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Dossier
de presse
Direction de la communication
Matisse,
et du numérique
1
Centre Pompidou
Dossier Sommaire
de presse
Direction de la communication
Matisse, comme un roman p. 3 - 4
Direction de la communication
et du numérique À propos de l’exposition
et du numérique
centrepompidou.fr
Directrice Aujourd’hui, l’Intérieur aux aubergines p. 5
Agnès Benayer Par Rémi Labrusse
T. 00 33 (0)1 44 78 12 87
agnes.benayer@centrepompidou.fr Professeur d’histoire de l’art, université Paris Nanterre
Attachée de presse
Marine Prévot
Plan de l’exposition p. 6
T. 00 33 (0)1 44 78 48 56
marine.prevot@centrepompidou.fr Textes de salles p. 7
centrepompidou.fr
Publications p. 12
#ExpoMatisse
Autour de l’exposition p. 14
Informations pratiques p. 22
3
Matisse comme un roman Dossier de presse
4
Matisse comme un roman Dossier de presse
1 — « Je n’imagine pas qu’on puisse rester De l’Intérieur aux aubergines, la vérité a couvé longtemps dans une À l’origine, pourtant, tout semblait en place pour faire
sur sa faim avec Matisse »,
demi - obscurité. Ce n’est qu’en 1974, dans un article de Dominique immédiatement de l’œuvre le manifeste éclatant d’un temps
Frank Stella dans “Eight Interviews /
Statements. Interviews by Jean-Claude Lebensztejn”,
Fourcade publié par la revue Critique, « Rêver à trois aubergines…2 », nouveau. Sa création la situe dans la série des « Intérieurs
Art in America, juillet- août 1975, p. 73 qu’elle s’est vraiment déployée au grand jour, en des termes qui symphoniques » de 19113 - comme Alfred Barr les a baptisés a
[trad. française Vincent Broqua, Paris, continuent aujourd’hui à conférer à l’œuvre sa contemporanéité, posteriori - de La Famille du peintre, commencé à la toute fin de
Éditions du Centre Pompidou, 2020, p. 45].
en dépit du temps passé. Cent neuf ans : autant dire qu’histori- l’année 1910 en Andalousie, à L’Atelier rouge, achevé en décembre
2 — Dominique Fourcade,
quement, l’Intérieur devrait nous apporter des nouvelles d’un autre 1911, au retour de Russie, ou au tout début de 1912, en passant par
« Rêver à trois aubergines… », Critique, Paris, siècle, d’un autre monde, comme pouvait le faire aux yeux de Matisse L’Atelier rose, réalisé à Issy-les-Moulineaux au printemps, en lien
mai 1974, no 324, p. 467-489 ; rééd. Paris, en 1911, disons, la Maja vestida de Goya, elle aussi vieille de cent neuf avec une commande de « décoration » pour la demeure moscovite
Éditions du Centre Pompidou, 2012.
ans lorsque l’artiste l’a découverte en Espagne, quelques mois avant de Sergueï Chtchoukine. Dans ce contexte d’effervescence créative,
3 — Alfred H. Barr,
de peindre son Intérieur. Et néanmoins, entre la toile peinte par stimulée par des commandes de première importance, Matisse s’est
Matisse : His Art and His Public, Matisse à Collioure à la fin de l’été 1911 et nous, outre l’impression de installé à Collioure de la fin du mois d’août à la mi-octobre 1911 :
New York, The Museum of Modern Art, 1951, p. 151. présence qui relève de la capacité de toute grande œuvre à trouer le retrouvailles avec un lieu fondateur, celui de l’invention du fauvisme
temps, semble s’établir aussi un sentiment historique de communauté six ans auparavant, et retraite essentielle pour mener à bien,
4 — Lettre du 19 septembre 1911, dans Albert
Kosténévich et Natalia Sémionova, Matisse et la Russie,
de destin. Sa condition, nous dit-elle, est aussi la nôtre ; nous comme il l’écrit en septembre à Ivan Morosov, « un travail décoratif
trad. Antoine Garcia, Paris, Flammarion, 1993, p. 181. partageons un même monde, sommes nourris des mêmes questions, important 4 ».
enlacés encore – pour combien de temps ? – dans les mêmes nœuds
de civilisation. La singularité de l’Intérieur, c’est que cette condition
.
partagée a mis longtemps à être clairement identifiée et formulée.
