Академический Документы
Профессиональный Документы
Культура Документы
BENGO / 2020
L'ENSEIGNEMENT DU FRANÇAIS LANGUE ÉTRANGÈRE À L'ÉCOLE
PRIMAIRE : MÉTHODES ET PRATIQUES
BENGO/2020
EPIGRAPH
Aristote
DEDICATOIRE
Je dédie celle-ci à mes parents Adriano Félix et Isabel Dalas, qui ont tout fait pour
que cette marche soit un succès.
À mes frères, José Armando, Fernando Félix, Adriana Félix n'ont en aucun cas
participé de droit ou collaboré indirectement à certaines subisides techniques.
À mes parents, pour leurs conseils, leur dévouement et leurs encouragements dans
cette phase du lycée et tout au long de ma vie.
À ma famille, ma mère, ma grand-mère, mon oncle, ma tante, mes frères qui m'ont
apporté un soutien inconditionnel tout au long du chemin.
À mes amis (par ordre alphabétique), pour les conversations, pour la compagnie, et
aussi pour la patience dont j'ai fait preuve en écoutant mes plaintes constantes par message
et par audio. Je leur présente mes sincères excuses pour mes absences, qui sont plus
fréquentes pendant cette période.
Remerciez Jay (José Carlos Simões) que toutes les voies et influences ont rendu
possible la réalisation de ce travail.
Mots clés : français langue étrangère ; enseignement des langues, pratique, méthode,
enseignement primaire.
SOMMAIRE
1. INTRODUCTION.......................................................................................................................9
1.1. IMPORTANCE DE L'ÉTUDE.....................................................................................10
1.1.2 Problème scientifique et délimitation......................................................................10
1.2. LES OBJECTIFS :........................................................................................................10
1.2.1 Objectif général.......................................................................................................10
1.2.2 Objectifs spécifiques...............................................................................................10
1.3 Objet de l'étude...........................................................................................................11
1.4 Champ d'action...........................................................................................................11
1.5 Justification.................................................................................................................11
1.6. MÉTHODOLOGIE DE RECHERCHE.......................................................................11
1.7. STRUCTURE DU TRAVAIL......................................................................................12
CHAPITRE II. CONTEXTE THÉORIQUE.......................................................................13
2.1. PRINCIPES GÉNÉRAUX............................................................................................13
2.1.2 Méthodes.................................................................................................................13
2.2. MÉTHODOLOGIES D'ENSEIGNEMENT/APPRENTISSAGE EN FRANÇAIS.....15
2.3.1 Les enfants et les langues : lignes directrices pour l'éducation plurilingue.............15
2.3.2 Le développement cognitif de l'enfant....................................................................16
2.3.4 Développement émotionnel de l'enfant...................................................................16
2.3. ORGANISATION DE L'APPRENTISSAGE COGNITIF POUR LES ENFANTS -
ÉVASION DES APPRENANTS.........................................................................................16
2.3.1 Approches didactiques et pédagogiques..............................................................17
2.3.2 Méthodes d'enseignement....................................................................................18
2.3.3 La méthode active................................................................................................18
2.3.4 Méthode orale......................................................................................................18
2.3.5. La méthode imitative..........................................................................................19
2.4. CONTENU ÉDUCATIF...............................................................................................19
CHAPITRE III. LE CONCEPT D'INTERCOMPRÉHENSION POUR
L'ENSEIGNEMENT DU FRANÇAIS À L'ÉCOLE PRIMAIRE.......................................21
3.3.1 Le concept - les projets européens.......................................................................21
3.3.2 Compréhension croisée pour l'enseignement primaire........................................21
3.3.3 Enseignement de la phonétique à l'école primaire : stratégies et techniques.......21
3..3.3.1 Stratégies d'apprentissage................................................................................22
4. CONSIDÉRATIONS FINALES.....................................................................................23
4.1. SUGGESTIONS ET RECOMMANDATIONS...........................................................24
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES.............................................................................25
1. INTRODUCTION
9
1.1. IMPORTANCE DE L'ÉTUDE
L'importance de l'apprentissage du français doit être assimilée par toute personne
qui souhaite devenir un francophone de qualité. Il est important de savoir attendre les
résultats afin que l'apprentissage se déroule de manière satisfaisante pour tous les acteurs
du processus.
