Historias Progresivas FRANC S

Fiche de lecture A-001
L’orage
Vocabulaire
Noms Noms Verbes Adverbes

les éléments la météo aimer aujourd’hui
le ciel un degré annoncer beaucoup
un éclair le facteur humidex arriver ne pas
une flaque un météorologiste briller partout
un nuage chanter toujours
un orage compter très
la pluie un enfant éclabousser voilà
le soleil une fenêtre entendre
le temps un festin être
la terre une odeur faire Adjectifs
le tonnerre un oiseau guetter beau – belle
le temps un pied marcher écrasant –
un ver de terre écrasante
un après-midi observer étouffant -
une seconde étouffante
une soirée prévoit heureux -
heureuse
recommencer humide
regarder nu – nue
Expressions s’assoir violent – violente
avoir peur s’offrir vrai - vraie
il y a sécher
tomber
voir
© 2008 France Hallé, UQTR

Pour écouter la narration : http://www2.uqtr.ca/fip07halle/mp3/A001.mp3
Aujourd’hui, le 20 juin, le temps est très humide. Il y a
beaucoup de nuages gris. On prévoit de la pluie cet après-
midi. Il fait 28o Celsius, 40o Celsius avec le facteur humidex.
C’est un temps écrasant, étouffant.
Les météorologistes annoncent des orages violents en soirée.

Je n’ai pas peur des orages. J’aime voir les éclairs dans le
ciel. J’aime entendre le tonnerre.
(Source : Microsoft Office)
Quand il y a un orage, je m’assois à la fenêtre et je regarde la

pluie tomber. J’observe le ciel et je guette les éclairs.
Quand je vois un éclair, je compte les secondes. Une, deux,

trois, quatre secondes et… Boum! Voilà le tonnerre.

Après la pluie, le beau temps.1 C’est vrai, le beau temps
arrive toujours après la pluie. Après un orage, le soleil
recommence à briller. J’aime l’odeur de la pluie qui sèche,
j’aime l’odeur de la terre qui sèche.
Comme les enfants, j’aime marcher dans les flaques d’eau.

En été, je marche pieds nus dans les flaques et j’éclabousse
partout.
Après la pluie, les oiseaux recommencent à chanter. Ils sont

heureux parce qu’ils s’offrent un vrai festin de vers de terre!
(Source : <a href="http://www.photo-libre.fr">Photos Libres</a>)
1 C’est un proverbe français.

Compréhension
A-001
1. Est-ce qu’il fait chaud aujourd’hui?
2. Est-ce qu’il y a des orages présentement?
3. Quand est-ce que la narratrice écrit ce texte? Le

matin, l’après-midi ou en soirée?
4. Quel est le bruit de l’éclair?
5. Est-ce que la narratrice est une enfant?
Rédaction personnelle
Est-ce que vous aimez la pluie et les orages? Pourquoi?
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Une rencontre
Vocabulaire
Noms Verbes
un fils reconnaitre
un/une partenaire connaitre
un homme être
le temps passer
un âge avoir
un cégep faire
une session étudier
un programme changer
un profil choisir
un agent de communication s’inscrire
les relations publiques (f) vouloir
une multinationale apprendre
devenir
travailler
voyager
souhaiter
saluer
Expressions
avoir de l’ambition

Jacques sort du supermarché. Il croise une femme dans le
stationnement. Il la reconnait tout de suite et il lui sourit.
- Bonjour!
- Bonjour!
- Est-ce que vous me reconnaissez?
- Non, je suis désolée. Est-ce qu’on se connait?
- C’est moi, Jacques.

- Jacques?
- Oui, je suis le fils de Jocelyne, votre
partenaire de tennis!
(Photo : France Hallé)
La dame se recule un peu. Elle l’observe.

- Jacques Labadie? Oh mon Dieu! C’est incroyable! Tu es
un homme maintenant!
- Oui, le temps passe…
- Quel âge as-tu?
- J’ai 19 ans.
- Dis-moi Jacques, qu’est-ce que tu

fais de beau?
- J’étudie au Cégep de Trois-
Rivières.
- En quoi?
(Source : Microsoft Office) - Cette session, j’étudie en
administration, mais je vais
changer de programme en
septembre.

- Quel programme vas-tu choisir?
- Je vais m’inscrire en arts et lettres avec un profil en
langues. Je veux apprendre l’anglais, l’espagnol,
l’italien et l’allemand.
- Qu’est-ce que tu veux faire après?

- Je vais peut-être m’inscrire en communication à
l’Université de Montréal.
- Tu veux devenir agent de communication?

- Oui, j’aime les relations publiques. Je veux travailler
pour une multinationale. Je veux voyager partout dans
le monde.
La dame hoche la tête.

- Avoir de l’ambition, c’est
très bien. Je te souhaite
bonne chance. Salue ta
mère pour moi.
- D’accord. Merci et au
revoir.

Compréhension
A-002
1. Est-ce que la dame reconnait Jacques?
2. Est-ce que la dame connait Jacques?
3. Est-ce que Jacques travaille?
4. Où a lieu cette rencontre?
5. Quel métier est-ce que Jacques veut faire?
Quels sont vos projets professionnels?
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L’hiver au Québec
Vocabulaire
Noms Verbes Adverbes

un hiver descendre alors
une température devoir beaucoup
une tempête de neige être chaudement
un bonhomme de neige faire extrêmement
l’eau fondre parfois
un flocon de neige monter quelquefois
la glace neiger tout de suite
la pluie pleuvoir très fort
le verglas pouvoir
s’habiller
la mesure se transformer
un centimètre tomber
un degré
un millimètre
un arbre
une branche
un enfant
un fil
une voiture

En hiver, il fait froid au Québec. Les températures varient
beaucoup. La température moyenne en janvier est de -13,6° C;
en février, il fait -11,8° C; et en mars, la température moyenne
monte à -5,3° C.
En hiver, il neige souvent. Il tombe environ 170 centimètres

de neige entre janvier et mars. Parfois, la neige tombe à gros
flocons. C’est très beau.
Mais, quelquefois, il neige beaucoup et

il vente très fort. C’est une tempête
de neige. Attention! En voiture, c’est
dangereux!
Parfois, il ne neige pas, mais il fait

extrêmement froid. La température
peut descendre jusqu’à -40° Celsius.
Avec le vent, il peut faire encore plus
(Source : Microsoft Office) froid. Alors, on doit s’habiller
chaudement.
Parfois, il fait doux. Autour de 0° C, la neige tombe et fond

tout de suite. C’est la neige fondante. Les enfants aiment la
neige fondante parce qu’ils peuvent faire des bonhommes de
neige.

Quelquefois, il pleut en hiver. En janvier, février et mars, il
tombe en moyenne 72 millimètres de pluie. Alors, la neige
fond un peu.
Mais, quand il fait -2° ou -3° Celsius, la pluie tombe et se

transforme en glace. C’est la pluie verglaçante. La glace reste
sur les branches des arbres, sur les voitures, sur les fils
électriques. C’est le verglas. Attention, ça glisse!
En général, l’hiver au Québec est magnifique. Il y a plusieurs

belles journées ensoleillées. On s’habille chaudement et on
joue dehors!
Glissade au Carnaval de Québec (Photo : France Hallé)

Compréhension
A-003
1. Qui aime la neige fondante?
2. Qu’est-ce que le verglas?
3. Quand est-ce qu’il fait froid au Québec?
4. Est-ce qu’il pleut en hiver?
5. Quelle est la température moyenne en mars?
Chez vous, est-ce que l’hiver est pareil? Qu’est-ce qui est
pareil? Qu’est-ce qui est différent?
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Le vélo
Vocabulaire
Noms Verbes Expressions

un vélo aider aller bien
une chaine arriver avoir besoin de
une crevaison attendre avoir de la misère
un dérailleur avoir avoir le choix
un plateau casser C’est + GN
un pneu changer être capable de
une vitesse couter être en place
devoir faire attention
enlever Il y a + GN
une boutique de essayer s’il te plait
réparation
une cour fonctionner
un début libérer
un été penser
porter
pousser
pouvoir
réparer
rester
s’inquiéter
savoir
se pencher
tirer
vouloir

Mario essaie de réparer son vélo dans la cour quand Bruno
arrive.
- Est-ce que tu peux m’aider?
- Bien sûr, qu’est-ce qu’il y a?
- Mon vélo est brisé. J’essaie de le réparer, mais je ne suis pas
capable.
- Est-ce que tu as une crevaison?

- Non, ce n’est pas ça. Les pneus vont bien.
- Alors, qu’est-ce que c’est?

- J’ai de la misère à changer les vitesses.
- Est-ce que la chaine est bien en place dans le plateau?
- Non, elle est entre deux plateaux. Elle

est coincée. Je tire dessus pour
l’enlever, mais elle reste coincée.
- Tu veux que j’essaie de tirer moi aussi?
- Essaie si tu veux, mais ne la casse pas s’il te plait.

- Ne t’inquiète pas, je vais faire attention.

Bruno se penche et tire sur la chaine. En vain.
- Il n’y a rien à faire : elle est vraiment coincée. Je ne peux pas
la libérer.
- Attends. Je vais essayer de pousser le dérailleur pendant que
tu tires encore.
- Zut! Ça ne fonctionne pas du tout. Je vais devoir aller porter

mon vélo dans une boutique de réparation.
- Est-ce que tu penses que ça va couter cher?
- Je ne sais pas, mais c’est le début de l’été. J’ai besoin de mon

vélo.
- C’est vrai, tu n’as pas vraiment le choix. On y va maintenant?
La selle
Le guidon
Le cadre
Les pédales
La chaine
Le pneu
Le dérailleur

Compréhension
A-004
1. Où est-ce que Mario répare son vélo?
2. Quand est-ce que Mario répare son vélo?
3. Qui aide Mario?
4. Est-ce que la chaine est cassée?
5. Où est-ce que Mario doit aller?
Qu’est-ce que vous faites quand votre vélo est brisé?
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L’autobus
Vocabulaire
Noms Verbes
le transport appeler
un arrêt d’autobus arriver
une auto attendre
un autobus descendre
un frein dire
un garage être
le transport en commun faire
une voiture imaginer
laisser
le temps prendre
une heure profiter
une minute s’en aller
savoir
un cellulaire se débrouiller
un cours sonner
un père sortir
une surprise venir de
une université
Expressions
avoir besoin laisser faire
être à l’heure Tiens!
être en panne

Anne sort de l’université quand son cellulaire sonne. C’est
Jonathan qui l’appelle.
- Allo!
- Salut Anne! Qu’est-ce que tu fais?
- Je m’en vais chez moi. Je viens juste de sortir de mon
cours.
- Est-ce que tu as ton auto

aujourd’hui?
- Non, elle est encore au garage!
- Comment ça? Elle est encore
en panne?
- Les freins sont trop usés.
- Ah!
- Pourquoi est-ce que tu m’appelles, Jonathan? Est-ce que
tu as encore besoin de profiter de ma voiture?
- Bien… un peu, oui.
- Est-ce que tu as la voiture de ton père?

- Non, je vais prendre l’autobus, imagine-toi donc. Tu sais,
le transport en commun! Est-ce que ça te dit quelque
chose?
- Ah, laisse donc faire. Je vais me débrouiller tout seul.

- Vraiment? Qui est-ce que tu vas appeler?
- Tu n’es même pas drôle. Je te laisse.
- C’est ça. Bye.

Trois minutes plus tard, Jonathan rappelle.
- Allo!
- Salut, c’est encore moi.
- Salut!
- Est-ce que tu es dans l’autobus?
- Non, je suis à l’arrêt et j’attends encore.
- À quelle heure est-ce que tu vas arriver chez toi?

- Je ne sais pas… Si l’autobus est à l’heure, je vais être chez
moi vers quatre heures. Pourquoi?
- J’ai une petite surprise pour toi.

- Une surprise? Quoi donc?
- Je ne te le dis pas : c’est une surprise! Si je te le dis, ça ne
sera1 plus une surprise!
- Tiens, l’autobus arrive! Je

te laisse.
- Appelle-moi quand tu vas
descendre de l’autobus.
D’accord?
- D’accord. À plus tard.
1 Verbe être au futur simple

Compréhension
A-005
1. Qui est-ce qui téléphone?
2. Où est Anne??
3. Qu’est-ce qu’Anne fait?
4. Est-ce que Jonathan a une voiture?
5. Quand est-ce qu’Anne va téléphoner à Jonathan?
Imagine le prochain appel et la suite de l’histoire.
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Promenade en raquettes
Vocabulaire
Noms Noms Verbes Verbes
le goûter la nature aimer oublier
une eau un abri apporter partir
un fruit un animal attacher photographier
un légume un arbre attendre porter
une noix un cours d’eau avoir peur pouvoir
un sandwich une forêt continuer prendre
les vêtements la glace devoir préparer
un bas un hiver entendre s’habiller
un cache-cou un nid faire se cacher
un chandail un oiseau marcher se reposer
une manche un parc mettre suivre
un manteau un paysage monter traverser
une mitaine une pente observer voir
un sous-vêtement une piste Adjectifs
une tuque abrupte
l’équipement une activité attentif – attentive
un appareil photo un centre de beau - belle
une raquette ski deuxième
un sac à dos une couche discret – discrète
un matin gelé – gelée
une paire magnifique
Expressions national - nationale
s’habiller en pelure d’ognon patient – patiente
il y a petit - petite
Adverbes régional - régionale
aussi ne jamais silencieux - silencieuse
chaudement parfois surprenant
de temps en temps toujours
longtemps

En hiver, on peut faire plusieurs activités sportives. Moi,
j’aime faire de la raquette.
Le matin, je prépare mon sac à dos. J’apporte un goûter : un

sandwich, des légumes, des fruits, des noix et, surtout, de
l’eau! J’apporte toujours une deuxième paire de mitaines et je
n’oublie jamais mon appareil photo.
Je m’habille chaudement. D’habitude,

je m’habille en pelure d’ognon. Je mets
plusieurs couches de vêtements : des
sous-vêtements, un chandail à manches
longues, un chandail en laine et un bon
manteau d’hiver. Je porte toujours des
(Photo : France Hallé) bas de laine, un cache-cou et une
tuque.
Puis, je pars vers la forêt. Il y a des pistes de raquettes dans

les centres de ski ou dans les parcs régionaux et nationaux.
Je mets mes raquettes. Je les attache et je pars…
En raquette, on peut observer la nature. Il y a toujours des

arbres magnifiques et des paysages surprenants.

On peut aussi voir des animaux, mais on doit être très discret
et silencieux. Sinon, ils ont peur et ils se cachent.
On peut aussi entendre les oiseaux. Si on est patient et

attentif, on peut les voir et les photographier. Parfois, on doit
attendre longtemps pour prendre une belle photo.
En raquette, on marche dans la forêt. On peut traverser des

cours d’eau si la glace est gelée. On doit faire attention!
Parfois, on monte des pentes abruptes. On peut se reposer de

temps en temps, mais on doit toujours continuer. La vue est
magnifique d’en haut!
On peut même voir des nids d’oiseaux ou des abris pour de

petits animaux. On peut suivre la piste des animaux.

Compréhension
A-006
1. Est-ce qu’il y a des aliments dans son sac à dos?
Lesquels?
2. Qu’est-ce que les animaux font quand on est bruyant?
3. Qu’est-ce qu’on doit faire pour prendre une belle

photo?
4. Est-ce que le paysage est toujours plat?
5. Est-ce qu’on peut voir des pistes d’animaux en forêt?
Est-ce que vous faites de la raquette? Quelles activités

pratiquez-vous en hiver?
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Ça ne va pas!
Vocabulaire
Noms Verbes
le corps humain aider
une dent aller
un sourcil arriver
une tête dormir
un ventre être
un visage faire
la santé falloir (il faut)
la fièvre froncer
la température lâcher
le temps manquer
une heure partir
un matin penser
un mois rencontrer
un soir revenir
s’éclairer
une assiette s’endormir
une bibliothèque s’ennuyer
un conseil savoir
un exercice se coucher
une sortie se réveiller
un voyage se sentir bien/mal
trouver
Expressions
comme ci comme ça être sûr/sure
Il se passe quelque chose tenir le coup
faire de la fièvre ne pas être dans son
faire de la température assiette
avoir mal

Antoine rencontre Judith à la sortie de la bibliothèque.
- Comment ça va Judith?
- Comme ci comme ça…
- Pourquoi? Qu’est-ce qui se passe?
- Je ne sais pas trop…
- Est-ce que tu es malade?

- Non… Je ne sais pas. Je ne me sens pas très bien.
- Est-ce que tu fais de la température?

- Non, je n’ai pas de fièvre.
- Est-ce que tu as mal à la tête? (Source : Microsoft Office)
- Non, pas vraiment.
- Est-ce que tu as mal aux dents?

- Mal aux dents? Non, pas du tout!
- Est-ce que tu as mal au ventre?
- Peut-être. Je ne suis pas sure.
Antoine fronce les sourcils.

- Décidément, ce n’est pas facile de trouver ce qui ne va pas!
- Ce n’est rien. Je me sens juste bizarre. Je ne suis pas dans
mon assiette aujourd’hui.

- Est-ce que tu dors bien ces temps-ci?
- Pas vraiment. Je n’arrive pas à m’endormir avant minuit et je
me réveille vers cinq heures du matin.
- Qu’est-ce qu’il y a? À quoi penses-tu quand tu vas te coucher?

- Je pense à toutes sortes de choses… En fait, je pense beaucoup
à Guillaume…
Le visage d’Antoine s’éclaire.
- Bien sûr! Tu t’ennuies de Guillaume!
- C’est vrai qu’il me manque beaucoup.
- Ça fait longtemps qu’il est parti?

- Ça fait déjà un mois.
- Et quand est-ce qu’il revient de voyage?
- Il va revenir dans deux mois.
- Ouf! C’est long! Il faut tenir le coup; ne lâche pas! Fais un
peu d’exercice le soir, ça va t’aider à dormir.
- Oui, merci du conseil.

Compréhension
A-007
1. Est-ce que Judith est en forme??
2. Est-ce que Judith fait de la fièvre?
3. Pourquoi est-ce que Judith dort mal??
4. Quand est-ce que Guillaume va revenir??
5. Selon Antoine, qu’est-ce que Judith doit faire pour mieux

dormir?
Comment vous sentez-vous? Est-ce que vous vous ennuyez de

quelqu’un?
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Le dentiste
Vocabulaire

un/une dentiste appeler avoir mal
une dent attendre ça y est
un nettoyage avoir de toute façon
un patient comprendre être à l’heure
une urgence être laisser faire
une visite hésiter si on veut
ouvrir
un bureau pouvoir
un dossier préférer Adjectifs
un numéro prendre autre
un rendez-vous quitter cassé – cassée
un / une secrétaire recevoir dernier – dernière
remonter disponible
le temps répondre fermé – fermée
un après-midi s’ennuyer jaloux – jalouse
un instant s’occuper libre
un mois se décider occupé - occupée
voir prochain – prochaine
un accident vouloir serré – serrée
une faute
une maitresse
un mari/une femme
un poing

Bernard appelle son dentiste pour prendre un rendez-vous.
La secrétaire lui répond.
- Gagné et Paradis, bonjour!

- Bonjour madame, c’est pour un rendez-vous s’il vous plait.
- Est-ce que vous avez un dossier ici?
- Oui, je suis Bernard L’Heureux.
- Quel est le numéro du dossier, monsieur L’Heureux?
- 138152.
- Un instant, j’ouvre le dossier. Voilà.

Ça y est. Votre dernière visite
remonte à deux mois seulement.
C’est pour un nettoyage?
- Non, c’est pour une urgence. J’ai
(Source : Microsoft Office) une dent cassée.
- Un accident?
- Si on veut… En fait, c’est le poing du mari de ma
maitresse…
- C’est la faute d’un mari jaloux?
- Tout à fait. Il ne s’occupe pas de sa femme, alors elle
s’ennuie, vous comprenez?
- Je vois. Le dentiste Paradis est très occupé aujourd’hui,

mais le dentiste Gagné est libre cet après-midi. Est-ce que
vous êtes disponible à quinze heures?
- À quinze heures? Hum… C’est un peu serré…

- Nous sommes vendredi et le bureau est fermé demain,
samedi. Alors, le prochain rendez-vous disponible est
lundi à huit heures. Le dentiste peut vous recevoir avant
les autres patients.
Bernard hésite un peu, puis il se décide.
- Non, laissez faire. Je préfère venir aujourd’hui. Je vais

quitter le bureau plus tôt. De toute façon, j’ai trop mal
pour attendre plus longtemps.
- C’est comme vous voulez. Alors, on vous

attend à 15 heures?
- Oui, je vais être à l’heure.

Compréhension
A-008
1. Où est-ce que Bernard appelle?
2. Est-ce que Bernard veut un nettoyage?
3. Quel jour sommes-nous?
4. À quelle heure Bernard prend-il un rendez-vous avec

le dentiste?
5. Quel dentiste va réparer la dent de Bernard?
Vous avez besoin d’un rendez-vous pour une obturation.

Composez un petit dialogue avec la secrétaire.
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Est-ce que tu m’aimes encore?
Vocabulaire

une personne aimer bien
un amour aller encore
un papa - une maman attendre jamais
un père – une mère avoir juste
le temps coucher maintenant
une fois craquer mieux
une heure demander ne pas
une minute dire toujours
un soir embêter
être vraiment
finir
un bar harceler
une chose penser
une guerre prouver
une question piège recommencer
une réponse regarder Expressions
une surprise rendre Ça y est!
une télévision repartir Ça me rend fou!
un ton répondre être piégé
une vérité s’engueuler faire confiance
savoir jeter un coup d’oeil
se parler
sentir
sortir
soupirer
voir
vouloir

Depuis une heure, Daniel et Lucie regardent la télévision
sans se parler. Lucie jette souvent un coup d’œil à Daniel.
Elle soupire. Elle s’ennuie. Tout à coup, elle se décide à
parler.
- Est-ce que tu m’aimes encore?
- Quoi?
- Est-ce que tu m’aimes encore?
- Oui, oui.
- Dis-le.
- Dis quoi?
- Dis-le que tu m’aimes encore.
- Je t’aime encore. Ça va mieux
maintenant?
- Non. C’est pire maintenant.
- Comment ça, c’est pire?
Qu’est-ce que tu veux, Lucie?
- La vérité! Je veux la vérité.
- Quelle vérité?
- Toute la vérité. Daniel, est-ce que tu m’aimes vraiment?

- Lucie! On ne va pas recommencer ça encore une fois!
- Qu’est-ce que tu veux dire?
- Chaque fois, c’est la même chose : tu me harcèles de
questions pièges, je finis par craquer et on s’engueule.
C’est la guerre chaque fois! Tu finis chez ta mère et moi,
dans un bar.

- Ce n’est pas vrai. Je veux juste savoir si tu m’aimes
vraiment. Réponds.
- D’accord, d’accord. Je t’aime vraiment. Voilà.
Maintenant, tu es heureuse?
- Non. Je sens bien que tu ne le penses

pas vraiment!
- Ça y est, c’est reparti!
- Je vois bien que je t’embête. Je sens

bien que tu es impatient avec moi.
- Pour une fois, tu vois bien et tu sens
bien les choses. Oui, tu m’embêtes
avec tes questions. Oui, ça me rend
fou. Je n’ai jamais la bonne réponse
pour toi. Tu attends toujours autre
chose. Je suis toujours piégé!
- Quand on aime quelqu’un

on est patient et on ne
parle pas sur ce ton!
- Quand on aime quelqu’un,
on lui fait confiance et on
ne lui demande pas de
prouver son amour à
chaque minute!
- Puisque c’est comme ça,
je vais coucher chez
maman.
- Quelle surprise! Puisque
c’est comme ça, je sors ce
soir!

Compréhension
A-009
1. Est-ce la première fois que Luce pose ces questions?
2. Pourquoi est-ce que Daniel refuse de répondre à la

question?
3. Quelles qualités sont essentielles en amour pour la

femme?
4. Quelle qualité est essentielle en amour pour

l’homme?
5. Finalement, où est-ce que Lucie va?
Selon vous, qu’est-ce qui est le plus important en amour?
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Une mauvaise journée
Vocabulaire
Noms Verbes
un bureau aller
un client arriver
un coin arroser
un collègue attendre
un document continuer
un ordinateur couler
un patron devoir
un portable faire
un travail oublier
le corps prendre
un bras raconter
un mouvement recommencer
un pied rentrer
un veston renverser
la route rouler
un arrêt s’amener
un chemin savoir
une maison se lever
une rue tourner
un pompier travailler
valoir (il vaut)
une blague vivre
un café
une journée
une société
Expressions
avoir envie de il vaut mieux
comble de malchance Il y a
en train de

Il y a des journées où rien ne va. On se lève du mauvais pied,
mais on ne sait pas pourquoi.
On est marabout, on n’a pas envie

de parler. On ne veut voir
personne. Mais on doit aller
travailler. On doit bien continuer à
vivre en société!
Sur le chemin vers le bureau, on roule un peu trop vite, on

oublie de faire un arrêt… Et voilà une contravention!
Vraiment, ça ne va pas du tout!
On arrive au travail en
retard et, comble de
malchance, le patron attend
dans notre bureau avec un
client! Il y a des journées
comme ça où rien ne va!

