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Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique

Travail –Justice – Solidarité

COURS DE TRANSMISSION DE L'INFORMATION


Chargé du cours : M. DIALLO Mamadou Mouctar Hal
Exposé sur les réseaux

Sous-Groupe 2
N° NOM PRENOMS MATRICULE
1 BARRY FATOUMATA BINTA 1302199
2 DIARRA HAROUNA 1300642
3 DIALLO MAMADOU SALIOU 1300886
4 SOW MAMADOU ADAMA 1300700
5 DIALLO MARIAMA II 1300742
6 BALDE MOUSSA 1300534
7 DIALLO THIERNO MAMADOU DIAN 1300643
8 SOW MAMADOU BELLA 1300679
9 BALDE THIERNO MAMOUDOU 1300604
10 BALDE MAMADOU YAYA 1300732
11 BALDE RABIATOU 1300736
12 BARRY MARIAMA CIRE 1300606
13 DIALLO ABDOURAHMAN RAMADANE 1300646
14 BALDE MAMADOU TANOU
15 BAH MAMADOU BAILLO 1300719
16 DIALLO RAMATOULAYE DJIBRIL
17 DIALLO HADJA AMINATA 1300615
18 DIALLO AISSATOU
19 SOW MAMADOU SAIDOU 1300687
COURS DE TRANSMISSION DE L'INFORMATION 2016

PLAN DE TRAVAIL
I. Définition
II. Type des réseaux
III. Model internet :
1. OSI
2. TCP /IP
IV. Introduction aux couches :
1. Routage
2. Transport
V. Protocole 
1. IP
2. UDP
3. TCP

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1. DEFINITION DU RESEAUX :
De façon générale, le réseau est un ensemble d’entités communicantes entre elles.

C’est un ensemble d’ordinateurs ou périphériques (PC, Imprimante, Serveur etc.)


autonomes connectés entre eux et qui sont situés dans un certain domaine
géographique.

Dans un premier temps ces communications étaient destinées aux transports des
données informatiques alors qu’aujourd’hui on se dirige vers des réseaux qui intègrent
à la fois des données mais en plus, la parole, et la vidéo.

2. TYPES DE RESEAUX:
Pour classer les réseaux on tient compte de plusieurs critères dont la distance, le mode
de transmission, la topologie, le mode d'administration etc.

Dans ce présent cours on tiendra compte de la classification suivant la distance

Suivant la distance on distingue principalement trois types de réseaux :

Les réseaux LAN, les réseaux MAN et les réseaux WAN.

2.1. Le LAN : (Local Area Network = réseau local)


Encore appelé réseau local, constitué d'ordinateurs et de périphériques reliés entre
eux et implantés dans une même entreprise, et à caractère privé.
 Il ne dépasse pas généralement la centaine de machines et ne dessert jamais au-
delà du kilomètre.
 Le partage des ressources est ici fréquent et les vitesses de transmissions vont
de 10 à 100 Mb/s (mégabits/seconde).
 Nous allons (plus tard) analyser les différentes architectures des réseaux
locaux : IEEE 802.x

2.2. Le MAN : (Metropolitan Area Network = Réseau métropolitain)


Encore appelé Réseau Urbain correspond à la réunion de plusieurs réseaux locaux
(LAN) à l'intérieur d'un même périmètre d'une très grande Entreprise ou d'une ville
par ex. pouvant relier des points distants de 10 à 25
Km.
 En général le câ ble coaxial est le support physique le plus utilisé dans ce type de
réseau.

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 Il existe alors une interconnexion qui nécessite quelques matériels particuliers
conçus pour réunir ces différents réseaux et aussi pour protéger l'accès de
chacun d'eux suivant des conventions préalables peut être privé ou public.
 Utilise un ou deux câ bles de transmission.
 Pas d’éléments de commutation (routage).
 Norme spéciale IEEE-802.6.
 Pour envoyer une information à un ordinateur à droite, utiliser le bus A ; sinon
utiliser le bus B

2.3. Le WAN : (Wide Area Network = réseau grande distance)


Il s'agit cette fois d'un réseau multiservices couvrant un pays ou un groupe de
pays, qui est en fait constitué d'un ensemble de réseaux locaux interconnectés.

