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COURS
AMENAGEMENT ET URBANISME
Professeur:
Mohamed HANZAZ
Objet et objectifs du cours
Objet
Objectifs
Validation et homologation
u un ensemble de disciplines.
Le point
La ligne
Espace d’attractivité
La surface
L’ESPACE : APPROCHE THÉORIQUE
2
2
2 6
6
5 3 1 3
3 1
5
6 4 4 5 4
1
R é s e a u Réseau dense où Les citadins dispose
embryonnaire: plusieurs espaces d’un réseau optimum :
absence de liaisons fonctionnent d’une chaque centre est relié
(sauf pour les deux manière segmentaire aux autres
espaces) avec un seul espace
polarisant.
L’ESPACE : APPROCHE THÉORIQUE
Complémentarité
fonctionnelle Transferabilité Opportunité de
proximité
Aire urbaine
Caractères de l’espace
Bastide de cordes
Gare de Barcelone
Caractères de l’espace géographique
Espace différencié
•
Tout élément de l’espace, toute forme de paysage sont, du fait de leur
localisation et du jeu de combinaisons qui détermine leur évolution, des
phénomènes uniques jamais identiques
• L’analyse de l’homogénéité de l’espace ne devient éclairante
que si elle fait appel à la notion d’échelle (taxinomie des
phénomènes).
Actions correctives
Les paysages aménagés
ou de consolidation
Espace et société : deux éléments vers le territoire
• Territoire : espace sur lesquels s’exerce l’autorité d’un groupe social
ou d’un organisme de gestion ;
et
Relation
dialectique
entre le local
et le central
Création du territoire
Analyse territoriale
Observer Décrire
expliquer
Concertation élargie
comparer
Dégager les
Chercher les enjeux
interactions
Stratégie de
Problématiser développement
Spatialiser et
schématiser Programmation
et actions
La ville et l’urbain
Les rues Les tunnels Les immeubles Les sous-sols Les véhicules Piétons,
habitants
L’urbain et la ville
Ville pédestre
• La Ville Automobile.
Ville Automobile
L’action d’aménagement :
Action concertée, non pas d’un individu agissant seul, mais d’une société
ayant des objectifs à réaliser;
Action continue, pour que le milieu soit modifié et que l’on puisse tirer le
parti souhaité.
• Rénovation urbaine, il s’agit ici bel et bien de démolir, de raser pour construire
selon des plans et une architecture qui peuvent être radicalement différents de
l’antérieur;
Souplesse et adaptation
Pause
DOCUMENTS D’AMÉNAGEMENT
• L’aménagement du territoire constitue une préoccupation majeure au
Maroc:
Contraintes
Absence d’un débat au sujet des grands principes d’aménagement du territoire
Absence d’un cadre de référence (charte)
Insuffisance de la connaissance des potentialités régionales et difficulté de leur
valorisation
Charte National d’Aménagement du Territoire
• Démocratie et Participation.
Contenu de la Charte National d’Aménagement du Territoire
Propositions
L’élaboration des instruments de maîtrise du marché foncier urbain
• Loi d’Orientation du Foncier;
• Création d’une Agence Nationale du Foncier;
• Banque Nationale des données foncières
Présidence et composition
Missions
Présidence et composition
• Elle est présidée par le Président du Gouvernement;
• Elle est constitue des ministères de l’intérieur, des finances, de
l’agriculture, de l’équipement, de l’énergie et des mines, HCP, HC des
eaux et forêts, des représentants des régions,…
Missions
• Assurer le suivi de la mise en œuvre des options retenues par le CSATDD;
• Veiller à la concrétisation des contrats-programmes (Etat-régions);
• Evaluer des documents nationaux et régionaux d’aménagement du territoire
avant de les soumettre au CSATDD ;
Présidence et composition
régional et le Wali de la région;
• Elle est présidée par président du conseil
• Elle est constitue des représentants des
services et établissements publics
déconcentrés, des conseils provinciaux, des municipalités, des chambres
professionnelles, un représentant de la CNPATDD…
Missions
• Concevoir le schéma régional d’aménagement du territoire (SRAT) et les
schémas d’équipement et d’urbanisme ;
• Elaborer le plan régional du développement économique et social (PRDES) ;
• Assurer l’articulation entre le SRAT et le PRDES et les orientations du
SRAT à travers la coordination des programmes sectoriels étatiques et ceux
des collectivités locales;
Outils d’Aménagement du Territoire
Schéma Régional d’Aménagement du Territoire
• Document de référence établit pour un horizon de 25 ans;
• Définir une vision d’aménagement au niveau de l’espace régional ;
Suivi du SRAT
Rapport territorial
Identification des
projets
Schéma d’organisation
Diagnostic fonctionnelle et
d’aménagement (SOFA)
Connaissance approfondie Détermination des relations Détermination des relations
des différentes entre la région de RSZZ et entre le territoire régional et le
composantes du territoire les régions avoisinantes reste du territoire National
(FLUX) (Intégration)
Schéma d’organisation fonctionnelle et
d’aménagement (SOFA)
Schéma d’organisation fonctionnelle et d’aménagement est un nouveau concept porteur:
Développement d’un
système urbain
Emergence de nouvelles
complémentarités spatiales
et fonctionnelle
Métropole
Schéma d’organisation fonctionnelle et
d’aménagement (SOFA)
Délimitation de la zone métropolitaine :
L’aire métropolitaine centrale : Kénitra-El Jadida
Objectifs:
• Procéder à une requalification des fonctions de la métropole par un
renouvellement des dynamiques économiques et sociales des
métropoles et des villes et des modes de leur gestion;
• Proposer une stratégique à moyen / long terme concernant
l’organisation de la croissance des deux métropoles en donnant la
priorité au développement en direction l’une de l’autre ;
• Urbaniser le «corridor central» selon un axe intérieur, parallèle au
littoral.
