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DEDICACE

A ma famille,

Vous êtes ma seule motivation.

I
REMERCIEMENTS

Nous aimerions dire merci. Merci est bien un modeste mot, mais il ne sort de la
bouche que sous l’effet d’une action qui inspire de la gratitude. Cette
gratitude, nous voudrions l’exprimer à tous ceux qui, d’une façon singulière ou
plurielle dans l’anonymat ou à visage découvert, nous ont fait siens leur
concours, leur assistance pour la production du présent rapport. Nous aimerions
témoigner cette gratitude particulièrement :
Au personnel de notre structure de formation :

 Docteur KOFFI N’Guessan, Directeur de l’INP-HB ;


 Docteur BAKAYOKO Losseyni, Directeur de l’ESCAE, école au sein
de laquelle nous avons effectué nos études et pour la formation
qualifiante que nous avons reçue dont ils en ont été la courroie de
transmission.

 Le corps professoral de l’INP-HB, pour cette noble tâche qu’ils ont


bien voulu assumer. Qu’ils veuillent bien accepter cette reconnaissance
de notre part pour les efforts incessants fournis afin de faire reculer les
barrières de notre ignorance intellectuelle.
Au personnel de notre structure d’accueil :

 Monsieur Yayo Guy Serge, chef comptable, tuteur de stage et ex élève


en ECS pour sa parfaite disponibilité, son accueil chaleureux et ses
informations utiles;
 Madame Kanga Cynthia épouse Agah notre maitre de stage pour sa très
grande collaboration, disponibilité et assistance :

 Madame AKA AKABLA Antoinette, comptable chargée des stocks ;


 Madame, Mambo Christelle comptable chargée de la gestion et de
l’enregistrement des charges des charges;
 Monsieur Fabien Gbéfou, comptable chargé des clients et ex DUT
finance comptabilité de l’INPHB ;
 Monsieur Traoré Zoumana et monsieur Kouakou Roger, trésorier ;

A tout le personnel de Laborex CI pour sa sympathie à notre égard.

II
AVANT PROPOS

Les changements historiques, politiques et économiques de ces dernières


décennies ont provoqué une évolution profonde des habitudes de gestion des
entreprises. En effet, le système capitaliste devenant de plus en plus
prépondérant au niveau mondial, on assiste au sein de chaque entreprise à une
réorganisation stratégique de tout le système de fonctionnement afin d’atteindre
l’objectif numéro 1 : la maximisation du profit.
En outre, le phénomène sinon, le plus important de ce nouveau millénaire à
tout le moins, celui d’actualité : la MONDIALISATION, impulse la création
non plus de petites entreprises mais de firmes et de consortiums qui sont
aujourd’hui les arbitres du jeu économique.
Par conséquent, ce nouvel environnement systémique et fortement
concurrentiel requière une élite cadre, compétente et dynamique qui n’aura que
pour stricte fonction de permettre à son entreprise de relever le défi actuel et de
participer de plein pied à l’essor économique de sa nation. Ce sont ces objectifs
qui valurent à L’INSTITUT NATIONAL POLYTECHNIQUE FELIX
HOUPHOUET BOIGNY (INPHB) sa création par décret N° 96-678 du 04
septembre 1996. Cet institut est né de la fusion des quatre ex grandes écoles
suivantes :

INSET : Institut National Supérieur de l’Enseignement Technique,


ENSTP : Ecole Nationale Supérieure des Travaux publics,
IAB : Institut Agricole de Bouaké,
ENSA : Ecole Nationale Supérieure d’Agronomie.

Dans le souci d’accomplir sa principale mission qui est la formation des


cadres et de techniciens supérieurs dynamiques dans tous les secteurs
d’activités, l’INP-HB s’est constitué en six grandes écoles :

ESA : Ecole Supérieure d’Agronomie,


ESCAE : Ecole Supérieure de Commerce et d’Administration des
entreprises,
ESI : Ecole Supérieure d’Industrie,
ESMG : Ecole Supérieure des Mines et de Géologie,
ESTP : Ecole Supérieure des Travaux Publics,
EFCPC : Ecole de Formation Continue et de Perfectionnement de Cadres.

L’ESCAE, l’école à laquelle nous appartenons, est à la charge de la


formation d’ingénieurs et de techniciens supérieurs (D.T.S) dans le domaine du
tertiaire.

III
RAPPORT DE STAGE

Au nombre de ces différentes filières figure, la filière Finance et comptabilité,


qui regroupe en son sein deux options que sont :

 Les Techniques Comptables et Financières (T.C.F)


 Le Contrôle de Gestion (C G)

L’option contrôle de gestion offre une formation de qualité qui est caractérisée
par sa polyvalence car elle touche quasiment tous les départements clés de
l’entreprise.
En outre, elle est caractérisée par une théorie excellente et une pratique
suffisante donnant ainsi l’aptitude à ses diplômés d’être opérationnels dès la fin
de la formation.
C’est dans ce contexte que l’ESCAE envisage deux stages durant la
formation, le premier en deuxième année et, le second en fin cycle. Nous avons
effectué le stage de deuxième année à la DICI (Développement Informatique de
Côte d’Ivoire) filiale du groupe LABOREX, lequel stage est sanctionné par la
rédaction du présent mémoire.

IV
RAPPORT DE STAGE

SIGLES ET ABBREVIATIONS

 DICI : Développement Informatique de Côte d’Ivoire


 BICICI : Banque Internationale pour le commerce et l’industrie en Côte
d’Ivoire
 SGCI : Société Générale de Côte d’Ivoire
 BSGCI : Banque SGCI
 BBICI : Banque BICICI
 BBIAO : Banque BIAO
 RCH : Remise de chèque
 INPHB ; Institut National Polytechnique Houphouët Boigny
 ESCAE : Ecole Supérieure de Commerce et d’Administration des
Entreprises
 PHCE : Pharmafinance
 CI : Côte d’Ivoire
 ESI : Ecole Supérieure d’Industrie
 DTS : Diplôme de Technicien Supérieur
 DAF : Directeur Administratif et Financier
 EFFT : Effet de commerce
 CFA : Communauté Financière d’Afrique
 TCF : Technique Comptable et Financière
 CG : Contrôle de Gestion
 ECS : Etude Comptable Supérieure
 FCFA : Franc de la Communauté Financière d’Afrique

V
RAPPORT DE STAGE

GLOSSAIRE
 CHEQUE
Titre par lequel une personne (le tireur) donne l’ordre à un banquier (le tiré), de
payer à vue une somme d’argent à son profit ou à une troisième personne (le
bénéficiaire). Ce titre permet au titulaire d’un compte bancaire de faire un retrait
d’argent de son compte, il est alors un instrument de retrait de fonds. Il permet
aussi d’effectuer des règlements, dans ce cas, il devient un instrument de
paiement.
Un chèque comporte les éléments suivants : le nom de la banque, le montant en
chiffre et en lettre, le nom du bénéficiaire, la signature de l’émetteur, la date et le
lieu.
 CHEQUE BARRE
Chèque qui ne peut être encaissé que par une banque. Un particulier ne peut pas
l’encaisser par voie d’endossement et il n’est pas payable à vue. Ces chèques
sont émis par les banques à la demande du particulier. Le particulier pourra
ensuite s’en servir librement mais l’endossement devra obligatoirement passé
par le compte d’une banque. Le compte du bénéficiaire du chèque n’est pas
directement crédité. La banque du bénéficiaire joue donc un rôle d’intermédiaire
servant de garanti supplémentaire à la personne qui a délivré le chèque. Ainsi le
titulaire du chèque est protégé contre tout abus suite au vol ou à la perte de son
chéquier. Le plus souvent, ce type de chèque est délivré gratuitement par la
banque.
 EFFET DE COMMERCE
L’effet de commerce (ou traite) est un ordre écrit donné par un créancier à un
débiteur de payer une somme d’argent, à terme, à un bénéficiaire. Il est un
moyen de paiement traditionnel entre les entreprises. Il circule entre elles et est
payable à date, souvent à trente, quarante-cinq ou soixante jours. Il existe deux
types d’effet de commerce : la lettre de change et le billet à ordre.
Un effet de commerce se présente comme suit : le nom du fournisseur, la date de
l’effet, la date d’échéance, le montant en chiffre et en lettre, le motif du
règlement, le numéro de compte bancaire, la signature du client, le nom de la
banque, le lieu et la signature de l’émetteur. (Annexe)
 LA LETTRE DE CHANGE

