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UNIVERSITÉ HASSIBA BENBOUALI DE

CHLEF FACULTÉ DE TECHNOLOGIE


Département d’Electronique
MASTER 2

Préparée par : Dr Souaad TAHRAOUI

1
Recherche documentaire et
conception de mémoire

Objectifs de l’enseignement :
Donner à l’étudiant les outils nécessaires afin de rechercher
l’information utile pour mieux l’exploiter dans son projet de fin
d’études. L’aider à franchir les différentes étapes menant à la
rédaction d’un document scientifique. Lui signifier l'importance
de la communication et lui apprendre à présenter de manière
rigoureuse et pédagogique le travail effectué.
Connaissances préalables recommandées :
Méthodologie de la rédaction, Méthodologie de la présentation.
Partie I:Recherche documentaire

 Chapitre I-1 : Définition du sujet


 Chapitre I-2 : Sélectionner les sources
 Chapitre I-3 : Localiser les documents
 Chapitre I-4 : Traiter l’information
 Chapitre I-5 : Présentation de la bibliographie
Partie II: Conception du mémoire

 Chapitre II-1 : Plan et étapes du mémoire


 Chapitre II-2 : Techniques et normes de
rédaction
 Chapitre II-3 : Atelier : Etude critique d’un
manuscrit
 Chapitre II-4 : Exposés oraux et soutenances
Chapitre II-5 : comment éviter le plagiat
Contenu de la matière:
Partie I- : Recherche documentaire :

Chapitre I-1 : Définition du sujet


 - Intitulé du sujet

 - Liste des mots clés concernant le sujet

 - Rassembler l'information de base (acquisition du


vocabulaire spécialisé,
 signification des termes, définition linguistique)

 - Les informations recherchées

 - Faire le point sur ses connaissances dans le domaine


Moteurs de recherche :
Qu’est-ce qu’un métamoteur ?

Un métamoteur est un site ou un logiciel qui


interroge simultanément plusieurs sites web et
moteurs de recherche
et synthétise la réponse.
Outils pour rechercher une thèse :
http://theses-en-ligne.fr/montpellier/
Recherche bibliographique : bases de données,
catalogues de thèses
Les recherches bibliographiques

 Catalogue rero (www.rero.ch)


 Google scholar (http://scholar.google.com)
 Google books (http://books.google.com)
 Périodiques en ligne: http://www2.unil.ch/perunil/
 Etudes de l’OCDE (www.ocde.org)>bibliothèque
 Quotidiens (http://dbserv1-
bcu.unil.ch/dbbcu/cds/categorie.php?Code=01)
 Liste ressources Unil:
 Bases de données en général : http://dbserv1-
bcu.unil.ch/dbbcu/cds/menu.php
 Web of science (http://dbserv1-
bcu.unil.ch/dbbcu/cds/recherche.php?Mot=web+of+science&submit
| Diapositive 44 |

=Chercher)
La base « Web of science »

 Base bibliographique en anglais


 Recherche par mot clé dans des
milliers de revues scientifiques
 Hautement improbable de « ne rien
trouver »

| Diapositive 45 |
Accès : http://www.sciencedirect.com/
Chapitre I-2 : Sélectionner les sources
d'information
 - Type de documents (Livres, Thèses, Mémoires,
Articles de périodiques, Actes de
 colloques, Documents audiovisuels…)

 - Type de ressources (Bibliothèques, Internet…)

 - Evaluer la qualité et la pertinence des sources


d’information
Guide pour la rédaction des références
bibliographiques (Quelques conseils et exemples
de présentation de la bibliographie )

 La bibliographie doit apparaître en fin de tous travaux écrits


(rapports de stage, mémoires de thèse ou de Master, projet
documentaire, ouvrages…) que vous aurez à faire. Il ne faut
citer que les documents sur lesquels vous vous êtes
appuyés pour rédiger vos travaux. La description de la
bibliographie doit permettre au lecteur de retrouver les
documents référencés, et de les identifier.
 La présentation et la ponctuation peuvent varier selon les
disciplines, mais l'ensemble doit être cohérent, précis, lisible.
 Chaque élément doit être nettement séparé de l'élément
suivant (par un point ou un tiret...).
 La présentation de la bibliographie doit être homogène
suivant le style choisi (tailles des caractères, police…)
Classement des références

On peut classer les références soit :


 par ordre alphabétique des noms
d'auteur, ou du titre lorsque la
publication est anonyme ;
 par ordre d'apparition dans le
texte. Il est vivement conseillé de
les numéroter, avec renvoi depuis
le texte vers la bibliographie.
Rédaction des références
 Les indications données ci-après pour la rédaction
des références s’inspirent de la norme AFNOR Z
44-005, références bibliographiques, contenu,
forme et structure.
 Elles ont pour but de rappeler les éléments
importants d'une citation.
 Les références bibliographiques varient selon le
type (ouvrage, articles, thèses etc…) mais aussi de
plus en plus selon le support du document (papier,
en ligne, cédérom, base de données, etc…)
Il convient donc de distinguer les deux types de
présentations.
1. Rédaction des références
bibliographiques de documents imprimés

