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PLAN DU TRAVAIL

INTRODUCTION
I- ENTREPRISE UNIPERSONNELLE
A- QU’EST-CE QU’UNE ENTREPRISE UNIPERSONNELLE ?
1- HISTORIQUE
2- DEFINITION
3- CARACTERISTIQUES
B- TYPES ET FONCTIONNEMENT
1- TYPES
2- FONCTIONNEMENT
C- AVANTAGES ET LIMITES
1-AVANTAGES
3- LIMITES
II- SOCIETE DE PERSONNES
A- QU’EST-CE QU’UNE SOCIETE DE PERSONNES ?
1- HISTORIQUE
2- DEFINITION
3- CARACTERISTIQUES
B- TYPES ET FONCTIONNEMENT
1- TYPES
2- FONCTIONNEMENT
C- AVANTAGES ET INCONVENIENTS
1- AVANTAGES
2- INCONVENIENTS
III- ETUDE COMPARATIVE ENTRE UNE ENTREPRISE
UNIPERSONNELLE ET UNE SOCIETE DE PERSONNES
1- POINTS DE CONVERGENCES
2- POINTS DE DIVERGENCES
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
INTRODUCTION

L’environnement qu’offre le monde aujourd’hui est un environnement concurrentiel


marqué par la présence de diverses entreprises ou des sociétés de personnes qui par la voie de
leurs entrepreneurs soit seul ou plusieurs décident de réunir leurs efforts dans le but de créer
une entreprise ou même une société de personnes ; ils peuvent mettre en œuvre des moyens
matériels, financiers, techniques ou tout autres afin d’obtenir un bon rendement et favoriser
l’évolution des entreprises et des sociétés. Ainsi, dans ce contexte il devient alors impérieux
de savoir tout d’abord ce que c’est qu’une entreprise unipersonnelle, une société de personnes
de par leurs historiques, définitions et caractéristiques pour pouvoir déterminer leurs
différents types, leurs modes de fonctionnement pour enfin ressortir leurs avantages et leurs
limites tant pour la société que pour ses associés ou ses actionnaires et une étude comparative
entre l’entreprise unipersonnelle et société de personnes.
I- Entreprise unipersonnelle
A- Qu’est-ce qu’une entreprise unipersonnelle ?
1- HISTORIQUE

L’entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL) est un type de société


offrant une structure juridique d’accueil pour l’entreprise. En France, il s’agit en fait
juridiquement d’une société à responsabilité limitée (SARL) mais qui ne compte qu’un seul
associé et dont le fonctionnement est simplifié par rapport à celui d’une SARL
pluripersonnelle. Comme la SARL, l’EURL permet de limiter la responsabilité aux seuls
apports. A la différence de la SARL, il suffit d’une seule personne pour constituer l’EURL.
En droit français, cette structure a été créée par la loi du 11Juillet 1985, après trente ans de
débat juridique sur l’unicité du patrimoine et la nature contractuelle de la société, conclus par
une étude de Jean-Denis Bredin penchant vers la « formule rivale » de « patrimoine
d’affection ». ce statut élaboré à l’initiative de Michel Crépeau, alors ministre du commerce,
de l’artisanat et du tourisme, permet d’instaurer l’autonomie juridique du patrimoine affecté
par un entrepreneur individuel à son entreprise unipersonnelle, elle permet également de
passer en SARL par simple changement de statut et inversement. Elle a été transposée en
exploitation agricole à responsabilité limitée pour le secteur agricole.

2- DEFINITION

L’entreprise unipersonnelle ou uninominale à responsabilité limitée est une SARL qui ne


comporte qu’un seul associé. Le capital minimum est libre, mais 20% des apports en espèces
sont versés obligatoirement au moment de la constitution, le solde devant être libéré dans les
cinq ans. Calqué sur le modèle de la SARL, elle permet de bénéficier des avantages et du
cadre légal d’une SARL sans avoir besoin de s’associer. Elle permet à l’entrepreneur de se
lancer seul dans la création d’entreprise tout en protégeant son patrimoine personnel. En
pratique la SARL unipersonnelle est tout simplement une version « solo » de la SARL dans
laquelle le nombre minimum d’associé est de deux personnes.

