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« Vous le savez mieux que moi, toute la médecine officielle,

depuis la variole, la tuberculose, jusqu’à la plus vulgaire


entérite, est la proie de systèmes préconçus qui, pour se
soutenir, cherchent des faits et au besoin, en inventent, ou
en imaginent. Vous avez beau aller à contre sens (…) et la
foule inconsciente approuvera gouvernementalement. On
a beau écrire pour prouver qu’on se trompe et que l’on
trompe, rien n’y fait : pauvre esprit humain ! »

Pr Antoine Béchamp
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

AVERTISSEMENT
Le lecteur découvrira, au fil du texte, les notes de fin
d’ouvrage, signalé par des exposants numériques
[exemple 1], présentant la référence des articles
mentionnés à l’appui de telle ou telle affirmation.
Ces dernières références sont utiles à deux niveaux.
 Premièrement, pour l’auteur, elles constituent un
précieux garde-fou : lorsque chaque assertion se doit
d’être étayée, il est moins facile de dire n’importe quoi
et de faire passer des boniments de camelots pour des
faits avérés.
 Deuxièmement, pour le lecteur, elles permettent de
remonter à la source des évidences présentées et ainsi
de vérifier ou d’approfondir des propos qui
pourraient être jugés suspects ou engageants.
Ces notes de fin d’ouvrage ne sont nullement
nécessaires à la compréhension du texte. Elles peuvent
être totalement ignorées ou consultées sur un mode
ponctuel et parcimonieux.

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

ATTENTION

Pour faire suite à certaines mauvaises interprétations, il


est capital de comprendre que ce livre vise uniquement à
dénoncer le scandale caché derrière la thèse officielle
concernant le VIH - SIDA.

En aucun cas, ce scandale mensonger ne devrait pousser


quiconque à ne pas se protéger sexuellement sachant qu’il
existe des dizaines et des dizaines de MST très
contagieuses qui, quant à elles, sont véritablement
identifiées, isolées et dangereuses.

La meilleure des protections étant d’avoir des relations


sexuelles saines, avec un seul partenaire.

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

« Un ignorant n’est pas celui qui n’a rien appris, mais celui
qui a appris des choses qui sont erronées ! »

Jean Paul Pougala

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

« Un mensonge répété dix fois reste un mensonge ; répété


dix mille fois il devient une vérité. »

Adolf Hitler

« Plus le mensonge est gros, plus il passe »

Joseph Goebbels

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

SOMMAIRE

ABREVIATIONS ............................................................................. 11

DEFINITION DES TERMES ....................................................................... 13

Avant - propos .............................................................................................. 16

TRADUCTION DES TERMES UTILISES EN MATIERE DE SIDA ... 26

LA SAGA DES MENSONGES ...................................................................... 36

De Quels Anticorps S’agit-il Donc ? ............................................................... 73

Citations De Quelques Chercheurs ................................................................ 99

LES DIX COMMANDEMENTS DU SIDA..................................................... 108

LES DIX COMMANDEMENTS DE LA TROMPERIE ............................ 109

LA PREUVE DEMONTRANT QUE LE VIH NE CAUSE PAS LE

SIDA ................................................................................................................................ 111

ALORS, QUELLE EST LA CAUSE DU SIDA ?............................................ 129

REFERENCES ............................................................................................. 131

ANNEXES .................................................................................................... 141

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

ABRÉVIATIONS

ADN : Acide DésoxyriboNucléique

AIDS: Acquired Immuno - Deficiency Syndrome

ARN : Acide RiboNucléique

ARV : Anti Retro Viraux

AZT : AZidoThymidine

CDC: Centers for Disease Control

DILH : Déficience Immunitaire Liée à l’Homosexualité

ELISA: Enzyme-Linked ImmunoSorbent Assay

FDA: Food and Drug Administration

GRID: Gay Related Immune Deficiency

HTLV: Human T-Lymphotropic Virus

LAV: Lymphadénopathy Associated Virus

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NIH: National Institutes of Health

OMS : Organisation Mondiale de la Santé

PCR : Polymerase Chain Reaction

PPC : Pneumonies à Pneumocystis Carinii

R.A: Rethinking AIDS

SIDA : Syndrome d’ImmunoDéficience Acquise

VIH : Virus de l’Immunodéficience Humaine

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

DÉFINITION DES TERMES


ADN : Molécule, présente dans toutes les cellules vivantes,
qui renferme l’ensemble des informations nécessaires au
développement et au fonctionnement d’un organisme.

Anticorps : Protéine complexe utilisée par le système


immunitaire pour détecter et neutraliser les agents
pathogènes de manière spécifique.

Antigène : Macromolécule naturelle ou synthétique qui,


reconnue par des anticorps ou des cellules du système
immunitaire d’un organisme, est capable de déclencher
chez celui-ci une réponse immunitaire.

Diplômite : Infection causée par une abondance de


Diplôme

Dogme : Affirmation considérée comme fondamentale,


incontestable et intangible par une autorité politique,
philosophique ou religieuse.

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

ELISA : Examen de laboratoire pouvant être utilisé tant


pour évaluer la présence d’un antigène que celle d’un
anticorps dans un échantillon, c’est un outil efficace à la
fois pour déterminer des concentrations sériques
d’anticorps (comme pour le test du VIH), que pour
détecter la présence d’un antigène.

Infection : Envahissement puis multiplication de


microorganismes au sein d’un organe du corps vivant.

Mensonge : Énoncé délibéré d’un fait contraire à la vérité,


ou encore dissimulation de la vérité (dans ce dernier cas,
on parle plus particulièrement de mensonge par
omission).

Omerta : Loi du silence

Placebo : Substance inerte, dépourvu d’activité


pharmacologique spécifique, que l’on substitue à un
médicament pour contrôler ou susciter les effets
psychologiques accompagnant la médication

Rétrovirus : Virus dont la multiplication repose sur la


transcription de l’ARN en ADN, à la différence des autres
virus, qui font le contraire.

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Séropositif : Terme fréquemment employé pour désigner


le statut sérologique des personnes infectées par le Virus
de l’Immunodéficience Humaine (VIH).

Système Immunitaire : Système biologique constitué


d’un ensemble coordonné d’éléments de reconnaissance et
de défense qui discrimine le « soi » du « non-soi ».

Virus : Entité biologique nécessitant un hôte, souvent une


cellule, dont il utilise le métabolisme et ses constituants
pour se répliquer.

Western Blot : Méthode de biologie moléculaire


permettant la détection et l’identification de protéines
spécifiques dans un échantillon biologique (sérum ou
autre extrait). C’est un outil de diagnostic complémentaire.

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Avant — Propos
Si vous lisez ces lignes, c’est que nous avons au moins deux
choses en commun :

La médecine vous intéresse et vous avez envie de savoir,


de comprendre, d’analyser, et d’interpréter les « soi-
disant » mensonges qui concernent cette maladie qui se
transmet « médiatiquement » comme le disait Coluche à
savoir : le VIH-SIDA.

Enfin, quand je dis en commun, je voulais dire en commun


avec moi au moment où je commençais mes études de
médecine.

Pour moi, tout a effectivement commencé il y a 2 ans.


J’effectuais quelques recherches farfelues sur le web
lorsque je suis tombé sur ce fameux prix : Le Prix Huw
Christie qui promettait 100 000 dollars de récompense
pour le scientifique au monde qui réussirait à démontrer
l’évidence du VIH au microscope électronique chez un
patient atteint du SIDA, offerts le 19 juillet 2002 par
Alexander Russell.

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

À l’époque, j’ai trouvé ça tellement stupide de la part de cet


homme, et je me disais :

« il veut perdre son argent ou quoi ? Ou alors est-il


totalement idiot ? Une maladie qu’on combat depuis les
années 80 et dont on a identifié la cause il vient en 2002
défié les scientifiques du monde entier de prouver l’existence
du virus [VIH] à l’origine de cette maladie !!!

les gens ont vraiment de l’argent à gaspiller ici dehors ! »


telle était ma réaction !

Mais, force est de constater que jusqu’à ce jour, aucun


scientifique du monde entier n’a réclamé ce prix, même
pas le Pr Luc Montagnier de l’institut pasteur, ni même le
Pr Robert Gallo, tous codécouvreurs du VIH, en précisant
que leur découverte provenait de l’échantillon d’un même
patient !

Je me suis alors dit : « 100 000 dollars ne représentent-ils


rien pour ces chercheurs ??? C’est quand même bizarre tout
de même qu’aucun chercheur ne veuille fermer la bouche de
ce Monsieur Russell en bouffant son argent (comme on le
dirait au quartier), ceci par une simple démonstration chez
un patient atteint du SIDA chez qui, une simple prise de sang
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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

allait suffire à isoler le virus, puis à le purifier et ensuite à


l’observer au microscope électronique, quoi de plus
simple ! ».

En poussant un peu dans mes recherches (ce qui est très


facile à faire lorsque tu as un peu de volonté et la ferme
détermination de trouver la vérité dans tout ça), je me suis
rendu compte qu’en effet, en 1983, un groupe de
chercheurs et médecins de l’Institut Pasteur en France,
dirigé par Luc Montagnier, découvre un nouveau virus
chez un patient présentant les signes et les symptômes qui
précèdent souvent le SIDA.

Ils appellent leur découverte virus associé à la


lymphadénopathie ou LAV¹, et ils envoient des
échantillons à l’équipe de Robert Gallo aux États-Unis.

En 1984, le 23 avril plus précisément, lors d’une


conférence de presse tenue à Washington deux semaines
avant la publication des articles, Margaret Heckler, alors
secrétaire aux Services de Santé, annonce que Gallo et ses
collègues ont découvert un virus qui est la cause
« probable » du SIDA (la cause probable !). Celui-ci,

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

dénommé HTLV III, est probablement un virus de la


classe des HTLV [Virus T-lymphotropique humain].

Il publie son travail le 4 mai 1984 dans la revue Science² ³.

On s’apercevra par la suite que Gallo avait quelque peu


fraudé en utilisant pour sa « découverte » un échantillon
que Luc Montagnier lui avait généreusement offert
quelques mois auparavant. Il arriva la même mésaventure
à Robin Weiss, le grand spécialiste britannique du SIDA,
qui fut obligé de reconnaître que sa propre découverte du
virus résultait du fait qu’il avait, lui aussi, reçu un
échantillon de la culture de Luc Montagnier. On peut ainsi
constater que, de part et d’autre de l’Atlantique, les trois
équipes les plus en pointe sur le sujet, n’ont réussi à
annoncer qu’une très vague présomption à partir de
cultures cellulaires issues d’un même patient !

Il n’y a d’ailleurs dans toute la littérature médicale pas un


seul article dans lequel on pourrait trouver la conclusion
selon laquelle un tel rétrovirus a été isolé, et que ce virus
est la cause du SIDA.

J’ai tout de suite compris pourquoi Alexander Russell était


si confiant en promettant 100 000 dollars pour celui qui
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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

réussirait à démontrer la présence de particules


rétrovirales (VIH) chez un patient atteint du SIDA ! en
effet, aucun scientifique au monde jusqu’à ce jour n’a
jamais réussi à isoler le VIH chez un patient atteint du
SIDA, même avec une charge virale élevée⁴ ! bizarre n’est-
ce pas !

Vous vous demandez sûrement : et d’où proviennent alors


ces photos du VIH très jolies avec des couleurs et des
caractéristiques précises du virus ? Et les tests, comment
ont-ils été élaborés si le virus n’a jamais été isolé ? Ceux-ci ne
seraient jamais spécifiques dans ce cas !

Nous y reviendrons et nous apporterons des réponses


concises et exhaustives à ces interrogations tout au long de
ce livre.

Les médias se sont immédiatement acharnés sur cette soi-


disant « découverte » en déclarant le lendemain même :
« on a enfin trouvé la cause du SIDA, c’est le VIH ! c’est
lui l’assassin » tout en oubliant le mot « probable » qui
avait tout son sens dans la phrase et nous allons
comprendre pourquoi tout au long de ce livre.

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

En guise de rappel historique, Le SIDA est « apparu » au


début des années 80 à San Francisco exclusivement chez
des homosexuels masculins jeunes qui développaient des
Pneumonies à Pneumocystis Carinii [PPC] parfois
mortelles. Ces premiers cas publiés par le Dr Gottlieb
avaient deux choses en commun : ils étaient homosexuels
et usagers de drogues lourdes [cocaïne, amphétamines,
nitrite d’amyle], tous éléments constituant des agents de
stress immunologique qui, bien que liés au comportement
sexuel, ne sont pas transmis par voie sexuelle.

Il reçut alors en 1981 l’appellation GRID (Gay Related


Immune Deficiency : Déficience Immunitaire Liée à
l’Homosexualité : DILH). (Un virus homophobe, bizarre !)

Les puissants Lobbies homosexuels aux USA furent


consternés par cette appellation stigmatisant la
communauté homosexuelle. À l’été 1982, ils sommèrent la
CDC de revoir le nom de cette « nouvelle maladie », et c’est
là que débuta alors aux États-Unis l’usage du sigle AIDS,
qui signifia d’abord Acquired Immune Deficiency
Syndrome puis Acquired Immunodeficiency Syndrome. Le
terme AIDS avec la notion d’Acquired (acquis) est réputé

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

être donné par le chercheur Bruce Voeller, homosexuel,


mort lui-même d’une complication liée à cette maladie⁵.

Le nitrite d’amyle est une drogue utilisée exclusivement


dans le milieu homosexuel masculin, la plupart du temps
par inhalation. Les recherches sur animaux et sur culture
de lymphocytes ont démontré que les nitrites sont
immunotoxiques, cytotoxiques et cancérigènes⁶ ⁷ ⁸ ⁹ ¹⁰.

En fait, aucune des maladies étiquetées sous le nom SIDA


n’était nouvelle. Certaines d’entre elles étaient, bien avant
l’ère du SIDA, connues pour frapper les utilisateurs de
drogues et les hémophiles et l’on connaissait déjà, les
effets de la malnutrition sur l’immunité surtout en
Afrique. Ce qui était nouveau, c’était le développement
exponentiel de leur prévalence chez les homosexuels
masculins.

Étant un débutant dans la recherche pour ne pas dire un


novice, et cherchant à tout prix à comprendre un peu cette
histoire de VIH-SIDA, je me suis naturellement lancé dans
une recherche effrénée de connaissances et de références
scientifiques concernant cette pathologie et je fus
bouleversé par ce que j’ai « découvert ! », ou du moins ce
22
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

que j’ai pu lire dans la littérature scientifique, puisque je


n’ai rien découvert, il suffit de lire, lire au bon endroit !

« Un scientifique n’est pas un répétiteur de ce qu’il a lu


dans des livres, mais quelqu’un qui est capable de
produire de façon intrinsèque un avis critique au vu de
ce qu’il apprend et de ses propres expériences ! »

J’ai depuis obtenu mon diplôme de docteur en Médecine,


mais je n’ai jamais oublié la difficulté des premiers temps.

Dans cet ouvrage, je n’ai pas la prétention d’être un expert


en virologie, en santé publique, en hématologie ou en quoi
que ce soit.

