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ACIDOSE/ALCALOSE 14- Aspect de pain à cacheter 

: signifie sclérose glomérulaire donc processus chronique.


1. L’acidose métabolique s’observe dans (RF) : vomissements 15- Le syndrome néphrotique ne se voit pas au cours de : maladie polykystique des reins.
2. L’acidose métabolique avec hyperkaliémie s’observe dans : l’insuffisance rénale 16- Le syndrome néphrotique ne se voit pas en cas : de glomérulonéphrite
chronique extramembraneuse (à distinguer de la GN proliférative extra-capillaire).
3. L’insuffisance rénale chronique s’accompagne de : hyperphosphorémie 17- Les Ac anti-membrane basale glomérulaire : maladie de Goodpasture
4. La diminution du capital sodé de l’organisme entraîne une hyponatrémie : c’est faux ; elle
entraîne une déshydratation extracellulaire INSUFFISANCES RÉNALES AIGUËS
5. Acidoses qui peuvent s’accompagnées généralement d’un trou anionique : acidose 1- Retenir les paramètres biologiques de distinction entre IRA fonctionnelle et IRA
lactique ; acidocétose diabétique ; acidose par intoxication salicylée organique
6. Alcalose métabolique avec hypochlorémie chez un malade déshydraté fait suspectée : 2- Dans une IRA par nécrose tubulaire : la récupération de la fonction antérieure est la
l’abus de diurétiques et/ou laxatifs ; une sténose pylorique règle ; l’hyperhydratation cellulaire peut entraîner des crises convulsives ; il existe une
7. tendance hémorragique lorsque la rétention azotée est importante ; une hyperleucocytose
peut exister en l’absence d’infection.
3- L’UIV nécessite des précautions particulières en cas de : diabète ; amylose ;
TROUBLES HYDROÉLECTROLYTIQUES déshydratation extracellulaire ; myélome
1. Causes de déshydrations extracellulaire (RF) : diabète insipide 4- On peut observer une insuffisance rénale aiguë anurique après : pancréatite aiguë ; coma
2. L’état d’hydratation intracellulaire est reflétée par : osmolalité extracellulaire éthylique ; overdose d’héroïne ; une UIV
3. Patient présentant une IRA avec des signes de déshydratation extracellulaire et 5- L’IRA par nécrose tubulaire : la récupération de la fonction antérieure est la règle 
hyponatrémie à 120 meq/l  CAT : sérum salé 6- Dans l’IRA : le chiffre d’urée sanguine est proportionnelle au catabolisme azoté et à la
4. Au cours d’une déshydratation intracellulaire sévère, on peut constater : une sensation de filtration glomérulaire ; le chiffre de la créatininémie est proportionnel au degré de la
soif, sécheresse des muqueuses buccales ; hématome sous-dural (nourrisson) filtration glomérulaire.
5. Quelques causes d’hypokaliémie : hypochlorémie ; syndrome de levé d’obstacle 7- Une anurie de constitution rapide peut s’observer dans : une néphropathie glomérulaire
aiguë ; néphropathie vasculaire aiguë ; une dissection aortique
6. Un sujet anurique qui reçoit une perfusion de soluté glucosé isotonique, va présenter : une
hyperhydratation globale 8- Au cours d’une IRA, une épuration extrarénale doit être réalisée si le malade : présente
une azotémie à 30 mmol/l ; a une kaliémie > 7 ; a un œdème pulmonaire, acidose.
7. Signes de la déshydratation intracellulaire : hyperthermie, apathie. (l’agitation et les
hallucinations se voient plutôt dans les hyperhydratations intracellulaires).
THÉRAPEUTIQUE
8. Signes de l’hypokaliémie : polyurie ; syncope ; rhabdomyolyse ; troubles de la
concentration des urines ; crampes 1- Les diurétiques thiazidiques peuvent induire : une alcalose métabolique hypokaliémique ;
une baisse de la calciurie…
INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE 2- Diurétiques ototoxiques : furosémide ; acide étacrynique
1- Le métabolisme du calcium (au cours de l’IRC) est modifié par : une hypersécrétion de 3- Le furosémide est le seul diurétique efficace en cas d’insuffisance urinaire
PTH ; une carence en vitamine D active ; l’hyperphosphorémie et l’acidose. 4- Effets secondaires des thiazidiques : hypochlorémie et alcalose.
2- Signes observés fréquemment chez un insuffisant rénal chronique : ostéodystrophie ; 5- Antibiotique qui peut provoquer une insuffisance rénale aiguë par mécanisme
anémie normochrome peu régénérative ; retard de conduction nerveuse… immunoallergique pur : rifampicine
3- L’anémie de l’IRC est habituellement : associée à la diminution de la durée de vie des 6- Le furosémide : peut être utilisé dans le traitement de l’hypercalcémie ; l’effet diurétique
hématies, normochrome, normocytaire, peut régénérative max est obtenu une heure après la prise orale
4- L’IRC s’accompagne le plus souvent de : anémie normochrome ; hyperuricémie ; 7- Médicament qui possède une action antiandrogénique : acétate de cyprotérone ;
hypocalcémie spironolactone
5- L’IRC non traitée s’accompagne presque toujours de : anémie ; hypocalcémie ; acidose
métabolique
6- Chez l’insuffisant rénal chronique : un apport alimentaire important de Na+ peut entraîner
la positivation du bilan sodé ; une restriction sodique peut rapidement conduire à la
déshydratation extracellulaire ; un apport quotidien de calcium est souhaitable
7- Les néphropathies interstitielles chroniques peuvent être consécutives à : une
hyperuricémie chronique ; une hypercalcémie chronique ; un diabète
8- Un patient traité par hémodialyses itératives doit suivre un régime : restreint en
potassium ; protéines : 1 mg/kg/j ; riche en calcium.
9- Une polykystose rénale peut se manifester par : une polyglobulie ; une IRC ; une
hématurie ; une HTA ; une douleur.
10- Facteurs pouvant décompenser une IRC : déplétion sodée ; traitement diurétique ;
restriction hydrique ; obstacle sur la voie excrétrice.
11- La quantité minimum de protéine nécessaire pour maintenir une balance azotée chez les
malades en insuffisance rénale chronique est : 0,5 g/kg/j
12- La principale forme d’élimination de l’azote dans les urines est : l’urée
13- L’anémie est d’autant plus grave que l’insuffisance est importante mais n’est pas
corrigée par la dialyse.

