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J. LE BARS
RÉSUMÉ
L’auteur se préoccupe de la contamination des fourrages par des Micromycètes. Ne pouvant obtenir
des suspensions homogènes et des dilutions reproductibles, il a recherché une technique adéquate.
Dans un premier temps, il a comparé divers dispersants non germicides, contenant des billes
de verre, eau salée (8 p. i ooo), eau gélosée (i p. i ooo), eau peptonée (i p. i ooo), Tween 8 0
(r p. i ooo), DMSO (i p. r ooo), vis-à-vis de microorganismes présentant une résistance crois-
sante à la dispersion, E. coli, B. cereus, Sta. albus, M. circinelloides, A. oryzae ; les agents
mouillants, Tween 8 0 et DMSO, permettent d’obtenir une dispersion au hasard de tous les micro-
organismes considérés. Dans une seconde étape, à l’aide du liquide ayant donné les résultats
les plus proches de ceux d’une suspension idéale et du champignon le plus difficile à disperser,
des dilutions sont réalisées après homogénéisation effectuée à l’aide d’un agitateur de type
Vortex ; les numérations sont faites soit à la cellule hématimétrique, soit en milieu gélosé ; les
résultats obtenus à chaque dilution ne diffèrent pas significativement de ceux attendus théo-
riquement, dans la mesure où l’homogénéisation est réalisée à l’agitateur. Enfin, la technique
retenue a été éprouvée avec succès par l’analyse mycologique quantitative de fourrage broyé,
stérilisé, monocontaminé par l’A. oryzae, humidifié de façon variable et incubé ou non; cette
dernière opération correspond d’une part au contrôle du nombre de spores ensemencées dans
un substrat stérilisé et, d’autre part à l’a»alyse mycologique d’échantillons naturellement
contaminés où il y a non seulement des spores mais aussi des hyphes végétatives.
INTRODUCTION
I. -
CHOIX D’UNE PHASE DE DISPERSION
. I
I . -
Matériel et méthodes
i. ii. Principe du test.
Si l’on
place dans une cellule hématimétrique une goutte de suspension homogène, l’analyse
statistique montre que les particules sont distribuées dans les différentes mailles de la cellule
selon une loi de Poisson. Si, au lieu de cette suspension idéale, on veut tester une suspension
obtenue par la mise en ceuvre de techniques variées, deux cas peuvent se présenter ; ou bien la
répartition des particules suivra la loi de Poisson, ce qui signifiera que ces dernières se sont déga-
gées de leur interaction mutuelle ; ou bien la répartition ne suit pas la loi de Poisson, et on pourra
considérer que la technique mise en oeuvre est imparfaite (L ELLOUCH et , AZAR i
L 68). L’analyse
9
a de préciser dans lequel de ces deux cas on se
statistique permet, par l’application d’un test de
X
trouve.
Pour cette raison, la de numération en plaque gélosée a été écartée dans ce test
technique
puisqu’elle ne de rendre compte d’une manière univoque du nombre exact de parti-
permet pas
cules, dans la mesure où une thalle peut dériver éventuellement d’un agrégat particulaire ; d’autre
part la technique hématimétrique évite la constitution de séries de dilutions, et donc l’interven-
tion d’un facteur de variation supplémentaire.
: 12.
z Microorganismes.
Nous nous sommes adressé à des microorganismes présentant, du fait de leur structure et
de leur organisation, une résistance croissante à la dispersion :
.
1 .
