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Leçon n° 37

Problèmes de lieux géométriques 9

Niveau Terminale S
barycentre, produit scalaire, complexe, formules trigonométriques, relation de
Prérequis
Chasles, detérminant
Références [104], [105], [106], [107], [121], [122], [123], [124]

37.1 Définition d’introduction


Définition 37.1 — Lieu géométrique. Un lieu géométrique est un ensemble de points satisfaisant
certaines conditions, données par un problème de construction géométrique.

Dans cette leçon, on donne des problèmes de lieux géométriques.

37.2 Médiatrice
Définition 37.2 — Médiatrice. Une médiatrice M d’un segment [AB] est l’ensemble des points M
tel que AM = BM :
M = {M, AM = BM }

 Soit (O, #»
Exemple 37.3  ) un repère orthonormé du plan, A = (−2, 0) et B = (2, 0). L’ensemble
ı , #»
des points M équidistants de A et de B est la médiatrice [AB], précisément l’axe (O, #» ). 

37.3 Le cercle
Définition 37.4 — Cercle. Un cercle C de centre O de rayon r est l’ensemble des points M tel que
OM = r.
C = {M, OM = OR}

 Exemples 37.5 1. Soit O et A deux points. L’ensemble

C = {M, OM = OA}

est le cercle de centre O et de rayon [OA].


2. Soit A et B deux points. On cherche à représenter géométriquement l’ensemble
 
1
C = M, AB = AM .
2

On introduit I le milieu de [AB]. On a ainsi 12 AB = AI. D’où C est le cercle de centre A et


de rayon [AI].

10 Leçon n°37 • Problèmes de lieux géométriques

37.4 Utilisation des barycentres


 Exemple 37.6 ABC est un triangle dans le plan muni d’un repère orthonormé d’unité 1 cm.
# » # »

1. On va déterminer l’ensemble E1 des points M tels que M B + 2M C = 6 cm. Pour réduire
la somme vectorielle, on pose G1 le barycentre de (B, 1), (C, 2) (que l’on peut construire avec
BG1 = 32 BC). Alors, pour tout point M :
# » # »
# » # » # » # »
M B + 2M C = (1 + 2)M G1 = 3M G1 .
# » # »

E1 est donc l’ensemble des points M tels que 3M G1 = 6 cm ⇔ M G1 = 2 cm. On en
déduit que E1 est le cercle de centre G1 et de rayon 2 cm.

E1
C

G1

A B

2. Soit ABC un triangle. On va construire l’ensemble E2 des points M tels que :


# » # » # » # »

3M A + M B = 2 M A + M C .

On note
— G2 le barycentre de (A, 3) et (B, 1),
— G3 le barycentre de (A, 1) et (C, 1).
Pour tout point M , on a alors :
# » # » # » # »
— 3M A + M B = (3 + 1)M G2 = 4M G2 ,
# » # » # » # »
— M A + M C = (1 + 1)M G3 = 2M G3 . # » # »

E2 est donc l’ensemble des points M tels que 4M G2 = 2 2M G3 ⇔ kM G2 k =
kM G3 k. On en déduit que E2 est la médiatrice de [G2 , G3 ].

E2
G3
A G2 B


37.5 Utilisation du produit scalaire 11

37.5 Utilisation du produit scalaire


1. On cherche tout d’abord l’ensemble des points M tels que M A2 + M B 2 = k.
Propriété 37.7 Soit I le milieu du segment [AB] (avec A 6= B). Pour tout point M , on a :

AB 2
M A2 + M B 2 = 2IM 2 + (Théorème de la médiane).
2
Etant donné un réel k, on en déduit que l’ensemble des points M tels que M A2 + M B 2 = k
est un cercle, ou un point ou l’ensemble vide.

 Exemple 37.8

Soit A et B deux points tels que AB = 2. On


cherche à déterminer l’ensemble E des points
M tels que M A2 + M B 2 = 20. On utilise le E:{M, M A2 +M B 2 =20}

théorème de la médiane :
M A2 + M B 2 = 20
A I B
2AB 2
⇔ 2IM + = 20
2
4
⇔ 2IM 2 + = 20
2
⇔ IM 2 = 9 ⇔ IM = 3
(car IM > 0). L’ensemble E est donc le
cercle de centre I et de rayon 3.

