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UNIVERSITÉ DES SCIENCES ET TECHNOLOGIE BLIDA 1

FACULTÉ DE TECHNOLOGIE
DÉPARTEMENT DES ÉNERGIES RENOUVELABLES
3EME ANNÉE LICENCE

TP MODELISATIONS
SIMULATIONS

Réalisé par : OUCHENE FAROUK


GROUPE : 33

Année universitaire : 2019/2020


TP1
ESTIMATION DU NOMBRE DE NUSSELT DANS UNE CONDUITE

1/ Introduction – Objet du TP :


Le présent TP a pour objet d’estimer le nombre de Nusselt dans le cas d’un écoulement en
conduite et de de déterminer sa variation, en fonction du nombre de Reynolds, en utilisant les
relations de la littérature. Ceci en considérant :
- 3 rapports Longueur/Diamètre (10, 40 puis 100) ;
- Que la limite du laminaire représente également le début du turbulent (faute de modèle, le
transitoire est occulté) ;
- Que la limite du laminaire est correspond à Re=2100.
- De l’eau à 310 K comme fluide.
2/ Organigramme
Ci-joint organigramme pour un rapport L/d défini :

3/ Programme :
Le programme sous Matlab s’écrit :
% Nusselt en conduite
%
clear
% Lecture de données
Ro=993; Mua=0.695e-3 ; Mup=0.690e-3; Pr=4.62;
d = [0.01 0.05 0.2]; L=2; mmax=d*1e4;

for j=1:3,
m(:,j)=(0.1:d(j)*10:mmax(j))';
Re(:,j) = 4*m(:,j)/(pi*d(j)*Mua);n=length(m);
for i=1:n,
if Re(i,j) < 2100
M=Re(i,j)*Pr*(d(j)/L);
if M>100
Nu(i,j)=(M/4)*log(1/(1-2.6/(Pr^.167*M^.5)));
else
Nu(i,j)=1.86*((Mua/Mup)^(0.14))*(M^0.333);
end;
else
U=.023*(Re(i,j)^.8)*(Pr^.333)*((Mua/Mup)^.36);
V=L/d(j);
if V>60
Nu(i,j)=U;
elseif V<20
Nu(i,j)=U*(1+(1/V)^.7);
else
Nu(i,j)=U*(1+6/V);
end;
end
end
end

4 Résultats de l’application :
Pour de l’eau à 310 K, les tables thermodynamiques donnent :

T, K , kg/m3 μ*106, N.s/m2 k, W/m.K Pr


310 0,993 695 0,628 4,62

La figure ci-dessous représente la variation du Nusselt en fonction du nombre de Reynolds pour


différents rapports L/d.
3
10

L/d = 200
= 40
= 10

2
10

Nu 1
10

0
10
2 3 4 5
10 10 10 10
Re

Les discontinuités sont dues au fait que, faute de modèle, le régime transitoire a été annexé au
régime turbulent.
TP 2
Simulation Eclairement Solaire et Température ambiante

1/ Angles horaires aux lever et coucher du soleil :


Connaissant les numéros des jours correspondant aux solstices on détermine :
- Les déclinaisons (relation (1))
- Les angles horaires au lever et coucher du soleil (relation (5))
- Le temps solaire vrai (tsv) au lever et coucher du soleil (relation (6))
Les résultats sont portés dans le tableau suivant :

J  lever coucher tlever tcoucher


Equinoxe Printemps 81 0 -90° 90° 6h 18h
s Automne 264 0 -90° 90° 6h 18h
Hiver 355 -23.45° -71.14 71.14 7h15m 16h45mn
n
Solstices
Eté 172 +23.45 -108.86 108.86 4h45m 1915mn
° n

2/ Eclairement Solaire par Ciel Clair :


Après calcul du sinus de la hauteur du soleil (relation 2), entre lever et coucher du soleil, avec un
pas d’angle horaire = 1°, on procède à l’estimation de l’éclairement solaire global, par ciel
clair, en utilisant le modèle de Capderou (relation 1) pour le même vecteur temps. Les courbes
représentatives pour les 4 journées sont représentées en figure 1.

3/ Température ambiante
La variation de la température ambiante durant les journées représentatives des 4 saisons, pour le
même vecteur temps, est estimée à l’aide de la relation (4) et en utilisant les données
météorologiques du site (source ONM). Les courbes représentatives pour les 4 journées sont
représentées en figure 2.

