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INTRODUCTION :

La banque est un système composé d’un ensemble d’éléments interdépendants


en constante interaction les uns avec les autres. Elle est ouverte c’est-à-dire en
relation dynamique avec son environnement.
Son environnement étant complexe et en perpétuelle mutation, elle cherchera
donc l’information nécessaire pour saisir les opportunités et se prémunir des
dangers éventuels.
En effet, pour faire face à l’environnement concurrentiel, les dirigeants de la
banque doivent combiner les techniques de gestion les plus appropriées à l’étude
des facteurs et à la compréhension des phénomènes internes et externes de cette
organisation. Cela nécessite la mise en place entre autres d’une comptabilité
adéquate, qui permettra l’enregistrement ou le traitement comptable qui marque
la vie d’une banque ou d’un établissement financier ; ce qui offrirait une
organisation financière et comptable conforme à la législation en vigueur.
L’application de cette comptabilité pour une garantie d’informations fiables et
compréhensibles, implique le respect des normes et des principes directeurs
régis par le système comptable de l’OHADA ; l’objectif visé par la comptabilité
est donc de parvenir à un moment donné appeler l’exercice comptable à fournir
les informations :
 Aux dirigeants pour la bonne gestion de l’entité,
 Aux partenaires commerciaux et financiers,
 A l’état à travers les services fiscaux.
Au cours de ce stage au département de la comptabilité et financier, j’ai pu
m’intéresser à la comptabilisation correcte de tous les flux affectant la situation
patrimoniale.
Nous avons été recommandés de travailler sur le thème suivant : (traitements
comptables des Factures dans un établissement bancaire : cas de BCI-Mali SA)
Dans un secteur d’activité en forte concurrence, BCI-Mali a pu installer sa
notoriété sur le plan national à travers des réalisations de qualité. Cela est
difficile à atteindre sans la bonne gestion d’une comptabilité.
Ce thème présente un intérêt économique et financier car, il touche directement
un pôle clé de la gestion comptable et financière à savoir la comptabilisation des
factures bancaire. Il s’agit ici d’un domaine très sensible qu’il faut
quotidiennement gérer avec un caractère très efficace suivant un ensemble de
règles et de procédures bien définies tout en s’appuyant sur les lois en vigueur
de la comptabilité.
L’objectif de ce rapport est de pouvoir montrer l’importance de la maitrise d’une
bonne comptabilité particulièrement à travers le traitement comptable des
Opérations bancaires.
Ainsi, afin d’atteindre l’objectif que nous nous sommes fixés, notre rapport est
reparti en trois parties.
Tout d’abord la première partie est consacrée à la présentation de la BCI-Mali
SA et le déroulement du stage, ensuite dans la seconde partie nous avons
développé le thème qui est (traitement des pièces comptables dans un
Etablissement bancaire : cas de la BCI-Mali SA), et enfin la dernière partie a
été destinée aux critiques et suggestions plus la conclusion.
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DU
LIEU ET DEROULEMENT DU STAGE

Chapitre 1 : Présentation de la BCI


Section 1 : Création
La Banque pour le commerce et l’industrie du Mali SA dénommée BCI-MALI
SA est une société anonyme au capital de 8 250 000 000F CFA, ayant son siège
à l’immeuble Baldé à Hamdallaye ACI Bamako-Mali Créée le 23 Janvier 2007
et immatriculée sous le RC et le crédit mobilier Ma-BKO-2006-B-1378.
La BCI Mali-SA a officiellement ouvert ses portes à la clientèle à Bamako le 02
Juillet 2007.
Elle constitue la première filiale du groupe BCI dont le siège est à Nouakchott
en république Islamique de la Mauritanie.
La BCI-Mali SA a pour vocation d’accompagner les acteurs du développement
économique à travers une forte capacité d’innovation commerciale grâce à un
support technologique adapté aux besoins de la clientèle ciblé.
Le groupe BCI est aujourd’hui un acteur régional de référence avec une
expertise complète et un puissant dispositif combinant un réseau mondial dense
et d’importants relais de croissance dans des zones à fort potentiel comme la
France, les Etats-Unis, l’Italie, la Suisse, mais aussi la Corée et le Japon.
En plus des activités de banque classique elle s’intéresse aux prêts islamiques et
propose des produits spécifiques à des clients et traite avec les banques dites
classiques en raison de leur foi islamique.
Depuis son ouverture, la banque ne cesse de développer son réseau local à
travers l’installation de nombreuses agences à l’intérieur du pays, notamment à
Mopti, Sikasso, Koutiala, Kayes, à Bamako et bientôt à Ségou.