13 Milieux de dispersion et mise en suspension.
Nous avons comparé de l’eau salée (8 p. i ooo), de l’eau peptonée (i p. i ooo), de l’eau gélo-
sée (i p. i ooo), une solution de Tween 80 (i p. i ooo) et une solution de DMSO ( 1 p. 1 ooo). 20 ml
de dispersant et des billes de verre de 3 mm de diamètre occupant un volume de 3 ml sont ajoutées
aux tubes contenant la culture sur milieu gélosé ; la mise en suspension est réalisée
par agitation
manuelle normalisée, selon un arc horizontal de 30 cm, à raison de i 2o périodes par minute (B -
R
E
RI
EY et al., 1927
L ) pendant minutes ;
10 cette suspension et les billes sont transférées dans un autre
tube à vis et, après un premier examen à l’hématimètre, son volume est ajusté de telle façon que
le nombre moyen de particules par case de l’hématimètre soit environ de cinq pour les bactéries
et de deux pour les champignons ; ces densités limitent les erreurs de comptage et permettent
une mise en évidence plus nette des agglomérats de germes. Après une nouvelle agitation manuelle,
(io mouvements horizontaux de va-et-vient), le prélèvement est effectué immédiatement, toujours
avec la même pipette (J, 19
OLY ) pour emplir la cavité de la cellule de Thoma. Pour chaque
0
6
examen, on constitue un tableau de fréquence des cases contenant un nombre déterminé de par-
ticules, le nombre total de cases observées étant de 200 environ ; est compté comme particule
tout élément individualisé, qu’il soit isolé ou aggloméré, bactérie, spore, débris d’hyphes. Puis
I de comparaison entre la distribution observée et la distribution théorique obéis-
on calcule le X
sant à une loi de Poisson.
. 2
1 . -
Résultats
L’ensemble des résultats des comparaisons des distributions observées à celles
obéissant à une loi de Poisson figure dans le tableau 2, le nombre de degrés de liberté
est indiqué entre parenthèses. Les seuls liquides de dispersion ayant permis d’obte-
nir, pour tous les microorganismes considérés, une distribution ne différant pas
significativement (oc )05 de celle de Poisson, sont les solutions
,
0
= de Tween 8 0
et de DMSO.
i. 3. -
Discussion
On peut remarquer tout d’abord que même pour certaines bactéries (Sta!hylo-
coccus albus, dans le cas présent), la mise en suspension dans de l’eau salée ou peptonée
n’assure pas une bonne dissociation des grappes. Les valeurs obtenues avec le M. cir-
cinelloides, en l’absence d’agent mouillant, sont plus faibles qu’avec l’A. oryzae ;
ceci correspond bien à leur affinité respective vis-à-vis de l’eau. L’A. oryzae est, parmi
les microorganismes utilisés dans cette étude, le plus difficile à disperser ; ceci tient
au fait que ses spores sont d’une part hydrofuges, et, d’autre part, de taille variable
et irrégulièrement échinulées (RAPER et FE , tg65), caractères qui favorisent un
L
E
NN
accroissement du coefficient de variation des comptages à l’hématimètre (Jo!,y, ig6o).
I,es solutions de DMSO et de Tween 8 0 permettant d’obtenir des distributions
ne s’écartant pas significativement d’une loi de Poisson, on peut dire que les par-
ticules y sont réparties au hasard et, en conséquence, que la dispersion est bonne.
Ces agents mouillants ne sont pas germicides aux concentrations utilisées (S ,
YKES
8 ; TET,
195 OU 19
B 7
6 ; B EANet al., ig6g et peuvent même accroître la production
d’alcaloïdes en fermenteurs (K, ig6g). Pour la suite, nous avons retenu le
ELLEHER
Tween 8 , malgré production d’un peu de mousse, car, d’une part le DMSO peut
0 la
inhiber la formation de pigments caractéristiques par certains champignons (C URTIS
, ig6
et BE
AN 7 ;Y ARLE
C et al., 19
67 ; BEAN et al., ig6g) et, d’autre part les suspensions
obtenues avec le premier présentent les plus faibles différences par rapport à une
suspension idéale.
Il est certain que chaque élément compté à la cellule de Thoma n’engendrerait
pas de thalle en milieu de culture, notamment des débris de sporocystes de M. circi-
nelloides et les spores immatures ; mais, ayant obtenu une distribution au hasard
pour l’ensemble des particules viables et non viables, nous avons de bonnes raisons
de penser que les premières suivent aussi les lois du hasard.
En conclusion, dans la poursuite de ce travail, nous avons retenu comme liquide
de dispersion le Tween 80 à i p. i ooo et, comme microorganisme, l’A. oryzae.
II. -
. 1
2 . -
Matériel et méthode
. II
2 . Principe du test.
A partir d’une convenablement dispersée, dont la richesse en particules est con-
suspension
nue, on réalise des dilutions suivant une raison définie. Chaque dilution fait
l’objet d’une numé-
ration soit en cellule hématimétrique, soit en plaque gélosée ; on compare alors les chiffres obtenus
à ceux que l’on est en droit d’attendre en théorie ; on utilise pour cette comparaison le test du X2
ELLOUCH et ,
(L AZAR 19
L 68).