Document par lequel l’émetteur (le créancier ou le tireur) donne ordre à son
débiteur (le tiré) de payer une somme dans un lieu (domicile ou banque du tiré)
et à une date déterminée (exemple : 60, 90, 120 jours) au bénéficiaire ou au
porteur. L’ordre émane du fournisseur. Il s’agit donc d’un instrument de crédit et
de paiement à terme.
VI
RAPPORT DE STAGE

 BILLET A ORDRE
Document par lequel l’émetteur (le débiteur ou le souscripteur) prend
l’engagement de payer une somme déterminée à un bénéficiaire ou au porteur à
une date et dans un lieu déterminés. L’ordre émane du client.
Le billet à ordre est un comme une lettre de change, à ceci près que l’émetteur et
bénéficiaire sont inversés. C’est l’équivalent d’un chèque sauf que contrairement
au chèque la somme sera payée au bénéficiaire seulement à la date d’échéance
convenue.
 LE TIREUR
Celui qui émet l’effet de commerce, celui qui donne l’ordre à une personne de
payer. Le tireur est généralement le vendeur (fournisseur) de la marchandise.
 LE TIRE
C’est celui sur lequel l’effet de commerce a été tiré, celui à qui un ordre de
payer a été donné. Il s’agit généralement de l’acheteur ou client (le débiteur).
 LE BENEFICIAIRE
Celui pour lequel l’effet est rédigé, il est appelé aussi porteur.
 L’ECHEANCE
Date ultime à laquelle le tiré s’engage à payer en échange de l’effet présenté.
 BANQUE
Etablissement autorisé par la loi à assurer des opérations de banque, c’est-à-dire
la réception de fonds du public, les opérations de crédit, ainsi que la mise à la
disposition de la clientèle ou la gestion de moyens de paiement .

 UNE FILIALE

Une filiale, aussi appelée société filiale, est une entreprise qui est contrôlée par
une autre société dite société mère, le terme <<contrôle>> signifiant que la
société mère détient suffisamment de droits de vote en assemblée générale
d’actionnaires pour pouvoir y imposer ses décisions.

 SGCI

Fondée en 1962 sous le nom de Société Générale de Banques en Côte d’Ivoire


(SGBCI), la SGCI est l’un des leaders dans le domaine bancaire en Côte
d’Ivoire. Elle fournit des services bancaires aux particuliers aussi bien qu’aux
entreprises. Elle propose des comptes bancaires, des produits d’épargne, de
VII
RAPPORT DE STAGE

crédit et de moyen de paiement. En 2010 elle présentait une capitalisation de


3 066 667 francs cfa d’actions avec des fonds propres estimés à 88 000 000
FCFA et un bilan comptable de 798 milliards de francs CFA en 2012.

 BICICI

La BICICI est une filiale du groupe français BNP Paribas. Elle est une banque
générale, de gros et de détail, qui offre aux entreprises et aux particuliers du
secteur formel tout un ensemble de crédits à court et moyen terme.
Cotée à la Bourse Régionale des Valeurs Mobilière (BRVM), elle est en 2012 la
cinquième banque ivoirienne en termes de prêts et de dépôts, avec une part de
marché variant entre 9% et 10%.

VIII
RAPPORT DE STAGE

RESUME
Le présent document est un rapport de travaux réalisés au cours de notre stage à
Laborex CI au sein de sa filiale la DICI à Abidjan Yopougon Zone Industrielle.
Dans cette structure, nous avons été accueillis par le service comptable. Le
service comptable est composé de 11 comptables au total dont : 1 chef
comptable, 1 assistante comptable, 3 comptables chargés des clients, 1
comptable chargé des filiales, 1 comptable chargé des stocks, 1 comptable
chargé des fournisseurs, 03 comptables chargés de l’enregistrement des charges.
Le service comptable compte aussi en son sein 2 trésoriers.
Nous avons été précisément à la comptabilité chargée des filiales qui est chargée
de la gestion de l’ensemble des opérations au sein des filiales du groupe Laborex
que sont : Audit Pharma, la DICI et Pharmafinance. Notre travail au sein de
ce service a succinctement consisté au traitement de l’ensemble des remises de
chèques et des effets de commerce au sein de la filiale DICI.
Dans la première partie de ce rapport, nous présenterons la structure d’accueil
afin de mieux comprendre l’environnement dans lequel nous nous situons. Dans
la deuxième partie, nous avons mis en exergue les différentes tâches effectuées.
Les tâches concernant la procédure de traitement des remises de chèques et
d’effets de commerce de la DICI. Au terme de notre étude, une série de
suggestion a été proposée en vue d’améliorer la maitrise de ce processus.

IX
RAPPORT DE STAGE

ABSTRACT
This document is a report of work carried out during our internship at Laborex
CI at its subsidiary DICI in Abidjan Yopougon Zone Industrielle. In this
structure, we were welcomed by the accounting department. The accounting
department is composed of a total of 11 accountants, including: 1 chief
accounting officer, 1 accounting assistant, 3 accounting officers in charge of
clients, 1 accounting officer in charge of subsidiaries, 1 accounting officer in
charge of inventories, 1 accounting officer in charge of suppliers, 03 accounting
officers responsible for recording expenses. The accounting department also has
2 treasurers. We were precisely in charge of the accounting of the subsidiaries
which is in charge of the management of all the operations within the
subsidiaries of the Laborex group that are: Audit Pharma, the DICI and
Pharmafinance.

Our work in this department has briefly consisted of processing all cheques and
commercial paper remittances within the DICI subsidiary. In the first part of this
report, we will present the hospitality structure in order to better understand the
environment in which we are located. In the second part, we highlighted the
different tasks carried out. Tasks related to the procedure for processing KIID
cheque and commercial paper remittances. At the end of our study, a series of
suggestions were proposed to improve the control of this process.

X
RAPPORT DE STAGE

DEDICACE ..........................................................................................................I
REMERCIEMENT ................................................................................................II
AVANT PROPOS …………………………………………………………………………………………….III
SIGLES ET ABBREVIATIONS………………………………………………………………………….....V
GLOSSAIRE ......................................................................................................VI
RESUME ...........................................................................................................IX
ABSTRACT ……………………………………………………………………………………………………..X
SOMMAIRE……………………………………………………………………………………………………..XI
INTRODUCTION……………………………………………………………………………………………….1
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE LA STRUCTURE D’ACCUEIL ..........5
CHAPITRE I : PRESENTATION DE LABOREX CI…………………………………………………...5
CHAPITRE II : PRESENTATION DE LA DICI..........................................................14
DEUXIEME PARTIE : TRAVAUX EFFECTUES………………………………………………..16
CHAPITRE I : DESCRIPTION DU PROCESSUS…………………………………………………….18
CHAPITRE II: CRITIQUES ET PROPOSITIONS D’AMELIORATION ..........................32
CONCLUSION GENERALE…………………………………………………………………………………36
BIBLIOGRAPHIE…………………………………………………………………………………………XII
ANNEXES ......................................................................................................XIII
TABLE DES MATIERES ....................................................................................X

XI
INTRODUCTION

Dans le processus de gestion, l’entreprise et l’entrepreneur constituent certainement deux


(2) figures centrales. La comptabilité quant à elle est incontestablement l’un des outils voire le
plus important de l’entreprise.
L’entrepreneur peut être défini comme étant tout individu qui accepte de risquer un capital
dans le but d’obtenir un gain monétaire (appelé profit) ou non monétaire. Alors que la
création d’une entreprise peut être définie comme une action d’entreprendre, c’est-à-dire
comme une initiative, une action conduite de façon volontaire et organisée en vue d’atteindre
un objectif économique ou social.
Mais aujourd’hui l’entreprise peut se définir comme étant un groupement humain organisé et
hiérarchisé en une entité économique au sein de laquelle sont réunis différents moyens
humains, matériels et financiers dans le but de produire des biens et services vendus sur un
marché à des consommateurs afin de réaliser un profit.