Le réseau d’agences :
Le réseau de la BCI est composé de deux agences principales et des agences
auxiliaires.
L’agence principale 1 (AP1) Bamako
Elle a sous sa direction les agences ci-dessous :
 Ouolofobougou
 Grand marché
 Sikasso
 Koutiala
Agence principale 2 (AP2)
Elle s’occupe des agences suivantes :
 Agence de Kayes
 Agence de Mopti
 Agence privilège ACI
 Agence Sogoniko
 Agence Kalaban
Section 2 : Missions, objectifs, Organisation et Activité
1. Les Missions :
La banque pour le commerce et l’industrie du Mali, dans un environnement
particulièrement concurrentiel, se positionne aujourd’hui comme un véritable
acteur du développement du Mali et de la sous-région.
Elle porte non seulement la manifestation de son ambition internationale mais
aussi affiche sa volonté de participer activement au développement des échanges
entre le Mali et la Mauritanie.
La BCI-Mali SA met son savoir-faire et ses compétences techniques à la
disposition des promoteurs d’unités industrielles dans les étapes du lancement de
leurs projets : Le Financement, la Gestion ; et la pérennité de l’entreprise.
Mais ce n’est pas tout, dans le domaine du partenariat, la BCI-MALI SA a
assisté de nombreux acteurs économiques dans la création de leurs entreprises.
C’est par ce partenariat, principal majeur de sa démarche globale, que la BCI-
MALI SA va étendre son dispositif de soutien à la création d’entreprise vers les
publics difficiles à appréhender par les moyens bancaires classiques.
Elle entend ainsi, par une action solidaire, proche de son cœur de métier,
apporter une nouvelle contribution à la création d’emplois et à la lutte contre la
pauvreté.

2. Les Objectifs :
La BCI Mali-SA développe ses activités autour de 5 orientations majeures :

 Mobiliser d’avantage des ressources afin de créer de la richesse à


travers des financements adaptés ;
 Favoriser une meilleure intégration économique à travers des
échanges entre la Mauritanie, le Mali, et tous les pays de la zone
UEMOA ;
 Mettre en place une politique de proximité fondée sur une stratégie
intégrée, agence monétique, Internet Banking etc. ;
 Offrir des produits et services bancaires de qualité à tous les acteurs
économiques, particuliers, professionnels, organismes publics et
para publics, et aux entreprises nationales et étrangères ;
 Accroître le taux de bancarisation au Mali.
Les objectifs de la BCI Mali-SA sont très variés et tournent autour de certains
projets.
 La création de nouveaux produits financiers pour stabiliser les
ressources de la banque ;
 L’accroissement des efforts de financement de l’économie
nationale dans tous les compartiments ;
 La diversification du réseau de correspondants pour assurer un
meilleur service clientèle.
Elle met à disposition son savoir-faire et des compétences techniques auprès des
promoteurs d’unités industrielles de toutes dimensions afin de les accompagner
dans les différentes étapes du lancement de leurs projets (le financement, la
gestion, et la pérennité de leurs entreprises).
La BCI MALI-SA ne se limite pas qu’à cela, elle marque également sa présence
auprès des principaux acteurs de l’accompagnement à la création, à travers un
certain nombre de partenariats.
3. Organisation :
Afin de répondre à ses objectifs et rentabiliser ses opérations, la BCI-Mali
SA a mis en place une série de mécanisme de gestion qui lui est propre.
Le système de gestion de la BCI est basé sur la recherche de la rentabilisation
des opérations par la responsabilisation et la motivation du personnel. Le suivi et
le contrôle régulier des opérations.
- Direction générale :
Elle est le noyau central de tous les services. Elle supervise, donne des
ordres, reçoit les comptes rendus et prend toutes les décisions. A son tour,
elle fait le compte rendu au conseil d’administration à la fin de chaque
exercice, en dégageant le bilan et toutes les difficultés rencontrées. Elle
est l’organe d’exécution de la politique générale de la banque.
En effet, elle donne les moyens humains, matériels et financiers pour atteindre
les objectifs assignés à la banque.
- Secrétariat général :
Il veille à la sécurisation et à l’intégrité des installations, à la préservation
d’un bon climat social. Il s’occupe des relations avec les autres
institutions et l’Etat. Il assure la gestion et le développement des
ressources humaines en accord avec les stratégies de la banque.
- Service des moyens généraux :
Il relève du secrétariat général et est chargé de la gestion administrative
(dossier du personnel, suivis des congés et absences, paie), de la gestion
de l’effectif (recrutement, carrières, mobilités…) et de la mise en œuvre
des activités de formation.
- Direction Audit et contrôle :
Sa mission est de veiller à ce que le fonctionnement des différentes entités
de la banque ne comporte pas de risques majeurs. Il planifie les contrôles
et assure leur suivi. Il contribue à l’amélioration de la mesure des risques,
des couts et des quantités. Il contrôle l’application des règles et normes en
vigueur.
- Département exploitation :
Il assure la prospection et des visites clientèles régulièrement avec compte
rendu à la direction générale. Il étudie les dossiers de crédit à soumettre à
la direction générale et au comité de crédit.
- Département Juridique :
Cette direction comprend deux services : le juridique et le recouvrement
qui ont pour fonction générale la prise en charge de toutes les questions
juridiques de la banque en plus du recouvrement amiable et contentieux
afin d’optimiser le taux de recouvrement des créances clients de la
banque.
- Direction risques et engagements :
Cette direction comprend deux services : les risques et les engagements
qui ont pour fonction générale la définition des politiques de risques et la
gestion des engagements de la banque.
- Département des opérations :
Il comprend le réseau international et local. Il assure le traitement des
valeurs, les transferts extérieurs. Il assure les services des opérations
documentaires.
- Direction Finance comptabilité :
Il s’agit pour cette direction de s’assurer que le système comptable donne
une image sincère, fidèle de la situation patrimoniale de la banque, de
gérer la trésorerie à court, moyen et long terme dans les meilleurs délais
de rentabilité et de risque, structurer, présenter, communiquer l’ensemble
des informations financières à destination des différentes entités de la
banque et de l’ensemble des tiers externes concernés(autorités
réglementaires, administrateurs, clients…), prévoir, suivre, enregistrer et
contrôler l’ensemble des flux financiers en devises générées par les
activités de la banque. Il comprend : le service comptabilité,
rapprochement, trésorerie, contrôle de gestion.
a) La comptabilité :
Sa mission se caractérise par les lignes ci-dessous :
 Définir les schémas comptables ;
 Suivre la bonne comptabilisation des opérations (enregistrements,
suivi des comptes et de leur justification, enregistrement des
écritures d’inventaire) ;
 Préparer et contrôler les normes d’enregistrement comptables de
l’ensemble des opérations initiées par la banque ;
 Enregistrer l’ensemble des écritures comptables générées dans le
cadre des normes et s’assurer de leur sincérité ;
 Assurer la gestion comptable et fiscale opérationnelle ;
 Etablir la comptabilité de la banque ;
 Elaborer le compte de résultat prévisionnel de l’exercice concerné
avec les diverses autres entités concernées (contrôle de gestion…) ;
b) La trésorerie :
 Prévoir les positions de trésorerie à court, moyen et long terme
de la banque ;
 Réaliser de façon opérationnelle les transactions de trésorerie
de la banque sur le marché interbancaire ;
 Gérer les encaisses des agences ;
 Calculer les agios débiteurs et créditeurs ;
 Assurer une gestion optimale de la trésorerie de la banque ;
c) Le rapprochement :
Il a pour objectif de faire le rapprochement quotidien du compte des
correspondants, remonter aux responsables des services concernés tous les
suspens dont les dates sont postérieures à la date du jour.
Faire le point de l’évolution des suspens avec le responsable de département.
Le rapprochement de l’ensemble des correspondants doit être fait et un suivi
régulier des suspens en vue de leur apurement total.
4. Les produits de la banque :
Dans le but de se rapprocher d’avantage de sa clientèle diverse et variée,
composée de particuliers, de petites et moyennes entreprises et d’institutionnels,
la BCI- MALI SA offre une gamme de produits et services de qualité à travers
son réseau. Ces services incluent :
 Le compte courant
 Le compte épargne
 Le dépôt à terme (DAT)
 Les opérations de change
 Les prêts et découverts (facilités de caisse)
 Les paiements et encaissements
 La banque par internet
 Les cartes bancaires
 Le transfert d’argent

