Академический Документы
Профессиональный Документы
Культура Документы
1ère partie
ITU minimum requirements for the data speeds of IMT-2000 depends on the mobile
speed and on the environment during the call.
High Mobility
• 144 kbps for rural outdoor mobile use.
• Speed > 120 kilometers per hour in outdoor environments
Full Mobility
• 384 kbps in urban outdoor environments.
• for pedestrian users or mobile with speed less than 120 kilometers per
hour
Limited Mobility
• 2 Mbps in stationary indoor and short range outdoor environments .
• for pedestrian users or mobile with speed less than 10 kilometers per
hour
Europe GSM 1800 DECT WCDMA WCDMA MSS WCDMA WCDMA MSS
downlink TDD FDD-Uplink Uplink TDD FDD-Downlink Downlink
Notes:
(1) IMT-2000 : appellation ITU pour les systèmes 3G
(2) UMTS = appellation pour les systèmes 3G Euro
((3) Aux USA, clash avec les fréquences utilisées pour les systèmes mobiles de 2G (PCS) =>
« refarming »...
(4) Extension par la suite dans les bandes 700, 850, 900, 1700, 1800, 2600 MHz...
-DECT
Ordre de grandeur des abonnés des familles mobiles dans la marché mondial (estimation 3Q 2011 ) : total =
+- 5,4 Milliards (
(*)Problème général : la mise en oeuvre commerciale peut demander des délais de réalisation variables :
• complexité croissante des terminaux(multi-bandes, multi-systèmes) ; les terminaux doivent suivre les
Rel. et les Rel doivent continuer à supporter les capacités des différentes générations de terminaux.
• + - d’ upgrade HW ou SW (+ facile avecSW )
• dans certains cas , les réseaux RAN et CoreN doivent ëtre adaptés (e.g. montée en débit avec HSPA)
• validation par des test d’interopérabilité
Note : USA : 3GPP2 , aligné sur 3GPP, mais spécificitéUS et prise en compte des
réseaux CDMA (2G)
GSM 3GPP
REL.
1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999
2G
GSM/EDGE 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
(GERAN)
3G LTE 4G
3G 3.5G : HSPA
(UTRAN)
(R99)
LTE/4G
(E-UTRAN)
Rel '99 Rel-4 Rel-6 Rel-7 Rel-8 Rel-9 Rel-10 Rel-11
Rel-5
Première 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
commercialisation
Caractéristiques principales :
• radio interface : WCDMA (note : opérateurs démarrent en général sur base du FDD-CDMA : voir plus
loin pourquoi)
• basé sur le CN existant pour GSM /GPRS (=> split entre CS et PS ) : choix évident pour coûts
d’évolution des réseaux d’opérateurs chez les opérateurs 2.5G en service, compatibilité « backward » et
pour pouvoir supporter une couverture 3 G partielle relayée par la couverture 2G plus complète (=>
nécessité aussi de terminaux bi-systèmes GSM/GPRS et 3G et de pouvoir faire des HO’s intersystèmes.)
Autres REL. : 4, 5, 6 ,7, 8, 9,10 voir Annexe (Evolution REL) pour les contenus
Le 3 GPP travaille actuellement sur l’évolution à long terme (LTE) (prélude à la 4G) et sur le Advanced –
LTE qui répond aux spécifications de la 4G.
Evolved EDGE
EDGE
GERAN TDMA DL:474 kbit/s
DL: 1,9 Mbit/s
UL: 947 kbit/s
UL:474 kbit/s
IEEE 802.16 m
WiMAX OFDMA FIXED WiMAX Mobile WiMAX Mobile WiMAX
(10 MHz) Wave 1 Wave 2 DL: xx Mbit/s
DL: 23 Mbit/s DL:46 Mbit/s UL: xx Mbit/s
UL: 4 Mbit/s UL: 4 Mbit/s
BS
(node B) CS
RNC MSC/ GMSC/ PSTN, ISDN,
VLR VLR PLMN 2G,...
USIM BS
(node B)
Iur Circuit switch.
