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Modalité d’évaluation : noté sur 22 points. 5 points sur la forme (notamment sur le
plan). Introduction (= fait d’actualité, citation d’un auteur, amener le sujet, définir
les termes, les clés du sujet, justifier du plan c’est à dire pourquoi on parle de ça
ou ça en premier) + questions spécifiques (si sur 1 point, répondre précisément à
la question ; si sur 2 points, développer un peu plus)
Introduction
1. La science n’est pas simple, de simples idées peuvent être toutes fausses
À nos ancêtres, on leur a dit que la terre était plate. On sait aujourd’hui qu’elle est
ronde voire ovale. On sait donc que tout ce qui est dit, même venant de la science,
n’est pas toujours avéré.
Elles peuvent être fausses à moins que non mais ce sont des idées.
Pour Mauss, « il y a toujours un moment où la science de certains faits n’étant pas
encore réduites au concept, ces faits n’étant même pas groupé organiquement, on
plante sur des masses de faits, le jalon « d’ignorances diverses ». C’est là qu’il faut
pénétrer. On est sur que c’est là qu’il y a des vérités à trouver : d’abord parce
qu’on sait qu’on ne sait pas et parce qu’on a le sens vif de la quantité des faits. »
Ex : C’est parce qu’on sait qu’on ne connait pas que l’on va aller explorer. Le
principe en sociologie c’est de se baser sur la quantité.
Ne pas confondre visibilité et réalité. On ne voit pas à travers nos yeux mais on
voit avec notre cerveau. Simon, rationalité limitée.
Ce n’est pas non plus parce qu’il y a exhibition d’un fait que celui-ci est exact ou
important.
Avec ce contexte on peut observer des phénomènes différents
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L’idée est d’essayer de relier les 9 points sans lever le stylo en faisant 4 lignes
droites. Le problème étant que si l’on voit en regardant ces 9 points, un cadre, il
est alors impossible de relier les 9 points avec 4 lignes droites. Cependant,
personne ne nous interdit de sortir du cadre. C’est nous qui nous l’imposons en
voyant, selon la disposition des points, la forme que cela rend.
En sortant du cadre, on peut tout à fait les relier par 4 lignes droites sans lever le
crayon.
Pour lui, il y a moyen d’objectiver les événements. Une chose est une réalité que
l’on doit observer depuis l’extérieur et que l’on connaît pas, a priori. Le sociologue
qui va dans l’entreprise ne connaît pas, l’entreprise où il va, pour éviter tout risque
de compréhension immédiate qui ne serait qu’illusion. Il propose donc une
explication sociologique des faits sociaux.
L’action sociale est pour lui la manière d’agir, de penser, de se sentir extérieur à
l’individu et ces manières d’agir sont dotées d’un pouvoir de coercition, de
contraintes en vertu duquel elle s’impose à lui.
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Ex : Un système monétaire avant ; la contrainte : la sanction
Le subjectivisme de Weber
Pour Weber, l’action humaine est sociale du fait de la signification subjective que le
ou les individus y attachent. Elle tient compte du comportement des autres et
cette signification évolue. Selon lui, la recherche scientifique est une action
rationnelle qui a une valeur de recherche de vérité donc il y a eu un choix alors
c’est subjectif.
Pour le sociologue, l’objet d’étude est la société. C’est l’étude des processus
sociéto et culturel et de tout ce qui relève du collectif en société.
L’objet d’étude est le groupe et les relations de travail. On appelle cela également
une science de l’action parce que c’est tourné vers l’action. C’est un courant
trans-disciplinaire qui rassemble des sociologues, des psychologues, des
psychanalystes et des pédagogues…
Pour Lewin, le groupe est une totalité différente des personnes. Lewin va
s’interroger sur l’influence que peut avoir un groupe restreint. Un groupe restreint
est un petit groupe. Il va étudier son influence sur la réduction de la résistance au
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changement. Pour lui, son hypothèse, est la discussion et la décision de groupe
ensemble, facilite le changement de la norme.
Lewin a donc fait un test. Il a fait 3 groupes. Dans le premier, il demande à des
ménagères d’écouter une conférence sur l’intérêt économique et nutritionnel des
abats. Dans le deuxième, il va y avoir une conférence avec discussion à la suite,
sur les bienfaits des abats et participer à une discussion sur la base de la
conférence, cela se passe donc en deux temps. Et le troisième, c’est celui-ci qui a
fonctionné parce que l’on permettait aux ménagères de prendre une décision
collective pour résoudre le problème de la pénurie de viande. Selon lui, il a
démontré qu’une décision collective engage plus qu’une décision individuelle.
Pour Dois, en 1982, quatre facteurs sont importants pour rendre compte du
phénomène social :
Les modèles proposés sont des ensembles de propositions. Mais un modèle n’est
pas forcément la réalité parce qu’un modèle est par définition une simplification.
Quand on fait une expérience, on met des conditions particulières d’expériences.
Un modèle a un but, cela permet d’expliquer de comprendre les mécanismes. Un
modèle ne peut pas se substituer à la réalité. La réalité est par définition complexe.
On sait que pour rendre compte d’un ensemble d’éléments qui ont des relations
complexes à travers un modèle, le modèle doit être au moins aussi complexe. Et
en même temps, même en faisant cela, on est pas sur d’appréhender toute la
réalité.
Les biais cognitifs sont des erreurs dans le comportement ou la décision faites
devant une situation précise suite à une faille, une erreur dans l’information et dans
le traitement de l’information. Ce qui va être dis relève de l’illusion par rapport à la
réalité du travail mais c’est quand même utilisable simplement par définition le
modèle est toujours incomplet. On sera toujours incertain du résultat.