1. Enquêter, par le biais d'une brève enquête auprès des enseignants de FLE, sur la
réception des principes de cette pédagogie (ce qu'ils entendent par méthodes
d'enseignement) et son application dans les écoles (si elle est effectivement
appliquée et de quelle manière) ;
10
1.3 Objet de l'étude
1.5 Justification
Les raisons de ce travail sont les observations faites. Les gens ne peuvent pas
étudier une langue simplement quand ils en ont besoin. Il faut aller à la recherche de
méthodes d'enseignement, les faire à la recherche d'une meilleure qualité d'enseignement,
etc.
11
Elaboration des bases théoriques.
Enfin, les considérations finales sont présentées ainsi que les suggestions ou
recommandations, puis les références bibliographiques sont obtenues.
12
CHAPITRE II. CONTEXTE THÉORIQUE
2.1.2 Méthodes
Méthode est un mot qui vient du terme grec methodos ("chemin" ou "voie") et
désigne les moyens utilisés pour atteindre une fin. Sa signification originelle indique le
chemin qui mène quelque part. A partir de cette étymologie, il est possible d'affirmer que le
concept de méthode est lié à un cheminement qui, suivi de manière ordonnée, vise à
atteindre certains objectifs, fins, résultats, concepts, etc. (FERREIRA, 2000, apud UNESP,
2011, p. 3).
13
La méthode, selon Totis (1991, p. 24) : "la méthode est le résultat d'un processus de
sélection, de gradation, de présentation et de pratique d'une expérience idiomatique à offrir
à l'étudiant". Dans cette perspective, la méthode est un guide pour l'élaboration d'exercices
ayant des objectifs spécifiques, suivant un ensemble de règles et d'orientations, donnant un
sens et une organisation, générant une activité systématique. Pour comprendre la
méthodologie, lorsque l'on se réfère à l'enseignement des langues étrangères, plus
précisément du français langue étrangère (FLE), on constate une évolution des
méthodologies d'enseignement au fil du temps. Nous présenterons ci-dessous les
principales méthodologies utilisées dans l'enseignement du FLE afin de comprendre
comment elles sont apparues et ont été utilisées par les enseignants en classe.
14
2.2. MÉTHODOLOGIES D'ENSEIGNEMENT/APPRENTISSAGE EN
FRANÇAIS
La diversité des expériences développées dans le domaine de
l'enseignement/apprentissage des langues étrangères nous permet de regrouper les
différentes orientations méthodologiques en trois grands types d'approches, naturellement
indissociables les unes des autres et en constante imbrication. Ce sont des approches
actives, des approches diverses, des approches ludiques. Par méthodologies actives, nous
entendons un ensemble d'activités qui ont pour point de départ les caractéristiques
biologiques, physiques, psychologiques et affectives de l'enfant. Les petits textes oraux
phonologiques anaphoriques, redondants du point de vue rythmique et intonatif, sont
particulièrement appropriés.
À ces âges, la fonction du langage est pratiquement consolidée, et si, comme on l'a
dit, l'apprentissage du langage et de la langue équivaut à une façon de découvrir, de penser
le monde et de représenter les autres, nous devons respecter ces impératifs inscrits dans la
réalité ontique qu'est l'être humain. À cet égard, je voudrais souligner deux aspects qui ont
trait à la langue maternelle :
L'aliénation de la langue maternelle, des formes et du contexte dans lequel elle a été
acquise, ainsi que de l'apprentissage transversal, sera non seulement un facteur qui
conduira à l'échec de l'apprentissage tout au long de la vie, mais peut même générer des
effets traumatisants, surtout lorsqu'elle est liée à des réalités défavorables aux expériences
de l'enfant.
