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1. Définition du recrutement
Le recrutement est essentiellement une activité qui vise à pourvoir (satisfaire) des postes
offerts et vacants dans une entreprise. Cette activité entraîne:
L’établissement d’une procédure permettant à l’organisation de se préparer, de faire des
recherches et d’informer afin d’attirer un nombre suffisant de bonnes candidatures
possédant les qualifications et la motivation pour le poste offert.
2.Les objectifs du recrutement
Les principaux objectifs visés par le recrutement sont :
ü Développer les moyens qui vont permettre à l’entreprise de recruter des candidats
compétents ;
ü Procurer à l’entreprise des RH au meilleur coût possible ;
ü Placer chaque candidat au poste qui lui convient le mieux de façon que chaque
candidat utilise ses aptitudes, sa formation et son expérience de la meilleure manière
possible.
• 3. Le processus de recrutement
Identification du besoin
Afin d’entrer dans cette phase active, il est nécessaire de mobiliser l’encadrement concerné
par le recrutement. C'est-à-dire le manager qui a fait part de son besoin en personnel.
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Elle est fonction de l’âge des personnes, des départs à la retraite, des démissions, décès ou
licenciement autre qu’économique. Les questions sont relatives aux taux d’évolution de ces
facteurs : sont-ils identiques aux années précédentes ?, sont-ils différents ?
L’évolution des qualifications :
Par la prise en compte de la politique de formation de l’entreprise afin d’évaluer les
compétences disponibles à terme.
Vient ensuite la projection à 5 ans des RH disponibles afin de pratiquer :
• L’évaluation des besoins :
Qui est fonction des objectifs stratégiques de l’entreprise, de ses investissements, de ses
objectifs de productivité et des compétences nécessaires.
• La comparaison :
• Permettant de déterminer une situation de sureffectif ou de sous effectif.
• L’ajustement :
• Par les licenciements, les recrutements, la mobilité, les promotions internes…
• Exercice d’application
• 3.2. Analyse et description des postes
La grande majorité des erreurs de recrutement est due à une mauvaise définition du poste.
Cette analyse permet de déterminer les activités, les tâches, les devoirs et les responsabilités
propres à l’emploi. Elle est essentielle car elle permet de fixer :
Ø les exigences en qualités requises (formation, expérience)
Ø les qualités de personnalité,
Ø la fourchette de rémunération du poste,
Ø la présentation du poste au candidat, ses perspectives d’évolution.
• L’analyse des postes permet une description précise du poste à pourvoir lors de
l’offre de recrutement et permet d’attirer les personnes véritablement intéressées.
• L’analyse du poste se réalise méthodiquement par l’observation et l’entretien.
• L’analyse du poste conduit à l’établissement de la fiche de poste. (voir
modèle)
3.3 : La définition du profil du candidat :
Cette phase consiste à décrire le candidat idéal au poste Il faut définir les caractéristiques
indispensables, essentielles et souhaitables.
3.4: L’identification des sources de recrutement: interne et externe
Connaissant les postes à combler, les politiques de recrutement et les conditions existant
dans l’environnement externe, le responsable recrutement peut commencer à identifier les
candidats. Ces candidats peuvent venir de l’intérieur ou de l’extérieur de l’entreprise. Dans
tous les cas, il doivent savoir que l’entreprise a besoin d’eux pour combler un poste.
• La proposition interne qui nécessite une identification des compétences requises
dans l’organisation. Solution intéressante pour l’entreprise parce qu’elle connaît les
candidats. La promotion, la mobilité interne sont des outils de motivation non
négligeables.
Le recrutement de l’intérieur de l’entreprise présente plusieurs avantages:
-une intégration rapide de la personne
- un faible coût
- une motivation des employés
Les inconvénients
- ne permet pas à l’entreprise de rajeunir son effectif
- ne permet pas à l’entreprise d’introduire de nouvelles compétences
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OUTILS DE PROSPECTION INTERNE :
- Affichage
- Notes de service
- Journaux d’entreprise
- Intranet
- Base de données SIRH
L’identification des ressources externes
Lorsqu’un poste ne peut être comblé par des ressources internes ou quand l’entreprise veut
une personne possédant une nouvelle vision des choses, il est nécessaire de recruter à
l’extérieur de l’organisation.
Les petites annonces dans les journaux, les centres d’emploi gouvernementaux, les agences
privées de placement, les réseaux sociaux, les établissements d’enseignement, les
associations professionnelles et les anciens employés sont autant de sources de main
d’œuvre externe. Le fichier des candidatures non-utilisées peut aussi être consulté.