Et puis, on renverse son café sur son veston neuf. Il y a de ces
journées! On se prend un deuxième café. On est tranquille,
en sécurité devant son ordinateur. Et puis un collègue
s’amène, raconte une blague avec de grands mouvements des
bras… Et voilà le café qui coule sur le portable et les
documents!
Vraiment, il y a de mauvaises journées! On se

dit qu’il vaut mieux rentrer chez soi tout de
suite, qu’il vaut mieux tout recommencer.
On roule doucement jusqu’à sa rue, on tourne le coin… Voilà

les pompiers en train d’arroser la maison!
Décidément, il y a des jours comme ça!

Compréhension
A-010
1. Les journées où rien ne va, est-ce qu’on est sociable?
2. Qu’est-ce qu’un policier donne au conducteur trop

pressé?
3. Avec qui est le patron?
4. Quand ça ne va pas, qu’est-ce qu’on doit faire?
5. Qui est devant la maison?
Racontez une mauvaise journée typique pour vous.
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Sébastien
Vocabulaire
Noms Verbes Adjectifs

le corps adorer beau - belle
une bouche affirmer charnu - charnue
un cheveu aimer châtain - châtaine
une lèvre aller correct - correcte
un œil –des yeux apercevoir déterminé - déterminée
un profil gentil - gentille
un visage arriver intéressant - intéressante
attirer long – longue
la personne avoir magnifique
un/une chum* comprendre persévérant – persévérante
un garçon croire tenace
un sauveteur – dire vert - verte
une sauveteuse discuter Expressions Adverbes
être Voyons! à peine
exagérer faire de l’effet attentivement
un doute faire sans l’ombre bien
un effet nager d’un doute déjà
un mercredi observer ensemble
une piscine penser fort
la politesse pouvoir ne pas
un soir repartir pas mal
une vie saluer peu
voir toujours
très

Annie et Sylvie discutent ensemble. Annie aperçoit Sébastien
au loin.
- Sylvie, qu’est-ce que tu penses de lui?

- De qui?
- De Sébastien, voyons!
- Ah! Sébastien! Il est correct.

- Correct? C’est tout? Il me semble que c’est
peu. Ne me fais pas croire qu’il ne te fait pas
d’effet!
- Sébastien, me faire de l’effet? Tu y vas un

peu fort! D’accord, il est beau garçon.
- Beau? Il est magnifique! J’adore ses yeux
verts, ses longs cheveux châtains et sa
bouche… Une bouche avec des lèvres bien
charnues!
- C’est vrai qu’il a un beau visage.

J’aime bien son profil.
- Il y a le visage, bien sûr… Est-
ce que tu vas à la piscine le
mercredi soir?
- Non, tu le sais bien. Pourquoi?
- Il nage!

- Annie, le corps, ce n’est pas tout dans la vie
- Je sais bien. Mais Sébastien a bien plus qu’un corps!
- Franchement, tu exagères!
- À peine! Je l’observe attentivement tous les mercredis
et je peux affirmer sans l’ombre d’un doute qu’il est une
personne très intéressante.
- Vraiment?
- Oui. Il est persévérant,
tenace, déterminé. Et puis, il
est gentil : il me salue
toujours quand il arrive et
quand il repart.
- C’est de la politesse, Annie!
Une bouée de sauvetage Tu es la sauveteuse!
- Je ne comprends pas pourquoi tu ne l’aimes pas.

- Ce n’est pas que je ne l’aime pas; il ne m’attire pas,
c’est tout. Mais à ce que je vois, il te fait pas mal
d’effet!
- Qu’est-ce que tu dis là! Non, non. J’ai déjà un chum1!
1 Au Québec, le mot «chum» est très répandu dans la langue familière. C’est un
emprunt à l’anglais qu’on peut remplacer par «amoureux» ou «ami» selon le sens qu’on
veut lui donner.

Compréhension
A-011
1. De quelle couleur sont les yeux de Sébastien?
2. Quel sport est-ce que Sébastien pratique?
3. D’après Nathalie, quelles sont les qualités de

Sébastien?
4. Où est-ce qu’Annie travaille?
5. Est-ce qu’Annie est libre?
Qu’est-ce que vous aimez chez l’autre?
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Qu’est-ce qu’on mange?
Vocabulaire
Noms Noms Noms Verbes
les pâtes (f) un oeuf une question revenir
un spaghetti une omelette un jour manger
un macaroni une quiche une vie aimer
une lasagne un légume une assiette être
le boeuf une salade un lapin avoir
un hamburger une feuille une dent aller
une boulette une laitue une rage devenir
une viande une chicorée une cochonnerie voir
un steak un chou une calorie sentir
un bouilli une carotte une folie vouloir
la volaille un céleri un régime rendre
un poulet un brocoli une sucrerie détester
une cuisse un chou-fleur croquer
une poitrine un fruit gruger
un pilon une pomme rester
une aile une poire penser
le porc un ananas inventer
du bacon un raisin
un jambon une banane Expressions
une côtelette une orange ne plus en
une côte pouvoir
une friandise avoir mal
le poisson un chocolat faire des folies
une arête une croustille
les fruits de mer (m) un gâteau
un homard un biscuit
une crevette
un pétoncle
une moule

Qu’est-ce qu’on mange? Cette question revient chaque jour!
Je ne sais plus quoi manger!
J’aime les pâtes, mais je suis fatigué de

toujours manger des pâtes : spaghetti,
macaroni, lasagne… Il y a trop de pâtes dans
ma vie!
(Source : <a
ref="http://www.photo-libre.fr">Photos Libres</a>)
J’aime le bœuf, mais je n’en peux plus des hamburgers, des

boulettes de viande hachée, des steaks, des bouillis…
J’aime le poulet, mais je mange si souvent des cuisses, des

poitrines, des pilons et des ailes que je vais devenir une
volaille!
J’aime le porc, mais je ne peux plus voir de bacon dans mon

assiette! Je ne peux plus sentir le jambon. Je ne veux plus de
côtelettes de porc, de côtes levées, de jambon, de bacon…
J’aime le poisson mais pas les arêtes!

Poché, grillé ou sauté, ça ne va plus! Et
puis, je suis allergique aux fruits de mer.
Le homard, les crevettes, les pétoncles
et les moules me rendent malade.
(Source : <a ref="http://www.photo-
libre.fr">Photos Libres</a>)

J’aime les œufs, mais je déteste les
omelettes et les quiches. À la coque, durs,
brouillés, tournés ou miroir, les œufs vont
me rendre folle!
(Source : <a ref="http://www.photo-libre.fr">Photos Libres</a>)
D’habitude, j’aime la salade, mais aujourd’hui je ne peux plus

voir une feuille de laitue dans mon assiette. Laitue rouge ou
frisée, chicorée ou chou, si j’en mange encore, je deviens un
lapin!
Les légumes, c’est pareil! Crus ou cuits, c’est

fini! J’ai mal aux dents de croquer les carottes!
Je n’en peux plus de gruger des céleris! Adieu
brocoli, chou-fleur et compagnie!
(Source : <a ref="http://www.photo-
Et puis les fruits… Des pommes, des poires,

des ananas, des raisins, des bananes, des
oranges… C’est rapide à manger, mais pas très
excitant!
Alors, qu’est-ce qu’on mange? Il reste du chocolat, des

croustilles, du gâteau, des biscuits… Je pense bien que j’ai
une rage de cochonneries1… Au diable les calories! Je fais
des folies : j’invente un régime de sucreries!
(Source : <a ref="http://www.photo-libre.fr">Photos Libres</a>)
1 Au Québec, mot familier qui désigne des aliments sans valeur nutritive.

Compréhension
A-012
1. Quelles parties d’une volaille mange-t-on?
2. À quoi est-ce que la narratrice est allergique?
3. Comment sert-on les oeufs?
4. Qu’est-ce qui n’est pas excitant?
5. Quelle expression signifie «avoir une envie

irrésistible»?
Quels sont vos plats préférés? Avez-vous des allergies

alimentaires?
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La grande roue
Vocabulaire
La loterie accueillir aussi
une banque aller bien
une chance compter bientôt
un conseil demander encore
un conseiller dire juste
un dollar être ne pas
une offre étudier peut-être
un million faire très
une roue gagner un peu
les gens gâter
un ami – une amie participer Adjectifs
un animateur – une payer beau – belle
animatrice pouvoir certain – certaine
un papa – une maman présenter financier – financière
un parent recevoir grand – grande
un père – une mère repartir jeune
le temps s’appeler joli – jolie
un âge savoir nerveux – nerveuse
une fois se détendre premier – première
un moment se rassurer prêt – prête
une semaine tourner prudent – prudente
une vie venir sûr – sure
une administration télévisé - télévisée
une émission
des études (f) Expressions
une poche avoir l’air
un projet il y a
une télévision se lancer en affaires
un voyage

Laurence participe à une loterie télévisée. L’animateur
l’accueille et la présente au public.
- Bonjour! Comment vous appelez-vous?

- Je m’appelle Laurence.
- Laurence, d’où venez-vous?
- Je viens de Lennoxville, près de Sherbrooke, au Québec.
- Bonjour Laurence de Lennoxville.

Bienvenue à notre émission.
- Merci beaucoup.
- Comment allez-vous, Laurence?
- Je vais bien, merci.
- Est-ce que vous êtes un peu nerveuse?

- Oui. En fait, je suis très nerveuse.
- Est-ce que c’est la première fois que vous venez à la
télévision?
- Oui, c’est la première fois.
- Rassurez-vous, ça va bien aller. Détendez-vous un peu.

- Merci.
- Dites-moi, Laurence, vous avez l’air bien jeune, quel âge
avez-vous?
- J’ai 19 ans. Je viens juste d’avoir 19 ans il y a une
semaine.

- 19 ans! Vous êtes jeune et jolie! Et bientôt, vous allez
peut-être être riche!
- Oui, c’est excitant!
- Qu’est-ce que vous allez faire avec un million de dollars si
vous gagnez?
- Je vais faire un voyage avec mes amis; je vais gâter mes

parents aussi; et puis, je vais payer mes études.
- Vous avez de beaux projets! En quoi étudiez-vous,
Laurence?
- J’étudie en administration des affaires.
- Est-ce que vous voulez vous lancer en affaires?
- Je ne sais pas encore. Peut-être.
- Mesdames et messieurs, je suis certain que Laurence va

recevoir plusieurs offres d’affaires si elle repart d’ici avec
un million de dollars en poche!
- Oui, je sais. Mais je vais être prudente. Je vais
demander des conseils à mon père.
- Qu’est-ce qu’il fait dans la vie, votre papa?
- Il est conseiller financier pour une grande banque.
- Alors, vous allez pouvoir compter sur lui!

- Oui, c’est sûr.
- C’est maintenant le moment de tourner la grande roue…
Vous êtes prête?
- Oui, je suis prête.
- Allez-y! Bonne chance, Laurence!
- Merci!

Compréhension
A-013
1. D’où vient Laurence?
2. Quel âge a Laurence?
3. Combien d’argent peut-elle gagner?
4. Qu’est-ce qu’elle va faire avec son argent?
5. Qui va conseiller Laurence?
Vous avez gagné le gros lot. Qu’est-ce que vous allez faire
avec votre argent?
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L’itinéraire
Vocabulaire

La ville Le temps aider imprimer
un autobus un an apprécier manquer
un boulevard une année arrêter monter
une côte une heure arriver passer
une gare une vie attendre perdre
un itinéraire avoir pouvoir
un magasin une aile changer préférer
une maison de l’argent (m) compte prendre
une rue une attention continuer rendre
un terminus un cadeau croiser s’organiser
un viaduc une carte descendre se trouver
un jardin une chance détester suivre
une fleur un coin devenir supplier
une fontaine un effet devoir tourner
une grenouille un emploi envoyer travailler
une jardinière un fils – une fille être voir
un père – une mère faire voler
habiter
Expressions Indications spatiales

être à l’heure dans sur
être en retard devant tout droit
prendre le temps jusqu’à vers
se prendre en main sous
voler de ses propres ailes à (la) droite à (la) gauche

Bonjour Jean,
Je t’envoie un peu d’argent et l’itinéraire que tu dois suivre

pour te rendre chez Marielle. Elle t’attend samedi prochain à
16 heures. S’il te plait, sois à l’heure. Ne la fais pas
attendre, car elle déteste cela. Si tu arrives en retard, tu vas
certainement perdre ta chance de travailler pour elle.
Marielle habite dans la rue Lavigueur à Québec. Tu dois

prendre un autobus de Trois-Rivières et descendre au
terminus de la gare du Palais. Quand tu es devant la gare du
Palais, tu vois une immense fontaine. En face de la gare se
trouve la rue Saint-Paul. Prends-la vers la droite ou vers
l’ouest si tu préfères. Passe sous le viaduc et continue tout
droit. La rue Saint-Paul devient le boulevard Charest.
Arrête-toi au magasin Benjo. Tu ne peux pas le manquer, il

va être à ta droite. Il y a une grosse grenouille verte sur la
porte. Achète un petit cadeau pour Étienne, le fils de
Marielle. Elle va apprécier cette attention. Puis, continue
sur le boulevard Charest jusqu’à la rue de la Couronne.
Tourne à gauche.
Tu vas voir le jardin Saint-Roch à ta gauche. À ce temps de

l’année, il est magnifique. Si tu n’es pas en retard, prends
donc le temps de t’y arrêter un peu. La petite cascade a un
effet calmant instantané!

Ensuite, monte la côte un peu, mais ne tourne pas à
gauche : continue tout droit. Tu vas croiser la rue
Lavigueur. Tourne à droite et compte deux coins de rue.
Marielle habite la maison blanche juste après la rue
Sutherland. Tu ne peux pas la manquer, c’est la seule qui a
des fleurs en jardinière à sa porte.
Je t’en supplie, sois responsable et organise-toi pour avoir

cet emploi. Ta vie va changer pour le mieux. À trente ans,
il est grand temps de te prendre en mains et de voler de tes
propres ailes.
Ta mère
P.-S. J’ai imprimé une carte de Google pour t’aider.
(Source : Google Maps Canada)

Compréhension
A-014
1. Où est-ce que Jean doit aller?
2. Quand est-ce que Jean doit y aller?
3. Comment est-ce que Jean va se rendre à destination?
4. Qu’est-ce qu’il y a sur la porte du magasin Benjo?
5. Quel âge a Jean?
Après sa visite, Jean veut aller au Parc de L’Esplanade.

Faites un itinéraire pour lui.
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La cuisine internationale
Vocabulaire

le monde animal aimer africain - africaine
une bébite* connaitre allemand - allemande
un chat – une chatte contenir chinois - chinoise
une cuisse de grenouille dire épicé - épicée
un escargot essayer européen - européenne
une grenouille gouter fort – forte
un aliment imaginer français - française
une boisson gazeuse intéresser grand - grande
une choucroute inviter indien – indienne
un couscous manger international - internationale
une frite mettre marocain - marocaine
un hamburger parler mexicain - mexicaine
un piment penser
une épice plaire Expressions
le cari préférer C’est dégueulasse!*
une cuisine puer Ça ne me dit rien.
une assiette raffoler Ce n’est pas mon fort!*
un plat rire
une texture savoir Adverbes
vivre aussi
une bouche voir beaucoup
une chaine vouloir ne pas
une chose plus
une granule trop
un marais
un nom
une planète

Nadine essaie d’inviter Xavier à manger au restaurant.
- Est-ce que tu aimes la cuisine mexicaine?
- Non, pas vraiment, c’est trop épicé.
- C’est vrai que les plats mexicains contiennent souvent des
piments forts.
- Est-ce que tu aimes la cuisine

indienne?
- Non plus. Je n’aime pas le cari. Et
puis, c’est aussi très épicé.
- Qu’est-ce que tu penses de la cuisine marocaine?

- Bof! Le couscous, ce n’est pas mon fort1! Je n’aime pas la
texture, les petites granules dans ma bouche.
- La cuisine chinoise, elle te plait?

- Tu veux rire? Je ne mange pas de
chat!
- Franchement!
- Je sais de quoi je parle.
- Je vois. Est-ce que la cuisine africaine t’intéresse plus?

- Pas vraiment. Je ne connais pas beaucoup la cuisine
africaine, mais les noms des plats ne me disent rien.
1 Expression familière et ironique : ce n’est pas ce que j’aime le plus.

- Peut-être préfères-tu la cuisine européenne? Aimes-tu la
choucroute allemande?
- C’est dégeulasse2! Et puis, ça pue!
- J’imagine que tu raffoles de cuisine

française alors?
- Tu veux rire? Les Français, ils ne
mettent rien dans leurs assiettes. En
plus, ils mangent des escargots et des
cuisses de grenouille! Ça vit dans les
marais ces bébites-là3! (Source : Microsoft Office)
Des escargots
- Mais enfin, qu’est-ce que tu manges?

- Je mange de la cuisine internationale, moi.
- Quoi donc?
- Frites, hamburgers et boissons gazeuses des grandes
chaines internationales. Ça goute toujours la même chose
d’un bout à l’autre de la planète! Ça, c’est international!
2 «Dégueulasse» est un terme familier très répandu au Québec. Il exprime le dégout

extrême.
3 «Bébite» est un terme québécois équivalant à «bestiole, petite bête, moustique».

Compréhension
A-015
1. Quel est le problème avec la cuisine mexicaine?
2. Est-ce que Xavier aime le couscous?
3. Selon Xavier, que mangent les Chinois?
4. Pourquoi est-ce que Xavier déteste la choucroute?
5. Où vivent les escargots et les grenouilles?
Quel type de cuisine préférez-vous? Expliquez.
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L’automne
Vocabulaire

la nature le temps aimer aussi
un air un automne arriver beaucoup
un arbre un été changer bien
un ciel un jour commencer de plus en plus
une feuille une journée cuisiner longtemps
une forêt un matin descendre même
une migration un midi devenir officiellement
un oiseau une nuit devoir plus
un papillon un soir embêter souvent
une récolte enlever tard
un soleil une température entrer tôt
une terre une chaleur faire très
un vent un froid falloir (il faut) vraiment
une pluie geler
une couleur marcher
un brun mettre Adjectifs
un jaune obliger bon - bonne
un orangé pleuvoir chaud – chaude
un rouge porter court – courte
pouvoir dernier – dernière
un chandail rafraichir fini – finie
un chocolat rester frais – fraiche
une couche retrouver froid – froide
une école s’envoler grand - grande
un /une enfant se lever gris – grise
un légume sentir long – longue
un livre tomber magnifique
un plaisir tourner morne
un poumon voyager sombre
le Sud/Nord surprenant –
surprenante
des vacances (f) triste

J’aime beaucoup l’automne. Après l’été et ses grandes
chaleurs, j’aime l’air frais de l’automne. Quand septembre
arrive, les nuits rafraichissent. La température descend à
5° ou 6o Celsius.
Les enfants retournent à l’école. Les vacances sont finies.

Certains jours, il fait très chaud; d’autres, il fait froid et il
pleut.
Pendant la nuit, la terre gèle. Le jour, il fait de plus en plus

frais. Le matin, on doit porter une veste ou un chandail très
chaud. Le midi, on peut enlever la veste et le chandail. En
septembre, il faut souvent s’habiller en pelure d’ognon. Il faut
mettre plusieurs couches de vêtements.
Mais, officiellement,
l’automne commence
vraiment en octobre. En
octobre, les feuilles
changent de couleur. Elles
tournent au rouge, à
l’orangé, au jaune et au
brun. Les arbres sont
magnifiques et la forêt est
surprenante.

Les oiseaux s’envolent vers le Sud. C’est la grande migration
qui commence. Même les papillons voyagent vers le Mexique!
Quand les feuilles tombent, l’automne devient triste et morne.

La terre est grise, le ciel aussi. Il fait sombre très tôt le soir.
Le soleil se lève de plus en plus tard. Alors, les journées sont
courtes et les nuits plus longues.
En automne, il pleut souvent. La pluie, le vent et le froid

embêtent la plupart des gens. Mais moi, j’aime l’automne.
J’aime les récoltes des derniers légumes. J’aime marcher
dans les feuilles. J’aime sentir l’air frais entrer dans mes
poumons. J’aime même la pluie et le froid qui m’obligent à
rester plus longtemps à l’intérieur.
En automne, je cuisine et je retrouve le plaisir de rester chez

moi bien au chaud avec un bon livre et un chocolat chaud!

Compréhension
A-016
1. Comment est l’air en automne?
2. De quelles couleurs sont les feuilles en automne?
3. Où vont les oiseaux en automne?
4. Est-ce qu’il fait clair longtemps en automne?
5. Qu’est-ce qui embête les gens en automne?
Aimez-vous l’automne? Expliquez.
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La routine du matin
Vocabulaire

les gens accueillir doucement
un adolescent aimer convenablement
un conjoint aller plutôt
un enfant arriver
un étudiant avaler
un monde commencer
le temps courir
une journée devoir
un matin donner
une minute dormir
une maison embrasser Expressions
un lit emporter avoir le temps
une table flâner avoir peur
la vaisselle installer être en avance
un bureau laver être en retard
un café manger être pressé
une gorgée manquer être prêt
un muffin mettre être stressé
ouvrir prendre le temps
de l’adrénaline (f) passer
un autobus prendre
une boite rendre
une classe rouler
une école s’énerver
un œil / des yeux s’étirer
un manteau se brosser
un matériel se lever
une routine se préparer
se réveiller
sortir
vérifier
vouloir

Parfois, la routine du matin me rend folle, mais c’est cette
routine qui me donne de l’adrénaline pour toute la journée.
En général, je me réveille à 6 h 15. Je prends quelques

minutes pour ouvrir les yeux et je m’étire doucement. J’aime
prendre le temps de flâner dans mon lit.
Puis, je me lève. Je vais réveiller

mes trois enfants. Ils doivent se
préparer pour l’école. Je prends
une douche et je m’habille en
vitesse.
Je me coiffe et me maquille en
cinq minutes.
Ensuite, je mets la table et je prépare le déjeuner. Je dois

aussi préparer les boites à lunch pour tout le monde. Vers
7 h 15, je commence à m’énerver. Pourquoi? Parce que mes
adolescents dorment encore! L’autobus passe à 7 h 30!
Finalement, ils arrivent à table à 7 h 25. Ils sont trop pressés

pour manger convenablement. Alors ils emportent un muffin et
sortent en courant.

Ils arrivent juste à l’heure pour prendre l’autobus. Mais, le
mal est fait : moi, je suis déjà stressée. J’ai toujours peur
qu’ils manquent l’autobus.
Je lave la vaisselle et embrasse mon conjoint qui part pour le

bureau. J’avale une dernière gorgée de café, je me brosse les
dents et je mets mon manteau. Je sors de la maison et je
roule jusqu’à l’UQTR.
Mon cours commence à 8 h 30 et je ne veux pas être en

retard. J’aime plutôt être en avance. J’ai besoin de temps
pour installer ma classe, pour vérifier le matériel. Quand les
étudiants arrivent, je suis prête à les accueillir.

Compréhension
A-017
1. Est-ce que la narratrice se lève rapidement le matin?
2. Combien de temps prend-elle pour se coiffer et se

maquiller?
3. À quelle heure est-ce que l’autobus arrive?
4. Qu’est-ce que les enfants mangent le matin?
5. Qui part en dernier de la maison?
Racontez votre routine du matin.
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La cafétéria
Vocabulaire

une cafétéria un menu adorer offrir
une caisse un dessert aller passer
une cuisinière un diner arrêter payer
la file une entrée attendre pouvoir
un plateau un plat attraper préférer
un tableau avancer prendre
un tourniquet choisir s’assoir
la viande la table déguster se rendre
un bœuf / du bœuf une assiette demander servir
une boulette une bouteille devoir travailler
un porc / du porc une serviette de faire trouver
un poulet / du table hésiter vouloir
poulet un ustensile lire
un ragoût un wok manger
un légume
une betterave un aliment
un champignon de l’ail (m)
un ognon un assaisonnement Expressions Adverbe
un piment une lasagne faire la file patiemment
une salade une pomme faire la queue toujours
une sauce il y a tout de suite
un jour du sel (m)
un tour

Je mange tous les jours à la cafétéria. À midi, chaque jour,
j’arrête de travailler et je me rends à la cafétéria. Et tous les
jours, je dois faire la file.
J’attends patiemment mon

tour. En attendant, je lis le
menu. Il est toujours inscrit
sur un immense tableau blanc.
En général, il y a toujours trois menus. Aujourd’hui, au menu

végétarien, on sert de la lasagne accompagnée d’une salade
verte. Il y a aussi du ragoût de boulettes avec des pommes de
terre et des betteraves au menu numéro 2. Enfin, on offre une
assiette de légumes sautés au wok. J’adore ce menu parce
qu’on peut choisir nos assaisonnements et la viande qu’on
préfère.
On avance! Bon, je prends un

plateau et je passe enfin le
tourniquet d’entrée. Je vais tout
de suite faire la queue au wok, car
c’est très populaire.

C’est mon tour!
- «Qu’est-ce que vous voulez? Du porc, du bœuf ou du
poulet?», me demande la cuisinière.
Je choisis le poulet sans hésiter.
- «Piments, ognons, champignons?»
- «De tout, s’il vous plait.»
- «Quelle sauce voulez-vous? Séchouanaise, louisianaise,

mexicaine?»
- «De la sauce louisianaise bien piquante!»
J’ajoute des piments broyés, un peu d’ail et un peu de sel.
Voilà mon plat préféré!
J’attrape une bouteille d’eau et

un dessert aux pommes. Je
vais faire la file pour payer. À
12 h 20, je passe à la caisse.
Je paye et je prends des
ustensiles et des serviettes de
table.
Je trouve une table libre et je

m’assois pour déguster mon
diner.

