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REGULATEURS DE CHARGES SOLAIRES:

1. INTRODUCTION:
Un contrôleur de charge solaire est un régulateur de tension et de courant qui empêche
un groupe de batteries de surcharge due aux panneaux solaires. La tension et le courant
provenant du panneau solaire sont en cours réglementé avant d'aller aux batteries en
s'assurant qu'une batterie à cycle profond ne surcharge pas pendant la journée.

De plus, aucune alimentation ne revient aux panneaux qui déchargeront la batterie


pendant la nuit quand il n'y a pas d'énergie solaire pour recharger le panneau solaire. Il
y a plusieurs frais les régulateurs qui ont des capacités supplémentaires telles que le
contrôle de la charge et l'éclairage. Cependant, le contrôle du courant et des tensions est
leur tâche principale. Un régulateur de charge solaire est très crucial et est nécessaire
pour éviter la surcharge des batteries. La plupart des panneaux 12 volts fournissent
toujours 17 volts parce que si c'était 12 volts, cela signifie que cela fonctionne dans des
conditions parfaites quelque chose qui ne se produit pas partout. La tension
supplémentaire fournie par le panneau répond au moment où le soleil est faible ou
lorsqu'il est couvert par de gros nuages afin d'assurer la tension de sortie des batteries.

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Figure 1
2. DIFFERENTS TYPES :
La fonction principale du régulateur de charge solaire est le transfert efficace de
l'énergie à partir d'un module solaire à une batterie ou une charge. Il existe deux types
différents de régulateurs de charge solaire, chacun avec une technologie différente :
 Régulation tout ou rien (TOR) par coupure électromécanique. Ce type de
régulateur n'est plus commercialisé et est amené à disparaitre.
 Régulation MLI (Modulation de Largeur d'Impulsion) avec deux types de
couplage sur la batterie.
 Couplage direct appelé PWM (Pulse With Modulation).

 Couplage par adaptateur d'impédance appelé MPPT (Maximum Power Point


Tracking).

On s’intéresse à étudier les deux derniers types des régulateurs de charges :


 Pulse Width Modulation (PMW):
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 Maximum Power Point Tracking (MPPT):

3. FONCTIONNEMENT:
(1) Régulation PWM (Pulse Width Modulation)
Le régulateur est inséré entre le champ photovoltaïque et la batterie. Il est composé
d'un interrupteur électronique fonctionnant en MLI (Modulation de Largeur
d'Impulsion) et d'un dispositif anti-retour (diode).

L'ouverture et la fermeture de l'interrupteur électronique s'effectuent à une certaine


fréquence, ce qui permet de réguler le courant de charge en fonction de l'état de
charge avec précision.

Lorsque la tension batterie est inférieure à la tension de limitation du régulateur,


l'interrupteur est fermé. La batterie se charge alors avec le courant correspondant
à l'ensoleillement. On est en phase "Bulk".

Lorsque la tension batterie atteint un seuil de régulation prédéterminé, l'interrupteur


s'ouvre et se ferme à une fréquence fixe pour maintenir un courant moyen
injecté dans la batterie. La batterie est chargée, on est en phase "Floating".

2/ Régulateur MPPT (Maximum Power Point Tracking)


Le régulateur de charge est composé d'un convertisseur DC/DC à découpage de haut
rendement qui assure trois fonctions :
- Détection de la puissance maximale du champ photovoltaïque tant que la batterie n'est
pas chargée.
- Conversion DC/DC.
- Régulation de la tension de sortie en fonction de la phase de charge (Bulk, Absorption
et Floating).

3 Etapes de charge d’un contrôleur de charge


La majorité des contrôleurs de charge passent par trois cycles ou étapes de
charge à savoir :

1) Etape de charge à courant constant (Bulk)


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Dans cette étape, la batterie accepte tout le courant fourni par le panneau solaire.
La valeur de ce courant sera égale au courant de court-circuit (I SC) du générateur
solaire. Au cours de la phase bulk du cycle de charge, la tension augmente
progressivement jusqu'au niveau de bulk (généralement de 14,4 à 14,6 Volts)
pendant que les batteries consomment le courant maximum. Lorsque le niveau de
tension bulk est atteint, la phase d'absorption commence.

2) Etape de charge à tension constante (Absorption)


Pendant cette phase, la tension est maintenue constante (égale au niveau
de la tension Bulk) pendant une durée spécifiée (généralement une heure), tandis
que le courant diminue progressivement à mesure que les batteries se chargent.
Ceci permet d'éviter une surchauffe et un dégazage excessif de la batterie. Le
courant diminue à des niveaux sécuritaires pendant que la batterie se charge
complètement.

