Вы находитесь на странице: 1из 25

Groupe 7

Rhumatologie
4
La maladie rhumatoide (rheumatoid arthritis (RA) =polyarthrite rhumatoide(PR):
- son premier nom est PCE  polyarthrite chronique évolutif
- puis PR (RA)
- maintenant  la maladie rhumatoïde (car c'est une maladie systémique)

 A quoi est due cette maladie ?

o Elle est due à une atteinte de la synoviale qui est le point de depart de la maladie
rhumatoïde

o Inflammation de la membrane synoviale  arthrite avec une hyperactivation cellulaire


(c.à.d. le réticulum endoplasmique granuleux est en hyperactivité avec la synthèse des
protéines  atteinte inflammatoire)

!! on a une hyperactivité cellulaire à cause de l'hypersecretion de cytokines qui sont des


médiateurs intracellulaires

 Pourquoi j'ai une destruction (déformation) et hyperactivité ostéocalstique ?


 Car on a une hypertrophie des synoviocytes avec une formation de pannus qui est
considérée comme une pseudotumeur synoviale et qui est due à une hyperactivation
du VEGF (Vaso endothelium growth factor) qui est le point de départ de toute
pathologie tumoral)

pannus*=hypertophie villositaire synoviale  point de départ de la maladie 


hyperactivité entrainant la déformation .

 si L'atteinte de la synovial est traitée precocement  on préserve les déformations


et les destructions articulaires .

 si elle est mal traitée  le processus évolutif de la maladie entrainant cette


hyperactivité cellulaire avec une hypersécrétion cytokonique.

Hyperactivation cytologique  RE, ribosome (petit et grand segments) synthèse des


proteines (cytokines) + interférance d'une sous population lymphocytaire LTH 1 (profil
cytonique qui est pro-inflammatoire: IL-1, TNFalpha, IFN gamma et IL-6 qui est
polymorphe)

Donc si la synovial n'est pas traitée  destruction et déformation osseuse  le


processus évolutif atteint le cartilage  stade avancée au niveau des articulations

- regardez ici le processus évolutif osseux entrainant une demineralisation osseux cad
diminution des travées organique et non pas minérale  donc une hyperactivation
ostéoclastique due a une hypersecretion d'un mediateur qui appartient à la
superfamille du TNF alpha = RANKL

- on parle beaucoup d'une association thérapeutique du fond biologique c.à.d. traitée


par l'inhibiteur TNF alpha et IL-6, et on ajoute un anti-RANKL (Denosumab : Prolia )
pour l'aspect évolutif osseux.
 Auparavant, on faisait :

- la synovectomie chirurgicale en cas de pannus synoviale mais malheureusement


même si on l’enlève, le processus est là et il va reproliférer

- Ou la synoviorthèse: c’est une synovectomie médicale dans les années 80. On faisait
une injection d’acide osmique (produit chimique) en intraarticulaire ou d’un produit
radioactif: Technétium ou yttrium
Actuellement, on ne fait plus ça car on ne doit plus arriver à ce stade de pannus
synoviale d’où l’importance d’un diagnostique précoce (early diagnosis  early
treatment)

 Les stades où je dois diagnostiquer précocement cette maladie :

1- Oligoarthrite:
Atteinte d’1 ou 2 petites articulations, distales, périphérique: Metacarpo-Phalangienne
.(MP) ou Inter-phalangienne Proximale (IPP)

- C’est un stade de début avec un oligoarhtrite, un œdème au niveau du dos de la


main et une atteinte de MP ou IPP  c’est à ce stade où il faut diagnostiquer avant
l’installation de la maladie dans un but préventif.
- Et surtout elle est une atteinte articulaire et symétrique. Ici, l’autre main est
normale, mais avec le temps et en absence du traitement peut atteindre les 2 mains.
 Donc ce sont des atteintes distales, périphériques et symétriques (á l’opposé de
spondylarthrite qui est atteinte inflammatoire axiale, de bas en haut, rachis
dorsal et lombaire rarement cervicale)

la polyarthrite est une atteinte synoviale= douleur inflammatoire = atteinte topographique et il


faut insister sur les cliniques surtout les atteintes
. topographiques qui sont très importantes

2- Ténosynovite:
 une atteinte de tendon
périphérique

 La Polyarthrite rhumatoide
toujours se débute au niveau de
la main, pour cela la majorité des auteurs dit que les 2 mains sont la miroir de la
rhumatisme mais n’empêche pas que les articulations distales peuvent être
localiser du pieds.