Compréhension
A-018
1. Est-ce que la narratrice est patiente?
2. Est-ce qu’il y a de la viande dans la lasagne?
3. Qu’est-ce que les clients aiment particulièrement?
4. Quelle sorte de viande est-ce que la narratrice préfère

dans son plat?
5. Quel légume sert-on avec le menu numéro 2?
Qu’est-ce qu’il y a dans votre plat préféré?
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L’été
Vocabulaire

le centre-ville le temps adorer aussi
un apéro un été aimer longtemps
une promenade une journée assister ne pas
un quartier le midi choisir souvent
une rue un moment devoir tard
une terrasse une saison durer tellement
une ville le soir être tôt
la soirée faire très
l’animation un vêtement falloir
(il faut)
un musicien une botte il y a
un spectacle un manteau jouer
une mitaine nager Adjectifs
les gens une robe soleil parler agréable
un ami – une amie une sandale pédaler animé - animée
un copain – une la nature porter beau - belle
copine pouvoir
un groupe une eau prendre chaud – chaude
une énergie profiter doux - douce
une bicyclette une forêt protéger grave
la crème un lac réchauffer joli – jolie
la peau le plein air refaire long - longue
un pied le soleil rencontrer nu – nue
une piscine rire privilégié -
le plein s’amuser privilégiée
une vie s’entrainer solaire
se baigner
se coucher
se détendre
se faire bronzer
se lever
sortir
vouloir

J’aime l’été. C’est une saison tellement agréable! En été, il
fait chaud et beau. En juillet, il fait souvent plus de
o
25 Celsius.
J’aime l’été parce qu’on peut sortir dehors

pieds nus. On peut sortir sans bottes, sans
manteau, sans mitaines.
J’aime porter de jolies robes d’été.

J’aime porter des sandales. Bien sûr,
on doit mettre de la crème solaire
pour protéger notre peau, mais ce
n’est pas grave. Au moins, le soleil
nous réchauffe!
En été, on peut faire de longues

promenades à bicyclette dans
les rues du quartier et même en
forêt. J’aime pédaler. En ville,
on peut rencontrer des amis; en
nature, on peut se détendre et
refaire le plein d’énergie.

J’aime aussi l’été parce que j’adore me
baigner. En été, l’eau des piscines et des
lacs est chaude. On peut nager,
s’entrainer ou s’amuser avec des
copains. On peut aussi se faire bronzer
tout simplement.
L’été, c’est aussi la saison des terrasses. Le midi ou le soir,

les gens choisissent de prendre l’apéro à une terrasse. C’est
un moment privilégié pour parler et rire entre amis. La vie
est belle, la vie est douce!
En été, le centre-ville est très

animé. On peut assister à des
spectacles en plein air. Il y a
aussi plusieurs groupes de
musiciens qui jouent dans les
rues.
En général, je me lève très tôt et

je me couche très tard en été. Je
veux profiter du soleil toute la
journée. Je veux aussi m’amuser
toute la soirée.
Au Québec, l’été ne dure pas très longtemps. Alors, il faut

profiter du beau temps.

Compréhension
A-019
1. Nommez deux sortes de chaussures.
2. Qu’est-ce qu’on doit mettre pour protéger la peau en

été?
3. Où peut-on refaire le plein d’énergie?
4. Qu’est-ce qu’on fait sur une terrasse?
5. Est-ce que l’été est long au Québec?
Aimez-vous l’été? Expliquez
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Le Canada à vélo
Vocabulaire
Noms Verbes
un moyen de transport une personne aller
une automobile un ami – une amie apporter
un avion un/une jeune avoir
un traversier un vieux – une vieille coucher
un vélo des vacances dormir
une route un océan durer
une distance un rêve être
un kilomètre un type faire
un hébergement un voyage louer
un camping parler
un motel un choix partir
une tente un coeur pleuvoir
le temps un exercice préférer
un an une façon prendre
une fois une vie réaliser
un jour représenter
un mois rester
revenir
Adjectifs Expressions rouler
fou - folle avoir le choix s’entrainer
impressionnant - avoir raison se préparer
impressionnante
jeune tenir le coup se voir
seul -seule tenir
spécial - spéciale traverser
vieux – vieille venir
vouloir
voyager

Léo et Guy sont de vieux amis, mais ils ne se voient pas
souvent.
- Qu’est-ce que tu vas faire pendant tes vacances d’été?
- Je vais faire un voyage spécial.
- Spécial? Explique-toi.
- Je vais faire un voyage

écologique. Je vais traverser
tout le Canada à vélo.
- Raconte-moi ça.
- D’abord, je vais partir de
Montréal à vélo. Je vais rouler
jusqu’à Sydney en Nouvelle-
Écosse. Puis je vais prendre le
traversier pour Port-aux-Basques
et rouler jusqu’à Saint-Jean,
Terre-Neuve. De Saint-Jean, je
vais prendre l’avion jusqu’à
Vancouver. Ensuite, je vais
revenir à Montréal à vélo. De
cette façon, je traverse tout le
Canada à vélo et je prends
(Source : <a href="http://www.photo- l’avion une seule fois.
- Combien de kilomètres de route est-ce que cela représente?

- Ça fait 7400 kilomètres d’un océan à l’autre.
- Wow! C’est une distance impressionnante! Comment te
prépares-tu? Est-ce que tu t’entraines chaque jour?
- Évidemment! Je n’ai pas le choix. Je veux faire au moins
deux cents kilomètres de route par jour.

- Où est-ce que tu vas
coucher?
- Je vais apporter ma tente
et dormir dans les
campings. S’il pleut trop,
je vais me louer un motel.
- Tu n’es pas trop vieux pour

ce type de voyage?
- Pardon?
- Oui, d’habitude, ce sont les
jeunes qui voyagent comme
ça, pas les vieux comme
nous!
- Vieux? À 60 ans? Parle pour toi! Moi, je vais réaliser le

rêve de ma vie.
- Oui, mais ton cœur? Est-ce qu’il va tenir le coup?
- Mon cœur reste jeune quand il fait de l’exercice.
- Tu as peut-être raison. Et combien de temps va durer ce

voyage?
- Au maximum deux mois. Tu viens avec moi?
- Tu es fou? Je préfère voyager en avion et en
automobile. Tant pis pour mon vieux cœur!

Compréhension
A-020
1. Qu’est-ce que Léo va faire pendant ses vacances?
2. Comment est-ce que Léo va se rendre à Vancouver?
3. Combien de kilomètres par jour va-t-il faire?
4. Où est-ce que Léo veut coucher la plupart du temps?
5. Quel âge a Léo?
Vous êtes Léo. Vous voulez savoir ce que Guy va faire

pendant ses vacances. Écrivez un court dialogue.
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Le sondage
Vocabulaire

les gens adorer avoir du temps libre
un ami/une amie aimer Ça dépend
une dame cohabiter Ça tombe bien/mal
un homme – une femme comprendre faire la fête
un passant – une passante dépenser
un Québécois – une descendre
Québécoise devenir Adjectifs
un/une touriste
un sondage durer beau – belle
un mois embêter canadien -
une question canadienne
une semaine être difficile
faire européen –
européenne
le Québec habiter fréquent – fréquente
une culture interpeler indiscret – indiscrète
une métropole poser libre
un modèle préférer moderne
un pays profiter premier – première
une rue rentrer sympa (thique)
une ville ressembler
une visite rester
un hôtel travailler
un séjour venir
un service vouloir
une occasion
un rendez-vous
un travail

Une jeune femme interpelle un passant dans la rue.
- Bonjour monsieur, vous êtes d’ici?

- Non, je ne suis pas d’ici. Je viens d’ailleurs.
- Ça tombe bien, j’ai des questions à vous poser.
- D’où venez-vous?
- Je viens de France.
- Vous êtes touriste?
- Oui et non.
- Comment ça, oui et non?

- Je ne suis pas touriste parce que je viens à Québec pour
mon travail. Mais je fais un peu de tourisme parce que j’ai
du temps libre entre deux rendez-vous.
- Ah bon! Je comprends. Est-ce que c’est votre première

visite au pays?
- Non, je viens régulièrement.
- Est-ce que vous aimez le Québec?
- J’adore le Québec et les Québécois! Les gens sont très
sympas ici.
- Quelle ville préférez-vous?

- Ça, c’est difficile. J’aime bien Québec parce que c’est un
peu chez moi. Le Vieux Québec est très européen. Ça
ressemble un peu à Montmartre. Mais je préfère Montréal.

- Pourquoi préférez-vous Montréal?
- Montréal est une ville moderne, c’est une métropole.
Toutes les cultures y cohabitent en harmonie. C’est un
beau modèle multiculturel.
- Est-ce que vous allez à l’hôtel quand vous venez au Québec?

- Ça dépend. Quand je viens à Québec, j’habite chez des
amis. Mais quand je vais à Montréal, je descends toujours à
l’hôtel. Je profite de l’occasion pour faire la fête et je
rentre souvent très tard. Alors, je ne veux pas embêter mes
amis.
- Est-ce que vos visites sont fréquentes?

- Je viens au Québec aux deux mois environ.
- Est-ce que vous restez longtemps?
- D’habitude, mes séjours durent une semaine.
- Combien dépensez-vous chaque fois?

- Oh là là! Vous devenez indiscrète ma petite dame. Est-ce
que vous travaillez pour le service canadien du
renseignement?
- Non, je fais un sondage pour la ville.

Compréhension
A-021
1. D’où vient l’homme?
2. Est-ce que l’homme vient souvent au Québec?
3. Où habite l’homme quand il va à Québec?
4. Combien de temps reste-t-il au Québec en général?
5. Pour qui est-ce que la femme travaille?
Rédigez un petit sondage pour connaitre la clientèle d’une

boutique de mode.
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Rhume ou grippe?
Vocabulaire

un symptôme aller chaud – chaude
une courbature apaiser cher - chère
une douleur arrêter différent – différente
un éternuement avaler épuisé – épuisée
une fièvre avoir fatigué – fatiguée
un mal de gorge boire gros – grosse
une sécrétion changer malade
une toux couler musculaire
croiser nasal – nasale
la médecine entendre pareil - pareille
une maladie éternuer sec – sèche
une grippe être vilain – vilaine
un rhume faire
le corps garder Expressions
une gorge penser avoir de la misère
un nez pouvoir avoir mal
une personne prendre être en forme
un ami – une amie se moucher être malade
un étudiant – une se sentir
étudiante se souvenir
le temps tousser
un jour voir
une journée
un lit
une pastille

Nathalie, une étudiante en médecine, croise un ami.
- Comment ça va?
- Pas très bien, et toi?
- Moi, je suis en pleine forme! Qu’est-ce qui ne va pas avec
toi, Marcel?
- J’ai une vilaine grippe.

- Une grippe? Es-tu bien
certain? Ça peut être un
rhume.
- Hein?
- Oui, un rhume et une grippe,
c’est très différent! Tu te
souviens? Je suis en
médecine!
- Ça ne change pas grand-chose pour moi : je suis malade.

C’est tout.
- Pourtant, ça change tout, mon cher Marcel. Est-ce que tu
fais de la fièvre?
- Non, je ne pense pas. Je ne suis pas chaud.
- Pourtant, c’est un symptôme de la grippe.
- Est-ce que tu as des douleurs musculaires?

- J’ai un peu mal partout, en effet.
- Bon. En général, les courbatures sont fréquentes quand on
a la grippe.

- Est-ce que tu te sens fatigué ou épuisé?
- Je suis fatigué, ça, c’est sûr.
- Marcel, es-tu épuisé aussi?
- Non, pas à ce point-là!
- Est-ce que tu tousses?

- Oui, je tousse. Tu ne m’entends pas? Et j’éternue tout le
temps!
- Bon. C’est une toux sèche, plus fréquente avec le rhume.
Quant aux éternuements, ils sont signes d’un rhume
plutôt que d’une grippe.
- Est-ce que tu as des sécrétions

nasales? Des maux de gorge?
- Ça, oui! Le nez n’arrête pas de
me couler. Je me mouche
constamment! En plus, j’ai de
la misère à avaler! Tu vois bien
que je suis malade!
- Je vois surtout que tu as un gros rhume. Tu as tous les

symptômes. Mais tu n’as pas la grippe. C’est bien pire
qu’un rhume. Garde le lit une journée, bois beaucoup et
prends des pastilles pour apaiser ta gorge. Ça va aller
mieux dans quelques jours.
- Une grippe, un rhume, c’est pareil! Je suis malade quand
même!

Compréhension
A-022
1. Est-ce que la fièvre est un symptôme de la grippe?
2. Trouvez un synonyme de courbatures.
3. Quels sont les symptômes du rhume?
4. Qu’est-ce qu’il doit prendre pour apaiser sa gorge?
5. Combien de temps dure un rhume?
Est-ce que vous avez souvent le rhume? La grippe?

Expliquez.
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Ah! La vidéo!
Vocabulaire
Noms Noms Verbes

l’informatique (f) une aide aimer
un blogue un point aller
d’interrogation
un bureau une question chercher
un courriel une réponse cliquer
un document une solution comprimer
un fichier connaitre
un format constater
un forum de discussion un ami écrire
un message une bête enregistrer
un ordinateur un délai entrer
une page une difficulté envoyer
une procédure un essai envoyer
une vidéo une pièce être
une recherche la poste indiquer
un mot clé une règle interroger
un moteur de recherche un univers joindre
un résultat lire
obtenir
Expressions Adverbes refaire
avoir de la difficulté facilement sauvegarder
avoir de la misère peut-être se décider
Qu’est-ce qui se passe? toujours se passer
suivre
taper
télécharger
utiliser
valoir (il vaut)
vouloir

Je n’aime pas l’informatique. J’ai toujours de la misère à
télécharger des documents. J’ai toujours de la difficulté à
envoyer mes fichiers. Pour moi, l’ordinateur est une bête
noire.
Par exemple, quand je veux envoyer une vidéo à mes amis, je

suis toutes les règles.
D’abord, j’enregistre ma vidéo dans un format facilement

lisible. Je sauvegarde mon fichier sur le bureau.
Puis, j’écris un beau

message à mes amis et
je joins la pièce à mon
courriel. Mais aussitôt
que je clique sur
joindre, une page
m’indique que le délai
est expiré! Qu’est-ce
qui se passe?
Le fichier est peut-être trop lourd? Alors, je comprime le

fichier. Je refais la même procédure et… j’obtiens le même
résultat!

Après trois ou quatre essais, je me décide à chercher de l’aide.
D’abord, j’interroge mon propre ordinateur, mon propre
logiciel. Je clique sur le point d’interrogation et je tape ma
question. Aucune réponse à MA question!
Ensuite, je vais sur Internet.

J’utilise le moteur de recherche
Google et je tape les mots clés.
J’entre alors dans l’univers
merveilleux des forums de
discussion et des blogues.
Je ne suis pas la seule à connaitre des difficultés… Nous

sommes nombreux! Mais, quand je lis les solutions
proposées par les plus expérimentés, je constate qu’il vaut
mieux envoyer ma vidéo par la poste : c’est beaucoup plus
rapide et efficace!

Compréhension
A-023
1. Où faut-il sauvegarder le fichier?
2. Comment appelle-t-on un message électronique?
3. Quel verbe signifie «actionner la souris d’un

ordinateur pour sélectionner une fonction»?
4. Est-ce que d’autres personnes vivent les mêmes

frustrations en informatique?
5. Quelle est la solution la plus efficace?
Décrivez les opérations nécessaires pour ouvrir un fichier

de votre clé USB?
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Ma bête noire : l’informatique
Vocabulaire

l’informatique (f) aimer certainement
un disque compact acheter toujours
un document appeler
un fichier chercher
une licence choisir
un logiciel cliquer
un ordinateur dire
un message entrer
une version envoyer
essayer Expressions
le service être avoir de la misère
un achat faire avoir de la difficulté
une boutique falloir (il faut)
une carte cadeau livrer
une clientèle mettre
un panier ouvrir
un préposé payer
un problème recevoir
rembourser
revenir
une bête suggérer
une fois suivre
une instruction supprimer
une lettre télécharger
une musique venir
un nom vouloir
un numéro
une pièce

Je n’aime pas l’informatique. J’ai toujours de la misère à
télécharger des documents. J’ai toujours de la difficulté à
envoyer mes fichiers. Pour moi, l’ordinateur est une bête
noire.
Quand je veux acheter de la musique d’une boutique en ligne,

je suis les instructions à la lettre.
Je choisis la pièce que j’aime, je la mets

dans le panier, j’entre mon nom et mon
numéro de carte cadeau, je clique sur
«télécharger». (Source : Microsoft Office)
Quand j’essaie d’ouvrir le fichier, je reçois un message :

impossible d’ouvrir ce fichier, car il est protégé par une
licence! Mais je viens de payer pour cette licence!

J’appelle le service à la clientèle. Je suis très polie et je suis
patiente. Un préposé cherche avec moi le problème. «C’est
certainement la version 12 de Windows Média qui est le
problème.»
Que faire? Il faut supprimer la version 12 et il faut revenir à

la version 11. D’accord. Je suis les instructions encore une
fois.
Je télécharge à nouveau les pièces musicales. Qu’est-ce qui

arrive? Le même problème : impossible d’ouvrir un fichier
protégé par une licence!
J’appelle encore une fois le service à la

clientèle. Cette fois, on me dit que le
problème vient de mon logiciel antivirus :
il est trop efficace!
On me rembourse et on me suggère
d’acheter un disque compact et de le faire
livrer chez moi!
La prochaine fois, je vais aller dans une vraie boutique. En

cinq minutes, je vais faire mon achat.

Compréhension
A-024
1. Est-ce que l’informatique, c’est facile pour la

narratrice?
2. Comment appelle-t-on une boutique qui fait affaires

sur Internet?
3. À qui est-ce que la narratrice demande de l’aide?
4. Quelle est la source du problème?
5. Qu’est-ce que la narratrice va faire la prochaine fois?
Aimez-vous l’informatique? Expliquez
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Trop ou pas assez?
Vocabulaire
une personne un aliment aimer assez
un / une diététiste un bœuf aller aujourd’hui
des gens une côte appeler beaucoup
un serveur – une un fruit apporter bien
serveuse un légume approcher bien
un végétarien – une une légumineuse arriver
végétarienne un porc avoir
un breuvage un poulet devoir de temps en temps
un café une salade entrer encore
une eau une soupe être ici
une épice gouter juste
du sel (m) manger malheureusement
le couvert une alimentation mettre ne jamais
une assiette une épicerie pêcher ne pas
une fourchette une ligne pouvoir souvent
un plat présenter surtout
un bruit un restaurant regarder trop de
une fois savoir un peu
une semaine se rencontrer vraiment
des vacances venir
vouloir
Adjectifs Expressions
deuxième être en vacances
excellent – excellente faire attention
idiot - idiote faire la queue
informé – informée il y a
premier - première Tiens!
salé – salée
sucré – sucrée

Anthony et Ariane sont au restaurant. Ils s’y rencontrent
pour la première fois.
- Qu’est-ce qu’il y a, Ariane? Tu n’aimes pas la soupe?

- Pas vraiment… D’habitude, j’aime bien la soupe aux
légumes, mais il y a trop de sel dans cette soupe.
- C’est salé? C’est trop salé? Si la soupe est trop salée, ne la
mange pas. Tu veux que j’appelle la serveuse?
- Non, non. Ça va. Merci Anthony.
- Est-ce que tu viens souvent ici?

- Non, c’est la deuxième fois. Aujourd’hui, il y a vraiment
beaucoup de bruit dans le restaurant.
- C’est vrai, mais il y a vraiment beaucoup de gens! Regarde,
on fait la queue pour entrer!
La serveuse approche avec les

assiettes.
- Tiens! Tes côtes levées

arrivent, Anthony! Et voici
ma salade!
- Vous pouvez m’apporter de
l’eau, s’il vous plait? Nous
n’avons pas encore eu
(Source : Microsoft Office) d’eau.
Anthony présente sa fourchette à Ariane.
- Est-ce que tu veux gouter à mes côtes levées? Elles sont

excellentes! Il y a juste assez d’épices.
- Non, merci. Il y a trop de sauce pour moi. C’est trop sucré
et il y a surtout trop de gras dans ton assiette. Et puis, je
ne mange jamais de porc.
- Moi, je mange de tout : du porc, du bœuf, du poulet…

- Moi, je fais attention à ma ligne. Je ne mets pas de sucre
dans mon café, je ne mets pas de sel dans ma soupe…
- Qu’est-ce que tu mets, alors?
- Je mets des épices.
- Dans ton café?
- Non, dans mes plats.
- Et tu ne manges jamais de gras?

- Je mange un peu de gras, de temps en temps. J’aime
bien le bacon.
- Ariane, c’est du porc, le bacon!
- Oui, je sais. J’en mange un peu.
- Alors, tu n’es pas végétarienne?

- Non. Les végétariens ne mangent pas de viande, ils
mangent des légumes et des légumineuses. Je fais juste
attention à mon alimentation.
- Tu es diététiste?
- Non, je suis bien informée. Pour être en santé, on doit
manger beaucoup de fruits et de légumes, et juste assez
de viande. On doit manger du poisson trois fois par
semaine.
- Moi, je mange du poisson quand

je suis en vacances. Je le pêche
moi-même. Malheureusement,
j’ai souvent beaucoup de travail
et je n’ai pas assez de vacances
pour manger du poisson trois
fois par semaine!
- Tu es vraiment idiot ou bien tu
ne vas jamais à l’épicerie? (Source : Microsoft Office)

Compréhension
A-025
1. Est-ce qu’il y a beaucoup de monde au restaurant?
2. Pourquoi est-ce que la femme ne veut pas gouter aux

côtes levées?
3. Qu’est-ce qui remplace le sucre et le sel dans les

plats?
4. Qu’est-ce que les végétariens mangent?
5. Où est-ce que l’homme prend son poisson?
Quelle saveur préférez-vous : le sucré ou le salé?

Expliquez.
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L’incomprise
Vocabulaire

une personne aimer certainement
un adjoint/une adjointe aller exactement
un ami/une amie apercevoir même
un/une autre arrêter mieux
un dirigeant/une dirigeante assister ne pas
un frère/une sœur briser ne plus
un homme/une femme commencer ne rien
un père/une mère comprendre pourtant
un/une secrétaire continuer quand même
le temps croire toujours
un début écouter trop
un instant être
un mois exagérer
une semaine faire Expressions
une entreprise falloir (il faut) faire semblant de
un congrès imaginer faire une tempête dans
une direction parler un verre d’eau
partir
penser jouer à l’autruche
un voyage pleurer s’en faire
une aventure pouvoir s’en mêler de quelque
le bout du monde préférer chose
raconter
un café rencontrer
un coeur s’avancer
une famille savoir
un genre servir
une histoire tromper
une joue voir
une larme vouloir
une tempête
un verre

Jacques aperçoit Annie dans un café. Elle est seule. Il
s’avance vers elle et voit des larmes sur ses joues.
- Tu pleures, Annie? Qu’est-ce qui ne va pas?

- Olivier ne m’aime plus!
- Quoi? Olivier ne t’aime plus? Ce n’est pas possible : vous
êtes mariés depuis 6 mois!
- Personne ne veut me croire!

- Tu exagères, Annie! Tes amis
et ta famille sont toujours
derrière toi d’habitude.
- Ma famille? Mon père dit que je

fais une tempête dans un verre
d’eau; ma mère pense qu’il faut
faire semblant de ne rien savoir;
mon frère joue à l’autruche; ma
sœur ne veut pas s’en mêler; et
ma meilleure amie ne me croit
même pas!
- Un instant! Je ne comprends rien à ton histoire. Qu’est-

ce qui se passe au juste avec Olivier?
- Il ne m’aime plus!
- Pourquoi penses-tu qu’il ne t’aime plus?
- Je ne le pense pas; je le sais.
- Raconte-moi l’histoire depuis le début, veux-tu?

- À quoi ça sert? Tu vas faire comme les autres!

- Est-ce que tu préfères continuer à pleurer sans rien
faire?
- Qu’est-ce que je peux faire?
- Je ne sais pas, moi! Commence par parler! Tu vas voir,
tu vas aller mieux après.
- Olivier a une aventure.

- Vraiment? Ce n’est pas son genre pourtant.
- Tu vois, toi non plus tu ne me crois pas!
- Mais non, mais non. Je t’écoute.
- Il part en voyage avec sa secrétaire. Pour

trois semaines, tu imagines?
- En voyage? Un voyage d’affaires
certainement. Olivier est quand même
adjoint à la direction d’une grosse
entreprise.
- Il dit qu’il va assister à un

congrès et rencontrer des
hommes politiques et des
dirigeants d’entreprises là-bas.
Il me trompe, c’est sûr!
- Où va-t-il exactement?
- En Chine! Il part à l’autre bout
du monde avec sa secrétaire! Je
suis cocue.
- Arrête de t’en faire avec ça! Je
suis certain que tu exagères.
Olivier t’aime trop pour te briser
le cœur.
- Tu vois! Personne ne veut me
(Source : Microsoft Office) croire!