3- CARACTERISTIQUES

-La composition : l’entrepreneur puisqu’il ne s’agit que de lui et l’on a à faire à une entreprise
unipersonnelle, il est ainsi le seul gérant de son entreprise.
-Engagement financier : dans ce cas, il n’ya pas de capital social et les engagements financiers
sont en fonction des besoins.

-Le capital est fixé librement

B- TYPES ET FONCTIONNEMENT D’UNE ENTREPRISE UNIPERSONNELLE


1- TYPES

-Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée : catégorie particulière de SARL, l’URL


n’a qu’un seul associé. Ces règles de fonctionnement sont très proche de la SARL. La
principale différence concerne sont régime fiscal. Ces bénéfices sont imposés dev plein droit à
l’impôt sur le revenu au nom de l’associé, une option à l’impôt sur les sociétés étant toutefois
possible.

-La société par action simplifiée unipersonnelle (SASU) : il s’agit d’une catégorie particulière
de SAS qui ne dispose que d’un seul associé. Seuls quelques règles de fonctionnement
diffèrent de celle applicable à la SAS, simplifiant notamment le formalisme juridique. Comme
les SAS, la SASU est rarement adapté à une entreprise en création.

2- FONCTIONNEMENT

Quel est le fonctionnement d’une entreprise unipersonnelle ?

-Les prises de décision

Son fonctionnement est proche de la SARL classique. C’est un statut très encadré
juridiquement et l’associé unique d’une SARL unipersonnelle a peu de marge de manœuvre
quant au choix des modalités de fonctionnement de sa société.

L’associé unique prend seule des décisions importantes, il n’a pas besoin de réunir plusieurs
décisionnaires et d’effectuer un vote à chaque décision. L’associé peut simplement rendre ce
qu’on appelle une décision de l’associé unique (DAU) qui tient lieu de procès-verbal.

-La gestion de la société

La gestion courante de la société est assumée par le gérant de la SARL unipersonnelle, en


principe le gérant de la SARL a les pouvoirs les étendus pour engager la société auprès des
tiers ; si l’entrepreneur embauche un gérant, ce dernier a le pouvoir de décider et de pouvoir
effectuer tout acte de gestion dans l’intérêt de l’entreprise, pour autant il vous est possible de
limiter les pouvoirs du gérant dans les statuts.

Quel est le régime fiscal d’une SARL unipersonnelle ?

La fiscalité de la SARL unipersonnelle n’est pas exactement identique à celle de la


SARL. Son régime fiscal est l’impôt sur les revenus (IR). Toutes fois, il est possible pour
l’associé unique d’opter pour l’impôt sur les sociétés (IS), mais ce choix est irréversible.
Lorsque la société est soumise à l’IR, les pertes de l’EURL sont déductibles de votre revenu
global dans la limite de six exercices consécutifs. Prenons un exemple concret : vous avez un
revenu global de 1million par an, votre entreprise réalise une perte de 400 milles, au lieu de
payer les impôts sur la base de vos un million, vous ne paierez d’impôts que sur 400 milles de
revenus.

C- AVANTAGES ET LIMITES
1- AVANTAGES

-Responsabilités limitées aux apports (sauf caution bancaire et faute de gestion)

-Régime fiscal de l’impôt sur les sociétés

-Choix entre rémunération et dividendes pour les structures à l’IS

-Structure évolutive facilitant l’entrée de nouveaux associés

2- INCONVENIENTS

-Frais et formalisme de constitution

-Formalisme de fonctionnement

-Risque de compte courant débiteur

I- Société de personnes ?
A- Qu’est-ce qu’une société de personnes
1- Historique
L’évolution historique de la société, non seulement en France mais dans l’Europe tout
entière, s’est trouvée marquée par le passage de la création de la société. La société tire
ses origines de l’héritage médiéval.

