Plus sérieux, il évoque son accident. «C’est surréaliste ce qui s’est passé, le
bateau s’est replié en deux !» Et de chercher une explication : «Aujourd’hui,
les bateaux à foil ont une surface et une longueur de contact très longues,
on tape un peu plus qu’avant…» Mais le survivant sait que «le Vendée Globe
est une course longue et exigeante, où il y a toujours un nombre important
de casses. On verra à l’arrivée…»
Vendredi, Kevin Escoffier doit faire le tour des clients réunionnais de PRB,
son sponsor officiel (matériaux de construction), avant de prendre l’avion
samedi pour la métropole. Mardi, il rejoindra sa famille. Avant de reprendre
la mer, au plus vite, évidemment…
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