30
1200
Equinoxe
Solstice Eté
1000 Equinoxe 25
Solstice Hiver

800
20
Ta, °C
Ig, W/m 2

600
15

400
Equinoxe
10 Solstice Eté
200 Equinoxe
Solstice Hiver

0 5
4 6 8 10 12 14 16 18 20 4 6 8 10 12 14 16 18 20
tsv, h tsv, h

Fig.1 Variation de l’Eclairement Solaire Fig.2 Variation de la température ambiante


Programme :
%
% TP1 Simulation Eclairement Solaire et Température ambiante
%
clear
J=[81 172 264 355]; Phi=36.7;

Delta=23.45*sind(360*(J-81)/365);
Ws=acosd(-tand(Phi).*tand(Delta));
Tsvl=12-Ws/15; Tsvc=12+Ws/15;

% Eclairement
for j=1:4,
C1=sind(Phi)*sind(Delta(j)); C2=cosd(Phi)*cosd(Delta(j));
W=[]; W=(-fix(Ws(j)):fix(Ws(j)))'; eval(['W',num2str(j),'=W']);
Tsv=12+W/15; eval(['Tsv',num2str(j),'=Tsv']);
Sinh=[]; Sinh(:,j) = C1 + C2*cosd(W);
Ig=[]; Ig = 1080*Sinh(:,j).^1.22; eval(['Ig',num2str(j),'=Ig']);
end
figure(1); plot(Tsv1,Ig1,Tsv2,Ig2,Tsv3,Ig3,Tsv4,Ig4)
xlabel('tsv, h'); ylabel('Ig, W/m^2'); legend('Equinoxe','Solstice
Eté','Equinoxe','Solstice Hiver');

% Température ambiante
tM=14;
Tamin = [6.7 15.4 16.8 7.3];
Tamax = [18.6 26.9 28.8 17.6];

for j=1:4
W=[]; W=(-fix(Ws(j)):fix(Ws(j)))'; t=12+W/15;
Ta=[]; Ta = Tamin(j)+(Tamax(j)-Tamin(j))*sin((pi/2)*(t-Tsvl(j))/(tM-
Tsvl(j)));
eval(['Ta',num2str(j),'=Ta']);
end
figure(2); plot(Tsv1,Ta1,Tsv2,Ta2,Tsv3,Ta3,Tsv4,Ta4);
xlabel('tsv, h'); ylabel('Ta, °C'); legend('Equinoxe','Solstice
Eté','Equinoxe','Solstice Hiver');
TP 3 - CHAUFFE EAU SOLAIRE

1/ Irradiations solaires Horaires :


Angle horaire au lever du soleil :
Au solstice d’été, la déclinaison est égale à +23.45 °. Sachant que la latitude d’Alger est de 36.7°
N, l’angle horaire au lever (ou coucher) du soleil est donné par ;

s  acos   tan    tan    


=
Les irradiations solaires horaires sont estimées à partir des valeurs de l’éclairement à la demi-
heure en utilisant le modèle de Capderou, Soit :

 1  cos  1  cos  
H  ,i  I  ,
i
1

 
t   Rb I gh  I d 
2
I d  s
2
I gh 
i 1
2
2

Avec : 1

0.9

I gh  1080  sin h 
1.22
0.8

0.7

et 0.6
H , kWh

0.5

I d  125  sin h 

0.4 0.4

0.3

0.2
Par ailleurs, pour un capteur orienté plein sud et incliné 0.1

à la latitude du lieu on a :. 0


5 10 15 20
t, h

cos  cos  cos 


Rb   30
sin h sin h
28

26

2/ Variation de la température ambiante : 24


Ta, °C

Avec l’hypothèse d’un modèle sinusoïdal, il vient : 22

20

 t  t1  
Ta  Ta ,min   Ta ,max  Ta ,min  sin   18

 t M  t1 2  16
5 10 15 20
t, h
3/ Température de stockage Production Journalière
La variation de la température de stockage et de la production énergétique journalière sont
représentées dans les figures suivantes.

80
10

70
8
60

6
50
Ts, °C

Qu, MW
40 4

30
2
20

0
10

0 -2
5 10 15 20 5 10 15 20
t, h t, h

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