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Analyse de risque : Tunisie

Master EEM

Meriam KAABI

Iman TIJANI

Shunyao ZHANG

Ins rer une synth se au d but de la fiche, avec les principaux l ments
retenir, sous forme de bullet points.

01. Situation Economique


Taux de croissance

Selon les prévisions du Fonds monétaire international (FMI), le taux de croissance économique de la Tunisie
diminuera de 7% d’ici fin 2020, et devrait rebondir de 4% en 2021 et de 3% en 2025. La crise sanitaire et le
confinement mis en place en Mars 2020 face au Covid-19 a causé une récession de 21.6% dans la
croissance économique de la Tunisie au deuxième trimestre de 2020 par rapport à la même période en
2019.

Inflation

La Banque Centrale de Tunisie prévoit que le taux d’inflation devrait atteindre une baisse de 5,3% d'ici fin
2020, pour atteindre un taux moyen pour toute l’année de 5.6%. L’objectif est de réduire le taux d'inflation
1
dans une phase suivant à son niveau normal de 3% à 4%. Le FMI estime que le taux d’inflation en Tunisie
pourrait encore diminuer à 4,9% en 2021

Taux de chômage

Le nombre de chômeurs en Tunisie a augmenté d'environ 10000 au premier trimestre de 2020, passant de
623900 à 634800. Le taux de chômage au premier trimestre de 2020 était de 15,1%, tandis que le taux de
chômage au quatrième trimestre de 2019 était de 14,9%. C'est la première fois que l'INS enregistre une
augmentation d'un an et demi du nombre de chômeurs dans le pays. La Tunisie comptait une population
active de 4.190.300 au 31 mars 2020, contre 4.2203 millions au 31 décembre 2019. Ces chiffres ne tiennent
pas compte de la perte de travail enregistrée lors du confinement en raison de la pandémie de Covid-19, qui
a provoqué une baisse significative de l'activité dans de nombreux secteurs






02. Risque Bancaire
Les deux parties de l'étude ci-dessus montrent une conjoncture conomique difficile de la Tunisie, dans ce
contexte économique, les banques opèrent dans des conditions difficiles. Fin Juin 2019, le secteur bancaire
tunisien comptait 30 banques, réparties en 23 banques résidentes et 7 banques non résidentes. En outre, il
existe 8 établissements de leasing, 2 sociétés de factoring et 2 banques d’affaires. Le secteur bancaire
tunisien est l'une des faiblesses de son économie, ce qui rend difficile la canalisation des ressources vers les
activités et les projets les plus productifs. Les principales raisons sont notamment les suivantes.

1. Le secteur financier tunisien est petit et dominé par les banques résidentes, mais sa part de marché est
fragmentée. Le secteur financier non bancaire est également de petite taille et ne joue pas un rôle clé
dans le soutien à l'investissement et à l'innovation.

2. L'État est en surpoids dans ce secteur et le gouvernement a utilisé les banques pour développer des
secteurs économiques stratégiques, comme le tourisme, qui a connu une augmentation des créances
douteuses au cours des trois dernières décennies.

3. Lente progression de la réforme bancaire en Tunisie, et retards dans la mise en œuvre des règles de
bonne gouvernance et le respect des normes de Bâle.

Nous analyserons les risques bancaires suivants afin de déterminer l'instabilité financière découlant du
système bancaire en Tunisie.
2
1. Risque de solvabilité
Les banques doivent disposer de fonds propres suffisants pour garantir qu'elles respectent leurs
engagements et se conforment à la réglementation. Selon Bâle III, le ratio Tier 1 doit être égal ou supérieur à
7 % pour être considéré comme suffisamment capitalisé. Le tableau 1 montre l'évolution du ratio moyen de
solvabilité et de Tier 1 des banques tunisiennes au cours des dernières années, et on peut observer que ce
ratio a fluctué entre 8,6% et 9,1% de 2016 à 2018, en accord avec l'exigence de Bâle III (7%).