En outre, l’entreprise est soumise à des obligations légales, qui lui imposent la publication de
documents comptables de synthèse faisant état :

 du patrimoine ;
 du résultat de l’exploitation (l’entreprise réalise-t-elle un profit ?).

Ces informations ont pour destination principale l’Administration fiscale (qui au vu du


bénéfice réalisé détermine l’impôt dû par l’entreprise) et les apporteurs de capitaux (associés
et établissements financiers qui consentent des prêts).

Raison pour laquelle l’entreprise se doit d’être régie par des règles et procédures qui
garantissent la véracité des informations fournies. Ces règles et procédures sont suivies au
niveau de la comptabilité.

L’article 2 de l’Acte Uniforme relatif au Droit Comptable et à l’Information Financière dans


les Etats de l’espace O.H.A.D.A (Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des

1
RAPPORT DE STAGE

Affaires) exige de toute entreprise la mise en place d’une comptabilité destinée à


l’information externe et à son propre usage.
A cet effet, l’entreprise :

- Classe, saisit, enregistre dans sa comptabilité toutes opérations entrainant des


mouvements de valeur qui sont traitées avec des tiers ou qui sont contractées ou
effectuées dans le cadre de sa gestion interne.

- Fournit, après traitement approprié de ces opérations, les redditions de comptes


auxquelles elle est assujettie légalement ou de par ses statuts, ainsi que les
informations nécessaires aux besoins des divers utilisateurs.

Au vue de son importance, nous pouvons définir la comptabilité comme étant un système
d’organisation de l’information financière permettant de classer, traiter, saisir et d’enregistrer
des données de base chiffrées ; de fournir après traitement approprié un ensemble
d’informations conformes au besoin des divers utilisateurs intéressés.

En outre, l’application pratique des notions comptables au sein d’une entreprise s’exprime
aussi à travers le traitement des remises de chèques et d’effets.

Par ailleurs, le caractère important et complexe de la comptabilité nécessite de la part des


entreprises une compréhension et une maîtrise précise qui justifie à ne point douter, que l’on
lui accorde une attention particulière.

C’est dans cette optique que tout le long de notre étude, nous tenterons d’apporter des
éléments de réponses à la problématique suivante :

Comment sont-traitées les remises de chèque et d’effets au sein de la DICI ?

Notre étude se fera en deux parties dont la première se chargera de présenter le groupe
LABOREX et sa filiale la DICI au sein de laquelle notre stage a été effectué et la seconde
partie qui tentera d’apporter des éléments de réponses à notre problématique.

2
RAPPORT DE STAGE

PARTIE I : PRESENTATION DE LA STRUCTURE


D’ACCUEIL
UBIPHARM-CI ET LA D.I.C.I
(Développement Informatique de Côte d’Ivoire)

3
RAPPORT DE STAGE

La première partie de notre étude s’articulera autour de deux principaux points ; en


occurrence le premier qui se chargera de la présentation de la structure d’accueil
(UBIPHARM-CI) et le second qui fera une présentation de sa filiale D.I.C.I dans laquelle
notre stage a pu avoir lieu.

4
RAPPORT DE STAGE

CHAPITRE I : PRESENTATION DE LABOREX–CI

SECTION 1: Historique et domaine d’activités

I- Historique

Créée en 1949 par un actionnariat français privé à 100% et avec son siège social
situé à Dakar au Sénégal, LABOREX-CI avant 1974, s’appelait LABOREX-ABIDJAN et
avait ses bureaux au Plateau à la rue du commerce à Abidjan.
Constituée sous forme de société anonyme (S.A) avec un capital de 40.000.000 F CFA,
LABOREX-CI était une filiale de la société Commerciale Ouest Africaine (SCOA) et fut
dirigée par Maxime Vaillant (PCA).
En 1974, LABOREX-ABIDJAN devient LABOREX-CI par la volonté commune des
pharmaciens ivoiriens matérialisée par un actionnariat des plus élargis avec un capital de
216.000.000 F CFA réparti comme suit : groupe SCOA : 42.60%, laboratoires : 49.17% et les
pharmaciens ivoiriens : 8.23%.
Cette adaptation va permettre à la société d’asseoir sa notoriété et d’être plus compétitive
grâce à sa présence constante et rassurante auprès des clients. Sa rigueur dans le travail lui
confère un rôle prépondérant dans la répartition des produits pharmaceutiques en Côte
d’Ivoire. Ce qui lui a valu une augmentation de son capital depuis 1949.

 En 1949, le capital était de 40.000 000 F CFA


 En 1974, il est passé à 216.000.000 F CFA
 En 1993, il est passé à 2.000.000.000 F CFA
 En 2002, il est passé à 2.800.000.000 F CFA
 Et aujourd’hui, le capital est de 2.837.854.800 F CFA

En 1975, le siège social de LABOREX-CI fut transféré en zone industrielle de Vridi avec une
grande participation des pharmaciens ivoiriens : 18% du capital social. Monsieur KONE fut le
premier directeur ivoirien nommé.

Toujours dans la quête de l’efficacité, LABOREX-CI va créer :


 en 1978 :l’agence de Bouaké
 en 1982 :l’agence de Gagnoa

5
RAPPORT DE STAGE

 en 1985 : son siège social à Yopougon zone industrielle et l’agence commerciale de


Yopougon.
 en 1988 :l’agence de Daloa
 en 1989 :l’agence de Man qui a été fermée le 31 décembre 2001
 en 1990 :l’agence centrale à Yopougon zone industrielle.

En 1990, en faveur d’une augmentation du capital des pharmaciens ivoiriens (54.54%), il y a


eu création de la société PHARMAFINANCE, société mère de LABOREX-CI et donc
rupture avec le groupe SCOA.
LABOREX-CI, depuis 1993, fait partie d’une multinationale africaine dénommée
PHARMAFINANCE holding avec un capital de 2.000.000.000 F CFA.
Dans le cadre donc de son activité importatrice, LABOREX-CI utilise la plate-forme
logistique de pharmacie holding qui est le B. A.A. (Bureau d’achat Afrique Antilles)
aujourd’hui appelé PLANET PHARMA S.A.

Toutefois, depuis janvier 2012, LABOREX-CI a adopté la dénomination UBIPHARM-CI


comme nom commerciale, tout en conservant celle de LABOREX-CI comme nom juridique.

II- Domaine d’activités

1. Activités de base

LABOREX-CI est un grossiste répartiteur de produits pharmaceutiques et


parapharmaceutiques.
Son activité de base n’est rien d’autre que la distribution de produits pharmaceutiques et
parapharmaceutiques sur toute l’étendue du territoire ivoirien. Cette activité se traduit par :

 La gestion de stock :

Elle gère un stock très important qui permet de mettre à la disposition des pharmaciens une
large gamme de médicaments de près de 7 000 références dont 5 000 spécialités
pharmaceutiques et 2 000 autres produits appelés parapharmaceutiques tels que les

6
RAPPORT DE STAGE

accessoires médicochirurgicaux, les produits d’hygiène corporelle, de diététique,


d’orthopédie, de phytothérapie et les spécialités vétérinaires.

 L’approvisionnement des officines :

Outre son activité de base, LABOREX-CI se positionne également comme un véritable


conseiller à l’officinal en l’accompagnant dans toute son activité professionnelle.