Cu networks
HLR AuC
EIR
ME
BS
(node B)
RNC SGSN GGSN IP,
Internet,…
UE BS PS
(node B) Packet switch.
networks
UTRAN CN External
networks
UE = user equipment UTRAN = UMTS Radio Access Network GGSN = Gateway GPRS Support Node
ME = mobile equipment RNC = Radio Network Controller CN = Core Network
USIM = UMTS SIM SGSN = Serving GPRS Support Node CS= Circuit Switching PS = Packet Switching
GERAN
MS BTS
A CS
BSC MSC/ GMSC/ PSTN, ISDN,
VLR VLR PLMN 2G,...
MS BTS GPRS
Circuit switch.
networks
Gb HLR AuC
EIR
UE
(bi-système BS Gi
Gn
(node B)
RNC SGSN GGSN IP,
Internet,…
UE BS
Iu PS
(node B) Packet switch.
networks
UTRAN CN
2 réseaux d’accès radio (RAN) : GERAN (GSM EDGE RAN ) et UTRAN (UMTS RAN)
1 seul CN (avec 2 domaines : CS et PS et soft 2.5 G et 3G)
Medium Application Degree of Data rate Key performance parameters and target values
symmetry
End-to-end One- Delay Information loss
way Variation within
Delay a call
Audio Conversational Two-way 4-25 kb/s <150 msec
voice preferred < 1 msec < 3% FER
<400 msec limit
Note 1
Video Videophone Two-way 32-384 < 150 msec < 1% FER
kb/s preferred
<400 msec limit
Lip-synch : < 100
msec
Data Telemetry Two-way <28.8 kb/s< 250 msec N.A Zero
- two-way control
Data realtime games Two-way < 60 kb/s < 75 msec N.A < 3% FER
preferred preferred,
Note 2 < 5% FER limit
Note 2
Data Telnet Two-way < 1 KB < 250 msec N.A Zero
(asymmetric)
NOTE 1: The overall one way delay in the mobile network (from UE to PLMN border) is approximately 100msec.
NOTE 2: These values are considered the most demanding ones with respect to delay requirements (e.g. supporting First
Person Shooter games). Other types of games may require higher or lower data rates and more or less information loss
but can tolerate longer end-to-end delay
Données Modulateur/
User A : Emetteur
1,0,0,1,… Envoyé sur air interface
(en UMTS : dans une
Code A : bande de 5 MHz,e.g.
+1,-1,+1,+1,-1,+1,+1,-1 dans le spectre des 2
GHz)
Eb Eb
C
F
Données
Intégration Démodulateur/
User A : Récepteur
1,0,0,1
Signal étalé A : Reçu sur air interface
Débit (en chips/s) = 8 X débit (en UMTS : dans une
Code A : de données (en bit/s) bande de 5 MHz,
C
+1,-1,+1,+1,-1,+1,+1,-1 e.g.dans le spectre des 2
GHz)
Que se passe-t-il si le code utilisé à la réception est décalé d’une fraction de temps de chip par rapport au code utilisé
pour l’émission ? de plus d’un temps de chip ?
Que déduire pour un signal multi-path ?
Données Modulateur/
User A : Emetteur C
1,0,0,1
Signal étalé A : C
C Débit (en chips/s) = 8 X débit
Code A : de données (en bit/s) Récepteur
+1,-1,+1,+1,-1,+1,+1,-1
Données Modulateur/
User B : Emetteur
1,1,1,0 Signal composite formé de « A « et
Signal étalé B :
« B » étalés envoyés sur air interface
Débit (en chips/s) = 8 X débit (en UMTS : dans la même bande de 5
Code B : de données (en bit/s) MHz). A et B étalés sont « noyés » dans
+1,-1,+1,+1+1,-1,-1,+1
le signal composite
Codes A et B orthogonaux :
(+1,-1,+1,+1+1,-1,-1,+1) x (+1,-1,+1,+1,-1,+1,+1,-1 ) = 0
I Intégration Démodulateur/ C
Récepteur
C
Signal étalé A+B :
Débit (en chips/s) = 8 X débit
Code A : de données (en bit/s)
+1,-1,+1,+1,-1,+1,+1,-1
Désétalement de A à la réception.
=> le facteur d’étalement est aussi appelé «gain de traitement » (« processing gain ») ,i.e. le gain du signal
utile par rapport à un signal d’interférence.
En UMTS , le débit du signal étalé a été fixé à 3,84 Mchips/s (=> 5 Mhz pour la BP)
Exemple « uplink »
• un signal vocal est codé au débit D = 12,2 kbit/s . le signal est étalé jusqu’à 3,84 Mchips/s
• le gain est donc = 3,84 . 10 6 / 12,2 . 10 3 soit : 314,75 et exprimé en dB : gain =10 x log 10 (314,75) = 25 dB.
