Академический Документы
Профессиональный Документы
Культура Документы
Dénombrement et Combinatoire.
2
w1 = w +1= 3
3 0
2
w2 = w +1= 3
3 1
La suite semble constante :
w0 = w1 = w2 = … = 3 . Le problème, ce sont les … !
Comment prouver que TOUS les termes de la suite valent 3 ?
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 1.
Exemples :
n ( n + 1) ( 2n + 1)
1 + 2 + 3 +…+ n =
2 2 2 2
.
6
⎧ u0 = 3
⎪
• On considère la suite : un ( ) : ⎨ 1 . Démontrer par
⎪ un+1 = un + 2
n∈!
⎩ 2
• Les blaireaux…
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 2.
PARTIE B : Dénombrement et Combinatoire :
I – Ensembles finis
Définition :
Un ensemble fini est un ensemble qui contient un
nombre fini d’éléments.
Exemples :
{ }
• 2;4;6;8 est un ensemble fini défini par extension.
{ }
• 2k k ∈!1;4" est un ensemble fini défini par compréhension.
Définition :
Dire que A est une partie de E
(ou sous-ensemble de E ), c’est dire que tous les
éléments de A sont dans E .
On note A ⊂ E « A est inclus dans E ».
(
On a donc l’équivalence : A ⊂ E ⇔ x ∈ A ⇒ x ∈E . ) ( )
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 3.
Réunion d’ensembles :
Définition :
Soit A et B deux ensembles finis, la réunion de A et
B est l’ensemble, noté A ∪ B , contenant les éléments
appartenant à A ou à B .
(
On a donc l’équivalence : x ∈ A ∪ B ⇔ x ∈ A ou x ∈B . ) ( )
La réunion est :
• commutative : A ∪ B = B ∪ A .
(
• associative : A ∪ B ∪ C = A ∪ B ∪ C) ( )
que l’on peut donc noter : A ∪ B ∪ C .
Intersection d’ensembles :
Définition :
Soit A et B deux ensembles finis, l’intersection de A
et B est l’ensemble, noté A ∩ B , contenant les
éléments appartenant à A et à B .
(
On a donc l’équivalence : x ∈ A ∩ B ⇔ x ∈ A et x ∈B . ) ( )
L’intersection est :
• commutative : A ∩ B = B ∩ A .
(
• associative : A ∩ B ∩ C = A ∩ B ∩ C) ( )
que l’on peut donc noter : A ∩ B ∩ C .
• distributive par rapport à la réunion :
A ∩ ( B ∪ C ) = ( A ∩ B) ∪ ( A ∩ C ) .
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 4.
Complémentaire d’un ensemble :
Définition :
Soit A une partie d’un ensemble fini E ;
le complémentaire de A dans E est l’ensemble, noté
On a donc l’équivalence : x ∈ A ⇔ x ∉ A . ( ) ( )
On peut utiliser facilement les « lois de Morgan » :
(
• A⊂ B ⇔ B⊂ A ) ( ) • A∩ B = A∪ B • A∪ B = A∩ B
On démontre ces propriétés à l’aide d’un diagramme de Venn…
Ensembles disjoints :
Définition :
Soit deux ensembles finis A et B .
Dire que A et B sont disjoints, c’est dire que A ∩ B = ∅ .
Exemples :
{ } { }
• 1;3 et 2;4 sont disjoints.
• A et A sont disjoints.
Définition :
Soit E un ensemble fini et Ai , pour i ∈!1;n" , n parties
{
non vides de E . Dire que A1 ; A2 ; … An forme une }
partition de E , c’est dire que les ensembles Ai sont
deux à deux disjoints et que leur réunion est E .
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 5.
C’est donc dire que :
• ∀i ∈!1;n", ∀j ∈!1;n" avec i ≠ j , on a : Ai ∩ Aj = ∅
• A1 ∪ A2 ∪……∪ An = E
Définition :
Soit E un ensemble fini. On appelle Cardinal de E , et
( )
on note Card E , ou parfois E , le nombre
d’élément(s) de l’ensemble E .
Exemples :
{ ( )
• Soit E = 3;π ;4 ; Card E = 3 . }
• Soit F = !0;10" ; Card ( F ) = 11.
Propriété (admise) :
Soit n ensembles finis Ai i ∈!1;n" , deux à deux disjoints.
On a :
Card ( A1 ∪ A2 ∪…∪ An ) = Card ( A1 ) + Card ( A2 ) +…+ Card ( An ) .
