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Bilharzioses

ou
Schistosomoses
Vincent DJOHAN, Pharm D, PhD, MCA

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OBJECTIFS

1. Définir les bilharzioses


2. Décrire les agents pathogènes
3. Décrire le cycle biologique
4. Citer trois méthodes du diagnostic parasitologique
5. Citer 2 médicaments et leur indication

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I- Introduction PLAN
II- Epidémiologie
1. Agents pathogènes
2. Hôte définitif et réservoir de parasite
3. Hôtes intermédiaires
4. Mode de contamination et voie de sortie
5. Cycle biologique
6. Facteurs favorisants
7. Répartition géographique
III- Physiopathologie
IV- Signes cliniques
V- Diagnostic biologique
VI- Traitement
VII- Prophylaxie
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I- Introduction PLAN
II- Epidémiologie
1. Agents pathogènes
2. Hôte définitif et réservoir de parasite
3. Hôtes intermédiaires
4. Mode de contamination et voie de sortie
5. Cycle biologique
6. Facteurs favorisants
7. Répartition géographique
III- Physiopathologie
IV- Signes cliniques
V- Diagnostic biologique
VI- Traitement
VII- Prophylaxie
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Définition

❑ Bilharzioses ou schistosomoses ou schistosomiases :


❖ Parasitoses dues au développement chez l’homme,
d’helminthes appartenant à classe des Trématodes et
genre Schistosoma, hématophages et vivant dans le
système circulatoire, transmis par voie transcutanée.
❖ Découverte et description de S. haematobium au 19ème
siècle (1852), en Egypte, par Théodor Bilharz.
❖ Description des œufs de S. mansoni par Manson en 1904.

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Intérêts
❑ Epidémiologiques

❖ Maladies tropicales négligées


❖ 2ème parasitose plus répandue au monde après paludisme
(plus de 200 millions de cas).
❖ 280.000 décès par an en Afrique
❖ Transmission avérée dans 78 pays avec risque d’infection
maximal pour 52 pays.

❑ Clinique Complications
❖ Cancer de vessie
❖ Cirrhose du foie
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I- Introduction PLAN
II- Epidémiologie
1. Agents pathogènes
2. Hôte définitif et réservoir de parasite
3. Hôtes intermédiaires
4. Mode de contamination et voie de sortie
5. Cycle biologique
6. Facteurs favorisants
7. Répartition géographique
III- Physiopathologie
IV- Signes cliniques
V- Diagnostic biologique
VI- Traitement
VII- Prophylaxie
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Agents pathogènes
Taxonomie

Les bilharzies appartiennent au :


•Règne : Animal
•Sous-règne : Métazoaires
•Phylum : Plathelminthes
•Classe : Trematodea
•Ordre : Strigeatoida
•Famille : Schistosomatidae
•Genre : Schistosoma
•Espèces : S. haematobium, S. mansoni,
S. japonicum, S. intercalatum,
S. guineensis, S. mekongi
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Agents pathogènes

Type de bilharziose causé par espèce

Espèce Type de Bilharziose


S. haematobium Bilharziose uro-génitale
S. mansoni Bilharziose intestinale
S. intercalatum Bilharziose rectale
S. guineensis
S. japonicum
Bilharziose artério-veineuse
S. mekongi

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Agents pathogènes
Morphologie : Adulte
❖ Identique pour les différentes
espèces.
✓Seuls plathelminthes dioïques.
✓Longévité: peut atteindre 20 ans.
✓Adultes munis de 2 ventouses
(ventrale et buccale).
o Mâle: plus robuste que femelle,
mesure 10 à 20 mm avec gouttière
longitudinale : le canal gynécophore,
dans lequel se loge la femelle.
o Femelle, plus longue et plus grêle,
mesure 15 à 30 mm.
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Agents pathogènes
Morphologie: Œuf

❖ Muni d’un éperon plus ou moins marqué,


❖ contient un embryon cilié mobile, prêt à éclore : le
miracidium.
❖ Mesure 70 à 200 µm de long selon les espèces.