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Chapitre 1 : L’individu
Nous allons nous baser surtout sur Piager et l’Ecuyer. Nous avons un égo en
tant que conscience d’exister, conscience d’être et avec deux caractéristiques
particulières de cet égo c’est que ce n’est ni concret, ni une action. Il n’y a pas de
discontinuité et en même temps cette continuité on en est pas certain, dans la
mesure où, on est toujours soit même et en même temps on évolue (exemple :
comment on était il y a 10 ans). Pour les psychosociologues, la conscience d’être,
une tension entre continuité et discontinuité est un problème existentiel de la
réalité.
Il y a 3 tensions en psychosociologie :
Pour le salarié, on a le contrat et on a l’image social de notre rôle.
En référence à l’exercice :
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I-/ La personnalité
Il va poser des questions aux personnages âgées (qui elles sont). Deux points
fondamentales selon lui : les statistiques de développement et les structures de
soi.
• Le soi du non soi c’est-à-dire sa façon de parler aux autres mais sur des points
qui vont toucher la personne elle-même, la façon de parler des autres
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Il y a une combinaison de gènes qui va déterminer de façon aléatoire une partie
des caractéristiques physiques intellectuelles et son tempérament. Simplement, il
évolue dans un milieu, c’est-à-dire qu’il n’est pas figé.
3 caractéristiques de la personnalité :
Exemples :
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• L’assimilation perceptive, explique qu’un élément est perçu en
fonction des schémas antérieurs. On voit à travers nos filtres perceptifs.
Dans cette structure de personnalité, tout ce qui a été vécu ou est vécu à chaque
instant, est actualisé. Toute notre histoire personnelle intervient et agit.
Il y a une dialectique avec ceux qui nous entourent. On peut reproduire les effets
de ce trauma, on va reproduire une attitude par rapport à une façon, par rapport à
un contexte. Mais c’est inconscient. Au bout d’un moment, si cela dépend du
contexte, on peut penser ou pas que l’environnement justice le choix de la
personne. Au niveau psychologique, dans un groupe de personne quand une
personne arrive, il y a un enrichissement. On voit les autres autrement puisque
l’interaction va être modifiée, il va y avoir du mouvement dans le groupe. Si on
reste avec le même groupe sans faire venir quelqu’un de l’extérieur, cela peut
fonctionner mais c’est fermé. Quand on met une personne à l’intérieur, on peut
avoir un phénomène d’ouverture et/ou de fermeture. La difficulté pour le RH est
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que quand on recrute une nouvelle personne, on peut avoir une certaine
prédictivité de conduite qui ne sont pas forcément fausse, si on est observateur,
mais si la personne est tellement sûre du résultat, elle n’inclut pas le fait qu’elle
puisse se tromper. Or on a une rationalité limitée, on ne dispose pas de toute
l’information. L’anticipation d’une réaction de quelqu’un est à intégrer avec une
probabilité d’erreur.
En effet, une des explications que l’on peut donner est que la personne si elle sait
qu’elle est observée elle va, soit, renforcer sa conduite donc continuer, soit, elle va
changer, modifier son comportement. La prédictivité est relationnelle et non
objective.
L’estime de soi
L’estime de soi est quelque chose de complexe. C’est une valeur. C’est la valeur
que nous nous donnons nous même, consciemment ou inconsciemment. C’est
donc une façon de se considérer. Mais c’est complexe parce que nous savons que
nous sommes multidimensionnels c’est-à-dire que cela dépend du contexte. On
donne une propre valeur à notre personnalité mais qui peut varier en fonction du
contexte. On peut avoir une bonne estime de soi en famille ou avec les amis et une
moins bonne estime de soi au travail, avec les collègues. La confiance en soi est
ce qui va permettre de modifier notre comportement. Quelqu’un qui a une grande
estime de soi est quelqu’un qui peut prendre des risques plus facilement parce
qu’il se fait confiance. Le degré de contrôle : supposons un accident, une
personne est à l’hôpital. Face à cette situation, une personne va se dire que c’est
de sa faute ce qui donne un sentiment de contrôle. Une autre personne peut dire
que ce n’est pas de sa faute, que ce n’est pas elle. Il y a une vision différente du
phénomène et du coup les personnes peuvent modifier leur comportement
derrière. Le degré d’extraversion ou d’introversion : la personnalité introvertie a
tendance à se tourner vers elle-même. Avec une plus grande sensibilité à l’abstrait
et au sentiment exprimé par les personnes et avec une difficulté d’écoute. Celui
qui vit en relation avec une personne introvertie, se rend vite compte que c’est très
fort chez la personne. La personnalité extravertie est une personne tournée vers le
concret, tournée vers l’extérieur, vers les objets, qui va privilégier l’événement au
ressenti, qui peut avoir une capacité relationnelle plus forte et sans rentrer trop
dans l’affectif. On peut être les deux à la fois, les deux dimensions ne sont pas
exclusives l’une de l’autre. Nous pouvons voir un degré de contradiction peut être
sujet à créer des tensions à l’intérieur de soi.
—> Ainsi la personnalité est deux choses : on ne peut avoir un jugement définitif
sur quelqu’un, on ne peut pas avoir des idées arrêtées sur quelqu’un. Dans ce
processus de transformation, notre relation au monde est fondamentale.
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II. Les perceptions
Une expérience est faite sur des enfants de 7 à 14 ans. Piager prend une balle
colorée des deux côtés, une face rouge et une face verte. Il place la balle devant
un enfant et il met le côté vert face à l’enfant. Il pose ensuite deux questions :
« Quelle couleur vois-tu ? » L’enfant répond « vert ». Ensuite il demande, « quelle
couleur je vois ? » et là, il constate que les enfants de 7 ans répondent vert. Passé
l’âge de 6-7 ans, l’enfant va comprendre que si c’est vert pour lui, c’est rouge pour
l’autre. Il y a un stade opératoire qui va faire que l’enfant va avoir une perspective.