3) Etape d'entretien (Float)


Quand une batterie est complètement chargée, le fait de descendre au niveau de
float vas donner un taux de charge de maintenance très faible tout en réduisant le
chauffage et le dégagement de gaz d'une batterie complètement chargée. Lorsque
la batterie est complètement rechargée, il ne peut plus y avoir de réactions
chimiques et tout le courant de charge est transformé en chaleur et en gazage. Le
flotteur a pour but de protéger la batterie contre les surcharges à long terme.
Après la phase d'absorption, la tension est abaissée jusqu'au niveau de
maintenance (float level). Ceci est généralement (entre 13,4 et 13,7 Volts) pour
une batterie 12V et les batteries consomment un petit courant d’entretien jusqu’au
cycle suivant.

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4) Convertisseurs DC/DC
Un convertisseur statique continu/continu (DC/DC) ou hacheur est un circuit
électrique qui nous permet d’obtenir à partir d’une source de tension continue fixe,
une source
de tension continue de valeur moyenne réglable de plus forte ou faible valeur
(élévateur ou
abaisseur de tension).
a) Principe fonctionnement :
Le convertisseur est basé sur la fermeture et l'ouverture de l’interrupteur. L’interrupteur K
se ferme et s’ouvre pendant une période T. Le signal de commande d’interrupteur est
représenté dans la figure (II.4).

Figure II.4 : Forme d’onde du signale de commande d’interrupteur.


Le rapport cyclique α : est défini comme étant le rapport entre la durée de conduction
de l’interrupteur K et la période de commutation T :
Ton
α= T

Cette interrupteur est fermé pendant l’intervalle (0, αT) : la diode est bloquée, la source
primaire fournit de l’énergie à l’inductance L et à la résistance R. Et est ouvert de αT à T : la
diode est passante et assure la continuité du courant et la décharge de L.

➢ Première séquence (0 ≤ t ≤ αT)


A t=0 on ferme l’interrupteur K, la diode D est bloquée. Le schéma équivalent du circuit est le
suivant :

➢ Première séquence (0 ≤ t ≤ αT)


A t=0 on ferme l’interrupteur K, la diode D est bloquée. Le schéma équivalent du circuit est le
suivant :
Figure II.5 : Schéma équivalent pendant (0 ≤ t ≤ αT).

Dans cette phase, la variation du courant dans l’inductance est donne par l’équation suivante :
ve(t) = vL(t) + vK(t) + vs(t) (II.2)
Dans le cas d’un interrupteur idéal on a :

vK(t) =0 ⇒ ve(t)= vL(t) +vs(t) (II.3)

⇒ vL
(t) = L = ve (t) −vs(t) (II.4)
diL(t)
dt
A partir de la solution de l’équation du premier ordre, nous obtenons :
Ve−Vs
i (t) = t+ I (II.5)
L Lmin
L

Courant minimal : iL(0) = ILmin

Pour t = α.T
Ve−Vs
: i (α.T) = (α. T) + I = (II.6)
I
L Lmin Lmax
L

Détermination de l’ondulation de courant :


L’ondulation de courant crête à crête ΔILon peut-être déterminée à partir de
l’équation (II.6) par l’expression suivante :
Ve−Vs
ΔILon = I ILmin = (α. T) (II.7)
Lmax − L

➢ Deuxième séquence (αT ≤ t ≤ T)


A l’instant t= αT en ouvre l’interrupteur K et la diode devient conductrice. Le schéma
équivalent du circuit est le suivant :
Figure II.6 : Schéma équivalent pendant (αT ≤ t ≤ T)

Dans cette phase, la variation du courant dans l’inductance est donnée par l’équation suivante:

vL(t) + vD(t) + vs(t) = 0 (II.8)


Dans le cas d’un interrupteur idéal on a : vD(t) = 0
diL(t)
v (t) = − L
L dt = vs(t) (II.9)
A partir de la solution de l’équation du premier ordre, nous obtenons :
−Vs
i (t) (t–αT) +A (II.10)
L =
L
Pour t= αT : iL(αT) = iLmax =A
−Vs
Donc : i (t) = (t – αT) +I
(II.11)
L L Lmax

At=T: −Vs
I (T) = (T – αT) +I = (II.12)
I
L L Lmax Lmin

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Détermination de l’ondulation de courant :
L’ondulation de courant crête à crête ΔILoff peut-être déterminée à partir de
l’équation (II.12) par l’expression suivante :
Vs
ΔILoff = I ILmin = (1 − α)T (II.13)
Lmax − L

Si on considère que le convertisseur est en régime permanent, l’énergie stockée dans chaque
composant est la même au début et à la fin de chaque cycle de commutation. Par conséquent,
le courant IL traversant l’inductance sera le même au début et à la fin de chaque cycle de
commutation. Ce qui peut s’écrire de la façon suivante :
ΔILon + ΔILoff = 0 (II.14)
Soit :
Ve−Vs Vs
ΔI + ΔI = (α. T) + ( 1 − α) T = 0 (II.15)
Lon Loff L L
Après simplifications, on
déduit :
VS = α Ve (II.16)
A partir des équations (II.5) et (II.10) on peut tracer la forme d’onde du courant dans
l’inductance en conduction continue donnée dans la figure (II.7).

Figure II.7 : Forme d’onde du courant dans l’inductance en conduction continue.

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