⎛ n ⎞ n
Autrement dit : Card ⎜ ∪ Ai ⎟ = ∑ Card ( Ai ) .
⎝ ⎠ i=1 i=1
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 6.
N.B. : Pour deux ensembles quelconques A et B , on a :
Card ( A ∪ B ) = Card ( A) + Card ( B ) − Card ( A ∩ B ) .
Corollaire :
Soit A une partie d’un ensemble fini E . On a :
()
Card A = Card ( E ) − Card ( A) .
( )
Card A ∪ A = Card ( A) + Card A , avec A ∪ A = E . ()
Produit cartésien d’ensembles finis ; principe multiplicatif :
Définitions :
( )
Un couple a;b est une collection ordonnée de deux
éléments a et b .
( )
Un triplet a;b;c est une collection ordonnée de trois
éléments a , b et c .
( )
Un p-uplet a1 ;a2 ;…;a p est une collection ordonnée de
p éléments a1 ,a2 ,…,a p .
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 7.
Exemples :
• E = a;b;c {
} et F = {1;2} ; on a alors :
E × F = {( a;1) ;( a;2 ) ;( b;1) ;( b;2 ) ;( c;1) ;( c;2 )}
• E = {1;2;3;4;5;6} ; on a alors :
En général : E × F ≠ F × E .
Propriétés (admises) :
Soit p ensembles finis Ei i ∈!1; p" . On a :
( )
Card E1 × E2 ×…× E p = Card ( E1 ) × Card ( E2 ) ×…× Card E p . ( )
Soit E un ensemble de cardinal n et p un entier
naturel non nul. On a :
( )
Card E p = n p
⎛ p ⎞ p
Autrement dit : Card ⎜ ∏ Ei ⎟ = ∏ Card ( Ei ) .
⎝ ⎠ i=1 i=1
Exemples :
Multiplication
Produit cartésien « fois »
« croix »
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 8.
{ }
• Soit E = 1;2;3;4;5;6 l’ensemble des 6 résultats possibles d’un dé
cubique.
Le nombre de couples de résultats en jetant deux fois le dé est :
( )
Card E 2 = ⎡⎣Card ( E ) ⎤⎦ = 36 .
2
III – Dénombrement
1. Nombre de p-uplets d’un ensemble fini
Propriété :
Soit E un ensemble de cardinal n .
Le nombre de p-uplets d’éléments de E est n p .
Exemples :
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 9.
2. Nombre de p-arrangements d’un ensemble fini
Définition :
Soit E un ensemble fini. On appelle p-arrangement
d’éléments de E , un p-uplet d’éléments distincts de E .
Exemple :
Définition :
Soit n un entier naturel non nul. On appelle factorielle
n et on note n! le nombre n × n − 1 × n − 2 ×…× 2 × 1 . ( ) ( )
On pose par ailleurs 0! = 1.
Exemples :
• 6! = 6 × 5 × 4 × 3× 2 = 720
• 1! = 1
Propriété :
Soit E un ensemble de cardinal n . Soit p un entier
avec p ≤ n .
Le nombre de p-arrangements d’éléments de E est :
n!
Ank = .
( n − k )!
On peut donc écrire :
Ank = n × ( n − 1) × ( n − 2 ) ×…× ( n − k + 1)
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 10.
Démonstration :
Pour choisir un k-arrangement (ou k-uplet d’éléments distincts) de E , on a :
• n choix pour le premier élément ;
• pour chacun de ces n choix, il y a n − 1 choix pour le deuxième élément ;
• pour chacun de ces n ( n − 1) choix des deux premiers éléments, il y n−2
choix pour le troisième élément et ainsi de suite…
n! n ( n − 1) ( n − 2 )…( n − k + 1) ( n − k )!
= = n ( n − 1) ( n − 2 )…( n − k + 1) .
( n − k )! ( n − k )!
Exemples :
Définition :
Soit E un ensemble fini à n éléments. On appelle
permutation des éléments de E , un n-uplet d’éléments
distincts de E .
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 11.
Propriété :
Soit E un ensemble de cardinal n . Le nombre de
permutations d’éléments de E est :
Ann = n!
Exemples :
{
l’ensemble : m;o;t ;s . Il y a donc : }
4! soit 24 anagrammes.
• De combien de manières peut-on placer 6 convives devant un
comptoir ? Autour d’une table ronde ?
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 12.