Compréhension
A-026
1. Est-ce qu’Annie est heureuse?
2. En général, est-ce que la famille appuie Annie?
3. Où va Olivier?
4. Quel travail fait-il?
5. Avec qui part-il?
Vous êtes la secrétaire d’Olivier. Écrivez une petite note à

Annie.
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La lettre de Sophie
Vocabulaire
Noms Verbes Verbes Adverbes
une famille adorer imaginer absolument
un cousin – une cousine agacer jouer aussi
un frère - une soeur aimer laisser beaucoup
un grand-papa – une aller manquer bien
grand-maman assister oublier demain
un homme – une femme avoir paraitre facilement
un idiot – une idiote avouer parler ici
un marié – une mariée coiffer penser longtemps
un oncle – une tante constater pouvoir ne pas
un papa – une maman
le corps devoir prendre quand même
un bras dire raconter souvent
un cheveu dormir regarder tellement
un chignon douter ressembler toujours
une main durer réussir très
un évènement écrire s’amuser un peu
un bonheur embrasser s’ennuyer de vraiment
un mariage espérer s’inquiéter
une noce être savoir
étudier vouloir
une pension gagner
un – une propriétaire Expressions
avoir hâte
un défi avoir la main baladeuse
un départ être à l’étranger
les échecs être en train de + infinitif
une histoire il parait que…
une niaiserie s’en faire
une nouvelle
une partie
un test

Chère maman,
Comment vas-tu? Est-ce que tu dors bien depuis mon départ?
Je sais que tu t’inquiètes toujours pour moi. Ne t’en fais pas.
Je vais très bien.
Je m’ennuie de ma petite sœur. Je

pense souvent à elle. J’aime la
prendre dans mes bras et lui raconter
des histoires. Elle me manque
beaucoup.
Je pense aussi un peu à mon frère, ce

grand idiot qui m’agace souvent. Tu sais
que je l’aime quand même. Toutefois, je
t’avoue que ses niaiseries ne me manquent
pas du tout.
(Source : Microsoft office)
Par contre, j’ai hâte de jouer aux échecs

avec papa! Les défis ne sont pas
nombreux ici. Personne ne joue
vraiment bien aux échecs. Je gagne
facilement toutes mes parties, alors ce
n’est pas intéressant…

Tu sais, la propriétaire de la pension ressemble beaucoup à
grand-maman. Elle a les cheveux blancs et elle les coiffe
toujours en chignon. Dis à grand-maman que je pense
souvent à elle. Dis-lui que je l’adore.
C’est depuis que je suis à l’étranger que je constate à quel

point j’aime ma famille. Je suis désolée de ne pas pouvoir
assister au mariage de ma cousine.
J’imagine déjà tous les cousins et cousines, tous les oncles et

les tantes en train de s’amuser. Je suis certaine que la noce
va être un évènement réussi. J’espère que le mariage va
durer longtemps, mais j’en doute.
Il parait que Rémi, le futur

marié, aime beaucoup
regarder les belles femmes. Il
a même la main baladeuse,
dit-on! Mais, n’en parle pas à
Béatrice : elle l’aime
tellement! Elle va penser que
nous ne voulons pas son
bonheur…
Je te laisse maintenant, car je

dois étudier. J’ai un test
d’anatomie demain et je dois
absolument le réussir.
Embrasse tout le monde pour
moi. Ne m’oubliez pas!
Écrivez-moi souvent, ça me
fait du bien d’avoir de vos
nouvelles!
Ta Sophie qui t’aime.

Compréhension
A-027
1. Est-ce que Sophie s’ennuie de sa soeur?
2. À quoi joue Sophie?
3. Selon Sophie, est-ce que le mariage de sa cousine est

une bonne chose?
4. Selon Sophie, quel défaut a Rémi?
5. Est-ce que Sophie aime recevoir des lettres de sa

famille?
Écrivez une lettre à un membre de votre famille.
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Les séances de magasinage
Vocabulaire
un vêtement une boutique accompagner hésiter
une botte une aubaine aller insister
un chemisier un choix chercher magasiner
une culotte un client - une comparer négocier
un débardeur cliente craquer obliger
un dessous un magasin demander opposer
une écharpe un modèle détester passer
un ensemble de ski un tissu devoir promettre
une jupe entrer refuser
un maillot de bain
essayer résister
un manteau
un avis étudier rester
une mitaine
une couleur exploser toucher
un pantalon
une expérience fêter
une robe
une folie
une robe de nuit
une sandale le froid Adjectifs
un soutien-gorge un mois affriolant - affriolante
une remarque bleu – bleue
un homme – une une rentrée coordonné – cordonnée
femme une visite
un appât délicieux – délicieuse
une blonde* - un désagréable
chum féminin - féminine
un charme harmonieux – harmonieuse
un regard impassible
un sourire incapable
Expressions jaune
avoir besoin de neuf – neuve
être à bout de souffle nouveau – nouvelle
faire à sa tête parfait – parfaite
faire les boutiques rayé – rayée
Ne plus en pouvoir rouge
sensible
soyeux – soyeuse
troublant – troublante
uni – unie
venu – venue

Je déteste aller magasiner. Pour moi, faire les boutiques est
une expérience désagréable. Et pourtant…
Tous les mois, ma blonde1 m’oblige

à l’accompagner dans les magasins
de vêtements pour dames. J’essaie
de résister, de m’opposer, de
négocier… Rien à faire! Je dois y
aller!
Quand je résiste, elle insiste.

Quand je m’oppose, elle explose.
Quand je négocie, elle promet
beaucoup en retour. Alors, je
craque chaque fois!
Au printemps, elle cherche souvent le

maillot de bain parfait. Elle entre dans
toutes les boutiques et essaie tous les
maillots : une pièce, deux pièces, bleus,
rouges, jaunes, unis, rayés, à pois… Elle
est incapable de faire son choix.
En été, elle court les aubaines.

Parfois, ce sont des sandales de
plage; parfois, ce sont des
débardeurs. Elle m’oblige à
toucher les tissus : ils sont si
soyeux! Elle m’oblige à comparer
les modèles : lequel lui va le
(Source : Microsoft Office) mieux? Je n’en peux plus!
1Au Québec, le mot «blonde» est utilisé pour désigner une petite amie, une amoureuse.
Son masculin, le mot «chum» est un emprunt à l’anglais.

Et l’automne! C’est la folie de la rentrée! Elle n’étudie plus
depuis longtemps, mais elle fête la rentrée quand même! Tout
y passe : les pantalons, les chemisiers, les robes, les jupes, les
manteaux… Je suis à bout de souffle!
En hiver, il fait si froid qu’elle a besoin d’un ensemble de ski

alpin tout neuf, de nouvelles bottes à talons hauts, de
mitaines, d’écharpes… Tous les ensembles doivent être
coordonnés; toutes les couleurs doivent être harmonieuses.
Elle hésite, demande mon avis, le refuse et fait à sa tête.
Mais le pire, ce sont les visites troublantes

dans les boutiques de lingerie pour dames…
Elle passe des heures à choisir une culotte
en soie, des heures à essayer des soutiens-
gorges et des robes de nuit. Et moi, je dois
rester impassible devant ces dessous
affriolants.
Pas un sourire, pas une

remarque et, surtout,
surtout… pas un regard
vers les délicieuses
clientes venues en
solitaire magasiner des
appâts pour des hommes
trop sensibles aux
charmes féminins!

Compréhension
A-028
1. Est-ce qu’il aime magasiner?
2. Est-ce que c’est facile pour la femme de choisir un

vêtement?
3. Quelle expression signifie que la femme n’accepte pas

les conseils de l’homme?
4. Trouvez un autre nom pour des sous-vêtements

féminins.
5. Quel mot appartient au vocabulaire de la pêche?
Aimez-vous magasiner en couple? Expliquez.
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Où suis-je?
Vocabulaire
Noms Verbes Adverbes Adjectifs

un édifice aider au moins beau - belle
un étage aller aussi bon – bonne
un hôtel arriver complètement circulaire
un kiosque attendre du tout dernier – dernière
une maison avoir (il y a) encore grand – grande
un parlement croire ici intéressant-
un restaurant devoir juste intéressante
la ville être là-bas long – longue
une allée faire mieux national –
un arrêt nationale
un autobus informer ne pas
un coin laisser partout perdu – perdue
un fleuve marcher peut-être principal –
un parc principale
une place passer présentement
une plaine pouvoir tellement prochain –
une porte prendre très prochaine
une route regarder un peu royal – royale
une rue
s’en aller simple
un site
une terrasse savoir souriant –
se rendre souriante
se trouver tournant –
voir tournante
une carte vrai – vraie
une fête
les gens (m)
une heure Le sens de l’orientation
un homme – une la gauche – la droite
femme
une marche le sud – le nord l’est – l’ouest
une minute
un problème

Une femme arrive au coin d’une rue. Elle voit un homme près
d’un arrêt d’autobus.
- Excusez-moi. À quelle heure passe le prochain autobus?

- Le prochain autobus? Quel autobus?
- L’autobus qui va à Charlesbourg. Vous n’attendez pas
l’autobus?
- Non, pas du tout. En fait, je suis complètement perdu!
- Vous êtes perdu? Est-ce que je peux vous

aider?
- Peut-être…
- Où allez-vous?
- Je m’en vais aux fêtes de la Nouvelle-
France.
- Ah oui! Le site principal des Fêtes de la (Source : Microsoft Office)
Nouvelle-France est la Place Royale.
- Oui, je sais. Le problème, c’est que je ne sais pas où je suis

présentement.
- Vous êtes en face des Plaines d’Abraham. Regardez, le
grand parc devant vous, c’est le parc des Plaines d’Abraham.
- Ah bon! Attendez que je regarde

ma carte… Je dois donc marcher
vers l’est pour me rendre à la
Place Royale!
- Oui, c’est cela.
- Et où est l’est?
- Le fleuve Saint-Laurent est au
sud de Québec. Quand vous êtes
face au fleuve, l’est est sur votre
gauche.

- C’est simple.
- Oui, mais c’est une bonne marche.
- Combien de temps ça prend d’ici à là-bas?
- Ça prend au moins 30 à 45 minutes, je crois.
- Oh! C’est long!
- Oui, mais il y a plusieurs

choses à voir sur la route.
- Qu’est-ce qu’il y a à voir?
- Vous allez passer devant le
Concorde. C’est un hôtel
avec un restaurant tournant.
Regardez. C’est l’édifice là-
bas. Le dernier étage est
circulaire.
(Source : France Hallé)
- Et qu’est-ce qu’il y a d’autre?

- Toute la Grande Allée est intéressante. Les maisons sont
belles; il y a des terrasses un peu partout; les gens sont
souriants. En plus, il fait tellement beau!
- Oui, c’est vrai.
- Vous allez aussi voir l’Assemblée nationale; c’est

notre parlement. Il se trouve juste avant la porte
Saint-Louis. Je crois que le kiosque d’information
touristique n’est pas très loin de là. On va pouvoir
vous informer encore mieux. Je
vous laisse : mon autobus arrive!
- Merci beaucoup! C’est vrai que
les Québécoises sont
sympathiques!
www.assnat.qc.ca/visite/survol/survol.html

Compréhension
A-029
1. Qui est perdu?
2. Où sont l’homme et la femme?
3. Comment est-ce que l’homme se déplace?
4. Quelle est la particularité du Concorde?
5. Où est le kiosque d’information touristique?
Un touriste est perdu en face de l’université. Il veut aller
au centre-ville de Trois-Rivières, près du fleuve. Aidez ce
touriste et identifiez quelques édifices importants.
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Bougez!
Vocabulaire

les personnes le temps aider oublier
un adolescent – une un an aller passer
adolescente un arrêt améliorer patiner
une famille un jour attendre préférer
une foule un matin augmenter prendre
des gens un midi avoir proposer
un couple une minute bouger redonner
le corps un moment calmer remonter
une concentration déjeuner respirer
une digestion un sport dépenser ressembler
une douche une activité descendre rester
un embonpoint une course essayer s’adresser
une énergie une patinoire être s’étirer
une marche un programme faire sauter
un mouvement un quartier garder se lever
une santé une vitesse jouer sortir
un sautillement un édifice manger stationner
un sommeil un ascenseur nager
un repas un bureau
une céréale une clôture
une collation une cour Expressions Adverbes
une faim une école avoir besoin de beaucoup
un fruit un escalier être en forme bien
un œuf une porte être en santé du tout
une protéine un sous-sol être occupé ne pas
un souper prendre le plus
temps
le transport une dizaine trop
un autobus une fois un peu
une automobile un jeu vidéo
un tour
un travail

Ariane et Denis Levasseur ont quarante ans. Ils ne sont pas en
forme du tout. Ils ne font pas de sport parce qu’ils sont trop
occupés. Ce gentil couple a deux adolescents qui ne bougent
pas beaucoup. Ils préfèrent les jeux vidéo!
Notre programme s’adresse à toutes les familles qui

ressemblent aux Levasseur. Nous vous proposons une foule
d’activités pour bouger une peu plus chaque jour!
Tout d’abord, le matin, quand vous vous

levez, prenez le temps de bien respirer et de
bien vous étirer. Ensuite, faites une dizaine
de sautillements sur place. Votre douche est
au sous-sol? Descendez et remontez les
escaliers deux ou trois fois avant de passer
sous la douche.
Prenez le temps de bien déjeuner. Les gens qui

sautent ce repas font plus d’embonpoint que les
autres : des études le prouvent! Mangez des
céréales de blé, des fruits et n’oubliez pas votre
protéine. Un œuf, par exemple, va calmer votre
faim jusqu’à la collation. (Source : Microsoft Office)
Au bureau, prenez les escaliers au lieu d’attendre l’ascenseur.

À l’école, jouez dans la cour au lieu de rester debout, près de la
clôture.

Le midi est un excellent moment
pour dépenser de l’énergie.
Prenez une marche : sortir
prendre l’air redonne de l’énergie
et améliore la concentration.
Essayez d’augmenter un peu plus
votre vitesse de marche chaque
jour.
Si vous avez des courses à faire après le travail, stationnez

votre automobile loin de la porte d’entrée et marchez! Vous
prenez l’autobus? Descendez un arrêt plus tôt!
Après un bon souper, faites trente minutes de marche. Ça

aide à la digestion et au sommeil. Allez patiner à la patinoire
du quartier, allez nager un peu à la piscine municipale, faites
un tour de vélo, bougez!
Votre corps a besoin de vous. Gardez-le en mouvement : il va

vous garder en santé!

Compréhension
A-031
1. Est-ce que la famille Levasseur est sportive?
2. Qu’est-ce qui arrive quand on ne déjeune jamais?
3. Quelle activité physique recommande-t-on le midi?
4. Qu’est-ce qu’on peut faire au lieu de prendre

l’ascenseur?
5. Pourquoi faut-il faire de l’exercice après le souper?
Êtes-vous actif physiquement? Expliquez.
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Le printemps
Vocabulaire

la nature le potager adorer fort
un arbre une asperge aimer particulièrement
un bourgeon la laitue annoncer plus
un crocus un légume apprécier si
une feuille un radis avoir (il y a) toujours
une fleur une salade chanter très
une fougère commencer un peu
une herbe le temps crier un peu de
la neige un jour éclore
un nid une journée être Adjectifs
un perce-neige un matin faire bleu - bleue
une plante un mois fleurir chaud - chaude
un sous-bois fondre délicieux -
la terre délicieuse
une tête de violon enroulé - enroulée
le corps former
la verdure
un nez gouter fort - forte
un œil – des yeux mettre frais - fraiche
une oreille pousser froid - froide
une saison la peau préférer hâtif - hâtive
une chaleur une papille recommencer humide
une corneille reprendre irrésistible
un début un air ressembler petit - petite
un hiver une arrivée réveiller préféré - préférée
une odeur le beurre revenir premier - première
un printemps une boule s’éveiller savoureux -
une tempête de neige un chant savoureuse
une couleur s’habiller
une fin s’installer
un gout savourer
une joie se lever
un retour sentir
le soleil signifier
une vie
une ville

J’aime le printemps. C’est ma saison préférée. L’arrivée du
printemps signifie la fin de l’hiver, la fin du temps froid.
Au printemps, la neige commence à fondre. Bien sûr, il y a

toujours une ou deux tempêtes de neige à la fin du mois de
mars ou au début du mois d’avril. Mais, le printemps annonce
le retour de la chaleur.
J’aime le printemps parce que la

nature s’éveille. Elle est si forte!
Les premières fleurs poussent à
travers la neige. Les perce-neiges
et les crocus fleurissent enfin.
Au printemps, les oiseaux reviennent faire leurs nids chez

nous. Ils chantent très fort toute la journée. Le matin, dès
que le soleil se lève, les corneilles crient leur joie et elles nous
réveillent.
L’odeur du printemps est irrésistible. Qu’est-ce que ça sent le

printemps? Ça sent la terre humide, ça sent l’air frais, ça sent
le ciel bleu, ça sent l’herbe qui reprend vie. Bref, ça sent la
vie!
Chaque jour, il fait un peu

plus chaud. Chaque jour, les
arbres s’habillent un peu plus.
Les bourgeons éclosent et les
feuilles poussent. La verdure
s’installe partout dans ma
ville. Le printemps met de la
couleur dans ma vie!

Le printemps, c’est aussi la saison des
têtes de violon. J’adore ce légume!
C’est une plante, une fougère, qui
pousse dans les sous-bois. Au
printemps, ses feuilles sont enroulées.
Elles forment une petite boule qui
ressemble à une tête de violon. C’est
(Photo : France Hallé) délicieux dans une salade!
Oui, le printemps goute bon! Dans le potager, la laitue hâtive

et les radis préfèrent le temps frais des mois de mai et juin.
Moi, j’adore particulièrement les asperges. Avec un peu de
beurre, c’est savoureux!
Le printemps est ma saison préférée parce que la vie reprend,

parce que la vie recommence. Mes yeux apprécient les
couleurs du printemps; mes oreilles aiment les chants du
printemps; ma peau adore la chaleur du printemps; mon nez
adore les odeurs du printemps; et mes papilles savourent le
gout du printemps!

Compréhension
A-033
1. Est-ce qu’il y a des tempêtes de neige au printemps?
2. Quelles fleurs annoncent le printemps?
3. Où est-ce qu’on peut trouver des têtes de violon?
4. À quelles parties du corps reliez-vous les cinq sens?

a. L’ouïe :
b. La vue :
c. L’odorat :
d. Le toucher :
e. Le gouter :
Est-ce que le printemps est semblable chez vous?
Expliquez.
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Isabelle
Vocabulaire
Noms Verbes Adjectifs Adverbes

une personne aimer dernier - dernière aujourd’hui
un ami – une amie avoir attentionné – beaucoup
un/une autre attentionnée
un garçon - une fille comprendre authentique en général
un groupe conduire beau – belle forcément
un parent connaitre différent – juste
un prince – une différente
princesse demander difficile maintenant
dire drôle même
le corps écrire facile mieux
une bouche être généreux - moins
un œil – des yeux généreuse
faire imparfait - ne pas
imparfaite
juger important - parfois
importante
un an paraitre intelligent - peut-être
intelligente
une assurance parler invisible plutôt
un essentiel penser joli – jolie très
un fauteuil pouvoir nouveau - trop
nouvelle
un genre préserver optimiste un peu
une image regarder pessimiste vite
une lettre répondre populaire Expressions
une mode rire riche à la mode
une modestie s’acheter roulant - roulante avoir de l’assurance
une nature s’intéresser secret - secrète avoir le sens de
l’humour
un passage savoir sensible avoir peur
une question se maquiller seul – seule avoir tendance
le temps se retourner superficiel - être la coqueluche
superficielle
un vêtement se tenir sympathique
une vie vouloir vrai – vraie

Cher Alexandre,
Je t’écris aujourd’hui pour répondre à tes questions. Dans ta

dernière lettre, tu me demandes de te parler d’Isabelle. Je
connais Isabelle depuis cinq ans, alors c’est facile pour moi
de t’en parler.
Isabelle est une jolie fille.

D’ailleurs, elle est peut-être un
peu trop jolie. Elle sait que les
garçons se retournent sur son
passage. Elle sait qu’on la
regarde. Forcément, elle a
beaucoup d’assurance, mais un
peu moins de modestie.
Elle a tendance à vouloir que

tout le monde la regarde. Elle
se tient avec des filles de son
genre. Quel genre? Tu sais, des
filles qui se maquillent
beaucoup, des filles qui
(Source : Microsoft Office) s’achètent des vêtements à la
mode, des filles très «sexys».
Bref, Isabelle parait un peu superficielle. Beaucoup même.
Mais je la connais depuis cinq ans et je sais qu’elle n’est
pas superficielle. En fait, elle est plutôt profonde et
sympathique. Quand on est toutes les deux, on parle de
tout. Elle s’intéresse à moi. Elle s’intéresse aux autres en
général.
Et puis, Isabelle a le sens de l’humour. Elle est très drôle

parfois. Bien sûr, quand elle est en groupe, elle n’aime pas
faire rire d’elle. Elle a son image à préserver!

On peut dire qu’Isabelle est d’une nature optimiste. Difficile
d’être pessimiste quand on est la coqueluche de l’école! Tu
sais, la vie est facile pour elle. Elle est belle, intelligente,
populaire… En plus, ses parents sont très riches!
Alors, qu’est-ce qu’elle fait avec une fille

comme moi? Je suis son amie secrète.
Parfois, je me dis que je suis sa seule
vraie amie. Avec moi, elle est sensible,
attentionnée, généreuse. Je pense que
c’est sa vraie nature. Elle n’a pas peur
d’être imparfaite, elle peut juste être
authentique. Moi, je suis son amie pour
la vie. Avec les autres, c’est différent.
L’image est trop importante.
Voilà. Tu la connais un peu mieux maintenant. Ne la juge

pas trop vite. Elle a besoin de temps pour comprendre que
«l’essentiel est invisible pour les yeux» comme dit le petit
Prince de Saint-Exupéry.
Ton amie,
Caroline
(Sais-tu que j’ai un nouveau fauteuil roulant que je conduis

toute seule avec ma bouche?)

Compréhension
A-034
1. Depuis quand est-ce que Caroline connait Isabelle?
2. Est-ce qu’Isabelle est modeste?
3. Comment est Isabelle en groupe?
4. Comment est Isabelle avec Caroline?
5. En quoi Caroline est-elle différente des autres?
Décrivez votre meilleur(e) ami(e) à Alexandre.
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Les colocataires
Vocabulaire
Noms Noms Noms Adjectifs
une personne une université un travail agréable
un ami – une amie un baccalauréat un intérêt chaud - chaude
un assistant – une la comptabilité un poste collégial - collégiale
assistante un cours une responsabilité disparate
un chanceux – une un doctorat une tâche domestique
chanceuse une étude le temps facile
un / une colocataire un laboratoire une année froid - froide
un étudiant – une une maitrise une fin de semaine grand- grande
étudiante la microbiologie une heure inscrit - inscrite
un garçon – une fille un programme un jour littéraire
un appartement une recherche une journée même
un aspirateur une science un matin partiel - partielle
une cuisine une session une semaine petit – petite
une douche un soir plein - pleine
une eau propre
une résidence pur - pure
une salle de bain un défaut spécial - spéciale
une épicerie une difficulté la musique troisième
une facture une limite le country universitaire
une nourriture un nerf un écouteur Expression
un plat un réservoir une oeuvre prendre au sérieux
un repas le secondaire
un souper le théâtre
un ton
Verbes Verbes Verbes Adverbes
adorer faire rester aujourd’hui

aller fréquenter s’entendre beaucoup
analyser garder s’inscrire bien
avoir inviter s’intéresser déjà
choisir lever s’occuper ensemble
compter lire se consacrer évidemment
cuisiner manger se disputer longtemps
devenir mettre se donner ne pas
devoir nettoyer se laver particulièrement
diviser occuper se préparer peu
écouter partager tomber plutôt
entrer passer veiller probablement
étudier passionner venir si
épousseter payer vider toujours
être prendre vivre trop
vouloir

Sarah, Laurence et Ariane partagent le même appartement.
Elles sont colocataires. Elles vivent dans les résidences
universitaires, mais elles n’étudient pas dans le même
programme.
Sarah vient d’entrer à l’université. Elle étudie en

comptabilité. Elle est inscrite à cinq cours cette session. Elle
fréquente donc l’université à temps plein. La plupart de ses
cours se donnent le jour, sauf un qui se donne le mercredi
soir.
Laurence étudie en lettres. Elle passe

de grandes journées à lire et à
analyser des œuvres littéraires. Elle
est en troisième année d’un
programme de baccalauréat. Laurence
s’intéresse particulièrement au
théâtre d’avant-garde. Elle compte
s’inscrire à la maitrise au printemps.
Ariane adore les sciences depuis sa troisième

secondaire. Après des études collégiales en
sciences pures, elle a choisi un programme
universitaire en microbiologie. Elle consacre
beaucoup de temps à ses études. La
chanceuse occupe aussi un poste à temps
partiel comme assistante de laboratoire. Elle
prend ce travail au sérieux. D’ailleurs,
l’étudiante de deuxième année veut déjà faire
une maitrise et un doctorat. La recherche la
passionne.

Les trois filles s’entendent plutôt bien
malgré leurs intérêts disparates.
Elles partagent toutes les tâches
domestiques sans trop de problèmes.
Chacune a ses responsabilités.
Par exemple, Sarah s’occupe de nettoyer la salle de bain

chaque semaine. Ariane époussette et passe l’aspirateur
dans l’appartement. Quant à Laurence, elle garde la cuisine
propre.
Évidemment, l’heure des repas n’est pas toujours facile. Qui

va faire le souper aujourd’hui? Qu’est-ce qu’on mange? Qui
paye pour la nourriture? En général, chacune prépare son
propre repas. Mais, pour les fins de semaine, elles font
l’épicerie ensemble et divisent la facture. Elles cuisinent
ensemble des petits plats spéciaux.
Est-ce qu’elles se disputent de temps à

autre? Bien sûr! Laurence reste si
longtemps dans la douche qu’elle vide le
réservoir à eau chaude. En plus d’avoir peu
de temps pour se préparer le matin, Ariane
et Sarah doivent se laver à l’eau froide! Ce
n’est pas toujours agréable…
Et puis, quand Ariane étudie, elle écoute de la musique

country… sans écouteurs! Souvent, elle veille jusqu’à
minuit. Ça tombe vraiment sur les nerfs de Sarah. Et le
défaut de Sarah? C’est d’inviter n’importe qui n’importe
quand. Parfois, Laurence et Ariane doivent lever le ton et
mettre leurs limites. Malgré ces difficultés, elles sont
devenues de grandes amies et vont probablement le rester
longtemps.

