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Introduction

Le béton est un matériau qui au fil de temps a été amélioré par plusieurs ingénieurs
contribuant ainsi à son développement. D’après quelques sources, il est confirmé que sur le
plan officiel la première utilisation du béton remonterait aux premières cités de l’ancienne
Mésopotamie vers les 3000avant J C, a l’époque on l’appelait béton de terre ou plus
communément torchis, ce premier béton malheureusement se dégrade plus rapidement que
la pierre.

A L’époque de l’antiquité égyptiennes, des mortiers composés de chaux, d’argile, de sable et


d’eau vont être utilisés. Ils serviront notamment à la construction des pyramides.

C’est ensuite à l’époque des romains aux alentours du 1er siècle après J C que le béton sera
réutilisé et amélioré techniquement en y ajoutant de la chaux, de la pouzzolane ou des
tuileaux concassés qui permettant ainsi d’obtenir un béton plus résistant.

En 1796, L’anglais James Parker va mettre au point un calcaire argileux qui permet d’obtenir
un ciment naturel après chauffage a 900 Degré celicius, ayant également une prise rapide.

En 1818, C’est au tour du français Louis Vicat de contribuer a l’évolution du béton en


obtenant une chaux artificielle supérieure a la moyenne et cela en chauffant très fortement
de la craie ou de la chaux pure avec de l’argile et ainsi la chaux hydraulique artificielle est
née.

Entre 1867 et 1891, Joseph Monier déposera plusieurs brevets et inventera le ciment armé,
qui ensuite est devenu béton armé.

Les révolutions s’enchainent et en 1928 Eugene Freyssinet révolutionne le domaine de la


construction en mettant au point le béton précontraint. Il s’agit d’un béton dans lequel on
introduit avant sa mise en service des câbles d’acier en tension.
Béton

Généralités

La pâte (ciment + eau), élément actif du béton, enrobe les granulats en jouant le rôle de
lubrifiant et de colle. Elle remplit les vides existants entre les grains.

Toute composition vise à atteindre trois objectifs principaux :

Une ouvrabilité adaptée aux conditions et aux moyens de mise en œuvre (conditionnée par
la forme du moule à remplir, l’obtention d’une bonne compacité et d’un enrobage correct des
armatures) ;

Une résistance mécanique, approprie pour atteindre les performances visées, notamment en
compression ;

Une durabilité adaptée aux agressions physico chimiques du milieu environnant (effet du gel,
pollution atmosphérique, eaux agressives).

Dosage en eau dans le béton

Son rôle est important au sein du béton car il permet d’assurer la porosité dans la
composition du béton, compte tenu les vides crées dans le béton lorsqu’elle s’élimine par
évaporation, absorption chimique ou absorption par les granulats.

En introduisant de manière significative les adjuvants, on contribue à l’amélioration de la


plasticité, par conséquent il y a l’élimination d’eau en excès, nuisible aux caractéristiques
finales du béton durci.

Dosage en ciment dans le béton

Le développement dans le temps des hydrates de ciment empêche progressivement les


capillaires.

Ce phénomène contribue à diminuer la porosité d’ensemble du béton et améliore


notablement sa durabilité.

COMPOSANTS DU BÉTON

Le terme « béton » recèle une ambiguïté. Le matériau doit en effet être considéré sous deux
formes :

- le béton frais, mélange homogène de matières premières solides en suspension dans


l'eau : c'est l'état dans lequel il se trouve lors de sa fabrication. Il se trouve en état foisonné
et à la sortie des appareils assurant l'obtention d'un mélange homogène, et en état compacté
dans son coffrage, après mise en place et damage, serrage ou vibration ;

- le béton durci, solide dont les propriétés physiques et mécaniques s'acquièrent au cours
des réactions physico-chimiques qui se déroulent entre ses composants à vitesse
relativement rapide au début, puis à vitesse fortement décroissante avec le temps.
Le béton est un matériau composite ; ses propriétés dépendent de la nature et de la qualité
de ses composants mais aussi de leurs proportions relatives. S'agissant des propriétés, il
convient de distinguer celles qui concernent le béton frais et le béton durci. Les matières
premières A titre d'exemple, la composition pondérale d'un béton courant, c'est-à-dire le
poids des différents composants permet- tant de fabriquer 1 m3 de béton durci, est la
suivante : granulats, 1 800 kg ; ciment, 350 kg ; eau, 180 kg ; à quoi s'ajoutent
éventuellement quelques 10 à 20 kg d'adjuvants. Quel que soit le béton, il est fabriqué avec
du ciment, des granulats, de l'eau, des adjuvants. Les granulats peuvent inclure des fillers et,
éventuellement, des ultrafines.