Schéma d’organisation fonctionnelle et
d’aménagement (SOFA)
Schéma d’organisation fonctionnelle et
d’aménagement (SOFA)
ARTICULATION:
Orientations OUTILS D’AMÉNAGEMENT ET D’URBANISME
National
SNAT
SRAT Régional
SOFA
SDAU Aire urbaine
Réglementations
Ville
P A
Quartier
PAS
Support d’expérimentation
Support d’expérimentation des outils de planification selon une vision d’inspiration
française
Formules importées
Application des outils et des modes de planification importés.
La ville intra muros : planification urbaine consensuelle
Pas d’anticipation
Une adaptation continuelle en fonction du contexte (usage, culture, changement
biographique)
Pas de réglementation
Mais des principes globaux dictée par l’usage et les préceptes de l’Islam
Urbanisme au Maroc
Le bien-être
Urbanisme au Maroc
Le sacré est lié à la morphologie de la ville, qui s’articule autour d’une grande
mosquée (Fès, Marrakech), et /ou d’un marabout (Azemmour) ou d’une Zaouia
(Safi, Sidi Kacem).
Le fonctionnel est en relation avec les services que développe la ville, selon
l’importance de sa base économique. Ainsi, aux abords des édifices de culte se
répartissent les marchés, les métiers et les résidences, d’une manière
spontanée à condition que leurs usages ne soient pas incompatibles avec les
principes de la religion musulmane.
1ere étape :
2ème étape :
n 1951 : dahir sur les expropriations.
n 1952 : dahir sur l'urbanisme.
n 1953 : dahir sur les lotissements et morcellements.
Un urbanisme fondateur :
Le Dahir du 16 avril 1914 relatif aux alignements, aux plans
d’aménagement et d’extension des villes:
Procédure d’alignement:
Elle permet dans les zones non pourvues de plans d’aménagement l’élargissement, le
redressement des voies existantes et l’ouverture de nouvelles voies.
Il est déclaré d’utilité publique et les autorités locales sont chargées de son exécution.
Un urbanisme fondateur :
Théorie de la séparation
Créer une cité moderne en dehors de la
cité musulmane, mais les rattacher l’une à
l’autre dans leur intérêt réciproque, par
de grandes artères
Trame urbaine
Créer des voies selon un aménagement
rationnel qui tient compte à la fois des
nécessités économiques, de la circulation
automobile, et de l’hygiène tout en
respectant les contraintes liées au site
(l’urbanisme culturaliste).
Zonage
Afin de diviser les villes en quartiers,
Prost a privilégié le principe du zoning
c.à.d. diviser la ville en zones et attribuer
à chacune un règlement qui détermine
l’usage, la destination, la hauteur, les
dimensions des constructions, et la
superficie à construire.
Urbanisme au Maroc
Cité
La cité Habous (Diour Jamaa) à Rabat
Créée entre 1917 et 1933
Urbanisme au Maroc
Des plans avec des tracés, des affectations et des aménagements qui
rappellent l’urbanisme de régulation d’Haussmann
Règlements sommaires
Urbanisme moderne:
Un urbanisme d’inspiration française « urbanisme importé » (depuis un siècle)
Bidonville de Tabriquet
DES SOLUTIONS POUR LES FAIBLES REVENUS : LES TRAMES SANITAIRES AMÉLIORÉES
De 1962 à 1965, on va construire 9.000 logements pour les faibles revenus, dans sept villes différentes, sous forme de lots de terrains de Détail d’un quartier
40 à 50
d’une unité vicinale
mètres carrés, comprenant la construction d’une pièce de 12 mètres carrés, une toilette et un point d’eau : ce sont les trames sanitaires améliorées
(TSA).35 source fonds Ecocha
Ces opérations sont envisagées avec pour objectif de résorber les bidonvilles. Mais ces tentatives seront vaines car ces bidonvilles ont un ture
tauxetdedu patrimoi
croissance de 7% supérieure à celui des villes qui est de 5% à l’époque. d’architecture du XXe
D’autres opérations appelées « trame sanitaire » proposeront des lots de 35 à 50 mètres carrés, sur lesquels seront montés des bidonvilles. Ces
quartiers bénéficient de fontaines (1 robinet pour 50 habitants en moyenne), de pylônes d’éclairage distants de 30 à 50 mètres et d’une voirie
rudimentaire. Des aires de stockage pour les ordures ménagères sont prévues de façon à ce qu’aucune baraque n’en soit éloignée de plus de 60
mètres de la suivante.36 Pour lutter contre les incendies, cette trame prévoit également des coupe-feu de 40 à 50 mètres de large toutes les 400
à 500 baraques, jalonnées de bouches d’incendie. La densité de ces quartiers est prévue de 400 à 500 habitants par hectare. Dans le courant des
années soixante-dix, les trames sanitaires améliorées vont connaitre des phases de durcification et ensuite de surélévation. Ces quartiers vont finir
par s’intégrer dans la structure urbaine.
