Академический Документы
Профессиональный Документы
Культура Документы
A) Œstrogènes naturels :
Métabolisme :
Il est établi depuis longtemps que le foie inactive les œstrogènes
naturels comme le prouvent les diverses expériences de greffes ovariennes
Par ailleurs, les lésions hépatiques réduisent fortement l'inactivation
des œstrogènes, ce qui corrobore l'intervention du foie dans leur
métabolisme.
Chez le mâle :
Les œstrogènes ralentissent le développement testiculaire et, chez
l'adulte, arrêtent la spermatogenèse sans cependant altérer les cellules
souches. Ils freinent et ralentissent la libido.
Métabolisme phosphocalcique :
LES PROGESTAGENES
A) LA PROGESTERONE.
En 1898, Prenant, avait émit l'idée que le corps jaune fonctionnait
comme une glande à sécrétion interne et, en 1903, Fraenkel décrivit le fait
qu'en enlevant les corps jaunes des ovaires de lapines gestantes on
provoquait un avortement.
C'est au niveau des cellules lutéales qu'a lieu l'élaboration ainsi que le
prouvent la synthèse de progestérone obtenue in vitro à partir des cellules
lutéales.
Cette synthèse est stimulée par les gonadotropines à activité
lutéinisante et spécifiquement par la LH. La fonction lutéotrope de la
prolactine est fonction de l'espèce : elle est positive chez la brebis, la
rate, la souris, la chienne, la chèvre , mais non démontrée chez la vache
et la truie.
Circulation de la progestérone :
Administrée par voie orale, cette molécule naturelle subit comme les
œstrogènes un effet de premier passage hépatique important. La
progestérone (P4) est libérée dans le sang circulant où elle se retrouve
sous 2 formes : une forme libre et une forme liée aux protéines (la sérum-
albumine et la transcortine). Il existe un équilibre entre la forme libre, seule
biologiquement active, et la forme liée qui sert de matériel de réserve.
LES ANDROGENES
On entend par androgènes les substances responsables de la
masculinité, c'est-à-dire capables de déterminer le développement et le
maintien des caractères sexuels mâles primaires et secondaires, les
premiers correspondant au sexe gonophorique, les seconds au sexe
somatique.
Métabolisme de la testostérone :
Au niveau du foie, la testostérone est en grande partie transformée en
androsténedione sous l'action d'une déshydrogénase puis en différents
dérivés dont les principaux sont: l'androstérone, l'étiocholanolone et
l'épiandrostérone qui sont éliminés sous forme de glucurono ou sulfo-
conjugués.