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La méthode :
C’est l’ensemble des opérations intellectuelles utilisées pour démonter, vérifier et établir
les vérités .Elle apparait comme un ensemble de règles indépendantes de toute recherche,
mais visant des formes de raisonnement qui rendraient accessible la réalité à saisir. On
répondant à la question « comment » ; la méthode constitue donc un plan de travail.
La technique:
La technique représente les étapes des opérations limitées, liées à des éléments
pratiques, adaptées à un but défini. À l’instar de la méthode, la technique doit répondre à la
question « comment » ; elle constitue donc un moyen d’atteindre un but.
Le deuxième vient du verbe rédiger qui veut dire écrire et cela concerne un travail
universitaire et précisément la recherche
Le travail universitaire :
La recherche :
Quelles sont donc ces techniques ? Et comment parvenir à rédiger un travail scientifique ?
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Chapitre 01 :
Le processus de la recherche scientifique
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І/ La recherche scientifique :
La recherche scientifique est un processus dynamique ou une démarche rationnelle qui
permet d’examiner des phénomènes, des problèmes à résoudre, et d’obtenir des réponses
précises à partir d’investigations. Ce processus doit être rigoureux pour conduire à
l’acquisition de nouvelles connaissances. Cette démarche peut être schématisée comme la
suite :
Démarche scientifique
Observation
n
Hypothèses
Expériences
Théorie mathématique
Prédiction
La rigueur scientifique est guidée par l’objectivité : le chercheur ne traite que des faits à
l’intérieur d’un canevas défini par la communauté scientifique.
La première étape pour réussir tout projet est de faire une idée claire de ce qu’on va
accomplir. Cela exige :
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b. La prise de position : on doit former une opinion sur le sujet à bâtir ainsi que des
arguments solide pour sa défonce. Aussi on doit user de ses habilitées de pensée critique
pour analyser le sujet et évaluer son importance.
La préparation d’un travail prend en considération l’importance de structurer son texte qui
doit être basée sur argumentation forte incluant : une hypothèse forte, une introduction et une
conclusion claires, des arguments cohérents (chronologiques), et des paragraphes clairs.
Pour bien structurer son travail, les étapes suivantes seront nécessaires :
ІІ/3-Rédiger :
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Utiliser correctement la documentation : il y’a trois façons d’utiliser correctement
la documentation : soit citer (citer un passage d’un texte), résumer (présenter de façon
brève), ou bien paraphraser (reformuler).
Faire référence aux sources : cela signifie fournir la référence dans le texte juste
après le matériel emprunté. Les deux seules sources qui n’exigent pas de références
sont : ses propres idées et les connaissances de base.
d. Les styles de référence : il y’a plusieurs méthodes de référence et divers style de
présenter celle-ci il faut juste demander au professeur s’il a des exigences
particulières, et il faut surtout utiliser le même style de références du début à la fin du
travail pour qu’il soit homogène.
ІІІ/ Applications :
(Expéditeur)
(Destinataire)
Objet de la lettre :…
Appelle : Monsieur,
Madame,
Conclusion : Dans l’attente d’une réponse favorable, veillez agréer, monsieur, mes
salutations les plus distinguées.
Signature
ІІІ/2-Lettre de motivation :
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Qu’est ce que ce candidat peut apporter à mon établissement ?
Le candidat possède-t-il les compétences appropriées pour le poste offert ?
b. Méthode pour écrire la lettre de motivation : on doit écrire cette lettre en gardant le
ton et le style de la lettre formelle. Chaque lettre de motivation est unique et répond à
un objet précis pour l’individu. La lettre doit surtout les points forts de ce dernier.
Construire une lettre claire et cohérente : pour cela il faut : se renseigner sur les
activités de l’entreprise, choisir uniquement des arguments pertinents et les présenter
d’une manière logique, être précis (le destinataire n’a pas beaucoup de temps)et
original .
Démontrer que sa candidature est intéressante pour l’entreprise : en donnant les
raisons et les motifs de sa candidature sur les plants techniques et professionnels, en
exposant sa connaissance du secteur d’activité, en démontrant qu’on a les capacités
pour le poste convoité, et en évitant de montrer son manque d’expérience et ses
échecs.
c. Conclure sa lettre d’une manière dynamique : il favorable de suggérer un contacte
et adapter une formule de politesse au destinataire.
d. Exemple :
Adresse
Numéro de téléphone
Nom de l’entreprise
Adresse
Monsieur, (madame)
J’aimerais vraiment joindre votre équipe et je suis à votre disposition pour une entrevue,
au moment que vous jugerez opportun.