Je ne suis un expert en rien, je n’ai fait aucune


découverte !

Je suis juste un simple citoyen ordinaire qui a mené des


recherches dans la littérature scientifique afin de
comprendre pourquoi « tout » le monde atteste que le VIH
est la cause du SIDA pourtant il existe énormément
d’incohérences dans cette hypothèse et il ne faut pas être
un diplômé de HARVARD aux USA ou avoir un QI de 180
ou même être atteint de la Diplômite (Infection causée

23
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

par une abondance de Diplôme) pour le remarquer, il


suffit d’être cohérent et pas besoin de Diplôme pour ça !

Tout au long de cet ouvrage qui peut paraître polémiste,


populiste ou même encore de propagande comme
certains le diront compte tenu de l’OMERTA et du DOGME
qui règne sur le VIH = SIDA = MORT, je mets juste à la
disposition du public, désinformé par les médias de masse
qui distillent le plus souvent des informations
incohérentes et absolument non scientifiques, une revue
de la littérature aujourd’hui appelée « dissidente » vis-à-
vis de la thèse officielle, composé de scientifiques
chevronnés sur les rétrovirus tels que :

Pr Peter Duesberg, de l’université de Beckeley en


Californie, considéré comme le scientifique le plus
compétant au monde sur les rétrovirus, auteur de
l’ouvrage « Inventing the AIDS virus »,

Pr Étienne de Harven, professeur émérite


d’anatomopathologie à l’Université de Toronto auteur de
l’ouvrage « les 10 plus gros mensonges sur le SIDA ».

Pr Kary Mullis, prix Nobel de Chimie en 1993, inventeur de


la PCR (Polymerase Chain Reaction) et bien d’autres
chercheurs… 24
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Cet ouvrage n’a pas la prétention d’être considéré comme


étant un article scientifique, mais constitue ce qu’on
appelle un essai.

Il sera étendu en 5 volumes afin de brosser de façon


complète tous les mensonges concernant le VIH-SIDA,
véhiculés par les médias et les plus hautes instances de la
santé, financés pour la plupart par les industries
pharmaceutiques (nous en reviendrons).

Ce premier volume est consacré aux tests de dépistage


du VIH qui permettent de déclarer qu’un individu est
séropositif.

Claudel Joël Noubissie


Docteur en Médecine

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

TRADUCTION DES TERMES LES


PLUS UTILISES EN MATIÈRE DE
SIDA

Anti Retro Viraux (ARV) : Ces agents détruisent la


formation de l’ADN. Ils n’agissent pas contre des virus
seulement, mais contre tout l’ADN qu’ils peuvent
rencontrer dans le corps humain. Il n’y a en fait aucun
médicament qui soit vraiment spécifiquement antiviral,
contrairement à ce que l’on croit généralement.

Approbation rapide : Autorisation donnée à des


traitements pharmaceutiques avant que des études à long
terme n’aient été faites et avant que l’efficacité et
l’innocuité du produit aient pu être établies. De nombreux
effets secondaires des inhibiteurs de la protéase (IP) ont
été découverts après que l’autorisation rapide ait été
accordée.

Éducation concernant le SIDA : Présentation de toutes


sortes de croyances qui excluent toutes les informations
contenues dans cette brochure.

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Épidémie de SIDA : Le mot épidémie correspond à une


maladie contagieuse qui se répand rapidement dans toute
la population. Pendant les 33 ans de son histoire, le SIDA
est resté à 97 % confiné aux groupes à risque originaux et
ne s’est pas répandu dans la population. La mortalité pour
cause de SIDA est moins de 10 % de la mortalité annuelle
due au cancer.

99 % des gens qui habitent sur le continent Africain, qui


est souvent décrit comme dévasté par le SIDA n’ont pas le
SIDA. Le SIDA ne remplit aucun des critères qui
permettent de définir une épidémie.

Charge virale : Nom donné à un test de laboratoire qui


n’isole pas et n’identifie pas le virus et n’a pas été
approuvé par la FDA comme méthode de diagnostic. Ce
test est néanmoins utilisé de façon routinière pour
diagnostiquer l’infection au SIDA et prescrire une
médication.

Chronique et contrôlée : Une phrase qui est utilisée pour


décrire le but de la science officielle qui espère qu’avec les
nouveaux médicaments, le SIDA pourra être une maladie
chronique que l’on contrôle comme le diabète.

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Combattre le SIDA : en fait, ce combat correspond à


trouver des fonds pour soutenir la recherche et les
institutions qui vivent du SIDA.

Effets secondaires : Les effets négatifs produits sur la


santé des patients par des traitements pharmaceutiques.
En fait ces effets secondaires sont les effets directs qui sont
dus à la toxicité des médicaments.

Facteur de risque : D’après les médias et les agences


gouvernementales, tout le monde court le risque d’attraper
un jour le SIDA. Pourtant, depuis plus de 15 ans, 97 % de
tous les cas de sida en Amérique sont restés confinés chez
les hommes homosexuels utilisant des drogues dures
(virus homophobes à la fin !) ou chez les hémophiles qui
ont reçu de nombreuses transfusions sanguines. En 1987
déjà, le Centre de Contrôle des Maladies admettait que le
risque pour une personne hétérosexuelle qui ne faisait pas
partie d’un groupe à risque était de moins de 1 pour 5
millions, ce qui est moins que le risque d’être frappé un
jour par la foudre (moins de 1 sur 1 million) ! Mais il fut
décidé en 1988 de présenter le SIDA comme une maladie
qui pouvait frapper tout le monde afin de mobiliser le

28
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

soutien financier des populations et de générer de la


compassion pour les victimes.

Infecté par le SIDA : Une phrase incongrue, rendue


populaire par les médias, qui décrit des gens qui ont été
testés positifs pour les anticorps contre VIH. Il n’y a pas
réellement d’infection du SIDA. (Médias de
désinformation)

Inhumain : Terme utilisé pour décrire l’utilisation de


placebo dans des études en double aveugle. Pendant des
décennies, les études en double aveugle ont été reconnues
comme des pratiques scientifiquement valables pour
évaluer l’efficacité d’un traitement. Depuis le temps du
SIDA, l’utilisation de placebo est considérée comme
inhumaine.

Intervention précoce (aussi appelée prophylaxie) :


Traitement pharmaceutique d’une maladie que l’on donne
avant qu’aucun symptôme de cette maladie ne soit apparu.
La présomption que la maladie va apparaître est fondée
uniquement sur des statistiques faussées et ne tient aucun
compte de l’état de santé de l’individu. Les traitements
précoces qui correspondent au concept de frappe fort et

29
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

vite ont souvent des effets extrêmement nocifs sur la santé


de l’individu.

Maladie mortelle : Décris la condition qui mène à la mort.


Pourtant, selon l’O.M.S, 95 % des gens dans le monde
entier qui sont décrits comme ayant le SIDA vivent en
bonne santé. Selon le rapport de 1996 du Centre de
Contrôle des Maladies, le nombre d’Américains qui vivent
avec le diagnostic de SIDA a augmenté depuis plus de 10
ans. Bien que l’on ait affirmé que les inhibiteurs de la
protéase et autres nouveaux médicaments étaient
responsables du nombre croissant de survivants, ce
nombre avait déjà augmenté de plus de 600 % deux ans
avant que ces traitements ne soient utilisés.

Mutation : une explication rendue populaire pour


expliquer pourquoi les effets positifs des médicaments
contre le SIDA sont de courte durée. Cette explication
présume que le virus mute en des souches qui résistent
aux médicaments chimiques. Il n’y a aucune preuve
scientifique qui permette d’étayer cette idée.

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Non progresser : Personnes qui sont séropositives, ne


prennent aucun médicament pharmaceutique et sont en
bonne santé. De nombreux scientifiques pensent que ces
personnes sont atteintes par une souche virale moins
virulente ou imaginent qu’elles ont un gène spécial qui les
protège de la maladie. Beaucoup de fonds sont consacrés à
la recherche de ce gène présumé.

Personne bien informée : Personne séropositive qui a


obtenu des informations des organisations du SIDA sur les
traitements pharmaceutiques et qui les suit. Ces
informations, évidemment, ne tiennent aucun compte de
tous les faits décrits dans ce livre.

Personne refusant de voir la réalité : Terme appliqué à


tous ceux qui remettent en question l’hypothèse du SIDA et
aussi à tous ceux qui refusent des traitements
pharmaceutiques toxiques et choisissent de vivre.

Programme de vaccination contre le SIDA : Une


recherche qui a coûté des milliards de dollars pour créer
un vaccin et n’a jamais abouti. Comme les personnes qui
ont participé à des études pour le vaccin sont devenues
séropositives après vaccination, les chercheurs ont vu qu’il

31
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

n’y avait aucun moyen de distinguer entre les anticorps


induits par le vaccin et des anticorps se produisant
naturellement.

99 % de précision : C’est ce que l’on dit à propos des tests


de séropositivité. Sans tenir compte du manque de
spécificité, du fait que l’on n’a jamais isolé le virus et des
réactions positives pouvant être dues à d’autres causes,
une précision de 99 % veut dire qu’au moins 3 ou 4
résultats positifs sont des faux positifs. Par exemple, les
chiffres du Centre de Contrôle des Maladies affirment
qu’un Américain sur 375 est séropositif. Sur les 37.400
personnes testées, 1 % (374) peut être considéré comme
un faux positif en raison de la précision de 99 %.

Séropositif : Décris quelqu’un qui est testé comme étant


positif à des anticorps que l’on pense être dirigés contre le
VIH. Le fait d’être séropositif ne prouve pas qu’il y ait
réellement une infection par le VIH, mais, dans la
population, le résultat de ce test correspond souvent à une
sentence de mort.

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

SIDA : Habituellement considéré comme une maladie, le


SIDA est en fait un nom qui regroupe 29 maladies déjà
connues qui sont regroupées sous ce titre seulement parce
que la personne présente un test positif aux anticorps
contre le VIH.

SIDA déclaré : Il suffit, pour avoir un diagnostic de SIDA


déclaré, d’être séropositif et d’avoir l’une des maladies qui
sont incluses dans la définition officielle. Cela peut aller
d’une simple candidose jusqu’à un cancer terminal.

Spécialistes de l’intervention précoce : De nombreux


fonctionnaires des organisations du SIDA font la
promotion de traitements pharmaceutiques en excluant
tout autre traitement. De nombreuses organisations
(comme Le Projet Sida de Los Angeles) ne permettent pas
à ceux qui travaillent pour eux de délivrer la moindre
information sur des traitements non chimiques ou des
modes de vie sains qui permettraient de se passer de
médicaments pharmaceutiques.

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Survivant à long terme : Une personne qui est


séropositive et reste vivante pendant plus de 3 à 5 ans.
Beaucoup des survivants qui ont pris des médicaments
pharmaceutiques vivent avec des effets secondaires
importants comme des diarrhées chroniques, des nausées,
une perte de poids, des anémies ou des affections du
système nerveux.

Test du SIDA : Ce test mesure les anticorps contre le VIH


et pas l’infection par ce même virus. Les anticorps ne
peuvent ni causer ni donner une possibilité de prédire la
maladie. Les tests ne sont pas spécifiques, donnent de
nombreuses réactions faussement positives et ne
correspondent pas à un virus qui a été isolé. Il n’y a donc
pas de test qui permette de détecter le SIDA.

Utilisation de compassion avec accès rapide : Cela


correspond à utiliser des médicaments expérimentaux qui
ont été interdits jusque-là sans faire d’études cliniques
approfondies. Ainsi le thalidomide, qui a été interdit en
1960 pour des malformations qu’il produisait chez les
fœtus a été récemment acceptée pour être utilisée contre
certains symptômes du SIDA.

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

LA SAGA DES MENSONGES

1. Les Tests du VIH

la séropositivité est un signe d’infection par le VIH

Ce mensonge est certainement le plus inique de tous ceux


qui sont dénoncés dans cet ouvrage, car il a permis de faire
croire à des millions de personnes qu’elles étaient malades
et contagieuses. […]

Dans son article intitulé, IL EST POSSIBLE DE PASSER DE


SEROPOSITIF À SERIEUXPOSITIF (le terme
« sérieuxpositif » que je trouve génial, est dû à un médecin
séropositif qui, pour des raisons évidentes, veut préserver
son anonymat), Alfredo Embid affirme :

 JE SUIS SÉROPOSITIF, JE SUIS CONTAMINÉ PAR LE


VIRUS DU SIDA.
 FAUX ! INFORMEZ-VOUS...

ON VOUS A DIT QUE VOUS ÉTIEZ SÉROPOSITIF.

Vous en faites la confession, rongé par une angoisse tout


évidente qui, dans de nombreux cas, est empreinte d’un

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

sentiment de culpabilité. Vous pensez être contaminé par


la maladie la plus terrible de ce siècle, condamné à mort
puisque vous croyez qu’être séropositif veut dire être
contaminé par un virus fatal qui mène inévitablement à
cette mort horrible qui, à plusieurs reprises, vous est
présentée à la télévision aux heures des repas...

Votre déjeuner ne passe pas. Vous venez sans doute de


recevoir une mauvaise nouvelle qui va changer
radicalement votre vie... et va déprimer votre système
immunitaire.

Mais, calmez-vous et à propos...

 Comment l’avez-vous appris ?


 Par mon médecin, à la suite de tests...

Nous vous demandons un moment de répit. Nous vous


conseillons de consacrer un peu de votre temps à
examiner d’autres opinions et points de vue différents et à
y réfléchir (dans votre propre intérêt).

AUSSI INCROYABLE QUE CELA PUISSE VOUS PARAÎTRE,


CE DIAGNOSTIC N’IMPLIQUE NULLEMENT QUE VOUS
SOYEZ CONTAMINÉ PAR UN VIRUS CONDUISANT A UNE

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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

MORT FATALE, TEL QUE L’ON A ESSAYE DE VOUS LE


FAIRE CROIRE, CAR :

1- Les tests ne mesurent pas la contamination par le


virus.
2- Les tests n’indiquent même pas que vous ayez des
anticorps (signe que votre organisme est en train
de lutter avec succès contre le virus), ni même que
vous ayez été en contact avec lui.
3- Les tests montrent des erreurs aberrantes telles
que 80 % de faux positifs avec le test ELISA et dans
le cas des plus perfectionnés et considérés à tort
comme « infaillibles » (Western Blot), ils
présentent des réactions croisées avec d’autres
maladies (entrainant donc des erreurs) et des
situations que nous commençons tout juste à
comprendre maintenant.
4- Et de plus, il s’avère que le rôle même du virus
dans le SIDA n’est pas clair du tout. Il existe des
cas de sida sans virus et de présence de virus sans
sida.

38
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

De nombreux chercheurs du monde entier s’interrogent


sur la théorie officielle, y compris sur le diagnostic.

Parmi eux se trouvent des Prix Nobel, des membres de


l’Académie Américaine des Sciences, des Professeurs
émérites d’immunologie et de santé publique, des
microbiologistes, anatomopathologistes, biologistes,
Professeurs agrégés en philologie, en droit, des spécialistes
en biostatistique, en épidémiologie et de nombreux
médecins généralistes possédant de l’expérience dans le
traitement du SIDA. [Replantear el sida » (Repenser le
sida) nº double de la Rev. de Med. Complementarias.]

