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Fin de la monnaie
Landor
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Fin de la monnaie
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Fin de la monnaie :
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banque. On peut mettre en relation ce compte en
banque avec un objet plus maniable que le chèque : la
carte bancaire.
Les deux systèmes, monnaie fiduciaire et
scripturale, sont interchangeables : avec un chèque ou
une carte bancaire, chacun peut dépenser, en
référence à son compte en banque, ou remplacer la
monnaie scripturale par des billets ou pièces. Les
distributeurs de billets vous remettent des billets, à
partir de votre carte bancaire. Ou de celle d’un autre !
Là il y a problème de fausses cartes, de vol de cartes.
Avec la monnaie fiduciaire il y a possibilité de fausse
monnaie et de vols multiples. Billets et pièces jouent
leur rôle sans donner l’identité de l’utilisateur,
contrairement aux chèques ou cartes bancaires.
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Si je me réfère à Rêve en ergastule (consultable
sur le Net et base de ma réflexion) j’imagine qu’en ce
territoire d’<<Abélie>> cela fonctionne ainsi :
Il n’y a pas d’autres valeurs monétaires
échangeables que les transferts informatisés d’un
compte en banque à un autre compte en banque.
Cela supprimerait, si cela existait ici-bas, tout vol de
fourgon transporteur de monnaie, tout braquage de
tiroir caisse, tout pot de vin sous forme de mallettes
de billets ou autre, toute fuite de billets vers les
paradis fiscaux. Chaque achat, chaque service payé,
licite ou non, laisserait la trace de son paiement, et, à
terme, de sa nature.
En outre, tout transfert d’argent (achat ou vente,
entre entreprises ou particuliers) serait visible sur les
comptes en banque et analysable par une police
monétaire spécialisée. Il serait possible de savoir d’où
vient l’argent sur le compte et où il va quand il sort.
Flicage extraordinaire, diront certains ! Règle
indispensable contre tout trafic illicite : le terrorisme
ou la haute voyoucratie y perdraient leurs facilités
d’action.
(Les<< bitcoins>> sont actuellement un refuge
pour cacher de l’argent sale ou mal acquis. Dès qu’il
n’y aura plus de monnaie fiduciaire, il faudra passer
par compte en banque (repérable) pour acheter les
bitcoins, ce qui rendra le transfert évident aux yeux
des policiers de la monnaie !
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génétique personnel) permettront l’identification
sérieuse des utilisateurs. Nous y sommes presque !
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aussi voir le jour. Je conçois volontiers la suppression
de tout impôt, hors impôt foncier lié à la surface
occupée au sol et taxes variables selon les dépenses.
Ces taxes, genre TVA, seraient à taux variables
selon la nature des transferts. Un code définirait la
nature du transfert : un achat de caviar étant taxé
différemment d’un achat de pain. Un État verrait ainsi
ses caisses se charger puisqu’à chaque transfert, il
percevrait sa part. Il posséderait aussi le droit
d’augmenter ou diminuer la masse monétaire (Dans
<<Rêve en ergastule>>, chaque année, les comptes
bancaires sont réajustés selon la <<puissance d’achat
de la monnaie>>). Ce pouvoir de la monnaie serait
évalué par les ordinateurs interconnectés qui
mesurent les flux monétaires et leur nature, les effets
de la vitesse de circulation des valeurs monétaires,
des échanges boursiers, des catastrophes naturelles
ou non, des aides apportées à des humains
naturellement défavorisés.
Pourquoi faire un impôt spécial sur les revenus dès
lors que ceux-ci seront dépensés, ou placés, et qu’à
chaque mouvement de fonds une part reviendrait à
l’État ?
Entreprises privées et entreprises d’États
cohabiteraient. Reste à établir comment chacun
disposerait d’un pouvoir d’achat en grossissant son
compte en banque de valeurs monétaires par des
moyens légaux ? Cela fera l’objet d’un autre essai, en
prenant la même source (Rêve en ergastule) pour
imaginer les différentes façons de gagner des unités
monétaires virtuelles.
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somme dont chacun peut disposer pour cela, et
de la disponibilité des choses ou des services à
acheter. Ainsi la rareté d’un objet, liée au désir
manifesté par un grand nombre de personnes,
augmente le prix et diminue, sur ce coup-là, la
puissance de la monnaie des acheteurs virtuels.(Il faut
plus de monnaie pour un objet donné,
indépendamment du coût de sa production et de sa
mise en vente). La publicité, la mode, créent des
envies incitant à la circulation des valeurs monétaires.
Les besoins de nourriture, de soins sanitaires, etc,
jouent sur le flux de monnaie.
L’économie interne de chaque État, les échanges
avec les autres États, influent sur les taux de change
en monnaie internationale.