Le Ciment

Le ciment se présente sous la forme d'une poudre fine de couleur grise ou blanche. La
dimension des grains de ciment est caractérisée par la valeur de la finesse Blaine qui
mesure la surface totale des grains contenus dans 1 gramme ; la finesse Blaine des ciments
est de l'ordre de 3 500 à 4 500 cm2 /g. La dimension caractéristique des grains de ciment est
d'environ 30 à 50 |i. Obtenu par cuisson à 1450°C d'un mélange homogène de calcaire et
d'argile, dans la proportion 80 %/2 0 %, c'est un produit complexe constitué essentiellement
de silicate tricalcique 3 CaO , Si02 , de silicate bi calcique 2 CaO , Si02 , d'aluminate
tricalcique 3 CaO , A1203 et de ferro-aluminate tétra calcique 4 CaO , A1203 , Fe203 . Ce sont
principalement les silicates tricalcique et bi calcique qui confèrent au béton sa résistance ;
selon leur nature, les ciments contiennent entre 40 et 70 % de silicate tricalcique et entre 10
et 30 % de silicate bi calcique. Mélangé à l'eau, le ciment forme une pâte qui fait prise et
durcit progressivement dans l'air ou dans l'eau. C'est le composant fondamental du béton,
puisqu'il permet la transformation d'un mélange sans cohésion en un corps solide.

Les granulats

Les granulats rocheux sont constitués par les sables, les gravillons et les cailloux. Ils forment
le squelette du béton. Les granulats sont d'origine détritique, sédimentaire, métamorphique e
ou éruptive. On distingue les granulats roulés, extraits de ballastières naturelles ou dragués
en rivière ou en mer, et les granulats concassés, obtenus à partir de roches exploitées en
carrière. Ils sont classés en fonction des dimensions de leurs grains. La courbe
granulométrique représente la distribution en pourcentage des poids des matériaux passant
dans des tamis et passoires de dimensions normalisées. Par convention, on appelle sables
les grains de dimensions comprises entre 0,08 m m et 5 mm, gravillons ceux dont les
dimensions sont comprises entre 5 et 25 mm et cailloux ceux dont les dimensions sont
supérieures à 25 mm Pour les ouvrages courants, les granulats n'incluent que des sables et
des gravillons. Les granulats doivent être propres et chimiquement inertes vis-à-vis du
ciment, de l'eau et de l'air. Ils doivent répondre à certaines exigences de forme, de texture de
surface, de résistance à la compression, de résistance à l'abrasion, de porosité et de tenue
au gel.

Les fillers

Les fillers sont obtenus par broyage ou pulvérisation de certaines roches telles que les
calcaires, les kieselguhrs ou les bentonites. Ils ont une finesse comparable à celle du ciment.
Les ultrafines

Les ultrafines sont des particules de très faibles dimensions. Leur dimension caractéristique
est de l'ordre de 50 à 100 nm, soit 1000 à 500 fois moins que celle des grains de ciment.
Additionnées en quantités de l'ordre de 5 à 10 % du poids de ciment, elles améliorent
considérablement les caractéristiques physiques et mécaniques des bétons. Elles sont
utilisées pour la fabrication des bétons à hautes et à très hautes performances. Les fumées
de silice, sous-produits de l'industrie électrométallurgique, sont les ultrafines les plus
couramment employées à ce jour. Elles contiennent entre 70 et 95 % d'oxyde de silicium Si0
2 sous forme de microsphères d'un diamètre de l'ordre de 20 à 50 nm.

L'eau de gâchage

L'eau dans le béton est un élément qui contribue a la résistance du béton selon qu’elle est
utilisé dans les proportions convenables.

L’eau utilisé dans la composition du béton ne doit contenir d’éléments nuisibles et


d’impuretés en quantité car elle pourrait avoir des effets nocifs au durcissement et a la
durabilité du béton ou provoquer une corrosion des armatures.

Les eaux potables fournies par un réseau public de distribution sont acceptables a tous les
types de béton, elles ne nécessitent pas les essais.

Les eaux de rinçage et de recyclage d’installation du bétonnage sont habituellement


utilisables : leur aptitude est à vérifier pour certains bétons (essai = exigences particulières)

Les eaux de ruissellement, les eaux pompées dans la nappe phréatique, les eaux de rejets
industriels doivent subir un traitement et essai.

L’eau de mer, les eaux saumâtres peuvent être utilises uniquement pour du béton non armé.

Les eaux usées et les eaux vannes ne conviennent pas.

