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Où trouve-t-on de l’eau ?
C’est quoi le cycle de l’eau ?
Comment savoir si une substance contient de l’eau ?
L’eau couvre une grande partie de la surface de la Terre : 71% de la surface du globe est constituée par
la mer et les océans et 29% par les terres immergées. Seulement 3% de l’eau sur Terre est de l’eau douce
(78,4% provenant de glaciers et de la calotte polaire, 21,2% provenant des nappes souterraines et 0,4% des
fleuves et rivières). L’eau douce récupérable provenant des nappes et des cours d’eau est donc rare.
I. Où trouve-t-on de l’eau ? :
1. L’hydrosphère :
Les boissons et les aliments que nous consommons chaque jour nous apportent la quantité d’eau dont
nous avons besoin.
L’homme est constitué de 65 % d’eau en masse. Au cours de la journée l’homme transpire, urine et
respire, il élimine de son corps 2 litres par jour, c’est pour cela qu’il doit s’approvisionner en eau
« s’hydrater » pour ne pas mourir.
L’eau est une substance indispensable à la vie. c’est pour cette raison que lorsqu’on recherche la
présence de vie ou la possibilité de vivre sur une planète différente de la Terre, on recherche en priorité la
présence de l’eau.
L’eau est abondante sur Terre mais l’eau douce est peu abondante et peu accessible. On
trouve l’eau sur Terre sous 3 états : l’état liquide, l’état solide et l’état gazeux.
Depuis plus de 4 milliards d’années, la quantité d’eau présente sur Terre n’a pas varié, mais l’eau subit
sur notre planète une série de transformations. L’eau des mers, des océans… s’évapore et se mélange dans
l’air. Dans les régions froides de l’atmosphère, la vapeur d’eau obtenue se refroidit et se condense en
donnant des nuages. L’eau peut alors retomber sur terre sous forme de précipitations (pluie, neige…). Au
sol, les précipitations s’infiltrent dans la terre ou ruissellent à sa surface avant de retourner dans les mers ou
les océans. Tout recommence alors, il s’agit du cycle de l’eau.
La quantité d’eau s’évaporant est égale à la quantité d’eau précipitant sur Terre. On
parle de cycle de l’eau car il n’y a pas de perte globale, ces opérations se reproduisent à
l’identique éternellement.
Un solide : peut être saisi à la main, il possède une forme et un volume bien défini.
Un liquide : ne peut pas être saisi à la main, il ne possède pas de forme propre. Il prend la forme du
récipient dans lequel on le verse. Sa surface libre est plane et horizontale.
Un gaz : occupe tout l’espace qui lui est offert en changeant de forme et de volume. On ne peut pas le saisir
Expérience : Le sulfate de cuivre hydraté est une poudre de couleur bleue contenant de l’eau, afin de
pouvoir mettre en évidence la présence d’eau, nous allons tout
d’abord chauffer le sulfate de cuivre afin d’éliminer l’eau qu’il
contient (on le déshydrate).
Résultat :On remarque alors que le sulfate de cuivre anhydre
(ou déshydraté) est blanc.
On en déduit que le sulfate de cuivre anhydre bleuit au contact
de l’eau : il est alors hydraté.
Conclusion : On verse un peu de sulfate de cuivre anhydre sur le composé à analyser. Si le sulfate de cuivre
anhydre devient bleu alors le composé contient de l’eau.
Dans l’air, il y a-t-il de l’eau ? Si on laisse du sulfate de cuivre à l’air libre pendant
plusieurs heures,
Auteurson
: A.constate
BOUAMARAqu’ilA.ALILECHE
bleuit : l’air
pourcontient donc de l’eau.
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