Piager réalise une même expérience mais avec un verre d’eau. Il prend un petit
verre et il le remplit d’eau. Ensuite, il prend un grand verre et il met la même
quantité d’eau que dans le petit verre. Les enfants de 6-7 ans diront qu’il y a plus
d’eau dans le grand verre que dans le petit verre.
La catégorisation : c’est une classification par catégorie parce que nous sommes
submergé d’informations. Cela permet un accès plus simple, plus prévisible. Le
stéréotype c’est un lien qui est entre l’appartenance à un groupe et la possession
de certaines caractéristiques. Exemple : la caractéristique des femmes souvent
c’est qu’elles sont bavardes.
• Les inférences arbitraires : c’est tirer des conclusions sans preuves ou à partir
de maigres indices qui ne suffisent pas à les confirmer. Exemple : un client ne
vient pas à un rendez-vous et la personne pense que c’est à cause d’elle
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• L’exagération et la minimisation : un étudiant fait une erreur à un examen et dit
que c’est une catastrophe
C’est par nos sens que nous percevons la réalité, que nous captons les
informations de l’environnement dans lequel on baigne. Les sens sont des filtres
de perceptions de la réalité, c’est par nos cellules nerveuses que nous interprétons
la réalité perçue et que nous agissons ou réagissons.
Nous avons des représentations de la réalité que nous prenons pour la réalité elle-
même. C’est-à-dire que nous avons des constructions psychique subjective (lié à
soi) qui se sont construite au cours de notre vie et qui se sont transformées en
croyances. Exemple : le fait de croire que le monde est hostile, ou que les femmes
sont dangereuses, ou hommes dangereux, que plaisir est associé à souffrance
derrière. Notre croyance devient alors un filtre entre le monde extérieur et les
événements, les faits tels qu’ils sont. En fait, il va y avoir un lien qui va être fait de
façon arbitraire à un moment donné. Exemple : si je fais ça, il va m’arriver ça, ou si
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je m’habille mal on ne va plus m’aimer ou encore si je suis belle on va m’agresser.
C’est-à-dire qu’il y a un processus d’implication de cause à effet. La
connaissance, est une construction de la réalité au travers de nos sens. En fait, le
système de croyance établi au cours du temps, nous amène à nous comporter
comme si ces croyances étaient vraies, en oubliant que nous construisons ce
monde, au travers de nos sens, de notre histoire personnelle, etc.
« Beaucoup de personnes pensent qu’elles sont malheureuses parce que le monde
est méchant alors qu’en réalité, elles sont malheureuses parce qu’elles croient que
le monde devrait être gentil. »
En application, dans l’entreprise, un salarié va penser que son patron est horrible
parce qu’elle croît que les patrons devraient être gentil. C’est la généralisation qui
va amplifier le phénomène. Il va y avoir également, des lectures de pensées.
Exemple, vous allez dans un magasin, vous reconnaissez un collègue, de loin cette
personne vous fait un signe et un sourire et de ce fait vous allez penser qu’elle
vous aime bien.
Pour sortir de cette croyance, une proposition de la PNL (=programmation neuro-
linguistique) est de passer par une observation, quels sont les faits, par une
hypothèse personnelle, et donc il y aura un processus externe de vérification pour
aboutir à une connaissance forte, une confirmation ou pas de l’hypothèse.
La croyance, s’impose à nous parfois comme une vérité évidente. Elle a une
fonction positive, parce qu’à ce moment là elle était (la croyance) adaptée à un
moment donné dans un environnement. C’est la généralisation, que l’on va faire
très souvent inconsciemment, qui va faire qu’on perd l’origine de cette croyance.
Cela peut être dû à l’histoire personnelle, à la transgénérationnelle, à
l’environnement. Par rapport à Moscovitchi la société n’est pas une source
d’information mais de signification c’est-à-dire qu’on y met du sens.
Processus de sélection et d’organisation
Le processus de sélection
Percevoir c’est donner donc du sens. Le problème c’est que le sens n’est jamais
complètement déterminé par l’information. La personne qui perçoit l’information va
donner du sens et donc on ne peut exclure la ré-interprétation par la personne.
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1. La sélection
• La taille de l’information
• Le constrate
Festinger, disait déjà dans les années 50, que la personnalité, les connaissances
acquises et la motivation perceptive font partis de ce que Festinger appelle la
dissonance cognitive. Pour Festinger en effet, il y a l’existence d’éléments
dissonants (qui ne s’accorde pas) qui va faire que la personne va faire un effort
pour les faire mieux s’accorder ou diminuer la dissonance créée.
2. L’organisation
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faire que l’on accroche ou on accroche moins avec la personne, comme si la
personne se limitait à une seule représentation
La perception de la personne
Ainsi, la manière dont on perçoit quelqu’un a une grande influence sur notre
comportement envers lui. Ce point est particulièrement important, concernant
l’évaluation de la personne par nous même. Il faut avoir conscience de ce biais,
parce que si vous êtes responsable et que vous avez un a priori sur une personne,
il est possible et fort probable que les « échecs » vont être plus facilement attribué
à la personne qu’à des événements extérieurs. Et inversement, si vous avez une
perception positive et que vous n’avez pas conscience de ce biais, il est fort
probable que les « échecs » seront dûs ou expliqué par des événements
extérieurs. Alors, très souvent, en psychosociologie, les échecs ou les réussites
attribués par la personne repose sur quatre facteurs:
• La compétence
• L’effort
• La difficulté de la tâche
• La chance
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Ce sont des erreurs systématiques d’observations :
• Les inductions de l’attente : c’est ce qui est induit par ce que l’on attend. À un
moment donné, on peut avoir des anticipations de ce que va être la personne.
