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Ecole Supérieure d’Ingénieurs de Beyrouth - Conception des Structures de Bâtiments - Prof.

: Nadim Chouéri V-1

CHAPITRE V : LES MURS DE SOUTENEMENT

I - Généralités :
Lorsqu’il existe une différence de niveau entre deux points A et B d’un terrain naturel la ligne
de raccord entre ces deux points n’est généralement pas verticale. Elle fait avec l’horizontale un angle
qu’on appelle angle du talus naturel et qui est très proche de l’angle de frottement interne.

Si on désire que le raccord soit vertical, il faudrait prévoir un ouvrage destiné à maintenir les
terres et qui joue le rôle d’écran : c’est le mur de soutènement.

Le soutènement en réalité peut s’effectuer de plusieurs manières :

 Murs en console (cas le plus courant)


 Murs de sous-sol appuyés sur des planchers (la stabilité globale est donnée par le
bâtiment lui-même).
 Murs à contrefort (pour les hauteurs importantes)
 Murs à étages
etc.…

Le mur de soutènement classique (mur en console) est constitué en B. A. des éléments suivants :

 Le rideau :

C’est un écran qui reçoit la poussée des terres et la poussée de l’eau. On supprime la poussée
de l’eau par l’existence de barbacanes surtout dans la partie inférieure du mur à raison d’une
barbacane chaque 2 à 3 m² de surface de mur. Il faut en plus assurer un système de drainage
pour amener l’eau jusqu’aux barbacanes.

 La semelle :

Elle sert de fondation à l’ouvrage. C’est la partie se trouvant plus spécialement sous les
remblais donc du côté du talus. On peut souvent la munir d’une bêche qui s’oppose au
glissement du mur.

 Le piédroit :

C’est la partie de la semelle en dehors du talus. Il fait partie intégrale de la semelle. Sa mission
est de mieux répartir les réactions et les contraintes du mur sur le sol.

 Le contrefort :

Il existe éventuellement des contreforts Rideau


régulièrement espacés dont la mission est de
solidariser le mur avec la semelle dans le cas de
murs de grande hauteur (au-delà de 6 m).

Piédroit Semelle
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II - Forces agissant sur le mur de soutènement :


Il existe des forces stabilisatrices (poids propre, poids des terres sur la semelle…). Elles
s’opposent à des forces horizontales déterminées à partir de la mécanique des sols par la théorie de
Rankine (ou la théorie de Coulomb) qui consiste à écrire qu’à une profondeur z il existe une contrainte
normale à l’écran :

(z) = Ka.z

Ka : coefficient de poussée = tg² ( / 4 – /2)
: angle de frottement interne
cas général = 30° ; Ka = 1 / 3

q / m²

(  – )

A g q
Force de poussée due au sol :
(KaH) + 0 KaH²
FH1 = ×H=
2 2
Force due aux surcharges :
FH2 = KaqH

En général la butée ne sera pas prise en considération dans les calculs, et cela dans le sens de la
sécurité.

Cas courant :
- mur en console : Ka = 1 / 3
- mur de sous-sols appuyé sur les planchers : Ka = 1 / 2

III - Calcul de la stabilité et ferraillage :


A- Prédimensionnement :
Pour étudier un mur, il faut assurer trois conditions d’équilibre.

1. Equilibre au renversement :

On vérifie que :
M stab / A
M renv / A 2
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2. Stabilité au glissement :

Fv
1.5
FH / f

f: coefficient de frottement sol-béton


(en principe sol-sol mais on prend sol-béton par excès de sécurité)
f= 0.3 argile humide
f= 0.4 sable (cas le plus courant)
f= 0.5 argile sèche
f= 0.6 graviers

3. Equilibre d’ordre mécanique :

 sol  calculé   sol ou q sol  f dsol  1.5  sol

e1

VIII

H
I IX
(  ; )

II

2
XI

h 1
XII VII X
IV V h0
e3 VI e2
III

a e b
1) Connues :
H ; h ; sol ; f ;  ; 

2) Inconnues :
a ; b ; e ; h0 ; e1 ; e2 ; e3

On est obligé de fixer certaines inconnues car elles sont trop nombreuses :

 Pour le rideau

  
H H
  e 
10 8

e1 = sup [6 cm + 6 Ø ; 20 cm]
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 Pour la semelle :

h0 = e et cela pour assurer en général la continuité de moment.

Les formules donnant e2 et e3 sont identiques à celles de e1.