Centre Pompidou
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Matisse comme un roman Dossier de presse
Plan de l’exposition
Galerie 1, niveau 6
Scénographe : Camille Excoffon
Sortie
9
8
7
Entrée
1 2 3 4
5
6
Matisse comme un roman Dossier de presse
Textes de salles
L’œuvre de Henri Matisse s’embrase à partir de plusieurs foyers : autant d’étapes qui, déjouant toute progression linéaire,
s’offrent comme les scansions presque simultanées d’une plongée en soi. En 1891, Matisse entre auprès de William
Bouguereau à l’académie Julian – il en retiendra une prédilection pour le nu et une rigueur absolue – mais il lui manque
un espace de liberté pour que cette discipline ne se fige pas en procédé. Il le trouve l’année suivante dans l’atelier
de Gustave Moreau à l’École nationale des beaux-arts. Là, Matisse diversifie les modèles, de la sculpture antique aux maîtres
du Louvre, tout en se laissant la liberté de regarder ailleurs, notamment vers la figure singulière que représente alors
Paul Cézanne. Il élargit le cadre d’apprentissage : par-delà l’atelier ou le musée, il travaille au plein air et se confronte
à d’autres lumières, voyageant en Bretagne (1895-1897) et en Corse (1898). À chaque fois alors que son œuvre se cristallise
dans une manière qui pourrait s’établir, Matisse marque un coup d’arrêt – nourrissant à partir de là un autre départ de feu.
Car il s’agit pour l’artiste de s’exercer, par des mains multiples, afin de trouver une écriture qui lui soit propre.
Ne ressembler qu’à soi-même, c’est ainsi le conseil adressé à son camarade Victor Roux-Champion en 1896 – « […] être
personnel avant tout et pour cela être sincère. Seriez-vous aussi fort qu’Holbein, vous n’existeriez pas, vous ne seriez qu’une
doublure » – dans une formule qui tient lieu d’engagement.
de cette histoire collective, mais reste solitaire dans le projet auquel il est rivé.
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Matisse comme un roman Dossier de presse
Matisse trouve une voie d’affirmation privilégiée de la modernité dans des œuvres ou des objets dont le caractère « primitif »
renvoie tout autant aux origines de l’art européen qu’aux arts non-occidentaux. Loin de la nostalgie d’un passé révolu ou de
la fascination pour un art lointain, ce qui le retient réside dans l’actualité de ces formes : elles offrent un appui nécessaire pour
renouer de manière originaire avec les êtres et les choses. Sans hiérarchie entre les genres ni prédilection pour une époque,
au gré de ses voyages, il regarde dans plusieurs directions. Celle des tissus et tapis orientaux, d’abord, cherchant dans
la juxtaposition des surfaces une mise en tension qui rompe avec l’illusion mimétique – Les Tapis rouges repose, justement,
sur ce rapport entre décoration et expression. Matisse décèle encore dans la sculpture africaine un équilibre entre les masses
à même de renouveler le modèle classique du nu, tandis qu’il reprend des mosaïques byzantines la simplification des volumes
et la représentation de l’espace pour contrer toute perspective. En témoigne notamment le portrait hiératique de sa fille
Marguerite, figure de l’attention qui requiert le regard du spectateur pour s’animer, quand sa Marguerite lisant, figure
de l’absorption, y résiste. L’œuvre vient d’ailleurs ouvrir les Notes d’un peintre (1908) dans lesquelles Matisse formule
pour la première fois, clair et lucide, les propres fondements de son art.
Matisse a quarante-quatre ans lorsque la guerre éclate en août 1914. Sa réponse dans l’épreuve ne changera jamais :
faire retour sur soi dans l’extrême concentration du travail. Autour de lui : la famille, les amis de passage, l’atelier du quai
Saint-Michel, le jardin d’Issy-les-Moulineaux qui, tous, forment de « nouvelles sensations dans un décor familier ».