De nouveaux produits et services tels que la banque par SMS s’ajoutent aux
produits et services traditionnels
La BCI-MALI SA œuvre à satisfaire les besoins de sa clientèle par des produits
et services défiant toute concurrence en matière de conditions préférentielles, de
qualité et d’efficacité. Elle lutte également contre le blanchissement d’argent et
le financement du terrorisme.
De sa création à nos jours elle connait une nette progression de son activité en
dépit de la rude concurrence dans le secteur bancaire et de la concentration du
marché sur un nombre réduit d’opérateurs.
 Au niveau de la caisse :
La caisse est le service le plus sollicité des clients de la banque, c’est le
lieu où le client a immédiatement accès à son compte pour réaliser
diverses opérations quotidiennes. Les différentes activités sont :
 Les opérations de retrait
 Les opérations de versement
 Les opérations de transfert d’argent (Western Union)
 Les opérations de change
1) Les opérations de retrait :
Il existe différentes formes de paiement des chèques au guichet de la BCI.
a- Le chèque au porteur : C’est quand le chèque est émis au nom
d’une autre personne, c’est à dire différente du titulaire de compte.
b- Moi-même (M/M) : Si le titulaire du compte c’est à dire le
propriétaire même du chèque se présente au guichet pour
encaissement.
La différence des deux chèques réside au niveau de l’endossement
qui existe dans le chèque au porteur et dans le cas moi-même il y’a
pas d’endossement.

2) Les opérations de versement :


Pour tout versement il faut remplir d’abord le bordereau de versement au niveau
du service guichet. Il peut être effectué par le titulaire du compte ou une tiers de
personne.
Le bordereau de versement doit contenir certaines informations obligatoires,
sinon l’opération est annulée. Il s’agit du numéro et de l’intitulé du compte, le
montant du versement et éventuellement le nom de la personne, si elle n’est pas
le titulaire du compte et la signature.
3) Les opérations de transfert d’argent (WESTERN UNION) :
Il s’agit là pour les clients qui viennent envoyer ou recevoir de l’argent de par le
monde entier.
4) Les opérations de change :
Les opérations de change comme son nom l’indique, consiste pour la banque à
échanger le CFA contre les monnaies étrangères telles que le dollar ou l’Euro
moyennant une commission et vice versa.
 Les activités menées à l’opération :
1- Les remises :
Ce sont l’ensemble des appoints payables à Bamako (y compris les
chèques hors place certifiés) dont le remettant est soit le bénéficiaire, soit
un tiers. Elles nous parviennent généralement par le guichet de la banque
ou par courrier. Il existe trois types de remises :