NÉPHROPATHIES
1- Syndrome néphrotique corticorésistant  la lésion histologique la plus probable :
hyalinose segmentaire et focale des glomérules
2- Une protéinurie sélective : protéine de PM entre 50000 et 90000
3- Signe biologique qui a une valeur diagnostique dans la GNA post-infectieuse à la 2 e
semaines d’évolution : diminution du complément
4- Une hématurie est le mode de révélation fréquent de : glomérulonéphrite mésangiale de
dépôt d’IgA (maladie de Berger)
5- La glomérulonéphrite rapidement progressive peut se rencontré dans : purpura
rhumatoïde ; lupus érythémateux ; maladie de Wegener ; syndrome de Goodpasture
6- Chez un garçon de 17 ans qui est revu 2 mois après une GNA post-streptococcique ; 
signe biologique péjoratif : persistance de l’hypocomplémentémie.
7- Syndrome néphrotique pur : protéinurie > 3g/24h ; hypoalbuminémie ; insuffisance rénale
fonctionnelle
8- Patient de 28 ans présente une protéinurie à 1g le lendemain d’une sinusite fébrile avec
hématurie macroscopique ; la TA est normal ; pas d’IRA ; il s’agit de : glomérulonéphrite à
dépôts d’IgA (maladie de Berger)
9- Syndrome néphrotique avec hypergammaglobulinémie : lupus érythémateux disséminé
10- Définition histologique qui correspond au tableau classique de GNA post-infectieuse :
prolifération endocapillaire généralisée diffuse et exsudative
11- Le taux du complément sérique au cours d’une glomérulonéphrite aiguë post-
streptococcique est abaissée : du premier jour au 30e jour
12- Une protéinurie à 0,15 g/24h rend peu probable le diagnostic de : néphropathie
glomérulaire (GNA ; nécrose lipoïdique….)
13- Eléments qui évoquent plutôt une glomérulonéphrite chronique devant un tableau de
protéinurie isolée : protéinurie toujours > 2,5g/24h ; signes focaux de rétraction et de nécrose
papillaire à l’UIV.

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