# » # »
2. On cherche à déterminer l’ensemble des points M tels que M A · M B = k. Pour cela, on
# » # »
décompose M A et M B en passant par I le milieu de [AB].
 Exemple 37.9

Soit A et B deux points tels que AB = 4. On


cherche à déterminer l’ensemble E des points
# » # »
M tels que M A · M B = 12. # » # »
E:{M, M A·M B=12}

# »# » # » #» # » #»
M A·M B = 12 ⇔ (M I+IA)·(M I+IB) = 12.
#» #»
Or, IB = −IA. On a donc :
A I B
# » #» # » #»
(M I + IA) · (M I − IA) = 12
⇔ M I 2 − IA2 = 12 ⇔ M I 2 − 22 = 12.

On en déduit que M ∈ E ⇔ M I 2 = 16 ⇔
M I = 4. E est donc le cercle de centre I et
de rayon 4
12 Leçon n°37 • Problèmes de lieux géométriques

# »
3. On cherche à déterminer l’ensemble des points M tels que AM · #»u = k. Pour cela, on cherche
# » #»
un point particulier H appartenant à l’ensemble. On a alors AH · u = k. Ainsi,
# » # » # » # » # » # » # »
AM · #»u = k ⇔ AM · #» u = AH · #» u ⇔ (AM − AH) · #» u ⇔ HM · #»u = 0 ⇔ HM ⊥ #» u.
L’ensemble est alors la droite passant par H de vecteur normal #»
u.

 Exemple 37.10Soit A et B deux points tels


que AB = 3. On cherche à déterminer l’en-
# » # »
semble E des points M tels que AM · AB =
−6. Soit H le point de la droite (AB) tel que
# » # »
AH et AB soient de sens contraires et tel que B

AH × AB = 6 ⇔ AH = 36 = 2. Ainsi, on a
# » # »
bien AH · AB = −6. Dès lors : A
# » # »
AM · AB = −6 E:{M, AM ·AB=−6}
H
# » # » # » # »
⇔ AM · AB = AH · AB
# » # » # »
⇔ (AM − AH) · AB = 0
# » # »
⇔ HM · AB = 0
# » # »
⇔ HM ⊥ AB.
L’ensemble E est alors la droite perpendicu-
laire à (AB) passant par H.

37.6 Utilisation des homothéties et des translations


Exercice 37.11 On considère deux points distincts A et B. Pour tout point M du plan, soit I le
milieu de [AM ] et G le barycentre de (A, −1), (B, 2) et (M, 1)
1. Faire une figure.
2. Démontrer que I est l’image de M par une transformation du plan à déterminer. Démontrer
que G est l’image de I par une transformation du plan à déterminer.
3. En déduire
— le lieu des points I lorsque M décrit le cercle de diamètre [AB] ;
— le lieu des points G lorsque M décrit le cercle de diamètre [AB] ;
— le lieu des points I lorsque M décrit la droite perpendiculaire à (AB) en B ;
— le lieu des points G lorsque M décrit la droite perpendiculaire à (AB) en B.


Dv

• Solution de l’exercice 37.11 —


# » # » # » #»
1. G étant le barycentre de (A, −1), (B, 2) et (M, 1), on a : −GA + 2GB + GM = 0 donc
37.6 Utilisation des homothéties et des translations 13

AG + 2GB + GM = 0 et AM + 2GB = 0 , d’où BG = 12 AM . I étant le milieu de


# » # » # » #» # » # » #» # » # »
# » #»
[AM ], on en déduit que BG = AI.
M

G
I

B
A

2. I étant le milieu de [AM ], on a AI = 21 AM . Donc I est l’image de M par l’homothétie


#» # »

de centre A et de rapport 12 . On a vu BG = AI, donc BGIA est un parallélogramme,


# » #»
#» # » # »
donc IG = AB. Donc G est l’image de I par la translation de vecteur AB.
3. Par l’homothétie de centre A et de rapport 12 , le point A est invariant et le point B a pour
image le point K tel que AK = 21 AB, c’est-à-dire le milieu de [AB]. I étant l’image de
# » # »
M par l’homothétie de centre A et de rapport 12 , lorsque M décrit le cercle de diamètre
[AB], I décrit le cercle de diamètre [AK].
# »
Par la translation de vecteur AB, le point A a pour image B et le point K a pour image
# » # » # »
L tel que KL = AB. G étant l’image de I par la translation de vecteur AB, lorsque M
décrit le cercle de diamètre [AB], I décrit le cercle de diamètre [AK] et G décrit le cercle
de diamètre [BL].