- Les chèques sur caisse : Il s’agit des chèques BCI-MALI SA reçus des
clients ;
- Les chèques sur place : Les chèques payables à Bamako (y compris les
chèques hors places certifiés) dont le remettent est soit le bénéficiaire soit
un tiers ;
- Les chèques hors place ou compense manuelle : Il s’agit des remises de
chèque hors place payables à l’intérieur du pays et des chèques non
certifiés.
2- Les certifications :
Le chèque certifié présente plus de sécurité pour le bénéficiaire, s’agissant de
l’existence de la provision et de sa suffisance et que le montant correspond à
celui du chèque y demeurant jusqu’à présentation du chèque à l’encaissement.
Pour faire certifier un chèque, le tireur doit se présenter à la banque et remplir un
bordereau de demande de certification. La banque bloque immédiatement la
provision au profit du porteur de chèque jusqu’au terme légal de la présentation
de chèque (8 jours dans la zone UEMOA).
3- Les virements :
Ils se traduisent par un simple mouvement comptable, inscription du montant au
débit du compte du donneur d’ordre et au crédit du compte du bénéficiaire.
L’ordre de virement est donné par écrit sur un modèle fourni par la banque ou
par demande simple formulée par le client. Il existe entre autre des virements :
- Ordinaires : Virement entre deux comptes fonctionnant dans la même
banque, le donneur d’ordre et le bénéficiaire sont clients de la même
banque. Il suffit pour la banque de débiter le compte du donneur d’ordre
et de créditer celui du bénéficiaire. Les deux comptes peuvent appartenir à
la même personne (comptes chèque et épargne) ou de personnes
différentes.
- RTGS : Le compte du donneur d’ordre et celui du bénéficiaire ne sont pas
dans la même banque. Ce type de virement se fait par l’intermédiaire de la
chambre de compensation via la télé compense. Il se traduit après les
vérifications d’usage, par l’envoi d’un message (RTGS) au bénéficiaire
via la BCEAO.
- Permanent : Le client doit régler une tierce personne (bénéficiaire) à
échéance multiples dont les délais sont préalablement déterminés, alors il
donne à sa banque un ordre de virement permanent.
La banque n’exécutera l’ordre de virement qui lui est donné que s’il a une
provision suffisante dans le compte.

 Les activités à la comptabilité :

 Organisation du service comptabilité


- Missions :
Ce service est une structure où sont élaborés tous les états destinés à satisfaire
les exigences de la BCEAO et les besoins internes d’information aboutissant
ainsi à la production du bilan et le compte de résultat.
Le service comptabilité est à l’origine de la production de tous les états adressés
aux autorités de tutelle, ainsi que les tableaux de bord à usage interne remis à la
direction générale.
La comptabilité a aussi pour mission de faire respecter la réglementation et de
contrôler l’application des procédures comptables par les autres services. Pour
remplir cette mission, elle doit jouir d’une autorité reconnue dans la banque.
- Organisation Comptable :
La comptabilité de la banque est très décentralisée.
Chaque service passe ses écritures. Par exemple les caisses enregistrent les
écritures relatives au versement et au retrait.
La direction du crédit enregistre les écritures relatives au crédit. La direction des
opérations enregistre celles des transferts et des opérations etc.
La comptabilité en plus des écritures qui relèvent de ses opérations, a une
mission de contrôle des écritures passées par les autres services.
 Procédures comptables
A. Réception et ventilation des documents :
La réception des documents provenant des autres services se fait par le Directeur
Financier ou en cas d’absence de celui-ci par le chef comptable.
Le Directeur Financier les transmet au chef comptable qui les répercute sur ses
gens comptables avec éventuellement les instructions nécessaires.
Les agents comptables doivent veiller à l’application de ces instructions.
B. L’imputation comptable :
C’est le support physique de toutes les écritures comptables de la banque. Elles
traduisent les écritures comptables sur un support appelé pièce comptable.
Cette dernière a une grande importance dans la mesure où elle servira de
justificatifs non seulement pour les administrateurs mais aussi aux commissaires
aux comptes et à la commission bancaire pour l’ensemble des mouvements
effectués dans la banque elle-même et entre la banque et ses fournisseurs et
clients. Toutes les pièces comptables doivent être saisies et validées au niveau
du système de la banque et remises à l’audit et au contrôle pour vérification.
Le système comptable de la BCI-MALI S.A est L’ORION, il permet aux
comptables de faire la saisie dans divers menus que sont :
 La table MVSTOP : Elle permet de faire la saisie en
débitant ou créditant plusieurs comptes en même
temps.
 Le menu virement : Qui ne permet la saisie que sur
deux comptes, l’un débité et l’autre crédité.

C. Classement des pièces comptables :


Après la validation des pièces comptables, elles sont remises à l’agent de saisie
qui les classe et envoie une copie de chaque pièce à l’audit. Ces classements
sont faits chronologiquement : Date et numéro de compte.
CHAPITRE 2 : DEROULEMENT DU STAGE
Section 1 : DEROULEMENT DU STAGE ET LES TACHES EFFECTUEES
A. Déroulement du stage
Au cours de ce stage, j’ai beaucoup appris. Les apports que j’ai tirés de cette
expérience professionnelle se regroupent autour de trois idées principales.
1. Les compétences acquises : Elles regroupent :
Mes capacités professionnelles qui ont été renforcées grâce à :
 L’encadrement d’une équipe compétente et dévouée à la satisfaction de sa
clientèle ;
 La maitrise des outils mise à ma disposition.