2.3.1 Les enfants et les langues : lignes directrices pour l'éducation plurilingue
Les enfants ne sont pas, comme beaucoup de gens le croient encore, des adultes
miniatures ou de futurs adultes. En tant qu'acteurs sociaux à part entière, ils sont ancrés
dans des situations qu'ils ont eux-mêmes identifiées. En tant que tels, et en tant que groupe,
ils sont définis par un certain nombre de caractéristiques, qui ne sont pas définies une fois
pour toutes, mais qui ont évolué dans l'espace, le temps et en fonction des environnements
politiques et éducatifs. Depuis quelques années, des lignes directrices ont été élaborées au
sein de l'espace européen pour donner la priorité à l'apprentissage et à l'enseignement des
langues afin de tirer parti des possibilités offertes par les nouvelles technologies et de
développer le plurilinguisme.
15
2.3.2 Le développement cognitif de l'enfant
Mais quel est l'impact de l'affectivité sur l'apprentissage ? Les études dans ce
domaine se concentrent souvent sur la motivation et les attitudes. Pourquoi nous
intéressons-nous à ces deux concepts dans le contexte de l'apprentissage des langues ? Car,
comme mentionné ci-dessus, lorsque le cerveau traite de nouvelles informations (en les
sélectionnant et en les reconstruisant pour le stockage de la mémoire à long terme),
l'intention, ou la volonté, de l'apprenant de relier ces informations à ce qu'il sait déjà joue
un rôle important" (O'Neil, 1993 : 192).
16
- Ainsi qu'en matière de principes cognitifs, car il est important de choisir les meilleurs
processus de développement cognitif, en tenant compte des styles cognitifs et des
stratégies d'apprentissage. Ce sont eux qui vont réglementer l'approche
méthodologique de notre enseignement.
Une étude de corpus montre également que seulement 21% des questions posées en
classe cherchent réellement la réponse à des informations inconnues, alors que 51% visent
à vérifier les connaissances (Long et Sato, 1983, cité par Grandcolas, 1986 : 117).
b) Pour les débutants, l'accent est mis sur l'accueil, l'observation de la langue :
La première étape est donc de savoir observer. Observez avec tout votre corps, avec
votre vision, avec votre audition, avec votre kinesthésie. Découvrez dans la deuxième
langue ce que sont la forme, la texture, la consistance, la couleur, les dimensions, la
distance. Ce dont le cerveau a essentiellement besoin, c'est d'avoir le temps de recevoir
avant de devoir produire ; d'avoir le temps de comprendre avant de s'exprimer". Ce dont le
cerveau a besoin, c'est de suffisamment de temps pour recevoir afin que les nouveaux
éléments puissent être structurés dans la structure existante. (Trocmé-Fabre, 1991 : 73).
17
2.3.2 Méthodes d'enseignement
En ce qui concerne les méthodes à utiliser pour apprendre à lire aux enfants, nous
tenterons de présenter les méthodes orales, inductives, imitatives et actives les plus
fréquemment recommandées par les experts en la matière.
Lorsque la méthode active est utilisée, c'est parce que l'enseignement est considéré
comme un moyen d'aider et de guider l'apprenant, et que ce dernier est principalement
invité à y participer. Cela est particulièrement évident pour l'enfant qui, contrairement à
l'adulte qui essaie de manipuler la langue étrangère indépendamment de l'activité physique
(Asher & Priée, 1967 : 1119, cité par O'Neil : 1993 : 205)4 , est particulièrement attiré par
l'activité physique. Pour lui, "la langue étrangère a tendance à être synchronisée avec les
réactions physiques".
De nombreux psychologues pour enfants postulent que, chez l'enfant, "il ne peut y
avoir d'apprentissage que l'apprentissage actif : "Les mécanismes d'action ont lieu avant
ceux de la réflexion, lorsque (l'enfant) veut imaginer une situation, il ne peut le faire que
s'il s'y engage d'une manière ou d'une autre par ses actions". (Wallon, 1968, 159 cité par
O'Neil, op. cit.) Ainsi, théoriciens et praticiens sont unanimes à reconnaître les avantages
d'un enseignement qui met l'accent sur l'activité des enfants. Il contribue à une plus grande
motivation en mettant l'accent sur les aspects kinesthésiques de l'apprentissage, ce qui
équivaut à une participation physique à toute activité dans une langue étrangère.