La période qui s’ouvre confirme les avancées plastiques de Matisse, parvenu dès avant le début des années 1910 à l’invention
d’un espace décoratif parfois au seuil de l’abstraction. La guerre voit encore l’adoption de nouvelles orientations d’une
radicalité inouïe. Au contact de l’avant-garde parisienne et du cubisme en particulier, les tableaux opèrent une transaction
presque fantastique, qui fusionne l’espace plastique et l’espace réel. La couleur noire s’impose aussi comme une nouvelle
Centre Pompidou
expression du sentiment de l’artiste. Lumineux ou réflexif, le noir rayonne progressivement et déclinera longtemps la complexité
de ses effets dans l’œuvre. Le visage dépeint génère une « sensation principale » avant que l’étude du sujet ne fasse advenir
une ressemblance autre, en profondeur. Ces portraits de proches (sa fille Marguerite, représentée avec son chat, nous dévisage
dans sa fixité de carte à jouer) ou ces effigies de commande (le collectionneur Auguste Pellerin, l’actrice Greta Prozor) semblent
atteindre une connaissance supérieure. Méditatifs, énigmatiques, ils sont aussi, comme le disait Leo Stein quelques années
plus tôt, « beaux en quelque sorte ».
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Matisse comme un roman Dossier de presse
Alors que Matisse est au sommet de son art, reconnu par les critiques et porté par les collectionneurs, il quitte sa situation
désormais établie. Fin décembre 1917, il s’installe seul dans un modeste hôtel de Nice. Les années qui s’ouvrent sont marquées
par une production qui délaisse la dimension expérimentale pour renouer avec la figure et le paysage dans lesquels la référence
au réel se fait plus nette. Tantôt louée comme un retour au bercail de la grande tradition française après des années d’errance,
tantôt blâmée pour n’être qu’un intérim paresseux qui viendrait porter un coup d’arrêt à une avancée fulgurante, cette première
période niçoise tient moins d’un relâchement que d’un isolement laborieux dont le dénouement possible l’inquiète.
« Je suis rempli d’ardeur. Ça me fait peur », écrit Matisse à sa femme, Amélie, à propos du Grand Paysage, Mont Alban,
le 21 mai 1918, « J’ai peur d’être obligé de foutre le camp ». C’est que l’artiste remet en jeu ce qui a été âprement conquis :
avec détermination, il élabore une construction du tableau qui ne repose plus sur les rapports de couleurs, mais sur la lumière
qui vient modeler le sujet, créant ainsi une nouvelle unité de surface dans un équilibre en tension perpétuelle. Jusque dans
ses « Odalisques » qui repensent la question de l’insertion de la figure dans l’espace, de la tension entre volume et planéité.
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Matisse comme un roman Dossier de presse
Passé à un « poil de chat angora » de la mort après une grave opération en 1941, Matisse envisage l’existence comme un
supplément de vie qui l’oblige. Il mène de nouvelles conquêtes sur tous les fronts. En dessin comme en peinture, la décennie
a peut-être quelque chose des « années ardentes » d’après 1905, lorsque l’intensité sensorielle se manifestait par une couleur
immersive. Un an plus tôt, en avril 1940, Matisse achevait sa Blouse roumaine, destinée à devenir une icône de la France libérée,
inspiratrice de créateurs au seuil de leur art, voyant dans cette peinture une véritable « profession de foi » (Éric Rohmer).
La qualité expansive de l’œuvre tricolore anticipe les « Intérieurs de Vence », ces toiles de 1947-1948 annonciatrices d’un
véritable « esprit du temps », où toute notation de profondeur spatiale est abolie au profit d’une « perspective de sentiment ».
Inversant leur fonction première, ce sont les objets qui habitent Matisse : parmi eux, un fauteuil rocaille en argent teinté
au vernis, une peau fauve sont unis par un même amour, ce mot érigé en principe plastique de la dernière décennie.