 Une bonne compréhension de l’articulation des services :


 Le mouvement dans les services a été compris ;
 La bonne gestion des activités dans un service ;
 Le contrôle des opérations.
2. Les difficultés rencontrées :
Durant toute expérience professionnelle, des difficultés sont rencontrées
ainsi, au cours de mon stage, j’ai été particulièrement confrontée à des
difficultés sur l’environnement de l’entité avant l’adaptation et l’accès
d’information.
3. Les solutions apportées :
Les difficultés liées à l’adaptation furent remédiées grâce à la prudence
dans le travail d’abord, ensuite le savoir parler aux clients ainsi que le
suivi et la maitrise des opérations
La disponibilité du personnel de l’agence a été salutaire pour l’accès
d’information.
B. Les tâches effectuées
Durant mon séjour à la BCI. J’ai eu a effectué les tâches spécifiques à
savoir :
- Opération de caisse versement
- Opération de caisse retrait
- Opération de certification de chèques
- Opération de dépôts à terme (DAT)

SECTION 2 : DESCRIPTION DES TACHES EFFECTUEES

1) Opération de caisse versement :


L’opération de versement consiste à mettre une somme d’argent en numéraire
sur un compte par le titulaire du compte ou par toute autre personne qui n’aura
pas à s’identifier forcement. Le versement est matérialisé sur un bordereau de
versement disponible dans les guichets de la banque. Ce bordereau mentionne le
nom du titulaire du compte, le numéro de compte, le détail des coupures, des
jetons de l’espèce versée et le montant total. Le bordereau est, dans la pratique,
fait en deux copies au moins ; une copie est remise au versant et l’original est
conservé par le ou la caissier(e) pour la comptabilisation.
2) Opération de caisse retrait :
Si l’opération du versement peut être faite par n’importe qui, l’opération de
retrait ne peut être faite que par le titulaire du compte ou son mandataire.
Le retrait ne peut opérer au moyen d’un chèque ordinaire, certifié ou une simple
pièce comptable de caisse ; c’est au cas où le client n’a pas sur lui son carnet de
chèques et qu’il souhaite faire des opérations de retraits. Le banquier lui établit
alors un chèque de guichet, lui permettant de retirer l’argent sur son compte.
3) Opération de certification de chèques :
Si le chèque est un moyen de paiement, la disponibilité de la provision n’est pas
entièrement garantie. C’est à la recherche de la garantie du paiement que les
bénéficiaires demandent aux tireurs de certifier les chèques. L’opération de la
certification consiste à cantonner le montant du chèque sur un compte d’attente
pour garantir le paiement. Dans la pratique, il y’a deux façons de garantir la
provision d’un chèque : la première consiste à échanger le chèque à certifier
contre une nouvelle formule de chèque, appelée chèque de banque ; qui
s’assimile au chèque certifié. Il est à noter que la certification n’est demandée
que par le tireur du chèque. Une fois que le chèque est certifié, la formule
‘‘chèque certifié’’ est remise au client qui doit remettre au bénéficiaire. La
seconde consiste à apposer le cachet et la signature de la banque sur le chèque
ordinaire (émis d’origine) et remettre au tireur.
4) Opération du dépôt à terme (DAT) :
Contrairement aux autres formes de dépôt, le dépôt à terme est l’opération par
laquelle un client s’engage à mettre son fonds à la disposition de sa banque
durant un certain délai, en pratique plus d’un mois, moyennant le paiement des
intérêts. Le principal avantage de cette opération est que le placement est
rémunéré au cours de la période d’indisponibilité du fonds. Le taux de
rémunération est librement fixé par le banquier et son client.
PARTIE 2 : TRAITEMENT DES
PIECES COMPTABLES
BANCAIRES

CHAPITRE 1 : GENERALITE SUR LA COMPTABILITE BANCAIRE


SECTION 1 : INTRODUCTION
Avant l’entrée en vigueur du plan comptable bancaire de l’UEMOA, la
comptabilité, dans le secteur bancaire était tenue de façon non harmonisée à
défaut d’un référentiel comptable commun à la sous-région, avec instructions
aux banques de la banque centrale. C’était très difficile pour cette dernière de
jouer pleinement son rôle de surveillant du système bancaire. C’est ainsi que le
24 avril 1990 elle a créé la commission bancaire qui a pour mission de veiller à
l’organisation et au contrôle du système bancaire dans l’UEMOA. Dans la
recherche d’un meilleur traitement des informations comptables et financières,
d’une harmonisation comptable, d’une bonne organisation et d’un contrôle
requis du système bancaire, elle a institué le plan comptable bancaire de
l’UEMOA en 1996, applicable aux banques et établissements financiers installés
dans les huit(8) pays membres. Cependant, cette comptabilité n’est pas
enseignée dans la plupart de nos grandes écoles de comptabilité. Toutefois, elle
ne se dissocie pas du principe de la partie double, principe fondamental du
langage comptable.
Le principe de la partie double est le fondement des articulations comptables et
il réside dans le fait que, pour une même opération, les montants des sommes
inscrites au débit d’un compte doivent être égaux à ceux inscrits au crédit d’un
autre compte. Ce principe mérite d’être expliqué : un compte est un tableau qui
peut prendre la forme visuelle de la lettre T, composé de deux parties, une partie
droite et une partie gauche ou débit et crédit. Et chaque compte est
structurellement un compte d’actif ou un compte du passif. Un compte d’actif
augmente à son débit et diminue à son crédit et un compte de passif augmente à
son crédit et diminue à son débit.
Par exemple, quand un client de la banque effectue un versement sur son compte
dans les livres de la banque, l’opération fait mouvementer deux comptes. La
comptabilisation se passe comme suit :
Débit Caisse de la banque Crédit Débit Compte courant du client Crédit
X1 X2