Les adjuvants

Les adjuvants sont des produits chimiques incorporés en faibles quantités au béton frais afin
d'en améliorer certaines propriétés. Ils représentent entre 1 et 3 % du poids du ciment. Leur
rôle et leur efficacité dépendent de la nature du produit chimique et de l'homogénéité de leur
répartition dans la masse du béton frais. Les principaux adjuvants sont : - les plastifiants et
fluidifiants réducteurs d'eau, qui remplissent deux fonctions : ils permettent, d'une part,
d'obtenir des bétons frais à consistance fluide et même liquide ; à maniabilité donnée, ils
offrent, d'autre part, la possibilité de réduire la quantité d'eau nécessaire à la fabrication et à
la mise en place du béton frais. Ce sont des résines mélamines ou des naphtalènes
sulfonâtes. Leur action s'exerce par défloculation et dispersion par répulsion électrostatique
des grains de ciment en solution dans l'eau, et leur durée d'activité n'excède pas 1 ou 2
heures ; - les retardateurs de prise du ciment, qui prolongent la durée pratique d'utilisation du
béton frais. Ce sont généralement des sucres ou des lignosulfonates. Ils sont utiles pour le
transport du béton sur de grandes distances ou pour sa mise en place par pompage,
particulièrement par temps chaud ; - les accélérateurs de prise et de durcissement, qui
permettent, pour les premiers, la réalisation de scellements ou d'étanchements et, pour les
seconds, une acquisition plus rapide de résistance du béton durci ; - les entraîneurs d'air, qui
confèrent au béton durci la capacité de résister aux effets de gels et de dégels successifs en
favorisant la formation de microbulles d'air réparties de façon homogène. L'influence des
adjuvants peut varier sensiblement en fonction de la nature et de la composition du ciment ;
des problèmes de compatibilité peuvent apparaître entre adjuvants et ciments.

PRINCIPAUX AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS DU BÉTON

- Avantages du béton :

 Il est peu coûteux, facile à fabriquer et nécessite peu d'entretien.

 Il épouse toutes les formes qui lui sont données. Des modifications et adaptations du
projet sur le chantier sont faciles à effectuer.

 Il devient solide comme de la pierre. Correctement utilisé, il dure des millénaires. Il


résiste bien au feu et aux actions mécaniques usuelles.

 Associé à des armatures en acier, il acquiert des propriétés nouvelles qui en font un
matériau de construction aux possibilités immenses (béton armé, béton précontraint).

 Il convient aux constructions monolithiques. Les assemblages sont faciles à réaliser


dans le cas de béton coulé sur place. Dans la plupart des cas, les dimensions des
ouvrages et éléments d'ouvrage en béton sont suffisants pour ne pas poser de
problème délicat de stabilité.

 Les ressources nécessaires pour sa fabrication existent dans de nombreux pays en


quantités presque illimitées.

 Il exige peu énergie pour sa fabrication.

- Inconvénients du béton

Les principaux inconvénients du béton ont pu être éliminés grâce à son association à des
armatures en acier ou à l'utilisation de la précontrainte. De toutes façons, il reste les
quelques inconvénients suivants :

 Son poids propre élevé (densité de 2,4 environ qui peut être réduite à 1,8 dans le cas
de bétons légers de structure et à moins de 1,0 dans le cas de béton légers
d'isolation)

 Sa faible isolation thermique (elle peut être facilement améliorée en ajoutant une
couche de produit isolant ou en utilisant des bétons légers spéciaux)

 Le coût élevé entraîné par la destruction du béton en cas de modification d'un


ouvrage.
Domaine d’utilisation en génie civil

Les ouvrages souterrains

Ce sont des éléments massifs qui consistent à la réalisation des ouvrages destines a la
circulation des personnes des véhicules et des marchandises notamment les tunnels routiers
et autoroutiers, tunnels ferroviaires.

Généralement, dans des travaux souterrains le béton intervient de façon avantageuse


notamment pour la fabrication de voussoirs qui constituent le revêtement définitif des tunnels
et des galeries.

La mise en place du béton par projection par voie humide :

Le mélange granulats ciment eau est malaxe dans une centrale puis stocké dans une trémie.
Il est ensuite pompé le long d’une tuyauterie jusqu'à la lance de projection. Ce type de béton
doit avoir une grande cohésion.

Cette technique du béton projeté permet de réaliser des couches de faibles épaisseurs,
adhérentes au support, qui épousent parfaitement le profil de l’excavation

Voussoir préfabriqué en béton, en cours de pose (vue du tunnelier).

La construction des routes


Les différents types du procédé

Le béton joue un rôle un important dans la réalisation des travaux de construction, il


est associé a d’autres matériaux tel que les aciers pour ainsi former un matériaux
composite répondant à des exigences nécessaires.

Généralement le procédé le plus couramment adopté est celui du moulage (coffrage)


qui consiste à accueillir les matériaux à mouler pour les donner la forme voulue quel
qu’elle soit.

Les types de coffrages

Les coffrages en bois

Les coffrages métalliques

Les coffrages en plastique

Les coffrages mixtes bois métal

Les coffrages en carton

Les calepinages

Les coffrages en bois

Le bois est le matériau le plus utilisé pour la réalisation de coffrages. Il est


économique, sciable et louable, ce qui permet de réaliser facilement toutes formes
de moules.