Mais en quoi consiste cette activité physique ? La plupart des activités de classe
proposant une activité physique visent la créativité (de préférence accompagnée d'une
création linguistique).
"Que ce soit par l'expression corporelle : dans ce cas, l'enseignant peut utiliser des activités
théâtrales qui se concentrent sur l'interaction créative verbale et non verbale liée au théâtre.
Le mimodrame en est un très bon exemple : particulièrement axé sur la gestuelle, il
convient aux débutants - qui ont peu de moyens linguistiques pour s'exprimer - où les
aspects non verbaux des situations de communication peuvent être explorés par des gestes
et des mimiques, sans nécessairement nécessiter une production linguistique élaborée.
L'enseignant encourage les élèves à répéter/mimer une série d'actes et de gestes tout en les
nommant/décrivant (souvent avec des impératifs)".
18
2.3.4 Méthode orale
Parmi les stratégies ou moyens8 que les mères utilisent lorsqu'elles parlent à leurs
enfants pour développer leurs compétences linguistiques, la répétition est la plus courante.
Cette tactique est également courante dans les salles de classe des écoles primaires, où
l'enseignant l'utilise souvent en pensant que cela est conforme aux principes de la méthode
d'imitation, qui exige que la production linguistique soit réalisée par la reproduction
immédiate de certains modèles.
• Des recherches ont montré que la simple répétition ne conduit pas en soi à un
rappel accru. Sans contexte, en dehors d'une situation communicative, "la
répétition peut conduire à des stéréotypes rigides et isolés qui se manifestent dans
les comportements ultérieurs comme de simples fragments non productifs (un bon
exemple : la mémorisation mécanique de la conjugaison d'un verbe).
• La répétition de la satiété des mêmes expressions crée des habitudes mécaniques,
irrite, rend le progrès pénible et conduit à des obsessions ridicules de sons dénués
de sens.
2.4. CONTENU ÉDUCATIF
Les caractéristiques et le potentiel des apprenants de cette tranche d'âge, ainsi que
les activités de communication linguistique à privilégier (qui visent principalement à
développer les compétences orales), déterminent plus ou moins les types et les formes de
19
contenus appropriés qui devraient inclure "Les histoires, les contes, toutes les formes
sécularisées de mythe : l'enfance est le triomphe du récit, de l'effacement des frontières
entre le rêve et la réalité, du monde dit" (Porcher, 1991:106).
Parmi les manuels actuels pour l'enseignement de la flèche aux enfants, que nous
avons consultés dans le cadre de cette étude, c'est principalement dans Alex et Zoé que l'on
trouve des allusions aux contes pour enfants (Petit Chaperon rouge, Cendrillon). La plupart
des manuels proposent une structuration de leur contenu à partir d'histoires (parfois de
petites scènes ou événements) qui ne sont pas toujours cohérentes. Grenadine semble tisser
les histoires de ses héros autour d'une toile : un groupe d'enfants de pays francophones en
visite à Paris, accompagnés d'un enseignant.
- Des jeux qui vous permettent d'effectuer des activités de communication orale, de
démontrer vos capacités par des activités physiques d'expression corporelle ainsi
que de langage. Dans Jeu, langage et créativité, Caré et Debyser soulignent que "le
jeu, mieux que bien des exercices, permet de manipuler certaines régularités du
langage", ou que "la parole est un des premiers jouets qui se prête à une créativité
infinie". L'intégration de jeux dans la classe d'art de l'école primaire n'est pas un
acte gratuit. (Porcher, 1991:106).
Ce sont des activités qui ont une attitude ludique. Ils nous amènent à favoriser une
relation entre les enfants et le langage qui soit avant tout positive et qui réponde à leurs
besoins. Une atmosphère ludique et non compétitive encourage la "réduction des
inhibitions" et optimise l'apprentissage. Il s'agit de la perspective d'un enjeu (challenge)
dans lequel il s'agit de s'engager librement tout en obtenant un certain bénéfice hédoniste.