Compréhension
A-035
1. En quelle année universitaire est Sarah?
2. Est-ce que Laurence est inscrite à la maitrise?
3. En quoi est-ce qu’Ariane étudie?
4. Qui fait l’épicerie la fin de semaine?
5. Quel est le défaut de chaque fille?
Décrivez vos colocataires.
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Un samedi étourdissant
Vocabulaire
Noms Noms Verbes

une personne la cuisine accélérer passer
un adolescent – une un coin repas aller pouvoir
adolescente un déjeuner applaudir prendre
un ami – une amie un garde-manger arriver profiter
un cordonnier – une un plat avoir provoquer
cordonnière une provision commencer ranger
un dernier – une un sandwich congeler reconduire
dernière un souper courir regarder
un enfant une table cuisiner rentrer
un parent la vaisselle dire réparer
être repasser
le temps une boutique exister reprendre
un an une cordonnerie faire rester
une fin d’après-midi un nettoyeur falloir (il faut) s’arrêter
une heure un vêtement finir s’assoir
un jour un soulier laisser sortir
une journée un tailleur manger tomber
un matin un talon mettre travailler
un moment une maison
une pause un lit
un réveille-matin
un samedi une activité
une semaine un aréna
un déplacement un but
une course un centre Expressions
un détour un cinéma avoir besoin
un taxi un cours faire (de) la popote
une équipe faire l’épicerie
un journal faire la grasse matinée
un monde faire les courses
une paire faire un détour
une partie ne pas être de tout repos
une réparation tirer du lit
un tremblement trainer au lit
de terre

Quand on travaille la semaine et qu’on a quatre enfants, les
samedis ne sont pas de tout repos! Il n’est pas question de
faire la grasse matinée. Pour les parents, trainer au lit, ça
n’existe pas!
Le samedi matin commence à 6 heures 30! Eh oui,

l’adolescent de treize ans passe le journal! Alors, il met son
réveille-matin si fort qu’il provoque un tremblement de terre
dans la maison. Malgré tout, il a besoin de maman pour le
tirer du lit!
Tant qu’à être réveillé, aussi bien

commencer à faire un peu de popote. Il
faut bien cuisiner un peu et congeler les
plats pour accélérer les soupers pendant
les jours de semaine. Quand tout le
monde est bien réveillé, on s’assoit à
table pour déjeuner.
Bon, il est 9 heures. C’est l’heure des cours de natation des

plus jeunes. L’ainé a une partie de hockey à 11 heures. Il faut
être à l’aréna à 10 heures. C’est la course du taxi qui
commence. Il faut aller reconduire chaque enfant à ses
activités.
En même temps, on en profite pour reprendre

un tailleur chez le nettoyeur. On laisse une
paire de souliers chez le cordonnier. Il va
réparer ce talon dans la journée même. Il dit
qu’on peut repasser en fin d’après-midi. C’est
noté!

Vite, il faut passer reprendre tout ce petit
monde et courir vers l’aréna. Qu’est-ce qu’on
mange? On sort les sandwichs préparés le
matin et on applaudit à chaque but de notre
équipe.
Le samedi après-midi, c’est le moment de faire

les courses. Ça prend des vêtements plus
grands ou plus mode pour les enfants; on
s’arrête dans toutes les boutiques pour
adolescentes; on prend une pause au coin
repas du centre commercial. Oups! On fait un
détour par la boutique de musique.
Heureusement, il reste un peu de temps pour faire l’épicerie et

arrêter une autre fois à la cordonnerie. Belle réparation! On
arrive épuisé à la maison. On s’assoit? Mais non! On range les
provisions dans le garde-manger, on regarde l’heure et… il est
grand temps de faire le souper. Après la vaisselle, on reprend le
taxi : en route vers le cinéma, puis vers la maison d’un ami. Le
dernier rentre à minuit! On finit la journée complètement
étourdi et on tombe dans son lit!

Compréhension
A-036
1. Est-ce que la musique réveille l’adolescent?
2. Quand est-ce que le cordonnier va réparer les

souliers?
3. Où est-ce qu’on dine?
4. Qu’est-ce qu’on fait quand on arrive à la maison?
5. À quelle heure arrive le dernier adolescent?
Que faites-vous le samedi?
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Un bruit indéfinissable
Vocabulaire
Noms Verbes Verbes

une maison aller gratter
une clé attendre grimper
une entrée avoir (il y a) halluciner
une fenêtre chercher penser
une ouverture cogner pouvoir
une porte devoir répondre
un rebord dire respirer
un/une moustiquaire écouter rester
un bruit entendre savoir
un cri entrer sortir
être surveiller
une auto falloir (il faut) vouloir
un chat
un dos
un frisson Les contraires
un homme - une femme quelqu’un personne
une minute quelque chose rien
un verre quelque part nulle part
l’un l’autre
n’importe quoi

Il est minuit. Deux femmes cognent à la porte d’une vieille
maison isolée au milieu de nulle part.
- Est-ce qu’il y a quelqu’un?

- …
- Marie, je pense qu’il n’y a
personne.
- C’est impossible, Luce. J’entends
quelque chose.
- Mais non, il n’y a rien. Tu
hallucines!
- Je te dis que j’ai entendu quelque chose!

- Peut-être qu’on ne veut pas nous répondre.
- Écoute! Entends-tu?
- ?
- Luce, c’est un drôle de bruit.

- Oui, c’est quelque chose de bizarre.
- Il y a peut-être quelqu’un en détresse?
- Tu penses? On doit aller chercher de l’aide alors.
- Où ça?
- Je ne sais pas moi! Il y a certainement quelqu’un quelque

part qui peut nous aider.
- Luce, on n’a nulle part d’autre où aller! Et notre auto est en
panne!
- Alors, il faut attendre.
- Non, il faut entrer.

- Tu dis n’importe quoi, Marie!
- Pourquoi?
- On ne peut pas entrer : la porte est fermée à clé.
- Oui, mais la fenêtre est ouverte, elle.
- Écoute! C’est encore ce bruit.

- C’est quelqu’un qui respire difficilement!
- Ou bien c’est un chat qui gratte à la porte…
- Mais non, Luce, le chat peut sortir par la fenêtre s’il le
veut. Il n’y a pas de moustiquaire.
- Ça me donne des frissons dans le dos!

- Allez, on entre.
- Je reste ici pour surveiller l’entrée, d’accord?
- On y va ensemble, toutes les deux.
Les deux femmes ont grimpé sur le rebord de la fenêtre

entrouverte. Elles ont élargi l’ouverture et sont entrées
dans la maison l’une après l’autre.
Deux minutes plus tard, on a entendu un cri de femme et un

bruit de verre cassé.

Compréhension
A-037
1. Est-ce que la maison est dans un quartier résidentiel?
2. Qui a peur d’entrer?
3. Est-ce que les femmes peuvent partir?
4. Par où est-ce que les femmes veulent entrer?
5. À quoi ressemble le bruit?
Continuez le récit.
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Voyage en Europe
Vocabulaire
Noms Verbes
les gens aimer
un ami – une amie aller
un chanceux – une chanceuse arriver
un / une guide avoir
un voyage commencer
un hébergement devoir
un musée être
un pays étudier
un paysage faire
une région laisser
un tour obliger
des vacances (f) parler
un cours partir
une classe payer
des études (f) penser
une session préférer
le temps prendre
un été profiter
une durée rester
une fin revenir
un art s’inscrire
un billet savoir
des frais (m) se promener
une histoire servir
un prétexte traverser
un souffle visiter
Expressions voir
arriver en avance vouloir
faire les vendanges voyager

Sophie et Michel sont arrivés en avance en classe. Ils en
profitent pour parler un peu.
- Qu’est-ce que tu as fait pendant tes vacances, Sophie?
- Je suis allée en Europe.
- Combien de temps es-tu restée là-bas?
- J’y suis restée tout l’été.
- C’est extraordinaire, ça! Est-ce que tu es partie toute seule?

- Non, je suis partie avec Karine, ma meilleure amie. On est
allées étudier et on a voyagé un peu.
- Oh! C’est un voyage d’études,

alors?
- En fait, les études sont le prétexte
au voyage. Je me suis inscrite à
des cours d’italien à Naples.
Comme ça, mes parents m’ont
laissée partir.
Naples (Source : Microsoft Office)
- Et ils ont payé ton voyage?

- Ils ont payé le billet d’avion, les frais de scolarité et
l’hébergement pendant la durée du cours. J’ai payé le reste.
- Tu as eu du temps pour voir du pays?
- Oui, je suis partie tout de suite après la fin de la session

universitaire…
- En mai?
- J’ai pris l’avion le 27 avril. Mes cours ont commencé le 1er
mai. J’ai étudié jusqu’au 15 juillet. Ensuite, je me suis
promenée un peu partout en Europe.

- Où es-tu allée?
- Avec Karine, on a fait le tour de
l’Italie. Après, on a traversé
l’Autriche et la Hongrie. Puis, on a
visité un ami en Slovaquie. Il nous
a servi de guide dans son pays et en
République Tchèque.
Église St-Nicolas à Prague

- Quel pays as-tu préféré?

- Je pense que c’est l’Allemagne.
Les paysages sont à couper le
souffle. Et puis les gens sont très
accueillants. Bien sûr, Karine
m’a obligée à visiter cinquante
musées! Tu sais comme elle aime
l’histoire et l’art!
- 50 musées! Heidelberg en Allemagne
- Beaucoup de musées! (Source : Microsoft Office)
- Finalement, on est arrivées en

France vers le 15 aout. On a
visité Paris, mais on a surtout fait
la région des vins. Papa n’a pas
voulu que je reste pour faire les
vendanges! J’ai dû revenir…
mais, Karine est restée, elle!
- La chanceuse!
Le musée du Louvres à Paris


Compréhension
A-038
1. Quel est le prétexte de ce voyage en Europe?
2. Qui a payé le voyage?
3. Quels pays ont visité les deux jeunes filles?
4. Qu’est-ce que Karine aime particulièrement visiter?
5. Pourquoi est-ce que la jeune fille n’est pas restée en

France avec Karine?
Racontez un de vos voyages.
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La chute
Vocabulaire

une personne la route aider poser
un / une une adresse aller prendre
automobiliste une bicyclette arriver protéger
un ambulancier – un chemin composer remonter
une ambulancière une collision déplacer rencontrer
un ami – une une intersection descendre repartir
amie une piste emprunter rester
un camionneur – une route entrer rouler
une camionneuse une rue éviter s’arrêter
un voleur – une un véhicule faire s’assoir
voleuse un vélo mettre se diriger
un accident un travail monter stationner
une civière un bureau partir surgir
un collet un ordinateur pédaler tomber
un hôpital perdre voir
un secours placer vouloir
un édifice
un escalier un cadenas Adjectifs
un étage un équilibre autre
une maison un saut cervical - cervicale
le temps un signe cyclable
une heure gouvernemental -
une minute gouvernementale
grand - grande
même

Hier, Paul est parti de la maison vers huit heures. Il a pris sa
bicyclette pour aller au travail. Il a emprunté la même route que
d’habitude. Il a roulé jusqu’à la piste cyclable.
Sur son chemin, il a rencontré une

amie. Ils ont fait route ensemble.
Tout à coup, un autre cycliste a surgi
d’une intersection. Il ne s’est pas
arrêté. Paul et Jeanne ont évité la
(Source : Microsoft Office) collision de justesse.
Malheureusement, Jeanne a perdu l’équilibre et elle est tombée

au milieu de la rue. Paul est descendu de son vélo pour aider
Jeanne. Il a fait de grands signes aux automobilistes. Un
camionneur s’est arrêté. Il est descendu de son véhicule.
Paul et le camionneur n’ont pas voulu déplacer Jeanne. Le

camionneur est reparti, il est monté dans son camion et il a
composé le 911.
Les secours sont arrivés cinq

minutes plus tard. Les
ambulanciers ont posé un collet
cervical à Jeanne. Ils l’ont
placée sur une civière et ils sont
partis à l’hôpital avec elle.

Le camionneur a placé la bicyclette de Jeanne dans son camion.
Il a pris l’adresse de Paul et il est parti.
Paul est remonté sur son vélo et il a pédalé

doucement jusqu’au bureau. Il a stationné sa
bicyclette et il a mis un cadenas pour la
protéger des voleurs. Il est entré dans
l’édifice gouvernemental. Il s’est dirigé vers
les escaliers et il est monté au troisième
étage.
Évidemment, Paul est arrivé en retard au travail. Il s’est assis

devant son ordinateur vers neuf heures quinze. Il est resté au
bureau jusqu’à quatre heures. Ensuite, il a fait un saut à
l’hôpital pour voir Jeanne.

Compréhension
A-039
1. Qui est-ce que Paul a rencontré hier?
2. Est-ce que le troisième cycliste a frappé Jeanne?
3. Qu’est-ce que les ambulanciers ont fait?
4. Comment est-ce que Paul protège sa bicyclette?
5. Quelle expression signifie «faire un bref arrêt»?
Imaginez le parcours du troisième cycliste.
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Le rendez-vous
Vocabulaire
Noms Verbes Verbes

la nourriture accompagner inviter
un jambon acheter manger
une lasagne adorer oser
une salade aller oublier
un sandwich apporter partir
une cafétéria arriver pouvoir
une file assoir prendre
un lunch attendre rattraper
un plat avoir regarder
un plateau choisir rester
un repas commencer réussir
un concert courir revenir
un billet croire saluer
devoir se diriger
une bibliothèque diner se passer
une expérience dire surveiller
une heure être venir de
une minute faire voir
un rendez-vous
un signe
Expressions Adverbes Adverbes

passer prendre encore sûrement
quelqu’un ensemble tantôt
juste tout de suite
peut-être très
plus tard un peu

Dès que Julien voit Émilie à la cafétéria, il se dirige vers elle.
- Qu’est-ce que tu fais, Émilie?
- J’attends Fred.
- Fred? Il vient juste de partir!
- Il est parti? Non, il va sûrement revenir. On doit diner
ensemble.
- Pourtant, je l’ai vu tantôt. Il a mangé

seul et il est parti. Il a dû oublier
votre rendez-vous.
- Julien, tu es sûr que c’est Fred que tu
as vu?
- Oui, je l’ai même salué.
- Je vais attendre encore un peu avant

de manger. Juste au cas où.
- Est-ce que je peux attendre avec toi,
Émilie?
- Bien sûr. Assois-toi.
Julien s’assoit en face d’Émilie
- As-tu ton lunch ou est-ce que tu manges à la cafétéria?
- Je vais acheter mon repas.
- Vas-y tout de suite alors, la file est très longue. Moi, je vais
surveiller. Si Fred revient, je lui dis de t’attendre.
- Vraiment? Tu es gentil. J’y vais.
Fred arrive pendant qu’Émilie est partie.

- Julien, est-ce que tu as vu Émilie? Je
dois diner avec elle.
- Vraiment? Pourtant, elle vient juste de
partir. Elle a mangé seule et elle est
partie. Elle a dû oublier votre rendez-
vous. Si tu cours vite, tu peux peut-être
la rattraper. Je crois qu’elle est allée à la
bibliothèque.

Fred part vers la bibliothèque. Quelques minutes plus tard,
Émilie revient avec son plateau.
- Alors Julien, Fred n’est pas arrivé?
- Non, pas de signe de Fred.
- Tant pis, je vais manger sans lui. Est-ce que tu as ton
lunch?
- Oui. Je peux manger avec toi?

- Bien sûr, reste. Qu’est-ce que tu as apporté de bon?
- J’ai un sandwich au jambon et une salade césar. Et toi,
qu’est-ce que tu as choisi?
- La lasagne et la salade césar. Je n’ai pas osé prendre le plat
de lentilles… J’ai déjà eu une mauvaise expérience ici avec
ce plat.
Ils commencent à manger. Julien regarde souvent Émilie. Il

est un peu nerveux. Puis, il se décide.
- Émilie, est-ce que tu es libre samedi soir?
- Oui. Pourquoi?
- J’ai réussi à avoir deux billets pour le concert de Simple
Plan. Tu veux m’accompagner?
- Simple Plan? J’adore Simple Plan! C’est très gentil de
m’inviter. Tu passes me prendre à quelle heure?

Compréhension
A-040
1. Qui a rendez-vous pour le diner?
2. Est-ce qu’Émilie a mangé seule?
3. Où est-ce que Fred cherche Émilie?
4. Pourquoi est-ce qu’Émilie n’a pas choisi le plat de

lentilles?
5. Quel spectacle a lieu samedi soir?
Fred revient à la cafétéria au moment du dessert. Écrivez

la suite.
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Le notaire et l’acheteuse
Vocabulaire

une personne acheter aujourd’hui
un acheteur – une aller beaucoup
acheteuse apercevoir bientôt
un – une enfant connaitre ensemble
un fils – une fille dépendre maintenant
un père – une mère dire ne pas
un/une notaire être
une famille faire peut-être
une génération habiter plus
une relève imaginer souvent
une boutique parler toujours
une chaine pouvoir tranquillement
un tissu pratiquer Expressions
une bâtisse prendre aller à la rencontre
une croix rappeler de quelqu’un
une école replacer avoir raison
une visite rester faire une croix sur
se promener quelque chose
se souvenir de prendre la relève
un coin sortir qu’est-ce que tu fais
trouver de + adjectif
une ligne vouloir replacer quelqu’un
un mois voyager sortir avec quelqu’un
un parc
une rue
un travail
une vie

Solange aperçoit Gérald dans un parc. Il se promène
tranquillement. Elle va à sa rencontre.
- Bonjour. Vous êtes bien Gérald Latendresse?
- Oui, c’est moi. On se connait peut-être?
- Gérald! C’est moi, Solange!
- Solange… Solange? Je suis désolé, je ne vous replace pas.
- Solange Bellehumeur, ça te rappelle

quelque chose?
- Non, pas vraiment. Est-ce qu’on est allés
à l’école ensemble?
- On peut dire ça, oui.
- À l’école secondaire?
- Oui. On est sortis ensemble pendant
huit mois en troisième secondaire.
- Solange? Solange! Ce n’est pas vrai! Tu parles! Je me

souviens de toi maintenant! Est-ce que tu habites toujours
dans la rue Dauphinais?
- Non. Je reste à Montréal. Je suis en visite dans le coin
aujourd’hui. Et toi, qu’est-ce que tu fais de bon?
- Moi? Je suis notaire. Je pratique dans la même bâtisse que

mon père.
- Bien sûr, dans la famille Latendresse, on est notaire de père
en fils depuis longtemps.
- Depuis cinq générations. Et bientôt, on va être notaire de
père en fille.

- Vraiment? Tu es père? Toi,
Gérald? Et ta fille va prendre
la relève? Combien d’enfants
as-tu?
- J’en ai six.
- Six? Wow! C’est une grosse
famille!
- Et toi, Solange? Que fais-tu
dans la vie?
- Moi, je suis acheteuse pour

une chaine de boutiques pour
enfants. Alors, je voyage
beaucoup. Je vais souvent en
Europe et aux États-unis pour
acheter des tissus ou trouver
une nouvelle ligne de
vêtements. J’aime beaucoup
mon travail.
- Est-ce que tu as des enfants?

- Non. C’est curieux, n’est-ce pas?
- Ça dépend. Est-ce que tu veux des
enfants?
- Non, plus maintenant. J’ai fait une
croix là-dessus.
- L’important c’est d’être heureux dans la (Source : Microsoft Office)
vie avec nos choix, pas vrai?
- Oui, j’imagine que tu as raison.

Compréhension
A-041
1. Où habite Solange?
2. Quel est le métier de Gérald?
3. Combien d’enfants a Solange?
4. Qui va succéder à Gérald à son étude?
5. Quelle expression signifie «renoncer»?
Quel métier a exercé votre père ou votre mère?
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Attendre…
Vocabulaire

un vêtement aller blanc - blanche
une chaussure attendre bleu – bleue
une jupe avertir fameux - fameuse
un pantalon avoir long - longue
un pied chercher prêt - prête
une poche descendre
un tricot détester Adverbes
une veste donner beaucoup
un veston être bien
une personne faire d’habitude
un chéri – une chérie fouiller encore
un monsieur – une mettre enfin
madame partir finalement
porter ici
un billet pouvoir ne pas
une dent prendre ne plus
un dentifrice regarder partout
un escalier retourner plus
un pied s’en venir presque
une minute s’habiller tard
s’impatienter tôt
se brosser tout à fait
Expressions se calmer trop
avoir besoin de se dépêcher un peu
être en retard se préparer vite
faire exprès soupirer
trouver
voir

Monsieur attend madame au pied des escaliers.
- Est-ce que tu es prête?
- Non, pas tout à fait.
- Dépêche-toi, je t’attends.
- D’accord, donne-moi une minute.
Cinq minutes plus tard…

- Qu’est-ce que tu fais?
- Je me brosse les dents, mais je ne
trouve pas le dentifrice!
- Peut-être qu’il n’y a plus de
dentifrice?
- Oui, ça va, je l’ai trouvé!
Cinq autres minutes plus tard…

- Bon, tu t’en viens?
- Je cherche ma veste blanche. Je ne la
trouve pas!
- Tu n’as pas de veste blanche!
- Mais oui, j’ai une veste blanche. C’est la
veste longue en tricot, celle que je porte
avec ma jupe bleue d’habitude!
- Si tu ne trouves pas la veste blanche, mets
la bleue!
- Oh, je l’ai trouvée! Je m’habille et je
(Source : Microsoft
descends. Office)
Dix minutes plus tard…

- Franchement, tu fais exprès! Ça prend beaucoup trop de
temps! Qu’est-ce que tu fais?
- Je me prépare, calme-toi!

- Tu te prépares? Combien de temps as-tu besoin pour te
préparer? Je t’avertis : je vais partir sans toi!
- Sois gentil, attends-moi encore une minute, je suis presque
prête.
- Une minute. Pas plus!
Cinq minutes plus tard, elle descend enfin.

- Bon, il n’est pas trop tôt! Mais où sont tes chaussures? Tu
n’as pas de chaussures?
- Oui, j’ai des chaussures, elles sont ici à côté de toi.
- Mets-les vite, on va être en retard au spectacle.
- Est-ce que tu as les billets, chéri?

- Les billets? Non, je n’ai pas les billets. C’est toi qui as les
billets!
- Regarde! Tu vois bien que je n’ai pas les billets! D’ailleurs,
je n’ai pas de billets du tout. Tu as un peu d’argent?
Il cherche partout, il retourne les poches de son pantalon, il

fouille dans son veston. Elle soupire et s’impatiente un peu.
Finalement, il trouve les fameux billets.
- Je les ai. On peut partir.
- Il n’est pas trop tôt! Je déteste attendre après toi!

Compréhension
A-042
1. Est-ce que l’homme est patient?
2. Que fait la femme en haut?
3. Quelle expression signifie «avec l’intention de…»?
4. Où va le couple?
5. Qu’est-ce que l’homme cherche?
Combien de temps prenez-vous pour vous préparer?
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Une fin de semaine à Québec
Vocabulaire
Noms Verbes
une personne un hébergement accompagner paraitre
un animateur – une un appartement aller parler
animatrice un divan connaitre partir
un duc – une un hôtel couter penser
duchesse une résidence croire pouvoir
un étudiant - une une université dépenser prendre
étudiante déplacer rentrer
un frère – une soeur discuter réserver
un groupe dormir rester
le transport une sortie espérer revenir
un autobus une activité essayer s’inscrire
un choix être se joindre
le temps une discothèque faire sembler
un après-midi une réunion fonctionner téléphoner
une fin de semaine une tournée intéresser venir
une heure une ville magasiner vérifier
un matin le Vieux Québec ouvrir vouloir
une nuit
une soirée
un prix un bureau
un dollar un centre Adverbes
une fortune un local à peu près encore
un magasin au pis aller ne pas
une place beaucoup tard
une quarantaine cher vraiment
un service déjà
un vêtement
Expressions
dépenser une fortune
faire la tournée des grands ducs
il est temps de
il me semble
il parait que
il y a

Deux étudiantes discutent de leur fin de semaine.
- Qu’est-ce que tu fais en fin de semaine?
- Je vais à Québec avec le groupe. Pourquoi? Tu ne t’es pas
inscrite?
- Non. Je ne suis pas allée à la réunion d’information. Est-ce
qu’il est encore temps de s’inscrire?
- Je pense que oui. Va au local des animateurs pour vérifier.
- Je vais y aller cet après-midi.

Le bureau ouvre à 13 heures.
- J’espère que tu vas venir à
Québec : ça va être vraiment
agréable.
- À quelle heure est-ce que
l’autobus part?
(Source : Microsoft Office) - On part samedi matin à
8 heures 30. L’autobus revient
en soirée, vers minuit, je crois.
Mais moi, je reste à Québec
jusqu’à dimanche.
- Où vas-tu dormir? À l’hôtel?

- J’ai téléphoné à l’Université Laval. J’ai réservé un
appartement dans les résidences pour la fin de semaine. On
est déjà quatre, mais si tu veux te joindre à nous, il y a
encore de la place. Au pis aller, tu peux dormir sur le divan.
- Ça m’intéresse. Combien ça coute?

