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SOCIOLOGIE DE L’EDUCATION
OBJECTIFS DU COURS :
PLAN DU COURS
Introduction
La réflexion sur l’éducation a été traversée au cours de ces dernières années par une
profusion de théories se distinguant les unes des autres par leur manière d’appréhender les
problèmes de l’éducation.
Dans le champ de la sociologie de l’éducation, les théories ont varié de par leurs
postulats d’analyse, de par les méthodologies d’approche et, surtout, de par les références
épistémologiques et les considérations d’ordre politique ou idéologique.
-Les prémisses de la sociologie de l’éducation sont à situer dans les travaux de WEBER et de
DURKHEIM Emile.
-Les différentes enquêtes menées aux USA, en France, en ANGLETERRE, qui ont déclenché
une idée de naissance de la Sociologie de L’Education avec les résultats de ces enquêtes qui
ont été motivé par les difficultés rencontrées dans le secteur de l’éducation.
Dans ces trois espaces géographiques, on a eu à avoir des approches différentes sur les
inégalités sociales liées aux origines sociales, géographiques. Et la question centrale de ces
enquêtes était centrée sur les inégalités sociales :
(1967)
-En France, les différentes enquêtes menées dans le cadre de l’Institut National d’Etude
Démographique(INED) durant les années 1962, 1963, 1965, 1966.
Toutes ces enquêtes ont été commanditées à cause des difficultés, problèmes rencontrés
dans le secteur de l’éducation.
Une des préoccupations de COLEMAN était de tester cette hypothèse pour voir en
quoi les différences objectives entre école rendaient compte des écarts de réussite entre
élèves. A cette interrogation, COLEMAN répondra par la conclusion selon laquelle c’est
surtout les origines ethniques qui sont le facteur déterminant de la réussite ou non des élèves
et non l’école.
Les conclusions de COLEMAN ont abouti au postulat que « les variations inter-école
sont nettement moins importantes que les variations intra-école (évaluer les catégories
sociales des élèves) : les sources de différences de performances résident dans les facteurs
ethniques et sociaux, les établissements n’arrivent nullement à mettre leurs élèves au même
niveau (à capital culturel différent, réussite sociale différente) » (Charlier, 1996 :9).
Le rapport de COLEMAN, dans ses conclusions que l’écart entre les réussites n’était pas
dû à des facteurs scolaires, mais plutôt à l’origine socioculturelle des familles (family
background). Le fait que la fréquentation d’une « bonne » ou d’une « mauvaise » école
importe peu dans la performance de l’élève fait conclure à COLEMAN que l’origine sociale
est la variable prépondérante dans la réussite scolaire. Les facteurs sociaux exercent plus
d’influences sur les performances ou réussites des élèves que les facteurs scolaires. Plus le
milieu injecte des ressources financières dans l’école plus celle-ci performante.
-La première solitude est due au fait que l’élève transporte à l’école un capital culturel
familial qui n’a pas de valeur
-La seconde solitude est due au fait que l’élève, en revenant de l’élève transporte un
savoir qui n’a pas de valeur dans l’univers familial.
Dans les deux cas, l’enfant se trouve dans une situation de rupture.
Les taux d’abandon des jeunes avant la fin de leur cycle d’étude (Early Living, 1954),
l’orientation et la réussite scolaire (Plowden report, 1967) et aux problèmes de délinquance
juvénile et enfin le troisième rapport porte sur l’influence des variables psychosociologiques
sur la réussite scolaire de l’enfant.
Les enquêtes successives (05) menées en France par l’INED et ses différents rapports
(1962, 1963, 1964, 1965, 1966) ont essentiellement porté sur les inégalités de chance d’accès
et de réussite aux études. « Elle marque comme l’écrit Charlier, le triomphe des schémas
théoriques sur l’hypothèse culturaliste » Charlier (1993 :13).