• Affectation de l’espace;
Multiplication des agences urbaines et décentralisation des modalités de suivi et validation des DU
le nombre avoisine 50 SDAU et 1000 PA et PDAR
Une procédure longue d’homologation qui rend caduque les options de ces documents
Nombre de PA et SDAU homologués très limité par rapport au nombre total des documents
Sur les 14 SDAU lancés avant les années quatre vingt, un seul a été
homologué, celui de Casablanca. ( SDAU Kénitra, Safi, Oujda n’ont pas
été homologués)
Des 32 documents lancés depuis les années 90, seuls 13 ont été
homologués
Pour les PA, parmi les 700 documents lancés depuis la fin des années 80,
seule la moitié a été homologuée
28 mois 40 mois
Moins de 20% 15 % des équipements publics prévus ont été réalisés à Casablanca.
En nette augmentation
Offre
Suivi et gestion
Un urbanisme hésitant
2012 Ministère de l’Habitat, de l’Urbanisme
et de la politique de la ville
Ministère de l’Urbanisme et de la
2013 l’Aménagement du Territoire
Urbanisme au Maroc
Nécessite de l’encadrement de
l’urbanisation
Pratiques et Modes de
Compétences et gouvernance, de
méthodes de procédures de suivi
et de conduite partage des
conception des DU responsabilités, de la
concertation
PROCESSUS D’ÉLABORATION DES DOCUMENTS D’URBANISME
DÉFINITIONS
du périmètre urbain qui fixe les limites d’un centre délimité ou d’une
municipalité;
DÉFINITIONS
Les objectifs :
§ Fixer la destination générale des sols en déterminant la localisation :
ü des zones grevées de servitudes telles que les servitudes non
aedificandi et les servitudes de protection des ressources en eau ;
ü des sites naturels, historiques ou archéologiques à protéger et/ou
à mettre en valeur ;
ü Les grands équipements (le réseau principal de voirie, les installations
aéroportuaires, portuaires et ferroviaires, les principaux établissements
sanitaires, sportifs et d'enseignement);
Les objectifs :
COMPOSITION DU SDAU :
Le SDAU comprend :
- un rapport qui:
• justifie et explique le parti d’aménagement;
• Le comité peut faire appel à toute autre administration ou personne dont l’avis lui paraît
utile.
• Le comité central de suivi est présidé par le département ministériel chargé de
l’urbanisme.
SCHÉMA DIRECTEUR D’AMÉNAGEMENT URBAIN
• Le PV du CL doit parvenir au CCS dans un délai de 15 jours après la fin de ses travaux (Art. 6 du
Décret d’application);
• Prise de décision dans les 25 jours qui suivent la réception des documents du CL (Cir. 221).
SCHÉMA DIRECTEUR D’AMÉNAGEMENT URBAIN
• Après prise de décision par le CCS et avant son approbation le projet SDAU
est soumis à l’examen des conseils communaux;
• Les propositions émises par lesdits conseils sont étudiées par l’autorité
chargée de l’urbanisme (DU);
Une fois approuvé, le SDAU est opposable à l’administration, aux collectivités locales ainsi
qu’aux entreprises publiques. Leurs programmes d’activité ainsi que leur réalisation doivent
être conformes aux orientations du SDAU.
Les plans de zonage, les Plans d'aménagement et les Plans de développement des agglomérations
rurales (PDAR) doivent respecter les dispositions des SDAU. Leur fonction doit se limiter à
détailler, dans leur champ territorial d’application, les orientations du SDAU.
Les plans d’aménagement, les plans de zonage et les PDAR applicables à des territoires faisant
l’objet d’un SDAU peuvent continuer à produire leurs effets à condition que leurs dispositions
soient compatibles avec les options du SDAU.
Dans le cas contraire, un arrêté de mise à l’étude est pris un mois au maximum après la date
d’approbation dudit SDAU et qui définira les zones à doter de nouveaux plans d’aménagement.