Ainsi donc, concentrez toute votre attention sur les lignes


qui vont suivre, car nous allons vous apporter les preuves
de telles affirmations.

INFORMEZ-VOUS.

MÊME CECI, APPAREMMENT SI SIMPLE, EST DÉJÀ EN


SOI UN TRAITEMENT EFFICACE. DE PLUS, NOUS
PENSONS QUE REMETTRE EN QUESTION L’HYPOTHÈSE
OFFICIELLE « SÉROPOSITIF = CONTAMINATION PAR
UN VIRUS MORTEL = MORT ASSURÉE A PLUS OU
MOINS LONG TERME », EST LE PREMIER TRAITEMENT
39
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

ET LA BASE DE TOUTE THÉRAPIE QUI AMÉLIORE LE


SYSTÈME IMMUNITAIRE.

Ce n’est pas une affirmation que nous avançons à la légère.

Dans un groupe de soutien, constitué spontanément et


formé par des malades du sida et des séropositifs, nous
avons pu constater que l’état général de ces derniers
présentait une nette amélioration (fait reconnu par leurs
familles et amis) et ceci après une seule séance d’échange
de points de vue et sans aucun traitement.

Nous pouvons affirmer (en nous basant sur notre propre


expérience, mais surtout sur celle de différents groupes
internationaux de dissidents) que la contre-information
est la base de la guérison.

Cesser de vous considérer comme un condamné à mort


peut vous sauver la vie. Parfois (si vous ne présentez
aucun symptôme réel), le simple fait de recueillir des
informations sur diverses opinions représente un
traitement très efficace et bon marché, comparé à
certaines des options présentées par quelques médecines
« naturelles »...

40
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Il est important pour vous de connaître plusieurs points


concernant les tests sur lesquels vous basez votre
condamnation à mort...

QUE REPRÉSENTENT LES TESTS DU SIDA ?

Les tests n’indiquent pas que vous soyez contaminé par le


virus.

Ils ne mesurent ni ne détectent le VIH.

Les « tests au VIH » mesurent (soi-disant, selon


l’hypothèse officielle dans le meilleur des cas) les anticorps
(c’est-à-dire vos défenses contre le VIH).

Les « tests au VIH » ne sont pas la preuve d’une infection


par un virus.

« Les anticorps ne sont pas les signes évidents de la


présence d’un virus, ni même les signes avant-coureurs
rationnels d’une maladie virale. Tout au contraire, les
anticorps sont là pour neutraliser et ramener le virus à
l’inactivité. »(Peter Duesberg, « la lacune du VIH dans
les statistiques nationales du sida. » Rethinking Aids-
Oct./Nov. 1993).

41
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

LES TESTS ENTRAINENT DES RÉSULTATS


CONTRADICTOIRES DE FAUX-POSITIFS.

Examinez avec nous quelques études publiées


antérieurement qui remettent en question le diagnostic de
la séropositivité du test ELISA et vous verrez qu’elles
présentent une majorité de faux positifs par rapport à
certains tests plus élaborés comme le Western Blot (Peter
Duesberg. « La lacune du VIH dans les statistiques »
rev. med. com. nº 35).

 En Russie en 1991, le test ELISA donna lieu à 30 000


tests positifs dont seuls 66 furent confirmés par le
Western Blot.

Si les études russes présentent pour vous peu de fiabilité,


tournons-nous alors vers les études américaines d’où
proviennent, soi-disant, les meilleurs travaux scientifiques.

 83 % des Aspirants à l’Armée des États-Unis détectés


« positifs » par le test ELISA (10 000/12 000)
s’avèrent être de faux positifs. (Burke et al. New
Eng.J. Med. 319, 961-964, 1988).
 131 homosexuels de sexe masculin sont, à plusieurs
reprises, « positifs » par ELISA et « négatifs » par
42
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Western Blot. (Phar, J., et al., 1992, J. AIDS 5, 988-


992).
 7 donneurs de sang sur 10, traités par un vaccin du
virus influenza en 1991, deviennent positifs par ELISA
et de faux positifs par le Western Blot. (Mac Kenzie,
W.R., et al., 1992, JAMA 268, 1015-1017).

LE TEST WESTERN BLOT (WB) considéré FIABLE A


100 %, PRÉSENTE DES RÉACTIONS CROISÉES ET N’EST
DONC PAS NON PLUS VALABLE.

Les tests d’anticorps les plus perfectionnés Western Blot


(WB) sont eux aussi remis en question pour leur
imperfection.

Dans de nombreuses situations normales ou


pathologiques, mais indépendantes du VIH, ils ne
mesurent qu’un taux de protéine élevée. Mais malgré tout,
on les considère comme les preuves irréfutables de la
séroposivité et donc d’une soi-disant infection par le
virus...

D’autre part, les résultats de ce test pour un même


échantillon de sang envoyé aux meilleurs laboratoires sont
contradictoires, comme l’a démontré le Dr Brialy lors de
43
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

sa conférence à Omnimed (Revue Biotechnology. Vol 11


nº 6. Juin 1993).

Nous tenons à signaler que ces études ont été publiées


dans les meilleures et plus prestigieuses revues
scientifiques du monde entier :

 Lancet,

 JAMA (Journal of the American Medical Association),

 New England Journal of Medecine,

 AIDS,

 Biotechnology, etc.

CEPENDANT, SEULEMENT 2 REVUES : « ÉNERGIE ET


SANTÉ », ET « MÉDECINES NOUVELLES » ONT EU LE
COURAGE DE PUBLIER DES INFORMATIONS SUR LES
DISSIDENTS.

CONCLUSION :

Nous en avons assez d’entendre des aberrations telles


que :

JE SUIS SEROPOSITIF, JE SUIS CONTAMINÉ PAR LE


VIRUS DU SIDA.

44
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

De nombreux chercheurs du monde entier sont persuadés


que cette idée manque de fondements scientifiques, mais
le plus grave c’est qu’elle est fortement contaminante et
engendre « médiatiquement » le SIDA.

Tout ceci nous a poussés à écrire cet article.

En premier lieu, ce travail est destiné à vous tous qui êtes


touchés par les terribles effets secondaires d’un tel
diagnostic.

Ce diagnostic, selon nous, n’est pas un diagnostic


scientifique, mais une forme « médicalisée » de
« Vaudou ».

En second lieu, ce travail s’adresse à vous, les thérapeutes,


qui devez (ou devrez) faire face à ce genre de demandes.
Nous vous rappelons que la fonction première du
thérapeute est selon le serment d’Hippocrate « Primum
non nocere », c’est-à-dire « Premièrement ne pas nuire »
qui parfois oublié parfois violé, trouve normalement son
application dans les thérapies prescrites.

Il devrait également s’étendre, précisément dans notre cas,


au propre diagnostic qui peut aussi engendrer des
maladies iatrogènes (provoquées par la médecine).
45
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Ainsi donc, si on vous a diagnostiqué « séropositif » (ce qui


n’a plus grand sens, comme vous pouvez le constater),
autrement dit que vous êtes contaminé par un virus mortel
(ce qui est encore moins sûr), tôt ou tard vous allez vous
déprimer.

Cette dépression aura sur vous des répercussions au


niveau psychologique et entrainera aussi une baisse de vos
cellules de défense.

Un diagnostic qui produit stress, panique, peur et vous


fait vous sentir comme un condamné à mort entrainant
automatiquement une immunodépression.

Quand le diagnostic est émis par le sorcier ou le médecin


en qui vous avez placé toute votre confiance, cette
condamnation prendra forme. Ceci est la base du VAUDOU
qui tue avec la même efficacité que le diagnostic du
médecin.

Et si par hasard le vaudou manque son but... Une


séroposivité à laquelle s’ajoute un taux relativement bas de
lymphocytes T4 établira que vous devez prendre de l’AZT...
et l’AZT marquera la fin de vos globules rouges, blancs, des
cellules de rénovation rapide...
46
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Et c’est l’histoire du poisson qui se mord la queue : un


diagnostic vaudou qui engendre une dépression
immunitaire aggravée par un traitement contre le SIDA
qui, à son tour, produit une déficience immunitaire.

Incroyable ?

Pas vraiment, si vous tenez compte des bénéfices obtenus


par les inventeurs des tests et des traitements.

Maintenant, je vais vous faire découvrir l’expérience qu’a


effectuée le Docteur Giraldo.

47
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

2. Tout le monde est-il positif pour le VIH ?


(Par Paul Philpott Rethinking AIDS, mai 2000)

Résumé

Le Docteur Roberto Giraldo constata quelque chose


d’étrange quand il commença à travailler dans le
laboratoire d’un prestigieux Hôpital Universitaire de New
York, laboratoire spécialisé dans les analyses sérologiques
pour toutes sortes de microbes.

Les instructions techniques pour les tests VIH stipulent


que les sérums (sang débarrassé de ses cellules) à tester
doivent être fortement dilués. Or, pour tous les autres
virus, les tests d’anticorps ne demandent pas ou peu de
dilution.

Pourquoi cette énorme dilution ?

Giraldo demanda à ses collègues et aux techniciens de


laboratoire, il envoya des E-mails partout dans le monde,
téléphona aux firmes productrices de tests et fit de
rigoureuses recherches dans la littérature. Il ne trouva
aucune réponse. Pire, ses questions n’éveillèrent pas le
moindre intérêt, sauf chez ceux qui rejettent l’hypothèse
virale du SIDA.
48
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Mais ces derniers non plus n’avaient pas de réponse.

Giraldo eut alors l’idée d’étudier les sérums de patients qui,


dilués énormément selon les instructions, étaient négatifs
pour les anticorps VIH.

Que se passerait-il s’il testait ces sérums selon la manière


habituelle de procéder pour les tests sérologiques
d’anticorps, c’est-à-dire sans les diluer ? Ces sérums dilués
et négatifs seraient-ils positifs non-dilués ? Ses recherches
lui apprirent que personne ne s’était encore penché sur
cette question. Il essaya donc lui-même.

Il rapporta ses expériences dans un article technique


publié dans le numéro d’hiver 98-99 de Continuum. Il
testa les sérums non dilués de 83 patients officiellement
séronégatifs.

À son grand étonnement, tous les sérums donnèrent des


résultats positifs.

Cette découverte, dit Giraldo, constitue un nouveau et fatal


paradoxe pour la théorie virale du SIDA.

49
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Qui est Giraldo ?

Roberto Giraldo est spécialiste en médecine interne et


maladies infectieuses. Il fit ses études en Colombie dont il
est originaire, et sa spécialisation en maladie infectieuse à
l’Université de Londres (Rethinking AIDS, avril 1997). Il fut
aussi chef de service de biologie dans une grande faculté de
médecine de Colombie. Depuis 6 ans, il travaille dans le
laboratoire d’immunologie clinique d’une éminente faculté
de médecine de New York. Ses responsabilités
quotidiennes consistent à réaliser les tests destinés à
diagnostiquer la présence de VIH, c’est-à-dire les tests
Elista et Western Blot qui détectent les anticorps
neutralisant les protéines du prétendu VIH, ainsi que les
tests dits « de charge virale » supposée détecter et
amplifier les traces infimes du génome du prétendu VIH.

Giraldo a longtemps douté de la validité de ces tests, et


contesté l’interprétation officielle selon laquelle un test
positif indique une infection VIH. Il considère qu’utiliser
ces tests comme moyens de diagnostic d’une infection VIH
est injustifiable.

Roberto Giraldo est l’auteur de « AIDS and Stressors »


1998. 50
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Pourquoi tant diluer ?

« Les dilutions si extraordinaires des sérums à tester (400


fois pour ELISA, 50 fois pour le Western Blot) me
surprirent depuis le début » dit Giraldo. « Pour la plupart
des tests sérologiques d’anticorps, on utilise du sérum pur,
non dilué. C’est le cas, par exemple, des tests ELISA utilisés
pour diagnostiquer les hépatites A et B, la rubéole,
l’histoplasmose, le cryptocoque, le tréponème de la
syphilis. Pour certains germes, les tests ELISA requièrent
une dilution légère du sérum : 1/16 pour rougeole,
varicelle, oreillons, 1/20 pour le cytomégalovirus (CMV) et
1/10 pour le virus d’Epstein Barr (EBV) ».

Ces légères dilutions affinent sans doute la précision des


résultats positifs (identifiant les patients réellement
infectés) et des résultats négatifs (les non infectés).

Pour les tests VIH cependant il n’existe aucune donnée


d’isolement de virus pouvant justifier ou expliquer les
niveaux de dilutions.

« Pendant des années, j’ai cherché dans la littérature


médicale et dans la documentation des fabricants pour
trouver la raison de ces fortes dilutions.
51
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

J’ai même téléphoné aux délégués de ces firmes fabriquant


les tests. Ils ne pouvaient, au mieux, que me répondre : “les
tests ont étés étalonné comme ça”.

J’en conclus qu’à la question : pourquoi diluer ? Seuls


peuvent répondre les membres de l’équipe Gallo du NIH
qui mirent ces tests au point et les présentèrent en 1984.
(Science 4 mai 1984). »

« Je commençais aussi à me poser des questions sur les


termes “positif” et “négatif”.

Les gens qui réalisent ce genre de test savent bien que les
résultats ne sont pas comme une ampoule électrique : soit
éteinte, soit allumée.

Le sérum de certains patients réagit un peu, mais


cependant pas assez pour être qualifié de positif ; et parmi
ceux dont le sérum réagit suffisamment fort pour être
qualifié de positif, il y a des réactions plus fortes que
d’autres. » (Il s’agit donc de réactions graduées.)

Giraldo étudia donc la littérature médicale pour


comprendre le sens de ces procédures de dilution pour les
tests ELISA et Western Blot.

52
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Pour n’importe quel virus, c’est l’isolement du virus qui


détermine les procédures de test, mais Giraldo ne trouve
aucune donnée faisant état de l’isolement du VIH.

Il ne découvrit pas non plus pourquoi le niveau de dilution


exigé était si mystérieusement élevé, pourquoi la réaction
était dite positive à partir d’un certain seuil de luminosité,
pourquoi il fallait un certain nombre de réactions
protéiques pour qu’un Western Blot soit déclaré positif,
pourquoi on n’utilisait pas de tests antigène VIH.

Ses recherches par contre lui firent connaître les travaux


d’une équipe de chercheurs Australiens dirigée par Eleni
Papadopulos - Eleopulos.

Cette dernière a partout cherché les données attestant


l’isolement du VIH qui justifieraient les tests VIH, mais n’a
rien trouvé. (R.A. Juin-juillet 1997).

Ses travaux amenèrent un autre spécialiste de l’isolement


des virus, Étienne de Harven, à se pencher sur la question.
Il arrive à la même conclusion. (R.A. Nov-Déc 1998).