 Pour a et b :

e + e1
em = 2
et on applique sur ce profil les conditions de glissement et de renversement ( 2 équations) et on
vérifie la 3ème condition (équilibre mécanique).

En général on procède de la manière suivante :


On pose a = 0 dans l’équation de glissement et on tire b de cette équation. On met b dans l’équation de
renversement, on trouve a
- Si a < 0 on prend a = 0
- Si a > 0 on remet a dans la 1ère équation et on recommence les calculs…

Ayant a et b on retourne au profil initial sur lequel on effectue un calcul de stabilité définitif
pour déterminer les vrais coefficients de sécurité du mur au renversement et au glissement et les
comparer aux valeurs limites.

Remarque :

En pratique il faudrait que :

2
b+e  3 H
  
   40 cm a  1 m

6
q

em

2 5 H
4
h
1 3 em
A
a em b

C G
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B- Calcul du ferraillage :
1. Le rideau :

Il est sollicité par la poussée des terres et les surcharges et il est soumis à la flexion composée ;
le plus souvent, il est calculé en flexion simple.

(H – h0)³ (H – h0)²
Menc = 1.35 Ka  + 1.5 Ka q
6 2

(H – h0)²
Venc = 1.35 Ka  + 1.5 Ka q (H – h0)
2
Ap
Amont

Ø Amont  Ø Ap , avec min T 12


2 Arép
Asemelle
1 1
Arép  q 4 ; 3 r Ap

Apiédroit

On ne met pas d’armatures transversales si (EC2 – 6.2.2) :

V enc  V Ed  V Rd, c
 Max C Rd, c
k 100  L f ck 
1/3
;v min
b w
d

200 A
avec k  1   2 (d en mm) L   0.02
SL
;
d b w
d

0.18
  0.035
3/2 1/2
C Rd, c
; v min
k f ck
c
ASL : acier tendu existant au delà du point étudié.

2. La semelle :

Elle sera étudiée comme élément fléchi encastré au rideau soumis à la réaction du sol, au poids
des terres, aux surcharges et au poids du béton. En général, l’armature principale de la semelle sera
placée à la fibre supérieure.

3. Le piédroit :

De même mais souvent calculé en console courte. (Voir chapitre 8).


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q
Exemple :

H=6m em
h=1m
sol = 2 Kg / cm² = 0.2 MPa  fdsol = 0.3 MPa 2 5
f = 0.4 4
q = 1 t / m² = 10 KN / m² = 0.01 MN / m² 1m
 = 1.8 t / m³ = 18 KN / m³ = 0.018 MN / m³ 1 3 em
 = 30º  Ka = 1/3 A B
a em b
fdsol (ultime) = 1.5 sol

H H
e q 10 ; 8 r soit e = 80 cm

e1 = 20 cm  sup [6 cm + 6 Ø ; 20 cm]
e1 + e
em = = 50 cm
2

Vérification des trois conditions :


FH FH
Fv  1.5 = 1.5
f 0.4
MS  2MR

sol sol ou qsol fdsol

a- Prédimensionnement :
1- Force de renversement :

 = 30º  Ka = 1/3 = 0.333


forces de la poussée des terres.

Poussée des terres :


H² 1 6²
FH1 = Ka  2 = 3 × 1.8 × 2 = 10.8 t = 108 KN

Surcharges :

FH2 = Ka q H = 1/3 × 1 × 6 = 2 t = 20 KN
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2- Forces stabilisatrices :

Piédroit  FV1 = a × em × 2.5 = a × 0.5 × 2.5


= 1.25a t = 12.5a KN

Rideau  FV2 = H × em × 2.5 = 6 × 0.5 × 2.5 = 7.5 t = 75 KN

Semelle  FV3 = b × em × 2.5 = 1.25b = 12.5b KN

Terre au-dessus du piédroit :


 FV4 = a (h – em)  = a (1 – 0.5) 1.8 = 0.9a t = 9a KN

Terre au-dessus de la semelle :


 FV5 = b (H – em)  = 9.9b t = 99b KN

Surcharge :
 FV6 = b × q = b t = 10b KN

N.B. :
On adopte la combinaison G + 1.5 Q qui diminue le poids propre car il est facteur de stabilité.