SCHÉMA DIRECTEUR D’AMÉNAGEMENT URBAIN
lotissement ou de construction ne peut être autorisé s’il n’est pas compatible avec les
Cette disposition est très importante, puisqu’elle rend directement opposable le SDAU
aux particuliers
SCHÉMA DIRECTEUR D’AMÉNAGEMENT URBAIN
(Rabat-Salé)
Principaux objectifs :
• Maîtriser le développement urbain, en favorisant la construction de
logements et en freinant la spéculation foncière ;
• Organiser la défense des sites et paysages et des ressources
naturelles, en particulier les nappes phréatiques ;
• Améliorer la circulation et les transports.
SCHÉMA
SCHÉMADIRECTEUR
DIRECTEURD’AMÉNAGEMENT
D’AMÉNAGEMENTURBAIN
URBAIN
(Rabat-Salé)
Développement urbain, le SDAU préconise :
126
DYNAMIQUE SPATIALE
EXEMPLE DE SDAU
PLAN D’AMÉNAGEMENT
Introduction
• Les limites des espaces verts publics (boisements, parcs, jardins), des
terrains de jeux et des espaces libres divers tels que les espaces
destinés aux manifestations culturelles et folkloriques, à conserver, à
modifier ou à créer ;
Objet et contenu du plan d’aménagement :
Objet :
Objet :
Contenu :
D’autres des étapes en amont et en aval sont le produit d’une ingénierie administrative qui donne lieu à une
diversité de pratiques
Au niveau de la pratique
Préparation/initiation
Lancement/définition
Approbation et validation
Mise en œuvre
Une phase stratégique de définition des besoins , des objectifs et des attentes, de
clarification du dispositif de suivi et de pilotage, de mise en place de mesures
préparatoires, de prévoir et d’organiser le déroulement du processus
Objet
Elle englobe toutes les mesures préparatoires et préliminaires avant le lancement officiel
du document d’urbanisme
Objectif
Constat
une phase mal négociée et gérée, courte avec l’absence d’une réelle stratégie de
concertation
Qui est habilité à initier un PA ?
De par la législation
Le département de l’urbanisme ou l’administration avec la participation de la
commune concernée
Article 23
Le projet de plan d’aménagement est établi à l’initiative du département
chargé de l’urbanisme en participation avec les communes concernées, sous
réserve des attributions dévolues en la matière aux agences urbaines par la
législation en vigueur
- Collaboration?
- Implication/engagement ?
- Consultation?
- Participation obligatoire ou facultative?
Qui est habilité à initier un PA ?
Quelle soit effective ou facultative , la participation des collectivités locales est placée,
par la loi, en second plan.
La commune est rarement l’initiatrice de PA. C’est l’affaire des Agences Urbaines,
de l’administration. La gestion de l’espace est une affaire publique. (la
problématique de la décentralisation, de la gouvernance)
Il peut être renouvelé une seule fois pour une période d'égale durée;
De par la loi
Dans la pratique
Dans le projet de code de l’urbanisme on trouve des indications sur les formes de
concertation à engager avant le lancement effectif du document d’urbanisme
La commune/ concertation
Pour lancer le PLU une délibération du conseil municipal est obligatoire (art L
123-6). Cette délibération de prescription précise notamment les " modalités de
la concertation ".
La phase de prescription = la phase de préparation inclut un ensemble de dispositifs
Concertation institutionnelle consiste à réunir au sein de « groupes thématiques » sectoriels les grands
partenaires institutionnels publics et privés pour réfléchir aux enjeux d’urbanisme et à débattre des
orientations réglementaires
- Concertation locale qui sollicite les conseils de quartiers afin de recueillir leur avis ainsi que leurs
propositions concrétés d’aménagement.
L’évaluation environnementale
C’est une étude préalable sur les incidences que peut avoir le lancement du PA sur
l’environnement et les mesures à mettre en place pour les atténuer
PHASE DE LANCEMENT
PHASE DE LANCEMENT
Appel d’offres
du PA (CTL)
3 Stratégie de mise
œuvre
4 Introduction du projet PA et la
stratégie de mise en œuvre (CC).
2
• Modalités de paiement :
• Rapport méthodologique : 15 %;
• Plan d’Aménagement : 35 %;
• Expérience du BET;
• Expérience du BET (sur30 points): (ancienneté :10 points , référence :15 points
et matériels : 5 points);
Objet
Elle comporte toutes les études générales et thématiques à conduire sur le terrain ainsi
que les analyses prospectives pouvant déboucher sur des stratégies et les options
d’aménagement
Objectif
Ressortir les enjeux (atouts et contraintes) pour pouvoir identifier les pistes
d’aménagement
Constat
Des études sommaires ou descriptives, sans hiérarchisation des enjeux et des problématiques
avec des programmations non fondées conduisant à des orientations d’aménagement non
pertinentes
La phase de conception
L’ objectif n’est pas d’apporter une réponse précise à un problème donné ou à une problématique
particulière, mais de trouver la réponse la mieux adaptée à un ensemble de problèmes qui
interagissent entre eux.