Il est indéniable que c’est dans les statuts des cités commerçantes du moyen âge,
spécialement des cités italiennes qu’il convient de chercher l’origine historique des
diverses sociétés commerciales. Ainsi, a cette époque selon Digeste et notamment à son
titre 2 du livre 17(pro socio) et, accessoirement, à quelques passages des institutions de
Gaius ; juriste romain du 2eme siècle après Jésus Christ. L’idée centrale est que la société
suppose la conclusion d’un contrat. Dans ce contrat, les associés conviennent d’un but
recherché et chacune des parties s’engage à y apporter sa contribution.

Le modelé romain de la société a accompagné les développements du commerce en


Europe continentale dès le moyen âge et son influence s’est maintenue à l’époque
moderne. La France et l’Allemagne récupèrent dont le modèle romain du droit des
sociétés mais au niveau des caractéristiques ils donneront naissance à de nouvelles
caractéristiques de la société : une personne morale, un patrimoine personnel social
distinct des patrimoines personnels des associés.

Ces nouveaux caractères de la société contemporaine seront dont un grand pas dans
l’émancipation du droit de société de personnes.

Aujourd’hui, les sociétés ont une nature financière, juridique et fiscale. Elles assurent
ainsi, la séparation des patrimoines, la gestion de la société et la transmission de la société.

Nous distinguons ainsi six classifications des sociétés : sociétés civiles et commerciales,
sociétés à risque limité et à risque illimité, sociétés cotées et non cotées, sociétés à
personnalité morale et sans personnalité, sociétés à parts sociales et par actions et enfin
sociétés capitaux et de personnes.

2- Définition de la société de personnes

Une société est, selon sa définition juridique, un contrat par lequel deux ou plusieurs
personnes décident de mettre en commun des biens ou leur industrie en vue de partager les
bénéfices, les économies ou les pertes qui en résulteront.

Les sociétés désignées comme des « sociétés de personnes » sont des structures dans
lesquelles il existe un lien fort entre les associés. On parle d’intuitu personae. Les associés
choisissent délibérément de créer leur société ensemble, souvent en raison d’un fort lien
personnel ou de la poursuite d’intérêts communs.

Les associés de personnes se distinguent des sociétés de capitaux. Ces derniers sont axés
sur les apports des associées au capital de la société. L’identité des associés n’est pas aussi
importante que dans les sociétés de personnes et la responsable des associés sont
généralement limitée à leur apport.

B- Les caractérisques des sociétés de personnes

Les sociétés de personnes sont caractérisées par trois éléments majeurs :

1- la nécessité d’un agrément pour les associés entrants

En raison de l’importance attachée à l’identité des fondateurs, l’entrée et la sortie des


associés au capital de la société est souvent l’objet d’une procédure complexe, qui requiert
l’agrément des autres associés. L’identité des associés doit être bien cernée.

2- la responsabilité indéfinie et solidaire des associés

La bonne entente des associés est nécessaire dans une société de personnes, car les
associés sont tous personnellement responsables des dettes de la société de maniéré
indéfinie et solidaire.

Concrètement, cela signifie que les créanciers de la société peuvent demander à être
remboursé sur le patrimoine personnel des associés. On parle de responsabilité indéfinie,
car la responsabilité financière des associés n’est pas limitée à leurs apports.

3- la fiscalité des sociétés de personnes

La fiscalité des sociétés de personnes est ce qu’on appelle « fiscalité transparente ».


Cela signifie que ce n’est pas la société qui est imposée sur ses bénéfices, mais ce sont les
associés qui sont imposées à l’impôt sur le revenu(IR), sur les bénéfices de la société.

En principe, les associés sont donc imposés quoi qu’il arrive, des lors que la société réalise
un bénéfice, même si celui-ci n’est pas distribué.

C- types et fonctionnement des sociétés de personnes

1- Les types de société de personnes


Une société de personnes peut revêtir plusieurs formes juridiques , il s’agit des sociétés
en nom collectif, des société à commandite simple et des société civile .

