•  Même
principe
pour
la
fermeture
d’une

connexion

–  Propagation
d’un
message
RELEASE

•  Création
de
groupes
multidestinataires

–  Propagation
d’un
message
ADD
PARTY

Transmission
des
cellules
ATM

•  Support
de
réseaux
synchrones
ou

asynchrones

–  Si
le
réseau
est
synchrone,
on
envoie
des
cellules

•  Éventuellement
vides
(cellules
de
bourrage)

•  Contrôle
d’erreur
uniquement
sur
l’en‐tête

–  Limitation
du
risque
de
mauvaises
transmission

–  Moins
lourd
qu’un
contrôle
sur
tout
le
paquet

•  Possibilité
de
faire
un
CRC
sur
plusieurs

cellules
consécutives

Commutation
dans
les
réseaux
ATM

•  Commutation
/
routage

–  Routage
=
couche
3,
commutation
=
couche
2

–  La
commutation
de
paquets
(frame
relay)
est

adapté
aux
transmissions
de
données

–  La
commutation
de
circuit
est
adapté
aux

communications
(RTC…)

•  Routage

–  Correspondance
VPI/VCI

Commutation
ATM

•  À
l’intérieur
d’un
réseau

–  Uniquement
sur
le
champ
VPI

–  On
passe
par
le
circuit
virtuel
établi

•  Modification
du
réseau

–  Si
un
lien
physique
est
modifié
(perturbation)

•  Modification
de
la
commutation
du
conduit
virtuel

•  Tous
les
circuits
virtuels
sur
ce
conduit
sont
déviés
en

même
temps


•  Et
donc
la
commutation
de
toutes
les
cellules
est

adaptée
automatiquement

Exemple
d’utilisation
:
l’ADSL

•  Asymetric
Digital
Subscriber
Line

–  De
la
famille
des
xDSL
:
HDSL,
SDSL,
ADSL,
RADSL,

VDSL

–  Symétrie
ou
non,
débit
montant/descendant,

vitesse
de
transmission,
distance
maximale…

•  Séparation
du
signal
selon
les
fréquences


0‐4
kHz
 25‐160
kHz
 240
kHz‐1,5
MHz



Voix
 Données
montantes
 Données
descendantes

Architecture
d’un
réseau
ADSL

•  Entre
la
maison
de
l’abonné
et
le
répartiteur

–  Ligne
FT
“boucle
locale”

•  Au
niveau
du
répartiteur
(ou
NRA)

–  Un
équipement
:
le
DSLAM

•  Multiplexage
temportel
des
communications
venant
de

chez
les
abonnés

•  Redirection
du
trafic
vers
le
réseau
de
l’opérateur

(backbone)


Boucle
locale
 DSLAM
 Backbone
FAI



IP
 Traduction
IP
<‐>
ATM
 ATM

Réseaux
haut
débit


LE
PROTOCOLE
IPV6

Objectifs
d’IPv6

•  Augmentation
de
la
plage
d’adressage

•  Réduction
de
la
taille
des
tables
de
routage

•  Simplification
du
protocole


–  Accélérer
le
traitement
des
datagrammes
par
les
routeurs

•  Authentification
et
sécurité

–  Non
pris
en
charge
par
IPv4

•  Prise
en
compte
du
type
de
service


–  temps
réel…

•  Multicast

•  Roaming
sans
changement
d’adresse

•  Plus
de
flexibilité
et
d’évolutivité

•  Coexistance
pacifique
avec
IPv4

Naissance
d’IPv6

•  Appel
à
contribution
dans
la
RFC
1550

–  15
décembre
1993

–  21
réponses
classées,
triées

•  Version
finale


–  Combinaison
des
3
meilleures
propositions

•  Respect
des
objectifs

–  Non
compatible
avec
IPv4

•  Mais
compatible
avec
les
autres
protocoles
Internet

(dont
TCP,
UDP,
ICMP,
IGMP,
OSPF,
BGP,
DNS)