2. Les activités de conseil

Ce volet de l’activité de LABOREX-CI permet un suivi des pharmaciens afin de leur


permettre de réaliser une meilleure gestion de leur activité professionnelle. C’est ainsi
qu’il a été mis en place une équipe pluridisciplinaire, composée de pharmaciens,
d’informaticiens, de marketers et de financiers à la disposition des pharmaciens, sous
forme :

 D’aide à l’installation

Cette aide concerne évidemment les jeunes pharmaciens manifestant le désir de


s’installer. Cette aide se matérialise comme suit :
- Une co-élaboration du business plan (plan d’exploitation prévisionnel, …)
- Aide à la recherche de financement
- Définition et financement du stock initial
- Appui à l’agencement de l’officine et à la mise en place du stock de départ.

 Des conseils en gestion financière

Les pharmaciens n’ayant pas reçu la formation adéquate en gestion financière,


LABOREX-CI effectue pour eux :
- le choix du mode de financement
- le type de règlement
- les relations avec les banques et les impôts
- les placements financiers dans le groupe PHARMAFINANCE
7
RAPPORT DE STAGE

 Une assistance en pharmacie

Ce plan du volet conseil est l’affaire de PLANET S.A qui est le partenaire attitré de
LABOREX-CI pour ce qui est de la parapharmacie .Dans ce volet, l’entreprise travaille sur :
 la divulgation d’information et des conseils pour la vente des produits
dermocosmiques ;
 mais aussi le transfert de compétences aux employés des officines.

 Une aide et des conseils à l’informatisation

L’heure étant à l’informatique, à Internet et autres N.T.I.C (nouvelles technologies


d’information et de communication), les pharmaciens ne pouvaient être en reste d’ où la
nécessité pour eux d’user de l’outil informatique .C’est cette opportunité que LABOREX-CI a
su saisir en proposant à ses clients avec son partenaire D I.C.I. S.A. :
-Une informatisation de leur officine
-La vente, l’installation de matériels et de logiciels adaptés à l’officine
-Une formation à l’utilisation des logiciels de D.I.C.I S.A
-Et une maintenance du matériel informatique de l’officine.

 un appui à l’inventaire

Il s’agit uniquement d’une assistance à la valorisation du stock de l’officine.

8
RAPPORT DE STAGE

SECTION 2 : Objectifs, moyens et organisation de laborex-ci

I- Objectif et moyens

1. Les objectifs

Comme toute entreprise, LABOREX-CI vise des objectifs de rentabilité. Ces objectifs sont
classés en trois (3) catégories :

1.1. Les objectifs à court terme

Il constitue la raison d’être de la structure .Il s’agit en effet pour LABOREX-CI de pouvoir
importer le maximum de médicaments afin de les distribuer dans toute la côte d’ivoire.

1.2. Les objectifs à moyen terme

Il s’agit des objectifs commerciaux à savoir :


 augmenter sa part de marché en côte d’ivoire
 avoir une bonne crédibilité auprès de sa clientèle
 asseoir une notoriété afin de sauvegarder son image de marque et demeurer le
numéro un (n°1) dans son domaine d’activité.

1.3. Les objectifs à long terme

Accroître le nombre de ses agences dans toutes les régions de la côte d’ivoire pour être encore
plus proche de la clientèle.

2. Les moyens

LABOREX-CI tient quotidiennement depuis six décennies le pari d’acheminer les solutions
thérapeutiques partout en côte d’ivoire où il y a une officine .Cette mission de santé publique
se réalise grâce à une combinaison de moyens tant humains que matériels dont elle dispose
pour lui permettre de gérer dans les meilleures conditions, son portefeuille et d’accroître tous
les ans ses parts de marché.

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RAPPORT DE STAGE

2.1. Les moyens humains


La société dispose d’un effectif dynamique et compétant de 235 personnes (au 31 Juillet
2014) qui lui permettent d’asseoir sa force de vente et de maîtriser son domaine d’activité.

2.2. Les moyens matériels et logistiques

Soutenue par un outil informatique de pointe, la procédure de commande est quasi


automatisée. En effet, l’entreprise dispose d’un logiciel de gestion (GESCOM DII) permettant
de :

 passer et de gérer les commandes


 gérer les clients
 gérer les stocks
Une équipe d’opérateurs de saisie enregistre les commandes en temps réel .C’est environ
1000 contacts quotidiens avec les différents clients grâce à un réseau télématique (modem
ordinateur) et plusieurs réseaux téléphoniques.
Par ailleurs, LABOREX-CI s’est doté d’un parc automobile de près de 60 véhicules
parcourant quotidiennement plus de 10 000 Km pour la livraison des officines.

II- Organisation

En vue de mener à bien ses activités, LABOREX-CI s’est dotée d’une organisation
rigoureuse qui s’articule autour du conseil d’administration, des directions et des agences
commerciales. (Organigramme en Annexe)

2-1 La Direction Générale

La Direction Générale est responsable de la pérennité de l’entreprise. Elle a pour mission


de concevoir, choisir, décider et conduire la politique générale à court, moyen, et long terme.
Elle a un rôle de pivot dans l’organisation. Ce rôle est un rôle d’anticipation, de supervision et
de contrôle.

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RAPPORT DE STAGE

Dirigée par le docteur BLE OLIVIER, la Direction Générale a sous sa responsabilité cinq
(5) directions et un service pour réussir sa mission :
 la direction commerciale et marketing ;
 la direction administrative et financière ;
 la direction des ressources humaines et des moyens généraux ;
 la direction de l’approvisionnement ;
 la direction juridique ;
 un service informatique.

2-2 Les différentes directions

a) La Direction Commerciale et Marketing

La direction commerciale et marketing est responsable de l’ensemble des activités de


vente et de promotion de l’entreprise. Sous la direction du Dr. SAMMI NIAMKET
MOHAMED et de M. COULIBALY KAALILOU, elle participe au choix des axes de
développement et de la stratégie commerciale de la société. Elle se charge aussi d’aller auprès
des clients pour recueillir leurs besoins et chercher à les satisfaire en leur fournissant un
service de qualité. Elle se charge également d’aller en officine pour faire des formations aux
chargés de commande sur les nouveaux moyens de passation de commande de LABOREX-
CI (Extranet, Pharma ML).
b) La Direction Administrative et Financière

Placée sous l’autorité et le contrôle de Mr. KONE BRAHIMA, cette direction veille à
la continuité des financements nécessaires à l’activité de la société. Elle assure la coordination
et la régulation des comptabilités. La direction administrative et financière veille au plus
grand respect des législations, des règlements. Ainsi, cette direction a sous son autorité :
Un service de la comptabilité qui a pour tâche:
 la saisie et l’enregistrement chronologique des opérations ;
 le contrôle des enregistrements et des procédures de traitement ;
 de fournir des informations et d’établir des états utiles aux besoins de gestion.

Le chef comptable assisté par trois (3) comptables (comptabilité clients, comptabilité
fournisseurs, comptabilité des immobilisations et comptes courants) et d’un trésorier, animent
et organisent la comptabilité dans le but de fournir des informations fiables à la direction.