53
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

L’expérience de Giraldo

« Ma curiosité me conduisit à faire une expérience au


laboratoire médical de Yorktown Heights, NY. Je pris
d’abord un échantillon de mon propre sang qui, à la
dilution mystérieusement requise de 1/400, s’avéra
négatif. Je refis alors des tests avec le même échantillon de
sang, mais sans le diluer (1/1). Ainsi testé pur, le sérum
donna à chaque fois une réaction positive.

Ensuite je testais le sérum non dilué d’autres sujets dont le


sérum dilué à 1/400 était négatif. Tous ces sérums, comme
le mien, réagirent positivement lorsqu’ils furent testés non
dilués.

Mentionnons que, à part mon propre sérum, tous les


échantillons de sang étaient envoyés par des médecins qui
demandaient un test VIH.

Mon expérience m’a appris qu’une demande de test signifie


généralement que le patient appartient à un groupe à
risque (homosexuel masculin, drogue intraveineuse) ».

Giraldo étudia aussi la quantité d’anticorps que révélaient


les résultats des tests.

54
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

« Selon la notice du laboratoire Abbott, la valeur


d’absorption (c’est-à-dire l’intensité de la coloration jaune)
est proportionnelle à la quantité d’anticorps anti VIH-1.

Je constatais que les sérums qui étaient négatifs quand ils


étaient dilués au 1/400, mais positifs quand ils n’étaient
pas dilués avaient une valeur d’absorption plus faible que
les sérums qui, dilués selon les instructions, étaient positifs
aux tests ELISA et Western Blot. Ce fait signifie sans doute
que le sang séronégatif quand il est dilué, mais positif
quand il ne l’est pas à un taux d’anticorps moins élevé que
le sang doublement positif quand il est dilué ».

Donc tout le monde, semble-t-il, peut avoir une certaine


quantité d’« anticorps anti-VIH » dans le sang. Et tout le
monde peut être, jusqu’à un certain point, déclaré
« séropositif VIH ».

55
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Qu’est-ce que cela signifie ?

INTERPRÉTATIONS

Quand on suit les instructions officielles de dilution, très


peu d’Américains présentent un test positif pour les
anticorps neutralisants les protéines supposés VIH (RA
juillet 1996). Environ 1 test positif pour 260 sujets quand
on considère la population générale Américaine. Ce
nombre tombe à 1 pour 7,500 quand on exclut les sujets à
risque. Seuls les groupes à risque présentent un taux de
positivité appréciable : à peu près la moitié des
homosexuels masculins et des drogués intraveineux des
grandes villes sont séropositifs, de même que 75 % des
hémophiles (RA Nov. 1997) ; en Afrique, on estime que 10 à
20 % de la population de divers pays est séropositive.

Ces chiffres sont encore plus élevés pour les sujets à risque
qui développent une ou des maladies servant à définir
officiellement le SIDA : selon les données originales de
Gallo, 88 % d’homosexuels présentant de telles maladies
sont séropositifs (Science, 4 mai 1984) ;

56
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Plus récemment (Genetica 1995), le rétrovirologue P.


Duesberg rapporta que 82 % des homosexuels masculins
présentant de telles maladies sont séropositifs.

Les expériences de Giraldo, suggérant que tout le monde a


peut-être une certaine quantité d’ « anticorps anti-VIH »
dans le sang, donnent une explication rationnelle aux
procédures de dilution mises au point par Gallo pour les
tests ELISA et Western Blot : par ces procédures, on réussit
à bien identifier les membres des groupes à risque,
spécialement ceux qui présentent des maladies sidéennes,
et à les distinguer des autres personnes.

En diluant fortement le sérum et en utilisant les critères de


luminosité exigés par les procédures, on ne trouve un
résultat positif que chez des sujets porteurs d’un taux élevé
d’anticorps. Mais, non dilué, un sérum réagit positivement
même si ce sérum réagit négativement quand il est dilué
selon les instructions.

57
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

L’hypothèse de Giraldo est que les divers sérums


réagiraient à des dilutions variables selon leur teneur en
anticorps ; les sujets ayant un taux d’anticorps moindre
réagiraient seulement quand leur sérum est moins dilué ;
et d’autres encore ayant très peu d’anticorps ne seraient
séropositifs que si leur sérum n’est pas dilué du tout.

L’équipe de Gallo mit au point et breveta ces tests dans le


but d’identifier les sujets qui ont, ou qui sont disposés à
avoir, des maladies sidéennes. Gallo supposa (mais ne
prouva pas) que ces tests mettraient aussi en évidence une
infection virale commune, cause de toutes ces maladies.

L’équipe de Gallo détermina des procédures de tests qui


donnaient 88 % de résultats positifs (43 sur 49) pour les
sujets à risque avec maladies sidéennes, 79 % (11 sur 14)
pour les sujets à risque ayant un « présida », 40 % (9 sur
22) pour les sujets à risque sans affection sidéenne, et
moins de 1 % (1 sur 164) pour des sujets témoins sans
SIDA et n’appartenant pas aux groupes à risque officiels.

58
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Tout cela signifie que les tests d’anticorps de Gallo (ceux


qui sont actuellement utilisés pour tester la « présence
VIH ») ont une certaine précision pour identifier les
membres de groupes à risque, spécialement ceux qui ont
des affections sidéennes. Mais rien ne permet de dire que
ces tests aient une quelconque valeur pour diagnostiquer la
présence d’un virus particulier.

Selon Giraldo, Eleopulos et de Harven, les chercheurs n’ont


pas réussi à isoler un virus particulier chez les sujets
positifs pour les tests ELISA et Western Blot.

Donc, en ce qui concerne l’usage de ces tests pour le


diagnostic d’« infection VIH », Giraldo conclut qu’il n’y a pas
de justification valable ni pour les fortes dilutions, ni pour
les critères de luminosité, ni pour le choix de tests
anticorps plutôt que de tests d’antigènes ni pour la série de
réactions utilisées pour le Western Blot.

59
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

EXPÉRIENCES COMPLÉMENTAIRES ET CHARGE VIRALE

Giraldo reconnaît que bien d’autres questions importantes


restent sans réponse. Par exemple, il n’a pas étudié le test
Western Blot ni le test de la « charge virale ».

« N’ayant aucune subvention pour faire ces recherches, je


n’ai pu étudier que le test ELISA VIH, et même sans aller
aussi loin que j’aurais voulu. Comme le test Western Blot se
réalise à partir des mêmes protéines que le test ELISA, et
qu’il requiert lui aussi une forte dilution (moindre
cependant : 1/50), je pense que j’obtiendrais les mêmes
résultats si je faisais le même genre d’expériences. Mais je
n’ai pas eu l’occasion de vérifier cette hypothèse. J’espère
trouver des fonds pour mieux étudier le test ELISA, ainsi
que le Western Blot. »

Giraldo aimerait aussi étudier le test de charge virale qui


implique également une dilution et s’accompagne d’autres
sérieux paradoxes (RA Oct. 1996) : principalement le fait
que pas plus que les tests ELISA et Western Blot, il ne se
base aucunement sur le seul fait valable, l’isolement du
virus.

60
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

De l’avis de Giraldo, le test de charge virale est utilisé


spécialement comme un moyen de démontrer
artificiellement la présence de grandes quantités d’ARN de
VIH alors que les méthodes conventionnelles établissent
qu’il y en a peu ou pas du tout.

EXPLICATION NON VIRALE

Aucune preuve de l’isolement du VIH n’existant dans la


littérature, et E. P-Eleopulos ainsi que d’autres
scientifiques ayant montré que le SIDA ne se comportait
pas épidémiologiquement comme une maladie
contagieuse (Duesberg, "Inventing the AIDS virus"),
Giraldo se tourne vers une explication non virale pour
comprendre les réactions positives aux « tests VIH ». Il se
réfère aux travaux d’E. P-Eleopulos. Les éléments du
prétendu VIH à partir desquels les « tests VIH » ont été
produits semblent à cette chercheuse être des éléments
ordinaires du corps humain. Cela serait invraisemblable si
le « matériel VIH » utilisé pour les tests avait été extrait
d’isolats VIH (c’est-à-dire prélevés sur des cultures
consistant exclusivement en particules ressemblant à des
virus et se comportant comme des virus).

61
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Mais E. P-Eleopulos s’aperçut que tout ce qui était


présenté dans la littérature médicale comme des « isolats
de VIH » se compose essentiellement de matériel
manifestement non viral mélangé à une minorité de
particules déclarées être du VIH. Elle soutient que ces
particules correspondent à la description classique de
« microvésicules » cellulaires, et non pas de virus.

Elle ne trouve aucun fait prouvant que ce matériel


d’« isolat VIH » soit autre chose que des constituants
cellulaires normaux. Étienne de Harven, spécialiste en
microscopie virale est du même avis.

Il semble donc à Giraldo que les tests d’anticorps VIH


détectent simplement si l’organisme a été exposé à des
facteurs augmentant la production d’anticorps réagissant
à des protéines prélevées dans les cultures improprement
appelées « isolats de VIH ».

62
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Ce peut être tout un éventail de facteurs identifiés par E.


P-Eleopulos et d’autres chercheurs comme étant la cause
probable du SIDA : consommation de drogues, traitements
de l’hémophilie (en particulier multiples transfusions),
infections et antibiothérapies sans arrêt répétées (comme
chez les homosexuels masculins) et dans le Tiers Monde
multiples parasites et infections chroniques comme
conséquence de malnutrition, d’absence d’eau potable et
de soins médicaux élémentaires.

Concernant le test de charge virale, Giraldo n’a pas


d’hypothèse à priori, car il n’a pas encore étudié la
question.

Il propose des expériences qui aideraient à expliquer la


signification de ces tests.

Une chose est désormais certaine : les données existantes


ne confirment pas l’hypothèse selon laquelle un test VIH
positif (ELISA ou Western Blot) est le signe d’une
quelconque infection virale.

Giraldo prétend que tout le monde peut produire une


certaine quantité d’anticorps contre les prétendues
protéines VIH.
63
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Il n’en conclut pas pour autant que tout le monde,


séropositif ou non, est infecté par du VIH.

Voilà une simple étude, référencée dans la littérature


scientifique et qui n’a fait écho nulle part !

Normal, les enjeux financiers de ces tests sont


beaucoup trop importants !

Giraldo démontre par cette expérience 4 principaux faits :

 l’inefficacité
 le manque de spécificité,
 le manque de reproductibilité,
 Et plus simplement l’inutilité avérée de ces tests !

Il y a encore

plus cynique…

64
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Le test de type « Western Blot » est utilisé pour confirmer


une séropositivité lorsque celle-ci a été détectée par 1 ou
2 tests de type « Élisa ».

C’est donc un test considéré comme plus fiable.

Un test western Blot comprend 10 bandes alignées


correspondant aux dix protéines que l’on a définies
comme étant typiquement et exclusivement relatives au
« VIH ». (Comment est-ce possible si le VIH n’a jamais été
isolé ?? Mystère glorieux).

L’harmonisation internationale des diagnostics étant


inexistante, on peut être déclaré séropositif dans certains
pays lorsque seulement 2 bandes ont réagi.

Dans certaines contrées, il en faut 3. Dans d’autres, 4


bandes sont nécessaires.

On voit donc que selon le pays où l’on réside, le même


sérum, analysé dans des conditions identiques, peut
fabriquer un séropositif ou un séronégatif, au gré de la
législation en vigueur. Mais il y a plus intéressant encore.
Puisque les dix protéines utilisées dans les tests sont
annoncées comme typiques du « VIH »,

65
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

on peut se poser les deux questions suivantes, totalement


à l’opposé l’une de l’autre :

 Pourquoi deux à quatre bandes sont-elles


nécessaires alors qu’une seule devrait être
suffisante pour diagnostiquer la présence du
virus ? (Mystère lumineux)
 Pourquoi seulement deux à quatre bandes sont-
elles nécessaires alors que la présence du virus
devrait impliquer obligatoirement la présence
des dix protéines qui lui sont attribuées, donc la
réaction de toutes les dix bandes du test ? […]
(Sûrement le Mystère joyeux !)

Cela dit, il faut signaler que ces tests inspirent si peu


confiance qu’aux États-Unis, la FDA (Food and Drug
Administration) n’a apporté sa caution à aucun d’entre
eux. […] Il est important de rappeler que, faute de
standard international, on peut être classé séropositif ou
séronégatif selon le pays où l’on réside.

66
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

LES DIFFÉRENTS CRITÈRES POUR UN TEST POSITIF


WESTERN BLOT

AFR = Africa ; AUS = Australia; FDA = US Food and Drug

Administration; RCX = US Red Cross; CDC = US Center for

Disease Control; CON = US Consortium for Retrovirus

Serology Standardization; GER = Germany ; UK = United

Kingdom; FRA = France ; MACS = US Multicenter AIDS

Cohort Study (1983-1992)

Source : Val Turner.


67
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Il est extraordinaire de constater que pouvez devenir


simplement séronégatif en changeant de pays ou de
laboratoire !

Des études ont montré que d’un pays à l’autre et d’un


laboratoire à l’autre les résultats changent en fonction des
tests utilisés, des façons d’utiliser chacun des tests et de
les interpréter.

Sur les dix bandes de tests que compte le Western Blot, il


suffit d’en avoir 2 qui soient jugées « positives » pour être
déclarées infectées en Afrique. Il en faudra 3 en Grande-
Bretagne et 4 en Australie.

Il y a encore plus grave.

Les tests sont si peu spécifiques que les fabricants eux-


mêmes annoncent que leurs tests ne peuvent servir à
affirmer ou infirmer la présence du « VIH ». Ils signalent
également qu’il y a de nombreuses sources possibles de
faux positifs, en tout une soixantaine. […] (confère la
suite)

68
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Suffit de lire les notices des tests pour comprendre ! est-ce


que les médecins le font ? Évidemment non ! et ce n’est pas
de leur faute, puisqu’ils ne font pas les tests eux-mêmes,
mais ce sont les labos qui les font.

« Si tu veux cacher un truc à un noir, il faut le marquer dans


une notice ! » Claudel Noubissie

 La charge virale :
[le mensonge qu’il faut soigneusement enlevé de
sa tête est que ce test dénombre les virus (VIH)
dans le sang d’un patient atteint du SIDA !
Il n’en est rien !
Si le virus n’a jamais été isolé et qu’il n’existe à ce
jour aucun test permettant de le détecter dans le
sang d’un patient, comment pourrait — on
calculer la charge ou du moins le nombre de virus
chez un malade ???
Il ne faut pas être Professeur en Médecine avec
une tonne de diplômes pour comprendre que
c’est totalement incohérent sauf pour un idiot !
et ceci n’est qu’un euphémisme pour matérialiser
le caractère non scientifique de quelqu’un qui
aurait une telle simplification des faits !].
69
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Le concept de « charge virale » a été introduit aux USA par


le docteur David Ho, par ailleurs promoteur des multi
thérapies, espérant ainsi fournir une explication au fait
que personne ne trouvait de « VIH » directement chez
aucun patient. Le médiatique personnage (élu « homme de
l’année 1996 » par Time Magazine) proposa alors que le
virus savait se rendre indétectable, mais qu’on pouvait
néanmoins le mettre en évidence grâce à la technique PCR
(polymérase Chain réaction), qui est un procédé de
multiplication de l’ADN.