Tableau3.1 : Évolution des ratios moyens de solvabilité et Tier 1 des banques résidentes

Source: La Banque centrale de Tunisie

Des risques existent toujours, avec des exigences réglementaires minimales de la Tunisie en matière de
ratio de solvabilité et de Tier 1 sont respectivement de 10 % et de 7 %. Cette exigence réglementaire
minimale reste faible par rapport aux normes internationales et régionales, comme au Maroc, qui fixe ses
seuils à 12 % et 9 %. Dans le même temps, il existe une disparité dans la répartition des ratios de solvabilité
et de Tier 1 entre les banques, le tableau 3.2 montrant qu'à la fin de 2018, 15 banques représentant 50,7 %
des actifs du secteur avaient des ratios de solvabilité supérieurs à 11 %, tandis que 17 banques détenaient
72,2 % des actifs du secteur avaient des ratios de niveau 1 supérieurs à 8 %. Cependant, il y a des banques
qui ne répondent pas aux critères de Bâle, Cette répartition inégale illustre la fragilité du secteur bancaire
tunisien.

Tableau3.2 : Répartition du ratio de solvabilité et du ratio Tier 1 des banques résidentes à fin 2018


Source: La Banque centrale de Tunisie:Rapport Annuel sur la Supervision Bancaire

2. Risque de liquidité
L'insuffisance de liquidités est un problème séculaire et les banques doivent détenir des actifs liquides à tout
moment afin de éviter d'éventuels problèmes de liquidités. Bâle III a introduit des normes visant à protéger
contre le risque de liquidité en garantissant que les banques détiennent suffisamment d'actifs liquides pour
répondre à leurs besoins. Cependant, les banques tunisiennes sont vulnérables en termes de liquidité et les
pressions sur la liquidité continuent d’augmenter.

Seules sept banques (détenant 25,8 % des actifs du secteur) avaient des ratios LCR supérieurs à 100 % en
2018, contre 11 banques ayant des ratios LCR supérieurs à 10 % en 2017. Bâle III a introduit l'exigence
selon laquelle le LCR doit être supérieur ou égal à 100 %. Toutefois, six banques avaient un LCR inférieur à
80 % en 2018, ce qui est inférieur à l'exigence minimale pour financer efficacement et correctement les
besoins de l’économie.

在逐步提⾼短期流动性⽐例下限(从2017年的80%提⾼到2018年的90%,2019年起提⾼到100%)的同时

Tableau3.3 : Évolution de la répartition du ratio de liquidité des banques résidentes

Source: La Banque centrale de Tunisie:Rapport Annuel sur la Supervision Bancaire

3. Risque de crédit
Le risque de crédit est lié à la capacité de la
banque à supporter le risque de défaillance du
client, qui peut être défini comme la perte possible
au niveau de la banque en raison de la non-
exécution des contreparties. La gestion du risque
de crédit est l'une des activités principales des
banques, mais la qualité de leurs actifs a toujours
été un problème pour les banques tunisiennes.
Selon les estimations de S&P Ratings, en 2019, les
prêts non performants représentaient en moyenne
14 % du total des prêts. Il est prévu que les prêts
non performants pourraient atteindre 19 à 22 % du
total des prêts en 2021-2022, en raison de la
récession causée par COVID-19.

Que le tourisme représente une part importante du produit intérieur brut (PIB) et apporte une contribution
précieuse à l'économie tunisienne, mais que le coût pour l'État et le système financier du maintien de
l'activité dans ce secteur dépasse largement les revenus qu'il génère. Selon la Banque centrale de Tunisie
(BCT), la dette bancaire du secteur du tourisme s'élevait à 442,7 millions de dinars à la fin de 2019. Au cours
des deux dernières décennies, cette dette a augmenté de 63%. L’absence de rigueur réglementaire permet
aux banques de s'adapter à l'environnement actuel et de fournir des financements à un rythme plus lent.
Toutefois, en supposant que les banques assument les coûts à l'avance et fournissent des provisions pour
pertes pour tous les prêts non performants prévus (19 à 22 %), il en résultera un déficit important. Selon

S&P Ratings, cela correspond à trois à cinq ans de rentabilité, sur la base du résultat d'exploitation avant
provisions des dix premières banques tunisiennes en 2019.