« Hausser le ton » de la surface picturale, la porter à son point extrême d’incandescence, c’est le projet de ces dernières
peintures de chevalet, nourries de deux expériences d’une extrême novation – en dessin, les Thèmes et variations, et les
gouaches découpées de Jazz.
265,5 × 130 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris
© Succession H. Matisse
Photo © Centre Pompidou, Mnam-Cci/Georges Meguerditchian/
Dist. Rmn-Gp
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Matisse comme un roman Dossier de presse
Henri Matisse,
La Tristesse du roi, 1952
Papiers gouachés, découpés,
Centre Pompidou
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Matisse comme un roman Dossier de presse
Publications
Matisse, comme un roman
Catalogue de l’exposition
Sous la direction de
Aurélie Verdier
Format : 21 × 27 cm
320 pages
Relié toilé
45€
Tirage à 16 000 ex.
Sommaire
Essais
— « L’amour m’expose », Aurélie Verdier
— « La volonté du tableau », Gaku Kondo
— « Peindre solide » : Henri Matisse et l’œuvre reproductible,
Claudine Grammont
—« Car la merveille, c’est qu’il y a aussi un Matisse écrivain »,
Anne Théry
—« Aujourd’hui, l’Intérieur aux aubergines », Rémi Labrusse
Biographie
— « Henri Matisse, une biographie critique », Anne Théry
Annexes
— Liste des œuvres et documents exposés
— Bibliographie sélective
Format : 27 × 27 cm
60 pages
9,50€
Tirage à 20 000 ex.
Centre Pompidou
12
Matisse comme un roman Dossier de presse
Format : 12 × 18,5 cm
60 pages
12€
Tirage à 3 000 ex.
Réimpression
Format : 12 × 18,5 cm
48 pages
10,50€
Tirage à 3 000 ex.
Format : 22 × 29 cm
8€
Centre Pompidou
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Matisse comme un roman Dossier de presse
Autour de l’exposition
Soirée Matisse
Petite salle
Entrée libre
Date à déterminer
En lien avec l’exposition, une « Soirée Matisse » propose une rencontre autour d’un livre inclassable, duquel rayonne une
multitude d’objets de réflexion : Henri Matisse, roman, publié par Louis Aragon aux éditions Gallimard en 1971, mais conçu
trente ans plus tôt, dès sa rencontre avec le peintre à Cimiez en 1941. Au défi de faire le portrait de l’artiste, Aragon répond :
oui, si c’est un roman. Par cet artifice, le poète tient son sujet à distance pour mieux le regarder : ce sera ce « Matisse vu de
loin » tel qu’Aragon le formule à Matisse, dès 1942.
Trois invités, réunis autour de la commissaire de l’exposition Aurélie Verdier, discutent du rapport singulier qui unit le peintre
et le poète, éclairant une œuvre picturale majeure du 20e siècle par le biais d’un objet littéraire-limite.
Avec
Philippe Forest, écrivain
Rémi Labrusse, historien de l’art, Professeur à Paris-Nanterre
Denis Hollier, professeur à New York University
© Editions Gallimard
Photo © Centre Pompidou, Mnam-Cci, Bibliothèque Kandinsky / Dist.
Rmn-Gp
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Matisse comme un roman Dossier de presse
Pour tout questionnement à propos de l’usage de l’œuvre d’Henri Matisse, merci de contacter Les Héritiers Matisse :
Gwenaëlle Fossard
gwenaellefossard.lhm@orange.fr
T. + 33 (0) 1 40 93 46 18
Dans tous les autres cas le journal sera redevable de droits d’auteur.
Tout manquement au respect des conditions énumérées ci-dessus pourra entraîner une sanction financière, ou une facturation si les
droits étaient initialement exonérés.
Un justificatif papier ou PDF devra être envoyé au service de presse du Centre Pompidou à :
Marine Prévot
marine.prevot@centrepompidou.fr
ou au
4 rue Brantôme
75191, Paris cedex 4
• Les images filmées doivent être destinées à une émission ou un sujet consacré à l’œuvre de Matisse dans le cadre de
l’exposition « Matisse, comme un roman ».