M
I M
G
A K I
B L G
A K B L

Lorsque M décrit la droite perpendiculaire à (AB) en B, I décrit la droite perpendiculaire


à (AK) en K et G décrit la droite perpendiculaire à (BL) en L.

 Exercice 37.12Soient A et B deux points distincts, I le milieu de [AB]. Soit (d) la médiatrice de
[AB]. Soit (C) le cercle de centre A et de rayon AI et (C 0 ) le cercle de diamètre [AB]. A tout point
M , on associe le point M 0 barycentre de (A, −1) et (M, 2). Déterminer le lieu géométrique de M 0
lorsque M décrit :
1. la droite (AB)
2. la droite (d)
3. le cercle (C)
4. le cercle (C 0 )

14 Leçon n°37 • Problèmes de lieux géométriques

Dv

• Solution de l’exercice 37.12 — M 0 est le barycentre de (A, −1) et (M, 2), on a donc :
# » # » #» # » # » # »
−M (A + 2M 0 M = 0 ⇔ −M 0 A + 2(M 0 A + AM ) = 0 ,

# » # » #» # » # »
c’est-à-dire M 0 A + 2M A = 0 donc AM 0 = 2AM . On en déduit que M 0 est l’image de M
par l’homothétie de centre A et de rapport 2.

M0
B
M
I
A

1. A étant le centre de l’homothétie, on a A0 = h(A) = A. De plus, l’image de B par h est


# » # »
B 0 = h(B) avec AB 0 = 2AB. Si M décrit la droite (AB), M 0 décrit la droite (A0 B 0 ).
Or A et B se trouvent sur la droite (AB), donc la droite (A0 B 0 ) est la droite (AB).
0 0

Lorsque M décrit la droite (AB), M 0 décrit la droite (AB).

B
I
A

M0

2. La droite (d), médiatrice de [AB] est la droite passant par I et perpendiculaire à (AB).
# » #»
Comme I est le milieu de [AB], on a AB = 2AI. Donc B est l’image de I par h. Si M
décrit la droite (d) passant par (I) et perpendiculaire à (AB), alors M 0 décrit la droite
(d0 ) passant par I 0 = B et perpendiculaire à (A0 B 0 ) = (AB). Lorsque M décrit la droite
(d) médiatrice de [AB], M 0 décrit la droite (d0 ) passant par B et perpendiculaire à (AB).
M0

M B
I
A

3. Si M décrit le cercle (C 0 ) de centre A et de rayon (AI), alors M 0 décrit le cercle de


centre A0 = A et de rayon 2AI = AB, c’est-à-dire le cercle de centre A et passant par
B. Lorsque M décrit le cercle (C), M 0 décrit le cercle de centre A passant par B.
37.7 Théorème de l’arc capable 15

M0

M B
I
A

4. Si M décrit le cercle (C 0 ) de diamètre [AB], alors M 0 décrit le cercle de diamètre


# » # »
[A0 B 0 ] = [AB 0 ]. Comme AB 0 = 2AB, B est le milieu de [AB 0 ], donc le cercle de
diamètre [AB 0 ] est le cercle de centre B passant par A. Lorsque M décrit le cercle (C 0 )
de diamètre [AB], M 0 décrit le cercle de entre B passant par A.