 La différence entre une goutte et une ténosynovite:

o La goutte: c’est metatarso-phalengienne , en avant.


o La ténosynovite: elle se localise en arrière

 Elle peut entrainer aussi un hallux-valgus: c’est une rigidité au niveau du 1er
rayon qui doit être différencier de hallux- valgus dégénératifs (mécaniques) qui
sont des prototypes contraires des maladies inflammatoires.
 Une ténosynovite au niveau des chevilles peut aussi laisser penser à une maladie
rhumatoide.

3- Monoarthrite :
 Devant chaque patient ayant de douleur au niveau des épaules ou genoux  il
faut éliminer un polyarthrite rhumatoide.

 En cas d’hydarthrose:
IL faut ponctionner articulation et doser le taux du complément à l’intérieur de
liquide synoviale. Si on a un effondrement de C3-C4  polyarthrite rhumatoïde
(due á une hyperconsommation au point local)
(Par contre dans la maladie lupique: C3-C4 diminue dans le sang mais reste
normal dans le liquide synoviale)
 Actuellement, le dépistage se fait par auto-anticorps ACPA : Ac Anti-
CCP(citrulline cyclic peptide)

4- Syndrome de Raynaud :
:C’est une vasoconstriction des vaisseaux périphériques entrainant les 3 phases
1- Cyanose (bleu) .
2- Paleur .
3- Hyperemique ou rougeâtre .

Un syndrome de Raynaud peut être :

- dangeureux
- comme il peut être banal;
o Froid ,
o Femmes ménagères qui utilisent l’eau froide ,
o Quand on monte en altitudes élevées ...

Mais il faut s’inquiéter devant un syndrome de Raynaud quand il y a bilatéralité et surtout


.signes accompagnateurs
 Syndrome de Raynaud:

 N.B.: Il faut toujours être comparatif; même si le malade se plaint d’une seule main, il faut
toujours:

,en rhumatologie faire des radios des deux côtés pour comparer les deux côtés -
étudier toutes les rangées métacarpo-phalangiennes MP, inter-phalangiennes proximales -
…IPP
 Amyotrophie des muscles interosseux:
.Une amyotrophie signifie des dépressions secondaires à une inflammatoire

 Donc syndrome de Raynaud, oligoarthrite, monoarthrite, ténosynovite…


Dans de très rares cas, une maladie rhumatoïde peut débuter par une manifestation
…extra-articulaire surtout une atteinte pulmonaire, rénale

 Radiologiquememt, est- ce qu’on peut poser le diagnostic précoce d’une maladie


rhumatoïde dans les radios standards?
 Non, car il y a un retard radiologique.

 Il faut savoir répéter les radios; si c’est nécessaire de faire rapidement le diagnostic, je
le ferai par:
.des ultrasons qui montrent un épanchement intra-articulaire -
et par un IRM des articulations périphériques “IRM Dédier” c-à-d pas grand, qui sont -
.d’une marche de Tesla <1.5 ou 3 Tesla

 Qu’est-ce qui montre les IRM à un stade précoce?


 Un œdème intra-osseux qui peut révéler une maladie rhumatoide.

 Si jamais je fais une radio à un stade moyen (pas précoce et pas tardif), qu’est-ce que j’aurai
dans les radios?
 Des géodes qui sont vus toujours dans toutes les atteintes inflammatoires vues en
radiologie. Ces sont des trous à l’intérieur de l’os, reflètent une déminéralisation osseuse.

N.B.: Un bon rhumatologue doit être un bon radiologue; il faut que le rhumatologue voit lui-
.même les radios pour poser le diagnostic
Ceci est très important pour spécifier les microgéodes qui peuvent être à un stade
.relativement précoce avec les érosions
.Une érosion: c’est quand la géode s’éclate avec une rupture de la corticale
 Quelles sont les autres signes inflammatoires radiologiques toujours présents dans toutes
les rhumatismes inflammatoires chroniques?
- Pincement de l’interligne,
- Ostéocondensation de part et d’autre,
- Absence d’ostéophytes; or un ostéophyte est un signe radiologique pathognomonique
de l’arthrose,
- La présence des érosions et des microgéodes.