En 1997, David Ho et ses collaborateurs traitèrent un


groupe de vingt patients avec une bithérapie associant
AZT et inhibiteur de protéase. Dès le début du traitement,
la fameuse « charge virale » de ces patients était tombée à
un niveau indétectable et y est restée. Ce résultat fut
présenté comme l’évidence que la bithérapie prescrite
était efficace.

Selon les scientifiques orthodoxes eux-mêmes, au moins


99,8 % des particules mesurées par le test de charge virale
ne sont pas infectieuses ! D’où viennent-elles ? (Un autre
Mystère dogmatique)

70
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

De « VIH » mal assemblés, bons pour le rebut ?

Le problème, c’est que ces virus boiteux, tout comme ceux


qui sont présentés comme virulents, n’ont jamais été vus
au microscope électronique. Pourtant, avec la quantité
importante de particules que l’on prétend trouver, il n’y
aurait rien de plus facile. […] Mieux encore : l’inventeur de
la technique PCR [utilisé pour déterminer la charge
virale], Karry Mullis (qui a obtenu le prix Nobel de chimie
en 1993 pour cette invention) tient pour frauduleuse
l’utilisation de son procédé dans la recherche de la
« charge virale ». Ce scientifique authentique et
incontestable se heurte pourtant à un mur. On étouffe ses
propos contestataires, bien que sa démonstration soit
brillante et documentée. Trop d’intérêts et de carrières
sont en jeu.]

Extrait des « 10 plus gros mensonges sur le SIDA », du Pr


Étienne de Harven

71
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

72
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

De Quels Anticorps S’agit-il Donc ?


1. Facteurs reconnus pouvant donner des résultats
de tests VIH faussement positifs.
Par Christine Johnson, Continuum Sept./Oct. 1996

L’establishment SIDA est arrivé à convaincre beaucoup de


gens que les tests dits « du SIDA » (Elisa, IFA et Western
Blot) sont sûrs à « 99.5 % ». Dans cet article Christine
Johnson donne une liste de situations reconnues comme
pouvant faire réagir positivement ces tests. Elle s’est
basée pour cela de la littérature scientifique et donne les
références.

Cette liste va sans doute susciter beaucoup de discussion


et de controverses. Donnons donc dès le départ quelques
éclaircissements.

Qu’un facteur se trouve sur la liste n’implique pas qu’il va


sûrement, ni même probablement, causer un résultat
faussement positif. Un faux positif dépend des anticorps
dont l’individu est porteur, mais aussi des caractéristiques
de chaque test en particulier.

73
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Par exemple, certaines personnes, mais pas toutes, ayant


reçu des transfusions de sang, ou ayant été plus d’une fois
enceintes, ou ayant subi une transplantation d’organe,
vont faire des anticorps HLA.

Certains tests (Élisa ou Western Blot), mais pas tous,


seront contaminés par des antigènes HLA vis-à-vis
desquels ces anticorps peuvent réagir. Il faut que ces 2
conditions soient réunies pour qu’un faux positif sur HLA
apparaisse.

Certains facteurs causent plus facilement que d’autres des


faux positifs. Et d’autres facteurs que nous ne connaissons
pas encore, mais qui pourraient nous apparaître à l’avenir,
peuvent aussi causer de faux positifs.

Certains des facteurs de la liste ont été étudiés par rapport


seulement au test Élisa, d’autres par rapport aux tests Élisa
et Western Blot (WB).

Certaines personnes pourraient objecter que si un facteur


est connu comme cause de faux positifs seulement avec le
test Élisa, il n’y aurait pas de problème, car le WB lui
resterait négatif. Mais n’oublions pas que le WB est un test

74
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

basé sur l’accumulation de réactions antigènes-anticorps


positives chez un individu¹¹.

Donc plus un individu a été exposé à des protéines, agents


infectieux et antigènes étrangers, plus il aura accumulé
d’anticorps dans son organisme, et plus il est probable
qu’il y aura chez cet individu suffisamment d’anticorps
réagissant pour rendre le WB positif.

Il faut noter que tous les groupes à risque SIDA, y compris


les Africains, ont en commun ce problème : ils sont exposés
à une foule de protéines et antigènes étrangers. Ce qui
n’est pas le cas de la population générale aux États-Unis et
en Europe occidentale.

C’est la raison pour laquelle les représentants d’un groupe


à risque ont souvent un WB positif (et sont de ce fait
considéré comme « infectés par le VIH »), et pas les autres
gens. Des gens « non à risque » peuvent cependant, pour
des raisons encore mal comprises, présenter aussi un WB
positif¹².

75
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Comme on a pu trouver des faux positifs pour chaque


protéine VIH¹³, comment savoir si les bandes positives du
WB sont le témoin de protéines VIH ou bien seulement un
ensemble de réactions faussement positives à divers
anticorps non-VIH ?

76
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Facteurs reconnus pouvant donner des résultats de tests


VIH faussement positifs.

1. Anticorps anti-glucidiques²⁶ ³² ⁶⁵

2. Anticorps spontanés¹⁸ ³²

3. Immunisation passive par gammaglobulines ou


immunoglobulines (utilisées prophylactiquement
contre une infection immunisante)¹⁷ ²⁶ ³⁵ ³¹ ³⁹ ⁵⁵
⁵⁶ ⁷³
4. Lèpre¹⁵ ³⁸

5. Tuberculose³⁸

6. Mycobactérie aviaire³⁸

7. Lupus érythémateux disséminé²⁸ ³⁶

8. Insuffisance rénale²⁶ ³⁶ ⁶¹

9. Insuffisance rénale avec hémodialyse²³ ²⁹ ⁵⁴ ⁶⁹


10. Traitement à l’interféron de patients
hémodialysés⁶⁷

11. Grippe⁴⁹

12. Vaccin antigrippal¹⁶ ²⁴ ²⁶ ³³ ⁴³ ⁵⁶

13. Herpès simplex 1⁴⁰


77
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

14. Herpès simplex 2²⁴


15. Infections des voies respiratoires supérieures
(rhume ou grippe)²⁴
16. Infection virale récente ou vaccination contre
maladie virale²⁴

17. Grossesse chez des femmes multipares²⁶ ⁴⁹ ⁵⁶


⁶⁶ ⁷¹
18. Malaria (paludisme)¹⁹ ²⁵

19. Taux élevés de complexes immuns circulants¹⁹

⁴⁶
20. Hypergammaglobulinémie (taux élevés
d’anticorps)⁴⁶ ⁵³
21. Faux positifs pour d’autres tests, y compris le test
RPR (rapid plasma reagent) pour la syphilis²³ ³⁰ ⁴⁶
⁶¹ ⁶²
22. Polyarthrite rhumatoïde⁴⁹

23. Vaccination anti hépatite B³⁴ ⁴¹ ⁵³ ⁵⁶

24. Vaccination antitétanique⁵³

25. Transplantation d’organe¹⁴ ⁴⁹

78
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

26. Transplantation rénale²² ²⁶ ⁴⁸ ⁶¹ ⁶⁹

27. Anticorps anti lymphocytaires⁴⁴ ⁵⁹


28. Anticorps anti collagène (qu’on trouve chez des
homosexuels masculins, des hémophiles, des Africains
des deux sexes, des lépreux)⁴⁴
29. Test positif pour le facteur rhumatoïde, anticorps
antinucléaires (présents tous deux dans les
polyarthrites rhumatoïdes et d’autres affections
associées)²⁷ ⁶⁶ ⁷⁵

30. Maladies auto-immunes²³ ⁴² ⁵³ ⁵⁶ ⁵⁷ ⁶² : lupus


érythémateux disséminé, maladies du tissu conjonctif,
dermatomyosite
31. Infections virales aiguës²⁶ ⁵³ ⁵⁶ ⁶¹ ⁶² ⁶⁶

32. Néoplasies (cancers)⁵³


33. Hépatite ou autre maladie du foie d’origine
alcooliques²³ ²⁶ ⁴⁵ ⁵³ ⁵⁶ ⁶¹ ⁶⁶

34. Cholangite sclérosante primaire⁶¹ ⁶⁶

35. Hépatite⁶⁷
36. Anémie à cellule falciforme (chez les Africains :
Drépanocytose)⁴⁷ ⁵¹ ⁵³
79
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

37. Anticorps à forte affinité pour le polystyrène


(utilisé dans les tests kits) ¹⁶ ⁵³ ⁷⁵

38. Transfusions sanguines, transfusions répétées²⁶

⁴⁹ ⁵⁴ ⁵⁶ ⁶² ⁷⁶
39. Myélome multiple²³ ⁵⁶ ⁶⁶
40. Anticorps HLA (vis-à-vis des antigènes
leucocytaires de classe I & II)²⁰ ²³ ²⁶ ⁵⁶ ⁵⁹ ⁶¹ ⁶² ⁶⁶
⁷⁶
41. Anticorps « anti-smooth muscle »⁶¹

42. Anticorps anti membrane cellulaire⁶¹

43. IgM (anticorps) anti hépatite A⁶¹

44. IgM anti hépatite B (HBc)⁶¹


45. Préparations d’immunoglobulines humaines
datant d’avant 1985²³

46. Hémophilies²³ ⁶²
47. Affections hématologiques malignes,
lymphome²² ²⁶ ⁵⁶ ⁶¹ ⁶⁶

48. Cirrhose primaire du foie²⁶ ⁵⁴ ⁵⁶ ⁶⁶

49. Syndrome de Stevens-Johnson²² ²⁶ ⁶¹

80
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

50. Fièvre-Q avec hépatite associée⁷⁴

51. Échantillons de sérum inactivé par la chaleur³⁷

⁶¹ ⁶² ⁶⁴ ⁷⁰
52. Sérum sanguin surchargé de lipides
(hyperlipémie)⁶²
53. Sérum venant de sang hémolysé (dont
l’hémoglobine a quitté les globules rouges)⁶²

54. Hyper bilirubinémie²³ ²⁶


55. Globulines produites au cours de gammapathies
poly clonales (qui se rencontrent dans les groupes à
risque SIDA)²³ ²⁶ ⁶¹
56. Réactions croisées pour d’obscures raisons chez
des individus sains²³

57. Ribonucléoprotéines humaines normales²⁶ ⁶¹

58. D’autres rétrovirus²¹ ²⁶ ²⁷ ⁶¹ ⁶⁸

59. Anticorps anti mitochondriaux²⁶ ⁶¹

60. Anticorps antinucléaires²⁶ ⁵¹ ⁶⁶

61. Anticorps anti microsomes⁴⁷

62. Anticorps anti leucocytes T²⁶ ⁶¹

81
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

63. Protéines du papier filtre²⁶


64. Virus d’Epstein-Barr (mononucléose
infectieuse)⁵⁰

65. Leishmaniose viscérale⁵⁸

66. Relation sexuelle anale (réceptrice)⁵² ⁷⁷

Une question me vient à l’esprit après avoir consulté cette


liste : pourquoi les tests ne détectent-ils pas directement les
antigènes « VIH » comme c’est le cas avec le virus de l’herpès
par exemple ? Ce serait plus spécifique et ça éviterait qu’un
patient ne puisse être étiqueté comme étant « séropositif »
alors qu’il peut juste s’agir d’un « faux positif » lié à l’un de
ces facteurs comme le paludisme par exemple ! et l’on sait
très bien que ce résultat de « séropositivité » entraine
toujours un drame psychologique source de stress
interminable chez le patient et les récentes études
démontre que le stress à lui seul peut être à l’origine de
l’immunodépression ! Le patient se dira désormais et ceci
transmit médiatiquement :

Séropositivité = VIH = SIDA = MORT !

82
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Quelle masturbation intellectuelle qui n’est basée sur


aucun argument scientifique vérifiable !

Après avoir consulté cette liste qui présente les conditions


médicales pouvant entrainer des « faux positifs » aux tests
du VIH (ÉLISA et WESTERN BLOT) et compte tenu du fait
que ces tests ne détectent jamais le virus, mais plutôt les
anticorps dirigés contre ce soi-disant virus qui n’a jamais
été isolé et dont la prime de 100 000 dollars est toujours
pendante…, il va de soi que lorsque l’on étiquette un
patient « séropositif » sur la base de ces tests, la première
démarche à suivre serait d’abord d’éliminer tous ces
facteurs de positivité du test avant de sombrer dans la
paresse intellectuelle qu’on la plupart des médecins qui
consiste à expliquer toute maladie qu’il n’arrive pas à
diagnostiquer en lui mettant l’étiquette

VIH = SIDA = MORT

Après un test non spécifique et non reproductible ! un test


dont les critères de positivité varient en fonction des pays !
la logique est simple, ou on est infecté par le VIH ou on ne
l’est pas !

83
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

on ne peut pas être infecté au Cameroun par exemple


parce que les critères de positivité du WESTERN BLOT
sont de 2 bandes et êtres négatifs en Grande-Bretagne
parce que chez eux c’est plutôt 3 bandes ! tout cela me
semble assez incohérents et même curieux !

84
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

2. Les 10 premiers mensonges :

1er mensonge : Le sida est une nouvelle maladie.

Aussi bien le grand public que la majorité des


professionnels de la santé sont persuadés que le sida est
un phénomène épidémique apparu soudainement au
début des années 80, causé par l’émergence d’un nouveau
virus. Le syndrome d’immunodéficience acquise, ou sida
n’est pas à proprement parler une maladie. Un syndrome
n’est qu’un ensemble de signes et de symptômes survenant
simultanément chez le patient, qui se caractérise par une
forte diminution, voire un effondrement, des défenses
immunitaires. Depuis longtemps les deux principales
causes d’immunodéficience acquise étaient parfaitement
connues et documentées : la malnutrition et l’usage de
substances dangereuses pour le système immunitaire
(drogue, certains médicaments, sang transfusé).

2e mensonge : Il existe un virus du sida : le VIH

Lorsque l’on prend le temps (et il en faut beaucoup) de


consulter la littérature scientifique relative au virus
proprement dit, on est frappé par le fait qu’aucune de ces
investigations n’a jamais réussi à mettre directement en
85
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

évidence la présence de la moindre particule virale, et en


particulier pas la moindre particule rétrovirale, chez un
malade du sida. […]

C’est une équipe de l’Institut Pasteur dirigée par Luc


Montagnier qui a la première annoncer la découverte
d’une activité virale, en 1983, à partir de prélèvements
effectués sur un malade du sida. L’année suivante, l’équipe
de Robert Gallo, aux États-Unis, fit une annonce similaire.
On s’apercevra par la suite que Gallo avait quelque peu
fraudé en utilisant pour sa « découverte » un échantillon
que Luc Montagnier lui avait généreusement offert
quelques mois auparavant. Il arriva la même mésaventure
à Robin Weiss, le grand spécialiste britannique du sida, qui
fut obligé de reconnaître que sa propre découverte du
virus résultait du fait qu’il avait, lui aussi, reçu un
échantillon de la culture de Luc Montagnier. On peut ainsi
constater que, de part et d’autre de l’Atlantique, les trois
équipes les plus en pointe sur le sujet, n’ont réussi à
annoncer qu’une très vague présomption à partir de
cultures cellulaires issues d’un même patient ! Il n’y a
d’ailleurs dans toute la littérature médicale pas un seul
article dans lequel on pourrait trouver la conclusion selon
86
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

laquelle un tel rétrovirus a été isolé, et que ce virus est la


cause du sida.