11
RAPPORT DE STAGE

Le chef de la comptabilité s’occupe :


 d’animer et de superviser le fonctionnement du service de la comptabilité ;
 d’effectuer et de contrôler tous les travaux comptables et fiscaux ;
 de veiller à l’application rigoureuse des procédures comptables et de les améliorer ;
 de garantir dans les délais, les états financiers et comptables ainsi que les reportings.

c) La Direction des Ressources Humaines et des Moyens Généraux

Elle est dirigée par monsieur CISSE MARFI, assisté dans ses tâches par une assistante
administrative, une assistante comptable, un assureur conseil et un infirmier.
Cette direction a pour mission d’assurer le lien entre la direction générale et le personnel en
prenant en charge les relations sociales au sein de l’organisation. Il conseille et apporte son
expertise aux différentes directions opérationnelles.

d) La Direction de l’Approvisionnement

La direction de l’approvisionnement appelée agence centrale de LABOREX-CI est dirigée


par un directeur d’approvisionnement, Dr. ALLANI HUGUES, qui a pour mission :
 de définir la stratégie d’achat ;
 de gérer les relations avec les fournisseurs ;
 d’optimiser la gestion des stocks.

e) La Direction Juridique

La direction juridique veille au grand respect des législations et à la protection de la société


sur le plan juridique. En d’autres termes, elle se charge de gérer toutes les affaires juridiques
de l’entreprise.
Elle est administrée par Mr. KOUAME MARC qui est assisté dans sa tâche par Mr.
KOMENAN JONAS.

f) Le Service Informatique

Ce service a en charge la gestion du système informatique de la société, de la maintenance du


matériel informatique utilisé par la société et de son site web (www.laborexci.com). Il

12
RAPPORT DE STAGE

dispose d’un nombre important de terminaux, de plusieurs imprimantes, gérés tous par un
système dénommé AS 400. Ce système permet :
 le référencement des clients et divers produits ;
 la tarification des produits pharmaceutiques ;
 la gestion des stocks ;
 la saisie et l’enregistrement chronologique des opérations comptables.

Note

Il revient important de noter que LABOREX-CI a trois filiales, à savoir :

- PHARMAFINANCE
- AUDIT PHARMA
- DICI (Développement Informatique de Côte d’Ivoire)

13
RAPPORT DE STAGE

CHAPITRE 2 : PRESENTATION DE LA DICI

SECTION 1 : Généralités sur la DICI

I) Historique et forme juridique

1) Historique

Présente au sein de LABOREX-CI (Yopougon zone industrielle), la DICI fût créée en 1995
par la volonté des pharmaciens réunis au sein du groupe PHARMAFINANCE et a pour
mission d’apporter des solutions informatiques clés et adaptées aux besoins du pharmacien
avec un portefeuille en constance évolution.

2) Forme juridique

Le service Développement Informatique de COTE D’IVOIRE (DICI) est une société à


responsabilité limite au capitale de 10 000 000 de francs CFA ; RCCM : Abidjan 190159 ;
Réel d’imposition : réel normal.

II) Activités et organigramme de la DICI

1) Activités

Véritable lieu d’échanges et d’expériences, la société D.I.C.I est le signe d’une synergie
entre les utilisateurs d’un produit. Une équipe dynamique et compétente assurant le respect, la
formation, l’assistance, la maintenance du matériel informatique, du logiciel et du minitel.
Entreprise de droit Ivoirien, elle est spécialisée dans la vente de logiciels et équipements
informatiques, de la formation à l’utilisation, du service après-vente et de la télémaintenance.
Après la vente, dans l’exécution de ses activités, la DICI offre six (06) mois de garantie
(installation, assistance, formation et maintenance gratuites), elle propose un type de contrat à
ses clients. Dans les clauses contractuelles sont mentionnées les interventions de maintenance
informatique.

2) Organigramme de la DICI (voir annexe )

14
RAPPORT DE STAGE

CONCLUSION PARTIELLE

Au terme de cette première partie de notre travail, nous pouvons retenir que Laborex Cote
d’Ivoire et ses filiales, constituent une institution dynamique qui a su s’imposer sur son
marché et occuper la place de challenger à travers la qualité de ses prestations. En sa qualité
de première entreprise de distribution de produits pharmaceutiques de classe mondiale, elle
assure tant bien que mal la poursuite de sa mission d’offrir à sa clientèle de gros et de détail,
des produits et services de qualité ; pratiques et accessible à tous.

La clientèle figurant au centre des préoccupations de l’institution, Laborex Côte d’ivoire et


ses filiales entreprennent plusieurs actions visant à garder le plus longtemps de bonnes
relations avec ces derniers.

15
RAPPORT DE STAGE

DEUXIEME PARTIE

TRAVAUX EFFECTUES

Cette deuxième partie décrira les différents travaux que nous avons eu à effectuer durant notre
stage à la DICI.

Elle comprendra deux (2) chapitres également :

 Procédure du traitement des remises de chèque et d’effets de commerce.


 Critiques et suggestions

16
RAPPORT DE STAGE

Le premier chapitre nommé <<Traitement des remises de chèques et d’effets de commerce>>


explique comme son nom l’indique la procédure du traitement des remises de chèques et
d’effets de commerce au sein de la DICI.

Avant d’aborder le traitement des remises de chèques et d’effets de commerce au sein de la


DICI, nous allons faire la définition de certains termes.

Le deuxième chapitre nous permettra d’apporter des critiques et des suggestions qui
pourraient contribuer à améliorer la gestion au sein de l’entreprise.

17
RAPPORT DE STAGE

CHAPITRE I : DESCRIPTION DU PROCESSUS DE REMISE DE CHEQUES


ET D’EFFETS DE COMMERCE

L’agent de recouvrement transmet au service comptabilité les chèques et les effets recouvrés
chez les clients.

Dans ce même service, nous classons les chèques et les effets de commerce en fonction des
comptes bancaires de la DICI.

Ladite société dispose de trois comptes bancaires à savoir :

- Un compte BICICI
- Un compte BIAO
- Un compte NSIA BANQUE.

Tous ces chèques et effets de commerce transmis doivent être déposés sur ces différents
comptes après les avoir endossés.

L’endossement d’un chèque ou d’un effet de commerce consiste à porter au dos du chèque ou
de l’effet le nom de notre société (DICI), son adresse postale, son numéro de compte bancaire
et la signature du déposant (comptable trésorier). Toutes ces informations peuvent être
résumées sur un cachet.

L’endossement se fait comme suit :

- Les chèques ou effets BICICI sont endossés avec le cachet DICI-BICICI


- Les chèques ou effets BIAO sont endossés avec le cachet DICI-BIAO
- Les chèques ou effets SGBCI sont endossés avec le cachet DICI-SGBCI

Note :

Il est important de noter que la DICI reçoit des chèques et des effets d’autres banques ; ceux-
ci sont déposés aussi sur la SGBCI.

18
RAPPORT DE STAGE

SECTION 1 : Les remises de cheque et d’effets de commerce

I) Remise de chèques et d’effets de commerce sur la BICICI

1) Remise de chèques

La remise de chèque BICICI s’effectue sur la BICICI. Dans un premier temps, cet imprimé
nous indique les informations suivantes concernant le bénéficiaire : le nom, l’adresse, le
numéro de compte bancaire, le mode d’encaissement, le lieu d’encaissement, la date de
remplissage de la remise. Et dans un second temps pour le tiré, nous avons les informations
suivantes : le numéro du chèque BICICI (sept chiffre), son code, son nom, le motif du
règlement, établissements payeurs, le montant du chèque.
Ensuite, nous précisons le nombre de chèques déposés et nous faisons le total des montants
inscrits sur la remise. (Annexe)

2) Remise d’effets de commerce

La remise des effets de commerce dont la domiciliation est la BICICI s’effectue sur la BICICI
à l’aide d’un imprimé BICICI indiqué à cet effet.
L’imprimé nous indique dans un premier temps les informations suivantes concernant le
bénéficiaire de la traite :
- le nom,
- l’adresse,
- le numéro de compte bancaire,
- le mode d’encaissement,
- le lieu d’encaissement et,
- la date de la remise.

Dans un deuxième temps nous avons aussi des informations concernant le tiré à savoir :
- le nom du tiré
- son numéro de compte
- la date d’échéance

19
RAPPORT DE STAGE

- le montant du chèque.

Ensuite, nous précisons le nombre de traitres déposées et nous faisons le total des montants
inscrits sur la remise.

II) Remise de chèques et d’effets de commerce sur NSIA banque

1) Remise de chèques

La remise de chèques BIAO dont la domiciliation est NSIA Banque s’effectue sur la NSIA
Banque.