Les enquêtes de l’INED ont invalidé l’hypothèse optimiste qui fait de l’école un
instrument efficace d’égalisation des chances des individus devant la vie (l’école est
l’instrument pour mettre tout le monde au même pied d’égalité de chance selon Durkheim) ;
tous les enfants ne sont pas mis les mêmes conditions d’étude : environnement scolaire,
social, familial,…
Elles ouvrent ainsi la voie à l’analyse critique de l’institution scolaire considérée comme
un lien de reproduction et pérennisation des inégalités sociales. Ces enquêtes ont fortement les
théoriciens de la reproduction comme Bourdieu, Passeron , Bemstein et le courant
marxiste sous la houlette de Althousser, Establet.
Le phénomène éducatif, étant multifactoriel, les grilles d’approche sur tel phénomène ne
peuvent être que multidimensionnelles.
Les débats autour des enjeux de l’école et de l’éducation ont marqués par plusieurs
approches. De 1945 à nos jours, on a assisté à des renouvellements de perspectives, à des
-La période 1965 à 1975 est celle de la déconstruction dominée par théories critiques sur
l’éducation dominées par l’école marxiste avec des penseurs comme Althusser, Establet,
Baudelot, Bowles et Gintis par la théorie de la reproduction de Bourdieu Pierre et par le
paradigme de la reproduction des inégalités sociales relativisées avec des penseurs comme
Raymond Boudhon, Jean Michel Berthelot.
-Enfin la troisième période démarre en 1976 et marque un éclatement des théories sur
l’école et jette les prémisses du postmodernisme caractérisé par le refus d’un référentiel
unique et le rejet du positivisme pour aborder les questions éducatives.
C’est une strate historique marquée par la seconde guerre mondiale et le début
reconstruction économique, sociale et politique des sociétés occidentales. Cette
reconstruction se fonde sur deux objectifs majeurs : le développement économique en
s’appuyant sur les progrès techniques et scientifiques et la refondation de l’Etat-Nation, gage
d’une intégration sociale et politique. L’école est ici considérée comme un des leviers
important de ce vaste mouvement de reconstruction.
A cet effet, la fonction première assignée à l’institution scolaire est d’ « établir les
paramètres d’un société ouverte et fonctionnelle dont les membres échapperaient au
particularisme des communautés pour entrer de plein pied dans le modernisme »
(Dandurant et Olivier 1987, P 27). La sociologie de l’éducation conçut l’action éducative
comme l’instant déterminant de ses réformes avec comme fonctions : la socialisation, la
diffusion de la science, la formation d’un expertise avérée. Cette phase a été dominée par le
paradigme fonctionnaliste de Durkheim qui a eu son influence jusqu’aux USA avec
Talcott Parsons.
Après la deuxième guerre mondiale, l’Europe a connu les Trente glorieuses ou 30ans de
reconstruction (1945-1975) en créant un boom économique avec à la clé une croissance
économique qui créa à son tour des inégalités sociales dues à un mauvais partage
(inéquitable) des résultats de la reconstruction réalisée par tous entre les différentes catégories
sociales.
Cette période, dans l’histoire des sociétés occidentales, est ainsi caractérisée par une crise
de l’évolution économique et sociale entendue comme une crise de la lutte des classes où
Aux deux classes antagonistes de la société capitaliste (bourgeois § prolétariat), les théories
critiques de l’éducation font correspondre deux « réseaux distincts dans un système scolaire
apparemment unitaire ».
Cette sociologie critique de l’institution scolaire a subi la crise universitaire des mouvements
culturalistes contestataires de mai 1968 avec le fameux slogan « L’imagination au
pouvoir » : les intellectuels au pouvoir c’est-à-dire la valeur marchande contre la valeur
intellectuelle. Cette sociologie a analysé l’appareil scolaire comme un instrument de
reproduction des rapports du pouvoir, comme un rouage central d’une société inégalitaire
(acteurs captés et manipulés).Elle a été dominée par le courant marxiste et le courant
bourdieusien.
