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TRAVAIL-LIBERTÉ-PATRIE
HISTOIRE
DE
L’ INTELLIGENCE
ECONOMIQUE
Par :
Avant-propos de :
Pr. Edoh Kodjo Maurille AGBOBLI
Responsable Scientifique des programmes
Sous la Direction de :
Sœur-Directrice Louise de JESUS ASSIVON .
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PREAMBULE
Après le Japon et les Etats Unis d’Amérique dans les années 70 et 80 la France dont le cas nous
intéresse ici est passée progressivement à la sensibilisation et à la formation en Intelligence
Economique avec la création de plusieurs Ecoles dont la plus prestigieuse est l’EGE (Ecole de
Guerre Economique) de Paris créée en octobre 1997.
La France a compris que le développement d'une véritable culture générale de l'IE suppose la
formation de professionnels de l'intelligence économique, le renforcement de la sensibilisation
des acteurs de l'entreprise mais surtout une sensibilisation sur le sujet dès les études
supérieures. En effet, les futurs ingénieurs, chercheurs, cadres, fonctionnaires, auront bien
souvent au cours de leur vie professionnelle à connaître des problématiques liées à la protection
des données, à la veille, à des questions de lobbying ou d'influence.
L’objectif fixé par le gouvernement sur proposition de la D2IE et repris par le ministère de
l’Enseignement Supérieur et de la Recherche prévoit qu’à partir de la rentrée 2014, tous les
étudiants de niveau licence puissent bénéficier d’un module d’initiation aux différents aspects de
l’intelligence économique. Le but est de permettre aux futurs cadres, ingénieurs, chercheurs,
fonctionnaires, etc. d’acquérir des connaissances techniques et d’intégrer de bons réflexes dès le
début de leur vie professionnelle.
Cet effort est soutenu par les partenaires aussi bien publics que privés et même consulaires,
car les acquis et avantages que procure cette nouvelle discipline aux apprenants dans le monde,
n’est plus à démontrer.
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HISTOIRE DE L’INTELLIGENCE ECONOMIQUE
SOMMAIRE
Avant - propos
Chapitre 1 Qu’est-ce que l’Intelligence Economique ? ………Page 5
1.1 Définitions
1.2 Concepts de base
1.3 Pourquoi l’Intelligence Economique ?
CONCLUSION …………………………………………………...Page33
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Avant-propos
L’ESAG/NDE s’inscrit dans cette logique, pour apporter aux apprenants et par
ricochet aux entreprises ainsi qu’à tout le pays, cette compétence pour servir de
levier au développement.
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Chapitre 1
Qu’est-ce que
l’Intelligence
Economique ?
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HISTOIRE DE L’INTELLIGENCE ECONOMIQUE
Chapitre 1
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L’Intelligence économique vise à tirer parti de cette situation en développant des
méthodes qui permettent l’identification de sources pertinentes d’informations.
L’analyse de cette information au dépend des outils adaptés et sa transformation
en connaissance pour aider à la prise de décision constitue la base de la pratique de
l’Intelligence Economique.
Le concept d’Intelligence Economique est un élément de réponse à l’exigence de
compétitivité des entreprises. Il est un levier à l’action entrepreneuriale pour
conquérir de nouveaux marchés et conserver un avantage concurrentiel
Lorsqu'on sait délivrer l’information stratégique au bon moment, à la bonne
personne, dans le bon contexte, on obtient un avantage compétitif décisif.
Ce qui est capital dans l’Intelligence Economique est le fait qu’elle ne se réduit pas
à l’accumulation désordonnée d’informations de toutes natures. Il s’agit de
produire de la connaissance structurée pour aider les entreprises à combattre et à se
défendre dans une compétition globalisée.
Maitre SUN a dit:
”Qui connait l’autre et se connait, en cent combats ne sera point défait; qui ne
connait l’autre mais se connait, sera vainqueur une fois sur deux; qui ne
connait pas plus l’autre qu’il ne se connait sera toujours défait.”
