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Introduction :
la présentation du microcontrôleur tout en illustrant ces différentes caractéristiques afin de
mieux l’exploiter.
On aura à définir l’unité de contrôle et tout ce qui l’englobe de part et d’autre de sa
structure. La partie la plus importante sera celle qui traite les différents ports d’entrée/sortie.
Ainsi que le convertisseur qui jouera le rôle d’interface entre l’unité de contrôle et le capteur
de température
I.2.Les microcontrôleurs :
I.2.1.Généralités :
Un microcontrôleur se présente comme étant une unité de traitement de l’information de
type microprocesseur contenant tous les composants d’un système informatique, à savoir
microprocesseur, des mémoires et des périphériques (ports, timers, convertisseurs…).Chaque
fabricant a sa ou ses familles de microcontrôleurs.
Une famille se caractérise par un noyau commun (le microprocesseur, le jeu
d’instruction…). Ainsi les fabricants peuvent présenter un grand nombre de pins qui
s’adaptent
plus au moins à certaines tâches. Mais un programmeur connaissant une famille n’a pas
besoin
d’apprendre à utiliser chaque membre, il lui faut connaître juste ces différences par rapport au
père de la famille. Ces différences sont souvent, la taille des mémoires, la présence ou
l’absencedes périphériques et leurs nombres.
I .2.2.Les avantages du microcontrôleur :
L’utilisation des microcontrôleurs pour les circuits programmables à plusieurs points
forts et bien réels. Il suffit pour s’en persuader, d’examiner la spectaculaire évolution de
l’offre des fabricants de circuits intégrés en ce domaine depuis quelques années.
Tout d’abord, un microcontrôleur intègre dans un seul et même boîtier ce qui, avant
nécessitait une dizaine d’éléments séparés. Il résulte donc une diminution évidente de
l’encombrement de matériel et de circuit imprimé.
Cette intégration a aussi comme conséquence immédiate de simplifier le tracé du circuit
imprimé puisqu’il n’est plus nécessaire de véhiculer des bus d’adresses et de donnée d’un
composant à un autre.
Le microcontrôleur contribue à réduire les coûts à plusieurs niveaux :
- Moins cher que les autres composants qu’il remplace.
- Diminuer les coûts de main d’oeuvre.
Réalisation des applications non réalisables avec d’autres composants
PIC 16F84
I.3.1.Généralité sur PIC :
Un PIC n’est rien d’autre qu’un microcontrôleur, c’est à dire une unité de traitement de
l’information De type microprocesseur à la quelle on a ajouté des périphériques internes
permettant de réaliser des montages sans nécessiter l’ajout de composants externes.
Les Pics (Programmable Interface Controller) sont des composants dits RISC (Reduce
Instructions Set Computer), ou encore composant à jeu d’instruction réduit, sachant que plus
on réduit le nombre d’instruction plus facile et plus Rapide en est le décodage, et vite le
composant fonctionne.
Dans le marché, il existe deux familles opposées, les RISC et les CISC (Complexe
Instruction SET Computer) chez les CISC, on diminue la vitesse de traitement mais les
instructions sont plus complexes, plus puissantes, et donc plus nombreuses. Il s’agit donc d’un
choix de stratégie.
Tous les pics Mid – Range ont un jeu de 35 instructions, ils stockent chaque Instruction
dans un seul mot de programme, et exécutent chaque instruction (Sauf les sauts) en un cycle.
On atteint donc des très grandes Vitesses. L’exécution en un seul cycle est typique des
composants RISC.
L’horloge fournie au pic est pré-divisée par quatre au niveau de celle-ci. C’est Cette base
de temps qui donne le temps d’un cycle.
Si on utilise par exemple un quartz de 4 MHZ, on obtient donc100000 cycles / Secondes,
comme Le pic exécute pratiquement l’instruction par cycle hormis Les sauts, cela nous donne
une puissance de l’ordre de 1 MIPS (1 Millions d’instruction par secondes).
Les pics peuvent monter à 20 MHZ.
I.3.4.Le 16f84 :
Figure 1 :
Figure 2 :
Le fonctionnement du μC 16F84 nécessite une horloge qui rythme l’exécution des
instructions du programme.
On distingue trois modes d’horloge :
Horloge interne à quartz (Figure 3a) : Avec l’oscillateur à quartz, on peut avoir
des fréquences allant de
4 MHz jusqu’à 20 MHz selon le type du μC.
Horloge interne à circuit RC (Figure 3b) : Avec un oscillateur à circuit RC, la
fréquence de l’oscillation
dépend de la tension Vdd et des éléments Rext et Cext.
Horloge externe (Figure 3c) : Application d’un signal horloge externe .
Figure 3 :
I.4.2.Organisation intern
La structure interne simplifiée du μC 16F84 peut être donnée par la figure 4.
I.6.Modes d'adressages :
On ne peut pas concevoir un programme qui ne manipule pas de données. Il existe
trois grands types d'accès à une donnée ou modes d'adressage : - Adressage
immédiat : La donnée est contenue dans l'instruction. - Adressage direct : La
donnée est contenue dans un registre. - Adressage indirect : L'adresse de la donnée
est contenue dans un pointeur.
. I.6.1.Adressage immédiat ;
La donnée est contenue dans l'instruction.
. I.6.2.Adressage direct :
La donnée est contenue dans un registre. Ce dernier peut être par un nom (par exemple W)
ou une adresse mémoire.
Exemple : movf 0x2B, 0 ; Transfert dans W la valeur contenue à l'adresse 0x2B. ! L'adresse
0x2B peut correspondre à 2 registres en fonction de la banque choisie . Le bit RP0 permet ce
choix, le bit RP1 étant réservé pour les futurs systèmes à 4 banques
L'accès au registre d'adresse contenue dans FSR se fait en utilisant le registre INDF.
Il se trouve à l'adresse 0 dans les deux banques. Il ne s'agit pas d'un registre
physique. On peut le voir comme un autre nom de FSR, utilisé pour accéder à la
donnée elle-même, FSR servant à choisir l'adresse.
Registre STATUS :
RP0=0 banque 0 et RP0=1 banque 1.