- Il me semble que c’est 80 dollars pour une nuit. À quatre, ça
revient à 20 dollars chacune. Si on est cinq, ça va être à peu
près 15 dollars.

- Ce n’est pas cher pour une nuit à Québec! Comment est-ce
que vous allez vous déplacer?
- Du Vieux Québec jusqu’à l’université, on va prendre le
transport en commun. Pour revenir à Trois-Rivières, on va
essayer le service de covoiturage. Si ça ne fonctionne pas,
on va prendre l’autobus. Ça coute une quarantaine de dollars
par personne.
- Et qu’est-ce que vous allez faire

dimanche à Québec? Avez-vous
déjà des activités de prévues?
- Oui. Dimanche matin, on va
dormir parce qu’on va rentrer
tard dans la nuit de samedi. On
va faire la tournée des grands-
ducs.
- La quoi?
- La tournée des grands-ducs, on
veut aller dans toutes les
discothèques de la ville!
- Et dimanche après-midi?
- On va magasiner. Il y a trois gros centres commerciaux les
uns à côté des autres. On m’a beaucoup parlé du magasin
Simons. Il parait qu’il y a beaucoup de choix à prix
raisonnable.
- Oui, je connais ce magasin. Ma sœur a visité Québec l’an
dernier et elle a dépensé une fortune en vêtements chez
Simons! Bon, c’est décidé : je vous accompagne à Québec!
- Super!

Compréhension
A-043
1. À quelle heure est-ce que l’autobus revient de
Québec?
2. Où est-ce que les filles vont dormir?
3. Comment est-ce que les filles vont revenir de

Québec?
4. Qu’est-ce que les filles veulent faire samedi soir?
5. Pourquoi est-ce que les filles veulent aller chez

Simons?
Racontez votre visite à Québec ou à Montréal.
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L’hiver 2008
Vocabulaire
Noms Noms Verbes

la neige un bâtiment aimer
un banc de neige un accès arriver
un centimètre une école avoir (il y a)
une chute de neige une entrée commencer
un flocon un escalier dégager
une fondeuse une porte demander
un record un sol déneiger
une tempête un toit déverser
le ski une activité être
une personne une endurance faire
un / une propriétaire une force falloir
un Québécois – une une limite fermer
Québécoise une sécurité fonctionner
un visiteur – une visiteuse une stratégie
le temps fondre
une année impressionner
une fois un centre inviter
un hiver une chaleur jouer
un mois un effet monter
un printemps un état neiger
un véhicule un gaz obliger
une auto un poids patiner
un camion un réseau pelleter
Adjectifs
commercial – commerciale
content – contente
efficace
étranger - étrangère
exceptionnel - exceptionnelle
exigeant – exigeante
froid – froide
haut – haute
naturel – naturelle
petit – petite
premier – première
public – publique
simple

L’hiver 2008 a été exceptionnel au Québec. Il est tombé
beaucoup de neige. À Québec, il est tombé plus de 500
centimètres de neige, un record depuis l’hiver 1968.
L’hiver a commencé en novembre. La première chute de neige

est restée au sol. D’habitude, la première neige fond
rapidement. Mais le temps froid a permis à la neige de rester.
Puis, il a neigé régulièrement. Un petit flocon par ci, un petit
flocon par là; deux centimètres par ci, cinq centimètres par
là…
Les Québécois aiment l’hiver, mais

il y a une limite. Quand il y a de la
neige à Noël, tout le monde est
content. On peut faire du ski, on
peut jouer dehors. En général, il
fait froid, alors on peut patiner à
l’extérieur.
Mais quand il tombe 500 centimètres de neige en quatre mois,

ça fait beaucoup de neige! Trop pour plusieurs personnes!
Pendant l’hiver 2008, les tempêtes sont arrivées les unes
après les autres. Les écoles ont fermé leurs portes plus d’une
fois!

Les tempêtes de neige ont obligé les Québécois à se garder en
forme! Il a fallu dégager les entrées d’auto, déneiger
régulièrement les escaliers et les accès aux bâtiments.
Pelleter est une activité physique exigeante. Cela demande de
la force, de l’endurance et de la stratégie quand le banc de
neige est très haut!
Il a tellement neigé qu’en mars, des

toits se sont effondrés sous le poids
de la neige. La sécurité publique a
invité les propriétaires à vérifier
l’état de leur toit. Plusieurs sont
montés sur le toit pour le déneiger.
Nos bancs de neige ont

impressionné bien des
visiteurs étrangers!
Mais, savez-vous qu’à Gatineau on fait fondre la neige depuis

plusieurs années? Aux Galeries de Hull, un centre
commercial, il n’y a presque pas de neige. En effet, il y a deux
fondeuses à neige qui fonctionnent au gaz naturel. Les
camions viennent y déverser la neige, elle fond sous l’effet de
la chaleur. Ensuite, on rejette l’eau dans le réseau d’égout.
C’est simple et efficace. On dit que le printemps est arrivé en
avance là-bas!

Compréhension
A-044
1. Est-ce qu’il a neigé en novembre?
2. Est-ce qu’il y a eu plusieurs tempêtes de neige en

2008?
3. Quelle activité physique est obligatoire quand il

neige?
4. Quels évènements dramatiques ont eu lieu pendant

l’hiver?
5. Pourquoi n’y a-t-il pas de neige aux Galeries de Hull?
Aimez-vous l’hiver? Expliquez.
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Commérage
Vocabulaire

une personne acheter autant
un / une enfant agir beaucoup
un gardien - une gardienne aimer déjà
un homme – une femme aller jamais
un idiot – une idiote avoir mal
un /une jeune choisir moins
un mari – une femme connaitre ne pas
le temps dire ne plus
un an être plutôt
une année finir souvent
un automne fleurir tellement
un été garder tôt
la quarantaine très
une vie grandir vite
la maladie grossir
un cancer jaser Adjectifs
un cheveu maigrir beau – belle
une dépression mesurer déprimant – déprimante
un dommage murir grand – grande
un traitement penser incroyable
un parc perdre malade
une fleur prendre pessimiste
quitter positif - positive
rajeunir
de l’argent (m) ratatiner
une bêtise réagir
une chose réfléchir
une différence s’arranger
un mètre savoir
sortir
vieillir
vouloir

Dans un parc, deux femmes dans la quarantaine jasent.
- Samuel a beaucoup grandi depuis l’été dernier. Il mesure au
moins un mètre. Il est plus grand que Julien maintenant!
- C’est incroyable! Les enfants grandissent tellement vite!
- Oui, et nous, on vieillit pendant ce temps-là!
- Parle pour toi! Moi, je ne vieillis pas : je muris!
- Murir, vieillir, c’est la même

chose! Tu vas finir par
ratatiner!
- Franchement! Tu es
déprimante! En parlant de
dépression, comment va
Gertrude?
- Pas très bien. Elle ne
rajeunit pas, elle non plus.
Mais elle vieillit plutôt mal.
- Qu’est-ce qui s’est passé?

- Son mari l’a quittée l’automne dernier. Pour une jeune de
vingt ans! Il a choisi la gardienne en plus!
- Ce n’est pas vrai! Il n’a jamais réfléchi avant d’agir, cet
idiot-là! Et Gertrude? Comment a-t-elle pris la chose?
- Elle a mal réagi. Elle est souvent malade.

- Elle est plus malade qu’avant? Vraiment?
- Garde ça pour toi, mais Gertrude va très mal : elle a un
cancer.
- Oh non!

- Elle grossit beaucoup à cause des traitements, elle a déjà
perdu ses cheveux et elle ne veut plus sortir de chez elle.
- C’est tellement dommage! D’habitude, les gens
maigrissent avec le cancer, pourquoi est-ce qu’elle
grossit?
- Je ne sais pas trop. Je ne connais pas ça.
- Je pense qu’on choisit notre vie. Si Gertrude est malade,

c’est parce qu’elle choisit d’être malade. Elle a toujours
été pessimiste.
- Quelle bêtise est-ce que tu dis là?
- Oui, oui. Quand on veut guérir, on guérit.
- …
- En tous cas… Tu as déjà des belles fleurs?

- Oui. Elles fleurissent tôt cette année.
- Est-ce que tu en as plus que l’an passé?
- Non, j’en ai autant. Il n’y a pas de différence.
- Moi, j’ai moins d’argent cette année, donc j’en achète

moins que d’habitude. C’est vraiment dommage parce
que j’aime beaucoup les fleurs.
- C’est toi qui choisis ta vie, pas vrai? Sois positive, ça
va s’arranger tout seul!

Compréhension
A-045
1. Qui est le plus grand : Samuel ou Julien?
2. Avec qui le mari de Gertrude est-il parti?
3. De quelle maladie souffre Gertrude?
4. Est-ce que Gertrude a encore des cheveux?
5. Est-ce que Gertrude est d’une nature optimiste?
«Quand on veut, on peut.» Commentez ce proverbe.
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Simone
Vocabulaire

une personne une vie accueillir marcher
un ainé – une ainée un âge aimer mourir
un beau-frère – une une enfance apprendre nettoyer
belle-soeur une famille avoir nourrir
un/une enfant une maison chercher parler
un fils – une fille une naissance continuer partir
un frère – une soeur un rôle coudre pleurer
un garçon – une fille un sort cuisiner prendre
un maitre - une cultiver quitter
maitresse un an décéder remplacer
un mari – une femme une école devenir s’occuper
un parent une pneumonie dire se marier
un père – une mère une situation donner se plaindre
un petit – une petite le sud être se remarier
un religieux – une
un travail faire tomber
religieuse
une usine fonder travailler
la campagne un vêtement gagner trouver
un bien une ville grandir vivre
une coutume laisser vouloir
une municipalité Expressions
un patelin faire des conserves
un potager prendre la relève
une terre

Simone a grandi en campagne. Elle a vécu toute son enfance à
Saint-Isidore, une petite municipalité au sud de Québec. Ses
parents ont eu treize enfants : trois filles et dix garçons. Simone
est l’ainée de la famille. Comme la plupart des filles dans sa
situation, elle a vite quitté l’école et s’est occupée de ses frères
et sœurs.
C’est elle qui a appris à

marcher aux plus petits. Elle
leur a appris à parler aussi.
Simone a été une mère pour
eux. D’ailleurs, quand sa mère
est décédée après la naissance
du treizième enfant, c’est
Simone qui a pris la relève.
À 16 ans, elle est devenue la

personne responsable de la
maison. Son père ne s’est jamais
remarié. Il a continué à cultiver
la terre pour faire vivre sa
famille. Il n’a jamais cherché
une nouvelle femme.
Alors, Simone a cousu des vêtements pour tout le monde.

Elle a cuisiné pour nourrir la famille. Comme sa mère, elle a
fait un potager et elle a appris à faire des conserves.

Puis, peu à peu, les enfants sont partis. Le fils ainé est parti
gagner sa vie aux États-Unis. Plusieurs sont allés travailler à
la ville. Ils y ont trouvé une femme et ils ont fondé leur
propre famille. Simone a vu ses frères se marier les uns après
les autres. Et elle a vu ses deux sœurs devenir religieuses.
Simone ne s’est jamais plainte de son sort. Même si elle n’est

jamais tombée en amour, elle a aimé beaucoup. Elle a donné
toute sa vie à s’occuper de la famille. Elle a remplacé sa mère
dans ce rôle.
Quand son père est devenu trop malade pour travailler la

terre, il a donné ses biens à son fils ainé : «C’est la coutume
qui le veut!», a-t-il dit alors. Et son frère a quitté un travail
difficile dans une usine américaine et il est revenu dans son
patelin.
Simone n’a pas pleuré. Elle a nettoyé la maison et elle a

accueilli son frère, sa femme et ses enfants. Elle a vécu avec
eux longtemps. Elle a laissé son rôle de maitresse de maison
à sa belle-sœur, mais elle a continué à aimer. Elle a appris à
marcher aux plus petits. Elle leur a même appris à parler
français. Elle est morte d’une pneumonie à l’âge de 61 ans.

Compréhension
A-046
1. Combien de frères Simone a-t-elle?
2. Quel est le métier du père de Simone?
3. Qu’est-ce que Simone a fait quand sa mère est morte?
4. Qui a hérité de la maison quand le père de Simone est

mort?
5. De quoi Simone est-elle morte?
Racontez la vie de votre grand-mère ou de votre grand-

père.
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Les anciens
Vocabulaire

une personne une invitation accepter partir
un ami – une amie une fête accueillir penser
un amour un honneur aller prier
un ancien – une une présence attendre publier
ancienne une rencontre connaitre rentrer
un animateur – une une soirée décider répondre
animatrice une visite demander réunir
une chipie un message devenir revoir
un / une dentiste un livre devoir savoir
un / une élève une nouvelle être se marier
un / une enfant une radio faire se perdre
un informaticien – une une télé gagner téléphoner
informaticienne un téléphone inviter travailler
un invité – une invitée
jaser venir
un mécanicien – une
une compagnie organiser vivre
mécanicienne
une école oublier vouloir
un Mexicain – une
un pays parler
Mexicaine
la poésie
un parent
un professeur – une la politique Expressions
professeure une région avoir hâte
une vedette une université faire le saut
gagner sa vie
le temps se perdre de vue
un an
une journée
un mois
une nuit

Chère Marie,
Nous t’invitons à venir chez nous le 30 avril prochain. Nous

avons décidé d’organiser une petite fête. Nous voulons réunir
les anciens de l’école secondaire. Évidemment, nous n’allons
pas inviter tous les anciens élèves : nous invitons les élèves
que nous avons bien connus. Nous attendons environ trente
personnes.
Est-ce que tu sais que ton premier amour va être présent? Il

a déjà répondu à notre invitation! Sais-tu qu’il est dentiste
dans la région de Montréal? Je lui ai parlé au téléphone et il
m’a demandé de tes nouvelles.
Tu vas aussi revoir Lili. Notre chipie de service fait de la

politique maintenant! Elle a travaillé longtemps à la radio
comme animatrice et, comme bien d’autres, elle a décidé de
faire le saut en politique. Mais tu sais peut-être déjà tout
cela.
Par contre, je pense que tu ne sais

pas que James est devenu
mécanicien… mexicain! Il a marié
une Mexicaine et il est parti vivre au
Mexique. Il va venir à ma petite fête,
c’est confirmé. Il va être en visite
chez ses parents à la fin du mois
d’avril… avec ses cinq enfants!

Et puis, ta grande amie va
aussi nous faire l’honneur de
sa présence. Oui, Dorothée m’a
téléphoné hier. Elle ne nous a
pas oubliés. Parfois, quand on
devient une vedette de la télé,
on oublie ses vieux amis. Pas
(Source : Microsoft Office) elle.
Luce va aussi venir. Elle est professeure de langues dans une

université ontarienne. Elle s’est mariée il y a trois ans avec
Daniel. Il est informaticien pour une compagnie de
télécommunication.
Je pense que Mario va être là aussi. Je sais qu’il a publié

deux ou trois livres, de la poésie je pense. Mais je ne sais pas
comment il gagne sa vie. Il a toujours été un peu bohème. Il
est en Amérique du Sud présentement. Il doit rentrer au pays
à la mi-avril. Ses parents vont lui faire le message.
On s’est tous perdus de vue trop longtemps. Ça va être une

belle rencontre. Je t’en prie, accepte notre invitation. J’ai
vraiment hâte de te revoir. Nous allons accueillir nos
invités à partir de 13 heures. On va avoir toute la journée,
toute la soirée et peut-être toute la nuit pour jaser!
Marlène et Réjean

Compréhension
A-047
1. Est-ce que Marie a téléphoné à son premier amour?
2. Dans quel domaine est-ce que Lili travaille?
3. Où est-ce que James va avec ses cinq enfants en

avril?
4. Qui est à l’extérieur du pays présentement?
5. Est-ce que les amis se voient souvent?
Que sont devenus vos amis d’autrefois?
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Gabrielle
Vocabulaire

une personne la peinture aimer quitter
un / une artiste un atelier dormir rencontrer
peintre un espace écouter revenir
un conjoint – une une huile embarquer s’arrêter
conjointe un pinceau emporter s’assoir
un / une enfant une toile être s’étirer
un enseignant – une installer s’installer
enseignante lire se détendre
le temps parler se lever
une demi-heure un voyage partir se réveiller
une heure un avion peindre se servir
un horaire un itinéraire préférer trainer
un matin un lieu prendre travailler
un moment un pays profiter visiter
une pause un port voyager
une maison une tente
un coin un vélo
un étage
un fauteuil une animation Expressions
une fenêtre un champ prendre le temps
une lampe une confiance être prêt à faire quelque chose
un lit un déjeuner
une pièce un enthousiasme
une radio une musique
une table une nature
une occasion
un rendez-vous
un réveil
le secondaire
un système de son
une tisane
une vie

Gabrielle est d’une nature un peu bohème. Elle aime voyager à
travers le monde. Elle ne prend pas la vie au sérieux. Dès
qu’elle a l’occasion de se détendre un peu, elle profite de ce
moment avec délice.
Par exemple, elle prend toujours le temps de bien se réveiller

avant de se lever. Elle s’étire, elle traine au lit pendant au
moins une demi-heure après son réveil. Il est vrai qu’elle n’a
pas d’enfant et qu’elle travaille à la maison.
Gabrielle est artiste peintre.

Le matin, elle prend son
déjeuner en écoutant la radio.
Son conjoint est déjà parti à
ce moment-là : c’est un
enseignant au secondaire.
D’habitude, il revient vers 16
heures.
Dans son atelier, Gabrielle est bien installée. Été comme

hiver, de grandes fenêtres éclairent cette pièce située au
deuxième étage de la maison. Dans un coin, Gabrielle a
installé un fauteuil, une petite table, une lampe de lecture et
un bon système de son.
Gabrielle aime écouter de la musique pendant qu’elle peint.

Elle s’arrête parfois de travailler pour lire un peu. Elle se sert
alors une bonne tisane et s’assoit confortablement dans son
fauteuil.

Quand elle est fatiguée de peindre ou de lire, elle quitte son
atelier pour des espaces verts. Elle emporte ses huiles, ses
pinceaux et ses toiles, et elle s’installe en bordure d’un
champ. Souvent, elle préfère l’animation du port.
Tous les gens qui la rencontrent

sont fascinés par sa nature douce
et sa confiance inébranlable en la
vie. Elle parle avec beaucoup
d’enthousiasme des pays qu’elle a
visités et des gens qu’elle a
rencontrés.
Gabrielle et son conjoint voyagent régulièrement. En

général, ils embarquent leurs vélos sur l’avion et partent à
l’aventure. Ils emportent toujours leur tente et dorment
souvent dans des lieux plutôt rustiques. Gabrielle n’aime pas
les horaires chargés et les rendez-vous obligés. Alors, ils
voyagent sans itinéraire précis. Ils sont toujours prêts à
prendre une pause ou à parler avec les gens.

Compréhension
A-048
1. Quel est le métier de Gabrielle?
2. Où travaille-t-elle?
3. Avec quoi peint-elle?
4. Comment est-ce que Gabrielle se déplace pendant ses

voyages?
5. Où couche-t-elle?
Avez-vous une nature bohème? Expliquez.
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Une visite au musée
Vocabulaire
une personne aimer beaucoup
un/une enfant aller bien
un fils – une fille avoir maintenant
un garçon – une fille boire ne pas
un/une malcommode chercher très
un musée commencer
une exposition détester
une salle entendre Adjectifs
une télévision entrer agréable
un discours être autre
une émission faire bon – bonne
un enregistrement impressionner célèbre
le temps intéresser chaud – chaude
un âge jouer consacré – consacrée
un an raconter courageux – courageuse
une année ressortir dernier – dernière
un centre-ville s’amuser effrayant – effrayante
une carte s’appeler gêné – gênée
une ville s’assoir mignon – mignonne
un jeu s’en aller petit – petite
une boite à surprise s’installer vieux – vieille
une marionnette se promener
un monstre se sauver
un ogre sortir Expressions
un rêve toucher passer en coup de vent
le transport traverser
une bicyclette venir
un tour venir de
un tunnel visionner
un vélo visiter
un bout voir
un chocolat
un coin
une idée
le monde
une sorte
un ventre

François croise Anne et son fils au centre-ville.
- Salut Anne! Comment ça va?
- Ça va très bien et toi?
- Bien merci. C’est ton garçon?
- Oui. Il s’appelle David.
- Il est très mignon! Quel âge a-t-il?

- Il vient d’avoir quatre ans.
- Et qu’est-ce que vous faites en ville?
Vous vous promenez?
- On sort du musée. On s’en va boire
un chocolat chaud maintenant. Tu
viens avec nous?
- C’est une bonne idée.
François, Anne et David entrent dans un café et s’installent
dans un coin tranquille.
- Alors, est-ce que tu as aimé le musée, David?
- Oui.
- Qu’est-ce que tu as vu?
- …
- Il est très gêné. Allons, David,

raconte ce que tu as vu!
- …
- Est-ce que tu as vu l’exposition
de vélos?
- Oui, on a visité toutes les
salles. On a commencé par
(Photo : France Hallé) l’exposition de Passe-Partout.
- Passe-Partout? L’émission de
télévision pour enfants? Celle
des années 1975?

- Oui, c’est ça. David a beaucoup aimé visionner des petits
bouts d’émission. Et puis, il a touché aux marionnettes, il a
joué avec la boite à surprise de Passe-Partout.
- C’est agréable, ça. N’est-ce pas, David?
- Oui.
- Ensuite, dans une autre salle, on

s’est amusés à chercher un ogre!
On a traversé un tunnel, on s’est
assis dans le ventre de l’ogre et on a
vu toutes sortes de monstres.
- Oh! Mais c’est effrayant, tout ça!
(Photo : France Hallé) Est-ce que tu as eu peur, David?
Non? Tu es très courageux!
- Puis, on a fait le tour de l’exposition consacrée aux jeux de

société. Ça n’a pas intéressé David. Par contre, les vélos
l’ont impressionné. On a vu de très vieilles bicyclettes.
- Finalement, je suis passée en coup de vent dans la dernière

salle. J’ai vu une carte du monde, j’ai entendu un
enregistrement du célèbre discours de Martin Luther King,
«J’ai un rêve», et je suis ressortie. David a détesté cette
exposition! Alors, il s’est sauvé!
- C’est un petit malcommode!

Compréhension
A-049
1. Où sont allés Anne et son fils avant de rencontrer
François?
2. Dans quelle salle est-ce que David a regardé la

télévision?
3. Est-ce que David a eu peur de l’ogre?
4. Quelle exposition a impressionné David?
5. Est-ce qu’Anne est restée longtemps dans la dernière

salle?
Racontez votre dernière visite dans un musée. Quelle
exposition avez-vous préférée?
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La serveuse
Vocabulaire

une personne un restaurant accueillir opter
un ami – une amie une addition aller parler
une fille – un garçon un plat apporter payer
un serveur – une un pourboire arriver perdre
serveuse un repas
la nourriture assister préférer
un apéritif une adresse boire prendre
une bière un crayon choisir raccrocher
un chocolat un numéro classer remporter
une croustade un papier commander rentrer
un dessert un prénom commencer répondre
une frite une sonnerie demander réveiller
un fromage un sujet discuter revenir
un gâteau un téléphone entendre revoir
une moule une voix envoler s’assoir
une pomme le temps être se lever
un visage une fois faire se souvenir
un œil – des yeux une heure finir sonner
un sourire un matin gagner sourire
une semaine laisser taquiner
un bout manger terminer
une chance le hockey noter voir
un espoir le Centre Bell
une fête une équipe
un fil une partie
un groupe une série
une joie
une odeur
Adverbes
malheureusement discrètement
beaucoup confortablement
aussi longtemps
très finalement

Hier, Samuel est allé au restaurant avec des amis. Il a pris un
apéritif ou deux, il a fait des beaux yeux à la serveuse et il a fini
par commander un plat de moules.
Samuel et ses amis ont parlé de hockey. L’équipe préférée de

Samuel est le Canadien de Montréal. Malheureusement, cette
équipe a perdu plusieurs parties depuis trois semaines. Les
espoirs de gagner la coupe Stanley se sont envolés! L’équipe a
peu de chances de se classer pour faire les séries.
Quand la serveuse a apporté les plats,

tout le monde l’a accueillie avec joie.
Samuel lui a demandé son prénom.
Ses amis l’ont beaucoup taquiné à ce
sujet.
Samuel a mangé ses moules avec des

frites et il a bu de la bière. D’ailleurs,
tout le monde a bu de la bière. Puis,
l’heure du dessert est arrivée. André
a choisi un gâteau au chocolat; Luc a
préféré le gâteau au fromage; et
Samuel a opté pour la croustade aux
pommes.

Le repas s’est terminé dans la joie et dans la fête. Les amis
ont payé leur addition et ils ont laissé un bon pourboire à la
serveuse. Samuel lui a aussi laissé son numéro de téléphone,
très discrètement. Ses amis n’ont rien vu.
Puis, le groupe est allé au Centre

Bell. Ils ont assisté à une partie
entre les fameux Canadiens et les
redoutables Bruins de Boston.
Cette fois, l’équipe de Montréal a
remporté la partie!
Chacun est rentré chez soi après la partie. Vers deux heures
du matin, le téléphone a sonné chez Samuel. La sonnerie a
réveillé Samuel. Il s’est levé et il est allé répondre.
Quand il a entendu la voix à

l’autre bout du fil, il a souri. Il
s’est souvenu du visage de la
serveuse. Il a revu ses yeux et son
sourire. Même son odeur lui est
revenue. Samuel s’est assis
confortablement et il a commencé
à parler avec elle. Ils ont discuté
très longtemps. Finalement,
quand Samuel a raccroché, il a
pris un papier et un crayon, et il a
noté l’adresse de la jeune fille.