In “ SUN TZU: L’ Art de la Guerre”
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Chapitre 2
Historique
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Chapitre 2
HISTORIQUE
2.1 L’Histoire de l’Intelligence Economique
Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, les États-Unis ont connu une période de
très forte immigration en provenance d’Europe (Europe centrale, Irlande, Italie…).
Ils ressentirent le besoin de comptabiliser la population, et ils utilisèrent pour cela
la technique naissante de la carte Hollerith et de la mécanographie pour effectuer le
premier recensement automatisé de l’Histoire.
Les réflexions sur le renseignement à cette époque (1948-1949, soit un peu après
l’apparition du premier ordinateur) étaient pourtant fondées sur des modèles de
communication assez simplistes : transmission d’un émetteur à un récepteur (
Claude Shannon).
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intentions du commandement sur le terrain. Il y a donc séparation inviolable entre
la collecte et l’analyse, du moins dans le modèle théorique, tel qu’il fut initialement
pensé. Sun TZu fut le premier à encourager cette séparation dans son chapitre
consacré aux "agents sacrifiés" dans son « Art de la Guerre ».
Ainsi, l'intelligence économique moderne trouve son origine dans une période
troublée de notre histoire. En effet durant la seconde guerre mondiale les
renseignements sur les mouvements de l'ennemi étaient primordiaux. Les
américains et les anglais, en particulier, excellaient dans cette tâche. Ce n'est donc
pas étonnant de les retrouver à la base du concept moderne.
En effet,après le Japon et les Etats-Unis à la fin des années 1960, et 70, la France
s’est lancée à son tour dans la démarche d’intelligence économique à compter des
années 90.
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2.3 Différentes Etapes, progression géographique
1967 : Définition des actions des Renseignements généraux. Après avoir racheté
51% du capital de Bull, l’américain General Electric absorbe le français.
Les Etats Unis se sont illustrés à travers les écrits de Mickaël PORTER
Michael Porter est célèbre pour son analyse de la façon dont une entreprise peut
obtenir un avantage concurrentiel (ou avantage compétitif) en maîtrisant mieux que
ses concurrents, les forces qui structurent son environnement concurrentiel.
Le modèle des « cinq forces de Porter » a été élaboré en 1979 par le professeur de
stratégie Michael Porter. Il considère que la notion de concurrence doit être élargie.
Au sein d'une industrie, un « concurrent » désigne tout intervenant économique
susceptible de réduire la capacité des firmes en présence à générer du profit
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.Selon Porter, cinq forces déterminent la structure concurrentielle d'une industrie
de biens ou de services :
Intelligence Economique
Veille Stratégique
Veille Technologique
Documentation
1971 :Le projet Cyclades est mis sur pieds, après le lancement de l'Arpanet aux
Etats Unis. But: interconnecter une quinzaine de centres universitaires français. Il
se prolongera jusqu’en 1976.
En 1970, à la suite de la visite d'une délégation française chez BBN aux États-
Unis, le projet ARPANET, ancêtre d'Internet, est connu en France. Cela déclenche
un renouveau d'intérêt pour la notion de réseau informatique partagé. Jusqu'à
présent existaient seulement des réseaux dédiés (agence Havas, agence AFP,
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groupe Drouot) privés et onéreux, car à base de lignes louées à temps plein, au lieu
d'être partagées (en débit comme en coût) entre acteurs économiques. Le projet
Cyclades en fut la conséquence.
5 juillet 1972 : Adoption de la loi 72-593, sur les atteintes possibles aux secrets
industriels et de commerce perpétrés par des actes d'espionnage dans les services,
établissements, ou entreprises publiques mais aussi privés intéressant la défense
nationale.
1979 : Edith Cresson, ministre des affaires européennes, met en place les Groupes
d’études et de mobilisation, pour faire émerger la réalité des entreprises, secteur
par secteur, et développer des réseaux autour d’un ministère de l’Economie fort
qu’elle appelle de ses vœux.