3e mensonge : Le VIH est la cause du sida

Revenons au début des années 80. Les premiers cas de


sida ont été détectés aux États-Unis au sein de la
communauté homosexuelle et chez les toxicomanes par
voie intraveineuse. Il est nécessaire de préciser que ce
n’est pas le fait d’être homosexuel qui constitue un facteur
de risque vis-à-vis du sida. Seul le style de vie de certains
homosexuels masculins est de nature à provoquer une
immunodéficience. […] Différentes drogues circulaient
abondamment (cannabis, cocaïne, amphétamines, LSD,
barbituriques, héroïne…), mais les vedettes incontestées
étaient les « poppers », petites fioles contenant du nitrite
d’amyle, un puissant vasodilatateur possédant des vertus

87
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

apparemment aphrodisiaques. À l’origine, ce produit était


un médicament utilisé comme dilatateur coronarien dans
le traitement des crises d’angine de poitrine. La
communauté homosexuelle détourna les nitrites de leur
usage thérapeutique pour en faire leur stupéfiant le plus
prisé, et cela dès les années 60. […] Dès qu’ils sont dans le
sang, les nitrites se transforment en oxyde nitrique et
endommagent les parois internes des vaisseaux sanguins,
ce qui explique leur implication dans un cancer des
capillaires : le sarcome de Kaposi. Bien qu’interdits, les
poppers ont continué jusqu’à aujourd’hui à être
disponibles, que ce soit en empruntant des noms innocents
comme « nettoyant pour cuir », ou bien en plein jour, par
exemple dans les sex-shops.

Le phénomène s’est même aggravé par la suite puisqu’ils


ont été adoptés par certains hétérosexuels en quête de
performances. Malgré l’évidence que l’usage des poppers
était associé à la majorité des cas de sida chez les
homosexuels, aux États-Unis, certains médias appuyés par
les organismes de santé publique diffusèrent dès 1983
auprès de la communauté gay des informations disculpant
totalement les nitrites.
88
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Cette attitude peut être qualifiée de criminelle. Il a fallu


attendre 1994 pour que Robert Gallo, « codécouvreur » du
« VIH » et (riche) promoteur du premier test de dépistage,
admette lors d’une conférence du NIDA (National Institute
on Drug Abuse) que le sarcome de Kaposi, maladie typique
de la communauté homosexuelle, ne pouvait être causé par
un virus, mais que les poppers devaient en être la
principale cause. Cet aveu tardif n’a absolument rien
changé à l’attitude officielle.

4e mensonge : Les médicaments antiviraux sont


bénéfiques

En 1987 apparut le premier médicament antiviral


prétendument spécifique au sida : l’AZT. L’azidothymidine,
ou AZT fut découvert dès 1964 et proposé en vue d’une
utilisation dans les thérapies anticancéreuses. Ses effets
dévastateurs (et systématiquement mortels chez les souris
de laboratoire !) ont suscité un rejet catégorique de la part
des autorités chargées de l’accréditation des nouveaux
médicaments anticancéreux.

89
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Autres temps autres mœurs : le besoin de fournir aux


malades du sida une thérapie […] on accorda de toute
urgence l’autorisation surprenante de mettre sur le
marché l’AZT, malgré sa très haute toxicité. Les autres
antiviraux : Chacun possède son propre système d’effet
génétique, mais le principe est le même. (Confère
Volume 2 pour plus de détails sur les ARV)

5e mensonge : La séropositivité est un signe


d’infection par le VIH

Ce mensonge est certainement le plus inique de tous ceux


qui sont dénoncés dans cet ouvrage, car il a permis de faire
croire à des millions de personnes qu’elles étaient malades
et contagieuses. […] Le test de type « Western Blot » est
utilisé pour confirmer une séropositivité lorsque celle-ci a
été détectée par un ou deux tests de type « Élisa ». C’est
donc un test considéré comme plus fiable. Un test western
Blot comprend dix bandes alignées correspondant aux dix
protéines que l’on a définies comme étant typiquement et
exclusivement relatives au « VIH ».

90
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

L’harmonisation internationale des diagnostics étant


inexistante, on peut être déclaré séropositif dans certains
pays lorsque seulement deux bandes ont réagi. Dans
certaines contrées, il en faut trois. Dans d’autres, quatre
bandes sont nécessaires. On voit donc que selon le pays où
l’on réside, le même sérum, analysé dans des conditions
identiques, peut fabriquer un séropositif ou un séronégatif,
au gré de la législation en vigueur.

Il est important de rappeler que, faute de standard


international, on peut être classé séropositif ou séronégatif
selon le pays où l’on réside. Sur les dix bandes de tests que
compte le Western Blot, il suffit d’en avoir deux qui soient
jugées « positives » pour être déclarées infectées en
Afrique. Il en faudra trois en Grande-Bretagne et quatre en
Australie. Il y a plus grave. Les tests sont si peu spécifiques
que les fabricants eux-mêmes annoncent que leurs tests ne
peuvent servir à affirmer ou infirmer la présence du
« VIH ». Ils signalent également qu’il y a de nombreuses
sources possibles de faux positifs, en tout une soixantaine.
[…]

91
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

6e mensonge : Le SIDA est contagieux

Toutes les maladies vénériennes (syphilis, blennorragie,


herpès génital ou anal…), dès qu’elles ont été sexuellement
transmises, provoquent une infection dont les symptômes
sont évidents au bout de quelques jours, et cela sans faire
de distinction entre les individus. Les cinq premiers cas de
sida furent observés et décrits à Los Angeles, en 1981.
L’auteur du premier rapport sur ces cinq cas initiaux,
Michael Gottlieb, avait clairement indiqué que ces cinq
patients étaient homosexuels, et faisaient tous usage de
nitrite d’amyle (poppers). En outre, il indiquait que ces
cinq malades ne s’étaient jamais rencontrés et n’auraient
donc pas pu se contaminer l’un l’autre.

Qu’est-ce qui a bien pu faire penser à Michael Gottlieb qu’il


venait de découvrir une nouvelle maladie infectieuse ?
Rien ne permet de répondre à cette question, et le mystère
reste entier. Une parabole aidera à mieux saisir
l’importance de la question : imaginons qu’un médecin ait
pour mission de surveiller la santé d’une centaine
d’ouvriers travaillant tous dans une usine de colorants.

92
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

C’est une vieille usine, mal ventilée, et où l’on manipule


une abondance de sels de plomb. Après quelques années,
le médecin identifie une dizaine de cas de saturnisme
parmi ces ouvriers. Va-t-il en conclure que le saturnisme
est une maladie contagieuse parce que les malades
travaillaient tous dans la même usine ? Où va-t-il conclure
que ses patients ont tous été exposés au même risque
toxique et ont par conséquent tous développé la même
maladie ? La réponse est trop évidente… Comment
expliquer que le docteur Gottlieb n’ait pas raisonné de la
même façon, et n’ait pas immédiatement compris que ses
cinq patients avaient tous été exposés aux mêmes drogues
toxiques, et par conséquent avaient tous développé la
même pathologie ?

7e mensonge : Le VIH est la source de nombreuses


maladies

Le virus de la rougeole n’est présent que chez les


rougeoleux, celui de la grippe chez les grippés, etc. Avec le
« VIH », une nouvelle ère a commencé : celle des virus
polyvalents, polymorphes et tout-puissants, capables de
causer non seulement une importante variété de maladies

93
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

infectieuses (dues à l’immunodéficience), mais aussi des


pathologies n’ayant rien à voir avec le système
immunitaire. En tout, c’est une trentaine de maladies
qu’est supposé provoquer ce tueur invisible, plus proche
monstrueux et pitoyable aliens des films de science-fiction
que d’un microorganisme. Comment les biologistes et les
professionnels de la santé ont-ils pu avaler cette couleuvre
qui remettait en cause tout ce qu’ils avaient appris jusque-
là ? Il faut croire que leur faculté de raisonnement a été
anesthésiée par les beaux discours venant des mandarins
et des laboratoires pharmaceutiques.

Car il faut le souligner, dès que l’on fait partie de l’élite


scientifique, on peut se permettre d’émettre l’hypothèse la
plus délirante en étant certain d’être suivi par l’ensemble
d’une opinion publique informée par des médias en
recherche permanente de surenchère et de sensationnel.
Apporter la moindre preuve est inutile : seule compte
la notoriété.

94
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

8e mensonge : Il vaut mieux savoir que l’on est


séropositif

Le stress aigu a parfois des conséquences salutaires, car il


permet de réagir efficacement en face d’un danger
immédiat (fuir ou combattre). En revanche, le stress
permanent est une source de déséquilibre entrainant une
cascade d’événements préjudiciables. Les perturbations
psychologiques provoquées par l’annonce d’une
séropositivité et les réactions émotionnelles qui en
découlent induisent des réactions physiologiques
dommageables pour la santé, en affaiblissant les réactions
naturelles de défense de l’organisme. C’est ainsi que la
boucle de régulation hormonale mettant en jeu les glandes
surrénales et certaines glandes endocrines du cerveau
(hypophyse, hypothalamus, épiphyse) se trouve fortement
perturbée en cas de stress intense, l’une des conséquences
étant une surproduction de certains messagers chimiques
(neuromédiateurs), comme le cortisol qui est une hormone
immunosuppressive. Le stress affaiblit donc l’activité du
système immunitaire, mais provoque aussi de nombreuses
autres perturbations […]

95
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

9e mensonge : L’épidémie du SIDA est dévastatrice

Les organismes de santé publique s’accordent à donner


des informations apocalyptiques sur la progression du sida
dans le monde. Elles sont relayées avec beaucoup de
complaisance (et sans vérification) par l’ensemble des
médias et par les organisations dont le sida est la raison
d’exister.

Cette montée de la terreur s’est faite par étapes


successives :

1. Attribuer à un virus l’immunodéficience acquise a été le


premier pas. Un pas décisif qui a permis d’imposer l’idée
que le sida était une maladie infectieuse, donc
transmissible.

2. Mettre au point des tests de séropositivité a servi


ensuite à prétendre pouvoir détecter une infection au sein
de population en bonne santé (et inventer en même temps
le sida hétérosexuel).

3. Dans un troisième temps, le nombre des maladies


censées être causées par le « VIH » a progressé par paliers,
passant de trois à trente en quelques années.

96
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

4. En plus, la définition même du sida a été profondément


modifiée à quatre reprises (1982, 1987, 1992 et 1998) par
les CDC (Centers for disease control and prevention) et
l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), chaque
nouvelle définition entrainant une escalade catastrophique
de l’apparente épidémie.

5. Enfin, les statistiques basées sur des extrapolations


acrobatiques ont permis d’augmenter chaque année les
chiffres de la contamination, surtout dans les pays où les
contrôles sont les plus difficiles à opérer.

Quelle est la situation actuelle, lorsque l’on s’en tient aux


faits ? Dans les deux régions du monde où le sida a fait ses
premières apparitions, les États-Unis et l’Europe de
l’Ouest, la prétendue épidémie a fait long feu. En Océanie,
elle n’a même jamais débuté. En revanche, les statistiques
officielles annoncent une flambée des infections dans
plusieurs zones qui avaient été longtemps épargnées.
[Chacune de ces régions sera analysée par la suite, de
même que les statistiques.]

97
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

10e mensonge : Les scientifiques sont tous d’accord

Plusieurs centaines de scientifiques, et non les moindres,


ont préféré prendre des risques sur des carrières qui
s’annonçaient souvent très prometteuses plutôt que
d’accepter les nombreux mensonges et incohérences
distillés par les instances officielles, Duesberg,
Papadhópoulos, De HARVEN, etc..

98
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Citations De Quelques Chercheurs :


« Je ne comprends pas pourquoi tout le monde a été si
rapide à accepter ce que le gouvernement présentait
comme une vérité. Tout spécialement le mythe central à
savoir que l’on connaît la cause du sida. Les gens se sont
accrochés à une affirmation pour se sécuriser, même si elle
était totalement fausse. » Michael Callen, auteur.

« Le sida ne mène pas inévitablement à la mort. Il est


important de dire cela aux gens. Les facteurs
psychologiques sont très importants pour le maintien
d’une bonne fonction immunitaire. Si vous affaiblissez
quelqu’un psychologiquement en lui disant qu’il va mourir,
vos mots vont le condamner ». Pr Luc Montagnier.

« L’important est de se libérer des médicaments toxiques.


Lorsque je les prenais, la qualité de ma vie baissait à
grande vitesse. » Greg Louganis, séropositif.

99
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

« Le VIH ne provoque pas le SIDA... Ce que personne ne


comprend, c’est que tous les rapports écrits par Gallo sur
le VIH ont été déclarés frauduleux... L’hypothèse du VIH
était basée sur ces rapports » Dr Peter Duesberg,
Professeur de Biologie Moléculaire de renommée
mondiale, Université de Californie, Berkeley. Académie
Nationale des Sciences.

« Pour moi, le fait que des scientifiques se taisent face à un


tel doute équivaut à de la négligence criminelle. » Dr
Charles A. Thomas, Jr. Biologiste à Harvard.

« Je vous le demande, quel est ce genre de scientifiques qui


continuent à défendre une hypothèse qui ne réussit pas à
s’expliquer, qui ne parvient pas à être prédit ?. » Harvey
Bialy Editeur en Biotechnologie.

« L’histoire du sida est liée à la longue histoire des


recherches qui ont été faites pour prouver que c’était un
virus qui causait le sida. Les chercheurs qui n’avaient pas
pu prouver qu’un virus causait le cancer ont affirmé que le
VIH causait le sida ! » Jad Adams, auteur.

100
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

« Il n’y a aucune preuve scientifique que le VIH est la cause


du sida. Il n’y a pas le moindre document dans la
littérature scientifique qui puisse le prouver ! » Dr. Kary
Mullis.

« L’épidémiologie du sida n’est qu’une accumulation


d’histoires anecdotiques qui ont été choisies pour
confirmer le dogme populaire du virus comme cause du
sida. » Pr Peter Duesberg.

« Comme scientifique, j’ai étudié le sida depuis 16 ans et


me suis rendu compte que cette maladie n’avait pas grand-
chose à faire avec la science. Le sida est un phénomène
sociologique construit par la peur. Celle-ci a créé une sorte
de Maccarthysme qui a fait s’effondrer toutes les règles de
la science pour imposer un mélange de croyances pseudo-
scientifiques à un public fragile. » Dr David Rasnick.

« Le fait est que toute cette affaire SIDA/hétérosexualité


est un canular. » Gordon Stewart, Épidémiologiste
britannique, Organisation mondiale de la Santé (OMS).