IV – Combinatoire
Contrairement à la partie précédente relative au dénombrement, la notion
d’ordre n’est pas prise en compte en combinatoire.
En exercices, ce sera d’ailleurs souvent cette présence ou absence d’ordre qui
nous permettra de savoir si nous devons utiliser des formules de dénombrement
ou de combinatoire.
Propriété :
Soit E un ensemble de cardinal n .
Le nombre de parties de E est 2 n .
{ }
• Soit E = a;b;c . Cherchons l’ensemble de toutes les parties de E ,
{
℘( E ) = ∅;{ a} ;{b} ;{c} ;{ a;b} ;{ a;c} ;{b;c} ; E }
On a bien : Card ℘ E ( ( )) = 2 3
= 8.
Démonstration :
Pour constituer une partie de E , il s’agit de décider, pour chacun des n éléments
de E , si on le prend ou pas. Le nombre de choix correspond donc à un n-uplet
d’éléments de{on nele prend pas;onle prend } , ou plus simplement de {0;1} .
Dans l’exemple précédent le triplet (1;0;1) correspond au sous-ensemble { a;c} .
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 13.
2. Nombre de combinaisons d’un ensemble fini
Propriété :
Soit E un ensemble de cardinal n et k un entier
naturel avec k ≤ n . Une combinaison de k éléments de
E est une partie de E de cardinal k .
Exemple :
} {
Soit E = a;b;c;d . Une combinaison de 3 éléments de E est :
{a,b,c} ou {a,c,d } …
Propriété :
Soit E un ensemble de cardinal n et k un entier
naturel, k ≤ n .
Le nombre de combinaisons à k éléments de E est le
⎛ n⎞
nombre, noté ⎜ ⎟ et :
⎝ k⎠
⎛ n⎞ n!
=
⎜⎝ k ⎟⎠ k! n − k ! .
( )
⎛ n ⎞ Ank
Ainsi : ⎜ ⎟ = .
⎝ k ⎠ k!
Démonstration :
Pour une combinaison de k ( k ≥ 1) éléments distincts de E , on peut fabriquer k!
permutations pour obtenir des k-uplets d’éléments distincts de E , c.-à-d. des
k-permutations de E , et ce, pour toutes les combinaisons de k éléments.
⎛ n⎞ ⎛ n ⎞ A kn n!
× k! = A k
= =
( )
On a donc : ; soit :
⎜⎝ k ⎟⎠ n ⎜⎝ k ⎟⎠ k! k! n − k ! .
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 14.
⎛ n⎞
Relation qui reste valable pour k=0 ; en effet
⎜⎝ 0 ⎟⎠ correspond au nombre de
⎛ n⎞ n! n!
= 1 = = 1.
( )
partie(s) à 0 élément : c’est l’ensemble vide, donc et
⎜⎝ 0 ⎟⎠ 0! n − 0 ! n!
Exemples :
Sur les tickets était écrit alors à peu près ce qui est notifié ci-dessus.
Heureusement, un professeur de mathématiques a contredit le
propos et la Française des Jeux a dû réimprimer tous les tickets avec
un autre message… Et pourquoi donc ?…
a. Combien peut-on faire de grilles de 6 numéros parmi 49 ?
b. Combien peut-on faire de grilles avec 5 numéros parmi 49
augmentées d’un numéro entre 0 et 9 ?
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 15.
• Dans une classe de 28 élèves, on veut élire 2 délégués et deux
délégués suppléants. Combien de choix a-t-on ?
Une paire de délégués est une combinaisons de 2 élèves parmi 28.
⎛ 28⎞ 28 × 27
Il y a donc ⎜ ⎟ = = 14 × 27 choix possibles.
⎝2 ⎠ 2
Pour chacun de ces choix, il reste une combinaison de deux
⎛ 26⎞ 26 × 25
suppléants parmi 26, c.-à-d. ⎜ ⎟ = = 13× 25 .
⎝2 ⎠ 2
Il y a donc 13× 14 × 25 × 27 = 122 850 choix possibles.
⎛ 0⎞
⎜⎝ 8 ⎟⎠ =
⎛2 ⎞
⎜⎝ 10⎟⎠ =
⎛ 4⎞
⎜⎝ 6 ⎟⎠ =
⎛ 10⎞
⎜⎝ 11⎟⎠ =
⎛ 3⎞
⎜⎝ 8⎟⎠ =
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 16.