1989 : L’année suivant sa contribution sur la veille dans le cadre d’une étude sur
« l’Intelligence Economique, Christian Harbulot devient directeur des travaux
des conseillers des ambassades de France et directeur des relations avec les
entreprises à l'ADITECH.
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Septembre 1992 – mars 1993 : Lancement d’un groupe de travail dirigé par Henri
Martre au Commissariat au Plan.
1997 : Christian Harbulot, Benoît de Saint Sernin et le Général Jean Pichot Duclos
fondent l'EGE, pour Ecole de Guerre Economique, en partenariat avec l'ESLSCA,
qui propose une formation à l’intelligence économique. Il s’agit d’une première en
Europe.
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Bernard Carayon pose les jalons du futur de l’IE en France
Les neuf années qui séparent la publication du rapport Martre de celui proposé en
juin 2003 par le député Bernard Carayon,« Intelligence Economique, compétitivité
et cohésion sociale»,puis adressé au Premier ministre, sont marquées par la
constitution de cercles formels et informels, adossés parfois à l’Etat tels que les
groupes « Intelligence Economique » de l’IHEDN ( L’Institut des hautes études de
Défense nationale, fondé en 1936, un établissement public administratif français
d'expertise et de sensibilisation en matière de Défense, placé sous la tutelle directe du
Premier ministre) ou de l’INHES (Institut Nationale des Hautes Études de
Sécurité),parfois à des associations comme SCIP France (Association des
professionnels de la veille et de l’intelligence économique en entreprise), l’AFDIE
(Association Françaisepour le Développement de l’Intelligence Économique), ou
des “think tanks”,ou encore laboratoire d'idéestels que le CEPS (Centre d’Étude
Prospective et Stratégique), le développement de ce que l’on appelle l’intelligence
économique territoriale.
2005 : La Fondation Prometheus est créée par le député UMP du Tarn, Bernard
Carayon, et le député PS de Charente, Jean-Michel Boucheron.
Juillet 2008 : le Livre blanc sur la Défense et la sécurité nationale dresse les
nouvelles orientations de la France en la matière. Il propose notamment de
fusionner les services de la DST (Direction de la Surveillance du Territoire)et ceux des
renseignements généraux, au sein d’une direction centrale des renseignements
intérieurs.
• Edith Cresson est la personnalité politique qui permet d'initier les travaux du
rapport Martre (92-93). L'expression « intelligence économique » estutilisée dans
le titre du rapport ! C'est probablement la première fois que cette expression est
utilisée dans un média de la sphère publique (le rapport Martre est publié à la
Documentation Française qui a vocation à publier des travaux issus de la sphère
publique en France). Au delà d'Henri Martre (ancien Pdg de l'Aérospatiale et alors
Président de l'Afnor), trois auteurs apparaissent au grand jour et ne cesseront
jusqu'à 2010 au moins, de prononcer des discours sur l'IE : Philippe Clerc,
Christian Harbulot et Philippe Baumard. Une première définition est proposée qui
continue aujourd'hui d'être très largement utilisée. Dans le rapport Martre, la
volonté de se démarquer de la documentation et de la veille technologique est
perceptible. Mais comme le font remarquer Paturel et Richomme-Huet « il faut
bien reconnaître que la définition ne permet pas de progresser
significativement et de percevoir concrètement de quoi il s'agit par rapport à
d'autres concepts telle la veille » .
• Jean Arthuis, alors Ministre de l'Economie et des Finances (1997) évoque que
l'IE dépasse les aspects documentaires et englobe la stratégie ;
• Hervé de charrette, alors Ministre des Affaires Etrangères, évoque la notion de «
diplomatie économique », (1997) ;
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• Mais s'il ne fallait retenir qu'un homme politique qui a contribué positivement à l’
IE en France, ce serait Bernard Carayon, pour avoir tant porté le discours de l'IE
et assuré par plusieurs centaines de conférences le service après-vente de son
rapport. « La proposition du député Bernard Carayon de lancer une politique
publique d’Intelligence Economique a eu un grand avantage ; elle a extrait le sujet
du cénacle des experts pour leplacer dans la sphère politique » Bernard Carayon
est perçu comme le père de la politique publique d'IE en France.