101
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

« J’ai essayé de démontrer que le HTLV-1 n’était pas


impliqué dans le SIDA, mais aucun journaliste n’a accepté
de publier ça. » Dr Joseph Sonnabend, fondateur
Fondation Médicale pour le SIDA.

« La présence de ce qu’ils appellent VIH dans le cadre de la


maladie n’est pas plus une preuve qu’il en soit la cause que
la présence de mouches dans les ordures n’est une preuve
que les mouches soient la cause des ordures. » T. C. Fry,
Auteur et éditeur

« Le sida est une grande illusion qui est maintenue parce


qu’il y a beaucoup de gens qui gagnent beaucoup d’argent
grâce à elle. Enlevez la question financière et toute la
mythologie s’effondrera ». Charles Thomas, PhD, ancien
directeur du département cellulaire du Scripps Research
Institute.

« Le sida n’est pas une nouvelle maladie. C’est le triomphe


de la politique sur la science ». Sénateur Gil Gutknecht.

102
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

« Considérant qu’il n’y a pas de preuve scientifique


montrant que le VIH soit la cause du sida, est-il éthique de
prescrire l’AZT, qui est un produit extrêmement toxique, à
150.000 Américains, y compris des femmes enceintes et
des enfants nouveau-nés ? ». Michael Fumento, auteur.

« Je ne serai pas surpris s’il y avait une autre cause du sida


et même qu’aucun VIH ne soit impliqué. » Walter Gilbert,
Professeur de Biologie moléculaire, Prix Nobel de
Chimie 1980.

« S’il existe des preuves que le VIH est la cause du sida, il


doit exister des documents scientifiques qui démontrent
individuellement ou collectivement ce fait, au moins avec
une forte probabilité. Un tel document n’existe pas. » Kary
Mullis, Biochimiste, Prix Nobel de Chimie 1993.

« (…) pour comprendre les concepts fondamentaux de la


biologie moléculaire, la plupart des médecins sont à
peu près au même niveau que l’homme de la rue.
Demandez, par exemple, quelles sont les caractéristiques
d’un rétrovirus, telles que le “VIH”, et la plupart resteront
sans voix.

103
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Il en sera de même si vous demandez quelle est la


différence entre rétrovirus endogène et exogène, ou bien
quels sont les arguments avancés par certains spécialistes
en biologie moléculaire qui disent que l’ensemble de la
recherche rétrovirologique est peut-être une fausse piste,
une mauvaise direction prise par la science, une erreur
d’interprétation induite par certains phénomènes
biochimiques ne s’accordant pas avec les règles anciennes
de la génétique moléculaire, et qu’il se pourrait que les
rétrovirus ne soient pas infectieux du tout, que ce soit
plutôt le dogme classique qui doive être revu. Interrogés
sur la théorie virale du SIDA, la plupart des médecins se
contenteront de citer les affirmations d’experts autorisés
comme des prêtres qui se réfèrent aux bulles et
encycliques papales. (…) »

« Il est faux d’imaginer que les médecins en général


raisonnent mieux que leurs patients ». Les notes de
cours données aux étudiants en médecine montrent bien
le peu d’instruction que reçoivent les médecins dans cet
art du raisonnement.

104
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Il suffit de les lire pour se rendre compte de la légèreté


avec laquelle les théories médicales et biologiques sont
données comme des faits à apprendre simplement par
cœur. Dans ce contexte un enseignement concret à base
de questions-réponses, comme il se donne dans les écoles
d’agriculture de notre pays (l’Afrique du Sud), fait figure
de dangereuse aventure menant à une pensée non
conforme. Non, les médecins ne raisonnent pas forcément
de façon plus rigoureuse que Monsieur Tout-le-Monde. Ce
peut être l’inverse. Que la théorie médicale VIH-SIDA ait
pu si facilement faire l’unanimité des médecins malgré
l’absurdité de ses fondements (ce qui saute aux yeux de
quiconque a une formation de virologie) illustre bien cela.

Comme le dit Harvey Bialy , éditeur de la prestigieuse


revue scientifique “Nature Biotechnology” la théorie
virale du SIDA “met sens dessus dessous les principes de
l’immunologie”. Par exemple, jamais auparavant la
présence d’anticorps n’a été considérée comme un
risque de maladie.

105
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Au contraire, chez le patient en bonne santé, ce fait était


considéré comme un bon signe, comme la preuve qu’une
bonne réaction immunitaire avait réussi à vaincre une
infection microbienne. (…) »

« (…) tout en jouissant d’un statut social prestigieux,


les médecins fonctionnent en réalité en bas de
l’échelle hiérarchique du complexe médico-industriel,
ils ne sont pour les entreprises pharmaceutiques que
le maillon exécutant, les prescripteurs indispensables
qui font de l’industrie du médicament une des
activités légales les plus lucratives de la planète ».
Voici un simple fait qui montre bien les limites imposées
aujourd’hui à la liberté de jugement et d’action des
médecins : si l’un d’eux, que l’expérience et les
observations personnelles ont convaincu de la totale
inutilité et de la grande toxicité de la chimiothérapie
anticancéreuse, refuse d’appliquer ce traitement
standardisé, il risque des sanctions de l’ordre des
médecins. Imaginez les ennuis que risque le médecin qui a
le culot de dire qu’après avoir étudié la question il est
arrivé à la conclusion que le test dit VIH est sans valeur,
car il n’indique rien de plus qu’une activité immunitaire
106
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

exagérée non spécifique, et que dès lors il refuse d’utiliser


ce test arbitraire qui, selon qu’il est négatif ou positif,
équivaut à une sentence de vie ou de mort.

En somme, il ne faut pas chercher très loin pour trouver


des réponses à la question : “Est-il donc possible que, sur
la question du SIDA, tous les médecins partout dans le
monde se trompent ?” Le penchant de la Médecine à “se
planter” magistralement, une certaine paresse
intellectuelle et la séduction que peuvent exercer sur ses
praticiens certains modes de pensée non scientifiques
sont des évidences pour quiconque jette un regard sur
l’histoire. » Anthony Brink, avocat à la Haute Cour du
tribunal de Pietermaritzburg (Afrique du Sud)

107
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

LES DIX COMMANDEMENTS DU SIDA

1. L’hypothèse du SIDA est frauduleuse et ses auteurs


sont coupables de tromperie criminelle et de meurtres !
2. Le SIDA n’est pas nouveau, il est aussi vieux que
l’humanité.
3. Le VIH ne peut pas provoquer le SIDA.
4. Le SIDA ne se transmet pas sexuellement.
5. Le SIDA est endémique, et non épidémique, et n’est
pas contagieux.
6. Le vaccin contre le SIDA sera inutile.
7. Le SIDA est un syndrome, pas une maladie.
8. L’immunodéficience acquise est la cause de la
plupart des maladies.
9. L’Immunodéficience Acquise est causée par
beaucoup de facteurs connus et prouvés : drogues,
médicaments, toxines polluantes, radiations,
alimentation et cigarettes, soit individuellement, soit
combinés.
10. Par conséquent, on peut traiter et prévenir le
SIDA.

108
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

LES DIX COMMANDEMENTS DE LA


TROMPERIE

1. La coïncidence est la preuve de la cause et de l’effet !

2. Les preuves indirectes sont des preuves directes !

3. Un exemple démontre la règle !

4. Une supposition corroborée par une autre

supposition crée un fait !

5. Ce qui est dit est ainsi !

6. Ne confondez pas le problème avec les faits !

7. La preuve n’est pas nécessaire et devrait être évitée !

8. Mentez, mentez encore et l’on vous croira !

9. Faites taire, ignorez et supprimez la vérité !

10. Remplacez la raison par le dogme, la tromperie

et la peur aveugle ! L’application répétée de ces

commandements par les conspirateurs incita T. C. Fry

à faire le commentaire suivant dans son livre « SIDA :

LE GRAND CANULAR » 109


Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

110
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

LA PREUVE DÉMONTRANT QUE LE VIH


NE CAUSE PAS LE SIDA

Définition opérationnelle des termes


(toutes les définitions citées sont tirées du Dictionnaire Médical illustré
Dorland) :

Fait, ce qui est prouvé et connu comme étant vrai.

Hypothèse, une proposition, une simple supposition ou

une estimation.

Étiologie, l’étude des causes de toute maladie ; la somme

de connaissances regardant les causes.

Syndrome, un ensemble de symptômes se produisant

ensemble ; la somme de signes de tout état morbide ; un

complexe de symptômes.

Maladie, un processus morbide précis avec un cortège de

symptômes caractéristique.

111
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

ÉTIOLOGIE

FAIT ! Il n’existe pas le moindre ouvrage de référence,


dans quelque littérature que ce soit, prouvant que le HIV
soit la cause du SIDA, 30 ans après la « découverte » du
SIDA.

En d’autres mots, aucune preuve expérimentale, quelle


qu’elle soit n’a été présentée pour établir que le rétrovirus
trouvé dans moins de 50 % des cas de SIDA a quoi que ce
soit à voir avec les phénomènes qui attirèrent notre
attention en 1980. Tout ce qui a été présenté est bien
moins que des preuves de pure coïncidence. L’unique
preuve scientifique qui existe à propos du VIH comme
cause de la maladie est qu’il induit une maladie semblable
à la mononucléose entre deux à huit semaines après
contamination, qu’il entraine l’immunité et qu’ensuite il
ne fait plus rien. Avec des techniques incroyablement
sensibles développées récemment, un taux minimal
d’activité virale peut être détecté biochimiquement. Ce
taux est infiniment plus bas que celui nécessaire pour
provoquer la maladie. Pour l’exprimer d’une façon
légèrement différente de tout à l’heure, c’est aussi ridicule
que de dire :
112
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

« La présence de mouches dans les ordures prouve


que les mouches sont la cause des ordures ! »…

FAIT ! Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les


Postulats de Koch qui sont, depuis plus de 100 ans,
l’énoncé standard du genre de preuves requises pour
établir le rapport étiologique entre un microorganisme
donné et une maladie donnée. Les conditions sont les
suivantes :

1. Le microorganisme doit être observé dans


chaque cas de la maladie ;
2. Il doit être isolé et se développer dans une
culture pure ;
3. La culture pure doit, lorsqu’elle est inoculée à un
animal prédisposé, reproduire la maladie ; `
4. Le microorganisme doit être observé et prélevé
chez l’animal rendu malade expérimentalement.
(Dictionnaire Médical Dorland)

Le premier postulat ci-dessus incluait à l’origine « ... et au


cours de la maladie. » (Duesberg), se référant à la
découverte du microorganisme dans les sécrétions et les
parties du corps désignées par des signes et des

113
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

symptômes durant la progression de la maladie. Ce


premier postulat paraît avoir été raccourci par le simple
usage, plutôt que par quelque proclamation officielle. Les
dispositions règlementaires sont toujours encore de
chercher le (s) microorganisme (s) p.ex. dans les
poumons, lorsque le patient se présente avec de la toux,
un manque de souffle, etc.

Dans le cas du SIDA :

1. Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la


maladie et n’est pas trouvé au cours de la maladie.
Lorsqu’on le trouve, c’est en si petites quantités qu’il
ne peut pas être considéré comme cliniquement
significatif. Si le Dr Gallo n’était pas arrivé avec sa
supercherie, on l’aurait considéré comme un artifice
de contaminateur.
2. Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire
(dans les lymphocytes humains, qui se trouvent être
justement les cellules que le VIH est censé faire
éclater), ceci est réalisé avec beaucoup de difficulté,
en réactivant les provirus inactifs présents dans un
lymphocyte sur un million, et seulement dans des

114
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

cultures auxquelles au moins dix millions de cellules


sont ajoutées et qui sont exemptes d’anticorps, qui
autrement neutraliseraient le virus et mettraient fin à
la culture (comme cela se produit de façon naturelle
chez les humains).

Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de


SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas
localiser un seul virus ! Ça ne me paraît pas être une
maladie bien meurtrière.

3. Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant


d’importantes concentrations du virus pur à
n’importe quel animal de laboratoire, y compris
le chimpanzé qui devient séropositif tout comme
ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été
contaminé par le virus, qu’il a développé des
anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de
SIDA.
La véritable maladie provoquée par le VIH ressemble à
une grippe si légère qu’elle passe souvent inaperçue.
(Duesberg)

115
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Dans son essence, le troisième postulat est rempli,


puisque l’animal attrape une légère maladie qui passe la
plupart du temps inaperçue, mais ce n’est pas le SIDA.

Ceci est évidemment exactement ce qui se produit chez


l’être humain, sauf si vous voulez croire aux contes de fées
de Gallo.
(Une fois que vous avez échoué à prouver que le virus
provoque le SIDA, alors tout ce qui est lié à la
transmission du virus ne peut avoir aucun rapport avec la
contagiosité du SIDA.)

FAIT ! « La cause du SIDA a été découverte par décision


gouvernementale » (Dr Michael Lange, spécialiste des
maladies infectieuses). La décision n’émanait pas d’un
corps scientifique ou d’un consensus de recherches
scientifiques lorsque le nom originel fut donné en 1984 !

FAIT ! Le SIDA est un syndrome, pas une maladie. C’est en


réalité un assemblage toujours en expansion de trente-
cinq maladies distinctes, dont certaines remontent au 16e
siècle. La tromperie, bien sûr, existe depuis bien plus
longtemps ! (Bien que le Manuel de Merck mentionne

116
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

également des maladies telles que les tumeurs malignes,


le syndrome néphrétique, la leucémie, etc., elles aussi sont
probablement causées par des immunosuppresseurs, qui
font avancer le processus par leur interférence avec le
fonctionnement normal. En plus de 400 ans, il n’y a jamais
eu de preuve que cette longue liste de maladies très
variées pouvait avoir pour cause un unique
microorganisme).

FAIT ! Dans les cas de SIDA complètement déclarés,


même pendant les quelques heures avant la mort, le virus
est extrêmement difficile à déceler et dans 50 % de ces
cas il ne peut pas être décelé du tout !

FAIT ! Chaque fois qu’on le trouve, même dans les cas


actifs de SIDA, le VIH est en repos, inactif, dormant !!!
Examinons le FAIT précédent et celui-ci d’un peu plus
près. On nous demande de croire, sans la moindre
preuve, qu’un virus peut faire quelque chose qu’aucun
autre microbe n’a jamais fait. On nous demande de
baser notre croyance sur la foi ou la spéculation, tout
comme on nous demanderait d’accepter une nouvelle
religion.

117
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Ce puissant virus peut détruire un être humain sans


même être présent !

Il peut causer des dommages incroyables, démolir de


vastes territoires de tissu humain et conquérir les
royaumes de nos organes, tout en étant endormi chez
lui sur son canapé. Nous examinons la destruction ou la
disparition de milliards de cellules et on nous demande
d’en faire porter la responsabilité à un fantôme.

FAIT ! Le SIDA est la première maladie de l’histoire


médicale dont on prétend qu’elle survient après que la
victime ait développé son immunité.