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chômeurs susceptibles d’être compétents pour
produire ce nécessaire, pourquoi ne pas fabriquer un
peu plus de monnaie nationale, pour l’introduire dans
la masse monétaire, par le biais d’aide aux travaux
nécessaires. Pourvu que ces valeurs monétaires,
ajoutées à la masse existante, ne sortent pas du pays
pour grossir le trésor d’un autre pays. Et si des
économies placées en banque ne sont pas utilisées,
n’est-ce pas là une occasion de les mettre dans le
circuit ? L’État, comme les banques privées
(investisseurs), jouent le rôle de réservoirs qui
rajoutent du courant monétaire !
S’il n’y a plus de besoins et que le nombre de
chômeurs croît, ne peut-on diminuer le temps de
travail de chacun et son salaire, plutôt que d’inventer
de faux besoins de consommation nuisibles à la
planète ? Quand des besoins nouveaux, non nuisibles
à la planète, surgiront, il sera temps d’augmenter le
temps de travail ou le nombre de robots.
Si le travail productif de biens n’est plus nécessaire,
il est possible de créer des envies et des moyens de
satisfaire celles-ci, à la condition de ne pas user la
planète et dégrader les humains. En<<Rêve en
ergastule>> on a créé l’envie de s’instruire de toutes
choses et d’en faire exhibition motivante.
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(Proudhon) <<la propriété est un vol>>).
En réalité, un <<fortuné>>est un gérant (gérant
privé en capitalisme). En communisme, le capital
disponible pour entreprendre est à la disposition du
gouvernement, seul gérant.
L’intérêt d’un investisseur privé est de diriger son
désir de gain vers des producteurs et des
consommateurs : ouvriers, maçons, marins,
producteurs divers, assureurs, médecins,
commerçants, etc. Pour espérer un retour, sur son
compte, de ces valeurs dépensées, il met en place une
entreprise aspiratrice de valeurs vers son compte en
banque. Il lui faut donc prévoir le désir de futurs
acheteurs attirés par les produits qu’il pourra offrir et
faire en sorte que les acheteurs aient de quoi acheter.
Cette façon de procéder est plus démocratique (ou
démagogique ?) que le choix fait par des
fonctionnaires, ou des élus, plus ou moins motivés, qui
évaluent les besoins ou les envies de leurs
concitoyens.
Où est le bon système ?
Il y en a sans doute plusieurs . Ils sont là où les
humains ne perdent rien en Amour, Bien Être et
Lucidité, et où la planète n’est pas mise en danger de
n’être plus un biotope susceptible de poursuivre
l’œuvre évolutive du principe créateur. (Principe
créateur plutôt que Dieu selon mon essai << Mon
Dieu est au-delà>>)
Différents moyens de distribuer du pouvoir d’achat,
conduites licites ou illicites, sont de thèmes proposés
aux aspirants abélistes, amateurs de recherches et
discussions (voir Google : abélisme accueil).
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monde de cette << Abélie>> : les cartes à puces, ou
autres moyens de signaler son identité ou ses
décisions, semblent toutes fichées sur les ordinateurs.
Tout ce qui passe par le matériel informatique sert à
évaluer, comprendre et discuter de la validité de
certains comportements. Il permet de mieux savoir, de
mieux prévoir, et les gouvernants agissent en toute
transparence, sous les yeux de citoyens responsables
et instruits de ce qu’ils peuvent juger.
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augmenter le prix de vente. Tout simplement je crois
que, puisqu’il est facile de surveiller l’usage des
capitaux (monnaie scripturale seulement), on doit
pouvoir contrôler le rapport entre les dates d’achat et
de mises en vente : des sanctions pourraient être
prises lors de création de pénuries à des fins
financières.
D’autre part, Rêve en ergastule, comme bien des
utopies, est un monde fermé, or notre réalité doit
résoudre les problèmes d’échanges internationaux
entre pays ayant des monnaies différentes. Que
vaudrait pour cela une monnaie internationale gérée
et créée par un organisme monétaire international ?
Sa monnaie ne pourrait servir que pour les échanges
entre nations ou l’aide aux nations par des prêts. La
monnaie internationale serait garantie par une partie
des richesses planétaires : c’est-à-dire que le sous-sol
de tout pays appartiendrait, selon des proportions à
établir, au pays concerné et à l’organisme
international. Il en serait de même pour les richesses
de la mer. Cet organisme pourrait utiliser les
monnaies reçues en échange de monnaies
internationale pour commercer avec les divers pays
ou les aider.
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L’illustration de couverture de cet essai serait à la
disposition de ceux qui veulent jouer à ce jeu. Cela
apporterait une identité à l’ensemble. Mais ce n’est
pas une obligation !
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FIN