• A noter l'intérêt du Premier Ministre Jean-Pierre Raffarin (« notre pays semble se
heurter à un manque de motivation ou de sensibilisation par rapport à la fonction
d'IE » (2003) à la suite d'Edith Cresson ou de René Monory qui avait signé la
préface d'un ouvrage sur l'IE en 1997.
• Notons que pour le Préfet Rémi Pautrat « Nous ne sommes plus à l’ère des «
pionniers » de l’intelligence économique. Tout a été dit ou écrit. Il faut agir »
• Alain Juillet,Haut Responsable à l'IE. Définition de l'IE : « maîtrise et protection
de l'information stratégique pour tout acteur économique » (2004-2009)
• Dominique de Villepin, en tant que Premier Ministre, charge Bernard Carayon
d'un nouveau rapport en 2005.
• Nicolas Sarkozy, en tant que Ministre de l'intérieur, lance une initiative de grande
ampleur pour l'Intelligence Economique Territoriale. Il faut dire qu'il est conseillé
par un Préfet très au fait de cette question : Claude Guéant.
• Roger Mongereau dirige une mission et rédige un rapport sur l'IE au Conseil
Economique et Social (2006).
• Cyrile Bouyeure est nommé Coordinateur ministériel à l'intelligence, et à ce titre,
il prend désormais régulièrement position dans le discours sur l'IE en France.
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Les principaux grands thèmes évoqués dans les discours politiques ou
d'intérêt général en IE.
De 1990 à 2010, les thèmes suivants ont été abordés dans les propos des
personnes désireuses d’apporter leur contribution à l’avancée du concept I.E. en
France.
• L'ouverture du monde, la complexité qui augmente, l'augmentation des
rythmes, la réduction des espaces. Le monde change et les pays et les entreprises
doivent réagir à cette nouvelle situation.
• La compétitivité, la performance. L'IE est la réponse moderne aux besoins de
compétitivité, de performance.
• L'IE vient des Usa, où elle a été diffusée à l'origine, plutôt comme une pratique
d'entreprise. En France, le discours à été adapté pour davantage de recours à l’Etat.
• Du binôme au triptyque de l'IE : d'abord présentée comme un couple offensif
(opportunités) et défensif (menaces) , l'IE est désormais souvent présentée comme
un triptyque constitué de la veille (acquisition et analyse de l'information), de la
protection et de l'influence ;
• La veille : le premier pas vers l'Intelligence Economique dans la majorité des
discours. L'IE a régulièrement été réduite à la notion de veille ;
• La protection, la sécurité : « ni naïf ni parano ». De nombreux sujets, comme la
sécurité informatique, la propriété industrielle,
sont parfois regroupés sous le vocable d'IE ;
• L’influence, le lobbying. Souvent décriées par manque de connaissance, de
naïveté, ou par une morale économique très stricte, les notions d'influence et de
lobbying se justifient dans le discours par le fait qu'il n'est plus suffisant d'avoir de
bons produits pour vendre .
• Le traitement de l'information, la gestion de l'information, la production de
connaissances. L'analyse de l'existant transformation del'information en
connaissance.
• La décision. Pour de nombreux auteurs, comme Martre par exemple, c'est la
finalité de l'IE .
• Pour tous les acteurs économiques. « Certains pensent que l'intelligence
économique est l'affaire de toutes les entreprises, grandes et petites, internationales
et nationales, chacune à sa mesure et en fonction de ses capacités d'action. D'autres
au contraire considèrent qu'elle en concerne que les grandes entreprises... ». La
grande majorité des discours politiques se doit d'évoquer que l'IE concerne
l'ensemble des entités économiques. .
Au niveau « humain », les discours mettent l'accent sur l'implication de « tous » les
membres de l’entreprise.