2. Risque de rentabilité
Le ROA et le ROE ont augmenté ces dernières années.
En 2017, le rendement des actifs moyens (ROA) était de
1,69 % et le rendement des capitaux propres moyens
(ROE) de 18,73 %. La marge nette d'intérêt nette, qui
mesure la concurrence et l'efficacité du secteur bancaire,
est tombée à 2,4 % en 2017. Les banques ont amélioré
leur efficacité et ont donc besoin d'une marge d'intérêt
moins importante pour couvrir leurs frais généraux.
Toutefois, ce taux reste plus élevé que dans les pays
développés, où les marges d'intérêt nettes sont généralement inférieures à 2 %. Cela suggère que les
niveaux d'efficacité doivent être améliorés, et la concurrence limitée semble limiter les progrès d'efficacité
des grandes banques. Des études ont montré que les petites banques privées tunisiennes sont plus
efficaces que les banques publiques. Cela est principalement dû au fait que les banques publiques ont un
ratio de les cr ances non performantes plus élevé que les banques privées, ce qui entraîne des inefficacités.

03. Finances publiques


4
La finance Publique

Les finances publiques de la Tunisie se sont fortement dégradées ces dernières années. Le FMI a
considérablement augmenté la dette publique à la fin de 2018. À terme, il atteindra 77,0% du PIB, contre
55,4% du PIB à la fin de 2015 et 39,2% du PIB à la fin de 2010. Jusqu'au début 2019, la dépréciation du
taux de change a entraîné une augmentation de la dette publique (selon BCT9, 2/3 de la dette publique est
libellée en devises). Cependant, la principale explication est que l’État n’est pas en mesure de limiter la
croissance des dépenses courantes, qui représentent plus de 60% des dépenses publiques du pays. Ces
dernières années, ces chiffres ont fortement augmenté, notamment en raison de la flambée de la masse
salariale dans le secteur de la fonction publique (selon le ministère des Finances, il y a eu une augmentation
de 137% entre 2010 et 2018, soit une augmentation annuelle moyenne de + 11,4% par an). Selon la loi de
finances 2020 (PLF) 10, il représentait 14,1% du PIB en 2018 et augmentera encore à 15,1% du PIB en
202010. En revanche, les dépenses d'investissement public sont limitées (5,6% du PIB en 2018). Selon les
dernières prévisions du Fonds monétaire international, la dette publique du pays tombera à 74,4% du PIB en
2019, mais augmentera à nouveau en 2020 et 2021 (cette année, elle tombera à 81,9% du PIB).

Après trois années de croissance, le déficit budgétaire en 2018 a diminué, mais selon les données du FMI,
le déficit en 201811 représentait encore un maximum de -4,6% du PIB, alors qu'il était de -5,9% du PIB en
2017. Les autorités tunisiennes ont évoqué l'objectif de -3,9% du PIB pour le déficit public en 2019 dans la «
loi de finances de 2019 ». La réduction du déficit doit être obtenue notamment par une augmentation
substantielle de la fiscalité (une augmentation de 10,5% par rapport à l'année précédente). Il a atteint 27,1
milliards de DT en 2018, grâce à une meilleure efficacité de la gestion fiscale, assurant une meilleure
collecte des impôts 12) et une réduction des subventions aux carburants (-22% à 2,1 milliards de DT).

A terme, selon la loi de finances complémentaire (LFC) de 2019, le déficit public en 2019 sera plus faible
que prévu, représentant -3,5% du PIB. En revanche, le Fonds monétaire international s'attend à une baisse
budgétaire en 2019 (déficit en année pleine de -4,4% du PIB). Le PLF 2020 a mentionné la prévision selon
laquelle le déficit budgétaire en 2020 sera réduit à -3,0% du PIB, ce qui sera à nouveau obtenu en
renforçant la fiscalité (principalement l'impôt sur le revenu et la taxe sur la valeur ajoutée) et en réduisant les
subventions aux carburants.

Projection de la dette publique

L'encours de la dette publique de 2019 à fin août a atteint 81,710 milliards de dinars, soit 73,19% du PIB.
Selon les prévisions, cette tendance à la hausse se poursuivra. Selon le « Public Debt Report» du ministère
des Finances, le taux d'endettement ne devrait pas dépasser 75% du PIB d'ici fin 2019. Des Finances vient
de publier sur son site Internet. Le ministère des Finances a expliqué plusieurs facteurs contribuant à
l'augmentation du taux d'endettement, dont le plus important est l'impact négatif de l'expansion du déficit
budgétaire et la dépréciation du taux de change du dinar.