Un WAN peut être privé ou public, et les grandes distances qu'il couvre
(plusieurs centaines de kms) font que les liaisons sont assurées par du matériel
moins sophistiqué (raisons financières) et le débit s'en trouve un peu pénalisé.
Il est maintenant plus facile de comprendre pourquoi différentes structures de
réseaux peuvent être d’une part exploitée localement, et d'autre part
interconnectés pour en élargir le périmètre d'exploitation.

Sous-réseau de commutation :
Ensemble de commutateurs reliés entre eux.
 Un commutateur (routeur) : équipement spécialisé qui permet
d’acheminer des paquets.
 Quelques topologies possibles d’un sous-réseau :
• É toile,
• Anneau,
• Arbre,
• Maillage régulier,
• Anneau interconnecté,

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3. MODEL INTERNET : TCP / IP OSI

3.1. OSI (Open Systems Interconnexion)


L'InternationalOrganization for Standardization(ISO) a défini un modèle de base
appelémodèle OSI. Ce modèle définit 7 niveaux(couches) différents pour le transfert
dedonnées.
Chaque couche rend service aux couches adjacentes. Un protocole appartient à
uneseule et unique couche.
Ce modèle sur 7 couches n’est que trèsrarement utilisé.
(1). Couche physique : Assure le transfert de bits, on trouve dans cette
couche :
 L’étude des interfaces de connexion.
 L’étude des modems, des multiplexeurs et concentrateurs.
(2). Couche liaison de données : Responsable de l’acheminement d’unités de
données appelées trames en assurant la meilleure qualité de transmission
possible.
(3). Couche réseaux : Transporte des unités de données de taille fixe appelé e
paquets.
(4). Couche transport : Transport des unités de données appelées messages.
Le protocole TCP et UDP et TCP/IP

(5). Couche session : Assure l'établissement et le contrô le de séances de


communication
(6). Couche présentation : Présentation globale et unifiée de l’information,
interprétation, cryptage, compression de données.
(7). Couche Application : Application spécifiques, comme Telnet, FTP, rlogin,
SSH….

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3.2. TCP/IP
Ce standard est structuré en quatre niveaux :

Principe architectural
Précédant le modèle OSI, TCP en diffère fortement, non seulement par le nombre de
couches, mais aussi par l’approche. Le modèle OSI spécifie des services (approche
formaliste), TCP/IPdes protocoles (approche pragmatique). Développé au-dessus d’un
environnement existant,TCP/IP ne décrit, à l’origine, ni de couche physique ni de
couche liaison de données. Les applications s’appuient directement sur le service de
transport. L’architecture TCP/IP ne comprendque 2 couches : la couche transport
(TCP) et la couche interréseau (IP).
Contrairement à ISO, TCP/IP utilise un format unique d’en-tête de taille fixe.
Cetteapproche, en nécessitant des en-têtes relativement importants, pénalise le débit
(over Headprotocolaire), mais optimise le traitement des blocs de données dans les
systèmes intermédiaires.
La figure 10.5 illustre ce processus. La terminologie utilisée pour désigner les
différents blocs de données diffère quelque peu de celle du monde OSI.
N Couches TCP/IP Equivalence OSI
°
1 L’interface réseau physique (couches 1 et 2 du modèle OSI) : dispositifs
d’interconnexion et protocole Ethernet
2 La couche réseau (couche 3 du modèle OSI) : acheminer les
paquets (routage) d’un ordinateur à un
autre.
3 La couche transport (couche 4 du modèle OSI) : Assurer le
transport et éventuellement le bon
acheminement des paquets.
4 La couche application (couches 5, 6 et 7 du modèle OSI) :
Protocoles d'applications.

La figure ci-après compare les deux architectures.

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4. Protocole TCP, IP et UDP

4.1. PROTOCOLE TCP


a. ORIGINE
L’architecture TCP/IP a été développé e, dans le milieu des années 1970, par la DARPA
(Defense Advanced Research Project Agency – USA –) pour les besoins d’interconnexion
dessystèmes informatiques de l’armée (DoD, Department of Defense). TCP/IP, du nom
de ses deux protocoles principaux (TCP, Transmission Control Protocol et IP, Internet
Protocol), est un ensemble de protocoles permettant de résoudre les problèmes
d’interconnexion en milieu hétérogène. À cet effet, TCP/IP décrit un réseau logique
(réseau IP) au-dessus du ou des réseaux physiques réels auxquels sont effectivement
connectés les ordinateurs.