La phase de conception
Un bon diagnostic doit être partagé, croisé et interactif avec les acteurs
Les acteurs locaux sont les meilleurs connaisseurs du terrain, il faut les impliquer, les
concerter, les mettre en discussion. Le BET doit susciter le débat et croiser les points de
vue.
Le diagnostic ne se fait pas dans les bureaux mais sur le terrain et en contact
permanent avec les divers acteurs locaux
Diagnostic pertinent
Diagnostic Participatif
Groupes thématiques
La mise en place des groupes thématiques « multi profils » animé par des consultants
animateurs sur divers thèmes du diagnostic s’inscrit également dans cette optique
§ Gestion communale.
Analyse des données:
• Combinaison et croisement des données cartographiques et
alphanumériques:
• Réalisation du POS;
PA 10 ans PA de 20 ans PA de PA
30 ans
fondateur consolidation confirmation d’épanouisse
ment
¢ Recenser tous les projets publics ou privés pouvant avoir une incidence sur
le développement de la ville et du territoire.
Composition du plan d’aménagement
Si les phases précédentes mettaient en œuvre principalement
l’esprit scientifique et philosophique de l’urbanisme, la composition
du PA réclamerait l’intuition et innovation.
L’urbaniste doit être un artiste cultivé.
n Comment réunir en une seule composition une multitude de
projets épars (extension d’un quartiers, construction d’un
hôpital, création d’une zone d’activités, construction des
routes, des ponts,… ?
Ecole primaire
Equipement d’enseignement Collège
Lycée
Maison de jeune
Equipement de jeunesse et de
Foyer féminin
sport
Terrains de sport
Moquée de quartier
Equipement religieux
Mosquée du vendredi
Grand Jardin
Espace vert et espace de jeux
Petit jardin
Four
Equipements commerciaux Hammam
Marché couvert
Poste de police de proximité
Equipement de sécurité
Arrondissement de police
Densité 200 logements à l’hectare
Seuil maximum
Distance ou Temps Surface Nbre de Taille des lotissements (superficie en ha) < ou = à 1 1< ou = à 5 5< ou = à 10 10<ou = à 20 20<<ou = à 50 > à 50
Critères de
de desserte minimale niveaux
Equipement programmation Seuil de population (hab.)
< ou = à
1000
< ou = à
5000
< ou = à
10.000
< ou = à
20.000
< ou = à
50.000
Plus de
50.000
Equipements
Ecole primaire 1,5 km 20 mn 8000 hab 4000 m² R+2
Petit jardin ● ● ● ● ● ●
Four ● ● ● ● ● ●
Collège 2,25 km 30 mn 16.000 hab 9000 m² R+3
Hammam ● ● ● ● ● ●
Lycée 2,25 km 30 mn 32.000 hab 10.000 m² R+3 Mosquée de quartier ● ● ● ● ● ●
Poste de police de proximité ο ● ● ● ● ●
Centre de Santé Ecole primaire ● ● ● ●
2 km 30 mn 30.000 500 m² R+1
Urbain Maison du service Public ● ●
Collège ● ● ● ●
1,5 à 2,25 20 à 30
Maison de jeune 20.000 600 m² R+2 Mosquée du vendredi ● ● ● ●
km mn Arrondissement de police ο ● ●
1,5 à 2,25 20 à 30 Lycée ● ● ●
Foyer féminin 20.000 600 m² R+2
km mn Maison de jeunes ο ● ● ●
Foyer féminin ο ● ● ●
Mosquée de
300 m 5 mn variable 200 m² R.D.C Terrain de sport ● ● ●
quartier Grand jardin public ou parc ● ● ●
Mosquée du Centre de santé ο ο ● ●
600 m 10 mn variable variable R.D.C
vendredi Marché couvert ● ●
● Equipement à programmer ο Programmation possible en fonction du site d’implantation
Poste de police de
1,5 km 20 mn variable 100 m² R.D.C Densité 100 logements à l’hectare
proximité
Four 750 m 10 mn 1000 100 m² RDC Taille des lotissements
(superficie en ha)
< ou = à 1 1< ou = à 5 5< ou = à 10 10< ou = à 20 20< ou = à 50 > à 50
Hammam 750 m 10 mn 1000 200 m² RDC < ou = à < ou = à < ou = à < ou = à < ou = à 25.000 à + de
Seuil de population (hab.)