M0

M
B
I
A

37.7 Théorème de l’arc capable


D

37.7.1 Théorème de l’angle au centre

Théorème 37.13 — Théorème de l’angle au centre. Soient M , A, B trois points distincts d’un cercle
# » # »
de centre O, T un point de la tangente en A (T 6= A). L’angle au centre (OA, OB) est égal au double
# » # » # » # »
de l’angle inscrit (M A, M B) et au double de l’angle de la tangente (AT , AB) :
# » # » # » # »
(OA, OB) ≡ 2(M A, M B) (mod 2π)
# » # »
≡ 2(AT , AB) (mod 2π)
16 Leçon n°37 • Problèmes de lieux géométriques

O
A

B
T

Dv

• Démonstration —
— La somme des angles orientés du triangle M AO est égale à π :
# » # » # » # » # » # »
(M A, M O) + (AO + AM ) + (OM , OA) ≡ π (mod 2π).
# » # » # » # »
On a aussi (M A, M O) ≡ (AO, AM ) (mod 2π) car M AO est isocèle, d’où :
# » # » # » # »
2(M A, M O) + (OM , OA) ≡ π (mod 2π).

Les mêmes considérations dans le triangle M OB mènent à l’égalité analogue :


# » # » # » # »
2(M O, M B) + (OB, M A) ≡ π (mod 2π).

En ajoutant ces deux égalités, on obtient :


# » # » # » # » # » # » # » # »
2(M A, M O) + 2(M O, M B) + (OM , OA) + (OB, M A) ≡ 0 (mod 2π),

d’où par la relation de Chasles,


# » # » # » # »
2(M A, M B) + (OB, OA) ≡ 0 (mod 2π)

ce qui donne la première égalité de l’énoncé.


— On a :
# » # » # » # » # » # » # » # »
2(AT , AB) = 2(AT , AO) + 2(AO, AB) ≡ π + 2(AO, AB) (mod 2π).

La somme des angles orientés du triangle isocèle AOB étant égale à π, on a :


# » # » # » # »
2(AO, AB) ≡ π − (OB, OA) (mod 2π).

D’où :
# » # » # » # » # » # »
2(AT , AB) = π + π − (OB, OA) ≡ (OA, OB) (mod 2π).

37.7.2 Théorème du cercle capable


37.7 Théorème de l’arc capable 17

Théorème 37.14 — Théorème du cercle capable. Soient A, B deux points distincts du plan affine
euclidien orienté et α ∈ R (α 6≡ 0 (mod π)).
L’ensemble Eα des points M du plan tels que :
# » # »
(M A, M B) ≡ α (mod π)
# » # »
est le cercle passant par A et B et dont la tangente (AT ) en A vérifie (AT , AB) ≡ α (mod π) privé
des points A et B.
Ce cercle s’appelle cercle capable d’angle α du couple (A, B).

Dv

• Démonstration — On munit l’espace d’un repère orthonormé direct (O, #»  ) de manière à


ı , #»
ce que A et B aient pour coordonnées A(−a, 0) et B(a, 0) avec a ∈ R+ . En notant z l’affixe

du point M (x, y) autre que A et B, on a :


 
# » # » z−a
M ∈ Eα ⇔ (M A, M B) ≡ α (mod π) ⇔ arg ≡ α (mod π)
z+a
⇔ arg((z − a)(z + a)) ≡ α (mod π) ⇔ arg((z − a)(z + a)e−iα ) ≡ 0 (mod π)
⇔ Im((x + iy − a)(x − iy + a)(cos α − i sin α)) = 0
⇔ −(x2 + y 2 − a2 ) sin α + 2ay cos α = 0
a2
⇔ x2 + y 2 − 2ay cotan(α) − a2 = 0 ⇔ x2 + (y − a cotan(α))2 = .
sin2 α
Donc Eα est le cercle C de centre de coordonnées (0, a cotan α) et de rayon |sin α| .
a

De plus, si T est un point de la tangente en A au cercle C (T 6= A), d’après le théorème de


l’angle au centre, on a :
# » # » # » # »
(AT , AB) ≡ (M A, M B) (mod π) ≡ α (mod π).