Celui-ci met en évidence premièrement des informations concernant le bénéficiaire ;

- Le lieu d’encaissement
- Son nom et son adresse
- La date et le mode d’encaissement
- Le numéro de compte bancaire
- Le nombre de chèques
- Le montant du chèque.

Et dans un deuxième temps des informations concernant le tiré ;

- Le nom de la banque
- Le lieu de paiement
- Le code banque.

Lorsqu’il y a plusieurs chèques sur l’imprimé, la somme des différents montants sont inscrits
sur la remise. (Annexe)

2) Remise d’effets

Les effets ayant pour domiciliation NSIA Banque sont remis à la même banque. Le bordereau
de remise d’effets NSIA banque met en évidence dans un premier temps les informations
suivantes concernant le bénéficiaire :

- Mode de paiement

20
RAPPORT DE STAGE

- Le lieu de paiement
- Le nom et l’adresse de l’entreprise
- Le lieu d’encaissement de la traite
- La date de la remise
- Le nom du tiré
- Le numéro de compte
- Le numéro de compte bancaire
- Le code guichet
- La signature.

Et deuxièmement des informations concernant le tiré, à savoir :

- Le nom de la banque
- Le lieu de paiement de la traite
- Le nom du tiré
- La date d’échéance de la traite
- Le montant

Plusieurs chèques peuvent être inscrits sur le même imprimé. Alors, après le remplissage de
différentes traites, nous faisons le total des montants inscrits sur la remise et nous indiquons le
nombre total de traite. (Annexe)

III) Remise de chèques et d’effets de commerce sur la SGBCI

1) Remise de chèques

La remise de chèques dont la domiciliation est SGBCI s’effectue sur la SGBCI.

Celui-ci met en évidence premièrement des informations concernant le bénéficiaire :

- Le lieu d’encaissement
- Son nom et son adresse
- La date
- le lieu d’encaissement
- le code guichet
- Le numéro de compte bancaire
- La clé rib

21
RAPPORT DE STAGE

- Le nombre de chèques
- Le montant du chèque.

Et dans un deuxième temps des informations concernant le tiré ;

- Le nom de la banque
- Le lieu de paiement
- Le code banque.

Lorsqu’il y a plusieurs chèques sur l’imprimé, la somme des différents montants sont inscrits
sur la remise. (Annexe)

2- Remise d’effets

La remise des effets de commerce dont la domiciliation est la SGBCI s’effectue sur la
SGBCI.
Premièrement, nous inscrivons sur le bordereau de remise les informations concernant le
bénéficiaire à savoir :

- La date de la remise
- Le nom du bénéficiaire
- Son adresse
- Le numéro de compte bancaire
- La signature du déposant
- Le nombre total d’effets inscrits sur la remise
- Le montant total.

Et deuxièmement nous y inscrivons les informations concernant le tiré :

- Le code client
- Le nom du client
- Le motif du règlement
- Le nom de la banque
- La ville
- Le montant total.

22
RAPPORT DE STAGE

Lorsqu’il y a plusieurs chèques sur le même bordereau, nous y inscrivons le montant total.

NOTE

1) Tous les chèques et effets de commerce reçus des clients des domiciliations différentes
des banques de la DICI citées plus haut sont déposés sur la SGBCI à l’aide d’un
imprimé SGBCI à savoir le bordereau de remise SGBCI ou le bordereau de remise
d’effets SGCI. En fonction de leur lieu de paiement, ils sont déposés séparément ou en
groupe.

2) Le traitement des remises terminé, des copies sont faites avant tout dépôt à la banque.
Ces copies servent à vérifier les décharges que nous transmettra le coursier dès son
retour de la banque.

3) Les remises déposées à la banque font l’objet de vérification par celle-ci. Après
vérification, elle appose son cachet d’approbation où sont indiqués le lieu et la date de
dépôt. Elle garde les différentes souches des bordereaux de remise de chèques et
d’effets, puis nous renvoie les décharges que nous joignons à chaque copie
préalablement établie. Ensuite nous les classons par date car les mouvements
comptables s’enregistrent de manière chronologique, puis nous passons à la saisie des
pièces comptables.

23
RAPPORT DE STAGE

SECTION 2 : Saisie des pièces comptables

Les différents chèques que nous recevons sont en règlement des différentes factures que nous
avons émises aux différents clients ayant effectué des opérations d’achats avec notre
entreprise.
Il important de signifier dès le début que les différents comptes clients seront crédités en
contrepartie d’un compte banque (Banque sur laquelle a été effectuée la remise).
Le logiciel de comptabilité utilisé est TALENTIA. Lorsqu’on ouvre le logiciel nous
spécifions que nous travaillons sur la DICI dont le code dans le logiciel est 024.
Pour la saisie, nous spécifions en origine la banque puis mentionnons la date et le libellé de
l’écriture.

Les numéros de comptes clients commencent par un C. Chaque client a un code client, cela
permet de différencier chaque client. Nous pouvons donc présenter l’ossature d’un compte
client de la manière suivante :

C411694 Pharmacie nouvelle ATTOBROU


C411135 Pharmacie CLIMBIE

Ensuite, nous classons les remises par banque dès leur retour avant l’enregistrement
comptable proprement dit.
Les remises BICICI, NSIA BANQUE et SGBCI se verront comptabiliser dans les journaux
suivants :

 BICICI : BICICI
 NSIA BANQUE : BBIAO
 SGBCI : BSGBCI

Ces comptes bancaires sont identifiés dans les journaux comptables de la société par les
numéros comptables suivant :

 BICICI : 521100
 NSIA BANQUE : 521130

24
RAPPORT DE STAGE

 SGBCI : 521120

Tableau Récapitulatif

Banques NUMERO DE CODE JOURNAL JOURNAL


COMPTE
BICICI 521100 40 BICICI
NSIA BANQUE 521130 48 BBIAO
SGBCI 521120 49 BSGBCI

 Il revient important de rappeler que l’ancienne dénomination de NSIA BANQUE était


la BIAO, raison pour laquelle le journal est BBIAO car le logiciel de comptabilité a
été programmé avec l’ancienne dénomination.

 Il est aussi important de noter que la nouvelle dénomination de la SGBCI est la SGCI
mais l’ancienne dénomination a été gardée tout le long de notre rapport car l’ensemble
des chèques et effets de commerce ont conservé l’ancienne dénomination et aussi
parce que le logiciel a été programmé avec l’ancienne dénomination.

Rappelons que pour la saisie, nous mentionnons en origine la banque ou directement le


journal (Voir tableau récapitulatif page 23), et la date comptable correspondant à la date du
cachet de la banque.
Il faut aussi ajouter que nous mettons dans la zone :

- Type de pièce : R pour recette

S’il s’agissait d’un chèque émis par la DICI pour le remboursement d’un de ses fournisseurs,
en Type de pièce ce serait : D pour dépense.

- Transaction : 40 (Seulement pour les écritures bancaires)

- Code journal : Nous mentionnons le code journal (voir tableau récapitulatif)

25
RAPPORT DE STAGE

Après toutes ces étapes nous passons à la saisie.