 Voici quelques exemples à titre indicatifs suivant


le type de document.
Articles de périodiques
 NOM, Prénom. Titre de l’article. Titre du périodique, année
de publication, volume, numéro, pagination. (ISSN
facultatif)
Exemples :
 LASSAGNE, Benjamin., RAQUET, Bertrand., BROTO,
Jean-Marc., et al. Energy dependent transport length
scales in strongly diffusive carbon nanotubes. Journal of
physics Condensed matter, 2006;vol.18, n° 19, 4581-4587p.
Ouvrages, chapitre d'un ouvrage
collectif
Ouvrages
 NOM, Prénom. Titre de l’ouvrage. Tomaison. Edition. Lieu
d’édition : éditeur commercial, année de publication,
nombre de pages (Titre de la collection, n° de la collection).
(ISBN facultatif) .
•Ouvrage avec un auteur principal
Exemples :
 FOUSSARD, Jean Noël. Thermodynamique. Paris : Dunod,
2005, 238 p.
• Ouvrage ayant plusieurs auteurs
Exemples :
o MANGIN, David., PANERAI, Philippe. Projet urbain. Marseille
: Parenthèses, 1999, 185 p.
Ouvrage collectif
Ouvrage collectif sans auteur identifié
Exemples :
 Principles of unit operations. 2ème éd.. New-York : John
Wiley & Sons, 1980, 768 p.
Ouvrage collectif avec directeur de publication
Exemples :
 SIARRY, Patrick (dir.) Optimisation en traitement du
signal et de l’image. Paris : Hermès, 2007, 379 p.
(Traitement du signal et de l’image, IC2)
Chapitre d’ouvrage
Dont l’auteur est le même que le livre

 NOM,, prénom. Titre du chapitre. In


: Titre de l’ouvrage. Tomaison. Edition. Lieu d’édition :
éditeur commercial, année de publication, pagination
(Titre de la collection, n° de la collection). (ISBN facultatif)
Exemple :
 FALZON, Pierre. Nature, objectifs et connaissances de
l'ergonomie. In : Ergonomie. Paris : PUF, 2004, p.17-35
Chapitre d’ouvrage
Dont les auteurs sont différents du livre
 NOM, prénom. Titre du chapitre. In : AUTEUR de
l’ouvrage. Titre de l’ouvrage. Tomaison. Edition.
Lieu d’édition : éditeur commercial, année de
publication, pagination (Titre de la collection, n° de
la collection). (ISBN facultatif)
Avec directeur de publication
Exemple :
 FALZON, Pierre. & TEIGER, Catherine. Ergonomie
et formation. In : CARRE, Philippe. & CASPAR,
Pierre. Le traité des sciences et techniques de la
formation. Paris : Dunod, 1999, pp. 145-162.
Congrès
Conférence (Congrès)

 NOM, Prénom ou ORGANISME du Congrès. Titre


de la conférence, date de la conférence, lieu de la
conférence. Lieu d’édition : Editeur commercial,
année de publication, nombre de pages
 Congrès paraissant sous forme d'ouvrage

Réunion d'une association


Exemples :
ASSOCIATION POUR LE DROIT PUBLIC DE
L’ENTREPRISE. Le financement des marchés publics :
actes du 4ème Congrès de l’ADPE. Paris : Dalloz, 1987,
218 p
Communication dans une conférence
(congrès)

NOM, Prénom. Titre de la communication. In : NOM, Prénom.


Titre de la conférence, date de la conférence, lieu de la
conférence. Lieu d’édition : Editeur commercial, année de
publication, nombre de pages. (Titre de la collection, n° de la
collection) ISBN (facultatif)
Exemple :
 KULSHRESHTHA, Amit. Remote actuation control system :
aircraft flight control for hydraulic-servo & electric actuation.
In : MARE, Jean-Charles (ed.), Proceedings of the third
International conference on “Recent advances in
aerospace actuation systems and components”, June 13-15
2007, Toulouse.Toulouse : INSA, 2007, p. 155-163.
Thèses, Mémoire de Master, Rapport de
stage, Support de cours
Thèse

 NOM, Prénom. Titre de la thèse. Discipline. Lieu de


soutenance : Etablissement de Soutenance, année
de soutenance,. nombre de pages
Exemple :
 MARRE, Daniel. La programmation fonctionnelle
parallèle : application a MaRS-Lisp. Thèse de
doctorat : automatique et informatique industrielle.
Toulouse : Institut National des Sciences
Appliquées Toulouse, 1992, 234 p.
Mémoire Master et rapport de stage

 AUTEUR. Titre du mémoire ou rapport. Spécialité.