Pour coffrer les dalles, on utilise généralement des planches de coffrage rigides et


épaisses, du type bastaings (épaisseur de 27 à 40mm) pour éviter leur déformation.
Réalisation d’un coffrage en bois pour une dalle de béton.

Le bois de coffrage utilisé doit être sec, stabilisé et exempt d’impureté.

Lorsque l’on doit coffrer des surfaces importantes et planes (mur, plancher), on
utilise des panneaux de bois en contreplaqué bakélisé (contreplaqué filé et
imperméable) d’épaisseur 16 à 19mm pour faire le coffrage. Ce type de panneaux
est très utilisé pour coffrer le béton, car leur surface lisse permet d’obtenir des
parements de bonne qualité.

Préparation du coulage d’un plancher type dalle pleine à l’aide de panneaux de coffrage bois.

Les coffrages métalliques

Largement utilisés dans le bâtiment, les moules en acier permettent de réaliser


des ouvrages répétitifs (voiles, planchers, poteaux, poutres, mur de soutènement,
etc.). Ils permettent de rationaliser la mise en œuvre du béton et d’optimiser les
cycles de coffrage/décoffrage.

Banche de coffrage métallique servant à la réalisation de voiles en béton banché de


15 cm d’épaisseur.

Leur prix est plus élevé que ceux en bois, cependant ils peuvent être réemployés un
bien plus grand nombre de fois.

Les moules métalliques sont généralement imposants et donc lourds. Ils demandent
donc des moyens de manutention adéquat (grue). Cependant il existe aussi
des petits éléments modulaires plus légers et faciles à assembler.

Les moules métalliques permettent de réaliser des ouvrages avec des parements


de très bonne qualité, pour peu qu’ils soient bien entretenus et bien préparés
(nettoyage et huilage soigné).

Les coffrages en plastiques

Le plastique est utilisé pour réaliser des coffrages modulaires de petites


dimensions pour réaliser les murs, les poteaux, les poutres, etc…

Faciles à assembler, ces éléments sont parfaitement adaptés aux petits


chantiers car ils sont facilement manipulables à la main sans engin de manutention.
Les coffrages mixtes Bois métal

Ils sont composés d’une ossature métal (aluminium ou acier) et d’une face coffrant en


panneaux de contreplaqué de coffrage.

Ces moules sont modulaires et disposent d’une grande souplesse d’assemblage.

Légers, ils sont manuportables et nécessitent un petit engin de levage pour être mis
en place.

Les coffrages en carton

Ils sont utilisés pour réaliser des poteaux cylindriques par exemple (tube de coffrage
en carton pour coffrage poteau béton). Le carton est recyclé et résiste à l’humidité.
Les calepinages

Ce terme désigne un coffrage constitué de bandes d’éléments modulaire décoratif de


type pavé de pierre naturelle, de béton, de brique, ou tout autre élément décoratif.

Les calepinages sont largement utilisés pour réaliser les coffrages des dalles
extérieures en béton décoratif

Mise en œuvre du béton

C’est une opération consistant au coulage du béton et a la vibration du béton tout en


tenant compte des paramètres influents tel que l’ouvrabilité, la résistance et la
durabilité.

Coulage du béton

Après avoir malaxé le béton que vous avez soigneusement choisi et réalisé, il est
indispensable de refaire des vérifications avant d’entamer le coulage proprement dit.
La première vérification devra se porter sur le coffrage. Il faut vérifier notamment les
dimensions, la solidité, l’étanchéité, la propreté et enfin l’humidification des parois par
les produits qui facilitent le démoulage.
Ensuite, il faudra revérifier la disposition des ferraillages et le respect de l’enrobage
ou la distance des armatures par rapport aux parois.
Après avoir effectué toutes les vérifications, le coulage proprement dit peut alors être
démarré sans aucun problème.
Après le coulage, il faudra également s’assurer de la bonne répartition du béton dans
les armatures.

Vibration des bétons

C’est le moyen le plus couramment utilisé pour garantir la mise en place du béton
dans le coffrage.

La fonction principale de la vibration est l’arrangement optimal des grains qui sont
présents dans le béton.
La vibration permet ainsi l’obtention d’un matériau plus homogène et plus compact,
rendant la porosité du béton aussi faible que possible par l’effet de serrage. Elle
permet de remplir intégralement les coffrages et les moules.
La vibration a pour effet d’améliorer la viscosité du béton : il est donc possible et
même conseillé de réduire l’eau de gâchage.
Une bonne vibration du béton est donc indispensable du fait qu’elle accroît à la fois
les caractéristiques mécaniques, la durabilité mais également l’aspect du béton.

https://maconnerie.bilp.fr/guide-general/ouvrage/element/coulage-structure

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