X1=X2
En langage comptable, l’écriture signifie que la banque a reçu l’argent de son
client par le débit du compte caisse, ce qui augmente l’avoir du client sur la
banque par le crédit de compte du client.
La partie double peut concerner aussi un débit et plusieurs crédits ou un crédit et
plusieurs débits.
La banque a reçu l’ordre d’un client de virer le salaire de deux de ses agents qui
sont eux aussi domiciliés au sein de la même banque.
Débit Client Crédit Débit Agent1 Crédit Débit Agent3 Crédit
X1 X2 X3
X1=X2+X3
La banque à trop perçu en commissions et en taxes sur le transfert d’un client et
elle a décidé de restituer cette perception (excédentaire) sur le client.
Débit Commission Crédit Débit Taxe Crédit Débit Client Crédit
X1 X2 X3

X1+X2=X3
Par ailleurs, cette comptabilité bancaire se différencie de la comptabilité
des entreprises (SYSCOA) par la présentation de ses états financiers.
Contrairement aux autres, le bilan est présenté en liquidité décroissante à
son actif, c’est-à-dire, de plus liquide au moins liquide et au passif en exigibilité
décroissante, c’est-à-dire, du plus exigible au moins exigible avec un cadre
comptable plus simple.
La nomenclature des comptes de la comptabilité bancaire de l’UEMOA
est classée en comptes de bilan, en comptes de gestion et en comptes de hors-
bilan.

SECTION 2 : CLASSIFICATION DES COMPTE EN BANQUE


1- Les comptes du bilan :
Ils se caractérisent par les comptes commençant par 1, 2, 3,4 et 5.
Les comptes de la classe 1 sont les opérations de la trésorerie et les opérations
interbancaires. Les comptes de la classe2 sont les opérations avec clientèle, les
comptes de la classe 3 sont les comptes d’opérations sur titres et les opérations
diverses, les comptes de la classe 4 sont des comptes de valeurs immobilisées et
les comptes de la classe 5 sont les comptes de provisions et de fonds propres et
assimilés.
2- Les comptes de gestion : Ils se caractérisent par les comptes
commençant par 6 et 7.
Les comptes de la classe 6 sont des comptes de charges ; ils augmentent à leur
débit. Les comptes de la classe 7 sont des produits ; ils augmentent à leur crédit.
Les comptes de la classe 6 évoluent en 60 charges d’exploitation bancaire, 61
Achats et variations de stocks, 62 Autres charges externes et charges diverses
d’exploitation, 63 Impôts, taxes et versements assimilés, 64 Charges de
personnel, 65 Dotations au fonds pour risques bancaires généraux, 66 Dotations
aux amortissements, aux provisions et pertes sur créances irrécouvrables, 67
Charges exceptionnelles et pertes sur exercices antérieurs et 69 Impôts sur le
bénéfice.
Quant à ceux de la classe 7, ils évoluent en 70 produits d’exploitation bancaire,
71 ventes et variations de stocks, 72 produits divers d’exploitation, 73 Reprises
du fonds pour risques bancaire généraux, 76 Reprises d’amortissement, de
provisions et récupérations sur créances amorties, 77 produits exceptionnels et
profits sur exercices antérieurs.

3- Les comptes de hors-bilan :


Ils se caractérisent par les comptes commençant par 9. Les comptes de la classe
9 sont divisés en deux grandes divisions et à l’intérieur de chaque division, il y’a
deux subdivisions :
 Dans la division des engagements reçus, nous avons :
- Engagements reçus de la clientèle
- Engagements reçus des banques et établissements financiers.
 Dans la division des engagements donnés, nous avons :
- Engagements donnés en faveur de la clientèle
- Engagements donnés en faveur des banques et établissements
financiers.
Ils évoluent par le compte et son compte de contrepartie.
Les comptes sont structurés en comptes 90, engagements de financement, en
comptes 91, engagements de garantie, en comptes 92, engagements sur titres, en
comptes 93, engagements sur opérations en devises, en comptes 95, autres
engagements, en compte 96, opérations effectuées pour le compte de tiers et en
fin, les comptes 99, engagements douteux.
Ce cadre comptable sera illustré dans un exemple, sans aucune implication
fiscale pour permettre aux lecteurs de comprendre aisément la comptabilité
bancaire de l’UEMOA et de rendre perceptible de la différence entre les deux
référentiels comptables.
CHAPITRE 2 : IMPUTATION ET SAISIE DES PIECES COMPTABLES
SECTION 1 : DEFINITION ET TYPES DE PIECES COMPTABLES
I. Définition :
Les pièces comptables sont des supports qui viennent justifier les opérations
comptables ; en principe toute opération réalisée doit faire l’objet d’un écrit à
défaut de passer inaperçues. La preuve est l’un des principes importants en
comptabilité se matérialisant par un document justificatif dit pièce comptable.
La pièce justificative permet de comprendre pourquoi l’opération a été
enregistrée. De ce fait, elle doit comporter les informations les plus essentielles.