Dans beaucoup de temps, à un stade avancé, il y aura un cumul de plusieurs microgéodes


.entraînant des macrogéodes

 Pincement de l’interligne: c’est un interspace étroit, toujours avec une ostéocondensation


de part et d’autre.

.”N.B.: Si il y a une arthrose, il y aura une excroissance osseuse appelée “ostéophyte


 DONC:
- Ostéophyte = excroissance osseuse = arthrose = atteinte du cartilage, direction
horizontale.
.L’ostéophytose est présente seulement dans le cas d’une arthrose
- Syndesmophyte = calcification sous-ligamentaire, direction verticale.
.La syndesmophytose est présente seulement dans le cas d’une spondylarthrite
- l'érosion : c'est quand les géodes s'éclattent avec la rupture de la corticale .
 Les signes inflamatoires radiologiques présents dans tous les rhumatismes inflamatoires
chroniques:

1. Pincement de l'interligne .
2. Ostéocondensation de part et d’autre de l'articulation .
3. Absence d'ostéophytes (signes pathognomoniques de l'arthrose) .
4. Présence d'érosion et de microgéodes .
5. Tuméfaction des parties molles .

 En stade plus avancé, on trouve un cumule de plusieurs microgéodes entraînant des


macrogéodes

 Toujours en rumathologie, il faut être bilatéral .

On peut voir le Pincement de


l'interligne: l’interspace coxo-
fémorale s'étroissit
On a une ostéocondensation
Si on a de plus une arthrose, on
peut voir des excroissances
.osseuses:ostéophytes
Un Bon rhumatologue doit être
un Bon radiologue. Il faut bien
différentier entre les Ostéophytes
et les Syndesmophytoses
a) Ostéophyte: c’est une excroissance osseuse  arthrose (seulement)  atteinte du
cartilage; Elle se progresse horizontalement .
b) Syndesmophytose: c’est une calcification sous-ligamentaire qui va en haut et
verticalement; Elle se trouve seulement dans une spondylarthrite .
Ce sont des questions très importantes; à bien différentier entre signes radiologiques
. inflamatoires et dégénératives

 Donc sur un radio, on peut voir des érosions, des microgéodes, une raréfaction de la trame
organique osseuse.
.Au fort grossissement, quand Elle érode la cortical, Elle s’ouvre à l'exterieur
 Tout ceci signifie une hyperactivité ostéoclastique, une hyperactivité
macrophagique, entraînant une destruction osseuse massive .

 C’est pour cela, le traitement actuel est une combo-thérapie biologique, càd association
entre:
1. Inhibiteurs du TNF et de l'IL6 ou action sur les lymphocyte T
Anti-Rankle “Dénosumab”, malgré que c’est une maladie articulaire, et le Dénosumab était
. donné seulement pour l’ostéoporose

Syndrome de Raynaud; 3 stades


1. Vasoconstriction.
2. Cyanose.
3. Vasodilation entraînant une rougeur.
Il ne faut pas toujours s’inquiéter car ces signes peuvent être banales, bien sûr avant il faut
éliminer toutes autres causes secondaires
 Une inflammation un niveau de l’interphalangienne proximale
 Jamais une atteinte interphalangienne distale dans la polyarthrite rhumatoïde (c’est
seulement dans le rhumatisme psoriasique)
 Atteinte symétrique avec le temps (Si pas traitement immédiat)

 Avant, on traitait avec le Conventional DMARDS, mais actuellement il faut directement


diriger ces patients vers le traitement par inhibition des cytokines ou des signalisations
cellulaires

 Comme on a dit avant, La P.A.R est un rhumatisme qui touche le plus les femmes pré-
ménopausiques, mais cela ne signifie pas qu’on n'a pas des P.A.R chez les hommes ou les
enfants