+ de 30 500 2500 5000 10.000 25.000 50.000
Marché couvert +de 2,25km Variable Variable
mn Equipements
Petit jardin ● ● ● ● ●
+ de 30
Marché de plein air +de 2,25km Variable Variable Four ● ● ● ● ●
mn Hammam ● ● ● ● ●
Mosquée de quartier ● ● ● ● ●
Arrondissement de + de 30
+de 2,25km Variable 1000 m² R+2 Poste de police de proximité ● ● ● ● ●
police mn Ecole primaire ● ● ●
500 à 10 à 20 Maison du service Public ●
Terrain de sport 20.000 hab 2000 m²
1500m mn Collège ● ● ●
Mosquée du vendredi ο ● ● ●
Grand jardin public > à 750 m > à 10 mn Variable 6 ha Arrondissement de police ο ● ● ●
Lycée ● ●
300 à 700
Petit jardin public 10 mn 1000 hab 450 m² Maison de jeunes ο ● ●
m Foyer féminin ο ● ●
Maison de service 1,5 à 2,25 20 à Quartier/ Terrain de sport ● ●
600 m² R+1
public* km 30mm Arrondissement Grand jardin public ou parc ● ●
Centre de santé ο ● ●
Constat
Une programmation décalée par rapport à la réalité parce que basées sur des
projections démographiques non fondées
Un rapport justificatif
Un plan
Un règlement
le plan d'aménagement a pour objet de définir tout ou partie des éléments suivants:
zones fonctionnelles ( usage principal) : zone d'habitat, zone industrielle, zone commerciale, zone
touristique, zone maraîchère, zone agricole et zone forestière ;
Les zones ( non edificandi) dans lesquelles toute construction est interdite
Les emplacements réservés aux équipements publics ainsi que les bâtiments administratifs, les mosquées
et les cimetières
Les limites des espaces verts publics (boisements, parcs, jardins), des terrains de jeux et des espaces libres
divers à conserver, à modifier ou à créer ;
Les emplacements réservés aux équipements collectifs et installations d'intérêt général dont la réalisation
incombe au secteur privé
Les zones dont l'aménagement fait l'objet d'un régime juridique particulier.
Les limites des espaces destinés aux activités sportives à créer et les limites des mêmes espaces à
conserver ou à modifier ;
Les quartiers, monuments, sites historiques ou zones naturelles à protéger ou à mettre en valeur
La nomenclature des règlements d’aménagement
Variantes Identiques
D’autres indices pour préciser les équipements à créer, à agrandir, ( chiffre, lettre)
Éléments d’originalité de la loi 12-90
L’article 19
Zone ne faisant pas l’objet de règles d’utilisation bien spécifiques; Ces règles sont précisées
dans des dates plus ultérieures (RS).
Les zones dont l'aménagement fait l'objet d'un régime juridique particulier.
L’idée de proposer des zones flexibles où il est possible de prévoir des règles évolutives
possibilité de modifier , de dépasser le COS, changement partiel de l’affectation du sol, de
certaines servitudes avec le respect du cachet urbain et architectural
Règlements d’aménagement
Un texte opposable qui consiste à fixer des « servitudes d’utilisation des sols »
Il délimite sur l’ensemble du territoire communal des zones selon leur vocation et fixe un certain
nombre de règles qui leur sont applicables.
des règlements rigides identiques et non adaptés à la réalité du terrain et à l’évolution des contextes
marqués par des Zonings monofonctionnels ( entrainant étalement, forte mobilité, infrastructures viaires)
L’une des règles de base des règlements est le COS ( coefficient d’occupation du sol ) qui fait
l’objet de critiques divers ( fixation des densités, des formes urbaines, des surélévations, des
emprises, )
Exprimant rapport de la surface cumulée des planchers, comptée hors œuvre, à la surface de la
parcelle, soit par le rapport du volume des bâtiments à la surface de la parcelle. » , cette règle
impose des servitudes sur le gabarit des bâtiments, leur emprises définissant donc un plafond
maximum de densité ( incidences sur la programmation)
La nécessité d’assouplir le règlement
- Au niveau du zonage , se contenter de préciser les zones principales avec leur usage sans
rentrer dans les détails et dans leurs variantes secondaires; ( Immeuble type B sans B1, B2, etc)
- Au niveau du règlements, mentionner juste les règles d’utilisation principales (densité, hauteur,
COS, CUS) et ne pas inclure les règles souvent soulevées par les règlements de construction
Dans certaines expériences étrangères, les règlements ont un caractère :
-Incitatif avec l’octroi des avantages fiscaux ( contre la version prescriptive et normative)
-Souple et différencié selon la nature des zones avec trois types de secteurs:
Des mesures sont instituées par la législation pour permette la modification du règlement
- Possibilité de dépassement du COS dans certaines circonstances et pour certains projets spécifiques
Le code permet d’instituer par délibération un dépassement du volume constructible de 50% maximum
en faveur du logement social
La dérogation au règlement instituée depuis les années 70 a été abolie ( le non application du
règlement)
Le recours à la « règle alternative » ou « exception » constitue, une nouvelle technique
d’assouplissement du règlement
Elle consiste à prévoir, à côté d’une règle générale, une ou plusieurs règles subsidiaires ou alternatives
qui peuvent être privilégiées en fonction des circonstances
la régle des « Adaptations mineures » accorde des possibilités pour procéder à des adaptations
mineures justifiées par la nature du sol, la configuration des parcelles ou la structure
des constructions avoisinantes, en cas d’incidents naturels ou techniques non prévus initialement
PHASE DE VALIDATION
PHASE DE VALIDATION
L’instruction du projet de plan d’aménagement s'opère à travers les phases
réglementaires suivantes :
COMITE TECHNIQUE LOCAL
ENQUÊTE PUBLIQUE
DÉLIBÉRATION COMMUNALE
COMMISSION CENTRALE
Constat :
Wali ou Gouverneur n’est pas tenu par un délai réglementaire pour provoquer la réunion
du CTL (retard)
Services extérieurs : problème de compétence ou de désintéressement
Président de commune : surpris des options d’aménagement et agissements inattendus
Agence urbaine : réunions par secteurs en cas de problème
PHASE DE VALIDATION
Enquête publique (1 mois)
L’enquête publique est instituée par la loi. Elle a pour objet de permettre
au public de prendre connaissance du projet de PA et de formuler
d'éventuelles
observations.