• Les plans extravagants, montrant notamment les œuvres de façon tronquée, sont exclus. Les zooms sont possibles, avant ou
après une vue de l’œuvre en entier. Les vues d’ensemble, des salles d’exposition, doivent être privilégiées.
Centre Pompidou
• La ligne suivante devra systématiquement être indiquée en fin de séquence : « Œuvres de l’artiste : © Succession H. Matisse ».
Les Héritiers Matisse se réservent le droit, si une séquence omet cette ligne, de demander que l’émission incluant cette
séquence soit retirée de l’option « replay ».
Toute image d’œuvre ajoutée (œuvre non filmée dans les salles d’exposition) entraînera l’application de droits.
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Matisse comme un roman Dossier de presse
Louis Aragon
Je n’ai jamais appris à écrire ou les Incipit
Genève, Skira, 1969
Livre, 22 ×16,5 cm (fermé)
Centre Pompidou, Bibliothèque Kandinsky, Paris
© Succession H. Matisse
© Éditions d’Art Albert Skira
Photo © Centre Pompidou, Mnam-Cci, Bibliothèque Kan-
dinsky / Dist. Rmn-Gp
Louis Aragon
Henri Matisse, Roman
Vol. II, Paris, Gallimard, 1971
Livre
28 × 22,5 × 4 cm (fermé)
Centre Pompidou, Bibliothèque Kandinsky, Paris
© Succession H. Matisse
© Editions Gallimard
Photo © Centre Pompidou, Mnam-Cci, Bibliothèque Kan-
dinsky / Dist. Rmn-Gp
Henri Matisse
Nu aux souliers roses, 1900
Huile sur toile
73 × 59,5 cm
Collection particulière
© Succession H. Matisse
Photo : DR
Centre Pompidou
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Matisse comme un roman Dossier de presse
Henri Matisse
Autoportrait, 1900
Huile sur toile
55 × 46 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris
© Succession H. Matisse
Photo © Centre Pompidou, Mnam-Cci/Georges Meguer-
ditchian/Dist.Rmn-Gp
Henri Matisse
La Sieste, 1905
Huile sur toile
60 × 73 cm
Merzbacher Kunststiftung
© Succession H. Matisse
Photo © Merzbacher Kunststiftung
Henri Matisse
Le Luxe I, 1907
Huile sur toile
210 × 138 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris
© Succession H. Matisse
Photo © Centre Pompidou, Mnam-Cci/Philippe Migeat/Dist.
Rmn-Gp
Centre Pompidou
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Matisse comme un roman Dossier de presse
Henri Matisse
Porte-fenêtre à Collioure, 1914
Huile sur toile
116,5 × 89 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris
© Succession H. Matisse
Photo © Centre Pompidou, Mnam-Cci/Philippe Migeat/Dist.
Rmn-Gp
Henri Matisse
Figure décorative sur fond ornemental, 1925 - 1926
Huile sur toile
130 × 98 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris
© Succession H. Matisse
Photo © Centre Pompidou, Mnam-Cci/Philippe Migeat/Dist.
Rmn-Gp
Henri Matisse
Femme à la voilette, 1927
Huile sur toile
61,6 × 50,2 cm
Museum of Modern Art, New York
© Succession H. Matisse
Photo © 2020. Digital image, The Museum of Modern Art,
Centre Pompidou
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Matisse comme un roman Dossier de presse
Henri Matisse
Grand nu assis, 1922-1929
Bronze
78 × 78 × 35 cm
Musée départemental Matisse, le Cateau-Cambrésis
© Succession H. Matisse
Photo © Musée départemental Matisse, Adam Rzepka
Henri Matisse
Intérieur à la fougère noire, 1948
Huile sur toile
116,5 × 89,5 cm
Fondation Beyeler, Riehen/Bâle, Collection Beyeler
© Succession H. Matisse
Photo © Fondation Beyeler, Riehen/Basel, Collection Beyeler.