 MODE DE DÉBUT DE LA P.A.R CHEZ LES VIEILLARDS


Peut être différent que le conventionel, càd peut être Rhizomélique: atteinte des ceintures et
.plus spécifiquement au niveau des épaules
 chez l’enfant la maladie rhumatoïde est nommée : Arthrite Juvénile Idiopathique.
:Cette maladie peut débuter selon trois manifestations
 Maladie de Still (la plus fréquente). (type 1 )
Les manifestations générales prédominent sur les manifestations articulaires (fièvre,
rash …).
 Oligoarticulaire. (type 2)
Une oligoarthrite peut se compliquée avec une iridocyclite (atteinte oculaire antérieure)
et ça va guider vers une spondylarthrite ankylosante.
 PR de l’adulte. (type 3)

Type 2 : dans l'arthrite juvénile idiopathique qui rentre dans le cadre des maladies.
rhumatoïdes car ce n'est pas une seule maladie, c'est des phénotypes en relation.
avec une altération environnementale, génétique (HLA-DR4) et altération
épigénétique c.à.d. l'évolution génétique. C'est très important de savoir les gènes qui
.prédisposent à la maladie rhumatoïde qui sont HLA-DR4
 Actuellement on a beaucoup plus d'autres gènes (comme on va voir dans l'ankylosing
spondylarthritis) qui prédisposent la maladie rhumatoïde.
 Ce type 2 évolue vers une atteinte oculaire iridocyclite, plus atteinte du rachis et peut
évoluer vers une spondylarthrite ankylosante.

Type 3 de l'arthrite juvénile idiopathique (avant on l'appelait arthrite chronique juvénile) -


.est du même type que la polyarthrite rhumatoïde
Le seul diagnostique différentiel qu'on va voir: quand j'ai une atteinte rhizomélique, il faut.-
faire un diagnostique différentiel avec la pseudopolyarthrite rhizomélique (qui est très
fréquent chez le vieillards) Polymyalgia rheumatica, où les malades se plaintes d'une asthénie,
.d'une altération , impotance fontionnelle
Et devant cette polymyalgia rheumatica, cette pseudopolyarthrite rhizomélique, il faut éliminer
:2 grandes causes
1. Un cancer profond, c'est pour cela la pseudopolyarthrite est considérée parmi les
syndromes paranéoplasiques.

2. Il faut éliminer une maladie de Horton, une artérite temporale.

Aussi chez le vieillards comme chez les jeunes, une hydarthrose peut faire penser à une -
polyarthrite rhumatoïde. Il faut savoir convaincre le malade de ponctionner cette articulation et
.d'examiner le liquide articulaire
 Voilà le pannus synovial, autre fois on ouvrait les malades et on faisait une
synovectomie chirurgicale. Le pannus est comme une pseudotumeur et comme on a vu
dans les premiers slides c'est l'hypertrophie des villosités synoviales entrainant le
pannus synoviale. C'est le point de départ, il commence à détruire l’os et le cartilage
entrainant une destruction articulaire. Donc il faut agir à un stade précoce.

 Je récapitule: Voilà le stigmate anatomo-pathologique, c'est l'atteinte de la synoviale:


que se passe t-il à ce niveau? Une Hyperprolifération synoviocytaire cad une
hyperactivation cellulaire entrainant une hypersécrétion cytokinique et voilà le RA test
(on n'avait pas d'autres procédés diagnostiques).

.C'est quoi le RA test? C'est le premier anticorps décrit: IgM dirigé contre les IgG -1
Il faut toujours avoir dans l'esprit la douleur inflammatoire, toujours questionner le-2
.malade si la douleur le réveille la nuit (douleur nocturne) et il se réveil le matin rigide
Ces 2 caractéristiques cliniques doivent inquiéter le médecin. Ca peut être une activité
.inflammatoire ou infectieuse. Donc il faut réagir au moment important

 Voilà le pannus localisé au niveau des os de la main avec ce bouquet d'inflammations


localisé au niveau des métacarpo - phalangiennes. Et ici un début au niveau de
l'interphalangienne proximale du 4ème rayon. Ici c'est un stade un peu avancé.

 Je commence à avoir des altérations osseuses. Regarder l'architecture osseuse localisée


au niveau de 2ème rayon avec les Macrogéodes : qui sont la convergence de plusieurs
microgéodes. Et après les macrogéodes, ils peuvent altérer la corticale et entrainer une
érosion.
.Ici je ne vois plus l'espace intraarticulaire comme ici dans le premier rayon
 Ça c'est un os sésamoïde, c'est très normal. Il existe au niveau du 1er rayon. Regarder
l'espace interosseux, l'erosion, les microgéodes.