3. Propriétés des combinaisons
a. Relation de symétrie :
Exemple :
On veut choisir 25 des 28 élèves qui pourront partir en sortie pour les
seules 25 places disponibles.
⎛ 28⎞
Un tel choix est une combinaison de 25 parmi 28 ; il y en a donc : ⎜ .
⎝ 25⎟⎠
Mais on peu tout aussi bien choisir les 3 élèves qui ne partiront pas,
⎛ 28⎞
avec un nombre de choix de : ⎜ ⎟ .
⎝3 ⎠
⎛ 28⎞ 28! ⎛ 28⎞ 28 × 27 × 26
On vérifie aisément que ⎜ ⎟ = = = = 3276 .
⎝ 25⎠ 25!3! ⎜⎝ 3 ⎟⎠ 3× 2
Plus généralement :
Propriété :
Pour tous entiers naturels n et k tels que 0 ≤ k ≤ n :
⎛ n⎞ ⎛ n ⎞
⎜⎝ k ⎟⎠ = ⎜⎝ n − k ⎟⎠ .
Exemples :
⎛ 10⎞ ⎛ 10⎞ 10 × 9
• ⎜ ⎟ =⎜ ⎟ = = 45
⎝ 8⎠ ⎝ 2⎠ 2
⎛ 15⎞ ⎛ 15⎞
• ⎜ ⎟ = ⎜ ⎟ = 15
⎝ 14⎠ ⎝ 1 ⎠
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 17.
b. Relation de Pascal :
Exemple :
On veut choisir une main de 5 cartes d’un jeu de 32 cartes.
Une main de 5 cartes est une combinaison de 5 parmi 32.
⎛ 32⎞
Il y a donc ⎜ ⎟ choix possibles. :
⎝ 5⎠
Mais on veut distinguer les mains de 5 cartes qui contiennent l’As de
pique de celles qui ne le contiennent pas.
Le nombre de choix de mains de 5 cartes contenant l’As de pique est :
⎛ 1⎞ ⎛ 31⎞
⎜⎝ 1⎟⎠ × ⎜⎝ 4 ⎟⎠ .
Le nombre de choix de mains de 5 cartes NE contenant PAS l’as de
⎛ 31⎞
Pique est : ⎜⎝ 5 ⎟⎠ .
Ainsi, on peut dire que :
⎛ 32⎞ ⎛ 31⎞ ⎛ 31⎞
⎜⎝ 5 ⎟⎠ = ⎜⎝ 5 ⎟⎠ + ⎜⎝ 4 ⎟⎠ .
Plus généralement :
Exemple :
⎛ 8⎞ ⎛ 7⎞ ⎛ 7⎞
• ⎜ ⎟ = ⎜ ⎟ + ⎜ ⎟ = 21+ 7 = 28
⎝ 2⎠ ⎝ 2⎠ ⎝ 1 ⎠
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 18.
c. Le triangle de Pascal
⎛ n⎞
Grâce aux deux propriétés précédentes, on peut déterminer les ⎜ ⎟
⎝ k⎠
de proche en proche en les disposant en triangle…
c’est le Triangle de Pascal :
n\k 0 1 2 3 4 5 6
0 1
1 1 1
2 1 1
3 1 1
4 1 1
5 1 1
6 1 1
Exemple :
( )
6
Développer a + b :
( a + b)
6
= 1× a 6 + 6 × a5b + 15 × a 4 b2 + 20 × a 3b3 + 15 × a 2 b4 + 6 × ab5 + 1× b6
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 19.
d. Somme des cofficients binomiaux
Propriété :
Pour tous entiers naturels n et k tels que 0 ≤ k ≤ n :
n
⎛ n⎞
∑ ⎜⎝ k ⎟⎠ = 2n .
k=0
(1+ 1) …
n
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 20.
*⎜
⎛ n − 1⎞ ⎛ n − 1⎞
+ = +
( n − 1)! ( n − 1)!
(
⎝ k ⎟⎠ ⎜⎝ k − 1⎟⎠ k! n − k − 1 ! k − 1 ! n − k ! ) ( )( )
=
( n − 1)!× ( n − k ) + ( n − 1)!× k
k!( n − k )!
=
( n − 1)!× n
k!( n − k )!
n!
=
k!( n − k )!
⎛ n⎞
=⎜ ⎟
⎝ k⎠
Mathématiques de spécialité. Classes de Terminale. M. Gouny. Chapitre 1 – Raisonnement par récurrence – Combinatoire. Page 21.