Les méthodes de recrutement que nous venons de voir débouchent sur une liste de
personnes montrant un intérêt pour le poste. La tâche suivante consiste à identifier les
individus présentant les qualifications et les aptitudes nécessaires et de faire la sélection
finale.
LA SELECTION
Le but final d'un processus de sélection est de présenter un nombre restreint de candidats
satisfaisant aux exigences du poste vacant aux responsables de la ligne directement
concernés par le recrutement, afin de faciliter leur prise de décision. Il s'agira donc de
réduire, à chaque étape, le nombre de candidats retenus pour l'étape suivante, en
recoupant les observations des différents évaluateurs et en resserrant peu à peu
les écarts avec le profil du poste.
• Le processus de sélection s'appuie principalement sur la grille d’évaluation, qui
permet au recruteur d’effectuer un tri entre les candidats lors des différentes étapes
d’une sélection. De plus, celle-ci fournit une information synthétique qui facilite le
classement et la hiérarchisation des candidatures.
• A la fin du processus de recrutement, elle contribue à réduire la subjectivité de la
prise de décision. C’est donc un outil qui permet de garder une vision globale tout au
long du processus de recrutement.
La grille de sélection peut ainsi être utilisée à chaque étape du processus de sélection:
1) Identification des critères à retenir: Il s’agit tout d’abord, en s’appuyant sur l’analyse de
la description de fonction (ou "profil de poste") de la place à repourvoir, de déterminer les
critères qui vont être déterminants pour la réussite professionnelle à ce poste (notion
de "critère discriminants"). Ces critères peuvent être relatifs aux:
• compétences professionnelles: formation de base, expérience technique, expérience
de conduite, etc.
• compétences personnelles: équilibre personnel, résistance à l'échec, capacités de
négociation, etc.
• caractéristiques personnelles: domicile dans la région, prétentions de salaire
adéquate, etc.
2) Élaboration d'une grille d’évaluation: Après avoir identifié tous les critères-clés qui vont
permettre de comparer les candidats sur analyse de leur dossier, on élabore une grille
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présentant tous ces éléments objectifs Seuls les dossiers satisfaisant à ces critères seront
retenus.
L’ENTRETIEN
• Le but de l’entretien de recrutement est d'approfondir les informations déjà
obtenues via l'analyse du dossier de candidature et d’évaluer les aptitudes
personnelles des candidats. Dans le cas où un profil-type a été défini pour le poste, il
s’agira également de mesurer les écarts entre les compétences du candidat et celles
demandées par le poste.
Un entretien de recrutement est une situation de communication complexe. Elle implique
avant tout le respect d'autrui en termes de réciprocité dans l'échange d'information et une
pratique de l’écoute active.
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CHAPITRE II L'appréciation des performances et des compétences
Les indicateurs de La performance
Efficacité
Pertinence Efficience
Concevoir un plan de
formation adapté
Estimer les potentiels
d’évolution
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2.1 Cartographier les compétences
Ø La cartographie des compétences apporte une vision globale des compétences de
l’entreprise.
Ø Elle permet d’identifier les besoins en emploi dans leur dynamique d’évolution, au
sein d’une organisation.
•
2.2 Evaluer les performances de chacun
La performance consiste à obtenir un certain résultat à partir d’objectifs donnés, avec des
moyens forcément limités et dans un environnement soumis à des changements
imprévisibles. Comme nos moyens sont toujours limités, il s’agit de faire mieux que la
moyenne, mieux que la concurrence, avec les ressources dont on dispose et que nous
contrôlons
• 2.3. Identifier les mobilités internes
C’est le changement de poste, de métier au sein de la même entreprise. Ce changement
peut être de deux types :
- Un changement non volontaire : réorganisation voire suppression de service, reclassement
pour raison médicale…
- Un changement volontaire : la volonté de l’agent de changer d’environnement
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Le nombre des objectifs doit se limiter à 4 ou 5
- Manager et collaborateur(s) négocient les moyens
- Il y a évaluation : mesure de l’écart entre objectifs fixés et résultats.
- Le principe de flexibilité des objectifs est admis
- Évaluation = mise au point ou/et félicitation.
Un objectif c’est la description claire et précise du résultat spécifique et mesurable que l'on
s'engage à avoir produit à un client (interne ou externe) pour une date donnée.
Exemples
Que tous les managers N+1 reçoivent une formation sur la gestion des équipes avant le 30
Juin 2013 »
Pour formuler un bon objectif, il faut spécifier :
Pour qui est fixé l’objectif ?
Quoi ? : les résultats à atteindre
Quand ? a quelle date l’objectif doit être atteint
"Que le QUI ait (entre les mains) le QUOI, QUAND ?" sans oublier de définir le comment à
savoir le plan d’action.