Lieu de soutenance : Etablissement de Soutenance,
année de soutenance, nombre de pages.
Exemple :
 FRAGA-DE OLIVEIRA, Stéphanie. La gestion des
déchets : un autre exemple réglementaire de prise
en compte de la protection de la santé en matière
environnementale. Mémoire de Master
professionnel, droit de la santé. Toulouse : Université
des Sciences Sociales de Toulouse, 2008, 99p.
Support de cours

 NOM, Prénom. Titre de l’ouvrage. Edition. Lieu


d’édition : Etablissement, année du cours,
nombre de pages
Exemple :
 SCOTT, Sandrine. Mathématiques : algèbre
linéaire. Toulouse : INSA. Publications INSA 1ère
année, Cours, 2009, 83p.
Rapport technique ou recherche

 NOM, Prénom. Titre du Rapport. Tomaison.


Numéro du rapport. Lieu d’édition : Editeur,
année de publication, nombre de pages.
Exemple :
 BASCLE, Bénédicte. Region tracking through
image sequences. RR- 2439. Paris : INRIA,
1994, 6p.
 AZEVEDO, Christine., PISSARD-GIBOLLET,
Roger. Le contrôleur du robot BIP2000. RT-0249.
Paris : INRIA, 2001, 147 p.
Images, photographies, émission
radio ou tv
Images dans une revue
 AUTEUR de l’image, Prénom. Titre de l’image. (date de
l’image) [type d’image].Titre du journal, date
publication,vol, n°, page.
Exemple :
 BULAJ, Monika. En route vers la Podolie, une des
grandes régions historiques d’Europe, dans le sud ouest
de l’Ukraine. (sans date). [photo]. Courrier International,
2009, n°978 à 980, p 45..
Exemple : sans auteur identifié
 Data model comparison for several benchmark time series.
(sans date) [graphique]. Science, 2009, vol. 325, n°5938
p. 311.
Images dans un livre

 AUTEUR de l’image ou ORGANISME, Prénom.


Titre de l’image. (date de l’image) [type
d’image].In : AUTEUR du livre. Titre de
l’ouvrage. Lieu d’édition : Editeur, date
publication, page.
Exemples :
 FIRO FOTO. La villa dans la châtaigneraie de
Comillas (sans date) [photo]. In : CRIPPA, Maria
Antonietta. Antoni Gaudi. Köln : Taschen, 2003,
p. 14.
Emission radio ou TV

 NOM du réalisateur. Titre de


l’émission. Date de diffusion, chaîne.

Exemples :
 Spécial élection américaines 2008 :
le duel, diffusée le mardi 4 novembre
2008 à 21h, Arte.
Brevet

 AUTEUR (inventeur). Titre de l’invention.


Pays ou organisme. Type de document de
brevet, Numéro du brevet. Date de
publication du document.
Exemple :
 RENTZ, Alain. Emballage souple pour produit
alimentaire fluide. Brevet FR2925465 (A1).
26 juin 2009
Normes
 EDITEUR DE LA NORME. Titre de la norme.
Référence de la norme. Lieu d’édition : éditeur
commercial, année de publication, nombre de pages.
Exemple :
 AFNOR. Béton : béton de sable. NF P18-500, Juin
1995, 13p.
Attention :
 Abréviations : lors de la rédaction des références,
vous devez développer les abréviations quand vous
les utilisez pour la première fois (organisme ou titre
de revue), de manière à faciliter la lecture de la
référence.
Sources de l’internet :
Toutes les références puisées
sur l’internet doivent être citées
et doivent porter la date de
consultation.
Chapitre I-3 : Localiser les documents
 - Les techniques de recherche
 - Les opérateurs de recherche

Chapitre I-4 : Traiter l’information


-Organisation du travail
- Les questions de départ
- Synthèse des documents retenus
- Liens entre différentes parties
- Plan final de la recherche documentaire
Chapitre I-5 : Présentation de la
bibliographie
 - Les systèmes de présentation d’une
bibliographie (Le système Harvard, Le
système, Vancouver, Le système
mixte…)
 - Présentation des documents.

 - Citation des sources


Elle signale les ouvrages que vous avez cités et
dont vous vous êtes inspiré. Elle sert de point de
repère au lecteur qui peut alors évaluer votre
recherche et y cerner les orientations théoriques et
méthodologiques appliquées, mais elle aide aussi à
orienter les recherches d’un autre chercheur. Elle
contient :
 tous les documents publiés cités dans le
mémoire ( ou thèse);
 des études non citées mais qui concernent
directement une dimension du travail de
recherche ;
 des études d’intérêt général qui ont marqué la
réflexion du chercheur. (il n’est pas nécessaire de
citer tous les classiques).
Où placer la bibliographie ?