1.1- Société en nom collectif

La SNC ou société en nom collectif est une forme juridique de société


particulièrement utilisée par les entrepreneurs qui se connaissent bien. Elle doit être
composée d’au moins deux associés, personnes morale ou physique. Aucun capital social
minimum n’est requis lors de la création d’une SNC. Ce capital social peut être constitué
par des apports en numéraire ou en nature.

1.2- Société en commandite simple

La SCS ou société en commandite simple est une forme juridique de société offrant la
possibilité à certains associés de limiter leurs parts de responsabilités dans l’entreprise.
Elle se forme généralement autour de deux personnes minimums. Ces associés sont des
personnes morale ou physique jouissant de la capacité commerciale. ça peut aussi être des
mineur émancipé.

1.3- Société civile

La société civile regroupe plusieurs statuts juridiques d’entreprise :

- La société civile de moyens ;


- La société civile professionnelle ;
- La société civile d’exploitation agricole ;
- La société d’exercice libérale à responsable limitée(SELARL)
- La société en participation ;
- La société civile immobilière ;
La société civile immobilière ou SCI est un excellent outil de gestion du patrimoine
immobilier en commun, notamment en termes de location de biens immobilier. L’on
retrouve entre autres la SCI familiale dont les associés sont des membres d’une même
famille. Sa gestion est assurée par un ou plusieurs gérants avec des organes de
direction ou de contrôle. Nous avons les entreprises ayant la possibilité d’opter
temporairement pour un régime de société de personnes. Ces entreprises adoptent le
régime de société de personnes par défaut. Certains peuvent opter pour les cinq
première années d’exercice, il s’agit de SARL ( société à responsabilité limitée) la
SAS ( société à action simplifier) et la SA ( société anonyme).

2- Fonctionnement de société de personnes


- Dans une société de personnes, les associés sont entièrement engagés dans les activités
de la société et au remboursement des créanciers en cas faillite ;
- D’après l’article L221-1 du code du commerce, les créanciers d’une société en nom
collectif ne peuvent réclamer le paiement des dettes sociales à un seul associé qui
après l’envoi d’un extrajudiciaire de mise en demeure ;
- En exerçant leurs activités, les sociétés de personnes réalisent généralement des
bénéfices ;
- Les réglementations d’entrées et de sorties dans une société de personnes sont assez
strictes. Il en est de même pour la prise de décision
- Pour céder les parts sociales d’un associé dans une SP on note :
. Noter la cession par écrit ;
. Déposer un original de l’acte de cession ;
. Publier les statuts modifier au RLS.

C- les avantages et les limites de société de personnes


1- Les avantages
- Concentration du capital : la SP évite que le capital de la société ne se retrouve diffus,
fractionné entre plusieurs personnes physique ou morale ;
- Mainmise des fondateurs sur la gestion de la société : la SP permet au fondateur de
garder la mainmise sur la gestion de l’activité ;
- Un régime d’imposition plus souple : les SP sont soumis à l’impôt sur les revenues ;
- La possibilité pour les associés d’imputer les déficits par la société à leur revenu
imposable ;
2- Les limites

Les inconvénients sont plus présentent pour les associés, et dans le cas d’une expansion
d’activité :
2.1- Pour les associés
- La responsabilité solidaire et indéfinie
- Une imposition personnelle lourde, notamment dans les cas où l’associé bénéficierait
déjà des revenus élevés, dans ce cas les bénéfices de la société viendraient en
augmentation de ces revenues, augmentant ainsi le taux d’imposition applicable.

2.2- Pour les possibilités d’expansion de l’activité


- L’entrée de nouveau associés qui nécessite l’agrément des associés ;
- L’impossibilité de négocier des parts sociales sur les marchés.