Améliorations
d’IPv6
sur
IPv4

•  Adresses
plus
longues

–  Extension
de
la
plage
d’adressage

•  Simplification
de
l’en‐tête

–  7
champs
au
lieu
de
13

•  Plus
de
souplesse
dans
les
options

–  Des
champs
obligatoires
d’IPv4
sont
devenus

optionnels

–  Souplesse
dans
le
traitement
des
options

•  Les
routeurs
peuvent
ne
traiter
que
les
options
qui
les

concernent

•  Sécurité

–  Authentification
et
confidentialité

En‐tête
IPv6

En‐tête
IPv6
(suite)

•  Champ
version
:
4
pour
IPv4,
6
pour
IPv6

–  Les
routeurs
doivent
examiner
ce
champ
durant
la
période

de
transition

•  Champ
priorité
:
contrôle
de
flux

–  0
à
7
:
ralentissement
possible
en
cas
de
congestion

•  Recommandation
:
1
=
news,
4
=
ftp,
6
=
telnet

–  8
à
15
:
trafic
temps
réel,
débit
constant,
pertes
possibles

(audio…)

•  Champ
étiquette
de
flot
:
ouverture
de
pseudo‐
connexion


–  Expérimental

–  Numéro
d’identification
du
flot


En‐tête
IPv6
(suite
2)

•  Champ
longueur
de
charge
utile
:
devinez…

•  Champ
en‐tête
suivant
:
type
de
l’en‐tête

suivant

–  Possibilité
d’utiliser
des
en‐têtes
additionnels

(optionnels)

•  Champ
nombre
max
de
sauts
:
TTL

–  Évite
aux
datagramme
de
boucler
indéfiniment

Adresses
IPv6

•  16
octets

•  8
groupes
de
4
chiffres
hexadécimaux

–  8000:0000:0000:0000:01234:4567:89AB:CDEF

•  Beaucoup
d’adresses
disponibles

–  3x1038

–  Soit
7x1023
adresses
par
m2
de
terre
(eau

comprise)

•  Compatibilité
IPv4

–  ::192.168.1.1

IPv6
:
en‐têtes
optionnels

•  Pas‐à‐pas


–  Infos
pour
les
routeurs

•  Routage


–  Route
à
suivre
complètement
ou
partiellement

•  Fragmentation


–  Gestion
des
fragments
du
datagramme

•  Authentification

–  Vérification
de
l’identité
de
l’émetteur

•  Charge
utile
chiffrée

–  Chiffrement
des
données

•  Options
de
destination

–  Infos
additionnelles
pour
le
destinataire

Réseaux
haut
débit


LE
ROUTAGE
SUR
INTERNET

Hiérarchie
de
routeurs

•  3
niveaux
de
routeurs
sur
Internet

–  Les
routeurs
internes

•  Routage
au
sein
d’un
réseau
autonome

•  Échange
d’infos
entre
routeurs
via
protocoles
comme

RIP
et
OSPF

–  Les
routeurs
externes

•  Routent
entre
les
routeurs
internes

•  Protocole
EGP

–  Les
routeurs
noyaux

•  Routeurs
principaux

Les
réseaux
régionaux

•  Grandes
régions

–  Par
exemple,
1
par
réseau
d’opérateur
national

–  Renater
en
est
un

•  Interconnectés
par
les
routeurs
noyaux

–  Le
backbone
des
routeurs
noyaux
est
réparti
par

grandes
régions
géographiques

•  Backbone
Europe,
backbone
USA…

•  Reliées
par
lignes
louées
trans‐océaniques

•  Entre
opérateurs

–  Chaque
opérateur
a
son
réseau
(Tier
1)
ou
loue
une

partie
de
ses
liaisons
(Tier
2)

–  Routage
entre
les
réseaux
des
différents
opérateurs

(“peering”)

À
demain

•  ATTENTION


13H30
–
17H30


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