À la fin du mémoire.
Présentation des références
bibliographiques de documents
électroniques
 Les documents électroniques utilisés sont
susceptibles d’être de différents types : E-
book, Articles de périodiques,
Prépublications, Cédérom, DVD, Site
Internet, Blog, Messages électroniques, Base
de donnée, ….
 Les messages électroniques, personnels ou
issus de listes et de forums de discussions
doivent pouvoir être produits.
Rédaction des références
 Tout comme les références de publications
imprimées, les références de ressources
électroniques varient suivant les disciplines, mais les
éléments important de la référence doivent y figurer.
 Il est essentiel pour signaler des documents
électroniques de respecter la ponctuation, surtout
lorsque ces documents ont une adresse électronique
(Internet ou e-mail), afin de toujours pouvoir s’y
référer.
 Les conseils et les exemples donnés pour rédiger les
références s’inspirent de la norme AFNOR Z 44-0052
Disponibilité et accès des
documents en ligne
 La localisation des documents en ligne doit être la plus
exacte possible et par conséquent doit se référer au
document consulté. (cf. Norme Z 44-005-2, §7.12)
 Voici quelques exemples donnés à titre indicatif.

Articles de périodiques
 AUTEUR. Titre de l’article. Titre du périodique [en ligne].
Année de publication, volume, numéro,
pagination.Disponible sur : <URL> . (date de consultation.).
Exemples :
CYR, Martin., LUDMANN, Christine. Low risk meat and bone meal (MBM)
bottom ash in mortars as sand replacement. Cement and concrete research.[en
ligne]. Mars 2006, vol.36, n°3, p. 469-480.Disponible sur :
http://www.sciencedirect.com/science?_ob=MImg&_imagekey=B6TWG-4HF5KN3-2-
X&_cdi=5562&_user=1011402&_orig=search&_coverDate=03%2F31%2F2006&_sk=99
9639996&view=c&wchp=dGLbVtbzSkzV&md5=2d4ddbe827d911c2dbd6fb1407763ed8&
Comment utiliser le Harvard
référence system
Les éléments du référencement Harvard
La structure de base
Effectuer une liste en ordre alphabétique par nom de l’auteur
principal (c'est-à-dire le nom de famille qui apparaît le premier
dans les travaux cités).
Bien que les conventions d’usage des italiques, citations, etc.
soient différentes selon les médias utilisés, la structure de base
est la suivante:
 Nom de famille, initiales

 (année de publication)

 Titre

 Editeur, lieu de publication, périodique, etc.

 Référence exacte.
Comment utiliser le Harvard
référence system
 Mettre les références dans l’ordre
 Les notes en référence doivent figurer en ordre alphabétique
par nom de famille des auteurs.
 S’il existe plus d’une référence pour le même auteur, les
insérer par ordre de date de publication.
 Si un auteur a écrit plus d’une de vos références pendant
une même année, il convient d’utiliser la formule 2000a,
2000b, etc.
 Les références à plus d’un auteur suivent toujours les
références aux auteurs uniques.
Comment utiliser le Harvard
référence system
 Trois auteurs en suivent deux, quatre auteurs en suivent trois et
ainsi de suite.
 Trier par ordre alphabétique en utilisant en premier le nom de
l’auteur principal, puis le second auteur, ensuite le troisième,
etc.
 Trier ainsi par nom est plus important que trier par date.
 La ponctuation devrait adopter le modèle suivant:
 Pour deux auteurs, séparation par «and», sans virgule
 Pour des auteurs multiples, séparation par une virgule, mais le
dernier nom devrait être relié par «and» sans la virgule
Exemple

 Richardson, A. (1988)
Richardson, A. (1989a)
Richardson, A. (1989b)
 Richardson, A. and Brown, B., (1988)
Richardson, A. and Smith, S., (1986)
Richardson, A., Brown, B. and Smith, S. (1983)
 Ingram, T.N., Schwepker, C.H. and Hutson, D.
(1992)
Ingram, T.N., Laforge, R.W., Schwepker, C.H.
Jr, Avila, R.A. and Williams, M.R. (1997)
Ingram, T.N., Laforge, R.W., Avila, R.A. and
Schwepker, C.H. Jr and Williams, M.R. (2001)
Comment utiliser le Harvard
référence system
 https://www.emeraldgrouppublishing.c
om/portal/fr/authors/harvard/2.htm

 https://bib.umontreal.ca/citer/styles-
bibliographiques/choisir-son-style
Le style Vancouver

 Le style Vancouver est un style


bibliographique lié aux Exigences uniformes
pour les manuscrits présentés aux revues
biomédicales. Il est mis à jour par le Comité
international des rédacteurs de revues médicales
(CIRRM) et inspiré de la plus récente norme ANSI
que la National Library of Medicine (NLM) a
adoptée en mai 2010 pour ses bases de données
(ex.: MEDLINE).
Partie II : Conception du mémoire
Chapitre II-1 : Plan et étapes du mémoire

 Plan et étapes du mémoire


 Cerner et délimiter le sujet (Résumé)
 Problématique et objectifs du mémoire.
 Les autres sections utiles (Les - remerciements, La
table des abréviations…)
 L'introduction (La rédaction de l’introduction en
dernier lieu)
 Etat de la littérature spécialisée
 Formulation des hypothèses
 Méthodologie