. 12
2 . Suspensions, dilutions.
Nous avons retenu pour cet essai le dispersant ayant donné les meilleurs résultats précédem-
ment, le Tween 8 0 à l p. I ooo, et le champignon se prêtant le moins à cette opération, l’A. oryzae.
A partir de huit tubes de culture, huit suspensions-mères sont effectuées comme ci-dessus. Les
séries de dilution sont réalisées à l’aide de pipettes à extrémité large (diamètre intérieur à l’ex-
trémité 2 mm), en progression géométrique de raisonq et de raison 2 , en tubes à vis étanches
contenant des billes de verre de 3 mm de diamètre occupant un volume de 3 ml. Avant chaque
prise d’essai, les tubes sont homogénéisés pendant 30 secondes, soit par rotation rapide du tube
entre les mains, soit à l’aide d’un agitateur de type Vortex, à une vitesse telle que la suspension
et les billes se répartissent au maximum le long des parois du tube.
2. 13. Numération.
Les numérations sont effectuées, soit à l’hématimètre pour la série de raison q, soit en boîtes
de Pétri pour la série de raison 2
, après incorporation de i ml de chaque dilution dans un tube de
milieu de Czapek gélosé en surfusion, qui est hémogénéisé, coulé en boîtes, la répartition y étant
assurée par 5 rotations dans un sens puis dans l’autre et enfin 5mouvements de va-et-vient. Après
incubation dans les mêmes conditions que précédemment, la lecture des plaques gélosées est effec-
tuée à la loupe binoculaire chaque jour entre le troisième et le septième jour d’incubation afin
de repérer les thalles avant qu’il y ait confluence et que la compétition soit importante ; comme,
d’autre part, nous sommes en présence d’une seule espèce fongique, nous n’avons conservé, pour
les calculs, que les concentrations ayant donné un nombre de thalles compris entre 4 et 10 par
6
boîte de Pétri.
.
2 -
Résuttats
2. 3! -
Discussion
II
I
. -
Il convient dès lors de vérifier que la technique résultant des essais précédents
est applicable aux problèmes pratiques posés, à savoir, d’une part le contrôle du
nombre de spores viables ensemencées dans un substrat pulvérulent et, d’autre
part la préparation de suspensions pour l’isolement ou la numération de germes
fongiques viables après croissance dans une denrée peu hydratée.
.
3 .
1 -
Matériel et méthodes
Le test utilisé est le même que dans le § 2 . i i. Du foin de luzerne broyé est réparti dans
15 fioles d’Erlenmeyer de 5 oo ml, à raison de 30 g dans chacune, auxquels sont ajoutées 5 billes
de verre de 5 mm de diamètre ; des spores d’A. oryzae y sont introduites et mélangées à sec ;
mis à part celui des lots témoins, le substrat, placé dans trois séries de trois fioles d’Erlenmeyer,
fait l’objet d’une pulvérisation d’eau stérile afin de réaliser une gamme croissante d’humidité.
L’ensemble est incubé pendant trois semaines à 22°C. Pour l’essai, chaque échantillon est homo-
généisé à sec ; deux grammes sont prélevés et mis dans un tube contenant 1 8 ml de Tween 80
(i p. ooo) et des billes de verre (comme dans le § z.i2) ; la dissociation danslasuspension-
i
mère est effectuée comme dans le § LI3 ; les dilutions et les comptages sont réalisés comme
.r, l’horrogénéisation étant effectuée à l’aide de l’agitateur.
dans le § 2
3. 2, -
Résultats
1,a technique utilisée permet d’obtenir, pour l’ensemble des séries de dilutions,
des résultats cohérents, non seulement pour le fourrage contaminé par des spores,
mais aussi pour celui où ces spores ont germé et donné des hyphes végétatives dans
les séries humidifiées différemment et incubées (tabl. q.).
3. 3. -
Discussion
Il eût été pour que l’étude soit complète, de faire des comparaisons
nécessaire,
série ; mais ceci soulève deux autres problèmes
entre les trois échantillons d’une même
techniques qu’il convient de résoudre, l’humidification homogène du substrat et
l’ensemencement régulier de substrats pulvérulents ; le premier peut être facilement
résolu par équilibre hydrique en atmosphère contrôlée (So!,oMOrr, z 95
z ; TON
UL
M
et T, zg6& ;
ILBO
GU P!!,xnT!, ig6g) , le second est plus délicat, mais des comparaisons
valables pourront dorénavant être faites à ce sujet.
