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CHGOURA Safaa
Doctorante à la FSJES-Mohammedia
Email : chgoura.safaa@gmail.com
HEFNAOUI Ahmed
Email : hefnaoui_ahmed@yahoo.com
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Résumé
Cet article a pour objectif de présenter l’histoire, les principes et les sources de la
finance islamique chose qui conduira à la réalisation d’une comparaison entre les
banques islamiques et les banques classiques dans tout ce qui a un rapport avec leur
fonctionnement de façon concise et précise. Egalement, cet article évoque le cas de
l’introduction de la finance islamique dite participative au Maroc, met le point sur son
évolution, analyse la loi ainsi que les circulaires y afférents et finalement répond aux
questions suivantes : est-ce que la finance participative a atteint les résultats escomptés
au Maroc ? Ou bien il est encore tôt d’en parler ?
Mots clés : Finance islamique, banques islamiques, banques classiques, loi, circulaire,
résultat.
Abstract
This article aims to present the history, the principles and the sources of the Islamic
finance. Specifically, it made a clear and concise comparison between the Islamic
banks and the classic banks in all that has a relation with their functioning.
Furthermore, this article mentions the case of the introduction of so-called
participatory Islamic finance in Morocco, put the point of its evolution, analyzes the
law and the related circulars and finally answers the following questions: has
participatory finance achieved the expected results in Morocco? Or is it still early to
talk about it?
Keys words: Islamic finance, islamic banks, classic banks, law, circular, result.
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INTRODUCTION
Le Maroc, quant à lui, s’est intéressé tardivement à cette finance. Il a fallu attendre
2007 pour voir les premiers produits alternatifs proposés par les banques
conventionnelles. Plusieurs facteurs expliquent la timidité de cette expérience, en
particulier l’absence d’une approche intégrée de la finance islamique. Depuis 2012, il
y eut un regain d’intérêt pour cette finance porté par la demande populaire et
finalement par le contexte international morose marqué par un assèchement des
liquidités et une augmentation du risque systémique. Cette nouvelle vague s’est ainsi
concrétisée par la publication de la loi 103.12 sur les établissements de crédit et
organismes assimilés préparée par Bank Al Maghreb, dont un chapitre est consacré
aux banques participatives en plus de circulaires nécessaires à leur fonctionnement.
C’est dans ce sens que le choix du thème de cet article s’est fixé sur la finance
islamique et son état de lieu actuel au Maroc. Assurément, nous allons commencer par
l’historique, les sources et les principes de la finance islamique, ensuite nous allons
effectuer une comparaison entre les banques islamiques et les banques
conventionnelles en termes de fonctionnement mais aussi de risques. Et finalement,
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nous allons nous concentrer sur le cas Marocain, son histoire, son évolution et son
cadre réglementaire nouvellement appliqué. Le but principal de cette analyse est de
pouvoir mettre en lumière l’état des lieux actuel de l’introduction des banques
participatives au Maroc ; en répondant aux questions suivantes : est-ce que la finance
participative a atteint les résultats escomptés au Maroc ? Ou bien il est encore tôt d’en
parler ?
Après l’essor qu’a connu la finance islamique durant l’époque du prophète ( Paix et
Bénédictions de Dieu sur lui ), l’époque des khalifats, l’époque des omeyyades, et
l’époque des abbasides, les pays musulmans ont subi l’effet du colonialisme qui a su
leur exiger son système économique et financier. En conséquence, le Riba s’est
amplement répondu dans le monde musulman (El Hazzaouni, 2012, p.45 ,46).
Pendant les années 50 qui ont été particulièrement marqué par la décolonisation, des
leaders politiques musulmans de l’époque commencent à vouloir promouvoir l’idée
d’un système financier basé sur des valeurs islamiques. L’objectif est bien évidemment
motivé par la volonté de protéger l’identité religieuse et culturelle des musulmans.
Egalement, des chercheurs scientifiques ont publié les premiers modèles économiques
décrivant le mode de fonctionnement possible et réaliste d’une intermédiation bancaire
islamique. De la sorte, la première banque islamique vit le jour en 1963 en Egypte, la
Mit Ghamr Local Savings Bank (Karich, 2002, p.79).
En 1990 est créée au Bahrein l’Accounting and Auditing Organization for Islamic
Financial Institutions [AAOIFI], un organisme ayant pour mission la normalisation
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comptable et shariatique des opérations financières islamiques. En effet sa création a
été occasionnée par les divers problèmes éclatés après le boom pétrolier.
Dès les années 2000, le système financier islamique s’est internationalisé avec la
création en 2004 de l’International Bank of Britain (Jouaber-Snoussi, 2012, p.10, 11,
12, 13).