S. haematobium S. guineensis S. mansoni S. intercalatum S. japonicum


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Agents pathogènes
Morphologie: Œuf

❖ Existence d’hybrides entre les espèces humaines


❖ Existence d’hybrides entre espèces humaines et espèces
animales

Morphologie typique des œufs de S. haematobium (a), de S. guineensis (b), et the


morphotypes intermédiaires entre S. haematobium et S. guineensis (c). Bare = 50 μm.
(Moné et al., 2012)
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Agents pathogènes
Morphologie : Formes larvaires
✓Miracidium = 1ère forme larvaire
mesure ≈ 100 µm de long

✓Cercaire = 2nde forme larvaire et


forme infestante. Miracidium de schistosome
✓Mesure ≈ 500 µm de long.
✓Tête reliée à queue fourchue,
par fixation qui lui permettra de
s’en débarrasser lors de la
pénétration.
✓Cette forme particulière lui vaut le
nom de furcocercaire.
Furcocercaire de schistosome
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2. Hôte définitif et réservoir de parasite
3. Hôtes intermédiaires
4. Mode de contamination et voie de sortie
5. Cycle biologique
6. Facteurs favorisants
7. Répartition géographique
III- Physiopathologie
IV- Signes cliniques
V- Diagnostic biologique
VI- Traitement
VII- Prophylaxie
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Hôte définitif et réservoir de parasites

❑ Hôte définitif : Homme essentiellement.

❑Réservoir de parasite
Varie d’une espèce à l’autre.
✓S. haematobium : spécifique de l’homme ;
✓S. mansoni : rat, babouin et mammifères sauvages.
✓S. japonicum : peu spécifique (buffle, bovins, caprins,
chien, chat, porc, etc.).
✓S. mekongi : chiens, porcs

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3. Hôtes intermédiaires
4. Mode de contamination et voie de sortie
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6. Facteurs favorisants
7. Répartition géographique
III- Physiopathologie
IV- Signes cliniques
V- Diagnostic biologique
VI- Traitement
VII- Prophylaxie
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Hôtes intermédiaires
Mollusques gastéropodes de différents
genres.

Espèce Hôte intermédiaire


S. haematobium
S. intercalatum g. Bulinus ou bulin
S. guineensis
g. Biomphalaria ou
S. Mansoni
Planorbe
S. japonicum g. Oncomelania
S. mekongi g. Neotricula

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VI- Traitement
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Mode de contamination et voie de sortie

❑ Mode de contamination

✓ Contamination par pénétration transcutanée des


furcocercaires à travers les téguments de l’homme.

✓ Circonstances : au cours d’activités dans l’eau douce


contaminée : traversée, baignade, lessive,…

❑ Voie d’élimination

✓ Œuf : forme d’élimination du parasite. Eliminé soit avec les


selles, soit avec les urines.

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V- Diagnostic biologique
VI- Traitement
VII- Prophylaxie
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Cycle biologique

✓Schistosomes adultes vivent dans veines mésentérique ou


vésicale de leur hôte.
✓Femelles fécondées pondent des œufs qui grâce à l’enzyme
lytique de l’embryon traversent la paroi vésicale ou intestinale
pour se retrouver dans la lumière de l’organe correspondant
(intestin, vessie).
✓Œufs éliminés avec les déjections (urine ou selle).
✓Dans milieu extérieur, poursuite de l’évolution des œufs dans
l’eau douce à température avoisinant 20°C.
✓Dans ces conditions, l’œuf éclos en 2-3 jours et libère une
larve ciliée (le miracidium) qui nage à la recherche de l’hôte
intermédiaire, le mollusque gastéropode spécifique.
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Cycle biologique (suite)

✓Si rencontre avec HI, pénétration des téguments du


mollusque et phénomène de polyembryonie qui aboutit à la
formation de plusieurs sporocystes primaires.
✓Chaque sporocyste primaire donne plusieurs centaines de
sporocystes secondaires qui vont, à leur tour, donner des
furcocercaires.
✓Durée du développement chez le mollusque : 4-8 semaines.
✓Environ 500 furcocercaires sortent du mollusque infesté par
jour et nagent à la recherche de l’hôte définitif.
✓Si dans les 24 h qui suivent la sortie du mollusque, la
furcocercaire ne rencontre pas l’hôte définitif, elle meurt.
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Cycle biologique (fin)