Photo: Robert Bayer
Henri Matisse
Verve, n°8, 1940
Revue
36 × 27 cm (fermé)
Centre Pompidou, Bibliothèque Kandinsky, Paris
© Succession H. Matisse
Centre Pompidou
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Matisse comme un roman Dossier de presse
Henri Matisse
Verve, n°13, 1945
Revue
36 × 27 cm (fermé)
Centre Pompidou, Bibliothèque Kandinsky, Paris
© Succession H. Matisse
Photo © Centre Pompidou, Mnam-Cci, Bibliothèque Kan-
dinsky / Dist. Rmn-Gp
Henri Matisse
Verve, n°21-22, 1948
Revue
36 × 27 cm (fermé)
Centre Pompidou, Bibliothèque Kandinsky, Paris
© Succession H. Matisse
Photo © Centre Pompidou, Mnam-Cci, Bibliothèque Kan-
dinsky / Dist. Rmn-Gp
Henri Matisse
Verve, n°23, 1949
Revue
36 × 27 cm (fermé)
Centre Pompidou, Bibliothèque Kandinsky, Paris
© Succession H. Matisse
Photo © Centre Pompidou, Mnam-Cci, Bibliothèque Kan-
dinsky / Dist. Rmn-Gp
Centre Pompidou
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Matisse comme un roman Dossier de presse
Henri Matisse
Verve, n°35-36, 1958
Revue
36,5 × 26,5 cm (fermé)
Centre Pompidou, Bibliothèque Kandinsky, Paris
© Succession H. Matisse
Photo © Centre Pompidou, Mnam-Cci, Bibliothèque Kan-
dinsky / Dist. Rmn-Gp
Henri Matisse
Nu debout, fougère noire, 1948
Encre de Chine sur papier
105 × 75 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris
© Succession H. Matisse
Photo © Centre Pompidou, Mnam-Cci/Philippe Migeat/Dist.
Rmn-Gp
Henri Matisse
Couverture pour Œuvres récentes, catalogue
d’exposition, Paris, Musée national d’art moderne, 1949
21,5 × 16 cm (fermé)
Centre Pompidou
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Matisse comme un roman Dossier de presse
Informations pratiques
Horaires et Tarifs
Commissaire Aurélie Verdier
Chargées de recherche Exposition ouverte tous les jours de 11h à 21h.
Marjolaine Beuzard, Attachée de conservation 15€, tarif réduit 12€ / Gratuit pour les moins de 18 ans.
Anne Théry, Assistante commissaire
Réservation obligatoire en ligne sur www.billetterie.centrepompidou.fr
L’exposition bénéficie du soutien de La réservation d’un créneau horaire s’applique à tous les visiteurs y
compris les adhérents et ceux bénéficiant de la gratuité.
Les moins de 26 ans*, les enseignants et les étudiants des écoles d’art,
ainsi que les membres de la Maison des artistes bénéficient de la gratuité
Grand mécène Grand mécène pour la visite du Musée et d’un billet tarif réduit pour les expositions.
Accès gratuit pour les adhérents du Centre Pompidou.
* 18-25 ans ressortissants d’un état membre de l’UE ou d’un autre état partie à l’accord
sur l’Espace économique européen. Valable le jour même pour le Musée national d’art
moderne et l’ensemble des expositions.
L'exposition est organisée avec le soutien exceptionnel des musées :
Musée de Grenoble
Musée départemental Matisse du Cateau-Cambrésis
Musée Matisse de Nice Contact presse
Marine Prévot
Musée national Picasso-Paris T. 00 33 (0)1 44 78 48 56
marine.prevot@centrepompidou.fr
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Centre Pompidou
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Matisse comme un roman Dossier de presse
Engagement culturel
À l’occasion des 30 ans de la marque, Li-Ning a initié en 2020 un partenariat pluriannuel unique avec le Centre Pompidou,
démontrant son engagement en faveur du dialogue créatif et de l’expression artistique.
« Chez Li-Ning, nous sommes fascinés par la nature transcendante du sport et son rôle croissant dans le discours culturel – celui
où le sport rencontre et influence les mondes de la mode, de la musique et de l’art. Le Centre Pompidou, en tant qu’institution
culturelle de référence au niveau mondial, incarne parfaitement cette intersection des univers », estime M. Li Ning.