Compréhension
A-050
1. Qu’est-ce que Samuel a mangé au restaurant?
2. Quand Samuel a-t-il laissé son numéro de téléphone à

la serveuse?
3. Où est allé le groupe d’amis ce soir-là?
4. Qui a téléphoné chez Samuel?
5. Qu’est-ce que Samuel a fait après avoir raccroché?
Imaginez le premier rendez-vous de la jeune fille et de

Samuel. Qu’est-ce qu’ils ont fait? Où sont-ils allés?
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Le hockey
Vocabulaire

Un vêtement Une personne Adorer Mettre
Un bas Une communauté Aiguiser Monter
Un bouton-pression Un enfant Ajouter Observer
Une bretelle Un fils Ajuster Partager
Un casque Un grand Appartenir Passer
Un chandail Une jeune Apprécier Pousser
Une combinaison Un homme Arriver Pratiquer
Une coquille Une mère Assurer Quitter
Une épaulette Un moment Attacher Regarder
Une grille Un papa Augmenter Remplir
Un habillement Un parent Baisser Respirer
Une jambière Un père Chausser Ressentir
Un lacet Un petit Choisir Rester
Une lame Une population Coiffer S’apprendre
Un pantalon Un vrai Connaitre Sauter
Un patin Descendre Savoir
Un sport Enfiler Se croire
Un protège-cou
Un protège-coude Une épreuve Enrouler Se lire
Le temps Une équipe Entrer Sentir
Un an Un équipement Exprimer Serrer
Une enfance Le hockey Falloir (il faut) Sourire
Une étape Un jeu Franchir Tenir
Un été Un morceau Habiller Varier
Une fin Une patinoire Inscrire Venir
Une fois Une pièce Jouer Voir
Une vie Une protection Noms Noms
Une technique Un évènement Une philosophie
Le corps Un art Une expérience Une répétition
Un genou Un bonheur Une fierté Un rôle
Un geste Une complicité Une habitude Un ruban
Un œil – des yeux Une continuité Une importance Une satisfaction
Une tête Un coup Un lien Une sensation
Un visage Un émerveillement Une majorité Une tradition
Un endroit Une œuvre Une ville

Le hockey
Au Québec, la majorité de la population adore le hockey. C’est
le sport national. Dès le milieu de l’été, les parents inscrivent
leurs enfants dans les équipes de leur ville. Il n’est pas rare
que les jeunes pratiquent ce sport à partir de quatre ou cinq
ans.
Quelle fierté pour le papa de voir

son petit revêtir l’équipement
sacré. Morceau par morceau, le
père habille son petit. D’abord, il
faut enfiler la longue combinaison;
ensuite, vient la coquille de
protection, une pièce essentielle
pour assurer la continuité de la
tradition; puis, on monte le
pantalon rembourré, on ajuste les
bretelles et on met les jambières.
La technique varie d’un père à l’autre, mais par-dessus les
longs bas, on enroule souvent du ruban gommé pour tenir
tout en place. Dès qu’on ajoute les épaulettes, l’enfant se
croit plus fort. Les protège-coudes augmentent encore cette
sensation.
Et lorsqu’on passe le chandail

par-dessus la tête, lorsqu’on le
descend presque jusqu’aux
genoux tellement il est grand,
on peut enfin apprécier le petit
homme. C’est là que l’enfant
franchit une étape importante
de sa vie : il quitte ses jeux
innocents pour entrer dans le
jeu des grands, des vrais. La
fierté se lit dans les yeux du
père comme dans ceux du fils.

Il reste encore à chausser les patins. Le père a déjà bien
aiguisé les lames, il a choisi les lacets. D’ailleurs, tout le
monde sait que serrer les lacets aux bons endroits est un art
réservé aux pères. Il s’apprend par l’expérience, par
l’habitude, par la répétition. Or, souvent, les pères jouent au
hockey depuis leur tendre enfance. Ils connaissent tout de
ces gestes.
L’habillement arrive à sa fin. Le

père attache le protège-cou, il
regarde son œuvre encore une fois,
puis il coiffe la tête de son enfant
d’un casque bien solide. Il pousse
sur les boutons-pression, il baisse
la grille devant le visage et
l’attache solidement : l’enfant est
prêt pour les grandes épreuves
sportives.
Trois petits coups frappés sur le casque expriment la

satisfaction du père. L’enfant sourit, heureux de partager un
moment privilégié. Il sent l’importance de l’évènement. Il
sait déjà qu’il appartient à une communauté, celle du hockey.
Et quand l’enfant saute sur la

patinoire, le père respire un grand
coup : il a rempli son rôle. Chaque
fois qu’il habille son petit, c’est la
même fierté qu’il ressent, le même
bonheur. Le hockey est plus qu’un
sport, il est une philosophie, il est
un lien tangible entre un père et
son fils.
Et les mères? Elles observent avec

émerveillement cette complicité…

Compréhension
A-051
1. D’habitude, à quel âge les enfants commencent-ils à

jouer au hockey?
2. Qu’est-ce qu’on enroule sur les bas?
3. Comment les pères ont-ils appris à lacer les lacets?
4. Quelle pièce d’équipement protège le visage de

l’enfant?
5. Est-ce que les mères sont heureuses de voir le père

s’occuper de l’enfant?
Racontez un moment de fierté vécu avec votre mère ou
votre père.
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Le temps des cerises
Vocabulaire

Une cerisaie aider gouter à peine
un arbre ajouter imaginer ainsi
une cerise aller manger assez
une cerisaie arriver marcher bien sûr
un cerisier avoir partir d’ailleurs
un fruit commencer planter de plus
un panier compter préférer encore
une variété connaître prendre ensemble
cueillir produire environ
La nourriture cueillir récolter hier
cuisiner remplir même
une confiture déguster revenir plus
un croissant être se lancer plusieurs
un pot de confiture faire transformer puis
une tarte gagner vouloir tout de suite
très
Le temps Expressions un peu
un après-midi avoir l’impression vraiment
une destination un mettre x minutes
été
une heure
un hiver
un matin
Une aventure
une course
un père
une parcelle
un rang

Le temps des cerises
Hier, Alain et Alexandre sont allés cueillir des cerises à Charette.
Ils sont partis de Trois-Rivières vers une heure de l’après-midi.
Ils ont mis à peine trente minutes pour arriver à destination.
Ensemble, ils ont commencé à

marcher à travers les rangs de
cerisier. Il faisait beau et chaud; les
arbres étaient rouges de cerises.
Alexandre voulait faire la course avec
son père. C’est même ce petit bout
d’homme qui a gagné!
Puis, ils ont pris des paniers et ils ont commencé à cueillir des
cerises. Alain a dû aider Alexandre à récolter les plus grosses.
Bien sûr, ils ont gouté aux fruits. Les cerises étaient un peu
amères, mais vraiment délicieuses!
Au Québec, les cerisaies sont rares.

D’ailleurs, Le temps des cerises est la
première cerisaie du Québec. En effet,
en 2001 et 2002, Nancy Laprés et Gilles
Beaulieu se sont lancés dans l’aventure.
Ils ont planté environ trois mille
cerisiers Evans.

Cette variété est très populaire dans l’Ouest canadien. De
plus, elle est très résistante au froid. Son fruit est assez gros
et il est plus sucré que la cerise de Montmorency, plus connue
au Québec. En 2006, d’autres variétés ont été ajoutées de
sorte qu’aujourd’hui, en 2009, la cerisaie Le temps des cerises
compte huit mille arbres.
Chaque cerisier peut donner

jusqu’à deux cents livres (une
centaine de kilos) de fruits par
été. Imaginez le nombre de tartes
et le nombre de pots de confiture
qu’on peut produire!
D’ailleurs, quand Alain et Alexandre sont revenus avec

plusieurs paniers remplis de cerises bien rouges, j’ai tout de
suite commencé à cuisiner. Je préfère transformer les fruits
en confiture. Ainsi, les matins d’hiver, quand je mange de la
confiture aux cerises sur mes croissants, j’ai l’impression de
déguster encore une parcelle de l’été.

Compréhension
A-052
1. Combien de temps faut-il pour se rendre à Charette

de Trois-Rivières?
2. Est-ce que les cerises étaient sucrées?
3. Quelle variété de cerises est plus répandue au

Québec?
4. Combien de cerisiers ont été plantés en 2006?
5. Qu’est-ce que la narratrice a fait avec les paniers de

cerises?
Avez-vous déjà cueilli des cerises? Des petits fruits?
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Le Biodôme de Montréal
Vocabulaire
Noms Noms Verbes Adjectifs

Le temps La faune Accueillir Ancien
Un automne Un animal Admirer Discret
Une fin de semaine Un caïman Adorer Énorme
Un jour Un castor Aménager Exotique
Un ibis Chanter Extraordinaire
Le Biodôme Un lynx Côtoyer Froid
Un oiseau Croiser Grand
Un aquarium Devenir Grimpant
Une construction Un poisson
Un porc-épic Distinguer Jeune
Un écosystème Dormir Luxuriant
Un espace Un singe tamarin
Grimper Magnifique
Une hutte Héberger Mature
Une partie
Marcher Passé
Un repère Mettre Petit
La flore
Une section Occuper Préféré
Un vélodrome Un arbre
Un conifère Partager Rocheux
Une visite Passer Rouge
Un musée Un feuillu
Une forêt Photographier Spécial
Un palmier Présenter Tout
Une plante Quitter Tropical
Un bord Un végétal Recréer varié
Une caméra Rester
Une chance Retrouver
Une couleur Réussir
Un déplacement S’amuser
Une liberté Se prélasser
Une nature Se promener
Un œil – des yeux Sentir
Une paroi Suivre
Une présence Trouver
Une tête Vivre
Un travail Voir
Une veste Voler
Une ville

Le Biodôme de Montréal
En fin de semaine passée, je suis allée au Biodôme de Montréal.
J’adore! J’ai toujours adoré le Biodôme! Il a été aménagé dans
l’ancien vélodrome olympique. En effet, en 1976, Montréal a
accueilli les XXIe Jeux Olympiques d’été. En 1992, l’ancien
vélodrome est devenu un musée bien spécial : on y a recréé des
écosystèmes de la Terre. Incroyable!
Dans une section du Biodôme, on

trouve la forêt tropicale. Des
palmiers, des arbustes grimpants
et des plantes luxuriantes
hébergent des animaux exotiques
qui se promènent en toute liberté.
Lors de ma visite, j’ai vu des
caïmans se prélasser sur le bord
(Source : France Hallé) d’un cours d’eau alors que des ibis
rouges marchaient doucement à côté. Des oiseaux aux
couleurs variées chantaient et volaient au-dessus de nos têtes.
J’ai beaucoup aimé voir les petits singes tamarins. Et puis,
dans un énorme aquarium, j’ai pu admirer des poissons
extraordinaires.
(Source : France Hallé) (Source : France Hallé)
Je suis restée longtemps dans la forêt tropicale, car c’est mon

écosystème préféré. Puis, je suis passée à l’écosystème de la
forêt laurentienne. J’ai mis ma veste, car il faisait froid.
C’était la fin de l’automne à l’intérieur.

J’ai admiré le travail des castors.
Leur énorme construction occupe
un grand espace. Quand j’ai
visité le Biodôme, les castors
dormaient dans leur hutte.
Heureusement, il y a une caméra
à l’intérieur de leur repère. On
peut même suivre leurs
déplacements sous l’eau. (Source : France Hallé)
La forêt laurentienne est absolument magnifique. On y

retrouve autant des feuillus que des conifères. De plus, des
arbres matures y côtoient des végétaux plus jeunes.
Plusieurs animaux partagent cet espace, mais ils sont plus
discrets que ceux de la forêt tropicale. J’ai quand même eu
la chance d’en voir quelques-uns. Ce jour-là, par exemple,
deux porcs-épics s’amusaient à grimper dans un arbre.
J’ai aussi réussi à photographier deux lynx qui dormaient

l’un contre l’autre. Au début, j’avais même de la difficulté à
les distinguer de la paroi rocheuse. Après, j’avais de la
difficulté à les quitter des yeux tellement je me sentais
privilégiée d’être en leur présence.
Cette partie du Biodôme présente un écosystème que je

connais bien, puisque j’y vis. Mais, quand on vit en ville, on
n’est pas toujours en contact avec la nature! C’est plutôt
rare qu’on croise un porc-épic ou un lynx!

Compréhension
A-053
1. Quelle vocation avait autrefois le bâtiment qui abrite
le Biodôme?
2. Est-ce que les animaux du Biodôme sont en cage?
3. Est-ce que les castors travaillaient au moment de la

visite?
4. Quels types d’arbres retrouve-t-on dans la forêt

laurentienne?
5. Peut-on voir facilement les lynx? Pourquoi?
Avez-vous déjà visité le Biodôme de Montréal? Racontez
votre expérience ou racontez la visite d’un musée.
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Encore le Biodôme!
Vocabulaire
Noms Noms Verbes Adjectifs

La faune La flore Admirer Blanc
Adorer Chaud
Un animal Une fleur
Appartenir Chauffé
Un canard eider Une forêt
Croire Curieux
Un esturgeon Un végétal
Découvrir Doux – douce
Un gorfou
Dire Énorme
Un macareux L’eau (f)
Entrer Étonnante
Un manchot
Un cours d’eau Évoluer Étrange
Une morue
Un fleuve Longer Frais – fraiche
Un oiseau
La glace Montrer Géant
Un pingouin
Un golfe Nicher Grand
Un poisson
Une rive Peupler Impressionné
Une raie
Plonger Laurentien
Une abondance Pouvoir Marin
Une aile Présenter Maritime
Un air Préserver Multicolore
Le temps Quitter Noir
Une autoroute
Un automne Redécouvrir Petit
Une classe
Une fois Relier Populaire
Un enfant
Une halte Respirer Quatrième
Une famille
Un hiver S’assoir Salé
Une fenêtre
Une taille Se nourrir Tropical
Le Biodôme Se presser Vif – vive
Une voie
Un aquarium Se rencontrer vivant
Un écosystème Se retrouver
Un espace Se sentir bien
Une falaise Séparer
Un monde Vivre
Une partie Voir
Une planète Voler
Un trésor
Une vie
Une visite

Encore le Biodôme!
Est-ce que j’ai déjà dit à quel point j’aime le Biodôme? Chaque
fois que je vais à Montréal, j’y fais une halte. J’adore marcher
dans la forêt tropicale et admirer l’abondance de végétaux, de
fleurs multicolores, d’oiseaux aux couleurs vives et d’animaux
étranges. J’adore aussi me retrouver dans la forêt laurentienne
et y respirer l’air frais de l’automne. Je suis chez moi et je me
sens bien.
Quand on quitte la forêt

laurentienne, on entre dans un
aquarium géant qui nous présente
le monde marin du fleuve Saint-
Laurent. C’est le troisième
écosystème du Biodôme. J’ai été
très impressionnée par la taille
des esturgeons, des morues et des
raies! C’est étrange, mais j’ai
encore de la difficulté à croire que
ces énormes poissons peuplent les
eaux de mon fleuve.
Pour moi, le Saint-Laurent, c’est une voie maritime qui relie
l’Atlantique aux Grands Lacs, c’est un cours d’eau qui longe
l’autoroute 40, c’est l’espace qui sépare la rive nord de la rive
sud, c’est de la glace en hiver. Le Biodôme m’a montré que le
fleuve, c’est aussi un monde vivant, rempli de trésors. Je n’y
ai pas vu les poissons multicolores des eaux chaudes du sud,
mais j’ai découvert une vie étonnante.

Le golfe du Saint-Laurent, c’est là où l’eau douce et l’eau salée
se rencontrent. Le long des falaises nichent des canards
eiders. Ces grands oiseaux blanc et noir plongent dans l’eau du
fleuve pour se nourrir de petits poissons.
Source : France Hallé) (Source : France Hallé)
Le quatrième écosystème est très populaire. Quand je suis

entrée dans l’Arctique et l’Antarctique, des enfants, venus avec
leurs classes, se pressaient contre les fenêtres qui séparent les
deux mondes de notre petit espace chauffé. Je me suis assise
pour admirer les macareux et les pingouins, les manchots et les
gorfous.
Les pingouins, qui peuvent

voler, vivent essentiellement en
Arctique alors que les
manchots, qui ont des ailes
mais ne peuvent pas voler,
vivent en Antarctique. Les deux
oiseaux appartiennent à la
même famille, mais ils ont
évolué différemment. Curieux,
non? (Source : France Hallé)
J’ai beaucoup aimé ma visite au Biodôme. Chaque fois, je

redécouvre une partie de ma planète; chaque fois, je me dis qu’il
faut préserver ces écosystèmes.

Compréhension
A-054
1. Nommez trois poissons du fleuve Saint-Laurent?
2. En quoi les poissons du Saint-Laurent sont-ils

différents des poissons des eaux tropicales?
3. Qu’est-ce qu’un golfe?
4. Est-ce qu’il fait froid pour les visiteurs du quatrième

écosystème?
5. Quelle est la différence entre les oiseaux de l’Arctique

et ceux de l’Antarctique?
Est-ce que l’environnement est important pour vous? Que
faites-vous pour le préserver?
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Les cordes à poèmes
Vocabulaire
Noms Noms Adverbes

La poésie Le centre-ville Le temps absolument
aujourd’hui
un art un bar une année
comme
un atelier un bâtiment une époque
encore
une composition un café un siècle
environ
une création un musée une soirée
évidemment
une écriture un parc
fièrement
un extrait un restaurant Un spectacle longtemps
un festival une scène
longuement
une feuille une ville un évènement
même
un papier une musique
parfois
un poème une corde un prix plutôt
une œuvre une corde à un quart toujours
un titre linge une réalité
un vers une envergure un rêve Expressions
un espace un tableau
à sa guise
une existence une trentaine
Une personne il s’agit
un honneur une visite
un adolescent un monde
un amateur une papetière
une âme un partage
un client Verbes
un couple accueillir entendre offrir
un enfant adorer être partager
un groupe afficher explorer porter
un humain apprécier falloir pouvoir
un invité arrêter fonder réciter
un poète avoir inviter revenir
un public créer marcher surprendre
un solitaire déclarer mettre suspendre
découvrir tenir
écrire valoriser
venir
vibrer

Les cordes à poèmes
En octobre, d’étranges cordes à linge sont suspendues dans le
parc Champlain. En fait, ce sont plutôt des cordes à papier,
puisqu’on y suspend des feuilles. Ce n’est pas si surprenant
à Trois-Rivières, car la ville a longtemps été reconnue pour
ses papetières.
Mais, qu’y a-t-il sur

ces papiers? Des
poèmes! Oui, en
octobre, Trois-Rivières
vibre grâce à son
Festival international
de poésie. Fondé en
1985, cet évènement
met aujourd’hui à
l’honneur des poètes
du monde entier.
En 2009, il a accueilli environ 40 000 amateurs de poésie.

Trois-Rivières porte fièrement le titre de Capitale de la
poésie.
Il faut absolument marcher dans la ville pour découvrir des

poèmes. Plusieurs bâtiments du centre-ville affichent des
extraits de poèmes sur leurs murs. Parfois, on se surprend à
s’arrêter longuement devant un vers, comme on s’arrête
longuement devant certains tableaux dans un musée.
Et puis, il y a ces restaurants, ces cafés et ces bars où les

poètes viennent réciter leurs compositions. Ils sont là, près
des clients, à partager leurs créations, à offrir leur art au
public.
À Trois-Rivières, chacun
peut explorer le monde de la
poésie à sa guise. Les
enfants, les adolescents et
le grand public, tout le
monde est invité à créer des
œuvres qu’on peut
suspendre à la corde à
poèmes. On écrit en
solitaire, en couple ou en
groupe. Le Festival
international de la poésie
offre même des ateliers (Source : France Hallé)
Un couple fier de sa création
d’écriture pour les grands
amateurs.
C’est Félix Leclerc, l’invité d’honneur du festival en 1985, qui

a déclaré Trois-Rivières « Capitale nationale de la poésie ». À
l’époque, c’était encore de l’ordre du rêve. Après un quart de
siècle d’existence, c’est désormais une réalité bien établie.
D’ailleurs, les poètes invités ici sont toujours ébahis à leur

première visite de l’ampleur de l’évènement. Ils adorent
revenir dans cet espace de création et de partage, dans cette
ville où leur art est apprécié et valorisé.
Évidemment, un festival de cette envergure offre aussi des

prix littéraires de renom. Et chaque année, on tient une
grande soirée de la poésie. Il s’agit d’un spectacle où l’on
peut entendre, sur la même scène, une trentaine de poètes
du monde entier. Comme la musique, la poésie est
universelle parce qu’elle touche l’âme humaine.

Compréhension
A-055
1. Où trouve-t-on les cordes à poèmes?
2. À quelle saison a lieu le Festival international de

poésie?
3. Qu’est-ce qu’on retrouve sur les murs des édifices du

centre-ville?
4. Qui a donné le titre de « Capitale de la poésie » à la

ville de Trois-Rivières?
5. Qu’est-ce qui impressionne les poètes étrangers?
Aimez-vous la poésie? Quel poète préférez-vous?
Expliquez.
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Le Nouvelliste
Vocabulaire
Noms Noms Verbes

Le temps Une personne Avancer Occuper
Un an Un camelot Compter Ouvrir
Une heure Un client Consulter Payer
Un hiver Un déneigeur1 Détester Pousser
Un jour Un distributeur Devenir Prendre
Un matin Un étranger Devoir Quitter
Une période Un frère Encourager Recevoir
Un samedi Une mère Envahir Reculer
Une semaine Un piéton Gagner S’ajouter
Un vendredi Garder S’assurer
La livraison Un vêtement Indiquer S’habiller
Un abonnement Une botte Laisser Se lever
Une boite Un foulard Livrer Se préoccuper
Une erreur Un habit de neige Marcher Souffler
Un changement Une mitaine Mettre Suspendre
Une feuille Une tuque Mourir Travailler
Une information Trouver
Un journal La neige Adverbes
Un nombre Une souffleuse à Alors Même
Une pile neige Après Parfois
Un pourboire Une tempête Déjà Plus que
Une promotion Un tracteur Chaudement Plutôt
Une routine De l’argent de Gratuitement Souvent
Un sac poche(m) Heureusement Toujours
Un service Un bruit Là Toutefois
Un travail Un chat
Des vacances (f) Une cinquantaine
Un quartier Un engrenage
Une maison Un mouvement
Une porte Une roue
Une rue
1 Personne qui s’occupe du déneigement

Le Nouvelliste
Quand j’avais 13 ans, je travaillais déjà pour gagner mon argent
de poche. Parfois, je gardais mon petit frère, et ma mère me
payait pour ce service. Toutefois, je préférais aller garder chez
des étrangers, car ils payaient plus que ma mère. Mais, c’était
un travail plutôt irrégulier. En plus, il occupait souvent mes
vendredis et mes samedis soirs…
Alors, j’ai trouvé un autre travail : je suis devenue camelot pour

Le Nouvelliste. Je livrais le journal six jours par semaine.
Chaque matin, je me levais à cinq heures. En hiver, je
m’habillais toujours chaudement. Je mettais mon habit de
neige, mes bottes chaudes, un foulard, une tuque et des
mitaines.
Chaque matin, c’était la même routine. J’ouvrais la porte et je

prenais la pile de journaux que le distributeur avait laissée dans
une boite prévue à cet effet. Je comptais toujours les journaux
pour m’assurer qu’il n’y avait pas d’erreur. Heureusement, mon
chat était toujours là pour m’encourager!

Puis, je consultais la feuille d’information qui m’indiquait le
nombre de journaux et les changements. Parfois, un client
suspendait son abonnement pendant ses vacances, parfois un
nouveau client s’ajoutait. Mais ce que je détestais le plus,
c’était les périodes de promotion. Je devais alors livrer le
journal chez des clients qui le recevaient gratuitement pour une
semaine. En général, ils ne s’abonnaient pas après et je n’avais
droit à aucun pourboire!
Chaque matin, je mettais ma cinquantaine de journaux dans

mon sac et je quittais la maison. En hiver, il faisait toujours
noir et froid. Je marchais seule dans les rues de mon quartier.
En général, il n’y avait aucun bruit, aucun mouvement. Les
jours de tempête, c’était plus dangereux : les déneigeurs
envahissaient alors les rues. Avec leurs tracteurs, ils
avançaient et reculaient, poussaient et soufflaient la neige,
sans toujours se préoccuper des piétons, plutôt rares à cette
heure. Je devais être très prudente : je ne voulais pas mourir
sous les roues d’un tracteur ou pire, dans l’engrenage de la
souffleuse à neige!