II. Types de pièces comptables :


Lorsque l’on évoque la notion de documents comptables, on pense
immédiatement aux factures, toutefois les pièces comptables vont bien au-delà
de ce simple document
Il existe différentes pièces comptables pour justifier vos recettes et dépenses.
Nous pouvons retrouver dans le cas des recettes, l’avis de crédit, le
bordereau de remise de chèque, le bordereau de versement d’espèces, la
copie du relevé de banque, le reçu. Les pièces justificatives de dépenses,
quant à elles, peuvent être : la quittance (impôt, eau, électricité), la fiche
de paie, l’ordre de virement, l’état de paiement, l’avis de débit, la copie
d’un chèque.
En résumé, les pièces comptables représentent toutes les pièces justificatives qui
peuvent légitimer les écritures comptables passées dans votre comptabilité
générale.
Les pièces comptables subissent un traitement qui comprend plusieurs étapes
depuis leur réception jusqu’à leur classement. Il s’agit de l’imputation, de
la saisie et de la validation générale faite par le chef d’équipe ou le chef e
département.
Quelques informations utiles pour reconnaitre une pièce comptable

PIECES COMPTABLES INFORMATIONS UTILES


Relevé Bancaire Titulaire du compte, domiciliation
(code banque-agence-numéro de
compte-clé RIB) Identification
internationale, IBAN, Adresse
SWIFT
Chèques Date de création, numéro, nom du
tireur, montant, signature
Factures Date de création, numéro de la
facture, nom et adresse du client,
désignation de l’opération, montant

 Le rapprochement bancaire :
Le rapprochement bancaire est un document extracomptable qui
permet d’expliquer les différences entre le solde du compte « 52
Banques » détenu par l’entreprise et le solde du « Relevé bancaire »
détenu par la banque. Ces différences s’expliquent par les raisons
suivantes :
 Des décalages dans les dates d’enregistrement ;
 Des erreurs portant sur des montants ou des erreurs
d’imputation ;
 Des omissions involontaires ou double enregistrement.
Les rapprochements bancaires sont une nécessité dans la mesure où
les différentes opérations effectuées de part et d’autre peuvent
diverger de manière significative. Cette divergence est due
généralement à des erreurs commises de part et d’autre dont la
vérification permettre de réconcilier ou de rétablir la concordance
des comptes.
Exemple : Tableau de rapprochement bancaire
Compte 52 Banque chez Compte entreprise chez
l’entreprise la Banque
Dat Libellé Débit Crédit Débit Crédit
e
Opérations Opérations Opérations Opérations
créditées débitées au créditées débitées
sur le niveau de la dans les dans nos
relevé banque livres de livres
mais pas seront l’entreprise seront
dans créditées au et pas à la créditées à
l’entreprise niveau de banque la banque
l’entreprise
Totaux Total Total Crédit Total Total
Débit Débit crédit
Solde Solde
Soldes débiteur créditeur
SOLDE= Total débit – Total crédit

SECTION 2 : IMPUTATION DES PIECES COMPTABLES


1- IMPUTATION :
Imputer une pièce comptable, c’est enregistrer un flux
commercial, économique, ou financier à l’intérieur de compte.
En d’autres termes, l’imputation est l’inscription d’une somme
au crédit ou au débit. Cela se fait soit par une fiche d’imputation
ou directement sur la pièce comptable. Elle est faite en
conformité avec le plan comptable de la société et par la nature
de la charge.

2-COMPTABILISATION :
 Opération de caisse versement
A la réception du bordereau de versement, entraîne les
écritures suivantes :
Ecriture du versement
Débit 1011 Caisse clientèle
Crédit 2511 Clients
Cette opération est très simple en écriture mais plus
importante, compte tenu du volume des versements
éventuellement recevables au cours d’une journée.
En fin de la journée, la somme des bordereaux reçus doit
correspondre à l’espèce reçue et versée à la caisse réserve
(caisse principale). Le versement entre le caissier secondaire
(clientèle) et le caissier principal doit être matérialisé sur les
comptes de la banque.
Ecritures du reversement à la caisse principale
Débit 1010 Caisse réserve
Crédit 1011 Caisse clientèle

 Opération de caisse retrait


A l’ouverture de la journée, le caissier principal
approvisionne les caisses secondaires en espèces pour les
opérations de retraits de la journée.
L’approvisionnement de la journée fait donc l’objet d’une
écriture de type :
Approvisionnement de la caisse secondaire (caisse clientèle)
Débit 1011 Caisse clientèle
Crédit 1010 Caisse réserve
A la réception des chèques au guichet pour paiement
Débit 2511 Clients
Crédit 1011 Caisse clientèle