On a des images de la personne et on va attendre du coup des comportements
pour confirmer nos attentes.
En psychosociologie, les biais les plus cités sont la perception, la causalité, les
interactions sociales, les logiques, les statistiques, les biais « attentionnels », les
biais mnésiques, le biais de jugement, de la personnalité, le biais égocentrique,
etc. La plupart des biais cognitifs sont inconscients. On attribut aux autres, les
mêmes désirs que les nôtres, or chacun ayant sa propre personnalité, c’est une
illusion. L’alter ego donc l’autre peut avoir une influence sur nos pensées. Et sur
nos comportements, c’est ce qu’on appelle le biais altercentrique c’est-à-dire que
l’on peut vouloir partager les idées qu’une personne, qu’un groupe, sans y
réfléchir, on est alors sous forme d’influence. Nous sommes incapables de ne pas
donner de sens à ceux que nous percevons, c’est une pulsion a priori irrépressible.
Quand on perçoit quelqu’un, on attribut systématiquement son comportement
aux causes. Quand on voit quelqu’un au travail, on va chercher à comprendre.
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La causalité externe, peut enlever ce que l’on appelle la responsabilité et
confronter la personne à l’angoisse d’une perte de contrôle sur les événements.
CONCLUSION
La motivation est quelque chose qui nous pousse à agir. Mais cela ne veut pas dire
qu’on va le faire. Nous sommes énergétiques c’est-à-dire des êtres de désir, de
pulsion, de demande… C’est-à-dire que notre capacité à agir, à mobiliser de
l’énergie est fondamentalement basé sur des besoins et notamment le plus
classique, un besoin de reconnaissance ou/et un besoin d’existence. Nous ne
pouvons pas prendre le risque de ne pas exister. On a conscience de notre
existence. On a besoin de se dire, j’existe. Ce besoin fondamental apparaît au
travers des relations que l’on a, à travers les autres. On ne peut pas exister sans
les autres. En plus, les autres ont des statuts multiples. L’autre peut être un
modèle, un adversaire, un partenaire. Il peut y avoir un modèle de référence, un
phénomène d’influence lié au modèle. Le partenaire, c’est pour échanger des
idées. L’adversaire c’est pour en discuter. Et le quatrième élément, est l’objet de la
relation. C’est celui sur lequel on va avoir une action. Cette notion d’objet est
fondamentale. C’est fondamental parce que lorsque l’on voit l’autre comme un
modèle, un adversaire ou un partenaire c’est qu’on oublie cette notion d’objet.
La motivation est une catégorie de force qui agit sur une personne ou en elle-
même, pour la pousser à se conduire d’une manière spécifique, orientée vers une
but, une finalité. Il existe 3 grands ensembles de motivation qui pousse à agir :
• La théorie rationaliste
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• La théorie de la satisfaction des besoins (= théorie substantialiste)
Dans la théorie de la motivation qui passe par la satisfaction des besoins, l’acteur
psychologique va chercher à satisfaire ses besoins soit en conscience, soit sans le
savoir. Connaissons nous tous nos besoins ?
Les origines de cette théorie viennent de l’école de MAYO et l’origine est l’effet
Hawthorne chez la Western Electric. Mayo et ses collaborateurs ont voulu voir
l’effet de la production en augmentant la luminosité dans une usine de production.
Ils ont fait un test, ils ont pris un groupe dans lequel ils ont augmenté la luminosité
pour les ouvrières et la productivité a augmenté. Et ils ont fait ensuite le test
inverse en baissant la luminosité mais la productivité augmenté toujours. En faisant
ça, ils les ont reconnus comme groupe, donc il y a quelque chose qui s’est créé
autour de ses femmes et qui a stimulé ces dernières. C’est un phénomène de
groupe. Dans ce cadre, l’acteur psychologique est irrationnel. Si on s’intéressait
aux besoins des individus, on va voir 4 types :
• La Pyramide de Maslow
1. La Pyramide de Maslow
Principe de base : pour lui, un besoin n’engendre pas de motivation s’il est
satisfait, puisque comme il est satisfait il n’y a pas de besoin. Et quand un besoin
est satisfait, un autre apparaît. Pour lui, toutes les personnes ont la même
structure de besoin. Il va distinguer les besoins primaires et les besoins
secondaires. Dans les besoins primaires, on retrouve les besoins physiologiques
soit les besoins de maintien en vie (avec la respiration, l’eau, l’alimentation,
l’élimination, le repos, besoin de se vêtir, de procréer/ de sexualité). Ensuite il y a
les besoins de sécurité (avoir un toit, se sentir un protection, le besoin de maîtrise
sur les choses, d’avoir un emploi, de faire confiance, etc). Dans les besoins
secondaire, on retrouve les besoins d’appartenance (avec dedans le besoin
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d’amour, d’être aimé, compris, de faire parti d’un groupe, d’avoir un statut, de
dialogue, de cohésion d’équipe, et ces besoins ne sont pas figé). Ensuite, dans les
besoins secondaire, le besoin d’estime et de considération (d’être connu, reconnu
dans sa personne, son travail, sentiment d’être utile, d’avoir de la valeur, conserver
son autonomie, les récompenses…) et enfin le besoin d’accomplissement (avec la
réalisation de soi ou/et développer ses connaissances ou/et besoin d’être en
phase avec ses valeurs, être créatif, laisser une trace, …). Ces besoins seraient
pour certains hiérarchisé, on ne peut ressentir un manque pour un besoin
supérieur si on a pas auparavant satisfait un besoin inférieur.