37.7.3 Théorème de l’arc capable


Théorème 37.15 — Théorème de l’arc capable. Soient A, B deux points distincts du plan affine
euclidien orienté et α ∈ R (α 6≡ 0 (mod π)). L’ensemble Eα des points M du plan tels que :
# » # »
(M A, M B) ≡ α (mod 2π)
_
est l’arc en cercle ouvert AB du cercle capable C d’angle α du couple (A, B) qui est l’intersection de
C avec le demi-plan ouvert délimité par (AB), qui ne contient pas la demi-tangente [AT ) au cercle
# » # »
en A, où T est le point de la tangente tel que (AT , AB) ≡ α (mod 2π).
_
Cet arc est appelé arc capable d’angle α du couple (A, B). L’autre arc ouvert AB est l’arc
capable d’angle α + π du couple (A, B).
18 Leçon n°37 • Problèmes de lieux géométriques

Dv

• Démonstration — On note sign(x) le signe d’un réel non nul x. On a l’équivalence :


# » # » # » # »
(M A, M B) ≡ α (mod 2π) ⇔ (M A, M B) ≡ α (mod π)
# » # »
et sign(sin(M A, M B)) = sign(sin α).

La première condition équivaut à l’appartenance de M au cercle capable C d’angle α. Il suffit


donc de vérifier que la deuxième condition équivaut à l’appartenance de M au demi-plan
ouvert dont parle le théorème.
# »
On choisit un repère orthonormé direct (A, #»  ) tel que AB = a #»
ı , #» ı avec a = AB. Comme :
# » # » # » # »
det(M A, M B) = M A × M B × sin(M A, M B)

dans la base ( #»  ), son signe est celui du sinus.


ı , #»
# » # »
En fonction de M (x, y), M A et M B ont pour composantes respectives (−x, −y) et (a −
x, −y),
# » # »
det(M A, M B) = ay
donc
# » # »
sign(sin(M A, M B)) = sign(ay) = sign(y).
La condition cherchée équivaut donc à l’appartenance de M au demi-plan P , délimité par
(AB) dans lequel sign(y) = sign(sin α).
Pour tout point T de la tangente en A (T 6= A), on a :
# » # »
(AT , AB) ≡ α (mod π).
# » # » # » # »
Donc (AT , AB) ≡ α (mod 2π) si et seulement si on a de plus sign(sin(AT , AB)) =
# » # »
sign(sin α), ou encore sign(det(AT , AB)) = sign(sin α).
# » # »
En fonction de T (x, y), les composantes respectives de AT et de AB sont (x, y) et (a, 0) et
# » # »
on a det(AT , AB) = −ay.
# » # »
On a donc sign(sin(AT , AB)) = sign(sin α) si et seulement si T est dans le demi-plan ouvert
où sign(y) = − sign(sin α), c’est-à-dire dans le demi-plan opposé à celui de M .
Cette démonstration reprise avec α + π mène à un second arc capable qui est l’intersection
du cercle capable d’angle α + π, qui n’est autre que C avec le demi-plan ouvert, délimtié
# » # »
par (AB), qui ne rencontre pas la demi-tangente [AT ) à C en A, quand (AT , AB) ≡ α + π
_
(mod 2π). C’est donc le second arc capable AB du cercle capable. •

37.8 Un exemple de recherche de lieux en utilisant un repère

 Exemple 37.16 Soit ABC un triangle tel que AB = 4, AC = 3 et BC = 2. On détermine


l’ensemble E des points M du plan vérifiant l’équation :

3AM 2 − 4BM 2 + 2CM 2 .


37.8 Un exemple de recherche de lieux en utilisant un repère 19

A B

Dv

Pour trouver l’ensemble E de manière analytique, nous allons nous placer dans le repère non or-
# » # »
thonormé (A, AB, AC). Dans ce repère l’origine A a pour coordonnée (0; 0), B(1; 0) et C(0; 1).

A B

Comme le repère choisi n’est pas orthonormé, la formule des normes de vecteurs ne s’applique
u a pour coordonnées (x; y) dans le repère
pas. On détermine une autre formule. Si le vecteur #»
# » # »
(A, AB, AC) alors :
# » # »
u = xAB + y AC.