TCP (transmission control Protocol). En français (protocole de contrô le de


transmission) est un des principaux de protocoles de la couche transport du model
TCP/IP. Il permet au niveau des applications, degérer les données en provenance (ou
à destination) de la couche inferieur (c’est-à -dire le protocole IP)

Lorsque les données sont fournies au protocole IP, celui –ci les encapsule dans des
datagrammes IP, en fixant le champ protocole en amont TCP.

TCP est un protocole orienté connexion

Lors d’une communication à travers le protocole TCP la machine émettrice (celle qui
demande la connexion) est appelé e ^ client^ tandis que la machine réceptrice est
appelé e ^serveur^. On dit qu’on est alors dans un environnement ^client-serveur^
alors la communication est en mode connexion c’est-à -dire connexion dans les deux
(2) sens.

Caractéristiques

 TCP permet de remettre en ordre les datagrammes en provenance du protocole


 TCP permet de vérifier le flot de données afin d’éviter une saturation du réseau
 TCP permet de formater les données en segment variable afin de les
« remettre » au protocole IP
 TCP permet de multiplier les données c’est-à -dire les faire circuler
simultanément des informations provenant des sources (application par
exemple) distincts sur une même ligne.
 TCP permet enfin l’initialisation et la fin d’une communication de manière
courtoise

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b. Le but de TCP
 Grace auprotocole TCP les applications peuvent communiquer de façon sure
(grâ ce au système accusé de réception)
 Indépendamment de coucheinferieur. Cela signifie que les routeurs (qui
travaillent dans couche internet.
On seulement pour rô le l’acheminent des données sous forme de datagrammes
sans sepréoccuper du contrô le de données car celui est réalisé parla couche
transport
 la communication en mode connecte dans une architecture

c. Fiabilité du TCP
Le protocole permet d’assurer le transfert des données de façon fiable, bien qu’il utilise
le protocole IP, qui n’a aucun contrô le de liaison de datagramme.

En réalité le protocole TCP possède un système d’accusé de réception permettant au


client et serveur de s’assurer de la bonne réception mutuelle des données.

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4.2. PROTOCOLE IP
Internet protocole s’intègre dans la suite des protocoles internet il permet un service
l’adressage unique pour l’ensemble des terminaux connectés .il couvre à la fois des
couches transport et réseau .la couche réseau couvre à la fois le protocole IP. Et la
couche transport couvre le protocole TCP du haut niveau du modèle OSI.

Le protocole IP est une famille de communication de réseau. Il est conçu pour


l’internet. Le protocole IP est de niveau 3dans le modèle OSI, le rô le de la couche
réseau est de déplacer les paquets dans un ordinateur vers un autre ordinateur. IP
gère à la fois l’adressage, le routage c’est-à -dire l’itinéraire et l’interconnexion des
réseaux. Le protocole IP doit montrer la route des paquets jusqu’au destinateur des
paquets. Les paquets peuvent empruntés des routes différentes.

Les paquets comprennent (3) parties

 L’en tête
 Adresse
 Données

4.3. PROTOCOLE UDP


(User datagramme Protocol)

Est un protocole non orienté connexion de la couche transport du model TCP/IP.

Ce protocole est très simple étant donné qu’il ne fournit pas contrô le d’erreurs (il n’est
pas orienté connexion)

 UDP apporte un mécanisme de gestion des ports, au-dessus de la couche


Internet.
 UDP est sans garantie : Tous les défauts d'IP sont applicables à UDP.
 C’est à l’application de tenir compte des risques d’acheminement
 UDP est aussi désigné comme un mode de transport « non connecté », ou encore
mode datagramme, par opposition à TCP.
 Applications au-dessus d’UDP
o DNS
o TFTP ou NFS.