Les critiques qui ont été faites sur le modèle sont que sur cette base on partirait
sur le principe que toutes les personnes sont identiques, ce qui n’est pas le cas
puisque nous sommes des êtres uniques et différents. Il y a aussi ceux qui sont
venus dire qu’il y avait une hiérarchie. Cette théorie est d’abord idéologique et la
critique qui est apparu et elle a permis de justifier le pouvoir managérial et
d’adopter des pratiques de motivations qui semblent répondre aux besoins des
personnes donnant l’illusion à ces managers de remplir leur fonction sans se
préoccuper de l’efficacité ou pas de cette pratique.
Pour Mcclelland, il existe 3 grands besoins pas toujours évident à distinguer : une
besoin d’appartenance, un besoin d’accomplissement autocentré et un besoin
d’accomplissement en termes de pouvoir. Ces 3 besoins seront non hiérarchisé,
c’est le modèle d’excellence ou de compétition, sur cette base il définit les
individus hautement performants comme des personnes qui aiment se fixer leur
propre but dixit autocentré. Se donne des objectifs modérément inaccessibles et
préfère les tâches à la rétroaction immédiate. Pour Mclelland comme pour Alderfer,
le pouvoir est un attribut de la personne (cela appartient à la personne). C’est-à-
dire dans le sens où le pouvoir est vu comme la possibilité de maîtriser sa
performance dans un milieu donné. Critique de cette théorie, la conception est
originale certes, mais elle est culturellement dépendante. De plus, cette idée est
discutable selon le modèle de management en GRH.
Il peut y avoir une compensation entre la satisfaction des différents besoins on
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peut par exemple durablement se sentir exclu d’un groupe mais pour avoir du
pouvoir. En 2002, Goleman a développé avec d’autres l’approche de l’intelligence
émotionnelle et du leadership.
Goleman, Boyatziz et Mc Kee (IMPORTANT —> Partiel), toujours dans une logique
de la théorie de l’accomplissement, ils développent un ensemble de théories très
intéressantes. En 2002, ils vont développer une approche sur l’intelligence
émotionnelle et l’approche du leadership. La théorie substantialiste par
l’accomplissement (théorie par la satisfaction des besoins) est l’intelligence
émotionnelle pour eux. Pour eux, il y a 4 sphères de compétences qu’ils vont
distinguer en deux éléments :
• La gestion de soi, j’ai conscience que j’ai des émotions mais comment
je les gère ? La gestion de soi c’est la maîtrise des émotions (faire de
son mieux pour pouvoir la maîtriser, et en réduire les effets) et pas le
contrôle (tu t’empêches d’avoir des émotions). Mais c’est aussi la
transparence, c’est-à-dire faire preuve d’honnêteté, d’intégrité et de
loyauté de vous envers vous-même. Également, l’adaptabilité qui
correspond à la flexibilité que l’on peut avoir, que l’on cherche à avoir
pour s’adapter aux changements ou surmonter les obstacles. Ex : j’ai
eu 8 en psychosocio, je vais au rattrapage, de façon très honnête est-
ce que j’ai assez travaillé ? On doit se remettre en question. La
réalisation, c’est la volonté de progresser pour atteindre des normes
personnelles d’excellences. L’initiative est la capacité, la disposition à
agir et à saisir des opportunités. L’optimisme, c’est voir le côté positif
des choses, même si quelque chose ne s’est pas passé comme on
l’aurai voulu, il y a peut être quelque chose à y apprendre et donc c’est
une version assez optimiste des choses.
C’est une théorie qui date des années 70. Pour Herzberg, l’hygiène de vie repose
sur 5 facteurs :
• Les conditions de travail : s’il y a du bruit, c’est négatif. Mais pour lui, si on
retire le bruit, c’est neutre. Ce qu’il note c’est que finalement, les notions qui
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ressortent, c’est le travail au sens d’élargissement du travail; l’enrichissement
du travail; qui serait un facteur énergétique; la considération; reconnaître la
personne comme personne, ce sont des sujets et non des objets; la
perspective de carrière, il y a une possibilité d’évolution et enfin la
responsabilité.
La critique qui a été faite c’est que l’on ne sait pas si ça marche ou pas. Pas de
lien entre la motivation au travail et la performance.
La critique qui ont été faites à la satisfaction des besoins, est que l’on parle de la
théorie comme si l’individu était toujours le même. Or, le mot important : c’est le
contexte, cela dépend du « ici et maintenant », parce que l’on a des individus et
des situations qui sont différentes, on ne joue pas les mêmes rôles tout le temps. Il
n’est pas évident que les besoins soient toujours les mêmes et aient les mêmes
importances. Pour lui, il faut faire des théories plus contextuelles, ce sont des
théories dites contructivistes c’est-à-dire que l’on va partir de la manière dont les
acteurs perçoivent et construisent leur environnement. Et donc, pour résumer, on
la théorie de la motivation par la satisfaction et maintenant, la théorie de la
motivation dite du processus qui sont plus du comportement et plus globale.
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• Les individus sont différents et ont des buts différents : Chaque salarié attend
en général, un certain nombre d’effets (reconnaissance, sécurité, passion, …)
Théorie cognitive :
On a la théorie par rapport aux attentes aussi qu’on appelle aussi la théorie de
l’équité. On est sur un échange entre des rapports et des résultats. Les apports ce
sont des contributions ou les efforts « qu’est-ce que j’apporte en termes de
contribution » ? Les individus comparent ce qu’ils perçoivent de leur rapport
contribution / rétribution : qu’est-ce que je fais et qu’est-ce que je reçois par
rapport à ce que les autres font et ce qu’ils reçoivent.