2.4.3 Activités cognitives
Les activités cognitives doivent leur nom au fait qu'elles impliquent des procédures
cognitives (conceptualisation, pré-sensibilisation et approches globales, procédures de
découverte). Ils répondent à ce besoin, comme le souligne Trocmé-Fabre :
20
offrir aux jeunes un environnement aussi riche que possible, afin que les deux
hémisphères puissent capter et agir avec tout leur potentiel. Pour leur fournir un
large éventail de données et exiger un large éventail de transformations.
Ils visent à résoudre des problèmes par des moyens linguistiques : ils posent un
problème à résoudre en utilisant diverses informations/données (souvent de nature
arithmétique). L'apprenant doit alors les combiner ou sélectionner dans la masse des
informations existantes les données qui lui conviennent afin de trouver une solution au
problème posé.
21
3.3.3 Enseignement de la phonétique à l'école primaire : stratégies et techniques
En ce sens, on ne peut pas parler la langue orale sans parler la phonétique qui est un
"seuil minimum de communication" qui donne à l'apprenant la possibilité de gérer la parole
en situation communicative n'est plus négligé dans aucune méthode d'enseignement récente
en FLÉ et est un des objectifs spécifiques proposés par le Ministère pour l'enseignement du
français à l'école primaire. Le développement de la compétence phonologique à l'école
primaire : sensibilisation et familiarisation des élèves avec un nouveau système
phonologique. L'enseignant qui est donc appelé à enseigner la phonétique à cette tranche
d'âge doit jongler avec le monde des enfants, caractérisé par des aptitudes physiologiques
encore vierges, saines, transparentes, la capacité d'intégrer rapidement de nouvelles
spécificités et caractéristiques, la disponibilité de l'esprit, la plasticité de l'appareil
phonatoire, et celui des adolescents caractérisé par des approches intellectuelles plus
complexes.
Selon Véronique (2000 : 408, cité par Cuq & Gruca, 2005 : 117), l'apprenti est "un
locuteur doté de stratégies qui lui permettent d'élargir ses connaissances et de résoudre ses
difficultés de communication dans une langue étrangère". Le concept de stratégie
d'apprentissage fait donc référence à une méthode de résolution de problèmes.
Étant donné que l'enseignement du FLÉ au niveau primaire est une nouveauté dans
le système éducatif, il semble important et nécessaire d'introduire progressivement un
enseignement basé sur l'arsenal des stratégies déjà connues et proposées (cognitives,
métacognitives ou socio-affectives), ou sur le communicatif, qu'il soit appelé inférence,
mémorisation, répétition, association, analogie, transfert, simplification, généralisation,
induction ou déduction), celles qui donneront à notre public la possibilité d'établir une
relation dynamique, attrayante et motivante avec la langue étrangère.
Ainsi, d'une part, nous devons développer une stratégie prosodique qui prenne en
compte l'éducation de l'oreille, en utilisant des matériaux authentiques (chansons, courtes
22
séquences de films pour enfants, rimes pour enfants, dessins animés, contes), d'autre part,
parce qu'ils mettent les apprenants en contact avec la langue telle qu'elle est parlée par les
autochtones et, d'autre part, parce qu'ils donnent une place déterminante au rythme et à la
mélodie de la langue. Ils doivent également se familiariser avec la situation de
communication et, en fonction de celle-ci, les aider à identifier les marques prosodiques
correspondantes (intonation, rythme).
4. CONSIDÉRATIONS FINALES
Enfin, nous concluons avec le souhait que ces diverses méthodes et expériences
puissent être diffusées par le biais de nouveaux projets, afin d'inspirer la pratique
quotidienne de la salle de classe dans les institutions publiques angolaises.
23
4.1. SUGGESTIONS ET RECOMMANDATIONS
C'est comme ça quand les enseignants commencent à envoyer des travaux sur des
sujets comme celui-ci parce que, en tant que futurs professeurs de français, nous aurons
déjà une vision de la façon d'utiliser les méthodes pour enseigner la langue française aux
enfants.
24
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
8. et alii. Autres formes d'enseignement des langues étrangères. Col. LAL. Paris :
Hatier/Didier,1982.
25
12. CALAQUE, Elisabeth (1997) – L’enseignement precoce du français langue
étrangère: bilan et perspectives. Grenoble, Université Stenthal.
26