En nette rupture avec ces deux courants précédents, une troisième posture s’est dessinée
dans la décennie des années 75 /86. Elle se démarque des grandes formulations théoriques en
mettant l’accent sur les spécificités empiriquement repérables : c’est le refus de l’englobant où
les différentes facettes de la réalité seraient incluses là-dedans. Il existe donc plusieurs
facettes de la réalité à point de départ différent.
Un mode d’approche plus ethnographique prend forme dont les conséquences sont
l’éclatement de l’objet et l’analyse interne de l’école à partir des pratiques concrètes de
recherche. C’est le début que l’on a appelé les nouvelles sociologies de l’éducation.
Elle révèle que la réflexion sur l’éducation a connu plusieurs approches où chacune fait
référence à un paradigme. Nous retenons ici trois grands berceaux paradigmatiques : la
sociologique de l’institutionnalisation scolaire, les théories de la reproduction, les
nouvelles sociologies de l’éducation caractérisée par une pluralité d’approches (la
sociologie du curriculum (école anglaise) mettant l’accent sur le contenu du savoir, la
sociologie de l’expérience scolaire (école française) mettant l’accent sur le vécu des acteurs
dans le champ scolaire, la théorie de la résistance (école américaine) axée sur le vécu des
acteurs sur le contenu et les savoirs enseignés, rapport école/milieu.
Un penseur comme Bourdieu soutient que ces réussites sont en fait un héritage lié à
la possession d’un CAPITAL CULTUREL et d’HABITUS transmis par les familles les
plus privilégiées. C’est cette mise en relief de la distance entre l’habitus primaire (familial)
et l’habitus secondaire (école) où se jouent les différentes trajectoires que l’école marxiste
analyse en termes d’inégalités des classes.
Il désigne chez Bourdieu un espace autonome, structuré par des rapports de force afin de
modifier l’agencement du capitalisme spécifique. Le champ, dans la sociologie de Bourdieu
est un système de relations objectives qui être l’alliance et/ou de conflit (ENS qui fonctionne
avec autonomie vis-à-vis de l’UCAD, avec ses différentes positions en alliance et /ou en
conflit), de concurrence et/ou de coopération entre positions différenciées, socialement
définies et instituées, largement dépendante du statut des agents. Dans un champ, il n’y a que
le pouvoir qui compte car en de conflit ou d’alliance c’est seul celui-ci qui détient le pouvoir
de déterminer la conduite à tenir
NB : Il n’existe pas de société sans conflit et les conflits sont de nature différente. Ces conflits
sont plus ouverts dans les sociétés capitalistes.
Avec la notion de champ, « il est question de pouvoir, de rapports de force, de lutte pour
conserver et transformer ces rapports de forces,… » et « un monde à part, dotés de ses lois
propres de fonctionnement » Bourdieu (1979 :375).
La structure du champ :
Agent :
Utilisé à la place de acteur, agent désigne des entreprises possédant un volume de structure de
capital, ils sont aussi les acteurs humains qui interviennent dans le champ. Entre acteur et
agent, il y a une différence car l’acteur est libre ave une marge de manœuvre, alors que l’agent
est un individu déterminé par le champ, le contexte social qui prévaut dans le champ.
Les capitaux :
Le capital culturel :
Il est constitué par l’ensemble des qualifications intellectuelles produites par le système
scolaire ou /et transmises par la famille. Il désigne l’ensemble des ressources et dispositions
intellectuelles : biens culturels (art), accès à ces biens, diplômes, rapport à la culture et à
l’école. C’est un capital à monnayer en vu d’une position dans le champ.
Le capital culturel diffère selon le milieu social (marabout au Sénégal différent à Paris) et
se combine avec le capital économique (revenus, patrimoine social), social (ensemble des
relations sociales, prestige).
Le capital économique :
Il désigne l’ensemble des ressources économiques, financières (salaire, ….) d’un individu, à la
fois ses revenus et son patrimoine.