;
• L’information est une nécessité. « La recherche de l’information pertinente est
aujourd’hui de plus en plus vitale et indispensable pour les entreprises
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« Sans connaissance de l’environnement concurrentiel, il n’y a pas de victoire
commerciale possible »
• L'intelligence économique (et commerciale ou stratégique) est une nécessité.
« Dans un monde dominé par la toute-puissance de l’information, la pratique de
l’intelligence économique est vitale pour la survie et le développement de nos
entreprises, tout comme pour le maintien de nos pays à un certain niveau de
puissance et d’indépendance »
• L'exhaustivité. Il a fréquemment été utilisé, et aujourd'hui encore, des termes
mentionnent l’exhaustivité. Les rapports Martre et
Mongereau mentionnent chacun plus de cent quarante fois les variantes du mot «
tout, tout, toute, toutes » dans le sens de l'exhaustivité (en enlevantles expressions
telles que « malgré tout » et « avant tout » qui sont surtout des figures de style). Le
rapport Cétisme(Les fondements et les racines de l'intelligence économique « à la
française » : analyse des discours politiques et institutionnels) (1990-2000) Pascal
FRION Doctorant ,Iae de Poitiers-/ Nicolas MOINET Professeur des Universités plus
de quatre vingt fois, le rapport Carayon de 2003 , plus de soixante dix fois .
• L’IE est tournée vers le futur, l'anticipation, la prospective.
Nicole d'Almeida (2001)
Contribution originale à l’analyse institutionnelle des entreprises et des
organisations.
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Chapitre 3
Approche
moderne de
l’I.E.
23
Chapitre 3
Approche moderne de l’ Intelligence Economique
Pour relever ces défis, l’Intelligence Economique offre une palette de savoir-faire
et de méthodes efficaces, humains appuyés par des outils, qui permettent
d’anticiper les risques et les menaces afin de les prévenir ou d’en atténuer les
conséquences. Dans ce domaine comme dans d’autres, les pays-marchés africains,
globalement en plein essor économique et sociétal avec certes d’importantes
disparités, en transition de l’aide au développement, auraient avantage à opérer un
bond qualitatif, voire une rupture, dans leurs modes d’organisation et leurs
pratiques sans avoir à rattraper un supposé retard par rapport au monde dit
développé, en reproduisant des modèles étrangers qui ont montré leurs propres
limites.
Ainsi, l’intérêt croissant pour le continent africain aiguise les appétits d’opérateurs
économiques et financiers régionaux et internationaux en provenance de tous les
continents, attirant de bons comme de mauvais partenaires et investisseurs. Seule
une approche lucide et responsable, inspirée par les principes de l’Intelligence
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Economique et incarnée dans un dialogue constructif entre l’Etat et le secteur
privé, permettra d’aborder sereinement ces nouveaux investissements sur un
continent que certains n’hésitent pas à qualifier de nouvel Eldorado.
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Chapitre 4
Les
perspectives
de l’I.E.
27
Chapitre 4
C’est à l’initiative d’Alain Juillet qui souhaitait une meilleure visibilité par les
acteurs du marché, que cette liste a été élaborée avec le concours de tous ceux qui
affichent le logo « Intelligence Economique ». Il s’agit d’abord d’une
reconnaissance des activités exercées à temps plein ou partiel par des personnes
physiques ou morales dans le cadre ou en dehors de l’entreprise. Cette liste
énumère ensuite les compétences qui soutiennent l’Intelligence Economique
d’Entreprise.
Cette liste n’est pas exhaustive.
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Veilleur
Analyste
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Personne physique exerçant les fonctions de directeur de l’Intelligence
Economique dans un territoire, une administration ou un groupement
d’organisations. (Pôle de compétitivité, branche professionnelle, syndicat,
agglomération de communes, etc.)
Lobbyiste
Ainsi avec l’I.E. on peut également aujourd’hui aspirer aux emplois suivants:
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CONCLUSION
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