• Modifier sa perception
• Modifier la façon d’évaluer les apports et les résultats des autres, quand elle
observe les autres finalement elle surestime le résultat
Conclusion de ces approches du processus / de ces théories :
Ils ont un abord sur la rationalité de l’individu, c’est-à-dire que l’acteur évalue une
situation et prend une décision pour corriger la situation qu’il juge non
satisfaisante. Et, en même temps, c’est une rationalité limitée par des mécanismes
perceptifs. Parce que c’est l’acteur, qui donne du sens aux informations. On est
dans une approche constructiviste, les éléments apparaissent comme un auto-
construit.
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Il importe d’être attentif à l’expression de ses collègues et d’être attentif aux
autres. Cette ouverture doit être subtile et ne pas prendre au premier degré les
membres du groupe. L’environnement du travail est une condition nécessaire et
non suffisante à l’amélioration du sentiment de la situation au travail. Il n’est pas
évident que ce sentir mieux au travail c’est travailler efficacement et le système
d’information des individus apparaît fondamental si la personne peut être amené à
modifier son comportement, sur les conséquences de ce qu’il fait, la
problématique pour le manager c’est de d’organiser, de permettre la fluidité des
informations et accroître les qualités relationnelles mais sachant que cette
amélioration n’aura pas un effet automatique.
IV. L’identité
C. Présentation de soi
Nous sommes les seules à nous connaître, nous disposons de l’information. Nous
disposons de l’information quand nous allons nous présenter à autrui, nous allons
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décider consciemment ou inconsciemment de ce que l’on va présenter à autrui.
On ne se présente pas de la même façon si l’on se présente à nos beaux parents
que si on se présente à un employeur durant un entretien pour un emploi fixe.
Plusieurs caractéristiques :
• Le comportement
• L’apparence physique
Le statut —> il est la place occupé dans une société, c’est une position
hiérarchique ou position différente par rapport aux autres (directeur, père de
famille, arbitre de foot, débutant en escalade…)
L’occupation d’un statut s’appelle le statut actuel. Quand le statut est en train de
se mettre en oeuvre, les autres statuts sont mis en sommeil, on dit qu’ils sont
« lattant ». Certains sont assignés et d’autres acquis.
Les rôles —> ils sont l’application du statut. Le statut donne la posture, le mode
de conduire a opérer. Le rôle est la mise en oeuvre. Quand on a différent rôle, il
peut y avoir un conflit. Ex : chef d’entreprise qui prend comme stagiaire son fils. Il
est connu pour être un chef d’entreprise propre, avec les choses bien rangées etc.
Son fils vient et renverse un café sur un dossier. Deux possibilités de
comportement : soit il ne dirait rien, soit il va mélanger les rôles, les statuts et va
crier.
A. Communication interpersonnelle
• Enjeu informatif
• Enjeu identitaire
• Enjeu d’influence : agir sur l’autre pour changer ses idées ou ses agissements
Les stratégies de communication répondent aux enjeux tout ce qui est marketing,
boite de com et vont mettre en place des stratégies pour atteindre l’enjeu fixé en
adoptant un comportement verbal et non verbal. Les stratégies les plus connues
en terme de communication : rechercher le consensus dans la communication,
écouter l’autre et ses arguments : stratégie de coopération. La stratégie de
résistance ou d’opposition, c’est-à-dire se mettre comme réfractaire au
dialogue : communication difficile en apparence. Stratégie d’évitement, on va
rompre la communication même si on en a pas forcément envie. Stratégie
d’influence, essayer de faire changer l’opinion ou le comportement de l’autre.
• Notion d’altérité
• Notion de transaction
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• Notion de « Ici et maintenant » soit le contexte
Parler et communiquer ne sont pas les mêmes choses puisque communiquer c’est
un échange entre deux ou plusieurs personnes.
On a une relation personnelle avec l’autre et c’est important puisque ne pas avoir
de relation avec l’autre c’est être dans une situation « arelationnelle ».
Dans la notion d’être et d’avoir, lorsque l’on communique a l’autre, le simple fait
d’être en relation avec lui épuise en psychosociologie cette notion de dimension
de l’être. Dans une relation, on est fondamentalement avec l’autre et plus
fondamentalement avec vous même, même si vous l’êtes. La notion d’avoir est le
fait que l’on ne contrôle pas. On ne s’identifie pas à la relation, on est avec les
autres. Dans la dimension de relation et d’avoir, il y a une différence. Ex : dans une
situation où vous avez une relation avec le patron, le fait d’avoir une relation, on ne
s’identifie pas forcément au fait que le dossier est mal fait, le problème n’est pas
vous mais le dossier mal fait.
L’écoute active c’est utiliser des reformulations, c’est ce centrer sur la personne,
utiliser le silence.
Ce qui est en jeu dans la communication est le positionnement de soi par rapport
à l’autre, autrement dit c’est le positionnement en termes de sens de soi
(dimension de l’avoir relationnel autrement dit l’image de soi), cet apport est issu
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de la gestion de la communication interpersonnelle de l’école de Palo Alto, (école
qui regroupe de nombreux scientifiques dont Watlaswick. L’école de Palo Alto a
conçu une théorie de la communication interpersonnelle à partir de l’approche
ethnologique de Bateson. Pour l’école de Palo Alto, on aborde toujours une
relation au travers de filtres perceptifs (Chap 1, II) basé sur des préjugés
personnels ou sur une histoire personnelle (Chap 1, I) ainsi une relation
professionnelle pour eux serai plus facile à gérer parce qu’elle est basée sur un
scénario pré-établi ce qui n’est pas le cas dans une relation interpersonnelle pure.