Dans l’attente d’une réponse favorable, je vous remercie à l’avance, veuillez recevoir,
Monsieur, (madame) l’expression de mes sentiments les plus profondes.
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donc pas seulement voir les successions de diplômes, expériences et activités, mais il
doit identifier clairement les compétences qu’on met à sa disposition.
b. Faciliter la lecture du CV : un CV ne doit contenir un titre que si celui-ci apportes
une information supplémentaire ou qu’il fait une synthèse séduisante de votre profile
en une ligne. Le CV doit apparaître en une seule page et la police utilisée ne doit pas
être inférieure à 11.
c. Structurer : présenter les formations qui incluent les langues et l’informatique,
expérience professionnelle et éventuellement associative, activités et centre d’intérêt.
Ces trois rubriques répondent aux questions : quelle est le parcours académique du
candidat (le savoir) ? Quelles compétences il a déjà mis en œuvre (le savoir faire) ?
Quelle est sa personnalité (le savoir être) ?
Formation : cette rubrique débute avec son dernier diplôme et remonte en général
jusqu’au baccalauréat, sa série et sa mention. On peut aussi mentionner son niveau de
pratique en langues étrangères.
Expériences : quatre expériences suffisent pour cette rubrique et on doit décrire avec
précision les dates, les durées, nom de l’entreprise, localisation, et surtout chacune de
ses missions qui traduise ses compétences.
Activités : choisir les centres d’intérêt les plus significatifs ceux dont on peut parler
avec enthousiasme même si on ne les exerce plus.
d. La photo : elle humanise le CV et facilite la prise de contact et le souvenir de sa
candidature, et la photo doit être récente et d’excellente qualité, sans mise en scène et
adaptée à une recherche d’emploi.
e. Exemple :
FORMATION
EXPERIENCE PROFESSIONNELLE
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Avec un vocabulaire précis/ professionnel mais compréhensible de tous.
Des phrases courtes mais percutantes pour un bon CV.
Mettre en valeur les grosses expériences.
COMPETENCES SPECIFIQUES
CENTRES D’INTERET
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g. Conclusion : elle doit, en quelque lignes, tirer un leçon du travail réalisé par rapport à
l’objet fixé.
h. Exemple :
Introduction :
Dans un laboratoire de la chimie, le matériel principal est la verrerie ; cette dernière
contient plusieurs modèles, et chacun de ces modèles est caractérisé par sa précision de
mesure et son mode d’emploi (préparation des solutions, élaboration des réactions, prise d’un
volume,…).
But de travail :
Lors ce travail, nous avons déterminé quel est le plus précis de ces modèles de verrerie
(le Becher, la fiole jaugée, l’éprouvette graduée, la pipette).Puis, on mesure avec ce modèle la
masse volumique d’une solution de chlorure de sodium NaCl .
Rappel théorique :
m m V
V m V
m V m
Eau distillée : 1 0 V V
m V m
m mmani minst
V Vmani Vinst
V Vinst
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Manipulation :(Détermination du modèle de verrerie qui est plus précis)
On remplit 25ml d’eau distillée dans la verrerie et on mesure sa masse avec la balance
numérique (3fois). Puis, on calcule la précision V de la verrerie.
1. Le Becher.
2. La fiole jaugée.
3. L’éprouvette graduée.
4. La pipette.
Résultats et interprétation:
Fiole jaugée 24,8559 24,5928 24,5928 24 ,6734 0,1825 10−4 0,1826 0,1850
Conclusion :
On conclu que la pipette est l’instrument plus précis que les autres instruments, et cette
conclusion et logique parce que le diamètre de la pipette est le plus petit par rapport les autres
instruments. Donc pour éviter ou bien diminuer les erreurs et les incertitudes instrumentales,
on utilise la pipette.
