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OBÉ SITÉ
SYNTHÈSE
L’article d’Alexandra Bresson, paru sur parent.fr et
celui de AFP traite du sujet de l’obésité.
À une vitesse vertigineuse, l’obésité augmente
chaque année le nombre d’humains obèses au niveau
mondial. À partir des 105 millions en 1975, le surpoids a
touché en 2016 environ 650 millions de personnes, soit
13% de la population globale. Et ce pourcentage atteindra
20% en 2025.
D’ailleurs, elle ne limite pas son essor aux pays riches
mais s’étend aussi dans les régions à revenu intermédiaire.
Pourtant, une grande disparité concernant cette
épidémie est observée entre des pays riches. En effet, par
rapport au Japon et à l’UE, les pays anglophones riches
(notamment les Etats-Unis et le Royaume-Uni) présentent
un nombre plus préoccupant d’obèses et deviennent les
plus grands états domiciles des patients sévères du monde.
Les causes citées consistent en des prédispositions
génétiques, mais surtout, en une alimentation trop riche.
En effet, la consommation excessive du sucre engendre
l’obésité chez les enfants britanniques, ceux-ci dépassant
déjà l’apport en sucre maximal dédié à un jeune de 18 ans.
Viennent après cette surconsommation de sucre les
caries dentaires, la prise de poids, et ainsi la contraction
des maladies cardiovasculaires et du diabète.
Face à cet état des lieux, une résolution à travers des
actions individuelles et collectives demeure urgente. Il
revient en premier lieu à chacun de remettre en cause ses
habitudes alimentaires, en privilégiant des versions plus
saines des aliments et des boissons.
Bonjour à tous,
Etant la plus précieuse fortune de l’homme, la santé est centre
d’attention et de protection pour chacun. Or, il existe une épidémie
moderne qu’attrape l’homme à son l’insu et dont le développement est aussi
accéléré par celui-ci : l’obésité.
Appelé « épidémie », l’obésité a révélé sa croissance au niveau global
ces dernières décennies. Diagnostiqué lorsque l’IMC dépasse 25, le surpoids
est considéré comme maladie de la vie moderne, sachant qu’en 1975, le
sous-poids était deux fois plus présent que l’obésité, tandis qu’en 2015,
l’insuffisance pondérale reste à la minorité au monde.
Bien des chercheurs, médecins, experts de nutrition se lancent dans
l’investigation des causes de l’obésité, pour enfin avancer une conclusion
selon laquelle l’obésité est une maladie factorielle, dont l’apparition renvoie
à divers facteurs génétiques et environnementaux.
Vient en tête le mauvais régime alimentaire résidant dans la
surconsommation. En effet, l’industrie alimentaire s’est développée vers un
privilège de fabrication et vente des produits sucrés et gras, trop caloriques
(confiseries, chips, boissons gazeuses, etc.). D’ailleurs, le marketing
alimentaire et les publicités devraient aussi être responsables de l’obésité
précoce chez les ados, ceux-ci choisissant des produits de grignotage à
fortes charges caloriques suite à la stimulation visuelle du petit écran.
Couplée de cette malnutrition, la sédentarité de la vie contemporaine
est également coupable du surpoids. L’activité physique, d’abord réduite en
raison de l’expansion des transports (voiture, métro, ascenseur…), des
nouvelles technologies (télécommandes), est ensuite supprimée car
l’homme se tourne vers des modes de distraction sédentaires (jeux vidéo,
films…), liés aux sirènes de la vie moderne – les écrans – à la place du sport.
Ainsi, n’est-il jamais équilibré le bilan énergétique : on capitalise l’énergie
sans la dépenser !