FAIT ! Les lymphocytes T se reproduisent en cinq cents


fois moins de temps qu’il n’en faut au VIH pour les
« infecter » et les « détruire ». Ceci signifie simplement
que le VIH ne pourra jamais gagner la bataille. « C’est
comme de dire que l’on va conquérir la Chine en
abattant trois soldats par jour. » (Duesberg)

118
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

FAIT ! Vingt ans de recherches intensives sur les


rétrovirus ont uniformément confirmé qu’ils ne tuent pas
les cellules, mais plutôt qu’ils provoquent une
multiplication plus rapide des cellules, ce qui est la raison
principale pour laquelle ils furent soumis à une enquête
aussi minutieuse lors de la guerre du cancer par le
Président américain Nixon. Par conséquent, il est
grotesque de supposer que le VIH pourrait provoquer des
maladies diamétralement opposées, qui dans un cas
détruisent les cellules (Pneumocystose) et dans l’autre
provoquent leur prolifération (Sarcome de Kaposi) !

FAIT ! Le VIH dépend de la division cellulaire pour sa


reproduction, par conséquent la démence (Dementia) ne
peut pas s’expliquer sur la base du VIH, puisque les
neurones ne se divisent pas. De plus, on n’a trouvé dans
les cerveaux de victimes du SIDA autopsiées que des
« spirochètes » (Syphilis) et des parasites — pas de VIH !

FAIT ! Le VIH n’est pas prolifique et comme tous les


autres rétrovirus, son activité est minimale. Sa culture en
laboratoire est un long, difficile et considérable processus.

119
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

FAIT ! Les rétrovirus ont probablement été étudiés de


façon plus minutieuse que n’importe quel autre
microorganisme et les connaissances qui ont été ainsi
rassemblées sont vastes et approfondies. Il n’y a rien dans
ces informations tout à fait complètes qui viennent
corroborer l’une des hypothèses avancées sur le SIDA.

FAIT ! Le VIH n’a jamais été « pris sur le fait » en train de


détruire des lymphocytes en les faisant éclater si vite
qu’on ne puisse pas les voir ! Si l’on calcule le nombre
d’antigènes P -24 habituellement signalés, et que l’on
reconstitue le virus, il faudrait qu’il y ait un million de
virus par millilitre de sang. Assurément, si vous regardiez
ça au microscope, il devrait y en avoir partout et vous
devriez en voir au moins un avant qu’il n’explose !

FAIT ! Les lymphocytes T « contaminés » sont faciles à


observer en culture. Ils continuent à se diviser, ne sont
pas détruits, et les cellules n’éclatent pas.

FAIT ! Le SIDA survient soi-disant après l’immunité


antivirale, jusqu’à trente ans après la contamination, et
pourtant le VIH est génétiquement le même que tous les
autres rétrovirus et ne possède pas un gène latent
spécifique au SIDA.
120
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

FAIT ! Aux États-Unis, le SIDA comprend trente-cinq


maladies. Au Zaïre, le SIDA a trois symptômes, c.-à-d.
fièvre, amaigrissement et diarrhée ! Impossible ! Toutes
les autres maladies virales connues (rougeole, oreillons,
varicelle, etc.) sont les mêmes dans tous les pays. Tout
médecin sait que 2 problèmes sévissent au Zaïre, qui sont
caractérisés par ces trois symptômes :

 La famine
 Les maladies dues aux parasites !

Le Dr Anthony Fauci, Directeur de l’Institut National des


Allergies et des Maladies infectieuses, de la même espèce
que Gallo et l’un de ses partisans, publia en 1985 un
document dans lequel il déclarait que la cause mondiale
No 1 de la diminution des cellules T était la malnutrition.
(Je suppose que Fauci va là où il n’y a pas d’argent !)

FAIT ! Le VIH (selon les explications officielles) semble


adopter une pathologie qui change selon les pays qu’il
touche. Il paraît que c’est « un virus très intelligent » !
Stupéfiant, pour un virus qui fait le milliardième de la
taille d’une cellule, ne peut pas se déplacer par lui-même
et est en réalité un bout de tissu mort ! Incroyable,

121
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

pour un microorganisme qui n’a pas assez de décodage


génétique pour gérer quelque chose de plus complexe
qu’une montre électronique ! (Duesberg)

Pourtant, il peut savoir si vous êtes blanc ou noir, si vous


venez du Zaïre, de Haïti ou des États-Unis, si vous êtes né
ici ou si vous êtes juste en visite avec une carte verte.

Il devrait être engagé par le Service de l’Immigration !


Duesberg signale que l’ADN du virus emmagasine
seulement 9 kilos bases d’informations, littéralement une
minuscule partie des informations qui lui seraient
nécessaires pour être aussi intelligent !

FAIT ! En 1989, le New England Journal of Medicine


rapportait que le taux de mortalité était plus bas chez les
transfusés séropositifs que chez les transfusés
séronégatifs ! Il concluait également que les taux de
mortalité étaient déterminés par le nombre de
transfusions et par d’autres facteurs ! Par conséquent, il
est clair que le VIH n’est pas en cause !

FAIT ! Les transfusions de sang contaminé par le VIH ont


été dix fois moins nombreuses depuis 1986 (après la mise
à disposition du test VIH en 1985). La période de latence
122
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

(le laps de temps entre la contamination et le


développement ou l’apparition de la maladie) du SIDA
chez les enfants est estimée à deux ans. Cela aurait dû
pratiquement éliminer l’incidence du SIDA chez les
enfants transfusés. Pourtant, les cas de SIDA chez ces
enfants ont triplé !!!

En dépit du fait qu’il n’y avait pas de virus dans le sang, le


SIDA a augmenté de 300 % !!! La conclusion est
incontestable et indiscutable -- — le VIH n’est pas la cause
du SIDA, il n’est même pas nécessaire au SIDA — mais les
transfusions répétées d’immunosuppresseurs le sont !!!

FAIT ! Bien qu’on le prétende, il est pratiquement


impossible que deux virus (VIH-1 et VIH-2) qui diffèrent
génétiquement de 60 % puissent provoquer le même
syndrome.

FAIT ! L’activité du VIH est aussi faible (très, très faible !)


chez les porteurs asymptomatiques (séropositifs) que
chez les porteurs symptomatiques (SIDA). Ceci est tout à
fait sans précédent dans le cadre de toute autre maladie
connue de la médecine.

123
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

FAIT ! Aucun virus n’est susceptible de provoquer


plus de trente-cinq maladies différentes. Si le concept
de base est que le VIH détruit la défense du système
immunitaire de l’organisme (ce pour quoi il n’y a aucune
preuve), alors il faut s’attendre à ce que des centaines de
maladies soient en fin de compte ajoutées à la liste.
L’« épidémie » pourra ainsi s’étendre de façon à rester
sous les feux de la rampe, à raviver la peur et l’hystérie et
à augmenter les bénéfices.

FAIT ! Aucun virus ne pourrait mettre autant d’années à


provoquer une première maladie. On n’en connaît aucun !
Ce n’est pas du tout ce qui caractérise un rétrovirus. Plus
ils prolongeront la période de latence et moins il y aura de
chances de découvrir la tromperie et de leur faire payer
leurs crimes.

FAIT ! Le VIH ne remplit aucune des conditions de la


pathologie virale classique, si l’on croit aux hypothèses.

FAIT ! Il est purement paradoxal qu’un virus (qui ne


peut se reproduire lui-même) tue sa cellule-hôte, dont
il dépend pour sa reproduction, afin de se multiplier
et de se propager. En fait, c’est impossible !!!

124
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Dans ces circonstances, toute épidémie serait étouffée


dans l’œuf.

FAIT ! Les rétrovirus sont entièrement composés de


matière génétique et ne donnent pas signe de vie ; seuls,
ils sont incapables de la moindre action.

FAIT ! En réalité, les symptômes de la maladie virale


représentent la réaction du corps agissant pour sa propre
défense et sa remise en état en présence de matières
étrangères ou toxiques. Sa réaction à d’autres organismes
vivants, lorsque l’habituel équilibre de coexistence est
perturbé, est communément désignée sous le nom
d’infection. L’issue de cette perturbation est déterminée
par les forces et les faiblesses relatives de chaque côté.

FAIT ! Il est invraisemblable qu’un simple virus puisse


causer tant une affection provoquant la prolifération des
cellules (Sarcome de Kaposi), qu’une affection entrainant
la destruction des cellules (Pneumocystose) - deux
évolutions complètement opposées de la maladie !

125
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

FAIT ! Il serait raisonnable de conclure qu’un individu


déjà vulnérable au niveau immunitaire pourrait
succomber à une infection virale. Cependant, dans le cas
du VIH, il n’y a même pas un brin de preuve que le VIH
provoque autre chose qu’une légère grippe ! Ceci est vrai
pour tous les rétrovirus et prouvé par 20 ans de
recherches intensives.

FAIT ! Les photographies présentées par le Dr Robert


Gallo de l’Institut National de la Santé comme montrant le
VIH « en train d’envahir » (mais jamais en train de
détruire) une cellule, étaient en réalité des photos de
phagocytose (le processus par lequel la cellule engloutit le
virus) !

FAIT ! Le Dr Gallo a également découvert le HTLV et a


prétendu, mais n'a pas réussi à faire admettre qu’il
provoquait la leucémie chez l’homme. Il a également
prétendu qu’il se transmettait sexuellement et que sa
période de latence était de 40 ans, mais bien sûr personne
n’en est encore convaincu, puisqu’il faudrait que les
victimes atteignent un âge moyen de 60 ans avant d’en
tomber malades.

126
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

D’ici là, le Dr Gallo et ses théories seront oubliés depuis


longtemps, mais sa réputation pourrait survivre à
l’infamie !

FAIT ! Le Dr Gallo a également rapporté que le SIDA


venait d’Haïti, en dépit du fait que des anticorps du VIH
ont été découverts aux États-Unis dans des échantillons
de sang congelés il y a 50 ans ! (Ce rapport a provoqué
une vague de réactions anti — Haïtiennes aux États-Unis.)
Alors, où était l’épidémie il y a 50 ans ?

FAIT ! Autrefois, on pensait que les rétrovirus


provoquaient beaucoup de maladies, mais des recherches
honnêtes et approfondies ont prouvé que la plupart
d’entre eux étaient inoffensifs. Le VIH est soi-disant le
premier à avoir contredit ces recherches, pas par une
preuve ou une enquête scientifique, mais par des
hypothèses effrénées, sauvages et sans fondement
scientifique !

FAIT ! Aujourd’hui, tout le monde, même ceux qui l’ont


découvert, convient que le VIH à lui seul ne provoque pas
le SIDA. Ceci est l’admission tacite que la découverte de la
« cause » du SIDA était d’emblée infondé et ne se basait

127
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

pas sur des recherches valables. Évidemment, ils ne


démordent pas de l’idée que le VIH joue un rôle (oui,
effectivement... celui de leur faire gagner des
milliards).

FAIT ! Le Dr Robert Gallo est à l’enquête pour avoir volé le


virus au Dr Luc Montagnier. Il n’est pas encore à l’enquête
pour tromperie, car ses complices seraient ceux qui
devraient le juger. Quelle chance ! Il faudra probablement
une enquête du congrès.

FAIT ! Deux chercheurs du SIDA en Europe ont déjà été


déclarés coupables de tromperie.

128
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

ALORS, QUELLE EST LA CAUSE DU SIDA ?

Très belle question dont les réponses sont évidemment


nombreuses et nous allons les aborder dans le Volume 2.

Aux termes de ce Volume 1, nous avons pu déterminer à


quoi correspondent réellement les tests dits de dépistage
du VIH.

Dans le prochain Volume, nous allons aborder les ARV à


savoir :

 l’historique de leur découverte,


 leurs mécanismes d’actions,
 le financement des grandes institutions de la santé
telles que l’OMS, la FDA ou même encore la CDC par
les firmes pharmaceutiques qui fabriquent les ARV.

Nous allons une fois de plus mettre en évidence 10 autres


mensonges (puisqu’il en existe 100) ou incohérences sur
le VIH-SIDA, proposer des thérapies alternatives telles
que l’alimentation, l’exercice physique, les compléments
alimentaires, les techniques de lutte contre le stress, etc.

129
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

130
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

RÉFÉRENCES
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Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

ANNEXES
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

En pourcentage, ça fait 28 % d’Africains en plus en 10


ans. Et il est prévu que la population africaine dépasse
le milliard avant 2010.
C’est sûr, l’Afrique meurt sur sida.
Vu le taux de progression gigantesque de la population,
l’orthodoxie du sida n’ose même pas inventer une
explication comme quoi la natalité compenserait la
mortalité due au sida.

Sources :
http://www.uneca.org/eca_programmes/food_security_a
nd_sustainability/programme_overview/population/afric
a.htm
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Extraits de Notices des Tests dit de « SIDA » :

1. "Le test destiné à révéler l'existence d'anti-corps du

virus associé au SIDA n'est pas un diagnostic de SIDA

ou de maladies de type SIDA (AIDS-like). Un résultat

négatif n'exclut pas la possibilité de contact ou

d'infection par un virus associé au SIDA. Un résultat

positif ne prouve pas que la personne testée ait

contracté le SIDA ou soit sur le point de déclarer le

SIDA ni qu'elle le contractera". (Sources : Bio-Rad,

1989. 21 see ref 4)

2. Le test Amplicor VIH-1 PCR a été testé seulement à

l'aide de spécimens de sang intégral. Ses

performances en présence d'autres spécimens n'ont

pas été évaluées et pourraient fournir des résultats

faussement positifs ou faussement négatifs... La

détection du VIH-1 peut dépendre de la quantité


Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

d'ADN proviral du spécimen. Les méthodes de

collecte du spécimen et les facteurs propres au

patient tels que l'âge, l'état sanitaire, les facteurs de

risques, etc. peuvent affecter les performances du

test. Comme pour tout autre test de détection visant

à établir un diagnostic, les résultats de l'Amplicor

VIH-1 doivent être interprétés en tenant compte des

informations cliniques et des données obtenues en

laboratoire."

3. "Le test Elisa ne peut suffire à lui seul à diagnostiquer

le SIDA, même si l'examen des specimens régissant

suggère que l'anticorps au VIH-1 est très

probablement présent" (Sources : ABBOTT

LABORATORIES. Human Immunodeficiency Virus

Type 1. HIVAB HIV-1 EIA. Abbott Laboratories,

Diagnostics Division. January, 1997 (66-

8805/R5), 5 pages.
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

4. "Ne pas utiliser ce kit comme seul fondement d'un

diagnostic d'infection par le VIH-1" (Sources :

EPITOPE, ORGANON TEKNIKA. Human

Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1). HIV-1

Western Blot Kit. PN201-3039 Revision # 6, page

11.)

5. "Le test Monitor amplicor VIH-1 n'est pas conçu pour

être utilisé comme test de dépistage du VIH ni

comme test de confirmation d'un diagnostic de

l'infection par le VIH" (Sources : ROCHE. Amplicor

HIV-1 Monitor test. Roche Diagnostic Systems,

13-06-83088-001, 06/96.)
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA
Stop ! Assez de Mensonges sur le VIH-SIDA

Claudel Joel Noubissie


Docteur en Médecine
Membre du Comité International “Rethinking AIDS”
noubissieclaudel@gmail.com
697 24 79 61 / 677 61 90 11

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