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Ou Processus Markoviens
Années 1950
Principe de la méthode
Analyse qualitative
État 1 1 O État 2
Méthodologie
1, 1
C1
E S
2, 2
C2
O1
11 00
1O
01
11 00
10
1, 1
C1
E S
2, 2
C2
10
00
11
00
O1
10
00
11
00
O1
01
11 00
10
10
1
00
11 2
00
O1
États de panne
États de fonctionnement
Sûreté de fonctionnement - MEE © Fayçal BEN HMIDA 317
Exemple 3
1, 1
C1
E S
2, 2 ,
C2
01d
11a 00
10
01d
00
11a
10
Exemple 4
01
11 10
00
01
11 10
00
Notations
D’où :
Finalement :
Posons :
Résolution
Q p Q 0 pI A
1
A t Q 0 e At 1TEi
l
A(t) Qi (t)
i 1
a12 =
État 1 État 2
a11 = - 1 O a22 = -
a21 =
d Q 1 (t)
dt
d Q 2 (t)
Q 1 ((t)) Q 2 ((t)) -
-
dt
p - Q 1 (p) 1
- p Q 2 (p) 0
Δ p - p p - p p
- p
Déterminant de Q1(p)
Δ 1 01 p- p
p
Q 1 (p) Δ 1
Δ pp
Disponibilité :
A (t) Q 1 (t)
exp - t
Probabilité asymptotique
D’où
D où :
avec
Disponibilité asymptotique
Soit encore :
01
p=4
00
l=3 11
10
Conservation du flux
01
11 10
00
Il vient :
En tenant compte de :
A() Q 00 Q 00
Q11 1
Soit
S i TSi la
l variable
i bl aléatoire
lé i de d la
l durée
d é d’occupation
d’ i de
d
l’état i.
Calculons la densité de probabilité fTSi(t) de TSi.
La durée d’occupation d’un état est ainsi distribuée selon une loi
exponentielle.
Exemple
p=4
l=3 01
11 00
10
Exemple
Nous retrouvons :
Fiabilité
de systèmes réparables
D’où :
MTTF
avec
On obtient finalement :
p=4
O1
l=3
11 00
1O
Pseudo-taux de défaillance :
1O
Séquences d’états
Nous définissons :
Une séquence d’états comme une succession envisageable d’états
(d fonctionnement
(de f ti t ou de
d panne)) du
d graphe,
h des
d t
transitions
iti
existant entre ces différents états ;
Une séquence indésirable d’états comme une séquence d’états
menant de l’état de bon fonctionnement à un état de panne ;
Une séquence réduite et indésirable d’états comme une séquence
indésirable d’états menant de l’état initial de bon fonctionnement à
un état
é d panne sans jamais
de j i passer deux
d f i par le
fois l même
ê é
état.
Dans le cas contraire, la séquence est dénommée « séquence
bouclée et indésirable d’états ».
On suppose que :
Le système est fiable dont les i /i sont petits devant 1 ;
Exemple d’application
01
11 00
10
0
01
11 00
11 00
10
Il en résulte que :
O1
11 00
1O
0
01
11 00
11 00
10
Il en résulte que :
On désigne par :
εP
ensemble des états de panne ;
ε P
M ensemble des états de panne minimal qui possède au moins une
transition vers les états de fonctionnement ;
ε ensemble des états de fonctionnement.
F
On rappelle que :
Pseudo-taux de réparation
11 00
10
01
11
10
10
p=5
00 l=3
11
00
O1
Autres indicateurs
t
ei Ei
i Pr Q t ei | Q 0
Pd t
ei Ei
i Pr Q t ei | Q 0
Exemple
Bon Défaillant
Q1 t e t fonctionnement
Qp
q p t C t et T (voir courbe 1)
C
Sûreté de fonctionnement - MEE © Fayçal BEN HMIDA 394
Exemple (suite)
u
t
qp t C e du
0
qp t C t C 1 e t
2 (voir courbe 2)
1 e T
Qp C T C 2
(voir courbe 3)
qp t C t
Qp C T d ' où T Q p
C
Si ll’on
on suppose qu’il
qu il n’y
n y a pas de réparation alors :
t
q p t C e u du
C
1 e t
(voir courbe 4)
0
Caractéristiques qp(t)
qp(t)
Qp
(2) ((3))
(1)
C/
(4)
T t
L’écart constaté entre les courbes (1) et (2) peut orienter vers la
définition d’un coefficient pondérateur de productivité qui tient
compte des aléas de fonctionnement.
Caractéristique R(p)
1
Fiab
Pièces / lot
50 200
Taille des lots
Sûreté de fonctionnement - MEE © Fayçal BEN HMIDA 399
Diagramme de charge
Diagramme de charge
A(t ) es t 1
es 2 t
s1 s2 s1 s2 s1 s2