 Résultats

 Discussion

 Recommandations

 Conclusion et perspectives

 La table des matières

 La bibliographie

 Les annexes
Chapitre II- 2 : Techniques et normes
de rédaction
 La mise en forme. Numérotation des chapitres, des
figures et des tableaux.
 La page de garde
 La typographie et la ponctuation
 La rédaction. La langue scientifique : style,
grammaire, syntaxe.
 L'orthographe La Amélioration de la compétence
linguistique générale sur le plan de la
compréhension et de l’expression.
 Sauvegarder, sécuriser, archiver ses données.
Chapitre II-3 : Atelier : Etude critique
d’un manuscrit
Chapitre II-4 : Exposés oraux et soutenances
o Comment présenter un poster
o Comment présenter une communication orale
o Soutenance d’un mémoire
Chapitre II-5 : comment
éviter le plagiat
(formules, phrases, illustrations,
graphiques, données, statistiques……)
o La citation

o La paraphrase

o Indiquer la référence bibliographique


complète
Conseils pour ne pas faire de
plagiat

 Règles de citations
Le plagiat : qu’est-ce que c’est ?
 « Utilisation frauduleuse de l’oeuvre
d’autrui soit par emprunt, soit par
imitation »
Grand dictionnaire terminologique,
http://www.granddictionnaire.com
Consulté le 23/02/2009
Conseils pour ne pas
faire de plagiat

«Vol littéraire. Le plagiat consiste à


s’approprier les mots ou les idées de
quelqu’un d’autre et de les présenter comme
siens.»
 Petit Robert, Volume 1, 2005
Des exemples

(Les exemples qui suivent sont extraits du site


Infosphère. Infosphère. Exemples de situations de
plagiat.
http://www.bibliotheques.uqam.ca/recherche/plagiat
/exemples.html Consulté le 23/02/2009)
 Copier textuellement un passage d’un livre,
d’une revue ou d’une page Web sans le mettre
entre guillemets et/ou sans en mentionner la
source
Conseils pour ne pas
faire de plagiat
 • Insérer dans un travail des images, des
graphiques, des données, etc. provenant
de sources externes sans indiquer la
provenance
 Résumer l’idée originale d’un auteur en
l’exprimant dans ses propres mots, mais
en omettant d’en indiquer la source
 Traduire partiellement ou totalement un
texte sans en mentionner la provenance
Conseils pour ne pas
faire de plagiat

 Réutiliser un travail produit dans


un autre cours sans avoir obtenu au
préalable l’accord du professeur
 Utiliser le travail d’une autre
personne et le présenter comme le
sien (et ce, même si cette personne a
donné son accord)
Comment ne pas plagier ?

 En faisant des « citations »


 Une citation textuelle doit être entre guillemets
 Elle peut être introduite par une phrase ou un
mot
 La référence du document cité doit être indiquée
en note de bas de page ou entre parenthèses
dans le texte , En fin de document la
bibliographie doit lister tous les documents
utilisés avec leur référence complète
Comment ne pas plagier ?

 Exemple de citation avec note de bas de page


(tiré du site Infosphère)
 La référence complète est rappelée dans la
bibliographie générale en fin de document
Comment ne pas plagier ?

 Exemple de citation avec référence au


document dans le texte (tiré du site
Infosphère)
 La référence complète est indiquée dans la
bibliographie générale en fin de document
Comment ne pas plagier ?

 La même rigueur doit être appliquée si vous empruntez des


photos, schémas, tableaux, graphiques etc…
 La mention de la source doit apparaître sans ambigüité
sous le schéma lui-même ou en note de bas de page
 • En utilisant la « paraphrase »

 La paraphrase consiste à reformuler avec ses propres


mots et ses propres phrases les idées d’une autre
personne.Il s’agît de ré-écrire et pas seulement de changer
certains mots par des synonymes
 Comme pour la citation la référence du document
paraphrasé doit être indiquée en note de bas de page ou
entre parenthèses dans le texte.
Comment ne pas plagier ?

 En fin de document la
bibliographie doit lister tous les
documents utilisés avec leur
référence complète
Exemple de paraphrase avec note
de bas de page (tiré du site
Infosphère)
Exemple de paraphrase avec
référence au document dans le
texte (tiré du site Infosphère)
• En indiquant systématiquement les
sources bibliographiques utilisées
 A la fin d’un rapport, d’un mémoire, doit
impérativement figurer la « bibliographie » qui liste
tous les travaux utilisés : ouvrages, articles, sites
web, normes, rapports etc.
 Au-delà des aspects règlementaires et légaux relatifs
au droit d’auteur la bibliographie est nécessaire :
- pour attester du caractère scientifique de la démarche
- pour permettre à vos lecteurs d’identifier et de
retrouver les sources des informations que vous avez
utilisées
 Les références sont rédigées selon des règles définies
par des normes (cf ci-dessus).
En faisant des renvois à la
bibliographie dans le texte