La norme d’un vecteur est égale à la racine carré de son carré scalaire. Ainsi :
q rD
# » # » # » # »E
uk =
k #» h #» ui =
u , #» xAB + y AC, xAB + y AC
r # » 2 D # » # »E # » 2

= x2 AB + 2xy AB, AC + y 2 AC

Or :
kABk2 = AB 2 = 16 et kACk2 = AC 2 = 9.
D # » # »E
Reste à calculer le produit scalaire AB, AC :
D # » # »E
D # » # »E D # » # »E
AB, AC = −BA, AC = − BA, AC
 
1
# » # » 2 # » 2 # » 2

= − BA + AC − BA − AC
2
1 1 1
= − [22 − 42 − 32 ] = − [4 − 16 − 9] = − (−21) = 10, 5.
2 2 2
# » # »
Ainsi, la norme du vecteur vvu(x; y) dans le repère (A; AB, AC) est donnée par :
q
uk =
k #» 16x2 + 21xy + 9y 2 .
20 Leçon n°37 • Problèmes de lieux géométriques

# » # »
Soient M (x, y) et I(a, b) dans (A; AB, AC). Le carré de la distance IM est donné par :
# »
IM 2 = IM = k(x − a; y − b)k2

q 2
= 16(x − a)2 + 21(x − a)(y − b) + 9(y − b)2

= 16(x2 − 2ax + a2 ) + 21(xy − bx − ay + ab) + 9(y 2 − 2by + b2 )


= 16x2 + (−32a − 21b)x + 9y 2 + (−21a − 18b)y + 21xy + 16a2 + 21ab + 9b2 .

Ainsi, on peut décrire tous les points M (x; y) de l’ensemble E.

M (x, y) ∈ E ⇔ 3AM 2 − 4BM 2 + 2CM 2 = 26


# » 2 # » 2 # » 2

⇔ 3 AM − 4 BM + 2 CM = 26
⇔ 3(16x2 + 21xy + 9y 2 − 4(16(x − 1)2 + 21(x − 1)y + 9y 2 )
+ 2(16x2 + 21x(y − 1) + 9(y − 1)2 = 26
⇔ ···
⇔ 16x2 + 86x + 9y 2 + 48y + 21xy − 72 = 0.

L’équation 16x2 +86x+9y 2 +48y +21xy −72 = 0 semble être une équation cartésienne d’un
cercle. Il faut en déterminer les coordonnées du centre et son rayon. La formule donnant IM 2 va
nous être utile, ici.

IM 2 = 16x2 + 9y 2 + 21xy + 86x + 48y − 72 = 0


= 16x2 + 9y 2 + 21xy + (−32a − 21b)x + (−21a − 18b)y − 72 = 0

Les coordonnées (a, b) du centre I de notre cercle sont les solutions du système 2 × 2 suivant :
(
−32a − 21b = 86
−21a − 18b = 48

Après calculs, on trouve a = −4 et b = 2. Ainsi :

M (x, y) ∈ E ⇔ 16x2 + 9y 2 + 21xy + 86x + 48y − 72 = 0


⇔ IM 2 − [16 × (−4)2 + 21 × (−4) × 2 + 9 × 22 ] − 72 = 0
⇔ IM 2 − 124 − 72 = 0 ⇔ IM 2 = 196 ⇔ IM = 14.

Conclusion : l’ensemble E est le cercle de rayon 14 et de centre le point I défini par :


#» # » # »
AI = −4AB + 2AC.
Bibliographie

[1] Problème des sept ponts de Königsberg, Wikipédia, l’encyclopédie libre.


[2] C. L E B OT, Théorie des graphes, 2006, http://blog.christophelebot.fr/
wp-content/uploads/2007/03/theorie_graphes.pdf.
[3] Coloration des graphes, Apprendre-en-ligne, http://www.apprendre-en-ligne.
net/graphes-ancien/coloration/sommets.html
[4] O. G ARET, Exemples de problèmes de graphes, http://iecl.univ-lorraine.
fr/~Olivier.Garet/cours/graphes/graphes-documents_d_
accompagnement.pdf.
[5] E. S IGWARD & al., Odyssée Mathématiques Terminale ES/L, Hatier, 2012.
[6] Graphes probabilistes, Terminale ES spécialité. http://mathadoctes.free.fr/TES/
graphe/f4_graphe.PDF
[7] G. C OSTANTINI, Probabilités (discrètes), Cours de Première S, URL : http://
bacamaths.net.
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