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Année académique 2019-2020

Devoir de finance des entreprises

MADJINOU Sefera Anne


Rebecca
Professeur : M. Meyo

Année académique 2019-2020


Gordon et Shapiro
 Myron Jules Gordon née le 15 octobre 1920 aux États-Unis et mort le 5
juillet 2010 à Summit dans le New Jersey aux États-Unis était un
économiste américain. Il était professeur émérite de finance à la Rotman
School of Management de l'Université de Toronto.
 Eli Shapiro

Un modèle d'actualisation des actions particulièrement connu est celui de Gordon et


Shapiro, il porte le nom de ses auteurs et a été mis au point en 1956.

Ce modèle, dit aussi de "croissance perpétuelle", ne tient pas compte des plus-
values. En effet, il considère que lorsque le flux de dividendes est perpétuel (c'est à
dire qu'il tend vers l'infini), la plus value n'a pas d'incidence sur l'évaluation de
l'action.

Formule de Gordon et Shapiro : P0 = D / (Kc - g)

P0 = valeur théorique de l'action


D = dividende anticipé de la première période
Kc = Taux de rendement attendu pour l'actionnaire
g = Taux de croissance des dividendes

Le calcul de "g"

Pour déterminer le taux de croissance des dividendes, nous utiliserons deux


observations :

- les données historiques de l'action.


- les prévisions des analystes sur les futurs dividendes.
Franco Modigliani Miller
Franco Modigliani ) est né à Rome en 1918 et a émigré aux Etats-Unis en 1939 pour fuir la
persécution du régime fasciste., il est mort en 2003 à l’âge de 83 ans.

Il obtient son doctorat à la New School for Social Research de New York en 1944 et prend la
nationalité américaine en 1946. En 1948, il est nommé au département d'économie politique
de l'Université de Chicago et rejoint la prestigieuse Cowles Commission for Research in
Economics.

Président de l'American Economic Association en 1976, il reçoit le prix Nobel d’économie en


1985 pour ses travaux sur le comportement d'épargne des ménages et le théorème
Modigliani-Miller sur les marchés financiers.

Le théorème de Modigliani-Miller est un des théorèmes fondamentaux de la


finance d'entreprise moderne. Il affirme que, dans un monde sans taxes, exonéré de
coûts de transaction et sous l'hypothèse de l'efficience des marchés, la valeur de
l'actif économiquen'est pas affectée par le choix d'une structure de financement.

Supposons deux firmes A et B. Ces deux firmes diffèrent seulement dans leur
structure financière : A est financée à 100 % par ses actionnaires alors que B est
financée par ses actionnaires mais aussi par de la dette. Ces deux firmes ont en
outre le même revenu d'exploitation notée X.

Considérons maintenant deux stratégies d'investissements :

 Pour posséder 1 % de la compagnie A : je dois acheter 1 % des actions de A =
0,01.EAet je peux donc réclamer 1 % de la valeur des actifs de l'entreprise A = 0,01.VA
 Pour posséder 1 % de la compagnie B : je dois acheter 1 % des actions de B mais aussi
1 % de sa dette = 0,01.EB + 0,01.DB et je peux réclamer 1 % de la valeur des actifs de B =
0,01.VB

Quels sont les gains de ces stratégies ?

 Pour A : 0,01X


 Pour B : 0,01(X-rD) + 0,01rD = 0,01X où r = le taux de remboursement de la dette.
Pour expliciter, en tant qu'actionnaire je gagne 0,01(X-rD) car je dois rembourser à la banque
mais comme je détiens aussi 1 % de la dette je gagne 0,01rD.

Noter que les deux investissements ont les mêmes gains. Or cela veut dire qu'ils
doivent rapporter la même chose donc 0,01VA=0,01VBsinon il y a un risque d'arbitrage.
Ainsi la valeur de la firme est indépendante de la stratégie d'investissement. Cette
stratégie affecte seulement la façon dont la valeur de l'actif économique est partagée
entre les actionnaires et les détenteurs de la de
Harry Markowitz
Harry Max Markowitz de son nom complet est un économiste américain. C'est l'auteur du modèle
de « diversification efficiente » des portefeuilles d'actifs financiers. Il reçoit le prix de théorie John-
von-Neumann en 1989 et est lauréat du prix dit Nobel d'économie en 1990.
Date et lieu de naissance : 24 août 1927) Chicago, Illinois, États-Unis, encore vivant il a 93 ans.

Intuitivement, les investisseurs devraient exiger des rendements élevés pour détenir des actifs à
risque élevé.
Mais la rémunération du risque d'un actif dépend de la manière dont il est détenu...
Un portefeuille est constitué de plusieurs (N) actifs dont les taux de rentabilité sont considérés
comme des variables aléatoires Ri, dont les propriétés statistiques
sont connues (observations des séries passées).
Valeur d'un actif en t : Vi,t ⇒ Rentabilité arithmétique de l'actif :
Ri = V i 1− V i0/ Vi0

Espérance : E(Ri) = μi, → μi ≈ rentabilité moyenne


Variance: V(R)=σ , →σ ≈«risque»
Covariance : Cov(Ri, Rj) = σi j.= σj i.
Coefficient de corrélation : ρij = σi j/(σiσj)
E(Ri) = μi, → μi ≈ rentabilité moyenne 2
V(R)=σ , →σ ≈«risque» iii
Cov(Ri, Rj) = σi j.= σj i.

Valeur d'un portefeuille contenant ni actifs i, i = 1, ... N : V P , t=∑ ni. Vi


i=1 (valeur du portefeuille = somme des valeurs des actifs qui le composent)
Part de l'actif i dans le portefeuille :
Rentabilité arithmétique du portefeuille : RP= VP1- P0/Po=...=∑xi.Ri
xi=niVi,/VP,0
V−V N VP,0 i=1
La rentabilité arithmétique du portefeuille est égale à la moyenne des rentabilités arithmétiques des
actifs qui le composent, pondérée par leur poids.
NB : la rentabilité logarithmique du portefeuille n'est pas égale à la moyenn

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