 1ère condition :

1.5 FH
Fv 
0.4
1.5 FH
 75 + 12.5a + 12.5b + 9a + 99b + 15b 
0.4
 1ère approximation
a=0

 sans surcharge
108
75 + 12.5b + 99b 1.5  b = 2.96 m
0.4
 avec surcharge
108 + 20 × 1.5
75 + 111.5b + 15b 1.5  b = 3.5
0.4

 2ème condition : MS MR × 2

Poussée des terres :


H³ 1 6³
MR1 = Ka  = × 1.8 × = 21.6 t.m
6 3 6
H
FH1 × 3 (triangle de charge)

Surcharges :
H² 1 6²
MR2 = Ka q = × 1 × = 6 t.m
2 3 2
H
2
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FH2 × (rectangle)

FV1 a²
MS1 = a = 12.5 KN.m
2 2

e
MS2 = FV2 ( a + ) = 75 (a + 0.25) KN.m
2

b b
MS3 = FV3 (a + e + ) = 12.5b (a + + 0.5) KN.m
2 2

a 9a²
MS4 = FV4 = KN.m
2 2

b b
MS5 = FV5 (a + e + ) = 99b (a + + 0.5) KN.m
2 2

b b
MS6 = FV6 (a + e + ) = 10b (a + + 0.5)
2 2

Sans surcharges: (sans MS6 et MR2)


a² b 9a² b
12.5 + 75 (a + 0.25) + 12.5b (a + 2 + 0.5) + + 99b (a + + 0.5) 2 × 216
2 2 2
 10.75 a² + 465.25a + 896.8125 0

a 0 d’où a = 0

Avec surcharges:
b
10.75 a² + 465.25a + 896.8125 + 1.5 × 10b (a + 2 + 0.5) 2 (216 + 60 × 1.5)

 10.75 a² + 624.25a + 642.25 0

a 0 d’où a = 0

Conclusion : a = 0
b = 3.5 m

 3ème condition : Sol sol (ELS) ou qsol fdsol (ELU)

en A M = MSt – MR
M MS – M R
en C excentricité par rapport à A : AC = F =
V FV

Cela donne la position du centre de pression par rapport à A

a + em + b
CG = o – ACp = dG
2
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Au centre de gravité on aurait FV

Et MG = FV . dg

Sol sol ou qsol fdsol (ELU)

N.B. : les calculs qui suivent se feront pour 1.35G + 1.5Q (ELU)

MSu / A = 1.35 (75 × 0.25 + 12.5 × 3.5 × 2.25 + 99 × 3.5 × 2.25) + 1.5 × 10 × 3.5 × 2.25
= 1328.8 KN.m

FVu = 1.35 (75 + 12.5 × 3.5 + 99 × 3.5) + 1.5 × 10 × 3.5


= 680.6 KN
MSu – MRu
 AC = = 1.39 m avec MRu = 1.35 × 216 + 1.5 × 60 = 381.6 KN.m
FVu

1.39m 0.61m 2m
A C G
4m

En G : FVu = 680.6 KN en C
Mu / G = 680.6 × 0.61 = 415 KN.m

Par bande de 1 m :

qsup = N + Mu/G . y = FVu + 415 × 2 = 0.326 MPa


S I 4×1 1 × 4³
 12
plan horizontal

qsup = 0.326 MPa  fdsol = 1.5 sol = 0.3 MPa

Par conséquent il faut choisir a  0

FVu Mu/G . L/2


qsup = +
4×1 I
avec L = a + e + b = 4 + a

qsup = 0.681 + 0.415 × 6 0.3


4+a (4 + a)²

d’où a 0.5 m
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20
Profil définitif : XIII

XI

XII
6m
III

IV

VIII

IX X
I V VII
50 II VI 20 (d’après la pente ½)
pente ½  55 cm A 50 80 350

Moins que 50 cm  pente trop forte.

b- Coefficients de stabilité définitifs :


1- Glissement : (forces du béton et des terres)

FVG = 510.605 KN
FVQ = 10 × (3.50 + 0.6) = 41 KN

H² 1 6²
FHG = Ka  = × 1.8 × = 108 KN
2 3 2

1
FHq = Ka q H = × 10 × 6 = 20 KN
3

 G + 1.5 Q
FV (FVG + 1.5 FVQ) 0.4
gliss = FM = FHg + 1.5 FHq = 1.658
0.4

2- Renversement :

Mstab / A (G + 1.5 Q) = 1454 KN.m

h³ H²
Mrenv / A = Ka  + Ka q × 1.5 = 306 KN.m
6 2

M 1454
renv = Ms = 306 = 4.75
r
En général, les murs bien dimensionnés sont plus en sécurité par rapport au renversement mais
moins par rapport au glissement, d’où l’intérêt des bêches dans certains cas.
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3- Calcul des contraintes au sol : (1.35 G + 1.5 Q)