✓Si rencontre avec HD, il y a pénétration active par voie


transcutanée en 10 min en perdant son extrémité caudale.
✓Elle se transforme en schistosomule qui arrive dans la
circulation sanguine, gagne le cœur droit, la circulation
pulmonaire, le cœur gauche, la grande circulation, l’artère
hépatique et effectue à ce niveau un 1er arrêt pour devenir
adulte et s’accoupler.
✓Mâle et femelle intimement liés migrent dans les territoires
intestinaux et vésicaux.
✓Au niveau des capillaires étroits, la femelle coulisse dans le
canal gynécophore pour se dégager et pondre des œufs.
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Cycle biologique

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VII- Prophylaxie
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Facteurs favorisants

❑Facteurs généraux
✓ Bas niveau socio-économique des populations : utilisation
des eaux naturelles pour les besoins domestiques
✓ Hygiène fécale défectueuse : rejet des excréments dans la
nature.

❑Facteurs professionnels
✓ Professions entraînant contacts fréquents et prolongés avec
une eau infestée : cultivateurs, ménagères, pêcheurs.

❑Facteurs d’extension
✓ Migration des porteurs de parasites,
✓ Irrigation qui entraîne la pullulation des mollusques HI.
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Facteurs favorisants

Barrage , gîte favorable de mollusques HI de schistosomes


(Noumoussokpassola, Ouangolodougou, Côte d’Ivoire)
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Répartition géographique

Espèces Répartition géographique


S. haematobium Afrique, Moyen-Orient
S. mansoni Afrique, Moyen-Orient, Caraïbes, Brésil,
Venezuela, Suriname
S. intercalatum Zones des forêts tropicales humides en
S. guineensis Afrique centrale (Congo Brazza, RDC,
Gabon, etc.)
S. japonicum Chine, Indonésie, Philippines
S. mekongi Cambodge et Laos.

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Répartition géographique des schistosomoses 30
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VI- Traitement
VII- Prophylaxie
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❖ Libération dans l’organisme de l’hôte, d’antigènes issus du
métabolisme du parasite manifestations cliniques des
phases initiales des bilharzioses.
❖ Développement de réaction histio-plasmocytaire intense
autour de chaque œuf formation progressive de
granulome bilharzien.
❖ Processus de nécrose locale élimination d’œuf
dans lumière intestinale ou vésicale.
❖ Confluence des micro-lésions entraîne symptomatologie
vésicale (S. haematobium) ou intestinale (S. mansoni, S.
intercalatum).

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VII- Prophylaxie
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Pénétration cercarienne
Dermatite urticarienne très prurigineuse

Phase d’invasion
Correspond à la migration larvaire.
❖ Fièvre, céphalées, arthralgies, toux, anorexie et légère
splénomégalie.
❖ Hyperéosinophilie sanguine maximale à ce stade.

Phase d’état
➢ Bilharziose urinaire (S. haematobium)
➢ Bilharziose intestinale (S. mansoni, S. intercalatum et
S. guineensis)
➢ Bilharziose artério-veineuse (S. japonicum et
S. mekongi) 34
Phase d’état

➢ Bilharziose urinaire (S. haematobium)


Hématurie terminale, indolore et cystite avec pollakiurie,
dysurie
Complications :
1.lésions de l’appareil génital
2.surinfections des voies génito-urinaires
3.localisations aberrantes (pulmonaires, cardiaques, …)
4.cancérisation de la vessie.

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➢ Bilharziose intestinale (S. mansoni,
S. intercalatum, S. guineensis)

✓Troubles intestinaux, atteinte hépatosplénique


✓Douleurs abdominales, Diarrhée sanglante,
Hémorroïdes et polypes coliques, Hépatosplénomégalie

✓Manifestations intestinales : S. intecalatum et S. guineensis


(+++)
✓Manifestations hépatospléniques S. mansoni (+++)

Complications :
1.Hépatosplénomégalie très importante avec
hypertension portale, varices œsophagiennes, ascite,
œdème,
2.Localisations aberrantes (pulmonaires, cardiaques, …)
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➢ Bilharziose artério-veineuse (S. japonicum et
S. mekongi)

✓ Syndrome dysentérique fébrile avec altération de l’état


général, hépatosplénomégalie importante et précoce.