SMART: Intelligent
Mesurable
Atteignable
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Une précision préalable s’impose : il n’existe pas de savoir, savoir-faire, savoir-être universels,
ils sont propres à chaque entreprise qui doit avoir identifié les compétences essentielles à son
activité, ses métiers et à l’emploi occupé par le collaborateur.
La mise en place d’un référentiel de compétences, propre à chaque entreprise, aura pour
objet de répertorier pour chacune des fonctions clé, l’ensemble des compétences attendues
(technique ou comportementale) et le degré de maîtrise de l’individu.
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CHAPITRE III : GERER LA FORMATION: de l’identification des besoins à l’évaluation
I: Généralités
1. Définition de la formation
Les moyens pédagogiques offerts aux salariés pour qu’ils développent leurs compétences au
travail.
Actions capables de mettre les individus et les groupes en état d’assurer avec compétences
leurs actions actuelles ou celles qui vont leur être confiées.
nécessitent
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• Une mauvaise gestion des qualifications rares peut conduire à des goulets
d’étranglement dans les circuits opérationnels de fonctionnement ( en cas de départ
ou de maladie d’un spécialiste que personne ne sait remplacer). Les qualifications
évolutives correspondent à des métiers dont les contenus se transforment
rapidement ou à des groupes d’emplois qu’il va falloir modifier pour répondre à la
modernisation technique.
Une mauvaise gestion des qualifications rares peut conduire à des goulets d’étranglement
dans les circuits opérationnels de fonctionnement
Le deuxième type d’enjeux est d’ordre culturel et social. Le but est de faire évoluer les
comportements et les attitudes des salariés.
Exemples
1. vouloir instaurer de nouvelles pratiques de communication, de concertation ou de
management.
En ce sens le témoignage d’entreprises ayant trouvé un nouveau souffle grâce à un effort
systématique et planifié d’accroissement des compétences humaines ne manquent pas.
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- la préparation de l’avenir est à plus long terme ou rien n’est vraiment certain (5 à 10 ans).
Il y a des tendances, des volontés, des objectifs mais susceptibles d’être remis en cause.
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Le processus de formation
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stages envisagés pour l’année de référence ; il en précise les objectifs, les publics concernés,
les dates d’effet. C’est ce plan qui fait l’objet d’un examen annuel en comité d’entreprise.
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techniques (comptabilité, sécurité, etc) ne concernant qu’un petit nombre de personnes
dans l’entreprise.
Formation par moyens internes ou organismes extérieurs :
L’entreprise peut se doter d’un centre de formation disposant de son équipe d’intervenants
ou faire appel à des organismes extérieurs. La seconde formule apporte plus de souplesse.
Elle permet de suivre les modifications du contenu du plan de formation. L’offre de
formation est actuellement riche, variée, de qualité inégale certes mais en moyenne élevée.
3 : Suivi de la formation
A : La gestion de la formation
• L’organisation de l’information nécessaire au bon fonctionnement du service et de
celle des salariés sur la formation constitue un premier volet de la gestion de la
formation. La gestion des effectifs en formation et la comptabilisation des dépenses
engagés représentent le second volet.
• L’information du service formation :
• Le service formation doit disposer en permanence d’information sur :
• - les salariés formés et à former ;
• - les attentes du personnel ;
• - les besoins des services ;
• - les résultats des actions ;
• - les moyens de formation internes et externes ;
• - la réglementation.
L’information des salariés sur la formation:
• L’information sur la formation dans l’entreprise et sur les possibilités de congé-
formation doit favoriser la mise en œuvre d’une politique adaptée.
4 : L’évaluation de la formation
A: l’utilité de l’évaluation
Contrôler la formation a trois types d’utilités :
1- cela permet de savoir ce qu’ont vécu les stagiaires et jusqu’à quel point ils sont
satisfaits ; on pourra en tirer des idées d’amélioration dans toutes sortes de
domaines ;
2- c’est un moyen d’évaluer la portée de ce qui a été appris ;
Pour cela, on peut vérifier : l’acquisition des contenus pédagogiques ; le transfert des
compétences acquises dans les situations de travail ; l’accueil que fait l’environnement
professionnel à cet enrichissement des compétences.
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Les pratiques dominantes de l’évaluation de la formation sont, en dehors de celles
débouchant sur un examen professionnel nécessitant une validation des connaissances
acquises, caractérisées par une seule estimation du niveau de satisfaction des stagiaires.
Celui-ci est largement lié à des facteurs d’ambiance du stage, tel que l’environnement, la
personnalité du formateur. Cela reste à l’évidence un moyen insuffisant.