L’islam repose sur un large corpus de règles, que l’on nomme la charia. Ces règles
sont destinées à encadrer tous les aspects de la vie des hommes, y compris ceux
touchant à l’économie et la finance.
Juridiquement parlant, la doctrine musulmane repose sur une hiérarchie de textes et
des sources qui alimentent la jurisprudence islamique. Ces sources constituent
l’origine du droit musulman. Le Coran et la Sunna forment les bases essentielles du
droit musulman qui reste ouvert aux interprétations et développements à travers
l’Ijtihad.
1.2.1. Le Coran :
Etant la parole de Dieu pour les musulmans, le coran est la principale source de
jurisprudence islamique. Le coran n’ouvre aucune piste au changement ni au doute.
1.2.2. Le Sunna :
1.2.3. L’Ijtihad :
L’Ijtihad quand à lui joue un rôle très important dans la conception du droit musulman.
Assurément, c’est l’effort des réflexions personnelles des juristes musulmans afin de
proposer des solutions aux problèmes affrontés par la communauté musulmane.
L’Ijtihad est pratiqué à travers : l’Ijmaa, le Qiyas, l’Istihsan, la Maslaha et l’Urf.
- Le Qiyas : C’est le raisonnement par analogie pratiqué par les juristes musulmans. Le
Qiyas permet d’appliquer à un fait présent la règle juridique d’un fait passé. Cette
dernière fût déduite des trois premières sources à savoir le coran la sunna et l’Ijmaa.
- L’urf : Il fait référence aux traditions dominantes dans une communauté donnée
(Jouaber-Snoussi, 2012, p.6, 7).
La finance islamique, qui connaît une évolution exceptionnelle, est basée sur des
principes religieux relativement stricts, qui sont :
- Le partage des pertes et des profits : ce principe a pour finalité la réalisation des
contrats aux termes desquels l’une des parties n’abuse pas d’une manière injuste de
son cocontractant. Or, la notion de partage des pertes et profits est un cruciale dans le
concept de finance islamique. Elle permet de partager les risques entre entrepreneurs et
investisseurs. Naturellement, toutes les pertes doivent également être partagées si elles
ne sont pas dues à une négligence ou faute de l’entrepreneur.
- La licéité des produits et des activités : il est interdit d’investir dans des secteurs
Haram [illicites]. Ces secteurs sont : l’industrie du tabac ; l’alcool et le vin ; les jeux du
hasard ; l’industrie porcine, l’armement, (Levy, 2012, p.61)….
2.1. Définitions
Au 20ème siècle, la pensée islamique a pris son chemin dans les sociétés musulmanes.
Elle est passée d’une simple vision théorique à une réalité pratique. Or, le secteur des
banques islamiques n’a pas cessé de croître et d’attirer de nouveaux acteurs ; d’où la
création des fenêtres islamiques par les banques internationales conventionnelles.
D’autres part, selon Al Jarhi et Iqbal 2001, la banque islamique est une institution qui
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reçoit les dépôts et mène les activités bancaires, à l’exception de l’opération de prêt et
emprunts avec intérêt.
2.2. Fonctionnement
Les principes de la finance islamique donne lieu à des instruments de financement qui
lui sont spécifiques et qui se déclinent en deux types d’instruments :
Ce produit financier qui est très proche d’un contrat de dette classique, s’en
différencie, nonobstant, sur quelques aspects fondamentaux. Assurément, la banque
devient propriétaire effectif de l’actif sous-jacent, par conséquent, l’opération est
effectivement adossée à un actif réel. Du coup, il ne s’agit donc pas d’un prêt, mais
d’une opération de vente à crédit. De surcroît, la banque supporte les risques liés à la
détention de l’actif. De la sorte, c’est un service qui est rémunéré via la marge qui est
fixée au préalable et qui ne peut varier dans le temps. Egalement, il n’y a pas de
référence à un taux d’intérêt.
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paiement se fait immédiatement tandis que la livraison se fait dans le futur. En
principe, la vente d’un bien non existant est prohibée dans la finance islamique, car
elle implique tacitement le hasard. Toutefois, certaines exceptions ont été accordées
pour faciliter les échanges dans les opérations agricoles (Levy, 2012, p.119).
- Le contrat Ijara : C’est une sorte de crédit-bail à moyen et long terme qui concerne
essentiellement les secteurs du transport, l’immobilier et l’équipement. Il fait
intervenir trois acteurs à savoir le client de la banque qui n’est autre que le locataire du
bien, la banque mais aussi le fabriquant ou bien le vendeur du bien. En effet, la banque
achète un actif qu’elle loue à son client pour une période fixée au préalable. Le prix de
la location est échelonné sur la période du contrat. Autrement dit, le contrat Ijara
permet l’achat du bien par le locataire en cours ou en fin de contrat. Donc il peut s’agir
soit d’un contrat de location simple, soit d’un contrat de location avec option d’achat.