I. Saisie d’un chèque et d’un effet BICICI

1. SAISIE D’UN CHEQUE

 Origine : BICICI

 Transaction : 40

 Code Journal : 40

 Date comptable et date de la pièce : Celle du cachet de la banque

 Type de pièce : R

 Exemples de Libellé : RCH BICICI Numéro du chèque


RCH BICICI Pharmacie…

Saisie (Exemple : Chèque émis en règlement d’une facture 1 200 000 par la pharmacie
climbié)

N° de compte Libellé du compte Débit Crédit


521110 BICICI 1 200 000
C411135 Pharmacie 1 200 000
CLIMBIE

26
RAPPORT DE STAGE

2. Saisie d’un effet de commerce

 Origine : BICICI

 Transaction : 40

 Code Journal : 40

 Date comptable et date de la pièce : Celle du cachet de la banque

 Type de pièce : R

 Exemples de Libellé : Effet BICICI Numéro du chèque


Effet BICICI Pharmacie (Nom de la pharmacie)

Saisie (Exemple : Effet émis en règlement d’une facture 1 200 000 par la pharmacie climbié)

N° de compte Libellé du compte Débit Crédit


521110 BICICI 1 200 000
C411135 Pharmacie 1 200 000
CLIMBIE

II. Saisie d’un chèque et d’un effet NSIA banque

1. Saisie d’un chèque

 Origine : BBIAO
 Transaction : 40

27
RAPPORT DE STAGE

 Code Journal : 48
 Date comptable et date de la pièce : Celle du cachet de la banque
 Type de pièce : R
 Exemples de Libellé : RCH NSIA BANQUE Numéro du chèque
RCH NSIA Pharmacie…

Saisie (Exemple : Chèque émis en règlement d’une facture 1 200 000 par la pharmacie
climbié)

N° de compte Libellé du compte Débit Crédit


521130 BIAO CI 1 200 000
C411135 Pharmacie 1 200 000
CLIMBIE

2. Saisie d’un effet de commerce

 Origine : BBIAO
 Transaction : 40
 Code Journal : 48
 Date comptable et date de la pièce : Celle du cachet de la banque
 Type de pièce : R
 Exemples de Libellé : EFFET NSIA BANQUE Numéro du chèque
EFFET NSIA Pharmacie…

Saisie (Exemple : Effet émis en règlement d’une facture 1 200 000 par la pharmacie Climbié)

28
RAPPORT DE STAGE

N° de compte Libellé du compte Débit Crédit


521130 BIAO CI 1 200 000
C411135 Pharmacie 1 200 000
CLIMBIE

III. Saisie de cheque et d’effet SGBCI

1. Saisie d’un chèque

 Origine : BSGBCI

 Transaction : 40
 Code Journal : 49
 Date comptable et date de la pièce : Celle du cachet de la banque
 Type de pièce : R
 Exemples de Libellé : RCH NSIA BANQUE Numéro du chèque
RCH NSIA Pharmacie…

Saisie (Exemple : Chèque émis en règlement d’une facture 1 200 000 par la pharmacie
climbié)

N° de compte Libellé du compte Débit Crédit


521130 BIAO CI 1 200 000
C411135 Pharmacie 1 200 000
CLIMBIE

29
RAPPORT DE STAGE

2. Saisie d’un effet de commerce

 Origine : BSGBCI

 Transaction : 40

 Code Journal : 49
 Date comptable et date de la pièce : Celle du cachet de la banque
 Type de pièce : R
 Exemples de Libellé : EFFET SGBCI Numéro du chèque
EFFET SGBCI Pharmacie…

Saisie (Exemple : Effet émis en règlement d’une facture 1 200 000 par la pharmacie Climbié)

N° de compte Libellé du compte Débit Crédit


521120 SGBCI 1 200 000
C411135 Pharmacie 1 200 000
CLIMBIE

30
RAPPORT DE STAGE

NOTE : LES IMPAYES

L’impayé survient pour plusieurs raisons ou motifs :

 Pour défaut ou insuffisance de provisions


 Pour endossement irrégulier
 Pour montant différent en lettre et en chiffre
 Pour signature non conforme
 Etc…

Dans ce cas, la banque débite le compte du tireur du montant du chèque ou de l’effet majoré
des frais d’impayé. La DICI (le fournisseur) facturera les frais de l’impayé au tiré et réclamera
un remplacement de l’effet ou du chèque revenu impayé.

Tous les chèques et effets reçus par la DICI sont remis à l’encaissement. (Annexe)
Lorsque le chèque ou l’effet remis à l’encaissement revient impayé, l’enregistrement
comptable de cette écriture se résume de la manière suivante :

Débit : C411…. Montant du chèque


Débit : C411…. Frais d’impayé
Crédit : 5211…. Montant du chèque + frais d’impayé

31
RAPPORT DE STAGE

CHAPITRE 2 : CRITIQUES ET SUGGESTIONS D’AMELIORATION

SECTION I : Critiques

Comme toute organisation, l’idée des critiques et suggestions est la bienvenue, non pas pour
démolir le système déjà en place mais plutôt de la parfaire en définissant de nouvelles
perspectives pour un futur rayonnant. C’est dans ce sens que s’inscrivent nos critiques et
suggestions qui porteront bien au-delà du traitement des chèques que nous recevons mais dans
un premier temps sur les factures et dans un deuxième sur la caisse d’agences de la société.

- Les factures

Le retard accusé dans la réception des factures mensuelles telles que les factures de
téléphones, de carburant, de restauration, ne contribue pas au respect des échéances vu la
longueur du circuit de traitement et de règlement.

Il convient d’établir un contact permanent avec les différents fournisseurs pour le suivi des
factures et le respect des délais de dépôt de celles-ci qui doivent parvenir à la fin du mois
concerné, ou au plus grand tard à la première semaine du mois suivant et non au milieu du
mois soit le 15 comme il est constaté actuellement ce qui ne garantit pas la réception et le
règlement de la prochaine facture dans le temps.

L’étape de transmission des factures chez les initiateurs des dépenses pour accord ne constitue
pas un gain de temps .En effet, dans certains cas les factures ne reviennent pas dans le temps,
ou même pas parce que égarée, ou si elles reviennent, c’est avec des oppositions en plus du
retard qu’elles ont causé ce qui ne rend pas possible leur règlement.

L’idéal serait pour la section en charge de règlement d’exiger le retour des factures dans un
délai mentionné sur le bordereau de transmission qui peut être fixé à 48h au maximum. Passé
ce délai, si les factures demeurent toujours en possession des initiateurs, l’on devra entrer en
contact avec ce dernier pour récupération des factures dans les normes.

32
RAPPORT DE STAGE

S’agissant de l’initiateur, et en cas d’opposition, il se doit de le signifier afin de relancer le


fournisseur pour une régulation et non conserver les factures.

Enfin pour éviter la perte des factures lors des transmissions aux initiateurs à l’extérieur par
des navettes, il serait plus judicieux de leur faire parvenir une copie en lieu et place de
l’originale et qui accompagnera cette dernière lors du règlement.

SECTION II : Suggestions d’amélioration

- Les caisses d’agences

Pour les caisses d’agences nous pouvons souligner les points suivants :
Les caisses d’agence sont tenues par des comptables qui en plus d’être en nombre insuffisant
par rapport aux lourdes tâches quotidiennes qu’ils assument et qui s’étendent a toutes les
agences de LABOREX-CI ; c’est-à-dire YOPOUGON, BOUAKE, GAGNOA, ZONE 4
doivent satisfaire au besoin de la caisse.

La délégation de cette charge a des tierces personnes qui la tiendront de manière permanente
serait la bienvenue et soulagera les comptables qui pourront s’acquitter des taches qui leurs
sont réservées et en même temps responsabiliserait cette charge considérable.

- Au niveau des recouvrements des créances


Le porteur du chèque impayé doit faire constater le non-paiement par huissier ou un notaire
qui établit un protêt. C’est un acte authentique qui constate le refus du tiré d’accepter une
traite ou d’effectuer le paiement. Celui-ci doit être établi avant l’expiration du délai de
présentation et doit être fait l’un des deux jours ouvrables qui suivent le jour de paiement de
la traite ou du chèque. Il y en a deux à savoir le protêt faute d’acceptation et le protêt faute de
paiement.

- Au niveau de la qualité et l’efficacité du travail


La mise en place d’un système Viking qui est une stratégie nouvelle appliquée pour le gain de
temps en effectuant les opérations courantes par l’intermédiaire de machines serait plus
avantageuses en termes de performance et de rentabilité.