On peut distinguer trois niveaux d’évaluation :
- celui de l’acquisition effective, pendant le stage, de connaissances et savoir-faire
nouveaux,
- celui du transfert de ces apprentissages dans la pratique professionnelle
- et celui de l’évaluation des effets de ce transfert sur les performances de l’entreprise.
Il faut observer l’acquisition effective de connaissances.
L’évaluation consistera ici l’acquisition effective de connaissances : savoir-faire ou
comportement, à partir d’objectifs définis de façon opératoire (à la fin de la formation, le
stagiaire doit être capable de…), les capacités étant formulées en termes de comportements
observables et mesurables.
• Plusieurs niveaux de maîtrise de la capacité sont définis:
• Exemple :
• - pas capable ;
• - capable avec de l’aide ;
• - capable de façon autonome ;
• - capable.
Le taux de réussite est obtenu en affectant des valeurs chiffrées à chaque niveau d’objectif.
Il faut également vérifier que le niveau de performance atteint se transfère effectivement
sur les comportements au travail. On peut effectuer une évaluation différée, trois à six mois
après la formation, après avoir fixé de façon précise les critères d’observation. Les résultats
sont formulés ainsi :
Si l’action fait l’objet d’un calcul prévisionnel de rentabilité, on vérifie l’atteinte du résultat
en comparant la rentabilité constatée.
Exemples :
• Si l’on a entrepris une formation des vendeurs pour accroître le chiffre d’affaires on
comparera prévisions et résultats effectifs.
• On pourra aussi mettre en rapport coût de la formation et gain constaté.
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Les trois niveaux d’efficacité de la formation
L’évaluation à froid
• L'évaluation à froid dite encore « évaluation différée », elle est réalisée après l'action
de formation.
• Ce moment d'évaluation a pour but d'une part, d'évaluer les acquis et l'évolution des
comportements professionnels en situation du travail, et d'autre part d'évaluer
l'impact de la formation sur les résultats de l'entreprise à travers le calcul de certains
indicateurs de performance.
• En effet, cette évaluation consiste à mettre le formé en situation de travail en vu
d'apprécier les réalisations effectuées.
• Si par exemple l’objectif de TT était d’augmenter le nombre de clients et que pour la
réalisation de cet objectif l’entreprise a mis en place une action de formation en
techniques de vente pour ses commerciaux dans les différentes agences.
• Pour mesurer l’efficacité de la formation il faut observer d’une manière différée la
modification du comportement au travail du formé, la variation de son rendement et
l’impact de cette variation sur le CA de l’entreprise.
• Les trois niveaux distincts qui sont recensés dans le schéma ci-dessus sont
révélateurs de l’impact de la formation.
• Le niveau I consiste à analyser les réactions des formés à l’issue des stages et à
recenser les apports en regard des objectifs pédagogiques.
• Le niveau II revient à prendre en compte les changements de comportements au
cours des mois qui suivent la période de formation.
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• Le niveau III prend en compte les éventuelles transformations affectant les résultats
des agents ou des groupes formés. Il permet d’apprécier l’output effectivement
comparable à l’input que représente l’effort éducatif.
En pratique, on constate très souvent que seul le premier niveau est examiné ce qui est
insuffisant. En effet, il n’existe aucune corrélation certaine entre la réussite pédagogique
d’une action et la modification des comportements.
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CHAPITRE IV : LA POLITIQUE DE REMUNERATION
I: présentation générale
I.1 Définition :
La rémunération est perçue comme la manifestation concrète d’un échange entre deux
parties : les individus et les entreprises. La rémunération est ce que les employés reçoivent
de leur entreprise en contre partie de leur travail.
La rémunération peut être envisagée sous trois aspects : juridique, économique et sociale.
Du point de vue juridique: Le salaire n’est dans cette conception, que la contre partie d’un
travail fournit. C’est un contrat entre deux parties avec des termes d’échanges.
Du point de vue économique: Le salaire est pour l’employeur un élément essentiel du coût
de revient.
Du point de vue social: Le salaire constitue le revenu unique ou essentiel des travailleurs.
C’est une source de satisfaction des besoins personnels.
Politiques gouvernementales
Taille de l’entreprise
Conditions économiques
Choix des dirigeants
Politique syndicales
Politique de rémunération
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B/ Les politiques syndicales
Les syndicats et diverses associations professionnelles constituent également une source
importante d’influence sur la rémunération, principalement par le mécanisme de négociation
collective où plusieurs aspects de la rémunération font l’objet d’un compromis.
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• De plus en plus d’entreprises adoptent ce type de rémunération afin d’inciter son
personnel à plus de rendement:
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