• Pour reproduire correctement un signal vocal, à la réception après désétalement ,
le rapport Eb / N0 doit être de l’ordre de 5 dB (critère de qualité voix UMTS).
{ Eb est la densité de puissance par bit du signal utile et N0 est la densité de puissance perturbatrice (bruit
+ interférences ) }. Sur l’interface radio, le signal utile C peut donc être reçu « noyé » sous 20 dB dans le
bruit
• Attention : raisonnement avec C et I de même puissance ; si I>>C , voir « near –efffect » ci-après
C : Signal utile de UE1 Power Density sur Power Density Réception : signal « désétalé »
l’interface aérienne
Signal C étalé Bruit Eb
C 5 dB
UE N0 C
1
20 dB Despreading 20 dB
avec le code
de UE1
I
I UE
2 UE Bruit : bruit blanc + interférences Les interférences I « désétalées » par le code de C,
n des autres cellules sont perçues comme du bruit
des autres mobiles de la cellule I = Interface radio : signal étalé Récepteur :
interférence
PUBLIC NETWORKS (H-504) UMTS Ed. 2.5.3 6/10 21/60
WCDMA : capacité uplink
Power Power
Power
C
M
M M C C
M
C C
M
M C C
M
M
20 dB C C
M
Bruit blanc+interfé- Bruit blanc+interfé-
M
Rences autres cellules Rences autres cellules
M C C C
M
N mobiles :OK > N mobiles :NOK
Pour un mobile , le bruit est constitué par tous les autres mobiles de la cellule qui interfèrent
(plus un bruit gaussien ordinaire , plus les interférences plus faibles des mobiles et BS dans les
cellules adjacentes)
Si N mobiles en communication dans la cellule , pour chaque mobile le bruit des
interférences est égal à (N-1) * C (dans le cas idéal d’un même service où les signaux de
chaque mobile arrivent avec la même puissance). Si N augmente trop, le niveau de bruit
d’interférence devient tel qu’on ne peut plus après désétalement « extraire » le signal utile
avec un niveau de QoS (rapport signal/bruit) suffisant
M M
M M M
M M M M
M M M M M
M M M M
M M M M M MM M M M
M M M M M
M M M M M M M MM M M
M M
M M M
M M M M M M
M M M M M M M
M M M M M
M M
M M M M
M M M M M
M M M M M M
M
M M M
M M
M M
N N
N N N
C C C C C
[*] e.g. doubler la puissance de la BS de 10W à 20 W donne seulement 10% d’augmentation sur la capacité etun e
rès faible augmentation sur la couverture (Ref.: livres [9])
Plus le débit du signal est élevé , plus le facteur d’étalement est petit et donc plus le gain est petit
User n
5 MHz
User 3 : débit variable
Temps
10 msec
Les codes peuvent être ajustés (plus
Question : quelle bande de 5 MHz va occuper le uplink : haut ou bas ? Justifier. long, plus court) toutes les 10 ms =>
débit variable
Puissance
downlink
uplink
User n
10 msec 10 msec
+ TDD :
- flexibilité pour débits asymétriques
- une seule bande de fréquence à 5 MHZ ; FDD demande des bandes appairées
- channel reciprocity : même condition propagation « up »and « down »
- TDD :
- plus fortes contraintes de synchronisation (Time Division) : synchronisation entre BS
- « guard time « entre TS
- problème d’interférences dans le cas des macro-cellules adjacentes : les BS (hauts pylones) sont souvent en
visibilité directe et interfèrent entre elles : pour un TS, une BS peut émettre, l’autre recevoir . Idem mobiles aux
frontières des 2 cellules.(« cross slot interference »)
En phase initiale, les opérateurs démarrent avec FDD-WCDMA pour assurer la couverture.