En effet, l'impact cumulé du taux de change sur l'encours de la dette publique au cours des trois dernières
années (2016, 2017 et 2018) est d'environ 18,698 milliards de dinars, ce qui est dû au dinar face à l'euro et
au dollar. D'ici 2019, le remboursement de la dette publique (principal et intérêts) devrait atteindre 9,874
milliards de dinars, dont le principal est de 6,621 milliards de dinars et l'intérêt est de 3,253 milliards de
dinars. En août 2019, 7,568 milliards de dinars avaient été remboursés, dont 5,485 milliards de dinars de
dettes extérieures et 2,083 milliards de dinars de dettes intérieures.

Fin 2018, le remboursement de la dette publique a atteint 7928 milliards de dinars, soit une augmentation de
923,4 millions de dinars par rapport à 2017 (7,005 milliards de dinars), et 5,199 milliards de dinars à la
même période l'an dernier. 2016. Fin 2018, l'encours de la dette publique a augmenté de 13,515 milliards de
dinars par rapport à 2017, dont 9,417 milliards de dinars étaient dus à la dépréciation du taux de change des
principales devises. Fin 2018, le taux d'endettement atteint 77,08% du PIB.

5 Composition de la dette publique

En raison de la maîtrise des « doubles déficits » de la fiscalité et du commerce, et de la grave détérioration


du compte courant, le pays doit de plus en plus recourir au financement extérieur, tombant dans un cercle
vicieux. Myopie ou manque d'efficacité, de productivité et de réformes courageuses.

Ainsi, selon les données de la Banque centrale de Tunisie (BCT) rapportées par Mme Zribi, le total de la
dette extérieure (Etat + entreprise) en 2018 a atteint 782 milliards de dinars (74% du PIB, dont 60,21
milliards de dinars). En 2019, il s'agissait de dinars administratifs et de 17,99 milliards de dinars (67,3% du
PIB, dont 59,4 milliards de dinars et 17,57 milliards de dinars pour les entreprises). Entre 2010 et 2018, la
dette a augmenté de 36,6 points de pourcentage du PIB, dont plus de 50% de la hausse était directement
imputable à la dévaluation du dinar. Entre 2010 et 2019, la dette publique en proportion de la dette
extérieure générale est passée de 66% à 77%.

Quant au service de la dette, il a connu un bond étonnant depuis 2017, doublant la moyenne de 2011 à
2015. En termes de dette publique (hors entreprises publiques et fonds sociaux), elle est passée de 25
milliards de dinars (40,7% du PIB) en 2010 à 82,89 milliards de dinars (75% du PIB) en 2019. Autre fait
inquiétant, entre 2010 et 2019, la dette à court terme a triplé, passant de 7,1 milliards de dinars à 24,2
milliards de dinars (11,6 points de PIB). Ce qui est rassurant, c'est que 71% de la dette de la Tunisie est à
taux d'intérêt fixe (89% de la dette en 2018 a été signée à un taux de 0 à 5%), même si le taux d'intérêt est
en train de révolutionner.

Un déficit public ?

Après trois ans de croissance, le déficit budgétaire a diminué en 2018, mais selon les données du FMI, il
représentait un sommet de -4,6% du PIB en 2018, après avoir représenté -5,9% du PIB en 2017. Les
autorités tunisiennes ont indiqué que dans la loi de finances de 2019, l'objectif de déficit public est de -3,9%
du PIB en 2019. La réduction du déficit passe notamment par une augmentation substantielle de la fiscalité
(une augmentation de 10,5% contre 27% en 2018, 1 milliard NT $, grâce à une meilleure efficacité de la
gestion fiscale, assurant une meilleure collecte fiscale12) et des subventions aux carburants Diminution
(-22% à 2,1 milliards de NT $). A terme, selon la loi de finances complémentaire (LFC) de 2019, le déficit
public en 2019 sera plus faible que prévu, représentant -3,5% du PIB. En revanche, le Fonds monétaire
international s'attend à une baisse budgétaire en 2019 (déficit en année pleine de -4,4% du PIB). Le PLF
2020 a mentionné la prévision selon laquelle le déficit budgétaire en 2020 sera réduit à -3,0% du PIB, ce qui

sera à nouveau obtenu en renforçant la fiscalité (principalement l'impôt sur le revenu et la taxe sur la valeur
ajoutée) et en réduisant les subventions aux carburants.