III-Etude comparative entre l’entreprise unipersonnelle et société de


personnes
1- Les points de convergences

Plusieurs conséquences résultent de ces différences :

- Une entreprise peut prendre la forme d’une société (une SARL par exemple) mais peut
aussi être crée sans forcément adopter ce statut juridique (auto-entrepreneur, micro-
entreprise)
- A l’inverse, la notion de société ne recouvre pas nécessairement la notion d’entreprise
puisque des sociétés peuvent être crées sans pour autant être considéré comme des
entreprise (voir le cas de la société civile immobilière par exemple)
- Au sens du droit du travail, pour plusieurs société pourtant distincte juridiquement
peuvent dans certains cas être considéré comme une seule et même entreprise (voir
notamment le cas de l’unité économique et sociale (UES)).
2- Les points de divergences
- Les définitions

La notion de société de personne désigne la personne morale et physique crée par le


contrat de société. En tant que personnes morales, la société dispose d’un patrimoine
composé à l’origine des biens apportés par les associés ou actionnaires. La personnalité
morale d’une société est acquise lors de l’immatriculation de celle-ci au RCS (registre du
commerce et des sociétés)
Contrairement à la société, l’entreprise ne fait pas l’objet d’une vraie définition légale.
C’est une notion avant tout économique et sociale. En matière économique, elle peut se
définir comme une unité organisé reposant sur la mise en œuvre des moyens humains et
matériel de production ou de distribution.

- Les formalités de constitution

Les formalités de création sont légères pour une entreprise individuelle que pour une
société, en effet, il suffit de déposer un dossier auprès du CFE (cotisation foncière des
entreprises). Les sociétés doivent établir les statuts et procéder à des formalités
complémentaires telle que la publicité dans un journal d’annonce légale.

- Le patrimoine
. L’entrepreneur individuelle est responsable sur son patrimoine personnel de
l’ensemble des dettes professionnelle. Les biens acquis en commun avec le conjoint
sont également concernés. La résidence principale d’un entrepreneur individuel est
insaisissable par les créanciers professionnels.
. La société ayant une personnalité autonome, elle dispose d’un patrimoine propre. En
cas de perte les associés ne sont inquiétés sur le patrimoine personnel, sauf en cas de
faute de gestion prouvée ayant conduit à un dépôt de bilan ou si la société est en
responsabilité indéfinie (pour les SNC et les SC)
- Le régime fiscal et sociale

Sur ce plan, les bénéfices de l’entreprise individuelle sont portés sur la déclaration de
revenues personnel de l’entrepreneur. La société est soit de droit, soit sur option, assujetti
à l’impôt sur les sociétés.

Le régime social est celui des travailleurs « non-salariés » (indépendants) gérés par la SSI
(sécurité social des indépendant) .

Le régime social des dirigeants varie selon la forme sociale et détention du capital

- Fonctionnement

L’entrepreneur individuel est libre d’agir et n’a de compte à rendre à personnes.


L’entrepreneur en société doit respecter un certains formalisme dans la prise de décision
(procès-verbaux, les registres, publicités légales…) et rendre compte aux autres associés
dans les sociétés pluripersonnel.
CONCLUSION

Au terme de ce travail, il était question de présenter l’entreprise unipersonnelle et


société de personnes en montrant leurs définitions, caractéristiques, leurs modes de
fonctionnement, leurs avantages et limites pour enfin mener une étude comparative entre
l’entreprise unipersonnelle et société de personnes en faisant ressortir leurs points de
ressemblances et de divergences. Il importe ainsi de noter que l’entreprise unipersonnelle
ne concerne qu’un seul entrepreneur alors que la société de personnes peut avoir plusieurs
associés, mais leur but principal est de promouvoir le développement et l’évolution de ces
entreprises pour leurs permettre de faire des bénéfices et également pour pouvoir affirmer
ces entreprises à l’échelle nationale et même international dans un environnement ou la
concurrence bat son plein dans tous les secteurs d’activités.
QUELQUES ELEMENTS DE BIBLIOGRAPHIE

- Cours du Dr. GAYE Gustave, Master I langue et littérature françaises, CRE 452
Technique de création d’entreprise et d’emploi, 2019/2020.
- Les Echos executives, 2020.
- Le coin des entrepreneurs
- Société de personnes, Wikipédia.
- Google

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