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Chapitre 02 :
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І/Les types de documentation :
1. La documentation primaire:
a. Le livre : comme objet c’est un assemblage de feuilles imprimées et reliées. Comme
texte c’est son contenu qui apporte l’information. Il toujours identifié par une
référence bibliographique (nom de l’auteur, titre, date, maison d’édition).
b. Le périodique (journal /revue scientifique) : c’est une publication qui apparaît à
intervalles régulières, donnant des informations sur l’actualité. C’est une source
d’information permanente.
c. L’ouvrage collectif (un seul thème, plusieurs auteurs) : il est composé d’articles
rédigés par différents auteurs (en général deux à trois) spécialistes d’un même
domaine, et rassemblés dans un même ouvrage.
d. Le compte-rendu de congrès (manifestation scientifique) :c’est un cas particulier
de l’ouvrage collectif. Les différents articles insérés dans le document sont les textes
de conférences et communications présentés lors d’un congrès ou d’une réunion
scientifique.
e. La littérature non-conventionnelle : comprend les exposés, les textes de cours, les
rapports, les thèses et mémoires non publiés… Elle est très recherchée par les
utilisateurs et les centres de documentation et elle fait souvent l’objet d’échange de
personne à autre, entre spécialistes d’un même domaine
f. L’ouvrage de référence : il donne une quantité impressionnante d’information. Il
existe sous forme de documents imprimés ou sous format électronique accessible via
Internet ou sur CD ROM.
2. Les documents secondaires :
- La recherche documentaire : si on ne dispose d’aucun document ni de référence de
documents, on peut :chercher dans la bibliothèque d’une façon aléatoire, demander un
document qu’on a trouver sa référence dans un cours ou dans la bibliographie d’un
livre, chercher dans sa mémoire des expériences antérieurs ou questionner ses
collègues et connaissances.
II/Les outils de recherche : une fois que le sujet est cerné, la construction d’une liste de
mots clés sera nécessaire pour effectuer une requête appropriée sur des moteurs de recherche 2 .
Il existe plusieurs outils de recherche :
1. Les navigateurs : ce sont des logiciels conçus pour visiter le World Wide Web
(www) en utilisant le protocole Hyper Text Transfer Protocol (http). Les moteurs de
recherche les plus utilisés sont : Google chrome, Mozilla Firefox …
2. Les métas moteurs : c'est-à-dire des sites web où une même recherche est lancée
simultanément sur plusieurs moteurs de recherche ainsi que : http://mamma.com.
3. L’annuaire : c’est un ensemble d’instruments de recherche élaborés par des
personnes qualifiées qui classifient des sites web jugés dignes d’intérêt.
4. Le catalogue de bibliothèque : il facilite la recherche des livres dans la bibliothèque,
ou dans d’autres bibliothèques dans le cas des catalogues collectifs ou virtuels.
2 Unmoteur de recherche : c’est une application web permettant de retrouver des ressources associées à des mots
quelconques
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5. Le répertoire : c’est un outil de collecte de données, initialement d’adresses ou noms
de personne. Il est classé par ordre alphabétique, numérique ou chronologique pour
localiser le document.
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ou de synthèse car il a une visée didactique 4 alors que les autres sont directement
destinés aux scientifiques.
2. L’évaluation interne :
a. Évaluation de la forme : que ce soit un site Internet ou un article publié dans un
périodique scientifique, il faut être attentif à :
- La présentation : le document doit être présenté convenablement avec une mise en
page esthétique.
- La structuration du texte : la présentation doit être claire et facile d’accès (on peut
facilement saisir l’objet du document).
- La structuration du document : la structure du document doit comprendre : un titre,
un résumé, une introduction et une séparation en parties. Si le document est long il
doit contenir : une table des matières, un sommaire et un index.
- Le style de rédaction : le document doit être rédigé dans une langue correcte et
simple.
- Le vocabulaire utilisé : il doit être accessible et propre à la science.
b. Évaluation du fond : il faut repérer les traces de la subjectivité de l’auteur afin de
distinguer les idées et les thèmes traités par celui-ci. Il faut donc vérifier :
- La clarté : l’auteur doit bien décrire les faits et les idées.
- L’argumentation : l’auteur ne doit pas mélanger les arguments de type moraux avec
les arguments scientifiques.
- Les concepts : ils doivent être utilisés d’une manière claire.
- Les données : elles doivent être homogènes.
- Les sources : il faut : distinguer les affirmations de l’auteur de celles des autres ; que
les références soient récentes et à jour et que la bibliographie soit bien rédigée.
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Chapitre 03 :
La rédaction d’un travail écrit
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A. Rédiger un travail écrit
I. La rédaction de l’introduction :
L’introduction est justement de faire connaître le sujet de votre travail. Elle représente environ
10% du travail et elle comporte trois parties :
1. Le sujet à mener : qui se compose à partir d’une idée général, ou d’un thème qui
permet de situer le lecteur face à votre travail.