Commune: après sa modification et sa signature par le Directeur, le PPA est transmis à la
commune pour l’ouverture de l’enquête publique (publication à huit jours d'intervalle dans
deux quotidiens, registre daté et numéroté, affichage);
Agence urbaine : participation de l’AU à l’opération de la publicité (journaux, organisation
des portes ouvertes de sensibilisation)
Clôture de l’enquête : après la clôture de l’enquête, les remarques émises peuvent être
examinées par le conseil dans ses délibérations en l’objet.
Agence urbaine : report de toutes les remarques sur le projet du plan d’aménagement.
Introduction à la Commission centrale qui tranche en ce qui concerne les remarques émises
NB :A compter de la date de la clôture de l’enquête publique, le projet de PA
devient applicable
PHASE DE VALIDATION
Commission centrale (CC)
Agence Urbaine et IRHUAE
• Veiller à l’insertion de toutes les corrections recommandées par la CC;
• Interdire toute modification sur le plan après la tenue de la CC;
Agence urbaine : Soumettre le dossier à la DU puis à l’homologation (SGG)
(dossier complet dont les plans 1/2000 et 1/5000)
PHASE DE MISE EN ŒUVRE
Phase de mise en œuvre des options d’aménagement du PA .
Objet
Elle comporte les actions et les dispositions à mettre en place pour permettre la mise en
œuvre du PA
Objectif
Permettre la bonne exécution des options d’aménagement dans le temps et dans l’espace
Constat
Mesures préconisées :
1°/- au niveau de la concertation préalable à toute étude d'aménagement, le concepteur sera chargé de
recueillir en particulier auprès de chaque administration des précisions quant au calendrier de
réalisations à entreprendre en priorité dans les 5 ans à venir, assorti dans toute la mesure du possible
de son estimation. Sur cette base sera établi un planning des opérations à réaliser avec le
programme de leur financement ;
3°/ - le plan d'aménagement une fois approuvé, le conseil communal devra suivre les différentes
étapes de sa réalisation pour cerner éventuellement les difficultés et proposer des solutions.
Responsabilité entière est dévolue au conseil communal
Les étapes
Mise en place d’un dispositif Définition de la programmation des L’exécution des actions
de programmation et de suivi actions de réalisation du PA
de mise en œuvre du PA
Le comité de mise en œuvre
Missions
Identification des priorités, précision des délais Établissement des programmes d’exécution,
Définition des modalités de mise en œuvre, procédures d'acquisition, Recherche des
financements nécessaires, Négociation avec les départements concernés, mise en places des
partenariats avec le secteur privé,
Le programme de mise en œuvre
montage de financement
Saisir les administrations concernées par les équipements publics prévus, en vue d'inscrire
dans leurs budgets respectifs les crédits nécessaires pour l'acquisition des terrains et de
procéder à la réalisation des constructions programmées avant l'expiration du délai légal.
Mise en place des arrêtés d’alignement
ART. 34 - Les arrêtés d'alignement valent déclaration d'utilité publique des opérations qu'ils
fixent. Ils produisent effet pendant une durée de dix ans. Cette durée est ramenée à deux ans
pour les arrêtés d'alignement emportant cessibilité.
Article29
Le plan d'aménagement peut également valoir acte de cessibilité des terrains nécessaires à la
réalisation des équipements. A cette fin il désigne les propriétés frappées de cessibilité en
mentionnant leur consistance, leur superficie et le nom des propriétaires présumés.
La gestion de l’exécution de la mise en œuvre
Par dérogation aux dispositions qui précèdent, les terrains réservés aux
affectations prévues (pour certains équipements), peuvent recevoir à titre
provisoire une destination autre que celle prévue par le plan d'aménagement,
après autorisation de la commune. Cette autorisation n'est délivrée que si l'affectation
provisoire ne compromet pas la réalisation de l'équipement prévu par le plan. Dans
tous les cas le propriétaire est tenu de remettre les lieux en état au moment de la
réalisation dudit équipement.