33
RAPPORT DE STAGE

Ce système permet de se consacrer aux opérations plus importantes telles que la mise à jour
du fichier, mais surtout le développement les ventes de biens ou de services.
- Au niveau du traitement des remises de chèques et d’effets clients
Nous pouvons recommander à l’entreprise d’opter deux stratégies à savoir :
La provision du chèque qui est constituée par la créance d’une somme d’argent exigible et
l’aval qui est une garantie donnée par une tierce personne s’engageant à payer en cas de
défaillance.

34
RAPPORT DE STAGE

CONCLUSION PARTIELLE

En guise conclusion à cette seconde partie, nous pouvons dire que la DICI est une institution
dans laquelle le traitement de chèque se fait différemment en fonction des opérations et des
banques domiciliées. Par ailleurs, nôtre étude a contribué à apporter des tentatives de solution
pour renforcer le traitement comptable des remises de chèques et des effets de commerce qui
se fait au sein du groupe afin de parvenir à une gestion plus efficace des remises de chèques et
des effets de commerce.

35
RAPPORT DE STAGE

CONLUSION GENERALE

Au terme de notre travail portant sur le traitement des remises de chèques et d’effets de
commerce au sein d’UBIPHARM CI, il ressort que les chèques sont traités avec lenteur.
En effet, une analyse critique du traitement des remises de chèques et des effets montre que
les chèques et des effets de commerce mettent du temps à être comptabilisés. Notons que cela
est dû à la procédure qui au niveau de l’entreprise est un peu longue.
La mise en place d’un service de recouvrement contribuerait à l’amélioration de la trésorerie.
Ceci permettrait à l’entreprise de faire face à ses engagements (impôts, fournisseurs, salaires,
etc). D’autres solutions ont été aussi proposées qui si elles sont prises en compte par les
dirigeants de l’entreprise contribueront sans nul doute à l’amélioration des performances de la
société.
Ce stage fût très enrichissant pour nous car il nous a permis d’avoir une approche plus réelle de
la vie en entreprise nous permettant de concilier la pratique à la théorie.

36
RAPPORT DE STAGE

BIBLIOGRAPHIE

Comptabilité OHADA tome 3 Marcel Dobill


Pierre Vernimmen Finance d’entreprise
Cours Monsieur N’Doua Michel : Comptabilité Générale 2017
Comptabilité Syscohada Jean-Luc SIRUGUET, Dedevi Kakaba Kpokou

XII
RAPPORT DE STAGE

ANNEXES

Annexe I Organigramme de Laborex CI


Annexe II Organigramme de la DICI
Annexe III Bordereau de remise d’effets Nsia banque
Annexe IV Bordereau de remise de chèque BICICI
Annexe V Chèque BICICI DICI
Annexe VI Effet DICI
Annexe VII Bordereau de remise d’effets BICICI

XIII
Annexe I : Organigramme de Laborex

XIV
Annexe II : Organigramme de la DICI

GERANT
SAMMI NIAMKET MOHAMED

DIRECTEUR TECHNIQUE

RESPONSABLE INFORMATIQUE

COMMERCIAL COMPTABLE TECHNICIEN

XV
Annexe III : Bordereau de remise d’effets Nsia banque

XVI
Annexe IV : Bordereau de remise de chèque BICICI

XVII
Annexe V : Chèque BICICI DICI

XVIII
Annexe VI: Effet DICI

XIX
Annexe VII : Bordereau de remise d’effets BICICI

XX
TABLE DES MATIERES

DEDICACE ..............................................................................................................................I
REMERCIEMENT ..................................................................................................................II
AVANT PROPOS ………………………………………………….……………………….III
SIGLES ET ABBREVIATIONS…………………………………….…………………….....V
GLOSSAIRE ..........................................................................................................................VI
RESUME ................................................................................................................................IX
ABSTRACT …………………………………………………………..……………………...X
SOMMAIRE…………………………………………………………..……………………..XI
INTRODUCTION………………………………………………………………………...…...1
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE LA STRUCTURE D’ACCUEIL ............4
CHAPITRE I : PRESENTATION DE LABOREX CI………...……………………...…...5
SECTION 1 : HISTORIQUE ET DOMAINE D’ACTIVITE...................................................5
I. Historique……………………………………………………………………………....5
II. Domaine d’activités…………………………………………………………………....6
1. Activités de base……………………………………………………………………….6
2. Activités de conseil…………………………………………………………………….7
SECTION 2 : OBJECTIFS, MOYENS ET ORGANISATION……………………………….9

I. Objectifs et Moyens…………………………………………………………..………..9
1. Les objectifs…………………………………………………………………………....9
1.1. Objectif à court terme…………………………………………………............…...9
1.2. Objectif à moyen terme……………………………………………........................9
1.3. Objectif à long terme………………………………………………………....……9
2. Les moyens……………………………………………...……………………………..9
2.1. Les moyens humains……………………………..…………………………........10
2.2. Les moyens matériels et logistiques……………...………………………………10
II. Organisation de Laborex………………………..………………………………..10
2.1. La direction générale…………………………………………………..…………10
2.2. Les autres directions……………………………………………………..……….11
a. La Direction Commerciale et Marketing……………………………………………..11
b. La Direction Administrative et Financière…………………….…………………..…11
c. La Direction des Ressources Humaines et des Moyens Généraux………………......12
d. Direction de l’Approvisionnement………………………………………………..….12

XXI
e. La Direction Juridique………………………………………………………………..12
f. Le Service Informatique…………………………………………………………..….12

CHAPITRE II : PRESENTATION DE LA DICI................................................................14


SECTION 1 : GENERALITES SUR LA DICI……………………………………………....14
I. HISTORIQUE ET FORME JURIDIQUE………………………………………..14
1. Historique……………………………………………………………………………..14
2. Forme juridique…………………………………………………………………….....14
I. Activités et organigramme de la DICI…………………………………………...14
1) Activités……………………………………………………………………………....14
2) Organigramme de la D.I.C.I………………………………………………………….14
DEUXIEME PARTIE : TRAVAUX EFFECTUES………………………………………16
CHAPITRE I : DESCRIPTION DU PROCESSUS…………...……………………..…...18
SECTION 1 : LES REMISES DE CHEQUE ET D’EFFETS DE COMMERCE…………...19
I. Remise de chèques et d’effets de commerce sur la BICICI……………………...19
1. Remise de chèques…………………………………………………………………...19
2. Remise d’effets de commerce………………………………………………………..19
II. Remise de chèques et d’effets de commerce sur NSIA banque……………………...20
1) Remise de chèques…………………………………………………………………...20
2) Remise d’effets de commerce………………………………………………………..20
III. Remise de chèques et d’effets de commerce sur la SGBCI………………………….21
1) Remise de chèques…………………………………………………………………...21
2) Remise d’effets de commerce………………………………………………………..22
SECTION 2 : SAISIE DES PIECES COMPTABLES……......... …………….........…......24
I. Saisie d’un chèque et d’un effet BICICI................................................................26
1. saisie d’un chèque……………………………………………………………......26
2. saisie d’un effet………………………………………………………………......27
II. Saisie d’un chèque et d’un effet NSIA banque……………………….……….....27
1. saisie d’un chèque……………………….…………………………………….....27
2. saisie d’un effet……………………….……………………………………….....28
III. Saisie de cheque et d’effet SGBCI……………………………………………....29
1. saisie d’un chèque………………………………………………….......................29
2. saisie d’un effet……………………………………………………………….…..30
CHAPITRE II: CRITIQUES ET PROPOSITIONS D’AMELIORATION ...................21

XXII
SECTION I : CRITIQUES………………………………………………………………….32
SECTION II : SUGGESTIONS D’AMELIORATION…………………………………….33
CONCLUSION GENERALE………………………………………………………………36
BIBLIOGRAPHIE………………………………………………………………………..XII
ANNEXES ..........................................................................................................................XIII
TABLE DES MATIERES ................................................................................................XXI

XXIII
XXIV

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