2. Le sujet posé : il est précis, et il consiste à présenter clairement l’objectif visé dans le
travail écrit (poser la problématique).
3. Le sujet divisé : qui consiste à expliquer aux lecteurs les principales divisions du
travail : c'est-à-dire l’organisation générale des différentes parties de son
développement.
II. La rédaction du développement :
L’objectif est de développer en différentes parties le sujet posé dans l’introduction. En
fonction du type du travail, il pourra comprendre plusieurs paragraphes.
B. La rédaction du développement
1. La lisibilité : le travail doit être composé d’une manière à ce que les idées apparaissent
cohérentes aux yeux du lecteur qui doit comprendre le sens dés la première lecture. Il
faut lire le texte à haute voix ou bien le faire lire par une autre personne pour s’assurer
de sa lisibilité.
2. L’objectivité : rester objectif c’est rester neutre en s’abstenant des opinions
personnelles ou des jugements.
3. La rigueur intellectuelle : il faut que le travail soit continu.
4. L’emploi d’un style neutre : (3eme personne il/ on impersonnel). Adopter un style
neutre donne un caractère d’objectivité au travail et aussi en évitant le langage oral
(familier).
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5. Les marques de relation : il est important de soigner l’articulation des parties du
texte afin de renforcer la structure logique du travail. Cette articulation se fait par les
marqueurs (les articulateurs). Ex : (alors que, par conséquent …).
6. La longueur des phrases : il est recommandé de faire des phrases courtes pour ne pas
perdre l’enchainement des idées.
7. La division en paragraphes : le texte doit être divisé en paragraphes et chaque
paragraphe ne doit traiter qu’une seule idée.
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3. L’utilisation
III. La dactylographie :
1. La taille et la disposition des feuilles : il est obligatoire de travailler sur la même
imprimante au recto seulement de la page (papier blanc de bonne qualité de format
A4 : 21x 29,7 cm), prévoir des marges (2,5 cm de chaque coté) pour donner un air
dégagé à la page.
2. Les caractères : Arial, Times new Roman, Courier New… la taille de police : 12 pour
le texte, 14 pour les titres et 10 pour les citations et les notes de bas de page.
3. Les interlignes : il faut choisir un double interligne pour le corps du texte, un triple
interligne entre les paragraphes et un interligne simple pour les citations et les bas de
page.
4. La mise en évidence : il faut utiliser le gras, le souligné et l’italique.
5. La pagination et la longueur du texte : le folio commence à partir du
développement, pour la conclusion ou l’introduction générale, c’est avec des chiffres
romains qu’elles doivent être foliotées. Pour la pagination, le compte commence à
partir de la page de la table des matières. Si l’introduction ou la conclusion ne
contenait qu’une seule page, on ne les foliote pas.
Le règlement universitaire :
1. La fraude et e plagiat : il faut se familiariser avec les régalements des établissements
universitaires. La fraude scolaire et le plagiat en particulier qui sont toujours interdites
et entraine des sanctions.
a) La fraude : la fraude scolaire est définie ainsi « toit acte commis par un(e)
étudiant(e) qui peut avoir pour résultat la falsification de son évaluation ». elle a
plusieurs types :
La falsification de résultats.
La falsification de sources.
Le plagiat.
La remise d’un travail qui n’est pas le nôtre.
La fraude scolaire peut entrainer des sanctions allant de ‘échec du travail à l’expulsion de
l’université.
Plagier :utiliser les idées ou les mots de quelqu’un d’autre sans le reconnaître. Pour
éviter le plagiat il faut :
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1. Si vous utilisez directement le matériel d’un autre, il faut le citer entre guillemets
et fournir la référence. Si vous empruntez les idées de quelqu’un d’autre,
demandez la permission et fournissez la référence.
2. Le respect des exigences d’un cours : il faut respecter les délais et remettre le
travail en mains propres à la personne auquel ce dernier est destiné. Il est toujours
sage de garder une copie de tout travail universitaire.
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Chapitre 04
La rédaction d’un rapport scientifique
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1. L’organisation du document : le travail doit être présenté avec le plus grand
soin. Les différentes parties sont :
- La page de titre : elle comprend : l’organisation concernée, la nature du document, le
titre du travail, le(s) nom(s)du/des auteur(s), la date.