- Le contrat Istisnaa : C’est un contrat par lequel l’une des parties demande à l’autre de
lui fabriquer un bien en contrepartie d’une rémunération fixée d’avance. En
conséquence, c’est un contrat qui ressemble au contrat Salam dans le sens où il est
également relatif au financement d’un produit qui n’existe pas au moment de la
conclusion du contrat. Néanmoins, la différence se présente dans le fait que c’est un
contrat qui ne nécessite pas le paiement de la totalité du prix au moment de la
signature du contrat, mais aussi il porte sur la livraison à postériori de biens à
manufacturer selon les précisions de l’acheteur.
2.2.2. Les instruments de financement relatifs aux opérations participatives :
- Le contrat Moudaraba : C’est un contrat de financement dans lequel une partie
dénommée bailleur de fond met à la disposition d’une autre partie dénommée
investisseur des capitaux. Ce dernier, s’engage à fructifier ces capitaux par son savoir-
faire évidemment dans l’intérêt des deux parties. Ainsi, le résultat généré par cette
opération sera scindé entre les deux parties suivant un schéma préétabli avant la
mobilisation des fonds (El Hazzaouni, 2012, p.52).
3.2.1. Les risques communs entre les banques conventionnelles et les banques
islamiques :
- Le risque de crédit : c’est le risque qu’un emprunteur ne rembourse pas son crédit
aux échéances fixées par la banque. Dans ce cas, la différence entre les deux types de
banques réside dans le fait que dans la banque conventionnelle des pénalités de retard
sont appliquées ; à contrario dans la banque islamique le principe de partage des
pertes et des profits ne permet pas l’application de cette disposition. Néanmoins, ces
pénalités sont censées exercer une contrainte pour le respect des échéances par le
client. Tandis que dans la banque islamique le client débiteur a suffisamment le temps
d’honorer ses engagements (El Hazzaouni, 2012, p.98, 99).
- Le risque de liquidité : C’est le risque pour la banque de ne pas pouvoir faire face à
ses engagements financiers. Absolument, la banque dispose d’un montant de
ressources, égal à celui de ses emplois, pourtant le degré d’exigibilité de ses ressources
ne correspond forcément pas au degré de liquidité de ses emplois.
Concernant la banque islamique, elle est assujettie à ce risque pour les raisons
suivantes ; la première est relative au manque de personnels qualifiés capables de
mener à bien les opérations financières islamiques. Deuxièmement, ces banques
souffrent aussi de l’inexistence de logiciels adaptés à l’activité islamique.
Troisièmement, la difficulté de la gestion des produits basés sur le principe de partage
des pertes et des profits. Autrement dit, ce principe de partage qui confère à la banque
le statut d’un associé, a des répercussions sur le mode de suivi et de gestion du
portefeuille de la banque. Finalement, le risque lié à la conscience des clients. Ces
derniers peuvent ne pas déclarer la totalité de leur gain à la banque dans le cadre du
contrat Moudaraba.
Les prémices de la banque participative au Maroc date de 1987 avec les premières
demandes d’implantation de banques islamiques saoudiennes, poursuivies de l’essai de
Wafabank en 1991 d’ouvrir des guichets islamiques. En 2007, Bank Al-Maghrib avait
autorisé, par la circulaire du 13 septembre, une mise en exergue du concept sous
l’appellation de «produits alternatifs», à laquelle il manquait le cadre fiscal et juridique
approprié. En revanche, l’expérience audacieuse du Groupe Attijariwafa Bank qui a
tenté de créer une banque, proposant quelques produits islamiques de retail, était vouée
à l’échec. En réalité, des contraintes multiples ont été à l’origine de cet échec ; à savoir
les prix bancaire élevés et la sur-fiscalisation ; la discrimination par la communication
en plus du faible engagement des acteurs (Cherkaoui, 2016, p.127, 129, 130).
Ceci dit, c’est une assurance qui se base sur les principes de la coopération et de la
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protection mutuelle de ses parties prenantes. Selon le Coran, « Aidez-vous les uns les
autres à l’accomplissement du bien et de la piété et ne vous entraidez pas à commettre
le péché et l’agression » (Sourate 5, Verset 2).
De ce fait, l’assurance solidaire se base sur la volonté des assurés à vouloir se soutenir
en s’engageant à verser une somme d’argent. Les sommes versées vont constituer une
contrepartie au service de l’assurance offert en cas de dommage (Guéranger, 2009,
p.187).