 Opération de certification de chèque


A la réception de la demande de certification
accompagnée très souvent par un chèque ordinaire,
l’opération se passe en deux(2) étapes :
A l’émission de la formule chèque certifié
Débit 2511 Clients
Crédit 7029 Commissions acquises/certification
Crédit 2722 Provisions pour chèques certifiés
Crédit 332 TAF
Au paiement du chèque certifié
Débit 2722 Provisions pour chèques certifiés
Crédit 1011 Caisse clientèle
Crédit 2511 Clients pour compte à compte
Crédit 1111 BCEAO pour encaissements par compensation

 Opération du Dépôt à terme (DAT)


A la réception de la demande du dépôt à terme par la banque, la
comptabilisation consiste à :
A la mise en place du DAT
Débit 2511 Clients
Crédit 2521 Dépôts à terme reçus
A l’échéance du Dépôt à terme(DAT)
Débit 2521 Dépôt à terme reçus
Crédit 2511 Clients
Au paiement des intérêts
Débit 60252 Intérêts dus sur dépôts à terme reçus
Crédit 2511 Clients
Crédit 332 Impôts sur valeurs mobilières et placements
PARTIE 3 : OBSERVATIONS ET RECOMMANDATIONS

CHAPITRE 1 : OBSERVATIONS


SECTION 1 : Les atouts
- Les agents sont toujours à l’heure à leur poste pour l’exécution des
tâ ches et la satisfaction des clients ;
- Le respect de la hiérarchie ;
- Les agents se soutiennent mutuellement en cas d’événements
heureux ou malheureux ;
- L’interconnexion des agences pour la célérité des retraits ;
- L’étendue de son réseau facilitant le contact avec le public grâ ce à ses
nombreux points repartis sur l’ensemble du territoire national ;
- La diversité de ses produits offerts ;
- L’existence d’une force de vente pour une meilleure
commercialisation des produits ;
- Les prix des produits et services sont relativement abordables ;
- La forte notoriété de la banque grâ ce à sa communication
institutionnelle ;

Cependant un certain nombre de problème en demeure.


SECTION 2 : Les limites
- L’insuffisance du personnel par rapport aux tâ ches quotidiennes de la
banque ;
- La mauvaise répartition du travail entre les agents ;
- Le manque de suivi des stagiaires pendant leur séjour ;
- L’obsolescence des outils de travail ;
- La majorité du personnel est vieillissante ;
- Les agents ne sont pas au même niveau d’information

CHAPITRE 2 : RECOMMANDATIONS


A la suite des différentes observations, nous proposons ces quelques pistes
de solutions :
SECTION 1 : Recommandations générales
- Recruter du personnel qualifié pour combler le déficit ;
- Etablir des fiches de poste pour chaque agent ;
- Responsabiliser certains agents dans le suivi des stagiaires ;
- Renouveler les outils de travail ;
- Renverser la pyramide des â ges pour conserver la culture de
l’entreprise.
SECTION 2 : Action Corrective
Pour une bonne gestion, je propose à la Direction les mesures suivantes :
- Mettre en place une gestion flexible des caisses et pendant les heures
d’affluence ouvrir toutes les caisses ;
- Se concentrer sur la communication interne qui permettra de mettre
tout le personnel au niveau d’information compte tenu de leurs
statuts ;
- Respecter les délais des engagements envers la clientèle ;
- Améliorer le dispositif d’accueil pendant les fins de mois.

CONCLUSION :
Ce stage pratique de deux mois a été très instructif pour moi. Il m’a permis de
confronter mes connaissances acquises à l’école avec celles de la pratique
professionnelle.
Par ailleurs, j’ai eu à connaitre l’historique, la structure de la BCI-MALI SA et
le fonctionnement d’une agence. Les connaissances acquises au cours de ce
stage me permettront de renforcer mes aptitudes intellectuelles et seront un atout
considérable dans la quête d’un emploi. Ce stage au sein de la banque pour le
commerce et l’industrie du Mali, m’a permis de nouvelle façon d’apprendre.

En effet, j’ai pu apprendre des méthodes de recherche, enrichir mes


connaissances à côté des personnes qui ont plus d’expérience dans le domaine.
Ce stage au sein de cet établissement bancaire sera utile à ma carrière
professionnelle.

BIBLIOGRAPHIE :
PRECIS DE COMPTABILITE BANCAIRE YACOUBA TRAORE Tome 1
Agenda. (2018). BCI-MALI SA. Bamako
Google. Récupéré sur www.BCI-MALI SA.COM
ANNEXES :
ANNEXE 1
ANNEXE 2
ANNEXE 3
ANNEXE 4
ORGANIGRAMME GENERAL DE LA BCI MALI-SA

DG

PCA PAC

SG

DP RESEAU

INFORMATIQUE

ORGANIGRAMME DU DEPARTEMENT FINANCE ET


COMPTABILITE

DIRECTION FINANCE

SERVICE DEPARTEMENT
CONTROLE DE FINANCE
GESTION

SERVICE SERVICE SERVICE


COMPTABILTE TRESORERIE RAPPROCHEMENT

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