- Les remerciements :ce sont des dédicaces aux personnes qui ont contribué au bon
déroulement du travail. (Cette partie n’est pas obligatoire).
- L’errata :c’est la liste des erreurs relevées après l’impression. Mieux vaudra ne pas y
recourir mais en cas de besoin, la bonne présentation comblerai ces erreurs aux yeux
des lecteurs.
- Le sommaire et la table des matières : le sommaire est destiné à présenter le travail
d’une façon brève ; quand à la table des matières, elle devrait permettre au lecteur de
retrouver facilement un point précis de l’ouvrage. Elle débute toujours avec
l’introduction et se termine par les références bibliographiques.
- Les autres listes : cette rubrique traite : la liste des figures, listes des tableaux, la
nomenclature; qui permettent au lecteur de s’y retrouver plus facilement dans un
ouvrage volumineux. Les deux premières listes reprennent : le numéro de l’élément,
son titre et sa page d’apparition dans le texte. Tandis que la nomenclature explicite les
notations et les symboles employés ainsi que leur signification.
- Le résumé, l’introduction et la conclusion : le résumé précise le but du travail et les
moyens mis en œuvre pour le réaliser ainsi que les résultats principaux et les
conclusions qui en sont tirées ; juste après on ajoute une liste de mots clés.
L’introduction pose le problème traité et justifie son importance. Les conclusions
doivent résumer les principaux résultats du travail ; elles peuvent être prolongées par
quelques perspectives.
- L’interprétation : cette partie vient juste avant les conclusions où l’étudient présente
le traitement des données, l’interprétation et son avis personnel.
- La bibliographie : elle dresse une liste des ouvrages utilisés ; pour chaque ouvrage,
les informations doivent être présentées dans le même ordre ; par exemple :
Pour un livre : nom de l’auteur, prénom(ou initiale), titre du livre, éditeur, année
Pour un article : nom de l’auteur, prénom(ou initiale), titre de l’article, nom du journal,
numéro de volume, pages concernées, année.
Pour une thèse, un rapport : nom de l’auteur, prénom(ou initiale), titre du travail,
université, année, nombre de pages ; de figures ; de tableaux ; de planches.
Pour les autres documents : tous les informations utiles pour l’identifier clairement.
- Les annexe : ils constituent une lecture plus approfondi et contiennent des
informations intéressantes mais telles que le texte principal peut être compris sans y
recourir.
2. Structure d’un rapport de fin d’étude :
I. Pages préliminaires :
1. La page du titre : nom d’établissement, le type du document (mémoire de Master,
rapport de stage…), titre du document, le nom et le prénom de l’étudient et du
promoteur, l’année de présentation.
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2. Les remerciements : permettent à l’étudient d’exprimer sa reconnaissance envers les
gens qui l’ont aidé.
3. Le résumé : l’étudient présente l’ensemble du travail, de l’introduction et de la
conclusion qui permettent de se faire une idée rapide sur la démarche poursuivi et les
conclusions retenues, il comprend : le titre, le titre du projet de fin d’étude, l’ouverture
du projet (une petite introduction), les hypothèses du travail et les méthodes de
recherche utilisées, les principaux résultats obtenus, les conclusions et les mots clés.
4. La table des matières : donne un aperçu de la structure du travail. Elle débute
toujours avec l’introduction et se termine par les références bibliographiques.
5. Liste des tableaux et des figures : si on a plus de trois tableaux (ou figures), on
établit une liste contenant le nom et le titre de chaque tableau (ou figure).
6. Liste des abréviations et des sigles : afin de faciliter la compréhension, chaque
abréviation ou sigle utilisé dans le document est expliqué lors de sa première
apparition dans le texte.
7. Liste des symboles et des unités de mesure : l’étudient doit dresser une liste des
symboles et des unités utilisés dans le travail et donner leur signification.
II. Le corps du travail :
1. L’introduction : permet d’accéder au contenu du travail.
2. Revu de la documentation : permet à l’étudient d’identifier les concepts pertinents
reliées à son projet en précisant leur source.
3. Méthodologie du travail : c’est comment l’étudient va résoudre sa problématique.
4. Processus de conception : c’est quoi ? comment faire ? (construire un protocole).
5. Interprétation des résultats et discussion : c’est faire le lien entre le développement
et la solution.
6. Conclusion et recommandation.
III. Pages complémentaires : les annexes et la listes des références bibliographiques.
Fin.
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