 Chaque fois que des travaux d’autres


personnes sont utilisés où ont inspirés votre
travail au-delà même de la citation ou de la
paraphrase, vous devez l’indiquer.
 Vous pouvez le faire de la manière suivante :

 Le texte concerné, que vous avez rédigé à


partir de travaux d’autres personnes est suivi
d’un numéro qui correspond au numéro du
document utilisé et cité en bibliographie :
Références

 « Guide pour la rédaction des


références bibliographiques
 Quelques conseils et exemples de
présentation de la bibliographie »
BIB’INSA - juillet 2009,INSA Toulouse
Formulation d’un sujet, recherche
documentaire et détermination des
objectifs et des hypothèses

Ce premier chapitre concerne un moment clé de tout processus de recherche : celui


de la définition de la thématique de recherche dans un premier temps, puis,
ultérieurement, de la formulation explicite et précise du sujet. Moment essentiel que
celui-ci car il peut être lourd de conséquences, à terme, non seulement sur la
possibilité de déroulement effectif de la recherche, mais aussi sur les conditions de
valorisation future du travail conduit. S’il s’agit d’un travail de longue haleine, sur
plusieurs années (trois ou quatre dans le cas d’une thèse), chacun comprendra qu’il
mérite de retenir toute l’attention.
Indissociablement liée à ce temps fort, se pose alors, en amont de tout travail, la
question de la recherche documentaire. C’est la raison pour laquelle l’accent a été
mis sur cette étape, trop souvent considérée comme secondaire, de manière
pragmatique et dans un souci d’efficacité maximum.
Choix et définition d’un sujet
de recherche
Comment choisir un sujet de
recherche ?
 Comment choisir un sujet de recherche ? C’est une étape
fort délicate car les pré-requis sont multiples : connaissance
du domaine de recherche, intérêts personnels du
chercheur, compétence et position sociale du chercheur,
maîtrise des ressources matérielles indispensables. La
figure inspirée de Fragnière (1986) présente pleinement les
spécificités du chercheur et celles de l’objet d’étude dans le
choix d’un sujet de mémoire en géographie. Selon l’auteur,
les spécificités de l’objet d’étude se situent à quatre
niveaux : l’ampleur de l’objet, la situation de l’objet dans le
champ des connaissances, la signification sociale de l’objet
et les difficultés inhérentes à l’objet.
Figure: Test pour le choix d’un sujet de
mémoire en géographie
Les enjeux du mémoire de Master 2
 Comprendre la logique d’étude
 Les différentes manières de faire de
la recherche
 Comment trouver son thème ?
Objectifs du « cours »
méthodologie du mémoire
 Finalité : vous aider à réaliser un bon mémoire de
M2 !

 Moyen : vous donner les outils méthodologiques et


surtout apprendre à les mettre en œuvre

 Pédagogie : des séances théoriques, des séances


pratiques, du coaching
Qu’est-ce que le mémoire
de Master 2 ?
 Un exercice ACADEMIQUE qui doit
respecter un certain nombre de règles
 Un travail qui marque l’aboutissement
de votre cursus
 Une organisation de votre charge de
travail sur l’ensemble de l’année
Ce qui est évalué

 La prise de recul sur votre expérience


professionnelle
 Votre capacité à mobiliser et à articuler des
concepts théoriques
 Vos choix méthodologiques et la collecte des
données
 La logique de vos décisions et la défense de
vos positions
 Votre implication tout au long de l’année
 Votre capacité à ajuster le travail aux
demandes
Le mémoire de M2 c’est
aussi
 Des rendez-vous réguliers personnalisés avec
votre encadreur universitaire : une relation de
confiance et d’honnêteté
 Un soutien collectif via le cours de méthodologie
du mémoire
 Les enjeux du mémoire de Master 2
 Comprendre la logique de recherche
 Les différentes manières de faire de
la recherche
 Comment trouver son thème de
recherche ?
La logique de recherche

Problème
Problème Mise en œuvre
Initial Discussion
de de la
(managérial ccl
recherche recherche/étude
ou théorique)

• recueil d’information
• méthodes d’analyse
• interprétation
Le processus à suivre
Spécification du problème

Formulation des questions / hypothèses

Élaboration du plan de recherche

Elaboration des instruments de collecte des données

Enregistrement des données nécessaires

Traitement et analyse des données

Interprétation des résultats, conclusions

Préparation et présentation du mémoire


 Les enjeux du mémoire de Master 2
 Comprendre la logique de recherche
 Les différentes manières de faire de
la recherche
 Comment trouver son thème de
recherche ?
Posture de recherche
 J’ai trouvé une problématique qui me semble
intéressante, novatrice : Quel va être le cadre dans
lequel s’inscrit mon travail ?
 Deux grandes postures de recherche :