Le capital social :
Le capital symbolique :
L’homme, disait l’autre, biculturel, c’est-à-dire qu’il a un fond naturel et un fond culturel,
humain. Il est naturellement culturel et culturellement naturel.
Sa fonction est de permettre à un agent d’exercer une influence ou une domination sur les
autres agents.
Violence symbolique :
Les médiums, les moyens par lesquels s’exerce la violence symbolique sont multiples.
La violence symbolique peut s’exercer au moyen du langage, des manières de faire, de
formes symboliques (monument), de styles et de tous les signes exprimant des goûts, des
idées, des sentiments.
Selon Bourdieu la violence symbolique est implicite, invisible ; par conséquent ceux qui la
subissent ne sont pas forcément conscients. Mais il convient de relativiser pour postuler que
ceux qui subissent la violence symbolique peuvent en être parfois conscients. Ils peuvent ne pas
avoir les armes pour la combattre ou utiliser des réactions appropriées pour la contester (les
chahuts, grèves, réactions pendant les cours…).
L’habitus :
Mais c’est Bourdieu qui a utilisé à fond le concept d’habitus pour en faire un principe
d’explication dans le cadre du comportement des individus et des groupes d’individus. Pour
Bourdieu, il existe plusieurs habitus qui se constituent les systèmes de représentations qui
orientent les sujets et leurs pratiques. L’habitus comprend les goûts, les pensées, les manières
d’être propre à un individu ou à un groupe d’individus. L’habitus est un processus de
socialisation et est plus ancré en l’homme que l’habitude. Il devance la violence
symbolique et nous dicte le comportement à avoir face à la violence symbolique.
L’habitus peut être considéré comme l’intégration des schèmes en un système, en une
« grammaire génératrice » de nos pensées et nos actions qu’il commande. Entre l’approche
intégratrice du paradigme fonctionnaliste et l’approche déterministe de la posture
marxiste « s’intercale toute une série de théories intermédiaires et notamment celle qui ne
donne aucune issue historique au conflit : l’histoire est inexonorablement faite de conflits
entre groupes sociaux dans une sorte d’éternel retour sous des formes variables » Durand
Weil Sociologie contemporaine (1993 :480) Paris Vigot.
Les sociologues français Pierre Bourdieu et Jean Claude Passeron se situent dans
cette perspective médiane. Critique de la pédagogie élitiste, ces deux auteurs ont introduit
dans le champ de la pédagogie de l’éducation une posture critique.
« Les Héritiers » qu’ils ont publiés en 1964, a constitué un tournant décisif dans la
sociologie de l’éducation, un renversement critique des conception durkheimiennes qui
considéraient l’école comme une institution de socialisation, d’intégration et d’émancipation
sociale. Ils partent d’une matrice d’analyse, s’appuyant sur une postulation de la reproduction
des inégalités sociales dans le champ scolaire. Ils pointent du doigt les origines familiales et
culturelles comme facteurs de différenciation dans le cursus scolaire : les inégalités sociales
expliquent bien celles scolaires ; l’habitus des clases dominantes est perpétué à l’école
favorisant du coup la reproduction des inégalités sociales dans le champ scolaire.
En définitive, les enquêtes effectuées par l’école Bourdieu ont permis d’établir une
corrélation entre origine sociale et réussite scolaire.
C’est une école qui détruit dans ces postulats d’analyse l’école démocratique (égalité de
chance). Elle renseigne plutôt sur le rôle de l’école à perpétuer, voir à renforcer les inégalités
par le prisme d’une idéologie qui traduit les inégalités scolaires en échec personnel ou qui
convertit les inégalités sociales en inégalités scolaires .Dans leur approche, Bourdieu et
Passeron expliquent la reproduction des inégalités sociales par l’« orchestration des habitus ».
C’est à la lumière de ces critiques que Boudon décline un autre paradigme et qui permet
de relativiser la pensé de Bourdieu.