Li-Ning soutient plusieurs événements de la programmation du Centre Pompidou. La marque est partenaire de « Matisse,
comme un roman », et se réjouit que cette exposition, qui propose une approche inédite de l’œuvre de Matisse, examinant la
relation et les parallèles entre l’image et l’écriture, soit la première manifestation de son partenariat avec le Centre Pompidou.
Li-Ning accompagnera également l’ensemble de la programmation des spectacles vivants (théâtre, danse, performance et
musique) du Centre Pompidou.
Engagement sociétal
L’engagement de Li-Ning dépasse les mondes du sport, de la mode et de l’art. Pour la fabrication de ses produits, la marque
s’est associée avec cinq autres leaders mondiaux pour créer en 2011 l’initiative environnementale Zero Discharge of Hazardous
Chemicals (ZDHC, en français Zéro Rejet de Produits Chimiques Dangereux). Li-Ning travaille avec 30 marques et les 153
membres du ZDHC pour atteindre l’objectif de zéro rejet de produits chimiques industriels dangereux. Seul membre chinois du
ZDHC, Li-Ning a participé à la création de la première liste de substances dangereuses dans la confection de vêtements et de
chaussures. Elle vise à contrôler et supprimer les produits chimiques dangereux rejetés dans l’environnement lors de la
fabrication et des processus connexes. La publication de cette liste par le ZDHC n’est qu’un exemple parmi d’autres de l’action
de la marque pour produire un impact positif et durable. « Nous mettons également en avant l’importance de la protection de
l’environnement à travers nos produits. De la conception à la commercialisation, en passant par les matériaux choisis, nous
appliquons au mieux les principes du développement durable dans l’espoir d’inciter nos consommateurs à se soucier encore
plus de l’environnement », déclare Monsieur Li Ning.
Centre Pompidou
www.Li-Ning.com
@LiNing.official
#LiNing
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Matisse comme un roman Dossier de presse
Enedis
Soutenir les actions culturelles et offrir au plus grand nombre l’occasion de découvrir les émotions de l’art, nourrir la curiosité
et suggérer l’ouverture d’esprit : voici ce qui anime Enedis dans ses missions de mécénat culturel, en affirmant sa conviction
qu’une société est d’autant plus apte à innover, à se transformer, qu’elle est plus ouverte à ses créateurs.
Depuis plusieurs années, Enedis grand mécène de la culture, a soutenu de nombreuses expositions majeures à Paris et sur tout
le territoire français à l’occasion notamment des 40 ans du Centre Pompidou. Aujourd’hui, Enedis est très fière de soutenir
à nouveau le Centre Pompidou à travers l’exposition « Matisse, comme un roman ».
Cet engagement renouvelé auprès du Centre Pompidou correspond à une démarche de mécénat artistique et culturel pérenne.
Par son action, Enedis souhaite soutenir la découverte et la connaissance de la culture, par le plus grand nombre et réaffirmer
son soutien au service public de la culture. Les deux structures publiques se retrouvent dans un souci de répondre à une
mission de service public, en partageant les mêmes valeurs : innovation, création et ouverture au plus grand nombre.
Les initiatives sociétales et environnementales qu’Enedis conduit dans l’exercice de ses métiers sont primordiales pour
l’entreprise. Tous les jours et par tous les temps, Enedis affirme son engagement en faveur de la transition énergétique au cœur
des territoires, et par ses actions, prolonge sa mission de service public nouvelle génération et développe un nouveau modèle
« connecté », plus innovant et collaboratif.
Par ces actions citoyennes, Enedis propose la vision qu’elle a de la solidarité, de l’environnement ou de la culture :
un service pour tous et partout.
La culture partout et pour tous, l’électricité partout et pour tous ; ainsi est le fondement même de l’action de service public
que mène Enedis chaque jour auprès des territoires français.
Contact
Corinne Gerard
Responsable relations publiques & mécénat
+33 7 62 50 35 30
corinne.gerard@enedis.fr
Centre Pompidou
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