Академический Документы
Профессиональный Документы
Культура Документы
CHAPITRE 2
LE MODELE ENTITE/ASSOCIATION
INTRODUCTION
Une base de données constitue un modèle fidèle d'un domaine d'application : les données en
représentent tous les aspects pertinents, c’est une source de données efficace pour les utilisateurs
et les programmes (persistance, robustesse, disponibilité, efficacité, sécurité, etc.)
Le problème principal est souvent comment traduire les besoins exprimés par les utilisateurs en
structures de données ? Cette traduction constitue une des étapes primordiales pour pouvoir
construire ou concevoir une base de données correcte, opérationnelle, efficace.
Une méthode de conception de base de données est un processus dont l'exécution produit une
base de données conforme aux besoins d'une communauté d'utilisateurs.
Accompagner ces structures de contraintes sur les données afin de tirer plus de sémantique
juste pour éviter les erreurs sémantiques, notamment dans les réponses aux requêtes ;
2. ETAPES DE LA CONCEPTION
La figure ci-dessous représente les principales étapes de conception des bases de données qui
sont :
4. Codage : produit le code (LDD) déclarant les structures de données; produit un code
conforme aux langages du SGBD
Le modèle E/A est basé sur une perception du monde réel qui consiste à distinguer des agrégations
de données élémentaires appelés entités et des liaisons entre entités appelées associations.
C’est une représentation graphique et structurée des informations mémorisées par un SI.
4.1 ENTITES
a. DEFINITION :
Une entité permet de modéliser un ensemble d'objets concrets ou abstraits de même nature.
Chaque entité est unique et est décrite par un ensemble de propriétés encore appelées attributs ou
caractéristiques. Une des propriétés de l'entité est l'identifiant.
Propriété : Une propriété est une donnée élémentaire d'une entité. Une propriété est unique dans
un modèle E/A et ne peut pas être rattachée à plusieurs entités différentes. A l'intérieur des
occurrences, les propriétés prennent des valeurs
Exemple de propriété: Nom, email, numéro de téléphone
Identifiant : Afin de pouvoir distinguer les différentes occurrences d'une même entité, l'entité doit
être dotée d'un identifiant. L'identifiant est composé d'une ou de plusieurs propriétés de l'entité.
Chaque occurrence d’une entité doit avoir une valeur unique pour l’identifiant.
Exemple d’identifiant: NCIN, Numéro CNSS.
b. FORMALISME
c. EXEMPLE :
Quand le concepteur s’aperçoit que plusieurs entités, proches mais distinctes, partagent un
ensemble de caractéristiques, il doit mettre en œuvre un processus de création d’entités génériques
(ou entités sur-types) et d’entités spécialisées (ou entités sous-types) appelé «héritage ».
4.2 ASSOCIATION
a. DEFINITION
C’est un lien logique entre 2 ou plusieurs types d’entité. Elle est le plus souvent perçue comme
une action entre des catégories d’objets et se traduit presque toujours par un verbe.
Une association peut aussi posséder des propriétés qui dans ce cas n’appartiennent en propre à
aucun des types d’entités qu’elle relie.
b. FORMALISME
c. EXEMPLE
Les cardinalités les plus répandues sont les suivantes : 0,N ; 1,N ; 0,1 ; 1,1.
b. FORMALISME
La cardinalité minimale exprime le nombre minimum de fois qu’une occurrence d'une entité
participe à une relation. Cette cardinalité est généralement 0 ou 1.
Cardinalité minimale = 0 : Certaines occurrences de l'entité ne participent pas à la relation
Cardinalité minimale = 1 : Chaque occurrence de l'entité participe au moins une fois à la relation
La cardinalité maximale exprime le nombre maximum de fois qu’une occurrence d'une entité
participe à une relation. Cette cardinalité vaut souvent 1 ou n, avec n indiquant une valeur >1 mais
pas connue à priori.
Cardinalité maximale = 1 : Chaque occurrence de l'entité participe au maximum une seule fois à la
relation.
Cardinalité maximale = n : Chaque occurrence de l'entité peut participer plusieurs fois à la
relation.