En effet, cette loi a évoqué plusieurs dispositifs relatifs au secteur bancaire au Maroc,
cependant, nous allons nous intéresser à la troisième partie relative à l’instauration du
cadre législatif introduisant les banques participatives. Le texte concerné regroupe 22
articles décomposés comme suit :
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- Articles 55 et 56 : Notion de dépôt d’investissement ;
Egalement, trois circulaires élaborées par Bank Al-Maghrib et ratifiées surtout par le
Conseil Supérieur des Oulémas (CSO) ont été consenties par le ministère de
l’Economie et des finances, et publiées au bulletin officiel le 03 mars 2017. De la
sorte, l’ensemble de ces circulaires détaille le fonctionnement technique des différents
produits qui seront offerts par ces banques, de même que les conditions d’exercice des
fenêtres participatives.
- La deuxième circulaire : porte sur les dépôts d’investissement qui correspondent aux
dépôts à terme et aux comptes sur carnet, et qui devraient particulièrement constituer
les principaux outils de collecte des ressources pour les banques participatives.
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4.2. Etat des lieux sur la finance participative au Maroc
4.2.1. Résultats :
Le bilan de lancement des banques participatives a été très favorable. En effet,
l’encours de financement pour fin Août 2019 est de 7.4 MMDH selon les statistiques
monétaires de Bank-Al Maghrib. Rien que pour fin Décembre 2018 l’évolution a été
de 75% ; chose qui nous pousse à dire que ce bilan est tout simplement remarquable.
En outre, l’encours de financement est principalement caractérisé par la domination de
la Mourabaha immobilière qui à elle seule représente 85% de cet encours. Il est
important de dire que l'habitat, notamment les habitations principales, représente le
premier besoin en termes de financement pour beaucoup de clients qui ont
suffisamment attendu pour avoir des solutions conformes à leurs croyances.
Pour sa part, l’encours des dépôts pour fin Aout 2019 est de 1.3 MMDH très loin des
7.4 MMDH de crédits distribués.
4.2.2. Avis d’experts :
Selon Abderrahmane Lahlou, expert en éducation et finance, ces chiffres sont relatifs
parce que beaucoup de produits participatifs ne sont toujours pas mis en application
tels les dépôts d’investissement à rémunération. Evidemment, on remarque que les
dépôts ne sont toujours pas à la hauteur et donc les banques ne pourront pas
s’aventurer dans des financements à long terme. Egalement, il faudra attendre le
déblocage des circulaires relatives aux produits (Istisnaa) et (Salam). En effet, la
première ouvrira de grandes opportunités pour les promoteurs immobiliers. La seconde
est le dispositif idoine pour le financement des fonds de roulement des entreprises.
In fine, selon Taib Aisse, expert, fondateur du cabinet Aisse ; les perspectives de
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développement de l’écosystème de la banque participative sont prometteuses, encore
faut-il que cet écosystème soit proactif, innovant et dynamique. De surcroît, les
banques participatives devraient appliquer des politiques de responsabilité sociale pour
jouer absolument leur rôle de banques citoyennes.»
Pour mieux appréhender cette partie, nous allons évoquer une étude qualitative réalisée
par Monsieur Adil Cherkaoui professeur de l’enseignement supérieur à l’université
Hassan II de Casablanca auprès des praticiens afin de déceler leur perception quant
aux enjeux et aux perspectives de développement de la finance islamique au Maroc.
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CONCLUSION
En guise de conclusion, nous avons essayé de mettre le point sur le système financier
islamique qui se démarque du système financier conventionnel par son apport éthique
au financement. Au-delà de son interdiction de certaines pratiques, telles que la
spéculation, l’intérêt et les activités illicites, le Banking islamique permet de
rapprocher l’économie réelle à l’activité financière, chose qui permet d’écarter tous les
risques qui ont conduit à la crise financière de 2008 (Guenni, 2017, p.123).
D’autre part, nous avons essayé d’encadrer les différences entre les banques
islamiques et les banques conventionnelles en termes de fonctionnement mais aussi par
rapport aux risques auxquels elles sont exposées. Grosso modo, les banques islamiques
sont basées essentiellement sur le principe de partage des pertes et des profits et
l’adossement à un actif tangible. Ces principes permettent de changer toute la structure
du bilan classique conventionnel vers une structure adaptée au modèle islamique et
incluant des comptes spécifiques. Toutefois, les banques islamiques sont assujetties à
des risques particuliers outre les risques en communs avec les banques classiques, tel
que le risque commercial déplacé et le risque fiduciaire. De la sorte, les banques
islamiques sont tenues de s’équiper de systèmes performants de gestion des risques
pour faire face aux exigences imposées par l’environnement dans lequel elles évoluent.
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