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5. INTRODUCTION AUX COUCHES DE ROUTAGE ET DE TRANSPORT

5.1. LE ROUTAGE : CONCEPTS


Hô te : émet ou reçoit les messages
Routeur : sert d'intermédiaire dans la transmission d'un message
Passerelle : routeur qui se trouve entre deux réseaux dépendant d'autorités
différentes, comme entre le réseau local d'une entreprise et l'Internet
 Protocole de routage : mécanisme par lequel des chemins sont sélectionnés
dans un réseau pour acheminer les données d'un expéditeur jusqu'à un ou
plusieurs destinataires.
o Il y a plusieurs routes possibles d’un hô te à un autre
o Le routage doit tenir compte des pannes éventuelles de routeur
 Types de routage
o Unicast : une seule destination
o Multicast : à un groupe de machines
o Anycast : à un seul membre d'un groupe, généralement le plus proche
o Broadcast : à toutes les machines

a. Principe du routage

 Du point de vue de la couche réseau, la destination d’un paquet est un


ordinateur connecté à Internet, identifié donc par l’adresse IP du
destinataire, qui figure donc dans l’en-tête des paquets envoyés par la
couche réseau.
 L’en-tête de ces paquets contient de plus l’adresseIP de l’ordinateur
émetteur du paquet.
Pour trouver son chemin à travers le réseau de câ bles et de liens radio
connectant les ordinateurs entre eux, jusqu’à une destination identifiée par
son adresse IP, il faut faire appel à un type de protocole supplémentaire,
faisant également partie de la couche réseau
b. Un protocole de routage
 Avantages : Simple
 Inconvénients : Si l’on ajoute ou enlève des ordinateurs ou si on modifie les
liens entre eux, il faut reprogrammer tous les ordinateurs.
o Ça fait beaucoup d’informations à conserver.
Dans certains cas le protocole dérègle durablement les tables de
routage en ne détectant pas correctement qu’un ou plusieurs routeurs
sont soudainement

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5.2. LA COUCHE TRANSPORT (NIV 4)


5.2.1. Définition

La couche transport garantit aux couches hautes un transfert fiable et transparent des
données, en masquant, à celles-ci, les détails d’exécution de ce service. C’est-à -dire
qu’elle fournit, aux entités de session, un service de transfert fiable de bout en bout
quel que soit le sous-réseau utilisé disponible au SAP TSAP (Transport Service Access
Point). La couche transport effectue, éventuellement, une remise en séquence des
unités de données reçues, si ce service n’est pas garanti par les couches inférieures

5.2.2. Les tâches accomplies par les protocoles de cette couche sont :
 Adressage : identifier les applications en cours d’exécution qui utilisent le
réseau.
 Fiabilité : assurer le transport des paquets de bout en bout en corrigeant les
erreurs éventuelles de la couche 3.

ansmets des Donné es applicativestaille variable Reconstitue les données applicatives


Couche Application : niv 5

Reconstitue lasé quencede paquetsdans l’ord


mets une sé quence ordonné ede des paquets
Couche transport : niv 4

Transmets un paquet à travers le ré seau global Reçoit un paquet à travers le ré seau global
Couche ré seau : niv 3
 Chaque application est identifiée de façon unique A:i (A machine, i numéro).
 Le transport consiste à acheminer tous les paquets d’une application émettrice
A : i vers une application destinataire B

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La complexité du protocole de transport est directement liée à la qualité du service
réseauutilisé. Les sous-réseaux sont classés en 3 types (A, B et C) en fonction de deux
grandeurs :

 le taux d’erreurs signalées, les erreurs signalées sont des erreurs détectées
par la couche réseau mais non corrigées par celle-ci ;
 le taux d’erreurs résiduelles ou erreurs non signalées.
5.2.3. Les mécanismes de la couche transport

Les mécanismes mis en œuvre par les protocoles de transport sont nombreux,
quelques-uns sont spécifiques, ils sont détaillés ci-dessous.

 Larésolution de l’adresse de transport : la localisation de l’entité distante, sur


laquelle le système local doit se connecter, est déduite de l’adresse de transport
destination (TSAP).