 Toujours les radios doivent être comparatifs . Les radios des mais prennent beaucoup
de temps à vérifier car il faut regarder rayon par rayon et comparer avec l’autre main et
il existe plusieurs scores pour savoir le stade et l’évolution du malade.

 Il faut différencier entre Ténosynovite du gros orteil et la goutte . la goutte est en


amont alors que la ténosynovite est en aval aval.

 Il faut penser a une maladie de PR devant une monoarthrite .

 Il faut envoyer le liquide synoviale au laboratoire après épanchement de l’articulation


pour l’examiner .
 Ténosynovite au niveau du cheville achilienne nodulaire

Faire ténosynovectomie préventive même si il n y a pas de symptômes car il risque de faire une
.rupture du tendon d’Achille

 Atteinte cutanée fréquente en pédiatrie

 Atteinte localisée au niveau interphalagienne sans aucune atteinte


metacarpophalangienne
 La rougeur et la douleur de type inflammatoire  arthrite

Les 3 stades du syndrome de Raynaud : jaunâtre = pâleur , Cyanotique = vasoconstriction ,


Rougeâtre = hyperthermique
.Rarement on voit les 3 symptômes chez le même patient
 Devant un syndrome de Raynaud il faut éliminer le lupus et la sclérodermie
premièrement puis une polyarthrite rhumatoïde .

 PR n’a pas un seul phénotype elle est hétérogène a cause des facteurs génétiques,
environnementaux ...
 Dysbiose = déséquilibre dans la microbiote intestinale qui peuvent être a la base du
rhumatisme inflammatoire chronique .

 Ténosynovite au niveau des extenseurs au niveau du dos de la main

?Comment on faisait le diagnostique des maladies rhumatoïdes •


Il y a un seul procédé qui est : le facteur rhumatoïde, qui est recherché par deux
méthodes. La première méthode le RA test c'est l'immuno-diffusion et le deuxième est
le Waaler-rose. Quand vous voyez sur les tests de sang : RA test ou Waaler-rose , les
deux ont le même principe , c'est le facteur rhumatoïde. Les américains ne dépendent
.pas sur le Waaler-rose alors que les européens dépendent
.Waaler-rose est le nom de 2 auteurs qui ont dépisté cette méthode -
.Le taux de positivité de waaler rose est >1/64, tandis que le RA test est >1/80-
Beaucoup des laboratoires écrivent RA test:++, valerose:+++ ou – , c'est interdit de faire ça ; il -
faut être quantitatif, parce que le malade doit être suivit sur un bon dossier médicale qui
.dépend sur les chiffres
?C'est quoi le facteur rhumatoïde-
C'est le premier anticorps : IgM dirigé contre
.les IgG

il ne faut jamais arriver à ce stade de -


déformation articulaire qui peut entrainer une
impotence articulaire majeure. EARLY DIAGNOSIS EARLY TREATMENT. A ce stade on peut rien
.faire même chirurgicalement
?Est ce que ces 2 mains peuvent calquer vers une polyarthrite rhumatoïde -
Ce sont des mains déformatrices destructrices mais il y a des lésions erythemato squameuse
unguéale psoriasiques. Donc dans une déformation et destruction articulaire périphérique
distale il faut éliminer un rhumatisme psoriasique. Les atteintes des ongles dans le psoriasis
peuvent se compliquer d'une atteinte articulaire plus que l'atteinte dermatologique. La
.difficulté de faire le diagnostique est quand il n'y a pas une lésion de psoriasis apparente

Regardez aussi cette ténosynovite très accentuée: -


.ténosynovite bulleuse, traité chirurgicalement

pouce en Z: non chaque pouce en z est une -


polyarthrite, elle peut aussi être existée dans l'atteinte
.dégénérative

La déviation cubitale (ulnar deviation): une -


déformation typique d'une polyarthrite rhumatoïde, ne
.peut exister que dans la polyarthrite rhumatoïde
Syndrome de Jaccoud: peut être secondaire a un -
rhumatisme articulaire aigu ou a une maladie lupique,
peut faire une déviation cubitale mais dans la
polyarthrite rhumatoïde le patient ne peut redresser sa
main (irréversible), dans le syndrome de Jaccoud il peut
. la redresser (réversible)
Cause de cette déviation: perturbation micro-architecturale des tendons localisés au niveau -
.des os de carpe et de la main
 Regardez l’atrophie des muscles
interosseux et l’œdème des
articulations métacarpo-
phalangiennes et le début du pouce
en Z .