 Approche hypothético-déductive
• = Tester des connaissances développées
préalablement
 Approche abductive / inductive
• = Construire progressivement des connaissances
en relation avec des savoirs déjà admis
=> Deux postures différentes qui vont impliquer des choix
méthodologiques différents
Recherche hypothético-déductive :
le canevas

 Principe : je lis autour des concepts-clés de ma


problématique, cela me permet de comprendre les
manques et de formuler des « hypothèses de travail »
que je vais chercher à tester par une étude sur le terrain
 Collecte des données :

 Une étude quantitative sous forme de questionnaires


(face à face, en ligne…) ou
 Une étude qualitative (entretiens individuels, réunions,
bulletin board, etc.)
 Analyse des données :

 Des tests statistiques simples (tris à plat, différences de


moyennes, régression...) ou analyse thématique
 Au final : des hypothèses confirmées ou non
Recherche hypothético-déductive :
exemple

 Problématique : quels facteurs influencent la


réponse à la sollicitation de données
personnelles sur Internet ?
 La théorie de l’engagement permet de formuler
une hypothèse :
 H : Plus l’individu a l’intention de répondre (i.e. remplir
le formulaire en ligne), plus il a l’intention de
poursuivre la relation avec l’entreprise qui l’a sollicité.

D’après Lancelot-Miltgen (2007)


Recherche hypothético-déductive :
exemple (fin)

 Méthodologie : création de 6 scenarii (3


contextes de sollicitation et 2 longueurs de
formulaire)
 Échantillon de 252 répondants

 Exemple d’analyse statistique :


 Une régression permet de tester l’hypothèse
• IntPoursuivreRelation = 5,412 + 1,137 IntRépondre
• Les principes issus de la théorie de l’engagement sont
vérifiés : plus l’intention de répondre au formulaire est
élevée, plus l’intention de poursuivre la relation avec le
fournisseur est élevée (coefficient positif et significatif) :
l’hypothèse est confirmée.
D’après Lancelot-Miltgen (2007)
Recherche abductive :
le canevas
 Principe : le phénomène étudié est complexe. L’objectif
du chercheur est d’apporter une compréhension du
phénomène, de ses articulations.
 Collecte de données extensive :

 Une étude qualitative sous forme d’entretiens en


profondeur (avec des employés, des clients, des
fournisseurs, etc.), de tables rondes, d’observation
etc. Observation participante, ethnographie,
netnographie, études de cas
 Analyse des données :

 Analyse de contenu des entretiens : détection de


régularités dans les discours, permettant de formuler
des propositions générales
Recherche abductive :
un exemple
 Problématique de recherche : la gestion des
compétences clés dans les grands restaurants
 Plusieurs questions de recherche :
 1. Comment identifier et définir conceptuellement ces
compétences qui peuvent être individuelles ?
 2. D’où proviennent-elles et comment peut-on les renouveler ?
 3. Quelles compétences sont partagées ? S’agit-il d’un simple
transfert, comment se fait-il qu’un certain nombre de ces
compétences peuvent être ponctuellement appliquées par les
apprentis en l’absence des maîtres ?
 4. Comment créer de la valeur à partir de ces compétences
individuelles en les utilisant dans un processus collectif ?

D’après Drucker-Godard et al. (2001)


Recherche abductive :
un exemple (suite)

 Une méthodologie par études de cas :


 Plusieurs restaurants
 Observations directes des pratiques dans les
cuisines (avant, pendant et après les services ).
 Interviews des chefs et des membres de leur équipe
: trois guides d’entretien
• un pour le chef
• un autre pour son second
• un troisième pour les autres membres de l’équipe
(comme les chefs de brigade, par exemple)
D’après Drucker-Godard et al. (2001)
Recherche abductive :
un exemple (fin)

D’après Drucker-Godard et al. (2001)


Aujourd’hui

 Les enjeux du mémoire de Master 2


 Comprendre la logique de recherche
 Les différentes manières de faire de
la recherche
 Comment trouver son thème de
recherche ?
Le processus à suivre
Spécification du problème

Formulation des questions / hypothèses

Élaboration du plan de recherche

Elaboration des instruments de collecte des données

Enregistrement des données nécessaires

Traitement et analyse des données

Interprétation des résultats, conclusions

Préparation et présentation du mémoire


Comment spécifier sa
problématique ?
1. trouver un problème initial
2. le définir correctement
3. arriver à le transformer en une
problématique d’étude
Trouver son problème initial :

Deux sources

Une question « terrain » qui Une question « théorie » qui


apparaît apparaît
au cours de votre stage et au cours de votre année qui
qui fait lien avec de la fait sens avec votre
théorie expérience professionnelle

• un problème managérial soulevé


• un point théorique (théorie,
par le milieu professionnel
concept) abordé en cours
• une situation problématique que
• une lecture qui vous inspire
vous diagnostiquez
Exemples