Compréhension
A-056
1. Est-ce que la jeune fille aimait travailler la fin de
semaine?
2. Pourquoi la jeune fille comptait-elle le nombre de

journaux?
3. Comment agissaient les clients en période de

promotion?
4. Quelle était la routine de cette jeune livreuse de

journaux?
5. Quel danger guettait la jeune fille en hiver?
Quel a été votre premier emploi? Racontez votre routine.
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Le Nouvelliste 2
Vocabulaire
Noms Verbes
Le temps Une personne Cogner
Un an Une amie Commencer
Un après-midi Un camelot Détester
Une fois Un client Donner
Une heure Un commis Emmener
Un lundi Un employeur Finir
Un matin Un frère Gagner
Un mercredi Un patron Livrer
Un samedi Un travailleur Mendier
Une semaine Mettre
Un quotidien La météo Ouvrir
Une collecte La glace Payer
Un journal La neige Partir
Une livraison La pluie Passer
Le soleil Penser
Un autobus Le vent Prendre
Un billet Quitter
Une boite aux lettres Un quartier Réclamer
Un calme Une école Rentrer
Une classe Une entreprise Revenir
Un coude Une librairie S’activer
Un coup Une maison S’endormir
Un cours Un parc Secouer
Un déjeuner S’habiller
Une douche L’argent Se lever
Une fin Un cent Se réchauffer
Un mal Un dollar Se réveiller
Une marche Un pourboire Stimuler
Un papier Un sou Vendre
Un sens Vouloir
Un silence Expressions
Une tête Avoir l’impression
Un travail Cogner des clous
Se donner du mal

Le Nouvelliste 2
Quand j’avais 13 ans, j’étais camelot pour Le Nouvelliste, le
quotidien de Trois-Rivières. Du lundi au samedi, je livrais tous
mes journaux avant six heures trente. Cinquante fois, j’ouvrais
la boite aux lettres et j’y mettais Le Nouvelliste, bien plié en
deux comme le voulait mon employeur. Quand j’avais fini mes
livraisons, je rentrais chez moi en passant par le parc désert. Le
soleil commençait à peine à se lever. Ici et là, des travailleurs
quittaient leur maison pour le travail. Mon quartier se réveillait
et s’activait.
Moi, je rentrais chez moi, satisfaite du travail accompli. Je

prenais une bonne douche pour me réchauffer, je m’habillais, je
prenais mon déjeuner et je quittais la maison vers sept heures
trente pour prendre l’autobus qui m’emmenait à l’école.
Parfois, je m’endormais un peu pendant l’après-midi. Si mon

cours ne stimulait pas mes sens, je cognais quelques clous
jusqu’à ce qu’une amie me donne un coup de coude. Puis, je
secouais la tête vigoureusement, histoire de me réveiller jusqu’à
la fin des classes.

Chaque mercredi soir, je partais faire la collecte. J’allais chez
mes clients me faire payer ma semaine de travail. Je détestais
cela! J’avais l’impression de mendier! Le Nouvelliste me
donnait soixante-et-onze cents par semaine, par client. Je
gagnais donc environ trente-cinq dollars par semaine pour neuf
heures de travail le matin et trois heures de collecte le soir.
Quand on y pense, c’est peu pour tout le mal que je me donnais.

Heureusement, certains clients me donnaient un pourboire.
D’autres réclamaient les quelques sous qui revenaient de leur
billet de cinq dollars.
Malgré tout, j’aimais passer le journal. J’aimais le silence et le

calme de mon quartier aux petites heures du matin. J’aimais
ces longues marches dans la neige, sur la glace, sous la pluie,
face au vent… J’étais jeune et j’avais ma propre entreprise :
j’étais mon propre patron! Et je gagnais bien plus qu’en gardant
mon petit frère à l’occasion!
J’ai fait ce travail pendant trois ans. Quand j’ai eu mes 16 ans,
je me suis sentie prête pour un « vrai » travail : commis dans une
librairie. Encore une fois, je vendais du papier!

Compréhension
A-057
1. Combien de journaux y avait-il à livrer chaque jour?
2. Est-ce que le travail de camelot avait une influence

sur le quotidien de la jeune fille?
3. Quel aspect de son travail répugnait à la jeune fille?
4. Quels avantages trouvait-elle à ce travail?
5. Pendant combien de temps la jeune fille a-t-elle fait

ce travail?
Énumérez les emplois que vous avez occupés.
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L’éclipse
Vocabulaire

La photographie Le temps Assister Photographier
Un appareil Un degré Atteindre Porter
Une caméra Un hiver Attendre Pouvoir
Un modèle Une journée Choisir Préciser
Un objectif Une minute Décider Prendre
Une photo Une nuit Déguster Prévoir
Un point de vue Une période Descendre Rater
Un sujet Un soir Enfiler Réserver
Un trépied Un thermomètre Enjamber Ressentir
Falloir (il faut) Rester
La Lune Une maison Geler S’acheter
Une éclipse Un bain Grelotter Se dire
Un spectacle Une entrée Grimper Se gâter
Une gouttière Grossir Se glisser
Un vêtement
Un toit Immortaliser Se servir
Une botte Manquer Sortie
Un chandail Le corps Mettre Sourire
Un dessous Monter Suffire
Un cou
La flanelle Tester
Une engelure
Un gant Vouloir
Une main
La laine
Un malaise
Une mitaine
Un pyjama
Un chocolat La neige Expressions

Une couverture Un obstacle Avoir envie de
Une façon Une occasion Avoir hâte de
Un froid Une passion Avoir peur de
Une ignorance Une patience Avoir le vertige
Une limite Un perchoir Se tenir au chaud
Une naïveté Un poste
Une précaution

L’éclipse
L’hiver passé, je me suis acheté une caméra numérique. Il y
avait longtemps que j’en avais envie, alors je me suis gâtée.
J’ai choisi un modèle avec un objectif assez puissant pour
grossir plusieurs fois le sujet à photographier.
En janvier, une éclipse de Lune était prévue. Je me suis dit

que ce serait une excellente occasion de tester les limites de
mon nouvel appareil. Ce soir-là, il faisait moins trente degrés
au thermomètre. En général, je reste au chaud pendant ces
périodes, surtout la nuit. Mais je ne pouvais rater l’éclipse. Je
ne voulais en aucune façon manquer d’immortaliser ce
spectacle. Je suis donc sortie de la maison, ma caméra au cou,
mon trépied dans une main et une couverture de laine dans
l’autre.
Je suis montée sur le toit la maison pour avoir un point de vue

libre de tout obstacle. Il m’a été assez facile d’y grimper, car
la neige atteignait le toit de l’entrée arrière. De là, il m’a suffi
d’enjamber la gouttière. Habituellement, j’ai le vertige mais,
curieusement, cette fois-là, je n’ai ressenti aucun malaise.
J’avais bien trop hâte d’être installée à mon poste! Et puis,
j’avais peur de manquer l’éclipse.

Quelle naïveté! Quelle ignorance! Et quelle patience il faut
pour attendre une éclipse! Inutile de préciser qu’après cinq
minutes, j’étais déjà frigorifiée! Heureusement, j’avais mis
plusieurs chandails et j’avais décidé de porter des dessous
chauds. J’avais aussi enfilé mes bottes les plus chaudes,
celles que je réserve pour les journées froides à l’extérieur.
Sous mes mitaines, je portais une paire de gants de laine.
Ainsi, je pouvais prendre quelques photos sans risque
d’engelure.
Toutes ces précautions n’ont pas suffi

à me tenir au chaud. Ce soir-là, j’ai eu
froid, très froid. Cette nuit-là, j’ai gelé,
j’ai grelotté. Mais, ma passion a été
plus forte que le froid. J’ai pris de
nombreuses photos de la Lune.
Quand je suis descendue de

mon perchoir, j’étais heureuse.
Je me suis servi un bon
chocolat chaud que j’ai dégusté
dans un bain moussant bien
chaud. J’ai mis mon pyjama
en flanelle et je me suis glissée
sous les couvertures. Je crois
bien que je grelottais encore.
Mais je souriais, car j’avais
assisté à un magnifique
spectacle de la nature.

Compréhension
A-058
1. Qu’est-ce qui a facilité l’accès au toit?
2. Est-ce que la narratrice a l’habitude du froid?
3. Pourquoi était-elle frigorifiée après cinq minutes?
4. Qu’est ce qu’elle a fait en rentrant chez elle?
5. Pensez-vous que l’expérience a été positive pour la

narratrice? Justifiez.
Quel phénomène naturel vous a déjà bouleversé?

Racontez.
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La pêche aux petits poissons des Chenaux
Vocabulaire
Noms Noms Verbes

La pêche Une personne Alimenter
Une activité Un amateur Appâter
Une crevette Un enfant Attendre
Un fil Un pêcheur Attirer
Un hameçon Un pourvoyeur Chauffer
Un morceau Un visiteur Couper
Un permis Le temps Descendre
Un poisson Une année Entrer
Une prise Un hiver Impressionner
Un village Une journée Installer
Une municipalité Une occasion Loger
Une rue une nuit Louer
L’eau Une saison Mordre
La glace Une cabane Pendre
Une rive Une chaise Pratiquer
Une rivière Une habitation Préparer
La quantité Un poêle à bois Retourner
Une centaine Une table Retrouver
Une vingtaine Adverbes Rire
S’activer
Aussi S’amuser
Une automobile Bien Se procurer
Une électricité Directement Se stationner
Une fois Facilement Se tenir
Une entrée Même Suspendre
Une habileté Parfois
Une hauteur Patiemment
Une tradition Suffisamment
Un trou Surtout
Très

La pêche aux petits poissons des Chenaux
Tous les hivers, on pratique une activité bien spéciale à Sainte-
Anne-de-la-Pérade, une petite municipalité située sur la rive nord
du Saint-Laurent, entre Québec et Montréal, à vingt minutes de
Trois-Rivières. Dès que la rivière Sainte-Anne est suffisamment
gelée, on s’active à préparer la saison de la pêche aux petits
poissons des Chenaux.
Les pourvoyeurs installent leurs

petites cabanes directement sur la
glace. Il y en a des centaines à la
hauteur du village de Sainte-Anne-
de-la-Pérade. Chaque cabane est
alimentée en électricité. En
général, on peut y loger facilement
six à huit personnes pour la
(Source : France Hallé) journée. De l’extérieur, on dirait un
Une rue sur la rivière Sainte-Anne village, car il y a de petites rues.
par un jour neigeux.
Les visiteurs descendent sur la
rivière avec leur automobile et se
stationnent en face de leur cabane.
À l’intérieur de la cabane,
il y a un poêle à bois pour
se tenir au chaud. C’est
curieux de chauffer une
habitation érigée sur la
glace! On retrouve aussi
une table et des chaises.
Mais c’est surtout le long
trou rectangulaire qui
impressionne quand on
entre pour la première
fois dans ces petites
maisons.

En effet, les pourvoyeurs coupent la
glace et suspendent des fils à pêche
au-dessus du trou. Il y en a
facilement une vingtaine. Au bout de
ces lignes pendent des hameçons.
Les pêcheurs appâtent les hameçons
de morceaux de foie ou de crevettes
qu’on peut se procurer à l’entrée du
village. Puis, ils attendent
patiemment que le poisson morde.
Parfois, les prises sont abondantes;
parfois, il faut être très patient.
Chaque année, Sainte-Anne-de-la-Pérade attire environ

100 000 amateurs de pêche qui louent une petite cabane
pour la journée ou pour la nuit. Certains ont fait de la pêche
aux petits poissons des Chenaux une tradition familiale :
chaque année, ils y retournent avec plaisir. C’est une belle
occasion de s’amuser, de rire. Et puis, même les enfants
peuvent pêcher. Aucun permis de pêche n’est nécessaire,
aucune habileté particulière n’est requise.

Compréhension
A-059
1. Pourquoi semble-t-il y avoir un village sur la rivière?
2. Quel élément de la cabane remarque-t-on en premier?
3. Quels appâts utilise-t-on?
4. Combien de pêcheurs pratiquent la pêche sur la

rivière Sainte-Anne?
5. Est-ce que la glace est solide? Expliquez.
Racontez une histoire de pêche. Inventez au besoin.
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Une histoire de pêche
Vocabulaire
Noms Noms Verbes

Le temps Une personne Aller Mesurer
Un an Un amateur Appartenir Mettre
Une année Un colon Appeler Mordre
Une attente Une famille Apporter Neiger
Un début Un pêcheur Apprêter Nettoyer
Une heure Un restaurant Atteindre Observer
Un hiver Le beurre Attendre Offrir
Un jour La farine Compter Patiner
Un moment Un œuf Contenir Pêcher
Une période Un plat Crier Penser
Une saison Une poêle Cuire Polluer
La pêche Le poivre Déguster Prévoir
Le sel Donner Remonter
Une arête
Embrasser Retourner
La chair Un endroit
Enlever Rire
Un hameçon Une cabane
Frayer S’amuser
Une morue Un centre
Fuir Se reproduire
Un poulamon d’interprétation
Imiter Sortir
Un poisson La glace Jeter Venir
Une rivière Une activité Louer Voir
La neige
Un patin
Une patinoire
Une boite Une joie Adverbes
Un centimètre Un jeu Beaucoup Même
Une chance Une patience Heureusement Parfois
Un découragement Un poêle à bois Juste Tellement
Une idée Une présence Longtemps Très
Une impatience Un seau Malheureusement
Une industrialisation Une vingtaine
Une information

Une histoire de pêche
Cet hiver, je suis allée à la pêche aux petits poissons des
Chenaux avec ma famille. C’était juste entre Noël et le Jour de
l’An, au début de la saison de pêche. Il neigeait beaucoup ce
jour-là et il faisait très froid. Nous étions très excités à l’idée de
pêcher sur la glace. Nous pensions tous faire une pêche
miraculeuse! Parfois, on peut sortir jusqu’à deux cents poissons
en quelques heures! Mais nous n’avons pas eu cette chance.
Nous avons dû attendre longtemps avant de voir un poisson
mordre à l’hameçon.
Heureusement, nous avions apporté

nos patins! C’était très agréable de
patiner sur la rivière. Quelle grande
patinoire naturelle! Bien sûr, il a
fallu enlever la neige avant de
s’amuser, mais cela fait partie du
plaisir. J’avais aussi prévu les
longues heures d’attente et les
périodes de découragement; dans
une boite, j’avais mis quelques jeux
de société.
Quand Alexandre a sorti son premier poisson, après deux longues
heures de patience et d’impatience, il sautait de joie! Il riait et
criait : il était tellement fier de lui. Il a même embrassé son
poisson! On a mis le poulamon dans un seau d’eau et on l’a
observé longtemps.

Le poisson des Chenaux appartient à la même famille que la
morue. Il mesure entre quinze et vingt centimètres, mais il
peut atteindre jusqu’à quarante-cinq centimètres. Chaque
hiver, il remonte la rivière Sainte-Anne pour venir frayer,
c’est-à-dire qu’il vient se reproduire.
Il parait que le poulamon,

comme on l’appelle aussi,
était présent dans la rivière
Saint-Maurice dans les
années 1000. Les Iroquoiens
l’ont pêché, puis les colons
de la Nouvelle-France les ont
imités. Malheureusement,
l’industrialisation a tellement
pollué la rivière que les
poissons ont fui vers la (Source : France Hallé)
rivière Sainte-Anne. C’est en
1938 qu’on a d’abord observé
sa présence à cet endroit.
Notre pêche n’a pas été miraculeuse cette année. Nous avions
loué la cabane pour douze heures, mais nous n’avons pêché
qu’une vingtaine de poissons. Nous étions sept pêcheurs! J’ai
fait cuire le poisson sur le petit poêle à bois. J’avais apporté
une poêle, du beurre, de la farine, un œuf, du sel et du poivre.
J’ai nettoyé les poissons, je les ai apprêtés et je les ai jetés
dans la poêle. Quand ils ont été cuits, nous les avons
dégustés. Le poisson des Chenaux contient beaucoup d’arêtes,
mais la chair a bon gout.
D’ailleurs, un restaurant, installé sur la glace pour la saison,

offre plusieurs plats aux amateurs de poissons. Il y a aussi un
centre d’interprétation qui donne des informations sur cette
activité traditionnelle. Bref, nous avons passé un beau
moment à Sainte-Anne-de-la-Pérade et nous comptons bien y
retourner l’an prochain!

Compréhension
A-060
1. Quelles activités peut-on pratiquer sur la rivière
Sainte-Anne en hiver?
2. Est-ce que la pêche a été bonne ce jour-là?
3. Où est-ce que le poulamon avait l’habitude de frayer

autrefois?
4. Quel phénomène a chassé le poisson de son habitat

initial?
5. Quels éléments vous permettent de prouver que la

pêche aux poissons des Chenaux est une activité
touristique bien organisée?
Décrivez une activité touristique typique de votre région.
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Mon GPS
Vocabulaire

Une personne La consommation Abandonner Prendre
Un adepte Un besoin Acheter Programmer
Un aventurier Une boutique Adopter Regarder
Un célibataire Une compagnie Assurer Rendre
Un compagnon Une dépense Boire Répondre
Un consommateur Une épicerie Cacher Résister
Un copain Une folie Chercher S’adresser
Un copilote Un produit Consommer S’éterniser
Une génération Un style Convaincre S’ouvrir
Les gens Croire Savoir
Un homme - une femme Le temps Développer Se déplacer
Un jeune Devenir Se dire
Une année
Un partenaire Dévoiler Se passer
Une nuit
Un vendeur Dire Se passer de
La veille
Écouter Se perdre
Une vie
Emmener Se rendre
Le corps Une technologie Emprunter Se surprendre
Entrer Sillonner
Un cœur Une caméra Explorer Suivre
Une fatigue Un écran Falloir Tendre
Une main Un gadget Garder Tenir
Un mollet Un joujou Guider Travailler
Un œil – des yeux Un ordinateur Imaginer Traverser
Une oreille Une pellicule Imprimer Utiliser
Une voix Une photo Indiquer Venter
Un arbre Un satellite Installer Vivre
Une aventure Un système Marquer
Un baratin Une tentation Négliger
Une chose Passer
Une découverte Une route
Pouvoir
Une dépendance Une adresse
Une différence Un chemin
Un état Un circuit
Le fer Une circulation
Un genre Un coin
Un guidon Une construction Expressions
Une liberté Un copilotage Avoir pitié
Un mépris Une direction Dans le fond
Un monde Un faux-plat Dur comme du fer
Un papier Une montée Tendre l’oreille
Une pile Un quartier
Une position Une rue
Une raison Un véhicule
Une rivière Un vélo
Des vacances (f) Un village
Une voie

Mon GPS
C’est mon joujou, mon gadget préféré. Aujourd’hui, je ne peux plus m’en
passer. Pendant plusieurs années, j’ai résisté à la tentation. J’ai résisté à
cette folie de consommation de nouvelles technologies. Je me disais que
les gens étaient un peu fous d’adopter tous les nouveaux gadgets dès
qu’une compagnie leur disait que leur vie serait tellement plus heureuse
ainsi.
Je n’avais pas besoin qu’un ordinateur me dise comment me rendre au

coin de la rue, quel chemin emprunter pour aller travailler. Je savais déjà
toutes ces choses. Je regardais mes copains installer leur système GPS.
Ils utilisaient un temps fou à programmer des adresses trop connues. Ils
auraient pu s’y rendre les yeux fermés tellement le chemin leur était
familier. Je les regardais avec un peu de mépris. Je me disais qu’ils
étaient bien dociles, bien entrainés à consommer au-delà de leurs besoins.
En fait, j’avais pitié d’eux. Moi, j’étais du style sportif. J’aimais me
déplacer à vélo. J’étais un adepte des vacances d’aventures. Quand on
est ainsi fait, nul besoin qu’un satellite vous dise où aller. C’est le cœur
qui marque la direction à suivre.

Et puis, un jour, je suis entré dans cette boutique pour acheter des piles
rechargeables pour ma caméra numérique. Oui, oui, je sais. Vous me
direz que j’étais déjà consommateur de technologies modernes. J’avais
acheté ma caméra pour des raisons écologiques. Finies les pellicules à
faire développer avec des produits chimiques. Fini le papier glacé sur
lequel on imprime les photos.
Je ne sais pas vraiment ce qui s’est passé ce jour-là. Est-ce que j’étais
fatigué? Est-ce que j’avais passé une mauvaise nuit? Est-ce que j’avais
trop bu la veille? Va savoir! Toujours est-il que je suis entré dans cette
boutique et que j’ai tendu l’oreille au vendeur. Le pire, c’est qu’il ne
s’adressait même pas à moi. Il répondait à un jeune d’une vingtaine
d’années en quête d’une nouvelle dépense inutile.

J’ai écouté son baratin de vendeur. Il ventait cette nouvelle
génération de système GPS. Imaginez un écran qui tient à
l’intérieur d’une main capable de vous guider jusqu’au bout du
monde! Impossible de se perdre avec un tel système. Inutile aussi
de garder constamment les yeux sur l’écran : une voix féminine
assure le copilotage du véhicule. Suivre sa voix, c’est suivre la voie
de la liberté, de l’aventure absolue. Toutes les routes s’ouvrent à
celui qui la suit. Il n’en fallait pas plus pour me convaincre, moi, le
célibataire endurci. Voilà le genre de femme qu’il me fallait à moi,
l’aventurier!
Vous croyez que, dans le fond, je suis comme les autres? Vous avez
tort. Ma différence ne tient pas à ma dépendance à mon GPS. Comme
tous les adeptes de ce système, je prends plaisir à programmer des
adresses trop connues. Je me suis même surpris à suivre la belle voix
jusqu’à l’épicerie de mon quartier.
Non, ma différence tient aux aventures extraordinaires que j’ai vécues

avec ma belle Grande Partenaire Sportive. J’ai exploré des villages
nouveaux, des routes hors des circuits touristiques. Même si des arbres
me cachaient la rivière que je cherchais, mon GPS me dévoilait sa
position. J’ai sillonné plusieurs états américains et, chaque fois, mon
GPS me guidait dans mes découvertes. Bien sûr, il négligeait de
m’indiquer les routes en construction ou les voies fermées à la
circulation. Bien sûr, mon système n’est pas parfait. Mais c’est devenu
mon compagnon de voyage, un compagnon fidèle qui ne m’abandonne
pas dans les montées difficiles, dans les faux-plats qui s’éternisent et qui
rendent mes mollets durs comme du fer.
Bien installé sur mon guidon, mon GPS

a traversé le Canada d’est en ouest. Ma
belle copilote n’a jamais exprimé sa
fatigue. Sa voix, toujours égale,
toujours douce et tranquille m’emmène
toujours plus loin. Non, vraiment, je ne
pourrais plus m’en passer.

Compréhension
A-061
1. Qu’est-ce que le narrateur pensait du système GPS
avant d’en faire l’acquisition?
2. Comment s’orientait-il lors de ses randonnées à

vélos?
3. Qu’est-ce qui a vraiment convaincu le narrateur de

faire l’achat d’un GPS?
4. En quoi le narrateur est-il différent des autres

utilisateurs du système GPS?
5. Quel inconvénient présente le GPS?
Que pensez-vous du système GPS?
_____________________________________________________________
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Historias Progresivas FRANC S

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Fiche de lecture A-001

Noms Noms Verbes Adverbes

© 2008 France Hallé, UQTR

Les météorologistes annoncent des orages violents en soirée.

(Source : Microsoft Office)

Quand il y a un orage, je m’assois à la fenêtre et je regarde la

Quand je vois un éclair, je compte les secondes. Une, deux,

© 2008 France Hallé, UQTR

Comme les enfants, j’aime marcher dans les flaques d’eau.

Après la pluie, les oiseaux recommencent à chanter. Ils sont

(Source : <a href="http://www.photo-libre.fr">Photos Libres</a>)

1 C’est un proverbe français.

© 2008 France Hallé, UQTR

2. Est-ce qu’il y a des orages présentement?

3. Quand est-ce que la narratrice écrit ce texte? Le

4. Quel est le bruit de l’éclair?

5. Est-ce que la narratrice est une enfant?

Est-ce que vous aimez la pluie et les orages? Pourquoi?

© 2008 France Hallé, UQTR

© 2008 France Hallé, UQTR

- C’est moi, Jacques.

La dame se recule un peu. Elle l’observe.

- Dis-moi Jacques, qu’est-ce que tu

© 2008 France Hallé, UQTR

- Qu’est-ce que tu veux faire après?

- Tu veux devenir agent de communication?

La dame hoche la tête.

(Source : Microsoft Office)

© 2008 France Hallé, UQTR

1. Est-ce que la dame reconnait Jacques?

2. Est-ce que la dame connait Jacques?

3. Est-ce que Jacques travaille?

4. Où a lieu cette rencontre?

5. Quel métier est-ce que Jacques veut faire?

Quels sont vos projets professionnels?

© 2008 France Hallé, UQTR

Noms Verbes Adverbes

© 2008 France Hallé, UQTR

En hiver, il neige souvent. Il tombe environ 170 centimètres

Mais, quelquefois, il neige beaucoup et

Parfois, il ne neige pas, mais il fait

Parfois, il fait doux. Autour de 0° C, la neige tombe et fond

© 2008 France Hallé, UQTR

Mais, quand il fait -2° ou -3° Celsius, la pluie tombe et se

En général, l’hiver au Québec est magnifique. Il y a plusieurs

Glissade au Carnaval de Québec (Photo : France Hallé)

© 2008 France Hallé, UQTR

2. Qu’est-ce que le verglas?

3. Quand est-ce qu’il fait froid au Québec?

4. Est-ce qu’il pleut en hiver?

5. Quelle est la température moyenne en mars?

© 2008 France Hallé, UQTR

Noms Verbes Expressions

© 2008 France Hallé, UQTR

- Est-ce que tu as une crevaison?

(Source : Microsoft Office)

- Alors, qu’est-ce que c’est?

- Non, elle est entre deux plateaux. Elle

(Photo : France Hallé)

- Essaie si tu veux, mais ne la casse pas s’il te plait.

© 2008 France Hallé, UQTR

- Zut! Ça ne fonctionne pas du tout. Je vais devoir aller porter

- Je ne sais pas, mais c’est le début de l’été. J’ai besoin de mon

© 2008 France Hallé, UQTR