✓ Localisations aberrantes, notamment cérébrale habituelles.

✓ Evolution toujours grave avec cirrhose et cachexie


souvent mortelle.

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Arguments de présomption
Techniques immunologiques donnent une bonne valeur (IFI,
hémagglutination indirecte).

Arguments indirects de certitude


Détection d’anticorps antibilharziens
•Avec un antigène vivant
-Réaction de Vogel-Minning : décollement de paroi des
furcocercaires en présence de sérum du patient.
- Réaction d’Olivier Gonzales ou réaction de circum ova
précipitation, spécifique d’espèce.
✓Inconvénient des méthodes: nécessité d’entretenir des
souches au laboratoire.
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•Avec un antigène soluble
Electrosynérèse et immunoélectrophorèse.

•Avec un antigène figuré


L’immunofluorescence indirecte (IFI) utilise :
- Coupes de foie de rongeurs parasités (hamsters, souris,…)
- Coupes de schistosomes adultes inclus dans un organe
-Coupes d’hépato-pancréas de mollusques infectés pour
l’étude des antigènes cercariens.

•Avec un extrait d’antigène


Utilise Ag purifiés ovulaires ou de vers adultes.
Hémagglutination, ELISA (Enzyme Linked Immunosorbent
Assay)

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Arguments directs de certitude

• Diagnostic parasitologique
Urines : Urines de 24h. Examen sur culot de centrifugation
ou sur filtre après technique de filtration sur membrane.
Selles : Examen direct et techniques de concentration :
technique de RITCHIE, technique de KATO (+++).
Tissus (toutes les espèces) après biopsie. Biopsie rectale
suivie d’un examen à l’état frais. Très bons résultats avec
toutes espèces même pour S. haematobium.
Important : Apprécier la vitalité des œufs = test d’éclosion

• Autres
- Immunologie : Mise en évidence d’Ag circulants
dérivés du tube digestif du parasite par des Ac monoclonaux.
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Interprétation

✓ Présence d'œufs dans urines, selle, biopsie affirme le


diagnostic de bilharziose.
✓Test d’éclosion des miracidiums positif : bilharziose
évolutive.
✓ Absence d'œufs n'exclut pas l'existence d'une bilharziose
évolutive.
✓Associer plusieurs techniques utilisant des antigènes
différents et interpréter les résultats en fonction du contexte
clinico-épidémiologique.

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VI- Traitement
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TRAITEMENT

Oxamniquine (Vansil ®, Mansil ®)


Traitement de la bilharziose à S. mansoni : 15-20 mg/Kg
en prise unique

Praziquantel (Biltricide ®)
Traitement de toutes les formes bilharziose. 40mg/Kg en
1 à 3 prises le même jour

Suivi biologique post-thérapeutique


La persistance d'une hématurie, la remontée de
l'éosinophilie, la positivité des examens parasitologiques au-
delà de 3 mois nécessitent la reprise du traitement. On utilise
le même médicament mais à des doses plus fortes.

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Surveillance post-thérapeutique

Contrôles Eosinophilie Anticorps EPU ou EPS


2 mois Elevée Positif Œufs morts calcifiés
6 mois Elevée Positif Négatif
12 mois Normale Négatif Négatif

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VII- Prophylaxie
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Buts

✓ Rompre la chaine épidémiologique


✓ Eviter les complications

Moyens

❖Prophylaxie individuelle
Mesures individuelles : éviction des rivières et étangs,
applicables à personnes séjournant temporairement en zone
d’endémie

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❖Prophylaxie collective
Instaurer une campagne de lutte prenant en compte :
•dépistage et traitement des sujets infestés, pour traiter le
réservoir humain de parasite ;
•lutte contre les mollusques hôtes intermédiaires, pour
supprimer les réinfestations humaines (molluscicides,
l’aménagement de l’environnement).
•Éducation sanitaire portant sur la lutte contre le péril
fécal
✓Éviction de baignade dans les eaux suspectes ;
✓Port de bottes dans les rizières et plantations nécessitant
des retenues d’eau.
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