En éprouvant la technique retenue avec du fourrage monocontaminé par
l’!1. oryzae et humidifié de façon progressive, on se place dans des conditions voisines de
l’analyse mycologique d’un échantillon ; en effet, pour des teneurs en eau élevées du
substrat, nous sommes en présence non seulement de spores dans un fourrage mais
aussi de mycélium.
IV. -
Quoi qu’il en soit, la technique proposée, dont le détail est donné en annexe I,
permet d’obtenir des dilutions cohérentes se prêtant bien à la numération des germes
fongiques, mais dont la signification reste assujettie au but poursuivi par l’expéri-
mentateur.
SUMMARY
The author is engaged on a study of fungal contamination of fodder. Being unable to obtain
homogeneous supensions and reproducible dilutions during mycological analyses, an attempt
has been made to resolve this problem.
I : Firstly, a suspension medium facilitating random distribution of spores has been sought.
The dispersants tested were saline (i p. i ooo), peptone water (I p. I ooo), agar water (i p. i ooo),
a solution of Tween 8 0 (i p. i ooo) and a solution of dimethyl sulphoxide (DMSO, i p. I ooo) ;
the micro-organisms were chosen so that taking into account their structure and organization they
would offer an increasingly difficult problem of dispersion (table i).
They were put into suspension starting with cultures on agar medium by moderately vigo-
rous manual agitation with glass beads of 3 mm diameter in the various solutions ; then their
distribution in the divisions of a haemocytometer was compared with their theoretical distribu-
tion (Poisson’s Law) by 2 OUCH and LAZA
a x test (L
ELL , 19
R 68). Only the Tween 8o and DMSO
solutions gave a dispersion not significantly different from the ideal (table 2
) ; the least variation
was obtained with Tween 8 0 which was finally selected.
II : Secondly, using Aspergillus oryzae and Tween 8 0 serial dilutions were made ; homoge-
nization before each sampling was effected either by rotating the tube between the hands or by
using a Vortex mixer for 30 seconds. Counting was performed in an agar medium in a haema-
tocytometer. The comparison between the recorded numbers for each dilution and the expected
theoretical values were made using the2 test. The use of a Vortex mixer under these conditions
X
gave results which did not differ significantly from theoretical values (tablet).
III : Thirdly, the author tested the technique selected for its applicability to practical problems:
on one hand, the control of the number of viable spores seeded in a pulverulent substrate, and on
the other hand the preparation of suspensions for the isolation and enumeration of viable fungal
germinal elements after growth in this type of substrate.
Lucerne hay was pulverized, sterilized, seeded with spores of Aspergillus oryzae, humi-
dified in various ways and incubated (or not) for three weeks at 21 °C. Dispersion was effected as
in I and dilutions prepared as in II ; counting was performed in agar medium ; table 4 shows
that the technique used gave results which did not differ significantly from expected theoretical
values, not only in the case of hay inoculated with spores, but also where the spores had germina-
ted and produced vegetative hyphae.
The author therefore recommends that in the mycological analysis of slightly hydrated pul-
verulents, that the homogenization and preparation of dilutions be made using a one part per
thousand solution of Tween 8 , using vigorous agitation with glass beads to ensure adequate
0
dissociation of the elements, and then to homogenize the suspension using a Vortex mixer before
each sampling, both for dilution making and for inoculation.
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.
4
ANNEXE I
-
un mixer Waring Blendor LB
, à 2 vitesséquipé d’un
I bol Pyrex (i litre) ;
-
un agitateur de type Vortex à vitesse variable ;
-
des tubes munis de bouchons à vis :
-
du Tween 8 .
0
Il. -
III. -
Mode opératoire
-
Mettre dans le bol du mixer 20 g d’échantillon et 1
0 ml de dispersant;
8
-
disposer tout le matériel pour les dilutions de façon à pouvoir procéder rapidement afin
d’éviter les risques de sédimentation des grosses particules dans les tubes et les pipettes ;
-
y prélever aussitôt i ml que l’on transfère dans le tube de dilution B,, sans en toucher
les bords ; mettre cette pipette dans un bac de désinfectant ;
-