(1,1,-1,-1)
(1)
(1,-1,1,-1)
SF= facteur
d’étalement (1,-1) (1,-1,-1,1)
(« spreading
factor »)
SF=
SF= SF= SF= SF=
16
1 2 4 8
Problème 1: un débit élevé avec un facteur d’étalement court , e.g. 4 chips = (1,1,1,1) Codes bloqués dans
bloque toutes les branches en aval => consommation rapide de codes OVSF le « sub-tree » de
1,1,1,1,1,1,1,1
Si utilisé ,
OVSF : Or thogonal Variable Spreading Factor
bloque les
codes en aval
(1,1,1,1, 1,1,1,1,1,1,1,1, 1,1,1,1)
(1,1,1,1, 1,1,1,1)
(1,1,1,1, 1,1,1,1,-1,-1,-1,-1,,-1,-1,-1,-1)
(1,1,1,1)
(1,1) (1,1,1,1,-1,-1,-1,-1)
(1,1,-1,-1)
(1)
(1,-1,1,-1)
Code « tree » arbre avec des codes de
«spreading » (aussi appelés « channelisation
code ») orthogonaux
Problème 2: pas de synchronisation entre les mobiles d’une cellule , ni entre les BS
(note : différent pour TDD)
Signaux reçus
par la BS en
pratique
temps
Pour que cela marche(i.e. séparer les 2 signaux par des codes orthogonaux, il faudrait
synchronisation des mobiles entre eux et avec la BS . En pratique, synchronisation des mobiles
avec la BS mais pas entre eux => on va brouiller (« scramble ») les signaux avec des codes
pseudo-aléatoires qui vont décorréler au maximum les signaux émis par les différents mobiles .
Données
bits chips chips
Propriétés
recherchées pour les codes de spreading et de brouillage :
Usage des codes de scrambling et de spreading dans les uplinks pour une cellule (secteur).
Synchronisé sur
Synchronisé sur
Mob 2
canal de Mob 1
signalisation
1-n canaux
1-k de trafic
canaux
de trafic
Mob Mob
2 1
Usage des codes de scrambling et de spreading dans les downlinks pour une cellule (secteur).
Mob Mob
2 1
Mob
3
Canaux
downlinks dans un
cellule séparés par
spreading codes Inter BS
interference
(mêmes codes de
spreading)
Dans le downlink, la BS doit gérer un arbre de codes pour tous les mobiles de la cellule ; c’est
plus difficile à cause du problème de blocage des « sub-trees » ; il peut y avoir un blocage
(hard-blocking) par manque de code.
Pour le mobile , c’est plus facile : un arbre OVSF pour lui tout seul .
Si le débit diminue au cours d’une communication, un utilisateur peut passer d’un dédié à un partagé (« channel
switching ») (but : efficacité dans l’occupation du spectre disponible)
- une même connexion peut supporter plusieurs services ; un service peut être prioritaire par rapport à un autre ;
Radio Bearers
L3/RRC L3/RRC
(Radio Resource
Control)
Signalling Access Bearer
Transport Channels
Physical Channels
Le réseau est responsable pour l’alllocation des différents types de canaux. Dans le sens Down, les canaux DCH sont
alloués en priorité dans l’arbre OVSF. Le DSCH reçoit les codes restants. Les usagers qui partagent le DSCH l’occupent
pendant une période de temps déterminée par un algorithme de “scheduling”. Suivant les débits et les QoS, le réseau
peut effectuer du ”Channel switching” e.g. basculer un utilisateur sporadique avec un faible débit d’un DCH vers un DSCH.
Un canal de transport DCH comporte les données relatives à un service ou éventuellement plusieurs
services d’un usager. . Les canaux de transport sont multiplexés sur un canal physique de données appelé
DPDCH ; le canal physique DPDCH est découpé en trames de 10 ms ; chaque trame peut être affectée à
un canal de transport donné .