Plusieurs cas sont envisageables :

 le système local connaît la TSAP distante, il émet une demande de


connexion à l’adressede celle-ci ;
 le système local ne connaît pas la TSAP distante, il peut, dans ce cas, par
exemple, se connecter à un service d’annuaire local ou distant qui lui
indiquera la TSAP désirée.
 Leréférencement des connexionsde transport, plusieurs connexions de
transport peuventaboutir à une même TSAP. Pour identifier les flux de données
de provenances différentes,l’entité de transport attribue à chaque flux un
identifiant, sur 2 octets, appelé référence detransport(référence source et
référence destination).
 Legel de référence, lors de la libération d’une connexion, les références de
celle-ci nepeuvent être réutilisées, par une nouvelle connexion, pendant un
certain temps. Cette technique interdit qu’une nouvelle connexion soit établie
sur les mêmes références et reçoive desdonnées, appartenant à la connexion
précédente, retardées dans le sous-réseau de transport.
 Lalibération implicite ou explicite, la libération est dite implicite lorsque sa
vie est liéeà celle de la connexion réseau, elle est réalisée en même temps que
celle-ci ; elle est diteexplicite quand sa vie est indépendante de celle de la couche
réseau.
 Ladétection et la correction d’erreur, un total decontrô le est calculé tel que la
somme modulo 255 des octets de la T_PDU soit nulle.
 Le contrôle d’inactivité, une horloge d’inactivité (timer) est gérée par l’entité
de transport, cette horloge est réinitialisé e à chaque réception de T_PDU. À
l’échéance du timer, la connexion transport est libérée. Ce mécanisme pallie les
libérations de connexion non signalée. Pour éviter, lors de longs silences, une

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rupture de connexion sur détection d’inactivité, les entités de transport peuvent
acquitter les messages (ACK).
 La segmentation, lorsqu’une T_SDU est plus grande que la taille des T_PDU
autorisée sur le réseau et déterminée à la connexion, celle-ci est segmentée.
 Le contrôle de flux, la couche transport utilise un mécanisme dit de contrô le de
flux explicite. Le récepteur, en fonction de son état, accorde un crédit à
l’émetteur. Le crédit indique, à l’émetteur, le nombre de T_PDU que celui-ci est
autorisé à émettre.
 L’établissement de la connexion en trois temps(three ways handshake), si la
demande de connexion est accepté e par le destinataire celui-ci émet, à
destination de l’appelant, une T_PDU CC (Connect.confirm). Si le service réseau
est un service fiable, la connexion est alors établie et l’échange de données peut
débuter (figure 9.29). Si le service réseau est non fiable, un incident quelconque
peut survenir et la CC peut, ne jamais, être reçu. Dans ces conditions, l’appelé
attend des données qui ne lui parviendront jamais, le système est bloqué
(deadlock). Pour éviter cette situation, un timer d’inactivité libère la connexion.
En classe 4, la connexion ne sera effectivement établie qu’à réception, par
l’appelé, d’un accusé de réception de son acceptation (AK), la validation est dite
en trois phases (figure 9.29).

La T_PDU de demande de connexion (CR) peut transporter un message de 32 octets, ce


message peut, par exemple, être un mot de passe

 La déconnexion, le mécanisme de déconnexion est identique à celui de la


connexion, il peut survenir à n’importe quel moment (déconnexion brutale ou
non négociée). De ce fait, des données retardées dans le sous-réseau peuvent
être perdues. L’éventuelle perte de données, due à une déconnexion brutale est,
en fait, traitée par la couche session.

Protocole de transport sans connexion

Le protocole de transport, en mode connecté, est lourd à mettre en œuvre, un


additif à la norme(ISO 7498) spécifie un protocole en mode non connecté. Les
fonctions assurées sont réduites :mise en correspondance de l’adresse de transport
et de l’adresse réseau (NSAP), délimitationdes blocs de données (T_PDU), détection
d’erreur et choix du service réseau le mieux adapté.

Si le service transport, en mode non connecté, est associé à un service réseau, aussi
en modenon connecté, aucune garantie de remise ni de séquencement n’est assurée
à la couche session.

Les unités de données ne sont pas acquittées, un total de contrô le optionnel peut
être utilisé.

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CONCLUSION
Les réseaux permettent :

• Le partage des fichiers

• Le partage d’application : compilation

• Partage de ressources matérielles : l’imprimante, disque…

• Télécharger des applications et des fichiers

• L’interaction avec les utilisateurs connectés : messagerieélectronique,


conférences électroniques, ….

• Le transfert de données en générale

• Fournir un puissant média de communication : e-mail.

16 Exposé sur les réseaux Licence III Groupe II Sous-Groupe 2

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