Appliqué dans l’espace scolaire comme Boudon dans « l’inégalité des chances » (1972),
l’individualisme méthodologique fournit une matrice d’analyse totalement opposée à celle de
A chaque palier d’orientation du système scolaire, les familles évaluent les coûts et les
avantages de poursuites des études de leurs enfants en fonction de leur position sociale et des
informations dont elles disposent. Les familles choisissent la filière la plus utile, la rentable
pour elle en faisant des choix stratégiques.
La combinaison de ces différents paramètres est différent pour chaque acteur et pour
chaque voie. Les individus choisissent la voie dont la combinaison couts-bénéfices est la plus
avantageuse pour eux, étant donné les contraintes que leur impose la situation sociale et le
résultat scolaire. Bourdieu explique qu’il y a des inégalités sociales à l’école qu’il élucide en
se fondant sur deux hypothèses : la première hypothèse se fonde sur selon laquelle l’origine
sociale conduit par le jeu de mécanisme intermédiaire (classe sociale, groupe de référence,
héritage culturel, …), à des distributions différentes en terme de réussite et d’âge (avance,
retard). La seconde hypothèse postule que la survie d’un individu dans un système scolaire
dépend d’un processus de décisions dont les paramètres sont fonction de la position sociale
des parents.
De Boudon, il retient le poids des stratégies de scolarisation des acteurs dans un espace
de jeu que les stratégies elles-mêmes et les conséquences contribuent constamment à
remodeler : donc il y a une marge de manœuvre des acteurs.
--Une logique de maintien ou d’amélioration de la position de classe, qui régit les choix
individuels ;
--Une logique de perpétuation des structures, qui oriente les politiques de l’éducation.
Selon les conjonctures et l’état du système, ces deux logiques peuvent se neutraliser
(logique de conflictuelle) ou au contraire se renforcer mutuellement. L’école, pour Berthelot,
est une institution qui dépend de la réappropriation qu’en font les acteurs.
Mais, à y regarder de près, la rationalité de l’acteur prônée peut rencontrer des limites.
En réalité, les pratiques des acteurs ne se déclinent pas forcément comme un moyen pour
atteindre certaines fins, s’en tenir que seule la rationalité de l’acteur peut masquer la
L’action humaine est parfois dénuée de toute dimension stratégies. Les acteurs peuvent
décliner des stratégies au service de « ce qu’ils pensent être leurs intérêts sans rendre
compte que se faisant, ils font exactement ce qu’il faut pour perpétuer les structures et
produire de nouvelles générations à leur image. »
Ces nouvelles sociologies de l’éducation laissent une large place dans leur champ
d’investigation aux représentations des individus, aux stratégies qu’ elles adoptent, aux
interactions qu’ils construisent au jour le jour (rapports conflictuels) en dépit des normes
scolaires. Aussi bien pour le paradigme fonctionnaliste et analytique issu des grandes
enquêtes et de la sociologie de Durkheim que pour les autres paradigmes, celui de la
Jean Emile Charlier retient deux limites majeures dans le paradigme analytique
fonctionnaliste : d’une part ce paradigme se fonde sur « un apriori d’homogénéité
institutionnelle » qui lui empêche d’expliquer les faits scolaires concrets ; d’autre part, il
considère l’école comme une organisation productive indépendamment des inégalités et
des conflits sociaux.
Mais les critiques les plus illustratives viennent de Archer qui attaque le postulat de la
perméabilité de l’école aux influences extérieures sans que l’analyse de Bourdieu sur les
mécanismes et les processus de transformations des rapports de domination symbolique.
Qu’est-ce qui justifie que la domination éducative soit allogène (liée, dépendante) à la
domination sociale ?
En s’interrogeant seulement sur les fonctions de l’enseignement, Bourdieu n’a pas questionné
selon Archer les origines historiques des systèmes éducatifs tels que nous les connaissances
aujourd’hui.