Dans le cas du DCH (uplink) , les codes OVSF étant sous le contrôle du mobile WCDMA(voir :point8
« Codes d’étalement et de brouillage (3) » ), le débit peut être changé toutes les 10 ms en changeant le
facteur d’étalement. Dans la cas du DCH (downlink) , le code est fixe ( si le débit d’usager diminue , on
fait du remplissage ou du DTX)
Les informations de contrôle pour traiter cette structure de trames ( DCH concerné, débit, ...) sont
transmises par un autre canal physique associé au DPDCH : le canal de contrôle DPCCH . Outre ces
informations sur le DPDCH, le canal de contrôle transporte des informations telles que : symboles
pilotes (pour permettre au désétalement de se synchroniser, pour évaluer le signal,…), informations pour
le contrôle de puissance , … Pour plus d’informations, voir :
H-522 Télécommunications
Les 2 canaux physiques sont transmis simultanément sur une porteuse 5 MhZ . numériques
Le principe est le même dans les 2 cas (up et down) mais la réalisation est différente(modulation I/Q dans le
uplink) .Le débit maximal peut être plus élevé dans le downlink. (modulation QPSK et plus de bits par
symbole)
Données
Canal de trafic : DPDCH (Dedicated
2560 chips
Physical Data Channel)
DCH : canal de
transport (Dedicated
Channel)
Informations de contrôle
Mob
10ms 1
BS
Débit variable : peut changer toutes les
Canal de trafic 10ms via le code (facteur d’étalement)
(DPDCH)
(1,1,1,1, 1,1,1,1)
(1,1,1,1, 1,1,1,1,-1,-1,-1,-1,,-1,-1,-1,-1)
(1,1,1,1)
(1,1) (1,1,1,1,-1,-1,-1,-1)
(1,1,-1,-1)
(1)
(1,-1,1,-1)
selon le débit , l’ UE prend
des codes dans un sub-
treee de (1,1,1,1)
(1,-1) (1,-1,-1,1)
P1
Mob
2
Effet « Near-far »
P2
Mob
1
BS
2 mécanismes :
1. « fast closed – loop power control »
2. « outer- loop power control »
Fading de
Rayleigh
(vu par la
BS)
λ/2 = +- 7 cm
pour UMTS
Distance
λ/2
Puissance
émise par
le mobile
Ajustement
Puiss. toutes les 0,66ms (1,5 kHz)
reçue par
la BS
Multipath .
- durée d’un Chip = 0,26 us (débit = 3,84 Mcps) . A la vitesse de la lumières => distance =
78 m.
Distance très courte et donc présence de trajets multiples où des répliques d’un
même chip sont bien décalées entre elles.
( Les différences de trajet peuvent atteindre 1-2 us (milieu urbain )à qq dizaines de us(
milieu montagneux)
Les symboles reçus suivant des trajets multiples qui diffèrent entre peuvent donc être
distingués , même pour des cellules relativement petites .
H-522 Télécommunications
numériques
Path 1
Réception
Emission ( (symbole)
Chip => symbole)
Path 2 temps
Path 3
Chip
Finger 1
Allocation du Combi-
récepteur Finger 2 naison
Finger 3
Finger 4
Finger n
• CELL_DCH : l’UE a un canal dédié DCH (équivalent au « dedicated mode » du GSM) et est
localisé dans une cellule
• CELL_FACH : l’UE peut utiliser un canal commun pour la transmission des données (faible volume,
sporadique) ; il est localisé dans une cellule ; l’avantage est de consommer moins de ressources
radio que le DCH . Cependant , l’UE doit continuellement scruter le canal FACCH ce qui consomme
de la puissance (batterie) dans l’UE.
• CELL_PCH : dans ce cas l’UE n’a rien à transmettre , ni recevoir mais il scrute les canaux de
paging et de broadcast (=>positif pour interférence et batterie). Il est localisé dans une cellule . La
différence avec « idle » est que l’UE maintient toujours une connexion logique qui est pête à être
réactivée.
• URA_PCH : situation identique à CELL-PCH mais l’UE est localisé dans un aire logique constituée
par 1-n cellules : l’URA (UMTS Registration Area); l’avantage est d’éviter un trafic de signalisation
intense pour la localisation par cellule si le mobile est « remuant ». L’inconvénient est de devoir
faire un paging si le mobile veut entrer dans une phase de communication.
localisation pour le CN
GSM : Location Area pour le CS
pour le PS
GPRS : Routing Area
possibilité
d’overlap
3 9
2 8
1 7 1 7
CELL AREA 5 12 5 12
6 10 6 10
4 11 4 11
3 9
2 8
3. Inter –system HO = Inter –RAT(Radio Access technology) : entre WCDMA et GSM pour la
voixet entre WCDMA et GPRS pour les données
(compliqué pour les mesures => mode « compressé » pour le canal afin que l’ UE puisse mesurer
les fréquences « beacon » GSM))
Soft-HO (et softer HO, une variante) assure la macro-diversité . Le soft HO prévient un effet de type
« near-far » lorsque le mobile passe d’une cellule à une autre et permet d’éviter l’interruption de
service (cas du hard HO).