 REMARQUE ASSEZ IMPORTANTE !!!!: le nerf médian qui passe à proximité du pouce


dans le canal carpien peut subir une atteinte et causer un syndrome du canal carpien
(fourniment des 3 premiers doigts ) en cas d’une polyarthrite avancée

 Note très importante : attention l’attitude vicieuse et les œdèmes


dans les membres inférieurs le patient ne peut plus redresser
ses jambes , on voit une flexion des hanches et des genoux et il
ne peut plus marcher .

 on utilise les orthèses (l’appareil qui redresse les articulations) ou


bien on fait une chirurgie.
 Comme en diabète ces patients risquent d’avoir des infections
cause d’immunosuppression .
 Regardez ici : la déformation de l’hallux valgus et ici je ne voix plus l’architecture des os
et tuméfaction des parties molles et pincement des interlignes micro-géodes , géodes et
érosions

 Regardez : une atteinte modérée de polyarthrite. Atteinte des ipp bilatérale impotence
fonctionnel relative .

 Regardez : ce nodule est caractéristiques d’une polyarthrite. Mais il ne peut exister que
chez 1/3 des cas il ne faut pas enlever ces nodule car elles réapparaissent il faut les
laisser .
 Note à lire : il y a un système de précision qui mesure le statut des articulations appelé
le DAS utiliser pour le follow up des cas
 Voilà des déformations digitales typiques :

 Doigt en Z et amyotrophie des muscles mais en plus dans ce schéma doigts en col de
signe (ra2bet el na3ame) : hyperflexion en ipd et hyperextension en ipp touche le plus
2eme et 3eme rayons mais peut toucher les autres . Le contraire des doigts en col de
signe sont les doigts en maillet peuvent être présents dans des cas de PR .
 Question : comment ipd est touche dans la polyarthrite ?
. Réponse : ce n’est pas une atteinte articulaire mais rupture tendineuse
 Ça c’est une arthropathie de l’avant-pied secondaire a une hyper uricémie, c’est
une arthropathie goutteuse. J’ai pu savoir car j’ai un éclatement des tophus
comme les craies ( (‫طبشور‬
.Les tophus sont des cristaux d’acide urique localisés dans la peau

? Quels sont les sites de localisation des cristaux d’acide urique


- Le rein
- Les articulations
- La peau

 Ici ces tophus sont maltraités avec une altération articulaire distale, donc le diagnostic
différentiel d’une arthropathie destructive doit être fait. J’ai une hyper uricémie et des
signes radiologiques caractéristiques qu’on verra plus tard dans le chapitre de goutte.
 Jadis, on ne faisait rien, à peine on faisait le diagnostic avec les procédés de diagnostic
qui étaient encore très faibles.
 C’est ce qu’on appelle une déformation caractéristique d’une main en marionnette 
Impotence fonctionnelle majeure. Le malade ne peut plus utiliser cette main, c’est une
amalgame d’os assez fusionné qui n’a rien avoir avec la pathologie architecturale.

.NB : La chirurgie de rhumatisme est une chirurgie spéciale


.L’orthopédie = chirurgie traumatique
Or il existe des centres en Europe et en Amérique où certains orthopédistes ne font que des
.chirurgies de rhumatisme. Car si une chirurgie est mal faite « bto3tob » el marid aktar

 Il faut savoir orienter les malades vers les milieux chirurgicales.