Deux sources

Kiabi et le merchandising Ethnicité et fidélité au point


de vente

• la Dir mkg se pose des questions


et vous en avez l’écho • soit la fidélité soit l’ethnicité vous
• vous êtes en magasin et vous interpelle en cours
constatez (ventes ou de visu) les • une lecture d’article
différences entre le book et la mise
en place
Arriver à circonscrire son
problème initial
 Les difficultés :
a) Le flou (surtout dans les questions
managériales)

b) L’incomplet (ne pas connaître toutes les


facettes du problème)

c) L’enchevêtrement (trop de questions en


une…)
a) éviter le flou

Exemples de problématique floue Exemples de problématique précise

• Comment dynamiser mes • Le lancement d’un nouveau modèle de


ventes ? téléviseur à LED permettra-t-il
d’augmenter mon CA ?

• Quelle campagne publicitaire • Quel support publicitaire investir pour


mettre en œuvre ? augmenter la notoriété de ma marque
auprès de ma cible ?

• Quel axe de communication choisir


pour augmenter le score d’agrément de
ma marque auprès de ma cible ?
b) Éviter l’incomplet

 Ne pas camper sur ses positions : bien souvent un


problème peut en cacher un autre…
Ex : mauvaise relation du personnel avec les clients peut cacher
problème de formation, de management ou de recrutement

 Toujours mesurer l’enjeu de la question managériale


: ne pas hésiter à poser des questions et à lutter
contre la rétention d’information
c) Éviter l’enchevêtrement

 Décomposer le problème initial en sous-parties


 Dresser sa check list

Ex : Comment réaliser une campagne de publicité efficace ?


 Efficacité = image de marque ou notoriété spontanée ou
ventes ?
 Définir un budget optimal ou arbitrer entre des plans média ?
 Faut-il choisir un axe de communication pertinent ?
Prenez dès maintenant
un peu de temps pour
réfléchir chacun à
votre problème initial
Parlons-en ensemble
Transformer l’essai

 traduire un problème initial en


problématique de recherche

QUESTION(S) de RECHERCHE
La traduction du problème marketing en
questions de recherche
Exemple de problématique Exemples de questions de recherche
précise
• Le lancement d’un 1) Comprendre les motivations et les freins des
nouveau modèle de consommateurs à l’acceptation des TV LED.
téléviseur LED permettra-t-il 2) Décrire les segments favorables aux TV LED.
d’augmenter mon CA ? 3) Prévoir les ventes du nouveau produit.

• Quel support publicitaire 1) Qui sont les consommateurs de mon cœur de


investir pour augmenter la cible ?
notoriété de ma marque 2) Quels sont les supports médiatiques fréquentés par
auprès de ma cible ? les consommateurs de ma cible ?
3) Avec quelle fréquence chaque support est consulté
par ma cible ?
4) Quels sont les prix , le volume de diffusion et la
couverture de chaque support ?
À vous de transformer
votre problème initial
en questions de
recherche
Pour notre prochaine rencontre
 trouvez votre thème !!!
 faites l’exercice de formalisation
suivant
Pour commencer, il s’agit de se poser les questions suivantes et de
rédiger un document :

150

CONTEXTE INITIAL • Quel(s) phénomène(s) / situation(s) / problème(s) créé(nt) mon


besoin en information, mes questions ? Développer cette partie
pour être parfaitement clair en évitant le flou, l’incomplet,
l’enchevêtrement
THEME général DU • Si je devais être bref et très général, en fonction de ce que je
MEMOIRE viens de dire sur le contexte, sur quoi vais-je travailler ?

PERTINENCE Pourquoi mon thème intéresse-t-il mon entreprise ? À développer.


MANAGERIALE DU
MEMOIRE
QUESTION GENERALE Formuler une question générale qui va guider votre travail et vos
DU MEMOIRE recherches documentaires (c’est différent du thème qui n’est pas
une question).
PROBLEMATIQUE DU Il s’agit d’une question plus précise que la précédente, à laquelle
MEMOIRE vous aller tenter de répondre par votre mémoire.
QUESTIONS Il s’agit de décomposer votre problématique en un ensemble de
SPECIFIQUES DU questions mesurables auxquelles vous pourrez apporter des
MÉMOIRE réponses concrètes.
Ensuite, il faudra
151
répondre à

Vers quelles informations vais-je me tourner ?


Que chercher ?
Que lire ?

Je vais lire et ces lectures vont affiner


ma grille précédente, je vais éliminer
des questions, en reformuler d’autres
et, avec le tuteur, nous fixerons le
cadre de réflexion définitif

 Ne changez plus de sujet (ou dans un délai maximum de 1 mois)


Quelques précisions :
- la bibliographie doit contenir 25 articles dont 5 en anglais
- les préconisations sont évaluées le jour de la soutenance par le
maître d'apprentissage : ce qui vous oblige à montrer votre
travail tout au long de l'année à votre maître d'apprentissage et à
éviter les préconisations la nuit de la soutenance….

- Des questions ?

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