Mob BS2
BS1
Prix à payer :
-trafic de signalisation dans
le RAN
-complexité en traitement
-plus de codes
consommés pour 1 serving RNC controlling RNC
seul mobile
• SHO: important : on estime que 30 % des mobiles peuvent être dans cette situation
• différences importantes entre uplink et downlink :
• pour le uplink, on a tout intérêt à capter sur plusieurs BS le signal émis par le
mobile et à recombiner le tout pour retrouver l’information.
• pour le downlink, envoyer au départ de plusieurs BS la même information
contribue à élever le niveau des interférences
• dès lors on mettra souvent en oeuvre une solution « mixte » avec un seul canal
physique downlink de données (DPDCH) actif au départ de la BS la mieux placée
pour les conditions radio et mise en oeuvre de SHO lorsqu’une autre BS devient plus
attractive (note les canaux de contrôle DPCCH restent actifs avec le mobile)pour
rélasier le SHO).
Contrôle d’admission
- nouvelle connexion demandée par un mobile : => impact sur la charge de la cellule et aussi la
couverture (voir précédemment)
- => nécessité d’un contrôle d’admission ; la demande de(s) service(s) est évaluée en fonction des
paramètres de services demandés (débits, délai,..) et des paramètres de service autorisés
(souscription) .
- si la charge est excessive pour le réseau , la demande de connexion est rejetée.
- (note : il faut considérer toute les parties du réseau mais la partie Radio Access Bearers est bien
entendu la plus critique : voir figure ci-après) : le mobile demande la connexion mais c’est le réseau qui
décide du (ou des ) des radio bearers qui sont mis en œuvre.
Contrôle de congestion.
Malgré l’efficacité du contrôle d’admission , possibilité d’excès de charge :
• trafics avec des débits variables
• mobile passe d’une cellule à une autre
• conditions radio se dégradent et des mobiles veulent augmenter leur puissance
=> différentes mesures possibles :
• réduire le trafic des applications qui ne sont pas sensibles aux contraintes temporelles
• hand-over de mobiles périphériques vers des cellules adjacentes moins chargées
• hand-over sur une autre cellule avec une autre fréquence ( autre couche)
• hand-over vers le GSM pour certains services (voix, low-rate data)
• ultime : couper certaines connexions…
CS
MSC/ GMSC/ PSTN, ISDN,
VLR VLR PLMN 2G,...
BS Circuit switch.
TE MT networks
(node B) AuC
RNC HLR
EIR
UE BS
(node B)
UTRAN CN
+ : diversité en fréquence (signal étalé sur 5 MHz assure une équipartition des
interférences pour tous les usagers . Note : pour GSM, Slow Frequency Hopping
mais techniquement + compliqué)
+ :accès multiple : si les codes utilisés pour séparer les signaux sont parfaitement
décorrélés les signaux des autres usagers sont traités comme du bruit
- : en pratique : pas toujours le cas (e.g. même code de spreading pour 2 usagers
dans certains cas ; effet négatif limité par le scrambling)
- : il faut garder un synchronisme suffisant entre le code du signal reçu et le code
généré à la réception (décalage doit être très petit par rapport à la durée d’un chip )
+ : confidentialité (le code doit être connu)
+ :brouillage (« jamming »): difficile il faudra brouiller tout le spectre sur 5 MHz
+ : interception : difficile sur l’air interface , le signal utile est noyé sous le bruit
(propriété connue sous le nom de LPI : Low Probability of Interception)
+ : partie radio : simple
- 5 MHz : « wide band » ? ? ? : débit « moyen » en pratique => LTE
- down –link : canal dédié DCH « rigide » ; canaux partagés faibles débits => HSPA
- beaucoup d’états (2 pour le GSM) => impact latency plan C
Synchronisation entre BS
+ : synchronisation entre BS peu exigeante (pas de TDM ) ; différent pour TDD-WCDMA.
Services
+ : support dans une session de plusieurs services avec des débits variables
- : support débits asymétriques : la bande 5 MHz downlink risque d’être plus sollicitée que
la bande 5 MHz uplink (TDD meilleur)
+ : critères de QoS et contrôle d’admission
Idle Mode
: 1
NOTE : The indicated division within Idle Mode is only included for clarification and shall not be interpreted as states.