Il existe des centres de sous-spécialité chirurgicale où les chirurgiens ne font que la main
rhumatoïde par ex… d’autres ne fait que le pied rhumatoïde, même actuellement il y a de
chirurgiens qui ne font que l’avant-pied, ou le medio-pied ou l’arrière-pied. Ce sont des
.centreshyperspécialisés

 La chirurgie rhumatoïde est une chirurgie très délicate où on peut faire :


- Chirurgie préventive
- Chirurgie de construction (prothétique)

 Donc ce n’est pas une chirurgie banale, ce n’est pas la traumatologie, c’est une chirurgie
assez spécialisé surtout à Paris et dans l’Europe du Nord, on a des centres
hyperspécialisés de cette chirurgie.
 Donc il faut savoir bien référer le malade en chirurgie surtout dans les stades avancés
car le rhumato est très actif à un stade précoce, où il peut être traité.
 L’entretien sera fait à un stade précoce par une réduction fonctionnelle.
.A un stade avancé ça sera la chirurgie

: Un bon service rhumatologique doit avoir


- Des consultations médico-chirurgicales où le rhumato et l’orthopédiste doivent être en
permanence ensemble
- Un staff de rééducation
- Et surtout une étude psychanalytique psychologique. Parce que la majorité des
malades atteints de rhumatisme inflammatoire chronique peuvent altérer leur
psychisme avec une dépression, parce que c’est une maladie qui peut être induire une
impotence fonctionnelle entrainant une dépression. (même des suicides dans des cas
rares)

 Voilà la ténosynovite nodulaire assez caractéristique où on doit référer le malade au


milieu chirurgical.
 Toujours à chaque fois que j’ai une atteinte articulaire distale périphérique même axiale,
je dois éliminer un psoriasis.
 Les lésions erythemato-squameuses sont localisés dans les plis inter fessiers, dans les
faces d’extensions et au niveau du cuir chevelu.

 Il faut savoir les rechercher, même si le malade ne se plaint de rien, pour poser le
diagnostic, car le traitement du psoriasis si il y a atteinte périphérique ou axiale diffère.
 C’est pour cela c’est très indispensable de suivre les lésions dermatologiques.
Toute atteinte inguinale psoriasique peut être en faveur d’une atteinte articulaire très avancée
.et très destructrice

Je reinciste sur les attitudes vicieuses et l’introduction des appareillages de repos (présente au
niveau du poignet a la flexion) car pendant la nuit, le malade est endormi, il peut avoir des
positions en attitude vicieuse entrainant l’augmentation de cette destruction articulaire et
.cette impotence fonctionnelle

Phlébites : œdème des mollets


C’est un diagnostic très important parce qu’il faut immédiatement traiter le malade atteint
de phlébites par des anti-thrombotiques pour ne pas entrainer des embolies pulmonaires
qui peuvent être mortelles

Et on doit demander au malade s'il ya une polyarthrite rhumatoïde parce que le •


diagnostic différentiel du kyste de Baker (un kyste poplité postérieur) est un diagnostic
différentiel avec une phlébite alors s'il y a un kyste de Baker avec polyarthrite
rhumatoïde il ne faut jamais anticoaguler le malade. Il faut demander une
arthrographie du genou . En cas de kyste de Baker il y a sortie du liquide opaque au
niveau du mollet entrainant cette inflammation entrainant unœdème qui peut être un
diagnostic différentiel tres confondu avec le phlebite.C'est pourquoi le kyste de Baker
est un diagnostic d'élimination devant tout phlébite un kyste poplité postérieur est très
important à éliminer

Ici c'est l’hallux valgus, un des caractéristiques •


des polyarthrites rhumatoïdes, mais il faut
savoir penser aussi à un hallux valgus
.dégénératif
Une polyarthrite rhumatoïde peut se compliquer de. -.
durillon Entrainant des pieds très fragiles du l'intérêt
.des conseils de chaussage

Col de signe: un des aspects •


.caractéristiques des mains rhumatoïdes
Quintus Varus: 5eme orteil se met sur un plan •
.inferieur aux autres orteils
Les durillons se forment dans les polyarthrites•
rhumatoïdes car les capitants plantaires
(profondeurs des tissus sous cutanées entre l'os et
la peau) sera diminuer beaucoup à cause de
.l'inflammation

Coxite : inflammation coxopulmonale


• Aux pays développes on permet au malade de choisir le model des chaussures avec la nature
de cuire (chaussage sur mesure) et la sécurité sociale paie .

Вам также может понравиться