Ce qu’il dit est que figé le cadre d’une relation par la mise en place d’un système
de règles est « dangereux » parce que les individus évoluent. Donc, expliquer la
progression relationnelle revient à analyser le cadre de cette relation (dixit « ici et
maintenant ») et les individus quelle relis. En constatant cela, l’école de Palo Alto a
créée 4 axiomes et 4 règles pour montrer que l’Homme évolue et n’est pas figé (les
4 axiomes) :
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C. Conséquences de ces axiomes
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Les mécanismes , c’est à dire que nous apprenons qui nous sommes à travers la
communication inter-personnelle. La perception de nous même provient de la
façon dont les autres nous voient. La perception a un rôle important et notre auto
perception est le point de départ de la façon dont les autres l’aperçoivent. Nous
allons maintenir ou changer l’image que l’on se fait de nous par ce même
processus de communication interpersonnelle. Ainsi on a une conscience d’être et
cette conscience d’être transparait mentalement sous la forme d’une image.
- réponses de support : toutes les réponses qui vont mettre à l’aise la personne
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- réponse incompréhensive : ex on est dans une entreprise et à certaines portes
on dois frapper et à d’autres non
- réponses tengencielles : on prends une tengante, on part sur autre chose qui n’a
rien a voir
- réponses incohérentes
- réponses incongruantes
Les conséquences de ces éléments c’est qu’il est difficile pour l’humain d’être
conformait ou clair dans la communication, car on a des personnalités différentes.
La pecetion est soumise à un mécanisme de biais perceptifs, qui a une influence
dans la perception de l’autre
techniques de communication :
A TRANSACTION
états du moi B
états du moi
Objet
Transaction : Berne trouvait que quand il était avec des patients, la façon dont
parler et bouger la personne refléter différentes instances à l’intérieur d’elle, en
chacun de nous il y a un état parent, adulte et enfant. Pour lui toute
communication est une transaction, je donne et je reçois une communication et
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pour lui, cette transaction se fait avec des énergies émotionnelles, on va envoyer
un message qui conforte ou non la personne dans son être et quand ça le conforte
on appelle ça des STROKE. Mais c’est pas facile de recevoir des strokes.
Dans la transition il y a l’objet d’un message
- l’objectif : à quoi ça sert de se pencher sur l’esprit humain : pour lui il faut être
pragmatique pour que les gens communiquent bien. Il va s’intéresser à
concrètement dans la communication qu’est ce qui se passe ?
Il a pris conscience que ses patients se portaient de manière très différentes et que
les gens adoptaient inconsciemment des comportements pour régler leur attitude.
Il va mettre en avant 3 grands états du moi :
1) état enfant : sensations ou il se sent très dépendant des autres puis il va grandir
2) état parents
3) état adulte
Pour lui il faut savoir jouer avec les 3, il y a en a qui vont être appropriées et
d’autres qui vont pas être appropriées, le publicitaire quand il va communiquer à
l’enfant qui est en nous, il va faire une publicité pour venir toucher le côté enfant
chez nous
Il faut faire de notre mieux car il y a le moi contaminé, il explique que le parent
contamine l’adulte c’est à dire qu’inconiement l’adulte n’est pas capable de
remettre en cause le s éléments du parent. Exemple : on travaille sur un dossier
objectif des faits etc et d’un coup quelqu’un dit ben non c’est pas possible alors
que pour l’autre c’est possible. L’autre ne s’est rends pas compte donc il y a un
mois contaminé, l’idée c’est de comprendre ce qu’il se passe.
Il y a les driver
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Il faut mettre les réponses les numéros des réponses devant le nombre de la
question et additionner le total
Soit parfait : je suis ok si je fait tout parfaitement donc c’est la croyance qu’il vaut
mieux faire tout de manière détaillée et précise c’est se surpasser et toute action
passe par une critique de soi redoutable, permet l’exigence personnelle qui men à
un travail soigner structuré détaillé minutieux, aspect négatif sous entendu l’excès
Dans l’entreprise secrétaire très appliquée mais qui a l’excés peut être épuisée
aussi
Sois fort : je suis ok si je reste moi même, pour lui ce qui est important c’est
l’action et c’est ne pas montrer sa vulnérabilité grande capacité à se contenir
prends en chargeuse charges difficles, tenaces et a une grande puissance de
travail. Aspect négatif, il ne prends pas soin de lui, il ne sait pas quand qqch ne
convient pas, il n’est pas en forme.
Fais plaisir : je suis ok si je fait plaisir à tout le monde, pour bien faire il faut faire
plaisir à quelqu’un et se montrer sous le meilleur jour, il faut éviter les conflits, être
bien avec tout le monde, perte centré sur l’autre, être gentil. Aspect positif :
l’altruisme c’est une personne sur qui on peut compter la personne rends service.
Aspect négatif : elle imagine les besoins des autres plutôt que de s’occuper d’elle
elle n’écoute pas ses besoins.
Fait vite : je suis ok si je fait vite aspect positif : personne dynamique qui stimule
pour les taches ennuyeuses vite fait bien fait
Aspect négatif à l’excès on ne peut pas lui confier des taches trop longtemps à
l’avance, l’éternel en retard dans l’exvés
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- la PNL Bandler Gringer : les techniques de similaires
Elles reposent sur un certain nombre de présupposés en fonction des sens que
nous privilégions V A K O G
Présupposés :
1) La carte n’est pas le territoire c’est à dire que la relaté pour une personne est sa
représentation personnelle.