Le déficit public va se creuser davantage malgré l’aide extérieure

Alors que les revenus ont diminué de moitié et que les dépenses ont augmenté, le déficit public se creuse.
Au premier semestre 2020, les recettes fiscales ont baissé de 12% sur un an. En termes de dépenses, une
augmentation de 11,5%. Le 21 mars, le gouvernement a annoncé qu'il injecterait près de 695 millions de
dollars américains (2% du PIB) pour soutenir l'économie et les ménages les plus vulnérables. Le plan de
relance comprend, par exemple, la suppression des amendes dues aux pays ou le rééchelonnement de
leurs activités pour réduire la dette fiscale des entreprises d'au moins 30%. Un quart d'entre eux sera injecté
dans des fonds stratégiques destinés à apporter un soutien financier aux entreprises. L'autre quart sera
alloué aux petites entreprises du tourisme, des transports, de l'artisanat et de la culture. 34,7 millions de
dollars devraient être utilisés pour fournir du matériel aux hôpitaux et aux établissements de santé publique

D'un point de vue social, 52,1 millions de dollars EU aideront les familles les plus pauvres et les groupes
vulnérables. Enfin, 104,3 millions de dollars américains seront utilisés pour soutenir les employés licenciés.
En outre, le ministère de la Santé a créé un fonds pour lutter contre le Covid 19. Au 6 mai 2020, le fonds a
collecté près de 72 millions de dollars américains en dons. Ce fonds est entièrement fourni par des fonds
privés et sert à financer la lutte contre les épidémies. Le FMI a approuvé un prêt d'urgence de 745 millions
de dollars américains au titre de sa facilité de financement rapide en avril 2020. Ces fonds doivent financer 6
une partie du déficit de la balance commerciale et du déficit public.

En outre, la Tunisie a également reçu des financements de la Banque internationale pour la reconstruction et
le développement, l'Union européenne, la Banque africaine de développement, les États-Unis et l'Italie.
Néanmoins, d'ici la fin de 2020, la dette publique devrait atteindre 79% du PIB, et la part extérieure
représentera 75% de la dette totale.

Qu’en est-il des recettes et dépenses public ?

Selon les données de la LF en 2019, la baisse du déficit public en 2019 peut s'expliquer de la manière
suivante :

1. Augmentation des recettes publiques (notamment des recettes de la taxe sur la valeur ajoutée, qui
devraient atteindre 7,1% d'ici 2019).

2. Réduire certaines dépenses publiques. Plus de détails : Selon les données prévisionnelles de la FL en
2019, la part des dépenses de gestion dans le PIB en 2019 diminuera légèrement de 22,4% en 2018 à
21,6%. Toutefois, les dépenses de gestion resteraient prééminentes du fait de l’importance de la masse
salariale (qui atteindrait 14,1% en 2019, après 13,9% en 2018). La masse salariale était limitée à 10,8%
du PIB en 2010.

La réduction des dépenses d'investissement public en pourcentage du PIB. En 2019, ces dépenses seront le
plus bas depuis 2010 (5,6% du PIB, contre 7,2% en 2011). Par conséquent, le repositionnement du budget
des dépenses de fonctionnement aux dépenses d'investissement mentionné par le gouvernement n'est pas
reflété dans les chiffres. Au contraire, le budget de remboursement de la dette publique augmente (de 1,8%
du PIB en 2011 à 2,7% du PIB en 2019).

04. Position ext rieure

05. Risque politique.



Source
https://www.imf.org/en/Countries/TUN

https://databank.worldbank.org/home

https://www.bct.gov.tn/bct/siteprod/actualites.jsp?id=654

https://www.bct.gov.tn/bct/siteprod/documents/sup_bc_fr.pdf

https://www.leconomistemaghrebin.com/wp-content/uploads/2019/08/Etude_secteur_bancaire_2019.pdf

7 https://www.businessnews.com.tn/Le-secteur-bancaire-sous-la-loupe-de-Tunisie-Valeurs,519,101964,3

http://expertise.hec.ca/actualiteeconomique/wp-content/uploads/2018/01/ae352_abida.pdf

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