MAu = Msu – MRu

Msu = 1.35 × 1284.826 + 1.5 × 41 × 2.75 = 1904 KN.m


1 6³ 1 6²
MRu = 1.35 × × 18 × + 1.5 × × 10 × = 382 KN.m
3 6 3 2
MAu = 1904 – 382 = 1522 KN.m

FVu = 1.35 FVg + 1.5 FVq = 751 KN

Excentricité par rapport à G :

C : centre de pression
MAu 1522
AC = FVu = 751 = 2.03 m

350 + 80 + 50
CG = 2 – 203 = 37 cm

D’où :
Mu / G = FVu × CG = 277.87 KN.m

FVu MGu × 2.4


qsup = + = 0.229 MPa 0.2 × 1.5 = 0.3 MPa
4.8 × 1 1 × 4.8³
12
FVu MGu × 2.4
qinf = – = 0.084 MPa  0
4.8 × 1 1 × 4.8³
12

c- Ferraillage :
480
50 80 350


qsup = -0.229 -0.214 -0.190 qinf = -0.084
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 Calcul de la semelle : 15
15
126.4
140.9
remblai
27
6.75  béton
– 84
– 190

3.5

75cm
78.65 KN.m

– 21.6

0.75 1 1 2
Menc = 21.6 × × × 0.75 – 78.65 × 2.75 ×
2 3 2 × ( 3 × 2.75 + 0.75)
= – 277.35 KN.m

A = cm2 6 T 16 / m
6 T 16 / m
6 T 12 / m

4 T 10 / m

6 T 16 / m

6 T 10 / m

 Calcul du piédroit en console courte :

163 KN.m
55 KN.m

50
Tout calcul fait : 6 T 10 / m
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 Calcul du rideau :

1 5.2³ 1 5.2²
Menc = 1.35 × 3 × 18 × 6 + 1.5 × 3 × 10 × 2
= 257.2 KN.m
1 5.2² 1
Venc = 1.35 × 3 × 18 × 2 + 1.5 × 3 × 10 × 5.2
= 135 KN

On trouve A = 6 T 16 / m pas besoin d’armatures d’effort tranchant.

IV - Mur avec contrefort :

Largeur de la
dalle inférieure

Ap 

Aa

Ce type de mur est utilisé quand la hauteur dépasse 6 à 7 m. le contrefort intervient pour solidariser la
semelle et le rideau et par conséquent nous pourrons avoir des profils économiques et plus convenables.
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1- Le rideau :
Le calcul sera celui d’une dalle pleine appuyée sur trois côtés à savoir la base et les deux
contreforts. En pratique, nous considérons le rideau comme travaillant entre les contrefort et donc ce
sera une dalle travaillant dans un seul sens. L’espacement entre les contreforts en général est de l’ordre
de 3 à 4 m. (ou ½ hauteur du mur).

Les armatures principales du rideau seront horizontales et placées du côté du vide. Elles seront
calculées par tranches de 1 m de hauteur sous l’effet de la poussée des terres et des surcharges. On
évalue une moyenne sur cette tranche et on calcule :

pl² Ap = f (Miso)
Miso = Aa f (0.5 Miso)
8

2- Le contrefort :
On étudiera les contreforts comme une section en T renversée en console et qui sera soumise à
la poussée des terres et des surcharges et aux charges provenant du rideau.

La table inférieure de cette section sera égale à l’espacement entre les contreforts. Les armatures
principales seront calculées en flexion simple et on les dispose parallèlement à la paroi inclinée.
Souvent on prévoit une bêche pour bien ancrer les armatures du contrefort, et on ajoute les armatures
de suspente aux armatures d’effort tranchant.

3- La semelle :
Elle sera étudiée comme le rideau. Ce sera une dalle soumise à la réaction du sol, au poids de
béton, au remblai et aux surcharges. Elle pourra travailler soit dans les deux sens (les appuis seront les
deux contreforts, la bêche et le rideau) soit dans un seul sens (entre le rideau et la bêche).

4- Le piédroit :
Calcul identique au paragraphe précédent. On prolonge en général les armatures de la semelle
vers le piédroit.

5- La bêche :
Poutre appuyée sur les contreforts et partiellement encastrée. La bêche doit être bien ferraillée.

N.B. : L’idéal est de la calculer en poutre sur appui continue élastique.

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