3) Toute personne fait le meilleur choix avec les ressources qu’ils lui sont
disponibles
4) Il n’y pas d’échec mais des fidbaack c’est à dire des retours d’expériences,
source d’apprentissage
6) Toutes les personnes ont les ressources nécessaires pour atteindre son objectif
et les limites sont dues à ces représentations.
9) Le corp et l’esprit font partie du même système, le langage est une expérience
secondaire de l’expérience ça veut dire que lorsque des mots sont posés sur
une expérience ils ne sont pas aussi riches que la représentations mentale que
l’on en a
10)Plus le système est complexe, plus le système qui le pilote doit l’être aussi;
3 remarques :
-L’écoute active c’est quand vous écouter c’est du silence, on est pas en train de
penser à autre chose. Vous entendez pas des mots on les écoute. Vous êtes avec
la personne.
- Les sont soumis à un risque, le risque de l’élusion, c’est à dire d’être tellement
dans la technique que vous n’êtes plus authenytiques, critique de l’excés,.
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Echange entre deux acteurs avec une recherche e validation de recherche e soi
par l’autre par rétroaction. La notion de communication amené 2 éléments : la
notion de progression relationnelle c’est à dire qu’elle évolue au cours du temps et
évolue en fonction de la relation elle même, avec des filtres perceptifs et il
semblerait que dans une relation professionnelle; Cette relation puisse perte plus
facile à gérer dans la mesure ou elle s’insère dans un scénario préétabli.
Nous jouons des rôles qui peuvent être incompatibles avec veux des autres. Si on
est avec quelqu’un qui a un comportement X dans une situation similaire
Moscovici qui va conduire une expérience pour tester l’influence d’une minorité
sur le groupe : les sujets devaient décrire la couleur et l’intensité de 6 diapo
bleues, il y avait chaque 6 groupes, chaque groupe contenait 4 individus naifs
(savent rien) et 2 compères cad qu’ils sont au courant de la situation. Chacun était
invité a donner sa réponse à haute voix a tour de rôle, les compère répondaient en
premier et en second ou en premier et en 4è et ces deux personnes donnaient
systématiquement une mauvaise réponse, ils disaient qu’ils voyaient la diapo verte
et pas bleue. Il y avait aussi un groupe de contrôle avec 6 sujets naifs qui
donnaient leur avis par écrit. Dans le groupe témoin l’erreur était de 0,25 %, dans
le groupe expérimental les sujets se ralliaient à la réponse fausse à la hauteur de
5,25 %
les mêmes individus expérimentent cette fois ci des pastilles de couleur plus au
moins bleu ouverte et le groupe expérimental, celui avec les infleuenceurs
donnant un seuil de détection de vert faible par rapport au groupe de contrôle
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Molint « Les processus d’influence sont relatifs aux modifications qu’entrainent les
jugements, opinion et attitudes d’un individu ou d’un groupe, c’est la prise de
connaissance de ces éléments sur le même sujet »
effet pygmalion Rosenthal c’est la manipulation positive qui permet par l’image
positive que l’on a de l’autre de lui permettre de s’améliorer notablement dans ses
comportement. La ou elle peut être négative quand elle limite le libre arbitre de la
personne, c’est à dire que c’est l’autre qui lui dit que ça vient pas de lui donc ça
limite son comportement d’une certaine façon.
2 types de manipulation :
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L’effet d’escalade, c’est quand nous nous cramponons à notre décision initiale
même si dans le cas ou elle est remise en cause par les faits
- réciprocité ; rendre qqch qui coute bcp plus ce qui est demandé au départ $
- isolement
- barnum dans le spaectle on ses débrouille pour que chacun trouve une partie
de lui et d’entendre des choses qu’on a envie d’entre se faire confirmer les
choses.
- effet puits de Forer : il fait passer un test mais il a pas analyser les résultats il a
donné la réponse astrologique à chaque personne mais ils ne pouvaient pas
discuter entre eux, chacun pense que c’est son résultat personnel. Pour tout les
étudiants ça leur correspondait
- technique de la confusion
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normalisation individuelle, quand il font l’expérience seule ils vont donner une
repose avec une valeur standard, en collectif a 2 ou 3 il y a l’élaboration d’un
card de variation spécifique au groupe pour les circonstances : en gros il y a une
convergence d’opinion. C’st une ensemble donné d’evenemnt soumis à
l’influence sociale partagé et respecté par un groupe et qui donnent les repères
d’une valeur, si on donne pas la même valeur il y a rejet possible
2. La notion de leader
2 types de leader
2) l’entraineur
3) le partenaire
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4) le démocratique
5) le gagneur
quand l’utiliser ? pour obtenir des résultâts de grande qualité de la part d’une
équipe motivée et compétentes en
6) l’autoritaire
autres exemples :
- le leadership transactionnel
3. Le conflit
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influencé par l’environnement
il faut comprendre que souvent le vrai conflit est abordé à travers notre
personnalité, il faut identifier quel est le problème et de tenir compte les
personnalités de chacun il y plusieurs façon d’aborder un conflit , quel est le
problème et quelles sont les motivations : pour éviter le conflit
- peut être qu’il n’a a rien a éviter car malentendu qui pro quo
- soi le conflit est sérieux ou alors on peux l’éviter mais ça créent un conflit larvé, il
reste même si on l’évite donc les protagonistes ont l’immersion que les choses
avancent mais en fiât on tourne en rond.
- Le conflit cachée Les protagonistes n’ont pas conscience du conflit, ils savent
pas ce qu’il se passe
Les conflits sont inévitables c’est intéressant surtout si on sait les gérer le
problème c’est qu’on les vit mal.
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