Le suivi est un processus continu de collecte systématique et d’analyse des données sur le
déroulement d’un processus , le progrès réalisés dans sa mise en œuvre, sur les objectifs atteints
et l'utilisation des ressources allouées
Management du processus ( axé sur les résultats) recouvre l'ensemble des tâches qui permettent
de conduire une opération quelconque à bonne fin
La phase de suivi du processus
Créer une véritable interface entre le PA (déroulement, contenu, options) et les acteurs de
la ville
Mettre en place une véritable stratégie de communication et d’animation autour du projet
La Participation
Partant du principe que le PA est une œuvre collective qui engage toutes les forces vives de
la ville
Dans la pratique
Consultation qui reste exclusivement « administrative » écartant les autres profils et acteurs de
la ville
Assurer la coordination entre les différents acteurs intervenants à travers la mise en place d’un
dispositif de concertation permettant l’implication de tous les partenaires dans le but
d’instaurer le compromis et le consensus
Ce n’est pas une véritable « mise en débat » autour de ses options, ses objectifs, sa mise en
œuvre
L’enquête publique
Repose préalablement sur le lancement « restreint » d’un avis dans quelques journaux!!
Le PA est « consulté » au siege de la commune pour une période restreinte d’un mois
( déplacement)
Participation
À l’étranger
Des dispositifs de concertation sont imposés tout au long du processus pour permettre
une plus implication des acteurs dans le circuit de mise en œuvre
Parmi les critères essentiels pour la sélection des BET, figure leur approche pour mener
et conduire des démarches participatives
Les différentes phases du processus sont jallonées par des moments de participation
Pour le PLU de Paris ( tous les parisiens ont récus un questionnaire sur le PLU par poste
( 120 000 personnes ont répondu)
Quelle définition recouvre la participation ?
c’est le processus par lequel les parties prenantes influencent et partagent le contrôle sur
les initiatives de développement, les décisions et les ressources qui les affectent
« c’est prendre activement part, contribuer, s’engager, s’adonner, s’impliquer », on y
distingue cinq niveaux de participation,
La Participation informative : qui est en réalité la sensibilisation, le transfert d’une partie ou la totalité
d’une information,
La Participation consultative : qui se réfère à une collecte de certaines données dont on a besoin
pour un processus donné, elle peut être précédée d’une sensibilisation ou pas,
La Participation collaborative : est le fait de s’informer mutuellement, de donner des informations à
l’autre et surtout de savoir ce qu’il pense, comment il s’organise pour éviter les chevauchements et des
freins sur le terrain, sans nécessairement lui demander son point de vue ou de l’impliquer dans le
processus,
La Participation d’action : qui consiste à impliquer l’autre dans la mise en œuvre, même s’il n’est pas
totalement informé du processus ni parfois de la finalité, il lui faut cependant un minimum
d’informations et d’adhésion
La Participation de décision : c’est le processus qui appelle l’implication des autres dans toutes les
phases, la conception, la mise en œuvre et le suivi du processus, elle suppose une maîtrise équilibrée de
l’information, une consultation permanente et une complémentarité dans le processus de prise de
décision.
Conduite de la participation
Ateliers de démarrage du PA
Ateliers de restitution du Diagnostic et son affinement
Attelers sur l’élaboration de la vision prospective
Ateliers sur les options d’aménagement
l’un des rôles majeurs du comite de suivi est de susciter l’intérêt de ces acteurs et les
amener à participer et à s’impliquer dans le processus
La phase de suivi du processus
Évaluation
Objet
Objectif
Comme tout projet à caractère stratégique, il doit être fondé sur une stratégie d’ évaluation
Elle n’est pas une tache supplémentaire qui va alourdir davantage le processus de mise en
œuvre du PA
Elle est une phase intégrante du processus qui doit se faire tout au long de la mise en œuvre du PA
Dans la pratique
L’expérience des études menées par le Ministère ( études d’évaluation de la phase de mise en
œuvre) mais SANS SUITE et SANS EFFETS sur les documents.
Introduction des pratiques d’évaluation mais sans préciser les formes et les modalités, de leur
conduite
Le projet de Code de l’urbanisme
Le Code français
Une évaluation antérieure et postérieure
Le PLU doit faire l'objet d'une évaluation sur les résultats de son application au regard de la
satisfaction des besoins en logements et de l'échéancier prévisionnel de l'ouverture à
l'urbanisation des zones à urbaniser et des équipements correspondants dans un délai de 6 ans
après son approbation.
L’exercice de l’évaluation doit
être
Permanent tout long du processus
Prévoir des moments de « pause » dans le processus pour faire des recadrages
Pertinence : réponses adaptées aux attentes exigées, compatibilité avec les spécificités
institutionnelles et socio économiques locales